Robert 16 mai 2011 18:25

Posséder du pouvoir et des moyens financiers n’a jamais empêché les « déviants impulsifs » de passer à l’acte. L’Histoire est remplie de ce genre de cas.
Je trouve par contre choquant que par cette manière d’amener les choses sur la voie publique, où on cherche justifier la culpabilité ou l’innocence des protagonistes de cette histoire en fonction de leur niveau « socio-économico-éducationnel » respectif.
Laissons la Justice faire son travail et évitons les raccourcis faciles qui feraient d’une femme d’ouvrage, une pute et d’un homme puissant, quelqu’un au dessus de tout soupçon ou le contraire s’il en est.


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