Ah oui au fait, l’emprunt n’y est pour rien n’est-ce pas, invoquer l’atteinte à la dignité ne tient pas la route. Par contre le franc fort et la catastrophe économique qui s’en est suivie, ça oui ça a intégralement été payé par Bérégovoy.
Et bien sûr pour le franc fort et le risque qu’il y avait derrière, Mitterrand ignorait complètement n’est-ce pas... Moi j’appelle ça un chef qui n’assume pas, la pire des espèces...