C’est de bonne guerre : il s’agit d’une sélection de faits, dans le sens qui vous arrange.
Légaliser l’euthanasie n’empêcherait personne de vivre une longue agonie, s’il le désire, ni de vivre celle de ses proches, s’ils le désirent.
Comment peut-on avoir de la « tendresse » pour un homme dans le coma mais pas pour les vivants qui souffrent ?