Bonsoir cher Sandro,
Je ne dois ma visite sous ce beau papier (une fois de plus !) que grâce à un ami commun qui du fond de sa Wallonie m’a informée, moi qui ne vivait que de soleils redondants durant tout l’été...
Superbe texte, à ton habitude, qui nous confronte à la triste finalité de nos vies...
Ecrasés par une machine ou piétinés mille fois par des pas inconnus, finalement... Que sort envier vraiment ?
Nous ne sommes que peu de choses et bien peu, icic bas, réalisent à quel point ce « léger » détail est primordial.
Tu n’a rien perdu de ta superbe ! Le mot est là vivat et transperçant ! Merci cher Sandro.
Gül