aloha aloha 8 octobre 2011 01:00

Bonsoir cher Sandro,


Je ne dois ma visite sous ce beau papier (une fois de plus !) que grâce à un ami commun qui du fond de sa Wallonie m’a informée, moi qui ne vivait que de soleils redondants durant tout l’été...

Superbe texte, à ton habitude, qui nous confronte à la triste finalité de nos vies...

Ecrasés par une machine ou piétinés mille fois par des pas inconnus, finalement... Que sort envier vraiment ?

Nous ne sommes que peu de choses et bien peu, icic bas, réalisent à quel point ce « léger » détail est primordial.

Tu n’a rien perdu de ta superbe ! Le mot est là vivat et transperçant ! Merci cher Sandro.

Gül

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