jeudi 9 août 2018 - par Jacques-Robert SIMON

Apartheid : la nouvelle race inférieure à la mode !

 

 L’agriculture qui appartient au secteur primaire permet l’emploi des Français pour une part de plus en plus minime : depuis la première guerre mondiale, cette part a diminué d’un facteur 20 ; elle n’intervient actuellement que pour 0,7% dans le PIB. Malgré tout, le taux d’autosuffisance alimentaire est supérieur ou proche de 100% pour la France, les Etats-Unis ou l’Allemagne.

 En 20 ans, le poids de l'industrie dans le PIB a diminué de moitié. et a perdu près de 40% de ses effectifs soit environ 2 millions d'emplois en France. Ce mouvement est général dans tous les pays occidentaux. À titre d’exemple, la France, comme l’ensemble de l’Europe, ne fabrique plus de téléviseurs bien que pratiquement tous les ménages (95%) soient équipés.

 Le secteur tertiaire lui s’étend de jour en jour. Il est composé du commerce, des transports, des activités financières, des services rendus aux entreprises ou aux particuliers, de l’enseignement et de la recherche, des professionnels de santé… Plus de 75% des français travaillent maintenant dans le secteur tertiaire (et environ 60% dans le monde).

 Les travailleurs ont donc dû changer d’activité pour conserver une utilité sociale locale. Deux sortes d’Hommes pouvaient survivre au néant qui s’annonçait : le maître et l’honnête homme.

 L’honnête homme est cultivé et sociable, il doit être, ou au moins se montrer, humble, courtois. Il refuse les excès même dans le Bien et sait dominer ses émotions. Dans le corps social il ne peut s’affirmer que grâce aux multiples aspects de la séduction. Il évite autant que faire se peut les rapports de force et s’efforce d’être être autonome afin de conserver son indépendance et sa liberté.

 Le maître n’a pas ces préoccupations : son statut, sa fortune, sa naissance lui permettent d’obtenir ce qu’il souhaite, et il souhaite en premier lieu voir ses ordres exécutés par ses subordonnés. Plus la division du travail et des compétences est grande, moins le risque de rébellion parmi ses obligés est importante et plus il est puissant. C’est le maître que les temps modernes ont choisi.

 Au niveau mondial, le colonialisme pensait accomplir une mission civilisatrice : « Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures : elles ont le devoir de les civiliser. » Dont acte. Plus tard, le progrès mondialisateur évita de telles assertions : les races à civiliser n’étaient pas noires, jaunes, rouges… mais pauvres.

 Le tissu industriel en France comme aux État-Unis permettait à des personnes dites non qualifiées de trouver un emploi et d’en tirer un revenu qui lui permettait d’élever dignement les siens. Un soubassement chrétien, éminemment contestable mais présent, leur permettait d’avoir un semblant de respect de la part de ceux qui tiraient profit de leur travail : ils avaient le même Dieu, la même Nation, la même morale. Mais dans une logique où le sacré s’évanouissait, ces notions transcendantes n’avaient plus de sens. Les gens fortunés investirent leur fortune en des lieux qu’aucun dieu, qu’aucune république, qu’aucune morale ne pouvaient réunir aux ouvriers qu’ils employaient jusque là. Que pouvaient devenir les laissés pour compte : auto-entrepreneurs, informaticiens, livreurs de pizza ??

 Le mépris est l’arme des lâches, certes, mais c’est aussi la plus efficace pour disqualifier une population.

 Par précaution, il faut souligner que poser les bonnes questions n’implique pas que l’on ait les bonnes réponses. Des hommes, des femmes s’interrogèrent sur le sort des mis sur la touche de la mondialisation : le populisme était né. Ce courant mettait en avant les intérêts divergents du peuple mis hors jeu et une certaine élite accusée de tous les maux. Celle-ci se rebella et les populistes devinrent indignes, indignes même d’exister, mais ils furent tolérer au nom de la démocratie verbale calquée sur les paroles verbales et verbeuses.

 Mais le mépris alla beaucoup plus loin : un racisme de classe se mit en place au nom d’un politiquement correct qui prêchait cependant l’abolition même de l’utilisation du mot race  : on interdisait le mot pas la pratique.

 Les travailleurs manuels préfèrent le savoir faire sur le faire savoir. C’est vrai en chaudronnerie mais aussi en Physique, en Chimie, en Biologie, domaines pour lesquelles le savoir empirique est d’une importance telle que les théories ne font souvent que le décorer. Les laissés-pour-compte n’expriment que difficilement ce qu’ils pensent, ce qu’ils ressentent et ceux qui se sont faits métier de parler purent les moquer, les ridiculiser voire les insulter en les mettant en exergue des maladresses d’expression. Le mépris gagna en grandeur : les délaissés étaient des imbéciles incapables de savoir la différence entre un logarithme décimal et népérien, entre Zadig et Voltaire, entre Foucault et son pendule, entre Spinoza et Hanouna. Pourtant l’intelligence de la main existe bien, et l’esprit de finesse, et le bon sens. La raison raisonnante ne fait souvent qu’étaler, délayer des préjugés, un prétexte pour avoir le dernier mot.

