"lors de l’insurrection ouvrière parisienne de juin 1848 il participa
énergiquement à... sa répression et se vanta d’avoir raffermi le moral
défaillant de la Garde nationale et commandé lui-même le feu contre les
ouvriers. Il est vrai que c’étaient, il le dit dans une lettre à sa
femme, de « pauvres ouvriers égarés ». Il fallait les ramener au bercail
par la mitraille : l’amour du peuple se confond parfois avec l’amour
vache."
Le Mutualiste décembre 2010