La fascination néopositiviste et naïve envers les technologies du présent et du futur ne doit pas faire oublier que la gestion des sociétés, la politique tout simplement, recherche théorique du bien commun, restera toujours soumise à des valeurs, des choix, des décisions humaines, trop humaines parfois...non réductibles au fonctionnement d’ une machine de Turing.
L’outil informatique, la cybernétique ne resteront jamais que des moyens. S’ils deviennent des fins, ils peuvent conduire aux pires dérives... Le meilleur des mondes ?