 À ce mépris culturel s’ajouta encore un effroyable mépris ethnique, racial.

 Sortant du club de fitness où elle a pu rencontrer Arthur qu’elle avait connu quelques semaines auparavant en faisant de l’équitation, elle courut jusqu’au studio où elle animait un divertissement politique qui faisait autorité dans son créneau. Le sujet du jour : l’obésité. 7 millions de personnes sont considérées comme obèses en France. La proportion des personnes obèses a doublé ces dix dernières années. Une étroite corrélation est observée entre la propension au surpoids et à l’obésité et le revenu de l’intéressé. Un tiers des femmes qui ont un revenu mensuel inférieur à 450€ est obèse tandis que seulement 7% le sont avec un revenu supérieur à 4200€. Géographiquement, plus le développement économique d’un département est faible, plus il concentre des personnes en situation d’obésité. Les obèses sont quatre fois plus nombreux chez les enfants d’ouvriers que chez les cadres.

 Les industries ont été délocalisées afin de trouver des travailleurs moins payés mais plus dociles et beaucoup de ceux qui se virent conséquemment précarisés tombèrent dans la malbouffe, le trop de bouffe. Malgré les aides d’état, leur reconversion vers des professions d’avenir se révéla difficile ou impossible. Les gens sentirent le mépris que le parisianisme sait si bien engendré : ils se réfugièrent au sein de sympathies identitaires, nationalistes, patriotes… ce que l’on assimilait sourdement au national-socialisme.

 L'apartheid est une politique dite de développement séparant les populations afin qu’elles vivent loin les unes des autres selon des critères raciaux ou ethniques dans des zones géographiques déterminées. La mondialisation n’est rien d’autre qu’un apartheid bon chic, bon genre qui permet de dissocier en tous points les possédants des dominés : les riches dans les métropoles occidentales, les pauvres ailleurs. Les pauvres blancs, majoritaires chez les ex-salariés de l’industrie, sont relégués loin des centres des villes, loin des regards, loin de toute compréhension : il est tellement désagréable de devoir fréquenter ceux que l’on a privé de travail, d’espoir, d’âme. Une nouvelle race inférieure émergea donc peu à peu, des confins de l’Ohio jusqu’au tréfonds du Pas-de-Calais.

 Et tant d’autres sont bannis que 10 jours ne suffiraient pas à les nommer : la race des seigneurs n’avait plus à se préoccuper d’eux. Cette race des seigneurs à laquelle on ne peut accéder ni par les connaissances, ni par le mérite, ni par les vertus : seulement en vendant des rêves fabriqués industriellement à des gens qui ne souhaitent que de vivre de peu de choses réelles : avoir des enfants dans le droit chemin, un toit décent, quelques jours au bord de la mer… et surtout ne pas avoir à quémander. 

 



67 réactions


  • cathy cathy 9 août 2018 10:58

    Donc les nationalistes sont gros ! LOL


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 12:58

      @cathy
      Dans la nébuleuse médiatique le message est : gros= fainéant donc chômeur donc national-socialiste.


    • yapadekkoaqba yapadekkoaqba 9 août 2018 13:55

      @Jacques-Robert SIMON
      euh….gros comme Goering ?


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 17:01

      @yapadekkoaqba
      Peut-être pas autant.


    • Paul Leleu 9 août 2018 23:35

      @cathy


      l’article est intéressant, et dit quelque chose de notre époque. Mais il se berce de trop d’illusions, tant sur le passé de nos pays, que sur la situation des prolétaires des pays du tiers-monde. 

      A part pendant les « 30 glorieuses », la situation de mépris des prolétaires et d’exclusion de classe fut épouvantable en Europe de l’émergence industrielle aux années 1950. L’auteur devrait relire un peu ses classiques, au moins Zola ou Dickens, sinon Marx, Lénine, ou les poèmes d’Eugène Pottier. Ca lui évitera de croire que la racaille bourgeoise fut jamais autre chose qu’une bande d’exploiteurs répugnants le sens humain... 

      Quant à la situation du prolétariat à l’échelle mondiale, il devrait aller faire un petit tour dans les mines du Congo ou de Bolivie, ou dans les usines d’Indonésie ou du Bangla-desh... L’internationalisation de facto du prolétariat mondial est une évidence de notre époque. Même si la question des nations et du nationalisme est plus complexe. 

