Alléluia ! Il est arrivé le vaccin qui protège … contre rien du tout
Bernanos disait que les intellectuels sont si souvent des imbéciles qu’on devrait les tenir pour tels jusqu’à ce qu’ils nous aient prouvé le contraire. J’étendrais volontiers cette citation aux scientifiques.
Car on a un bien bel exemple d’imbécillité, ou plutôt d’enfumage ces derniers temps avec cette histoire de vaccin. Car il faut écouter ce qu’on nous dit. Les vaccins Moderna et BioNtech sont efficaces à 95% environ pour éviter les formes graves du COVID19. Et les imbéciles, dont je fais partie, ergotent, en se croyant malin sur le comment ça marche ? quelle est leur supposé efficacité ? s’interrogent sur le temps mis pour le développer etc.
Or la vérité est tellement évidente et crève tellement les yeux, que nous ne la voyons pas, alors qu’elle est là, devant nos yeux, dans les paroles limpides des "chercheurs" : le vaccin protège contre le risque de faire des formes graves du COVID. Pas contre la contagion, pas contre l’épidémie, ni contre les formes bénignes uniquement contre les formes graves. A tel point que les épidémiologistes et autres médecins nous disent que même vaccinés, nous aurons encore à porter le masque.
Et c’est là que nous devrions nous poser des questions. Quel est le risque de faire une forme grave de covid ? Sachant que le pourcentage de mourir est de 2% environ dans le cas où on est détecté positif, quelle est l’utilité de se faire vacciner contre un vaccin qui vous laissera 5% de faire une forme grave de la maladie ? Et encore, je ne prends pas en compte, les formes graves : lesquelles ne conduisent pas nécessairement à la mort, surtout si l’on a pas de problème de santé (appelés « comorbidité » dans le parler moderne), ni le fait que l’écrasante majorité des morts a plus de 70 ans…
En dessous de 45 ans, vacciné ou pas, vous avez le même pourcentage de risques de faire « une forme grave » avec cette maladie qu’avec une autre (et qui doit varier au même niveau que celui de gagner au tacotac ou au loto national).
Le diable est souvent dans les détails dit-on, et je crois que dans cette crise, plus que jamais, il faut écouter attentivement et traquer le détail qui dévoilent les « spécialistes », lesquels aiment tellement pérorer qu’il finissent par cracher - involontairement - le morceau.
Autre incongruité : on ne sait donc pas si ce vaccin empêchera les vaccinés de transmettre le virus aux autres. On se pince pour y croire ! Ce simple constat, fait tomber l’argument massue des politiques et des donneurs de leçon qui vous répètent, à longueur de temps, que si vous refusez la vaccination, vous êtes un meurtrier en puissance et un égoïste.
Mais tout n’est que « songe et mensonge » dans notre société, ou comme l’écrivait Guy Debord « dans une société réellement renversée, le vrai est un moment du faux ».
On fait donc voter des lois d’exception, on contraint les gens à rester chez eux, à les priver de liberté en leur faisant miroiter l’elexir de longue vie de Pfizer, dont le premier quidam venu peut s’apercevoir que c’est une liqueur frelatée, et dont on ne sait pas, de plus, si elle vous évitera la muselière...
Le pouvoir exécutif avait des velléités de faire voter une loi qui nous aurait empêché de nous déplacer librement. Cette loi prévoyait que la décision aurait été prise par le gouvernement sous le sceau du secret défense. Bien sûr sans solliciter l'avis du pouvoir législatif. Ce projet de loi prévoyait enfin que si nous n’étions pas vaccinés ou soignés comme nous le dit notre Premier Sinistre (avé l’aquecent), nous serions prisonniers de notre maison. Gare aux récalcitrants : les hôpitaux psychiatriques les attendent !
Certes mais c'est mieux que la prison, et vous avez toujours le choix de la chambre ou des chiottes pour regarder votre daube préférée sur netflix, vous diront les hérauts de la liberté et de la vérité vraie.
