Marc Bruxman 12 mai 2011 19:08

Pour l’immobillier vous avez plusieurs cas :

  • La résidence principale : Quelque part les fluctuations ne vous concernent pas d’autant que sinon vous auriez payé un loyer souvent proche à 100 ou 150 € prêt du remboursement d’un crédit sur 25 ans. (Voir même parfois moins). Par contre, vous remboursez du capital tous les mois et cette opération est donc généralement neutre. La seule chose qui pourrait être marquante c’est une baisse des loyers. 
  • L’investissement locatif : C’est un investissement peu liquide et généralement à long terme. La aussi votre locataire va vous payer une bonne partie du loyer et si vous comptez l’amortissement du capital, il vous paie votre bien. Cela dit, une remontée des taux d’intérêts va rendre d’autrres placements plus attractifs.
Car le taux d’intérêt c’est le double effet kiss kool. Non seulement la capacité d’emprunt diminue, mais les placements alternatifs voeint leur rendement monter. Donc la demande immo baisse. Mais tant que les loyers ne baissent pas, aucun risque.

N’oubliez pas que dans le cas de la crise américaine :

  • Les crédits ne sont garantis QUE par le bien. Donc vous renvoyez les clés de la barauqe à la banque en lui faisant un F.U.C.K et la banque prenait une grosse perte.
  • Les loyers à la location étaient devenu tellement faible que vous aviez intérêt à être locataire sauf à pouvoir acheter comptant. A bien identique, il fallait souvent plus de 25 ans sans compter les intérêts pour payer un bien avec le prix de son loyer. Rajoutez à cela le loyer de l’argent et votre investissement ne pouvait pas être rentable. (C’est la même chose en Chine à l’heure actuelle). A Paris à l’heure actuelle c’est un peu plus de 15 ans hors intérêt pour payer le bien.

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