      Actuellement, c’est juste la fable de la « classe moyenne » qui explose en occident, vu que l’URSS ne fait plus peur, et que les usines sont délocalisées... ce n’est que le début de la chute. On termine de vider le gousset des baby-boomers pendant 25 ans, avant que l’Europe ne s’enfonce dans l’anomie. 

    • lisca lisca 13 août 2018 07:36

      @Paul Leleu

      Beaucoup plus facile à lire que Zola, le roman Aubervilliers de Léon Bonneff, ouvrier lui-même, qui mourut jeune dans la terrible guerre de 14-18, de même que son frère.
      La vie des pauvres était très dure au quotidien. Le peuple existait en tant qu’entité culturelle, à la différence d’aujourd’hui. Cette culture commune le transcendait, lui rendait la dignité déniée par la pauvreté. Aujourd’hui, le « pauvre » vit mieux matériellement, mais n’est plus « du peuple ».
      L’oligarchie n’aime pas les pauvres, dont elle se fiche, elle aime appauvrir, pour pouvoir corrompre, et en vertu de la logique des vases communicants. Plus les classes moyennes se creusent, plus les 1% se gavent.
      Attali le crie haut et fort.
      Mais enfin il ne tient qu’à nous... Du moins à la fraction d’entre nous qui a les moyens économiques, spirituels et intellectuels d’agir, chacun à son niveau. Il ne faut pas baisser les bras si vite.
      Le gousset des vieux qui se vide, c’est de l’héritage en moins pour les jeunes. Il faut se sortir du selfie-texto.



    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 13 août 2018 08:34

      @lisca
      C’est une excellente remarque : « Aujourd’hui, le « pauvre » vit mieux matériellement, mais n’est plus « du peuple ». »


  • Arogavox Arogavox 9 août 2018 11:16

    « Que pouvaient devenir les laissés pour compte : auto-entrepreneurs, informaticiens, livreurs de pizza ??

     Le mépris est l’arme des lâches, certes, mais c’est aussi la plus efficace pour disqualifier une population.

     Par précaution, il faut souligner que poser les bonnes questions n’implique pas que l’on ait les bonnes réponses. »

    Bravo , encore une fois ! Merci !

      Remarquons aussi que ce mépris est révélateur de pitoyables défauts d’entendement, autant sur le plan des « esprit de géométrie et esprit de finesse » que sur ceux de diverses et aptitudes aux sensibilités dont le handicap est nommé autisme. Ce qu’illustre par exemple ces mots de JJ Rousseau (dans ’la nouvelle Héloïse’) :

    «  les riches se consolent du mal qu’ils font aux pauvres
    en les supposant assez stupides pour n’en rien 
    sentir »


    • Arogavox Arogavox 9 août 2018 11:36

      ... voilà, j’ai retrouvé le passage de la citation dans ce lien : 
      https://fr.wikisource.org/wiki/Page :Œuvres_complètes_de_Jean-Jacques_Rousseau_-_II.djvu/536
         
      Pour qui n’a pas le temps d’élargir encore, ce petit complément ne me semble tout de même pas hors sujet ici

      «  .... En général je juge du prix que chacun met au bonheur de ses semblables par le cas qu’il paraît faire d’eux. Il est naturel qu’on fasse bon marché du bonheur des gens qu’on méprise. Ne vous étonnez donc plus si les politiques parlent du peuple avec tant de dédain, ni si la plupart des philosophes affectent de faire l’homme si méchant.C’est le peuple qui compose le genre humain ; ce qui n’est pas peuple est si peu de chose que ce n’est pas la peine de le compter. »

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 12:28

      @Arogavox
      Votre citation, que je ne connaissais pas, est terrible mais très proche de la réalité :

      «  les riches se consolent du mal qu’ils font aux pauvres
      en les supposant assez stupides pour n’en rien 
      sentir »


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 13:01

      @Arogavox
      Merci beaucoup.


    • Fergus Fergus 9 août 2018 13:05

      Bonjour, Jacques-Robert SIMON

      « très proche de la réalité » 

      Peut-être. Pourtant, je pense que Rousseau s’est trompé sur les pauvres en les supposant stupides.

      Les pauvres sont en effet loin d’être idiots, loin d’être inconscients des agressions qu’ils subissent de la part des riches et de leurs valets politiques.

      La triste réalité - pour eux-mêmes - est tout simplement qu’ils sont veules, autrement dit sans réaction et incapables de se mobiliser.


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 13:35

      @Fergus
      Je critique quelquefois les « puissants » jamais les autres.


