slipenL’air 31 mai 2011 11:41

bonjours l’auteur
sympa le petit article
je propose une vidéo étonnante et pleine d’espoir
Il y à sur cette planète des gens qui n’attendent pas que wall street s’écroule
pour concevoir une autre manière de vivre,il on des banques indépendante
et une gouvernance local

vers une économie non violente
Cette vidéo est un film documentaire de François Verlet sur une expérience économique
complètement différente de l’effroyable gabegie du libéralisme qui ne profite qu’à
quelque uns : « Sarvodaya Shramadana ».

Synopsis :

L’ ultralibéralisme promettait richesses et bien­être pour tous mais il génère
crises, chômage et inégalités croissantes. Le fait économique est devenu déterminant pour le
futur de la planète et de ses habitants.

 Le modèle capitaliste et son corollaire, la croissance sont­ils les seuls viables ?
Une économie respectueuse de l’homme et de la nature est­elle possible ?

 Dans la lignée de Gandhi et de sa république villageoise le réseau SARVODAYA SHRAMADANA
 donne depuis 50 ans à 6 millions de Sri Lankais, soit 1/3 de la
 population, l’opportunité de prendre leur destin en main.

Ce film est le fruit d’une rencontre avec ce mouvement et ses fondateurs.
Il raconte comment la création de sociétés villageoises a permis à des millions de sociétaires de
s’émanciper progressivement de déterminismes sociaux par l’éveil revendiqué de ses participants et le suivi attentif des bénévoles et des travailleurs du réseau.

 Nous avons découvert 15.000 villages s’organisant aujourd’hui de manière autonome.
Par la mise en place de chantiers collectifs, de puits et de canaux, de micro­crédits, de banques auto­gérees ils construisent progressivement une alternative économique non­violente, indépendante du marché financier planétaire.

Le film analyse aussi le terrible conflit entre le gouvernement Cinghalais et
la rébellion Tamoule dans lequel cette démarche a pris corps et les actions menées pour le
résoudre.
La méthode est­elle transposable ? Le pouvoir politique, trop souvent accaparé par
une élite, peut­il être repris par le peuple ? Peut­on imaginer comme le laisse
entendre A.T. Aryaratne, fondateur de SARVODAYA, que le monde devienne une
communauté de républiques communautaires et qu’il se débarrasse enfin de la
violence institutionnalisée des multinationales...

 smiley  smiley  smiley



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