J’en rajoute :
Ce rejet arrive bien tard (les dégâts sont grands) mais il rend leur responsabilité et leur efficacité aux gens, il les libère.
Les femmes africaines veulent nourrir leurs enfants et non alimenter la bourse avec la culture du coton.
Prenons exemple sur elles, revenons aux fondamentaux, produisons notre nourriture là où nous sommes.