vendredi 24 septembre 2021 - par Octave Lebel

2021/2022. L’écologie politique en France, un accouchement laborieux

Trop de politique politicienne et de tactique, pas assez de travail et de vision globale et stratégique. Est-ce sévère ?

Une fois de plus un pétard mouillé s’il s’agit faire avancer la connaissance et l’appropriation des problèmes relevant de l’écologie et l’examen raisonné et partagé des solutions, les articulations avec les problèmes économiques, sociaux et ceux du fonctionnement d’une démocratie ? Pour ma part je pense que les enjeux liés à l’écologie sont indissolublement liés à la maîtrise politique et démocratique du pilotage d’une économie mixte permettant à des citoyens correctement informés d’arbitrer le choix des objectifs et leur mise en oeuvre. Prenons garde à l’escroquerie qui voudrait faire croire que les problèmes écologiques par leur ampleur et urgence transcenderaient les choix de l’organisation politique des sociétés ou relèveraient essentiellement du progrès des sciences et d’une bonne utilisation des technologies.

Assistons-nous à la énième relégation à nouveau de la nécessité de ce travail authentiquement politique et fondamental qui aurait du être entrepris depuis longtemps par les cadres du parti entraînant du coup militants et sympathisants dans leurs querelles d’ambitions personnelles dont il restera bien peu de chose quand la poussière de la campagne électorale sera retombée. Et le jeu recommencera à la prochaine élection et la suivante ? A la recherche de nouveaux novices en politiques en demande de repères et travaillés d’inquiétudes légitimes, baladés par la houle médiatique sur laquelle navigueront probablement de nouveaux compétiteurs. À la poursuite du maintien ou du gain éphémère de quelques mandats de témoignage. Un peu de regret quand même pour une belle aventure humaine commencée ici dans les années 70, pleine de vie et de promesses. Et de tant de militants et sympathisants ayant beaucoup attendu et donné, perdus en cours de route, du moins pour les aventures politiciennes et partisanes. Un baume quand même, pendant ce temps les scientifiques travaillent, quelques élus loin des lumières labourent et sèment, nos concitoyens sur le terrain travaillent, expérimentent et innovent parce que la vie n’attend pas.

Et tout cela à un moment où les problèmes écologiques n’ont jamais été à la fois aussi bien perçus dans leur urgence et leur complexité que victimes de confusions malheureusement bien aidées par ces errances dont tire partie l’hypocrisie de ceux qui entendent préserver le plus longtemps possible leurs profits immédiats au prix de nuisances et de coûts supportés par le plus grand nombre et en premier lieu par les plus faibles. Si cela ne s’appelle pas rater le coche. Et bégayer aussi. Il semblerait que la leçon (interne et externe) apportée par la double expérience (candidature+ poste de ministre) de Hulot n’ait pas été tirée. Comment est-ce possible alors que l’on prétend éclairer l’avenir ?

Comment encore différer le travail de fond, âpre, difficile, exigeant de la construction d’un projet global aux enjeux enfin compris maintenant comme étant redoutables et urgents par nos concitoyens avec le jeu politicien de s’approprier quelques haut-parleurs électoraux en maintenant ainsi l’écologie politique dans un rôle d’éternel outsider, de mouche du coche du pilotage des structures économiques, financières sociales et politiques qui nous ont menés dans la situation actuelle. Certes pas en pleine conscience ni volonté délibérée de la part des dirigeants confrontés à la reconstruction matérielle et morale des pays après la guerre et bien sûr ne disposant pas des connaissances ni du recul et de l’expérience actuelle. Mais pourtant bien sourds aux avertissements nombreux et déjà anciens du monde scientifique et des pionniers de l’écologie politique. Hypocrites quand ils ont crié solennellement au feu tout en ne faisant surtout rien ou presque, préférant, mais c’est une seconde nature, les promesses apaisantes aux débats exigeants à ne surtout pas mettre à la portée de leurs concitoyens. Mais depuis le temps on aurait pu attendre aussi un peu plus de lucidité et de cohérence de la part de ceux engagés dans l’écologie politique.

Concernant l’écologie il y a maintenant des savoirs et des diagnostics difficilement contournables mais régulièrement transmutés comme par une malédiction médiatique en querelles caricaturales et clivantes servant de jeux de pouvoirs et d’influence pour la plupart des partis, leurs états majors et leurs agents médiatiques. Déroutant nos concitoyens, les rendant inquiets, méfiants mais aussi malléables. Contribuant à l’abstention tout en bénéficiant aux acteurs précités à la recherche permanente de sujets et thèmes les distinguant et les faisant médiatiquement exister sur fond de délabrement d’autant plus délétère de la représentation politique que ce petit monde semble en minimiser la gravité et fait semblant de ne pas en voir les causes ? Alors que le financement des partis politiques et des médias est hors de contrôle démocratique dans notre société, c’est à dire qu’il est sous le contrôle des leaders du CAC 40 détenteurs de la puissance économique et financière, la devant autant aux lois qu’ils réussissent à faire ou ne pas faire passer ou appliquer qu’à leurs talents propres, n’y-a-t-il pas pour l’écologie politique le moyen de se sortir de cette instrumentalisation ? Est-ce une fatalité d’apparaître comme une super ONG, adepte des raids sans lendemain, volontiers donneuse de leçons, méconnaissant souvent le terrain socio-économique vécu à hauteur d’homme, se trompant à l’occasion de cibles et priorités, agissant à contretemps et servant régulièrement de rampe de lancement à des ambitions aussi impatientes qu’éphémères ?

En jouant une fois de plus de l’ambiguïté dans un processus électoral dont les cadres du parti connaissent par cœur la mécanique. Dont ils savent par avance ce faisant qu’ils participent à retarder la reconstruction d’une gauche authentique pour les temps futurs. Qui a besoin de toutes les bonnes volontés, réflexions, expériences et compétences structurées autour des thématiques rappelées en début d’article pour être en mesure de gouverner le pays durablement et de mettre fin dans un premier temps à l’impasse démocratique que sont devenus nos institutions. Les évolutions et pratiques en découlant nous étouffent petit à petit en réduisant nos pauvres marges de manœuvre sans hésiter à violenter la démocratie si nécessaire. Pour mémoire les résultats contournés d’un référendum en 2005 portant sur une modification de la Constitution par un traité international, voulue comme devant être approuvée par le suffrage universel par le fondateur de la V°. Amenant par la suite certains à l’outrecuidance de traiter de populistes ceux qui réclament maintenant de toute urgence de nouveaux outils au service de la démocratie. Il est vrai que les prédécesseurs de nos candidats d’aujourd’hui (Jadot était déjà présent dans la boucle en préconisant le oui) avaient participé un peu piteusement à l’opération " zappons le référendum "contre l’avis de leurs adhérents et sympathisants de l’époque, comptant sur le temps qui passe et la mémoire qui flanche pour apparaître par après comme les chantres d’un avenir qui ne peut se faire bien entendu sans eux. Tout se pardonne à qui reconnaît ses erreurs. Avec beaucoup de discernement si on n’a pas une vocation de victime éternelle. Faut-il évoquer aussi plus récemment la clairvoyance des cadres du parti devant la protestation des gilets jaunes ?

