la désinformation avait peut-être cours uniquement dans les milieux des services secrets, mais depuis quelques temps, grâce à des gens comme vous, elle est le mot qui résume le mieux le milieux journalistique français, d’ailleurs le public (qui est le vrai employeur des journaleux), ne s’y trompe pas et boude de plus en plus les « informations » de la presse officielle.

2- Dans le cadre des médias ordinaires, ce mot de « désinformation » ne saurait être utilisé, sous peine de l’opposer à « information », comme « mensonge » s’oppose à « vérité ».

en effet c’est bien de cela qu’il s’agit, du mensonge permanent et de truquage délibéré de l’information

3- Or, une information n’est jamais qu’ « une représentaion plus ou moins fidèle de la réalité » et ne saurait être synonyme de « vérité », sauf chez les ignorants. Paul Villach

oui mais quand cette information est volontairement modifiée ou faussée comme les images de manifestant indiens soit-disant à Tripoli, il devient évident qu’on refuse la vérité et qu’on propage des mensonges.

j’espère que vous n’êtes pas vexé de ce cours de journaliste libre et honnête