mercredi 3 septembre 2014 - par Breton8329

Au fond, l’homme n’est pas très bon

La méchanceté est un caractère essentiel à l'homme. Après l'avoir créé, dieu dut émettre en urgence le patch 1.0 , les commandements, pour corriger les grossières erreurs de conception. Les lois n'y changent rien, dès que la civilisation s'estompe, il revient à l'état de nature. Cette petite réflexion est partie de la lecture d'un article sur l'abandon des chiens avant la période estivale.

L’homme est bon

C’est marrant comme certaines idées peuvent parfois contre toute évidence devenir virales. C’est un peu comme si le principe de l’ « inception », du film éponyme, était appliqué à certains peuples. Si ces peuples étaient des ordinateurs, alors ce type d’idées ferait partie de leur « bios », la partie qui ne disparait jamais, même après avoir formaté le disque dur. L’une de ces idées profondément ancrées dans l’imaginaire collectif tout au moins occidental est que l’homme est bon. Cela nous ramène à nos racines religieuses, au mythe du bon sauvage, Rousseau… Mais l’homme est-il naturellement bon ? Sacré pari lorsqu’on se trouve face à un gaillard de 120 kg dans une ruelle sombre. Certains me rétorqueront qu’il s’agit d’une considération statistique et que les exactions sont largement compensées par les bonnes actions et que donc, en moyenne, l’homme est bon. Facile à dire quand on n’est pas dans la ruelle. Je crains de doucher leur enthousiasme en affirmant ici que l’homme en tant qu’individu n’est non seulement pas bon mais qu’en plus, en groupe, il lui arrive d’être stupide.

Dieu, le grand programmeur, aurait créé l’homme. Il ne devait pas être très content du résultat puisque quelque temps plus tard, il dû remettre le patch 1.0 à Moise, les commandements censés corriger quelques défauts naturels qui en disent long sur les penchants naturel de la créature : tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain ; tu ne convoiteras point la maison, la femme, le serviteur, le bœuf, l’âne ni aucune chose qui appartient à ton prochain. Si l’homme était naturellement bon, serait-il nécessaire de préciser que toutes ces choses horribles sont interdites ?

Mais il y a pire encore. Puisque les commandements n’ont pas suffi, il a fallu créer des lois et des traités pour brider les penchants naturels de l’homme. Ceux qui doutent encore de la nature humaine devraient peut-être prendre connaissance de la « convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants », ils y perdraient probablement une partie de leurs illusions sur la nature humaine. Ceux qui ont réponse à tout me diront que la civilisation constitue un rempart contre la barbarie qui ne concerne plus que les marges de la société. A cela, je réponds que là n’est pas l’objet puisqu’il est ici question de l’homme en tant qu’individu et non pas au sein d’un groupe mais que rien n’est plus inquiétant que cette idée de ce rempart civilisationnel car cela signifie que son écroulement ouvre grand les vannes des mauvais penchants.

Ceux qui ont connu la guerre le confirmeront, ils sont revenus effrayé de cette image de l’homme qu’ils y ont trouvé. Les mots qu’ils emploient sont inhumanité, horreur, souffrance, folie, laideur. Les œuvres d’Otto Dix témoignent de tout cela à la fois. Les récits guerriers valorisent les comportements héroïques mais combien d’horreur pour un seul acte de bravoure ? Et l’on voit bien que la bête immonde, tapie au fond de nous-même, enfouie sous les couches de bons sentiments est toujours présente. En société la plupart des hommes cherchent à conserver la reconnaissance de leurs pairs. Si cette reconnaissance passe par le meurtre, meurtres il y aura. Paul Valery disait de la guerre « La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. ». Pourtant, la plupart de ces gens connaissent les commandements ; ils étaient probablement de braves pères de famille, d’honnêtes travailleurs. Mais ils massacrent sans état d’âme au nom d’une cause qui les dépasse. Cette absence de mauvaise conscience n’est-elle pas la preuve du mauvais fond de l’homme ?

