L’Algérie joue un jeu trop trouble depuis des années pour s’en tirer à bon compte et plutôt que d’attendre à l’Est les prochains soubresauts des armées occidentales ferait mieux de surveiller ses arrières.
Il n’est pas certain que les multinationales du pétrole et de l’armement supportent très longtemps la mainmise d’une clique issue de l’indépendance sur les ressources du pays.