Et puis, concrètement, ce pur héros, il aura servi à quoi ?
A rien du tout, si j’en crois les deux derniers tiers du chapeau : « Il se sera éteint sans voir son rêve se réaliser. Pire, la vision réductrice de l’économie, qu’il a combattue et dénoncée jusque dans les dernières années de sa vie, est plus que jamais triomphante. »
Il n’y a peut-être que ça de définitivement triste dans la vie, les moulins qui survivent (toujours) à Don Quichotte... Parce qu’il est vraisemblable, qu’avec son intelligence, ce Galbraith aurait certainement pu être utile à son pays et à ses semblables...