Et puis l’homme est stupide en société. Il suffit de considérer l’effet que produit l’appartenance à une bande. Certains groupes de personnes, les gangs, par exemple, ont parfois des épreuves initiatiques, qui ont pour fonction de flasher le bios comme disent les informaticiens. Il s’agit de transcender un tabou pour faire partie de la bande : voler un objet, tuer quelqu’un... Là aussi l’imagination de l’homme est sans limite. Mais ce qui est valable à l’échelle des gangs l’est également à l’échelle des états. L’enchainement presque automatique qui mena à la première guerre mondiale et aux massacres les plus inhumains de l’histoire de l’humanité montre s’il en était besoin que non seulement la civilisation ne protège pas de la barbarie mais que mal programmée, elle peut y mener directement. Faire partie d’une bande, d’un groupe, c’est accepter de faire sien le système de valeur du groupe. Si le groupe est bon, l’homme est bon ; si le groupe est méchant, l’homme est méchant.

Toute cette réflexion est partie d’un article affligeant que je lisais dans la presse belge sur les abandons d’animaux avant l’été. Certaines personnes les laissent dans des conteneurs à journaux avant de partir en vacances. Les commentaires de l’article proposaient de faire subir le même sort aux propriétaires, voire de les punir de la peine de mort pour leurs actes…inhumain. Qu’est-ce qui est plus inhumain ? Abandonner un chien ou tuer un homme ? Peut-on au nom des bons sentiments réclamer la tête de quelqu’un ? Caricatural, certes, mais révélateur de cette nature profonde, toujours prête à rejaillir dès qu’elle perçoit un trou dans la cuirasse, une forme de consensus sur une question taboue, lorsque la peur du qu’en dira-t-on s’estompe. C’est peut-être cela la civilisation, la peur du regard des autres, le besoin d’appartenir au groupe. Et lorsque le bios de ce groupe est orienté positivement, alors l’homme est bon mais si une idée vient à pénétrer ce bios, une idée comme celle par exemple consistant à déshumaniser une catégorie de population, à légitimer un type d’action, alors l’idée se repend, elle infuse et un jour, lorsque l’opportunité se présente, lorsque la civilisation faiblit, un tabou tombe et c’est reparti pour un massacre ethnique, une épuration, des tortures….

La conclusion ? C’est qu’il y une chose sur laquelle on peut toujours parier lorsqu’on veut prédire le futur, c’est le caractère de l’homme. Ce caractère est fondamentalement mauvais. Aux travers mentionnés dans les commandements remis à Moise, il faudrait rajouter la cupidité, l’arrogance, l’orgueil, le ressentiment (ce poison de l’âme) et puis aussi, dans sa grande majorité la stupidité. Parce que l’homme est fondamentalement stupide, pas par conception mais par paresse. Plutôt que de rechercher la vérité, il préfère perdre son temps à des occupations absurdes et s’en remettre à d’autres illuminés qu’il allait jadis écouter le dimanche matin et qui rentrent désormais directement dans son foyer grâce à la télé. La complexité supposée du monde est le prétexte d’une passivité toute panurgienne qui l’amène à hurler sans discernement avec les loups, condamner sans chercher à savoir, ne pas remettre en cause les « inceptions » qu’on lui sert. En fait, l'homme est foncièrement mauvais.



47 réactions


  • Nicolas_M bibou1324 3 septembre 2014 09:27

    L’humanité est multiple. Il existe des gens que vous jugerez mauvais, qui ont trop souffert, à qui on a inculqué trop de haine pour revenir sur le droit chemin. Il existe des hommes que vous jugerez bons. Ceux là on ne les médiatise pas trop, vu qu’ils ne font rien de spectaculaire, comme décapiter des gens ou tirer sur des gosses.


    Si on regarde la télé ou la presse, on est facilement convaincu que l’homme est foncièrement mauvais. Mais la télé reflète tout sauf la réalité.

    Juste une question : qu’est-ce qu’une personne mauvaise ou bonne, pour vous ? Parce que je suis sûr que si vous demandez à une personne issue d’une autre culture, sa réponse sera toute différente. Vous avez visiblement une culture chrétienne, et vous jugez selon ces valeurs. Ce n’est pas la culture de la majorité de la population mondiale, qui ne jugera pas forcément de la même façon. Réfléchissez-y. A quel point votre éducation vous a formaté ? Non parce que pour la majorité de la population mondiale, tuer ses semblables n’est pas quelque chose de mal.

    Et si c’était vous (et les européens) l’exception, à penser que tuer, c’est mal ?