    • Doume65 9 août 2018 14:19

      @Jacques-Robert SIMON

      « les riches se consolent du mal qu’ils font aux pauvres en les supposant assez stupides pour n’en rien sentir »
      Cet argument a aussi été utilisé par les colons de tous poils afin de faire accepter l’esclavage, puis plus tard par les scientifiques, toujours dans le même but d’acceptation de l’expérimentation animale.

    • Fergus Fergus 9 août 2018 14:22

      @ Jacques-Robert SIMON

      Faire le constat d’une impuissance collective n’est pas une critique personnelle de chaque individu qui compose ce collectif. Et en l’occurrence, les « pauvres » vs les « riches » de Rousseau équivalait à « classes populaires et moyennes » vs « classes dirigeantes et possédantes » dans la société d’aujourd’hui.

      Un collectif dont la majorité d’entre nous faisons partie, autrement dit tous ceux qui sont peu ou prou touchés par les mesures de régression sociale. Nous sommes par conséquent quasiment tous coupables à des degrés divers de l’absence de réaction.


    • Arogavox Arogavox 9 août 2018 14:32

      @Fergus
      mal reveillé aujourd’hui ? Comment avez-vous réussi à interpréter à ce point à l’envers la citation de JJ Rousseau, en écrivant :

      «  je pense que Rousseau s’est trompé sur les pauvres en les supposant stupides. » ???!
        
       Pire : vous disposiez pourtant d’un lien direct vers le texte complet permettant de mieux apprécier le contexte de cette citation ! 

    • Fergus Fergus 9 août 2018 16:04

      Bonjour, Arogavox

      Vous avez raison de me reprendre : ce n’est évidemment pas Rousseau qui considérait les « pauvres » comme « stupides », mais les « riches » auxquels il prêtait ce regard méprisant.

      Merci d’avoir souligné cette erreur de ma part. Ce qui ne change toutefois rien au fond de ce que j’ai écrit en remplaçant la stupidité par la veulerie.


    • Nicole Cheverney Nicole Cheverney 9 août 2018 16:12
      Bonjour, On oublie cependant que tout riche risque de se retrouver très stupidement pauvre du jour au lendemain, il suffit de si peu de choses... Et l’Histoire en est truffée d’exemples. Moralité : ceux qui pérorent du haut de leur grand arroi, feraient mieux de bien méditer toute sentence populaire. Il arrive toujours un moment où le « grand » devra payer la lourde facture de son mépris envers le « petit ».


    • Fergus Fergus 9 août 2018 16:46

      Bonjour, Michel Maugis

      « Peut être que pour vous, les pauvres sont stupides ? »

      J’ai dit précisément le contraire ci-dessus !!!


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 17:02

      @Doume65
      Ce n’est pas me semble-t-il le propos de Rousseau.


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 18:52

      @Doume65
      Je cerne mal votre propos.


    • Tzecoatl Claude Simon 10 août 2018 20:05

      @Michel Maugis

      L’argent étant la relaxation de l’éthique, la pauvreté est la relaxatiion de la solution.


  • marmor 9 août 2018 12:10
    A l’auteur
    Avez vous respecté le droit à l’image auprès de la personne indentifiable sur la photo illustrant votre billet. Il se trouve, malencontreusement, qu’il me semble la connaître.

  • Spartacus Lequidam Spartacus 9 août 2018 12:36

    Hélas si les conséquences sont a peu près juste les causes évoquées et les ségrégations sont tout le contraire....


    Ce discourt est désespérant des castes marxistes, généralement statutaires de la gamelle de l’état, qui ne créent rien, n’investissent dans rien et qui se prennent pour des déclassés et un tiers état qu’ils ne sont pas et ne représentent pas....
    Un patron est dans le droit commun, un fonctionnaire est un privilégié de régime spécial.
    On a jamais vu un statutaire Français de la caste des gauchistes réclamer le droit commun pour tous. Pas vrai ? 

    Bref de l’intello de gauche, petit bourgeois, qui en est resté à la guerre des classes et une vison binaire de la société totalement décalée dans son monde d’entre soi des fonctionnaires...

    Bien entendu dans ce monde binaire d’entre soi, qui ne crée rien, qui n’investi dans rien et vit se croit au 19 eme siècle industriel, on croit que la richesse donne le pouvoir. 
    Evidemment dans le monde d’aujourd’hui si tu met la photo d’un chaton et 2 pelotes tu a plus de pouvoir que Carlos Goshn.

    Bien entendu dans ce monde binaire d’entre soi, qui ne crée rien, qui n’investi dans rien et vit se croit au 19 eme siècle industriel, on croit que la richesse donne le réussite. 
    Evidemment dans le monde réel un business plan bien fait te donne plus d’argent que tes propres ressources.

