DG. DG. 29 mars 2011 18:47

la part de l’intérêt se retrouve dans chaque bien produit et consommé. Selon l’ouvrage « Libérer l’argent de l’inflation et des taux d’intérêts » de Magrit Kennedy cette part est estimé de 20% a 40% de leur prix selon les secteur d’activité en fonction de leur concentration en capital.
ainsi, sans cette part, la dépréciation du produit serait encore plus rapide, d’un point de vue comptable et exprimé en monnaie, en dépit de son utilité.

autre point d’attaque, si on suppose une masse monétaire stable et que la production augmente en raison d’un progrès technique, il est évident que, combiné avec les économie d’échelle, l’offre augmente mais la demande globale reste circonscrit au limite de la masse monétaire. autrement dit les prix baisse structurellement. ainsi en augmentant la masse monétaire, via l’intérêt, la dépréciation est soit ralentit (prix de départ plus haut) soit contrecarré (typique de l’immobilier, puisque ce je paye 200000, ce qui coute au départ 150000, si je revend, je le revendrais probablement pas a moins de 200000)


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