A partir du moment où on considérait qu’il était bon pour les Libyens de se libérer de la dictature du malade Khadafi, il était inconséquent de parler de « rebelles »
Pourquoi pas « libérateurs » ?
Mais le souci des justes mots pour les justes choses dans les médias « mainstream » , c’est pas encore pour demain.
Tout ça pour trouver comme patron du CNT celui qui a condamné les infirmières bulgares
Pauvre peuple libyen passé de la dictature d’un malade (qui avait pourtant fait de bonnes choses au départ) à la dictature d’actionnaires de trust pétroliers internationaux par marionnettes interposées.
Vous me direz que nous, en France, c’est aussi les principaux actionnaires de grands trusts internationaux qui nous dirigent par marionnettes politiciennes interposées