french_car 21 avril 2011 17:35

L’image et l’article sont diffamatoires envers Mr Husson et la « direction de Renault » comme l’appelle le titre. La prescription du délit est de 3 mois Mr Revelli...

« Comment s’empêcher de songer, en observant les méthodes en usage chez Renault, à celles qui avaient cours dans les ex-démocraties populaires ? Le livre d’Artur London, « L’aveu » publié en 1968, dont Costa-Gavras a tiré un film en 1970, relate des méthodes comparables. Mais, il est vrai, les policiers tchèques et soviétiques de l’époque savaient, contrairement au directeur juridique de Renault, qu’ils contraignaient leurs victimes à avouer des crimes qu’ils n’avaient pas commis ».

Paul Villach comme à l’accoutumée parle de qu’il ne connaît pas, en tant que fonctionnaire à la retraite. Les aléas et les risques de l’Entreprise lui échappent totalement.

Mr Husson aurait dû aller voir Mathieu Tennenbaum avec des chocolats et une bouteille de Champagne en lui disant « ce n’est pas grave, ne démissionne pas, garde l’argent des Chinois on se fera une bouffe il y a un resto chinois en face ».

Mais puisque Villach aime l’information non-tronquée il faut également lire le script de l’entretien Pelata-Rochette, le style Pelata n’est pas le syle Husson :

http://www.lepoint.fr/economie/exclusif-ecoutez-un-cadre-de-chez-renault-convoque-par-pelata-dans-le-cadre-de-la-fausse-affaire-d-espionnage-15-04-2011-1319944_28.php

Et l’entretien Coudriou-Balthazard, on va dire à mi-chemin entre les 2 précédents :

http://www.lepoint.fr/economie/exclusif-ecoutez-quand-jean-yves-coudriou-annoncait-sa-mise-a-pied-a-un-cadre-de-chez-renault-15-04-2011-1319975_28.php

Il n’y a pas eu d’aveu, pas d’information extorquée puisqu’il n’y avait rien à avouer ni à extrorquer.

Villach ferait mieux de s’intéresser aux relations entre les anciens militaires de la DGSE et de la DST qui ont commis ce forfait, des relations qu’ils ont gardées avec leurs anciennes maisons, des réactions du pouvoir en particulier Besson, Lagarde et Baroin, qui peut-être savaient mais ont laissé faire caressant l’espoir secret de faire tomber un patron qu’ils détestent et déstabiliser une entreprise qu’ils exècrent.

 


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