Ariane Walter Ariane Walter 2 août 2011 12:58

Si jolie histoire Cennevive, merci de nous la raconter, elle sent, pour moi, les petits villages provençaux...
Oui, les maisons de retraite...Cela signifie tout de même que les familles ne s’occupent pas de leurs vieux. C’est une invention de notre temps de progrès.
Mais de grosses boîtes s’enrichissent avec ça.

ma mère, qui vit chez moi, a été hospitalisée un mois dans une clinique pour vieux. Oh ! le choc....Je sais que dans la ballade de Naramaya, quand les gens étainet trop vieux on les envoyait se faire manger dans la forêt...On n’en est pas là...mais dévoré par les dents de l’oubli, c’est encore plus triste.
mais je ne veux pas être mélancolique car votre texte est plein de joie, de retour vers son identité et la force de sa mémoire, vers l’amour de soi.

Merci et bien à vous.


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