« Pour engager des transformations politiques d’envergures, les citoyens ont besoin de responsables politiques courageux, qui ont eux-mêmes besoin de citoyens par millions pour les soutenir…Mais ces alliances élus-citoyens ne peuvent tomber du ciel. Je ne peux imaginer que des millions de personnes se mobiliseront pour contraindre leurs gouvernements à mettre en place une politique zéro-déchets, la réorientation des subventions agricoles vers le bio, si elles ne sont pas un minimum impliquées dans leur propre quotidien. Je n’imagine pas non plus que des leaders politiques d’un genre nouveau émergent s’ils ne sont portés par des mouvements sociaux. Les deux stratégies-agir au quotidien et politiquement-ne peuvent être dissociés à moyen et long terme » (Petit manuel de résistance contemporaine p. 41, Cyril Dion, Domaine du possible, Actes Sud 2018).Pour l’heure, désolé, il me semble que ce serait très mal parti s’il fallait encore se faire prendre dans les filets de nos rabatteurs du jour en oubliant ce qui s’est passé en 2017.

La tristesse passée et l’amertume avalée, pensons que ce ne sont que des péripéties qui occuperont toute l’attention des médias et que ceux qui s’y prêtent, pour le coup finiront par disparaître de nos mémoires et peut-être plus tard voudront bien travailler à l’œuvre commune là où leurs compétences leur apporteront un juste sentiment d’utilité sociale. Ne nous laissons ni distraire ni ébranler. Cela dépend de nous, de notre réflexion et de notre lucidité à ne pas être une fois de plus les alouettes de ce qui peut être si nous le voulons résolument la dernière élection de ce type dans cette forme.

Ne perdons pas de vue non plus que cette élection est de fait la seule élection européenne qui contienne un peu d’énergie démocratique puisque que nous y élisons l’exécutif du pays mais aussi l’exécutif qui siégera en notre nom dans l’instance législative européenne qui cumule de manière exclusive pouvoir exécutif et législatif sous la tutelle de la Commission.Tandis que les parlementaires (scrutin à un tour de listes bloquées à la discrétion des partis) démunis de l’initiative législative de fait commentent et valident peu ou prou ce qui leur est présenté pour l’essentiel comme incontournable. Soyons juste, ils rédigent aussi beaucoup de rapports, il arrive qu’ils gagnent un combat, durablement espérons-le et aussi qu’ils mettent fin à ce qu’ils avaient d’abord laissé passer comme le financement par l’UE de la flotte de pêche électrique des Pays-Bas que nous avons payé. Cette élection est aussi celle de la possibilité d’une alternative aux politiques publiques dont le contenu et le cadre sont déjà prévus par l’UE (covid ou pas qui oblige surtout à en modifier la présentation et les éléments de langage).Décidés par un pouvoir oligarchique supranational (comment l’appeler autrement ?) que nous avons refusé en 2005 et qui se cache derrière la Commission, la BCE et la Cour de Justice de l’Union Européenne. Nous laissant quelques degrés de liberté juridique et accommodements locaux circonstanciels. Et nous installant en tant que citoyens en constants décalages avec ce qui se décide concernant la vie économique et social du pays.

Vaut-il mieux avoir le sentiment de participer et choisir en famille entre le candidat Jadot, un peu caméléon, recommandé par Cohn Bendit, qui sans illusion semble surtout préparer son avenir pour l’étape d’après et la candidate Rousseau qui apporte un catalogue impressionnant de propositions pertinentes, partagées d’ores et déjà au-delà du parti, dont on voit la nécessité de l’ancrage dans un vaste rassemblement politique et populaire pour pouvoir être pris en compte. Et se retrouver ensuite dès le premier tour achevé impuissant à observer à loisir deux champions concourant pour la préservation de la chimère libéralisme/néo-libéralisme /social libéralisme se chamaillant en masquant leur accord sur le fond. Pour, une fois au pouvoir, faire en sorte que ce qu’il faudra bien concéder aux attentes et nécessités de l’écologie ne remette en cause dans la redistribution des richesses produites et le fonctionnement des institutions ni la part et la puissance des grands actionnaires ni leurs capacités d’influence décisive sur la société.

Ou alors vaut-il mieux participer à la reconstruction d’une gauche authentique et durable parce qu’effectivement nous avons besoin selon les mots mêmes de Sandrine Rousseau d’une « radicalité écologique et sociale ». Ne nous y trompons pas, derrière la compétition des personnes et des mouvements et la multiplicité des candidatures, il y a pour la plupart des candidats un consensus implicite qui est de préserver et de renforcer si possible les rapports de force socio-économiques actuels. Ce qui ne doit bien entendu pas être dit ni surtout compris par le plus grand nombre. Certaines élites en même temps sont tellement confiantes qu’elles n’hésitent plus à passer d’un parti à l’autre en se ménageant des passages aux postes de direction des poids lourds de l’économie, dans les institutions socio-économiques et les ONG. Difficile de ne pas voir que pour quelques-uns l’écologie politique ne soit devenue une aventure et un passeport.

Laissons tomber les faux-semblants. Nous sommes à l’aube de l’élection centrale de nos institutions. Aujourd’hui comme hier, LFI n’est pas la solution mais fait partie de la solution. En l’absence de soutien suffisant à son égard au premier tour sera scellée la perpétuation d’une situation qui nous enfonce depuis 4 mandats maintenant. Avec son expérience politique, la synergie des générations présentes, son potentiel, ses capacités de mobilisation, le travail effectué sur tous les champs dont l’écologie, elle représente un véritable danger pour l’establishment politique et les vrais maîtres du jeu que sont les puissances économiques et financières qui ne sont pas des monstres imbattables mais des êtres humains comme chacun d’entre nous. Soumises à la volonté générale quand celle-ci prend conscience d’elle-même et s’exprime à travers l’intelligence collective qui donnera sa pleine mesure dans une démocratie authentique, forte et maîtrisée. À construire et défendre sans ne jamais plus baisser la garde.

Aucune illusion ni naïveté à avoir. Par le cercle des dernières puissances citées, le cercle des médias qu’elles contrôlent, le cercle des élus et de la haute administration sur les carrières desquels elles pèsent, un véritable cordon sanitaire antidémocratique a été mis en place pour disqualifier LFI, notamment par l’attaque de la personne de JLM mais à l’affût aussi de tout événement à exploiter. Il y a là un bel exercice de manipulation récurrent réconciliant le loup et l’agneau comme par miracle. La surprenante, tenace et soudaine unanimité de musiciens d’ordinaire concurrents devrait nous mettre la puce à l’oreille. De même que le niveau sonore des tambours médiatiques et la durée exceptionnelle de leurs résonnances. Parce que bien plus redoutable que le mouvement en soi, ce sont le travail de réflexion et de propositions politiques dont s’emparent nos concitoyens, la montée en puissance d’une aspiration démocratique, la volonté d’être pris au sérieux et respectés, d’être sérieusement informés qu’elles redoutent et dont elles savent très bien que c’est le début de la fin de leurs pouvoirs occultes et pratiques politiques à l’abri du brouillage généré par les médias.