    Bien entendu dans ce monde binaire d’entre soi, qui ne crée rien, qui n’investi dans rien et vit se croit au 19 eme siècle industriel, on croit que posséder donne le pouvoir. 
    Evidemment dans le monde réel celui qui possède est handicapé, il doit gérer ses biens. Le plus riche n’a que de l’endettement. Les dernier arrivés dans le Top 10 des plus riches de France (Drahi, Niel, Granjon) ont des entreprises qui ont 5 plus de dettes que leur chiffre d’affaire..Ils sont propriétaires de dettes.

    Le mal vivre c’est l’état et ces castes de fonctionnaires qui, refusent le changement et l’ouverture.
    Qui ponctionnent indirectement 56% de la richesse totale produite...
    La croissance qui s’écroule ce sont les charges sociales qui font qu’en 1950 elle étaient à 10% des revenus et qu’aujourd’hui elles sont à 60%.

    C’est la sur protection des intouchables, qui vivent dans la tragédie des communs, se servent sans compter dans les biens collectifs et laissent la charge aux autres...
    Absentéisme, statuts, pouvoir, caste, gauchistes, intellect dépassé.


    • Olivier Perriet Olivier Perriet 9 août 2018 12:54

      @Spartacus

      Evidemment dans le monde d’aujourd’hui si tu met la photo d’un chaton et 2 pelotes tu a plus de pouvoir que Carlos Goshn.

      Là j’avoue que je sèche :
      c’est à prendre au 1er degré ou au 2e degré cette affirmation ?

       smiley

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 13:06

      @Spartacus
      Je ne souhaite que porter un regard sur ce qui m’entoure en essayant de l’analyser. Le reste est loin de ce que je peux faire.


    • Doume65 9 août 2018 14:31

      @Spartacus

      « Bien entendu dans ce monde binaire d’entre soi, qui ne crée rien, qui n’investi dans rien et vit se croit au 19 eme siècle industriel, on croit que la richesse donne le pouvoir. »
      Tu définis assez bien les spéculateurs. Du coup, j’ai du mal à comprendre ce qui te fais adorer le néolibéralisme.

    • Spartacus Lequidam Spartacus 9 août 2018 14:45

      @Olivier Perriet


      Je compatis que quand on est biberonné à l’étatisme, on ne voie plus la réalité...

      Les patrons n’ont pas d’armée, pas de police, pas de prisons. 
      Ils ne nous volent pas d’argent par la force coercitive de l’impôt, ils payent les salariés et les contrats, et doivent en répondre.

      Tout le monde possède un « pouvoir économique »...
      L’entrepreneur peut licencier aussi bien qu’un salarié peut démissionner.

      Les fonctionnaires et bureaucrates ont plus de pouvoir que n’importe quel patron le pouvoir. 
      Sous Hollande 65% des élus étaient fonctionnaires.
      Sous Macron ça a baissé un peu mais au gouvernement les castes Enarchiques ont la majorité...
      Les patrons ont moins de pouvoir qu’on leur en prête. Ce sont surtout des excuses qu’on lance pour cible. Ils sont moins nombreux que les fonctionnaires.



    • Olivier Perriet Olivier Perriet 9 août 2018 15:31

      @Spartacus


      Bon pour la vidéo des petits chatons, je laisse tomber smiley

      Pour le reste c’est à peu près aussi caricatural que ce que vous critiquez :

      ce ne sont pas les bureaucrates, sauf peut-être ceux du parti communiste chinois (sur lesquels vous êtes bien silencieux, on se demande pourquoi smiley ), qui profitent vraiment des délocalisations, et qui bénéficient des plus-values qui vont avec.

    • Spartacus Lequidam Spartacus 9 août 2018 19:43

      @Olivier Perriet

      Qu’importe les délocalisations pour les bureaucrates et les étatistes. Ils s’en branlent (sauf pour trouver une excuse pour règlementer et assouvir leur envie de pouvoir de contraindre).


      Les bureaucrates profitent des impôts, des avantages du monopole et du pouvoir. Ils n’ont rien a foutre des délocalisations.
      Les délocalisations ce sont eux qui les créent, et les plus values ils s’en foutent tout autant.
      Ils sont statutaires et payé en fonction du corporatisme, pas en fonction des délocalisations ou de la plus value des entreprises ? conséquences des règlements et leurs charges qu’ils font pleuvoir sur tout le monde....

      Nous sommes devenu un pays communiste qui s’ignore.
      Un ruissellement à l’envers. qui ne coule que dans leur gamelle.
      Le plus taxé d’Europe, le plus bureaucratisé et administré d’Europe, 56% du PIB entre leurs mains, 60% du salaire complet accaparé, et des règlements nouveaux qui pleuvent chaque jour.



