la part de l’intérêt se retrouve dans chaque bien produit et consommé. Selon l’ouvrage « Libérer l’argent de l’inflation et des taux d’intérêts » de
Magrit Kennedy cette part est estimé de 20% a 40% de leur prix selon
les secteur d’activité en fonction de leur concentration en capital.
ainsi, sans cette part, la dépréciation du produit serait encore
plus rapide, d’un point de vue comptable et exprimé en monnaie, en dépit
de son utilité.
autre point d’attaque, si on suppose une masse monétaire stable et
que la production augmente en raison d’un progrès technique, il est
évident que, combiné avec les économie d’échelle, l’offre augmente mais
la demande globale reste circonscrit au limite de la masse monétaire.
autrement dit les prix baisse structurellement. ainsi en augmentant la
masse monétaire, via l’intérêt, la dépréciation est soit ralentit (prix
de départ plus haut) soit contrecarré (typique de l’immobilier, puisque ce je paye 200000, ce qui coute au départ 150000, si je revend, je le revendrais probablement pas a moins de 200000)
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