A nous en toute liberté de conscience et autonomie, non démunis ni résignés devant la triste mécanique du scrutin que nous subissons de nous affranchir de la comédie des états majors politiques et des mises en scène des médias. À nous de garder raison et sang-froid en toutes circonstances (il va en falloir) pour connaître un second tour décisif permettant un réel choix nous sortant de notre impuissance de citoyens et le pays de l’ornière où l’ont mené ceux qui s’affichent les réformateurs du jour en n’osant même pas décliner leurs bilans et responsabilités respectifs .

C’est bien au premier tour que l’on gagne en votant non pour le candidat de son cœur mais le mieux placé qui propose une véritable alternative afin de permettre à une coalition de gauche authentique de prendre ses responsabilités en commençant par une réforme en profondeur de nos institutions pour que plus jamais quelqu’un que nous avons élu puisse se retourner contre nous et faire une politique à nos dépens. Vous serez d’accord, il faut d’urgence régler ce problème une fois pour toute.

Ce petit jeu ne durera plus longtemps parce que ceux qui sont habitués ou à la merci de fins de mois difficiles, à l’insécurité et l’humiliation sociale, à la relégation culturelle loin des bénéfices de la formation initiale et continue pour eux et leurs enfants, ceux qui connaissent les combats portés et gagnés et à quel prix au présent et dans l’histoire et savent comparer, les militants de cœur et de raison abusés mais non résignés, ceux qui pensent que l’équité sociale est le moyen et l’objectif central d’une authentique démocratie, ceux qui n’ont pas encore renoncé à une république de citoyens éclairés et responsables ni à la place de notre pays et de notre culture dans l’histoire du monde, ne sont plus dupes de ces jeux bien vivaces de politiciens déterminés à se maintenir envers et contre tout et de se passer la main d’une génération à l’autre. Encore et encore.

Prenons garde aussi de stopper de toute urgence l’entreprise de dévitalisation de la grande institution qu’est le service public de l’Education Nationale qui permet l’acquisition individuelle et collective des savoirs, la maîtrise de leurs usages, la possibilité d’une autonomie intellectuelle et l’existence de dynamiques personnelles et sociales qui revitalisent en permanence nos sociétés dans le mouvement des générations. Ce danger est mortel pour la vie d’une démocratie. Plus de temps à perdre, tournons la page, nous avons tant à faire.

 

Repères : Quelques éléments déjà postés en commentaires précédemment.

Il suffît de 20 à 22% de voix pour se trouver au second tour avec le RN ou un substitut engendré par les circonstances, déguisés en repoussoir et servant d’assurance-vie au système. Je n’invente rien, nous avons déjà été piégés 2 fois. 10 à 12% de voix indécises qui se dispersent au premier tour grâce aux candidatures multiples suffit à faire fonctionner ce système. Dans ce contexte, s’abstenir au 1er tour est aussi, souvent à son insu, un bon moyen d’aider la charnière droite et extrême droite.

D’où l’importance si on veut pouvoir se faire entendre au second tour d’éviter la dispersion des voix au 1er tour au besoin en oubliant le candidat de cœur naturel ou les fidélités nostalgiques qui nous ont fait perdre la dernière fois.

Détourner des voix à gauche, un petit nombre suffit pour mathématiquement faire la courte échelle à la charnière droite/extrême- droite au second tour. Faut-il encore préciser que ce qui se cache actuellement sous les termes social-démocratie et social-libéralisme, se faisant élire sur des promesses et attentes de gauche et menant des politiques de droite, est justement là pour ça et grappiller aussi dans la foulée quelques mandats ou parachutes confortables ? Et c’est gagné, l’avatar du moment de la préservation des fondamentaux du libéralisme versus néo-libéralisme versus social libéralisme versus éléments de langage de campagne électorale sera servi. Et si, oh miracle, cela marcherait cette fois-ci pour la nébuleuse d’extrême-droite au second tour, ce serait un peu dérangeant pour quelques carrières, cela tanguerait un peu à l’italienne, il y aurait de l’instabilité mais au bout du compte l’essentiel serait préservé comme on a pu déjà le voir là bas.



58 réactions


  • Clocel Clocel 24 septembre 2021 08:18

    Il faut être un sacré zélote pour avoir encore foi dans la « démocrassie » ?

    A propos des écolos : Sandrine Rousseau, vu par Éléments.


    • Octave Lebel Octave Lebel 24 septembre 2021 09:40

      @Clocel

      De la part de l’extrême droite dont la fonction est d’être l’assurance vie de ce bon vieux système qui l’utilise comme un sparring-partner, c’est un compliment qui me va droit au cœur. Bonne journée.



    • Clocel Clocel 24 septembre 2021 09:53

      @Octave Lebel

      L’état lamentable de ce pays ne doit rien à « l’extrême-droâte » qui n’a jamais été au pouvoir , faites votre examen de conscience et cessez d’étaler votre merde sur le dos des autres.


    • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 10:03

      @Clocel
      Un peu si car la LREMie et ses alliés sont passés au-delà de l’extrême droite. Ils sont devenus l’extrême extrême droite.


    • Octave Lebel Octave Lebel 24 septembre 2021 11:42

      @Clocel

      Mais si l’extrême droite est au pouvoir par délégation. Depuis 2002. Elle est bien le marche-pied de la droite. JMLP l’a même théorisé après l’élection de Chirac en 2002 en disant que la fonction de son mouvement n’est pas de gérer le pouvoir ni les affaires mais de faire avancer quelques idées. Et cela a marché. Sarkosy en a fait la démonstration sans réussir le doublet. Si cela, ce n’est pas servir la soupe. C’est exactement ce que font la tante et la nièce qui apportent des variantes au menu. Et maintenant Zemmour entraîné dans l’équipe réserve par Bolloré au cas où.

      Concernant le lien sur Sandrine Rousseau, vous ne pouviez pas mieux faire. Ce qui est dit, ce sont exactement les mots et thématiques, le ton que partage la droite et l’extrême droite. Il faut se méfier des élans du cœur, ils nous trahissent.

      Passons. Concernant Sandrine Rousseau, pour en savoir plus ni dans le soutien militant ni la disqualification haineuse, la fiche wikipedia où l’on apprend beaucoup de choses utiles à savoir qui nous restitue la complexité des personnes pour se faire sa propre idée.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Sandrine_Rousseau


    • Yann Esteveny 24 septembre 2021 13:48

      Message à avatar Clocel,

      Je vous cite : « (...) faites votre examen de conscience et cessez d’étaler votre merde sur le dos des autres »
      Réponse de l’auteur de l’article : « Mais si l’extrême droite est au pouvoir par délégation.(...) »

      Peut-être est-ce le mot « conscience » que l’auteur ne comprend pas ?
      https://www.youtube.com/watch?v=FYV2kzUmW9Y

      Respectueusement


    • zygzornifle zygzornifle 24 septembre 2021 14:09

      @Clocel
       
      sans drine ou avec drine ou sang drine ou 100 drines on a le choix ....