    • HELIOS HELIOS 9 août 2018 23:21

      @Spartacus


      ***** Qui ponctionnent indirectement 56% de la richesse totale produite... ***** 

      ***** Le plus taxé d’Europe, le plus bureaucratisé et administré d’Europe, 56% du PIB entre leurs mains, 60% du salaire complet accaparé, et des règlements nouveaux qui pleuvent chaque jour. *****

      cela veut donc dire, selon vous, que ceux qui travaillent dans un secteur public, c’est a dire qui n’est pas un secteur marchand, ne produisent directement aucune richesse, mais également ne sont pas la pour organiser ceux qui créent de la richesse.
      Par exemple, les fonctionnaire de l’AFNOR ne créent pas de richesse, mais ceux qui qui en créent sans ces fonctionnaires (sans normes) seraient efficaces, et leur création optimisée et rentable ?

      les gens de l’INSEE, de METEO FRANCE ne servent a rien, comme la police, la justice, Les gens du CEA, de SAFRAN, les gens de la DCN (armée) ne créent absolument rien et en tout cas ne sont pas la pour acheter ce que VOUS PRODUISEZ en appelant ça « de la richesse »....

      Ouvrez un peu votre esprit....

    • Spartacus Lequidam Spartacus 10 août 2018 10:08

      @HELIOS

      Vous rendez vous compte qu’en 2018, vous en êtes encore a ignorer la base qu’un fonctionnaire ne crée aucune richesse ?

      Ce serait plutôt a vous d’ouvrir votre esprit sur la réalité. 
      Et vous instruire du comment se génère et se calcule la richesse.
      Un fonctionnaire ne crée aucune richesse collective, il ne crée que son salaire.

      C’est la base du calcul de la richesse. Dans le calcul du PIB, le fonctionnaire est un agrégat et la valorisation de sa richesse produite est juste le montant de son salaire. POINT.
      C’est le BA-BA de l’économie.

      Cela ne veut pas dire que le fonctionnaire sert à rien, il rend un service, et son service est un « coût » ou une « charge » pour la société. 

      Vous en êtes encore a confondre état et société ?
      Quand vous achetez une voiture, par rapport à votre budget, c’est un coût, pas un gain.
      Vous n’êtes pas le constructeur de la voiture.

      Et bien pour la société, les fonctionnaires sont des coûts. La société n’est pas l’état.

      Le fonctionnaire est exposé aux lois économiques de la tragédie des communs et de Pareto associé.
      La loi de Pareto, dit que 20% profite des 80%, et celle de la tyrannie ou tragédie des communs fait que lorsque qu’un bien est collectif, on n’en prend pas soin comme son bien propre.

      Il en découle, abus, corporatisme, absentéisme, irresponsabilité, inconsistance, mépris de la valeur des choses et tyrannie...

      Les salariés de Meteo France sont surpayés. L’INSEE ne produit que des stats que les politiciens veulent entendre, la police est souvent limité, la justice en France est politisée, l’éducation nationale est une honte principalement dans les sciences humaines, sociales et économiques ou les étatistes font de l’intervention de l’état l’unique propagande.

  • Jason Jason 9 août 2018 12:48

    « Qui ponctionnent indirectement 56% de la richesse totale produite... »


    Cette ponction devrait s’élever à 99%. Leur utilisation ne doit pas être décidée par les Spartacus de ce monde !

    Vos opinions sur ce genre de choses ne nous intéressent pas. N’êtes-vous pas un peu las de psalmodier toujours les mêmes choses ?

    C’est pour prêcher la prospérité à la Spartacus que vous venez radoter sur ce site ?

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 13:37

      @Jason
      Pourquoi n’exprimerait-on pas ce que l’on pense ??


    • Jason Jason 9 août 2018 17:06

      @Jacques-Robert SIMON


      Je parlais des propos exprimés par Spartacus. Ses répétitions, comme celles de quelques autres, deviennent très agaçantes.

      Maintenant, si vous êtes un tenant du « Why not ? » américain, il n’y a plus rien à dire. Il est vrai que vous ne connaissez peut-être pas ce genre de raisonnement, peu utilisé ici.

      Mais, en fait, vous avez raison. Libre à moi de lire ou de ne pas lire.

      Je vous promets de ne plus réagir quand je lirai des propos débiles.

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 17:07

      @Jason
      Si, réagissez, le pire c’est de ne rien faire.


  • Zolko Zolko 9 août 2018 13:43
    « ...le maître et l’honnête homme... »
     
    le vrai problème de notre société sont les crétins de votre sorte qui voient tout en binaire : en blanc-noir, bien-mal, ... C’était déjà le discours de Marx (prolétaire/bourgeois) ou de W. Bush (soit vous êtes avec nous soit vous êtes contre). Vous êtes en bonne compagnie.
     
