À l’auteur,
Très bien vu ! Je pense que si le juge qualifie les faits allégués d’agression sexuelle tombant sous le coup de la prescription, l’épisode suivant pourrait s’intituler, « sur les traces des manipulateurs d’une frêle jeune fille lors d’un dîner télévisé trop arrosé ». Il n’y a aucun besoin de mettre la parole de la plaignante pour cela.