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 15:14

      @Octave Lebel Pour moi, Rousseau se rapproche sans le vouloir consciemment d’une idéologie nazie, mais en miroir (ce n’est plus le juif, mais le patriarcat qui est visé, celui qui détruit la nature et viola Gaïa. La national-socialisme n’était-il pas d’essence homosexuelle (la glorification virile du corps, le modèle apollinien du bellâtre (ils ont même imaginé des Lebensborn pour produire une race parfaite : cheveux blonds et yeux bleus) l’amour de la nature , (Hitler était Végan), l’incessante obsession pour la pureté de la race (ce qui ressemble fort à une psychose obsessionnelle). Jonathan Littell a abordé le thème la question de l’homosexualité et du nazisme. Daniel Cohn Bendit, n’a pas du tout apprécié la lecture de Bienveillantes Oui des homosexuels furent persécutés, mais c’était surtout les GAYS (passifs, grandes folle et donc féminin). L’homosexuel viril par contre n’était pas poursuivi. dire que Zemmour en étant homophobe est d’extrême me paraît assez incongru. Dans la mythologie, Gaïa était violée par Uranus (l’arc-ciel). Pourquoi les homosexuels ont choisi ce symbole. ARIAN GAY. https://www.unidivers.fr/gay-arianhomofascisme-homosexuel-nazi/


    • Xenozoid Xenozoid 24 septembre 2021 15:16

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      aie aie aie aie aie !!!!!!!!!!!!


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 15:18

      un extrait qui fait réfléchir : dans notre civilisation narcissique :Corps (ARC). Comme le montrent certains travaux du pornographe Bruce LaBruce, la conception est simple : la race blanche est supérieure aux autres, l’homosexuel blanc est le maître de la race maitresse. De fait, elle diverge avec la vision des leaders européens homosexuels d’extrême-droite modérée comme Pim Fortuyn ou Jorg Haider.


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 15:24

      L’ARCadie n’était-elle pas un paradis PAN germanique. Très bon article : ARCADIE : homosexualité et éthique : https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=AUTRE_JACKS_2009_01_0130


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 15:31

      L’idéologie nazie était bien celle de Baden Powell et des scouts...


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 15:45

      Je m’excuse, mais cela devait être dit.....


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 16:06

      Et voilà qui signe la schizophrénie de Dame Rousseau : la naturaliste est pour la PMA


  • malhorne malhorne 24 septembre 2021 08:33

    Rien n’arréte Sandrine

    rien ne justifie

    elle marche sur l’eau elle évite les péages...............................................

    Osez Osez la Sandrine Osez Osez la Sandrine...................♫ ♫

    Miss Sandrine , poisson ascendant capricorne , comme Jésus parait-il !!

    Si je votait écolo , je voterais pour elle , c’est sûr !! Jado me parait fade et opportuniste ; mais la derniére fois que j’ai voté écolo , remonte a l’époque de Mr Dumont..................... !!!


  • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 09:50

    Sectaires, irréalistes ; ils font le jeu des politicards qui s’en servent pour imposer des mesures draconiennes et liberticides. Les idiots utiles, quoi.

    Bientôt, les restrictions de circulation, l’abandon du nucléaire et, en même temps, suppression du chauffage fuel, gaz et bois.

    Mais comment vont-ils se chauffer, recharger les batteries de leur voiture électrique, de leur smartphone, Ont-ils des éoliennes ou des panneaux solaires sur leur toit ?

    L’écologie est un problème de politique entre les dirigeants et les pays fournisseurs de pétrole et de gaz. C’est le seul problème.

    En revanche, s’occupent-ils de la pollution chimique, des pesticides, de la pollution exportés dans les pays du tiers monde ? Eh ben, non.

    C’est pourquoi ils utilisent les jeunes qui sont devenus incultes grâce à l’éducation et qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, les politiciens écolos cherchant uniquement le pouvoir ..... de nuire.


  • pierrot pierrot 24 septembre 2021 10:27

    L’écologie est un sujet trop important et complexe pour le laisser aux mains des écologistes ignorants en tout (sciences, chimie, ...).


    • ETTORE ETTORE 24 septembre 2021 22:10

      @pierrot
      L’écologie est un sujet trop important et complexe pour le laisser aux mains des écologistes ignorants en tout (sciences, chimie, ...).
      .......
      Par contre vous, l’hyper scien-ceux, je vous vois bien en éolienne !
      Mais si vous savez, ce truc, composé d’un tronc, et de pâles qui tournent, et qui ne produit qu’occasionnellement, ......quelque chose.
      Mais surtout, surtout, ce qui fait que vous ressembliez énormément à ces machins à ventS, c’est le gyrophare à leur sommet !


    • yakafokon 28 septembre 2021 07:42

      @ETTORE
      C4est sûr qu’il vaut mieux s’occuper des ours et des loups dans les Pyrénées, et des « ventilateurs » géants que l’on voit fleurir dans nos campagnes, que de s’occuper du sort du pays, et de notre appartenance à l’Union Européenne !
      Déjà, c’est plus reposant. Ensuite, ça ne demande pas un gros effort intellectuel !
      C’est comme pour les chercheurs : comme disait Coluche « des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Mais de chercheurs qui trouvent, on en cherche ! »
      Pour les chefs d’état, des vrais, c’est exactement pareil !
      A part François Asselineau, qui se détache nettement du lot, et qui bien-sûr est interdit de plateau télé par le C.S.A. !
      www.upr.fr


  • troletbuse troletbuse 24 septembre 2021 10:32

    Une idée écologique :

    Faire une salle de sport dans son sous-sol avec vélos, steppeurs, rameurs adaptés pour fournir de l’électricité et employer gratuitement des migrants smiley


    • Clocel Clocel 24 septembre 2021 10:43

      @troletbuse

      Recyclage, mode écolo, ou comment faire chier le monde avec des merdes au-delà de leur durée « d’usage ».

      L’astuce est bonne, ça deviendra un déchet urbain dont le retraitement sera à la charge des cons-tribuables...


  • PascalDemoriane 24 septembre 2021 11:10

    Bon, ce que vous appelez pompeusement « écologie politique » n’est donc finalement, l’article tout bien lu, qu’une économie électorale spéculative et court-termiste qui table sur Marine La Peine (alias Ma Reine Lapine) pour servir de repoussoir à vos espoirs surannés et petit-bourgeois d’une gauche alternative recyclée. Alternative qui consisterait à verdire le totalitarisme banco-centriste covido-macronien pour le décliner en climato-macronisme, ou en sociétalo-macronisme avec pass-sociétal-vert, on le sent venir avec des gros sabots ! On le sait car cela se voit : EELV coche toutes les cases du projet dont macron est le nom, certains disent le N.O.M... Le reste...

    Bien, mais, ce qui est toujours frappant chez certains comme ici, c’est cet emploi inconscient quasi obscène du « Nous » ambigü dans le texte qui me semble relever d’un trouble mental psycho-linguistique collectif tant c’est récurrent : Qui Nous ? vous êtes ici en public ouvert, par dans l’entre-soi de votre club écolo-gaucho-chimérique auto-narratif. Votre « nous », tous respects et égards gardés, n’est pas le nôtre figurez-vous !
    Confusion référentielle qui caractérise le gauchisme infantile tardif de boomers, comme un egocentrisme inconscient qui se pense comme centralité (sur-moi) de sa latéralité (être du bon côté gauche de soi-même), sorte de sinistrose schizoïde et hémiplégique qui cherche à marcher droit en équilibre sur deux pieds gauches... à côté de ses pompes, du réel.
    Conscience écologique bien ordonnée et bien accouchée (!) ne commence t-elle pas par la saine re-latéralisation psychique de soi-même ? Donc par une radicale abolition mentale des catégories politiques binaires aliénantes ?
    Des « Nous » qui ne sont que des « anti-Vous » chimériques.


    • Octave Lebel Octave Lebel 25 septembre 2021 11:03

      @PascalDemoriane

      " c’est cet emploi inconscient quasi obscène du « Nous » ambigü dans le texte qui me semble relever d’un trouble mental psycho-linguistique collectif "

      Vous faites partie de ce nous. Nous sommes tous sur le même bateau, apportant à sa marche notre contribution modeste ou grandiose si je me fie à la hauteur de laquelle vous vous adressez à nous. Emportés que nous sommes vers le cap qu’une petite partie d’entre nous décide en fait sans nous.

      Autrement docteur, qui pratiquait le diagnostic à distance, ne pensez-vous pas qu’une bonne marche matinale fait du bien, vespérale aussi si cela vous convient mieux. J’attends vos conseils.



  • wagos wagos 24 septembre 2021 11:33

    Ren que le mot « écologie politique » ça augure d’un triste monde , l’air que nous respirons est donc politique ? l’eau que nous buvons l’est-elle également ?....les arbres sont-ils de droite ou de gauche ? les vaches , les moutons et chevaux votent pour qui ?

    Le lilas blanc royaliste et la rose socialiste ? ben dites donc, ces années 2000...pffff c’est encore pire que ce l’on imaginait....que des dingues qui veulent nous imposer leurs lubies ! 


  • tashrin 24 septembre 2021 12:27

    ils deviendront (peut etre) crédibles lorsqu’ils feront preuve d’un minimum d’ouverture intellectuelle, de réalisme, et de considération pour les gens qu’ils prétendent gouverner. 

    Jusqu’à présent, ce qui nous est donné à observer, ce serait plutot du dogmatisme indécrottable faisant fi des réalités pratiques (venez circuler en agglo lyonnaise, vous comprendrez rapidement), une tendance indéniable à taper sur ce qui est le plus facile (les particuliers, les automobilistes) plutot que sur ce qui serait plus efficace (les industriels), et le tout avec une condescendance et un mépris que ne justifient même pas de quelconques résultats.

    On sera cuits avant que cela se produise...


  • zygzornifle zygzornifle 24 septembre 2021 14:06

    Ecologie punitive qui deviendra rapidement répressive si elle prend de l’ampleur ....

    Ce sont des ayatollah, le male Jadot se contient mais la femelle est hallucinée, on la croirait sous champignon Mexicain, elle va réussir a faire fuir l’électorat modéré ....  


  • Clark Kent Docteur Faustroll 24 septembre 2021 15:50

    Le mouvement « écolo » en France est un produit d’importation qui ne correspond à aucune réelle sensibilité nationale. 

    Les deux modèles sont :

     die grünen en Allemagne, qui sont, eux, un véritable courant culturel hérité de la grande tradition naturaliste allemande : Lien1

     le greenwashong américain lancé à l’époque de Clinton par son vice-président Al Gore qui en a fait un business florissant

    Comme pour toute toute greffe, le succès n’est jamais assuré et le rejetest fréquent.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 16:21

    Concernant les nazis, on parlait de chemise brunes (on ne peut être plus clairs...). Et concernant la planète qui certes est bien un danger, je dirais : Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas... Et comme la bas est assez pourri....C’est le mental qu’il faut guérir, la nature suivra.. concernant le mouvement vert en Allemagne : lire les deux arbres du jardin de JARDIN de Janine Chasseguet Smirgel..


    • yakafokon 28 septembre 2021 07:58

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      En parlant de chemises brunes, c’est bien aux Etats-Unis qu’on peut défiler dans les rues de New-York ou de Washington en uniformes de la waffen-SS, avec le brassard à croix gammée sur le bras gauche, sans se faire arrêter si on ne trouble pas l’ordre public ?
      Essayez donc de faire ça dans les rues de Moscou, et vous ne ferez pas dix mètres sans vous faire lyncher, avant d’être arrêté par le F.S.B. !
      C’est la différence entre un pays qui n’a jamais connu la guerre puisqu’il l’a toujours faite chez les autres, et un pays qui en a connu les horreurs !
      Mais il arrive le temps où les Etats-Unis à leur tour, vont goûter aux délices de pluies de missiles hypersoniques qu’ils seront incapables d’arrêter !
      Sauf s’ils arrêtent leurs conneries une fois pour toutes !


  • Esprit Critique 24 septembre 2021 16:22

    Grace à Sandrine Rousseau, L’amie de Jean Pierre Delon, on sait maintenant que le changement climatique, est dû aux actes racistes, misogynes, homophobes, et autres des màles blancs. L’écologie politique atteint en effet le stade d’une maladie mentale, c’est une forme de reconnaissance !


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 16:45

    La mythologie est éclairante : Gaïa qui ne supportait plus les assauts d’Uranus, l’uranien(qui haïssait ses enfants) des Hécatonchires, demanda à Saturne de castrer son père. Et c’est ainsi que le climat et les saisons retrouvaient leur rythme (un temps pour chaque choses). Avec la théorie du gender, de l’écriture inclusive (essayez d’écrire un poème en écriture inclusive,.), c’est le chaos mental et climatique. CQFD. Et en plus en castrant son père, de son sperme émergea Aphrodite (Et dieu créa la femme). 


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 24 septembre 2021 16:53

    Saturne est bien sûr associé à la judaïcité : Son jour le samedi (jour de Shabbat). La circoncision étant le symbole de l’impossibilité pour la femme d’être un homme et l’homme, une femme. Raison pour laquelle les nazis détestaient les juifs. Eux qui rêvaient de fusionner avec la mère nature, il voyaient dans les juifs, celui qui sépare l’enfant de sa mère (Et voilà pourquoi les nazis brûlèrent les livres, la connaissance qui relève du domaine paternel (nature, culture). FAHRENHEIT..


  • JMBerniolles 24 septembre 2021 18:51

    C’est une espèce de complainte indigeste où absolument rien n’est défini :

    Qu’est ce que l’écologie politique par rapport à la défense de l’environnement ?

    A quels problèmes environnementaux urgents fait-on allusion ? on imagine que c’est le problème du Climat, thème ultra manipulé à des fins politiques dont la catastrophisme est basé sur des « prévisions » d’experts sélectionnés et non sur des réalités [par exemple dans les années 2000 les sautes de températures à la surface terrestre sont dues à El Niño qui n’a rien à voir avec le CO2). A ce niveau l’écologie politique pratique le suivisme des puissants intérêts qui tirent les ficelles de la propagande climatique.

    Les grands scientifiques de l’écologie ? ce serait mieux de donner des exemples concrets de noms et de travaux associés faisant autorité.....

    Dans la réalité l’écologie politique n’a rien à voir avec la défense de l’environnement (qui a sa raison d’être naturellement). C’est un vecteur de carrière politique pour une palanquée de personnages peu instruits, totalement ignares sur les questions scientifiques..  Et un instrument du pouvoir pour la destruction de notre pays, les taxes, les interdictions....

    En fait l’écologie politique estau pouvoir depuis 30 ans. Avec une lignée de « cas » depuis Corinne Lepage jusqu’à B Pompilli en passant par D Voynet, C Duflot .. Et l’imposteur N Hulot. Quand on pense que ces gens là on la main sur notre Industrie ... 


  • ETTORE ETTORE 24 septembre 2021 22:32

    L’écologie ?

    Voyez à Palma, un volcan entre en irruption, et bien sûr, c’est la désolation, des cris, des pleurs, des peurs, ....La nature est indigne, la nature est méchante, la nature ne respecte rien, même ceux qui ont construit leurs demeures, juste au pied du volcan, qu’ils s’étaient jurés de garder .....Colmaté.

    Et vous voulez que l’écologie raisonnée, soit l’enfant accouché, par cette civilisation, qui ne comprend plus rien à la nature, depuis qu’on lui fait croire, que la toute puissance humaine, peut dompter un monstre naturel, qui se fout totalement des réactions de ces puces qui grouillent sur son dos ?

    L’écologie, celle que l’on nous sert, ad nauseam,sur des plateaux apéritif télé, est une écologie de façade, qui montre sa couleur verte, sur le dehors de ses feuilles,, mais son coeur, est bien rouge.

    C’est l’écologie politique, et la mention même, de cet accouplement contre nature, révèle bien qui est l’esclave de l’autre et à quelles fins.

    Vous voulez des écologistes bon teint ?

    Vous ne les trouverez pas sous les nattes à Greta, elles lui servent de fixation au drapeau tapis VERT, des parieurs en bourse.

    Un aborigène australien, un nomade dans son désert, un pygmée dans sa brousse,

    ( et encore, si ils ne portent pas un tee shirt Nike) peuvent se réclamer « Ecolo », quoique, eux, se disent, simplement habitants de leurs terres.

    Les VERTS....C’est VERDATRE dans LEUR jardin, et que DANS LEUR jardin.

    Le reste....Parce que sorti de leurs clôtures mentales exiguës, le reste, ne les concernent pas.


    • yakafokon 28 septembre 2021 08:13

      @ETTORE
      C’est un peu pareil pour les sites classés SEVESO !
      A leur construction, des endroits éloignés des habitations avaient été choisis, en toute logique, les constructeurs n’étant pas idiots !
      Mais malheureusement, il y a eu des glissements de terrain qui ont rapproché les sites SEVESO des habitations ( ça reste à vérifier, bien sûr ).
      A moins que ce soient les habitations qui se soient rapprochées des sites SEVESO, et par-contre, ça, c’est vérifiable, et je suis vraiment très étonné que ce ne soit pas encore fait !


    • yakafokon 28 septembre 2021 09:47

      @ETTORE
      Vous avez raison : l’écologie française est déterminante pour la planète !
      La Terre est peuplée de 7.900.000.000 d’habitants et la France de 67.407.241 habitants, soit 67.407.241 / 7.900.000.000 = 0,008532562 ( soit 0,85 % de la population mondiale ).
      Autant dire que si nous arrêtons tout en France, les autres ne s’en apercevront même pas, et continueront à pourrir la planète !
      Vous pensez sérieusement qu’en brandissant des pancartes Place de la Concorde, vous aller obliger la Chine, l’Allemagne, l’Australie, à renoncer au charbon, et l’Inde, l’Afrique, et les pays les plus pauvres à renoncer au bois ?
      C’est une bataille perdue d’avance et c’est du chacun pour soi !


  • Old Dan 25 septembre 2021 07:35

    J’ch’ui d’accord sur le fond de l’article. Mais...

    ...Mais tant qu’une majorité de gens plus jeunes, moins stupides, n’aura pas vécu directement, ds sa chaire, une « catastrophe » en vrai*, le système politico-médiatico-électoral ne changera pas ! ( Et si c’est pas trop tard...)

    .

    *... une canicule, et 1 semaine sans eau au robinet, par ex.


  • LeMerou 25 septembre 2021 08:24
    L’écologie.

    Qui n’est pas quelque part « écolo », du moins pour une certaine génération à qui ont a enseigné certaines notions de respects, enseignements dispensés tant par les parents que par le monde scolaire dans les premiers temps.

    Ayant fuit depuis quelques années la métropole jacobiniste pour couler mes derniers jours heureux dans une douce campagne Française, cette immersion m’a fait voir deux « écologies ».

    La première est la plus bruyante, mondaine, de l’entre-soit, métropolitaine, constituée d’hommes et de femmes perclus de convictions plus ou moins réalistes, liées à leur mode de vie, dans ces métroples, abreuvés aussi d’informations, d’images en tout genre, s’offusquant très rapidement de telles ou telles dérives.

    Et s’auto-persuadant de mener de justes combats pour le bien de la planète, une écologie idéaliste, idéologique très largement influencée par leur lieu de vie, mais hélas complètement irréaliste.

    Triste spectacle, de les voir, prônant comme étant fondamental telles ou telles mesures globales aux résultats surrestimés, improbables et presque insignifiants au regard de leur mises en place. Mais cela satisfait leur ego. Je passe aussi sur les comportements végan, les actions de jardinage sur les toîts, la délectation du miel de ville, ou que sais-je encore. 

    Ils se regonflent, retrouvant des arguments après certains week-end, passés « à la campagne » après deux heures de TGV. Comme une visite au « zoo », s’ébahissant de voir vivre des gens dans la « nature », mais âppre pour retourner à la civilisation afin de mener de nouveau combats.

    De « l’idéalisme écologique » naît l’intransigeance, le diktat, l’autorité, voire même l’extrémisme, dont les actes sont basés uniquement sur de l’idéologie plutôt que sur de la science et de réfléchi.

    Puis la deuxième écologie, est « Provinciale », rurale même, silencieuse par habitude, par tradition, par une transmission continue des comportements, qui aux yeux de certains paraissent novateurs, normaux, voire sidérants.. Si, si je vous l’assure.
    Bien sur que ces doux lieux ne sont pas exempt de mauvais comportements, certes accentués pendant les périodes estivales. 

    Ainsi nous avons dans notre Pays une « écologie » constituée à peu près par 80% de personnes habitants 20% du territoire, qui veut mettre en place des mesures nationales, alors quelles ne concernent que leur territoire. La ville, la métropole.

    Ce n’est pas parce que tel ou tel représentant « écologique » à voyagé à travers le monde, ou à fait des actes, ou participé à tel ou tel mouvements, que sais-je, qui peux justifier sa légitimité.

    « Les verts », ont toujours été le siège d’idéalistes en tout genre, prônant tellement de solutions ou de mesures, qu’ils en sont devenus ridicules, absurdes et surtout complètement en dehors de la plaque.
    Si certes « ils » sont nécessaires pour rappeler cycliquement que l’impact de l’humain sur la nature est préjudiciable, les propositions pour les réduire sont hallucinantes.

    Comme si, une fois notre pays une fois complètement « vert », je vous passe évidemment les détails de notre mode de vie.
    Donc la France est devenue la contée ou il fait bon vivre, ce minuscule territoire de 70 millions d’habitants, représentant 0,45 % de la surface de la planète ne subit aucune influence des 99% du restant de notre chère Terre, devient même le modèle de vie aux yeux de tous.

    Non ! Soyons sérieux. 

    L’écologie, l’environnement sont des sujets importants, mais dont les impacts ont des conséquences tellement énormes tant sur le mode fonctionnement de la société de consommation, la finance, le mondialisme, que hélas, je pense que les mesures seront prises trop tardivement. 

    Tout d’abord parce que depuis des années ont nous gave que la planète va mal, que des phénomènes arrivent de temps à autres mais loin, que cela n’atteint finalement que peu de gens, que l’on nous prédit la fin du monde dans « X » années, et que l’humain n’a pas une vision si lointaine de tout ça.

    Et que le monde politique du moins chez nous n’a qu’une vision quinquennale des choses, que le monde financier n’est pas prêt à céder le moindre centimes pour se « verdir ».

    Faut-il laisser faire alors ?

    Non bien sur, c’est le boulot des « écolos », mais tant qu’ils ne seront pas pragmatiques, apportant des solutions sérieuses ayant un impact réels compatibles avec le monde économique, et non pas l’idéologie comme « chacun faisons un petit geste » même si c’est vrai, ce n’est pas là que se situe réellement le problème, ils ne seront pas pris au sérieux.


    Maintenant politiquement, les « verts » au regard de la caste qui dirige le Pays depuis très longtemps, ne sont qu’un pourcentage potentiel de votants, pour peu qu’on leur accorde la mise en place de quelques mesures, qui seront évidemment réduites par les sempiternelles contraintes budgétaires.
    Les mêmes « verts » descendant comme d’habitude dans la rue pour vociférer au scandale sous les regards amusés de la cate dirigeante, qui remettra dans cinq ans sur le tapis, le jeu de la considération et des mesures.


    Reste toutefois, hélas qu’à un moment le problème réel va surgir, mais quand ? Et il ne toucheras pas que nous. L’écolo-bobo Parisien ou Lyonnais, ou autre métropolitain se rendant à son travail de bureau aura bien d’autres soucis à résoudre que l’absence d’énergie qu’un jour gris et sans vent n’aura pas permis la recharge de sont vélo électrique, ni de son téléphone portable....et autres.
    Sans compter ceux qui viendront frapper à la porte de nos frontières....

    Bref..
      



  • ETTORE ETTORE 25 septembre 2021 13:11

    LeMerou

    Bravo !


  • charly10 25 septembre 2021 17:29

    Il y a de fortes chances que les écolos se rangent derrière ce qu’il y a de plus radical chez eux à savoir Mme Rousseau. C’est une habitude, et c’est à cause de cela qu’ils se ramassent à chaque présidentielle. Personnellement je n’ai pas attendu l’arrivée des mouvements verts pour avoir un comportement citoyen responsable en matière environnementale. Je suis avant tout pragmatique et surtout je n’ai pas qu’une seule lecture de l’actualité. Je suis un rural, conseiller municipal de mon village depuis 3 mandats, et au fait réel des problèmes liés à la nature, d’une famille possédant un vignoble en bio dans lequel j’ai encore quelques domaines d’actions ; Mais, Je ne voterai jamais pour des gens qui veulent m’imposer une manière de vivre à la façon des talibans Afghans.


    • LeMerou 25 septembre 2021 18:26

      @charly10
      Bonjour,

      Le jacobinisme Français à je crois, atteint son paroxysme, mettant en danger les restant du Pays. 
      L’Electorat Français est très majoritairement Urbain, ne voit que son problème d’urbain, il y en a c’est certain. Quand à l’autre partie du territoire, fréquenté que quelques week-end par an et pendant deux mois, ses problèmes sont bien vite oublié.
      Et pour que le métropolitain ait la conscience tranquille, tu verra fleurir un truc de 100 m de haut, destiné à recharger proprement le vélo électrique ou le smartphone des élus métropolitains, la masse votante.

      Bref les lois se font à Paris, et en matière d’écologie et d’environnement sont applicables quels que soit le lieu, surtout dans le zoo, rend toi compte 80 % du territoire occupé par environ 20 % de personnes. Epsilon..
      Tu devras changer ta voiture au fuel polluant pour une électrique, sans avoir de bornes de recharge sur ton trajet quotidien, elles seront d’abord mises en priorité sur les axes de transhumance. Ton, notre problème ne sont pas les leurs.

      Mais sont basé sur le grand principe de la solidarité.

      Un bon « vert » ne peut être que radical !


    • charly10 26 septembre 2021 11:27

      @LeMerou

      En ce qui concerne l’éolien, les responsables ne sont pas que les Urbains. Dans mon département nous sommes plus que servis. Ce n’est pas faute de me battre contre certains propriétaires de terrains et maires de villages sur lesquels sont implantées ces tiges qui défigurent le paysage. Rien n’est facile, tant les subsides proposés par les compagnies éoliennes poussent à la déraison.

      Autre problème ; l’arrêt de l’installation des chauffages fioul. Comment faire lorsqu’on a comme ressource que l’électrique, qui ne procurera jamais le confort de chauffage d’une installation centrale et qui a chaleur égale dispensée est 30 % plus chère.


    • mimi45140 27 septembre 2021 00:27

      @charly10
      Pour le chauffage on met un poêle à bois bûche moderne et performant et lorsque l’on vous téléphonera pour vous demander quelle énergie utilisez-vous pour vous chauffer vous pourrez répondre avec un poêle à bûche nouvelle génération ,votre interlocuteur n’insistera pas, cela n’est que mon expérience personnelle.


    • yakafokon 28 septembre 2021 08:25

      @mimi45140
      Sauf que pour répartir la chaleur dans toute la maison, il faudra installer un insert, des gaines calorifugées, des grilles dans chaque pièce, et un moteur électrique pour faire fonctionner le tout.
      Autre option : une cheminée avec une sole composée d’un réservoir d’eau, une installation de chauffage par radiateurs d’eau, et une pompe électrique pour actionner le tout.
      Dans les deux cas, l’électricité est nécessaire, mais une pompe de circulation ne consomme que 250 w.
      C’est une bonne opération ( après-tout, l’électricité est nécessaire pour s’éclairer avec des ampoules LED, pour la télé, l’ordinateur, le four, etc ).


    • mimi45140 19 octobre 2021 12:10

      @yakafokon 
      Il y a un certain temps je m’était posé la question de la sole avec un réservoir d’eau ,malheureusement l’avantage de faire de l’eau chaude génère l’inconvénient de refroidir le foyer,dans les cheminées moderne le phénomène de post combustion des imbrûlés viens de la haute température du foyer, une marque fait un poêle efficient en venant récupérer la chaleur sur le conduit de fumée, mais les quantités chauffées sont très limitées, je suis d’accord que la position du poêle dans l’habitation est très importante et pas facile à gérer dans tous les cas.


  • JMBerniolles 26 septembre 2021 11:30

    Il est important de comprendre que l’ « écologie » ne peut constituer la « colonne vertébrale » d’un programme de gouvernement, ce qui est notamment la chimère du programme l ’ Avenir en commun.

    Avec les ravages que fait le néo libéralisme dans les pays occidentaux qui commencent à provoquer des pénuries, l’action gouvernementale doit se focaliser sur la production, pour garantir l’approvisionnement alimentaire et énergétique, sur le développement du pays, de ses infrastructures, mais aussi du secteur de la santé et des avancées sociales...  (c’était le programme du CNR qui nous a conduit à une période faste de notre histoire)

    _> En ce moment par exemple la Grande Bretagne souffre de problèmes d’approvisionnement alimentaire, son réseau électrique est au bord de la rupture, pas seulement à cause de la rupture d’un câble à courant continu la reliant au réseau européen mais aussi à cause d’investissements absurdes, avec blanchiment d’argent sale, dans l’éolien en négligeant le reste....... (les EPR d’Hinckley Point viendront détendre la situation montrant bien l’importance incontournable du nucléaire aujourd’hui)


  • clt 26 septembre 2021 17:02

    Le fond et donc l’analyse paraissent justes. Il faudrait ajouter que l’écologie ne peut être l’apanage d’un seul parti puisque son incidence nous affecte tous.

    Pour produire un réel changement dans les institutions et produire une véritable défense de la nature en dehors de zélateurs professionnels de la politique verte, produire une nouvelle constitution est indispensable.

    Claude Taibi


  • Les écolos des villes et les écolos des champs .

    Les écolos des villes sont tout électrique donc notoirement des pro du nucléaire mais par manque de courage pro du plastique.

    Les écolos des champs sont partagés en l’électrique , le gaz , pétrole, plastique .

    Comme ils subissent notamment les conséquences des conneries des chasseurs . Ben ils utilisent des insecticides et des ...... !

    Enfin tout cela est une vaste fumisterie comme la vaccination très pratiquée chez les écolos .


  • yakafokon 28 septembre 2021 07:20

    L’écologie est un sujet extrêmement important, que dis-je : primordial !

    La France à elle toute-seule, va régler les problèmes écologiques de toute la planète !

    C’est simple : l’Inde, l’Afrique, la Chine, l’Allemagne ( charbon ), l’Australie ( 1er exportateur de charbon ), vont se plier aux ordres d’un pays qui, au plan démographique mondial ne représente quasiment rien ? Si vous y croyez, pas moi !

    Pendant ce temps-là, les vrais problèmes économiques rencontrés par notre pays, à savoir notre appartenance à l’Union Européenne, à l’euro, et surtout à l’OTAN, ne sont évoqués dans aucun média.

    Seul François Asselineau depuis 14 ans, tente vainement d’alerter les français, mais il est totalement banni des plateaux télé, contrairement aux amuseurs publics habituels, qui n’ont aucune connaissance en géo-politique, comme Jean-Luc Mélenchon, Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen, et bien sûr Emmanuel Macron, le Roi-Soleil, entre-autres !

    Le sort de notre pays n’est plus de notre ressort, mais dépend de la Commission de Bruxelles et de la Banque Centrale Européenne, de l’OTAN, donc des Etats-Unis !

    Il ne nous reste que des broutilles, comme la protection des ours et des loups dans les Pyrénées ( vous savez, ces animaux arrachés de force à leur habitat en Slovénie, et introduits de force dans les Pyrénées où ils avaient été éliminés pour ne pas nuire à l’élevage de montagne ).

    Et « ça », c’est un programme de gouvernement ? Mais on se fout du monde !

    Allez voir comment on dirige un pays, quand on à le charisme d’un chef d’état digne de ce nom ! François Asselineau vous l’expliquera lui-même, avec son programme.

    Car il a un programme, lui !

    www.upr.fr


    • chantecler chantecler 28 septembre 2021 07:40

      @yakafokon
      Salut ,
      Tiens , j’ai lu une définition de l’UPR qui m’a fait rire :
      « Un plat de fayots autour d’une saucisse . »
      Plus sérieusement ce mouvement joue la victimisation  : « F.A serait banni des plateaux TV »...
      Comme si c’était le seul à ne jamais être invité , hors période électorale ... !
      Mais consolez vous : le FN a joué la même partition pendant des années , et a fini par émerger .
      Mais si vous analysez les choses , le FN « reconnu » , a perdu de son punch à force de se vouloir fréquentable .
      Donc on ne gagne pas sur tous les tableaux .
      Et le prix a payer c’est la grande manipulation :
      On invite jamais un opposant gratuitement .
      D’autant que les débats à la TV sont très vicieux , sauf pour les têtes d’affiches adoubées .
      A tel point que l’on peut se poser la question : faut il accepter un débat : gentil avec journaliss , ou vicelard : « débatteur contre débatteur » avec naturellement journallis qui fixent le cadre.
      Car il demeure impossible de parler des sujets qui fâchent : traitement du covid ,UE et ses suites ....
      ...
      Donc le militantisme ne peut faire l’impasse du terrain .
      Surtout que sur les réseaux sociaux , au bout d’un certain temps, ça sature à force de tourner en rond .
      Va falloir qu’il affronte la lumière votre F.A..
      Tout comme Jésus .


    • yakafokon 28 septembre 2021 08:38

      @chantecler
      Aucun des candidats que vous évoquez ne veut sortir de l’Union Européenne, et tout ce qu’ils peuvent raconter comme projets ne sont qu’illusions !
      Tant que nous ne sortirons pas de cette organisation criminelle concoctée par les Etats-Unis dès 1945, nous n’arriverons à rien !
      Il nous faut impérativement sortit de l’Union Européenne, de l’euro, et surtout de l’OTAN, cette machine de mort au service exclusif des nazis anglo-saxons !
      Or personne ne veut sortir de l’Union Européenne, tellement les français sont devenus des autistes à qui on a bourré le mou !
      Après, il ne faudra pas venir pleurer, si nous sommes dans la merde !
      Si François Asselineau est empêché de se présenter, je resterai chez moi !
      Un esclave, ça ne vote pas ! Son rôle est de se faire tuer pour son maître !


    • chantecler chantecler 28 septembre 2021 08:42

      @yakafokon
      Merci d’avoir répondu à côté .
      Car je n’évoque aucun candidat dans mon commentaire .


    • yakafokon 28 septembre 2021 08:45

      @chantecler
      Plutôt que de raconter des conneries, vous feriez mieux de consulter son site, pour savoir à qui vous avez affaire !
      Ce qui compte, ce n’est pas ce qu’en disent les médias, mais le nombre de personnes qui se connectent à son site, et qui est en constante augmentation !
      Ils ne vont pas se contenter de rester chez-eux si François Asselineau réussit à obtenir le nombre de parrainages requis !
      Après, vous pouvez dire ce que vous voulez, on est en démocratie ( à ce qu’on dit ).
      www.upr.fr


    • GoldoBlack 1er octobre 2021 08:21

      @yakafokon
      "Ce qui compte, ce n’est pas ce qu’en disent les médias, mais le nombre de personnes qui se connectent à son site

      "
      Des charrettes de cons n’ont jamais une colonne d’intellos...
      L’audience ne prouve certainement pas la qualité. Elle prouve... l’audience.


  • yakafokon 28 septembre 2021 07:25

    Je suis d’ailleurs très étonné qu’aucune procédure judiciaire n’ait été engagée contre le C.S.A., qui manifestement obéit aux ordres du Roi-Soleil !

    Car vous n’êtes pas sans vous être aperçus, que tout-le-monde n’avait pas le droit de « causer dans le poste » !


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 28 septembre 2021 23:33

    Ben voilà , les ingénieurs qui construisent des EPR ont gagné sur les femmes qui jettent des sorts ...c’est très grave !


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