Ghosn n’a pas démissionné, parait il, parce qu’il est aussi président de Nissan .
Nissan sans qui Renault se dégonflerait, vu le rapport financier devenu favorable au japonais .

Cette fausse affaire d’espionnage traduit le profond malaise dans les grandes entreprises, comme France Telecom, qui ont adopté la méthode du management par le stress .
Avec à la clé, dépressions et suicides (3 au technocentre) .
Le cost-killer Ghosn tant vanté il y a 6 ans, a fait de cette politique du bas coût , la raison de la
délocalisation d’une partie de la production en Slovénie ou au Maghreb .Sans pour autant remonter les comptes de l’entreprise et encore moins son image de « marque » .

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