    La vie et la société sont bien plus complexes que cet appauvrissement de la pensée que vous véhiculez. Concernant l’obésité par exemple, il y a un continuum entre les anorexiques, les maigrichons, les fins, les costauds, les en-surpoids et les obèses. Mettre la barre à une certaine dose et séparer la population selon ce barème est débile : c’est vous qui êtes raciste à faire ça, n’accusez pas les autres !

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 17:09

      @Zolko
      Lorsqu’on décrit un espace on choisit 3 vecteurs perpendiculaires et on ramène tout à ces 3 vecteurs et à eux seul. Je cherche ces vecteurs pour les sociétés.


  • yapadekkoaqba yapadekkoaqba 9 août 2018 14:12
    Bon article qui demande une suite...ces laissés pour compte de l’Ohio au Pas-de-Calais ont osé voter et voter pas comme il faut !?!
    Ils ont voté pour se plaindre de leur nouvelle situation : on leur a piqué leurs usines et en même temps on leur a flanqué une immigration avec laquelle on leur dit de cohabiter sans broncher.

  • marmor 9 août 2018 14:35
    A l’auteur :

    Avant toute diffusion de votre image, le diffuseur doit obtenir votre accord écrit en précisant quand et où il a obtenu cette image. Cet accord est donné pour un usage précis et ne doit pas être généralisé.

    Votre accord doit être obtenu si votre image est réutilisée dans un but différent de la première .

    Votre consentement à être photographié ne donne pas pour autant votre accord pour la diffusion de l’image (par exemple sur internet).

    Même dans un lieu public, l’accord des personnes apparaissant de manière isolée et reconnaissable est nécessaire pour la diffusion de l’image.

    Modèle de document

    Autorisations d’enregistrement de l’image
    Cet extrait de la loi de protection de l’image est-il assez clair pour vous ? Je vous conseille de la retirer ou de prouver l’autorisation de diffusion.


    • Croa Croa 9 août 2018 15:04

      À marmor

      En toute rigueur ce n’est pas faux. Nous vivons à une drôle d’époque où il faut faire très attention à tout !
      Mais au fait pourquoi cette remarque maintenant alors que d’habitude les intervenants ne font guerre attention à ce genre de chose ?  La grosse est supposée se mettre très en colère si elle se voit sur AgoraVox, c’est ça ?

    • Olivier Perriet Olivier Perriet 9 août 2018 15:33

      @Croa


      Ben oui, je trouve aussi que diffuser cette photo est un peu abusé smiley

    • marmor 9 août 2018 15:33
      @Croa

      La grosse 
      Il se trouve que cette personne m’est proche, donc pour éviter le genre de reflexion que vous venez complaisamment d’écrire, suffisamment insultante, j’ai pour mission de faire supprimer cette photo.
      Vous pourriez peut-être m’envoyer une photo de vous, afin que je puisse la commenter dans le même esprit que le vôtre ;

    • chantecler chantecler 9 août 2018 16:23

      @marmor
      J’attends la suite .  smiley


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 18:57

      @marmor
      Merci de ces précisions.


    • Croa Croa 11 août 2018 11:04
      À marmor,
      Bon, je vous prie de bien vouloir m’excuser. smiley Toutefois cette demoiselle est ainsi, c’est un fait comme celui d’appeler un chat un chat. Que celle-ci vous soit proche répond à la question ainsi qu’à la question de la légalité de diffusion et ne doutons point que cette demoiselle a de nombreux amis dont vous si j’ai bien comprit.

  • zygzornifle zygzornifle 9 août 2018 16:44

    Si c’est gros c’est pas beau , si c’est maigre c’est aigre ....


  • Dron 9 août 2018 19:19

    Bravo bel article de pleurnicherie gauchiste.Sauf qu’il y a un paquet de grosses feignasses qui préfèrent végéter comme des grosses larves a profiter du système.D’autres sont malheureusement idiots et on peut rien contre ça .Le peuple il se complet dans la facilité , le pouvoir ça se prend , ah mais non pas aujourd’hui il y a piscine.


  • foufouille foufouille 9 août 2018 19:56
    " Les travailleurs manuels préfèrent le savoir faire sur le faire savoir. C’est vrai en chaudronnerie mais aussi en Physique, en Chimie, en Biologie, domaines pour lesquelles le savoir empirique est d’une importance telle que les théories ne font souvent que le décorer"
    tu essayes sans les connaissances de bases ?

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 9 août 2018 20:16

      @foufouille
      Les « connaissances » sont de deux ordres : celles qui permettent de comprendre, celles qui permettent de briller. Pour les premières, tout est accessible assez facilement.


    • foufouille foufouille 10 août 2018 12:22

      @covadonga*722

      fabriqué de la poudre était facile à une époque mais pour éviter de te faire sauter, ce sont juste des règles de sécurité.
      pour faire de la nitro, c’est plus compliqué.