    • epicure 5 septembre 2014 19:24

      Donc si on te tue, parce que ta tête nous revient pas , par exemple, ce ne sera pas mal ?
      Si ça passe par de longues séances de torture , ce ne sera pas mal ?

      Ta carte elle est bidon, elle concerne l’abolition de la peine de mort.
      Cela ne signifie pas que tuer n’est pas un crime.
      En fait c’est l’inverse, c’est parce que tuer son semblable est al pire des choses, que la peine de mort est abolie. Surtout en considérant que al justice est imparfaite, et que des gens peuvent être condamné pour des meurtres qu’ils n’ont pas commis.
      Et surtout donc qu’il est mal de tuer quelqu’un qui n’a pas tué quelqu’un.

      Et les pays qui sont en vert condamnent tous le meurtre par la peine de mort.

      En tout cas ce qu’on peut voir c’est que quelque soit le pays, les gens se plaignent quand des innocents sont tués par al violence de certains.

      Le meurtre a été puni dés la plus haute antiquité, en fait je pense dés que les gens se sont organisés en grandes sociétés dans des villes. Aprés certains ont trouvé des exceptions à cette règle, parce que cela servait leur pouvoir ou leur bon plaisir ( gladiateurs par exemple ).


  • Gabriel Gabriel 3 septembre 2014 09:59

    A l’origine, l’homme n’est ni bon ni mauvais, c’est la société qui formate les caractères et l’homme étant un prédateur s’adapte aux changements de celle ci. La nature n’est ni bonne ni mauvaise elle agit fonction de la nécessité, il en va de même pour l’homme matérialiste. Seule une morale, une spiritualité ou une philosophie peuvent infléchir les instincts bestiaux des mammifères que nous sommes. Les notions du bien et du mal sont flous et fluctuantes avec l’époque, l’environnement et les mœurs pratiqués par une majorité. Elvétius résumait cela en pensant que : « Est bon tous ce qui permet l’évolution d’une société et est mauvais tous ce qui la fait régresser… » A première vue, ça se tient.


    • César Castique César Castique 3 septembre 2014 11:57

      «  A première vue, ça se tient. »


      Pas d’accord : est bon tout ce dont les conséquences se révèlent bonnes, est mauvais tout ce dont les conséquences s’avèrent mauvaises.

      Mais cela fait que ce qui commence par sembler bon, peut fort bien, à court, moyen ou long terme, finir part se révéler mauvais, Et inversement. 

      Ça nous oblige donc à faire au mieux, en fonction de ce que nous pouvons imaginer de l’avenir, et c’est le maximum qui soit à notre portée.

      Et puis alors, il y a une énorme faiblesse dans l’aphorisme d’Helvétius, qui sous-tend que l’évolution est nécessairement bonne, sans voir, de surcroît, que l’évolution des uns est - souvent - la régression des autres. Voir le mariage dit pour tous ou la sanction pénale selon Taubira, pour rester dans l’actualité proche.

    • Gabriel Gabriel 3 septembre 2014 16:53

      Le mariage pour tous et la sanction pénale selon Taubira sont de votre point de vue des régressions mais, ce n’est pas le cas pour tous le monde. Je pense que votre exemple est partisan aussi je ne me prononcerai pas sur des mesures placebo et qui ne sont que de la poudre aux yeux pour masquer les véritables problèmes (Chômage, logement, éducation, pauvreté etc.) L’erreur majeure des gouvernements successifs c’est qu’ils font des lois pour contrer les effets sans jamais s’attaquer aux causes. Commençons par donner à tous une éducation de qualité et un travail correctement rémunéré et vous verrez que la majeure partie des problèmes se régleront d’eux mêmes mais pour cela, il faut une politique de justice et d’équité envers tous les citoyens et non une allégeance au FMI et aux fonctionnaires européens.


    • César Castique César Castique 3 septembre 2014 18:17

      « Je pense que votre exemple est partisan aussi je ne me prononcerai pas... »

      Mon exemple n’est pas partisan, j’ai choisi le mariage dit pour tous et la sanction pénale selon Taubira pour montrer - ce qu’Helvétius n’a pas entrevu - que l’évolution des uns peut être la régression des autres, ce qui est particulièrement flagrant dans ces deux cas. Iol ne faut pas chercher plus loin.

      Pour le reste, les choses me semblent beaucoup moins simples que vous ne les exposez... Parce que la France est assujettie certes au FMI, à la BCE et à Bruxelles, mais par le biais des élites UMPS, elle souscrit au principe même de soumission au Nouvel Ordre Mondial à leadership américain. ET là aussi, certains verront une évolution, là ou d’autres dénonceront une régression, pour en rester à l’aphorisme d’Helvétius, objet de mon intervention précédente.


    • epicure 5 septembre 2014 19:35

      En fait césar reconnait que les lois dont il parle sont vues comme un progrès pour certains et une régression pour d’autres.

      Mais les règles sociétales sont indépendantes d’un pays à l’autre, ce n’est pas l’économie qui joue, mais la culture, les influences de milieux culturels divers, dont notamment les universités, les milieux artistiques etc...

      Une grande partie de la droite défend l’ordre économique mondialisé, cela n’empêche qu’elle est contre le mariage pour tous, quelque soit le pays.

      En fait la notion de progrès ne veut rien dire, si on n’est pas capable de lui définir une direction pour savoir ce qui est un progrès ou une régression.

      Et donc pour qu’une chose progresse, il faut qu’elle se différencie de ce qui était avant.

      Donc al notion de progrès ne peut avoir de valeur que par rapport à un ensemble cohérent dans le passé, c’est à dire la société pré-moderne.

      Au niveau sociétal, le progrès c’est ce qui nous éloigne des relations sociétales autoritaires et inégalitaires des sociétés pré-moderne, des préjugés qui y sont attachés, dit de façon positive donc le progrés c’est ce qui favorise l’émancipation des humains, favorisant des relations sociales basées sur la liberté ET l’égalité, c’est à dire le contraire des sociétés pré-modernes.

      Cela a été le sens des combats des mouvements progressistes depuis les révolutions.


    • Baasiste 2 5 septembre 2014 19:43

      l’occident capitaliste est la plus avancé sociétalement. le « progrès » lol on a vu ce qu’il fait le « progrès » socialiste ou libéral depuis plus de 200 ans. « préjugé »=biologie. sinon le progrès sociétal c’est la fin de la famille, l’individualisme à outrance, le mariage gay, le monde unisexe, la drogue, le sexe, etc... ? « émancipation » et « liberté » et « égalité » ? lol xd ? expliques toi.




  • caillou40 caillou40 3 septembre 2014 10:23

    Depuis le commencement..l’homme est un barbare de la pire espèce...Ceux qui raconte le contraire ont des choses à se reproché...


  • foufouille foufouille 3 septembre 2014 11:25

    « Si ces peuples étaient des ordinateurs, alors ce type d’idées ferait partie de leur « bios », la partie qui ne disparait jamais, même après avoir formaté le disque dur. »

    un bios se falsh et peut être éffacé.on ne peut le changer.

    si on compare, c’est l’OS qui compte. il peut être changé. l’homme est plus compliqué qu’un ordinateur


  • Loatse Loatse 3 septembre 2014 14:32

    je suis d’accord : nous ne sommes pas bons*...Pourtant nous sommes capable parfois de faire preuve d’empathie, de générosité, d’altruisme, de désintéressement mais... tout autant de lacheté, d’égoisme, d’insensibilité, d’orgueil etc....


    Il faut dire toutefois pour notre défense, M’sieur le juge, que nous avons des circonstances atténuantes... :)

     1) nous nous retrouvons à chaque instant de notre vie, face à des choix qui s’effectuent en fonction des acquis, lesquels varient selon l’éducation qui nous est donnée, le milieu culturel dans lequel nous baignons) et de l’inné (notre nature, les traits de caractère dont nous héritons au même titre que les caractéristiques physiques)

    2) nous sommes également doté en plus de nombreux instincts qui tendent à s’imposer, le plus puissant étant l’instinct de survie qui a tendance à ramener tout ce vernis civilisationnel qui est le nôtre, l’inné et l’acquis à peaux de chagrin lorsque nous nous trouvons en danger...

    Bref, si nous voulons bien prendre en compte tous ces paramètres, les choses s’avèrent plus complexes qu’il n’y parait... et je dirai même plus (comme dupont et dupond :) : Une introspection s’impose.......


    *Jesus lui même ne se définissait pas comme bon !