Ce qu’on instille dans notre esprit, c'est un dangereux poison aérosol (qu'on a commencé à vaporiser avec le « risque terroriste »), et qui consiste à voir dans notre prochain, non un soutien, non un humain avec qui on peut partager ou être en désaccord, mais un Ennemi. A ma connaissance, à part les dictatures, aucun régime ne vit dans la peur permanente de son prochain. Certes, ici c’est "à son corps défendant", mais enfin, on nous fait bien comprendre que notre ennemi c’est l’Autre quand même. L’Humain, voilà bien le danger ! Sus à la société ! Fini l’humanité ! Terminé les êtres humains dépassés : voici venu le temps des machines à vivre. Nous ne sommes plus que des outils qui nécessitent une "petite maintenance préventive" pour qu'iles continuent à fonctionner normalement sans qu'on doive pas les amener au garage pour réparation (ce qui est plus cher). Nous n'avons plus d'âme, rien qu'un corps débile rivé sur le film d'horreur interactif permanent qui se déroule sous nos yeux. Rien n’est dangereux à un pouvoir autoritaire comme l’assemblée, la manifestation, l’échange, l’agora et la remise en cause des "vérités scientifiques établies"(sic) surtout dans le "pays de Pasteur".
J'ai écrit un article, ici même, il y a quelque temps, me basant sur la revue du CNRS (et qui n’a pu passer qu’avec l’accord de la direction de cet établissement) pour dire que le virus était sûrement bricolé par l'homme et qu'il avait été relâché accidentellement à Wuhan. Fureur des professionnels de la Vérité Vraie qui peuplent ce site ; mais stupeur aujourd'hui, s’ils me lisent, car cette thèse "conspirationniste" est relayée jusque dans les colonnes du journal de référence (pour petits-bourgeois bien-pensants), je veux dire : Le Monde ; et relayé par, au moins, 15 journaux dits "sérieux". A un tel niveau de "recoupement des sources", ce n’est plus une hypothèse mais un réquisitoire…
Je vous prédis donc le prochain scandale : la mortalité générale en France n'aura finalement pas augmenté de manière significative en 2020 en dépit du Covid hormis pour les plus âgés (au-delà de 75 ans). Le plus incroyable : c'est que ce n'est pas moi qui le dit mais Jérôme Salomon himself devant la commission sénatoriale. Parfois, ils n’ont pas trop le choix et ne peuvent pas trop mentir, surtout quand c’est devant des parlementaires et qu’ils sont sous serment...
Je l'ai entendu également sur France Info, alors qu'un journaliste interrogeait le représentant national des croques-morts. Le journaliste a voulu faire le finaud en lançant, avec force clin d’œil, une phrase du genre "alors, vous avez dû vous en mettre plein les poches avec tous ces macchabés ? " Réponse, en substance, de la ci-devant représentante des croques-morts "non on n'a pas été beaucoup surchargé, ce qui recoupe les données de l'Insee", flairant la bévue, elle s'est immédiatement repris en lançant "enfin, c'était quand même affreux tous ces morts". Je cite de mémoire, mais on doit pouvoir retrouver l'extrait.
D’ailleurs, il suffit de farfouiller le site de l’Insee. La difficulté à trouver les chiffres de l’année 2020 (je veux dire de l’année qui commence le 1er janvier et se termine le 31 décembre et pas de celle qui commence le 14 mars pour s’achever au 7 décembre) ; la manière qu'a l'Insee de noyer le poisson, d’arrondir les chiffres 2020 à en faire pâlir d’envie les admirateurs de Boulle ; cette manie de comparer sans cesse les choux et les carottes ; et surtout cet art inimitable de vous dire que quand il est écrit mille, il faut lire cent, mais de dix manières différentes. Tout cela sent le frelaté.
Et nous retrouverons les mêmes tartuffes du « pourquoi c’est faux » pour nous expliquer que ce sont nos yeux qui ne voient pas, que la réalité n’existe pas, et qu’il ne faut pas minimiser le nombre de morts du COVID car « il est difficile à déterminer et que la maladie a créé une surmortalité en mars et avril, et que si on ne considère que ces deux mois-là et la période de confinement de fin d’année (pas toute mais celle qui arrange) et qu'on l'extrapole sur les autres mois, puis qu'on retranche les morts de la canicule ainsi qu'un jour au mois de février (année bissextile oblige) et puis qu'on attribue à tous les morts qui nous arrange le mention "COVID19", alors oui nous avons bien 65 000 morts supplémentaires ». C’est sûr : si je ne prends que la journée où j’ai touché la plus grosse prime de ma vie et que je la multiplie par les jours qui me restent à vivre, au regard de l’expérience de vie moyenne de ma classe d’âge : éh bien je suis millionnaire ! C’est pas pour rien qu’ils se nomment les « déconneurs »…
Comme l'écrivait le professeur Choron : " si ma grand-mère en avait, on l'appelerait pour qu'elle nous les montre".