Paul Villach Paul Villach 20 mai 2011 15:12

@ Cambronne,

Oui, je conçois qu’il est, par ces temps de vents violents, difficile de cheminer sur une ligne de crête pour ne pas dévaler la pente ni d’un côté ni de l’autre.

À l’heure où j’écris, personne ne sait ce qui s’est passé dans cette chambre de l’hôtel Sofitel !

Il existe une version, celle de « la victime », accréditée par la police et le procureur. On ne connaît pas celle de « l’agresseur », vu la procédure très déconcertante de la justice américaine qui vous encadre un prévenu présumé innocent en veillant à alerter la meute des médias pour la photo à la sortie du commissariat. On voit le résultat sur le bon peuple.

Si vous m’avez fait l’amitié depuis quelques années de lire quelques uns de mes articles, dont certains, si je me souviens bien, ont trouvé grâce à vos yeux, vous avez dû voir que je ne partage ni les idées ni les goûts de l’homme politique Strauss-Kahn.
Je ne viens donc pas à son secours : il n’en a pas besoin.

En revanche, j’essaie de défendre en pratique une théorie de l’information qui diffère de celle des meutes ou des troupeaux de moutons. Paul Villach 


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe