Vous écrivez :
« la loi dit
qu’il faut des preuves formelles
pour accuser et basta ! »
En droit académique peut-être, mais dans la pratique l’intime conviction suffit.
Mon article ne défend ni l’accusé, ni l’accusatrice, mais
critique la décision qui permet une absence de décision définitive.
Il n’est ni coupable, ni innocent, elle n’est ni victime, ni coupable.
Ceci dit, je vous rejoins sur :
« la notion universelle de justice. »
Il faut la défendre, mais je doute que cette décision s’en
approche.