    • Croa Croa 11 août 2018 11:21
      À Jacques-Robert SIMON,
      Je ne suis pas d’accord. Pour briller il suffit de savoir faire illusion, c’est donc plus accessible qu’un véritable savoir-faire pour lesquelles les connaissances se doivent rigoureuses.

    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 11 août 2018 11:25

      @Croa
      Je parlais des connaissances pour comprendre pas pour faire.


  • cyborg 9 août 2018 23:43

    Comme Todd l’explique, l’espérance de la race inférieure au US baisse, d’où il prévoyait la victoire de Trump.
     
    Cet égalitarisme de la différence, (anti-racisme, anti-spécisme), autorise un autre système de hiérarchies. Alors qu’il prétend dépasser les hiérarchies de classes, il les renforce par les hiérarchies mondaines. À chaque moment, un signe signifie barrière et niveau (une consommation statutaire par ex). Cascade des différences, cascade des mépris, cascade des snobismes.
    Ceci a été dit dans les années 70.
     
    C’est ainsi que la conscience de classe se double d’une conscience raciale et peut former une idéologie totale quand la crise vient.


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 10 août 2018 09:09

      @cyborg
      J’ai besoin de temps pour disséquer ceci :
      "Cet égalitarisme de la différence, (anti-racisme, anti-spécisme), autorise un autre système de hiérarchies. Alors qu’il prétend dépasser les hiérarchies de classes, il les renforce par les hiérarchies mondaines"


    • HELIOS HELIOS 10 août 2018 09:22

      @Jacques-Robert SIMON

      ...p’têtre qu’il a voulu dire que qu’en supprimant autoritairement, les differences evidentes (ethnies...)... d’autres ségrégations prennent le pas, telles que l’education, la culture, le savoir-vivre... et je trouve qu’il a raison sauf que le racisme persiste, même s’il est caché par la loi !

    • cyborg 10 août 2018 10:24

      @Jacques-Robert SIMON
      Macron, le financier, fait venir à l’Élysée, un groupe pédérastre-transexuel-nègre-rap « lèche mes boules », si je me rappelle bien ce qu’à en a dit Onfray, choqué car il n’est plus assez « de gauche », pas assez mondain progressiste.
       
      Mais cette indifférenciation apparente cache l’arnaque aux sociétaires de la mutuelle de Bretagne par Ferrand : 400€ d’ « investissement », prêt à 100%, remboursement intégral par la location des locaux, à la fin un million volé à la Mutuelle de Bretagne.
       
      http://tempsreel.nouvelobs.com/l-affaire-dsk/20130221.OBS9621/anne-sinclair-pense-appartenir-a-la-caste-des-maitres-du-monde.html
       
      Anne St Claire, une anti-raciste bien pensante... affichée seulement...
       
      Cet entre-soi, Macron, Ferrand, Benalla, la bande arrivée qui pille le peuple, se reconnaît non par affichage d’opinions politiques religieuses, raciales, nationales où autres, « extrêmistes », racistes, oligarchiques, impérialistes, mais par un « code d’existence mondiale » non dit :
      De façon anédoctique le préfet a sorti « du cher ami » à Benalla qu’il ne connaît pas. Une consommation à la mode signant son appartenance, l’achat d’art moderne ne signifiant rien, sauf qu’on spécule et qu’on a de l’argent à gaspiller, costumes Fillon et ouverture, anti-racisme, anti-spécisme et jet, sans-frontièrisme et spéculation, etc.
      Comme un prêtre du sabre et du goupillon prêchait la charité, comme la cour européenne de justice prêche l’égalité et l’ouverture pour détruire les peuples en UE, assurer le libéralisme par le multiculturel, prêcher la charité aux africians pour assurer une domination oligarchique.
       
      De cette égalitarisme affiché ressort l’inégalitarisme réel donc,les 1% possédant 50% des richesses, mais qui ont leurs œuvres, de l’écologie aux vaccinations africaines, leur code mondain de classe dominante.
       
      La différence entre le code ancien, le code du guerrier Samouraï, le code féodal, l’étiquette de l’ancien régime, le code du militaire de l’empire, et ce code mondain mondialiste moderne, c’est que ce dernier est un non-dit (nous appartenons aux maîtres) , caché par un dit bien-pensant d’apparence (anti-racisme). Alors qu’avant le code était revendiqué.
       


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 10 août 2018 12:35

      @cyborg
      Les dirigeants actuels sont (un peu) plus vertueux qu’il y a un siècle. Ce n’est pas une raison pour accepter des dérives. La colère que vous exprimez est légitime... mais il faut trouver une alternative.


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 10 août 2018 12:37

      @HELIOS
      La loi ne fait que dissimuler ou brider la nature humaine.


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