Peretz Peretz 18 juillet 2011 20:53

@auteur. Que de poncifs ! Avec en prime, prôner le retour à la lampe à pétrole. Ou l’art et la manière de passer sous silence le plus important : le chômage. Sans croissance (nette, hors productivité), pas de travail. Dans un discours au demeurant fort bien tourné, cet aspect macroéconomique lui a échappé. Dommage que l’auteur ne voit que par le petit bout de sa lorgnette, comme la plupart des auteurs qu’il a cités.


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