Pierre JC Allard Pierre JC Allard 5 juin 2011 21:35

@ JL


Les « fins en soi » que veut le peuple sont généralement incompatibles. Le cas emblématique est le désir universel d’augmenter les dépenses, de diminuer les impôts et de réduire la dette. Les mécanismes qui permettent de concilier au mieux ces désirs irréconciliables constituent divers scénarios : des programmes.

Ce doit être le rôle des politiques de créer ces divers scénarios, en s’assurant que l’ensemble - le Programme du parti - répond aux exigences de la cohérence et n’est pas pur mensonge. Il faut pour ça pondérer des variables que des experts (fonctionnaires) vont évaluer techniquement, mais c’est au politique d« ajouter à SON programme - qui exigera toujours des sacrifices -l’idéal, le charisme, qui convaincront le citoyen d’accepter de préférence le sacrifice que lui propose plutôt que celui que suggère son adversaire. 

Le politique qui propose le programme devrait avoir la compétence requise pour faire la synthèse nécessaire. Qu’une assemblée de ciitoyens choisis de façon aléatoires se prononce sur le programme, pourquoi pas ? Mais pourquoi ne pas utiliser alors les capacités de l,Internet et des réseaux interbanque, pour consulter démocratiquement tout le monde en forme référendaire sur des programmes sectoriels plus facile a comprendre ?. Il faut être conscient, toutefois, qu’a ce niveau on parle d’un VETO. Le peuple dit oui ou non. Les propositions constructives ont déjè eté faites au palier de »celui qui a la competence" 



PJCA


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