joelim joelim 30 juillet 2011 15:57

Pensez-vous, Joelim, qu’ils sont complices du grand complot cosmoplanétaire ou tout simplement de sombres crétins n’y voyant pas plus loin que le bout de leur nez ?

Bien sûr que non. L’exagération constante de vos propos n’est pas un argument en soi et se rattache plutôt à l’autopersuasion de la méthode Coué.
Ce sont les propos mêmes de scientifiques de ce dossier qui invalident la VO. Quand aux scientifiques, de tout temps ils ont fait de la bonne ou de la mauvaise science. Au vu de mon analyse ceux qui sont sur les sciences dures ont écrit des choses intéressantes et correctes (les paragraphes que je critique n’ont je pense pas été écrits par eux mais par l’éditeur c’est-à-dire vous).
De toute manière en science — je veux dire en vraie science c-à-d sans dogmatisme — l’argumentation précise prime devant la longueur du C.V. Et je ne dénigre pas les scientifiques du dossier, d’autant plus que comme je l’ai expliqué ils sortent du discours de la VO que l’on entend à longueur d’année dans la bouche des debunkers. Vous aurez beau essayer d’amalgamer les debunkers avec les scientifiques cela ne marche pas, l’examen du contenu de ce numéro spécial de l’AFIS le prouve. La science n’est pas monolithique. Il n’est pas non plus possible de la faire plier pour la mettre au service d’intérêts politiques particuliers (1). Sinon, vous auriez réussi à empêcher la publication dans ce dossier de la conclusion sur le départ de feu tardif (donc inexpliqué) dans le WTC7 et surtout la conclusion sur la rupture du cœur de la tour 1 qui, au vu du comportement de l’antenne, eut lieu en premier, invalidant totalement votre propre scénario de démolition. Quand donc le reconnaitrez-vous ?

(1) Je n’y met aucun présupposé. Mais j’ai quand même une piste (Il ne faut jamais perdre une occasion de sonder la psychologie américaniste). Extrait : « la psychologie américaniste est dotée de caractères qui lui permettent d’écarter absolument ces contradictions, de cloisonner les sujets et de saucissonner les logiques. Ces caractères permettent à ces esprits, et même les obligent à ne pas concevoir comme possible la culpabilité de l’américanisme en quelque occurrence et de quelque façon que ce soit (“inculpabilité”), et à ne pas concevoir comme possible, également en quelque occurrence et de quelque façon que ce soit, que l’américanisme puisse essuyer un échec ou, encore moins, être vaincu (“indéfectibilité”). Ces deux caractères de la psychologie américaniste assurent une formidable carapace contre les “agressions” de la réalité lorsque cette réalité est l’expression active de la vérité. »

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