« dette grecque détenue à plus de 95% par des non-résidents »
Un chiffre qui se suffit à lui seul pour expliquer les responsabilités partagées dans cette scandaleuse gabegie :
- Les investisseurs Grecs eux-mêmes, peu ou pas acheteurs de la dette souveraine ont manifesté, par défiance, leur parfaite connaissance de la nature « folklorique » du système économique hellénique - fraudes, double économie, etc...
- L’Europe et ses politiques préoccupés qu’ils étaient à agrandir la « famille »... coûte que coûte !
- Les Investisseurs institutionnels qui en se substituant aux nationaux, ont saisi une « opportunité » historique, celle de gagner beaucoup d’argent en spéculant sur leur incapacité à se réformer, une fois l’U.E intégrée.
L’appel à la solidarité européenne à ceci d’indécent que c’est bien au final tous les européens qui vont devoir en payer le prix fort, et pour longtemps...