    La preuve par les évangiles :Luc 18, 18-22 (voir aussi dans Matthieu 19 et Marc 10)

    Un notable l’interrogea en disant : « Bon maître, que me faut-il faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? »
    Jésus lui dit : " Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon que Dieu seul.


    .


    ..





    • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 16:47

      «  Pourquoi m’appelles-tu bon ? Nul n’est bon que Dieu seul ». 

      Comme quoi, le seul livre dont on a besoin pour comprendre le destin de l’humanite est et a toujours ete la bible. Tous les defauts de l’homme y sont soigneusement repertories. Mieux qu’une boule de christal, ce livre permet de predire les comportements.

  • jef88 jef88 3 septembre 2014 15:03

    DIEU bon, éternel et tout puissant !
    et il laisse faire le mal !
    n’y aurait il pas comme une contradiction ????


    • Pascal L 5 septembre 2014 10:23

      En fait, pas tant de contradiction que ça. Si Dieu empêchait de faire le mal, il n’existerait pas la liberté de faire le bien. Faire le bien résulte d’un choix personnel, il faut donc que nous ayons la possibilité de faire le mal. Faire le bien de manière forcée, est-ce encore le bien ?


    • epicure 5 septembre 2014 19:42

      par contre est ce qu’une femme peut prendre le serviteur, l’âne ou le mari d’une autre femme ?

      parce que les commandements ne disent rien à ce sujet, puisque ce commandement ne s’adressent qu’à des hommes.

      Déjà on voit la morale profonde du dieu qui considère la femme comme la propriété de son mari, comme une chose, avec l’esclave ( le serviteur ).
      Or le plus grand mal vient toujours de considérer les personnes comme des choses. C’est pourquoi le psychopathe est devenu l’incarnation du mal, puisqu’il considère les humains comme des choses.


    • Baasiste 2 5 septembre 2014 19:44

      la femme aussi à un homme, l’homme et la femme aussi ont des enfants... j’ai aussi des parents et des grands parents... pourtant c’est des choses en parlant ainsi ? non


  • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 16:42

    CQFD : s’il n’est ni bon, ni mauvais, alors il n’est pas bon.


  • Xenozoid 3 septembre 2014 16:56

    moi je dirais plus,
     l’homme est mauvais il a besoin d’une illusion pour se sentire être,tout dans lui sert a justifier, sa morale venu d’un dieu qui change comme le pouvoire joue sur l’abdication de l’esprit,le dénie est le dieux qui reste, de ce dieu qui n’a jamais été,mais une illusion,il le transforme a qui va, avec le temps,il se renferm dans une illusion,il triche car il pense etre seul


  • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 17:12

    Lorsque l’homme appartient a un groupe, il se comportera conformement a la logique de ce groupe, quelle que soient les consequences aussi nefastes soient elles pour son prochain. Les traders ruinent les classes populaires et detruisent des emplois, les terroristent tuent aveuglement.... Lorsqu’il est tout seul et s’il sait qu’il ne peut pas etre vu, son seul critere est son bon plaisir qu’il satisfait avec des actions pas toujours tres respectueuses pour son prochain. La decharge sauvage qui tue les poissons d’une riviere fait partie de ces comportement d’individus certains de ne pas etre pris. Et il en est d’autres bien plus abjects encore. Certes, il y a des gens biens, les exemples sont multiples. Mais je suis d’accord avec la bible, l’Homme n’est pas foncierement bon, il le devient grace a un travail personnel.


    • foufouille foufouille 3 septembre 2014 17:30

      « Lorsque l’homme appartient a un groupe, il se comportera conformement a la logique de ce groupe, »

      c’est la version mouton de panurge.


  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 3 septembre 2014 17:43

    «  »En fait, l’homme est foncièrement mauvais.«  »

    C’est une conclusion fausse et inacceptable ! En l’homme il y a les deux tendances à « être bon » et « être con » ... dans toute la largeur du palmarès de la vie !

    La preuve : il y a aujourd’hui un résultat, il y a une situation mondiale qui n’est pas tout à fait sombre ! Il y a eu des luttes, des religions, des révolutions culturelles, des révolutions scientifiques pendant de longs siècles etc... On est à peu près dans un équilibre mondial dans lequel le Bon et le con sont toujours en duel. Il est vrai que localement on aperçoit souvent la suprématie des conards... néanmoins les choses évoluent !


    • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 18:02

      On ne doit pas vivre dans le meme monde parce que ce que j’en vois, pour ma part, c’est que les connards ont pris le pouvoir et les autres preferent suivre plutot que de desolidariser du groupe et deviennent de ce fait des connards aussi. Ce ne sont pas les « mechants » qu’il faut condamner mais l’immense masse inerte de personne qui les laisse agir sans reagir...


    • foufouille foufouille 3 septembre 2014 18:07

      il te dit juste que c’est plus compliqué

      éteint ta télé.


    • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 19:06
      ce qui est simple est toujours faux et ce qui est complique est inutilisable.

    • Christian Labrune Christian Labrune 3 septembre 2014 19:50

      " La preuve : il y a aujourd’hui un résultat, il y a une situation mondiale qui n’est pas tout à fait sombre ! Il y a eu des luttes, des religions, des révolutions culturelles, des révolutions scientifiques pendant de longs siècles etc... !« 

      Mohammed MADJOUR
      Oui, vous avez tout à fait raison, et j’approuve totalement votre optimisme. Le Califat, par exemple, vient d’être rétabli en Irak. Il ambitionne d’ étendre progressivement sa juridiction à l’ensemble de la planète et c’est enfin une très bonne chose, un signe que le progrès n’est pas tout à fait mort et, comme vous le dites, que la »situation mondiale n’est pas tout à fait sombre« .
      La connerie, ce grand fléau que vous évoquez à si juste titre, correspond à un dysfonctionnement ou à une insuffisance du cerveau, tout le monde en conviendra. Le cerveau, comme vous ne l’ignorez probablement pas, se trouve situé dans la boîte crânienne. Il ne faut pas chercher ailleurs la source de tout mal. Toute tête crânement plantée entre deux épaules, avec ses deux yeux qui roulent bêtement en tous sens et ses oreilles plus ou moins ridiculement décollées constitue, pour l’humanité dans son ensemble, un véritable danger. Beaucoup de têtes d’occidentaux -je n’exclus pas la mienne- sont désastreusement instruites, surtout en matière de religion. Plus on tranchera de ces ridicules excroissances corporelles au sommet des corps, mieux cela vaudra pour le bonheur des peuples.
      Je me rappelle très bien une intervention où vous précisiez, il doit y avoir déjà une petite année de cela, que l’homme et la femme étaient »complémentaires« et non pas égaux. A quoi servent les femmes, en effet, si ce n’est à faire des enfants - il y en a déjà trop !- et surtout à remplir les enfers, comme le faisait déjà remarquer le Prophète, selon un hadith bien connu, d’après Bukhâri et Muslim : »J’ai pu voir le Paradis et j’ai constaté que la plupart de ses habitants étaient des pauvres ; j’ai pu voir l’Enfer et j’ai constaté que la plupart de ses habitants étaient des femmes« . Et comme des femmes interrogent le Prophète, il répond : »Je n’ai jamais rien vu de plus déficient en intelligence et en religion que vous"
      La voilà donc fort bien et fort clairement stigmatisée, la seconde source de la connerie universelle : les femmes. On a reproché ces derniers temps aux musulmans du Califat de n’avoir pas été trop tendres avec les femmes, avec celles des Yézidis en particulier, quelque peu violées et même vendues souvent comme esclaves, mais c’est qu’ils sont simplement cohérents, nos braves jihadistes : ils prennent au sérieux des textes qu’ignoreront toujours les connards que nous sommes, nous autres mécréants.

      PS - Je doute fort que vous approuviez plus que moi les exactions de l’EI ! Mais comme vous nous avez déjà insidieusement distillé sur ce site une idéologie qui n’était pas loin de celle d’Ennahdha à l’époque où les femmes tunisiennes luttaient précisément pour leur droits, il était de bonne guerre que je vous adresse, ironiquement et sans méchanceté, ce petit éloge paradoxal du jihadisme.


    • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 4 septembre 2014 16:51

      @ Christian Labrune (---.---.---.99) 3 septembre 19:50

      Il doit y avoir beaucoup de brume brune dans dans votre cervelle, je ne veux pas dire un épais nuage ! C’est vraiment bizarre ces franchouillards qui mélangent tout dés qu’ils voient quelque part le nom de « Mohammed » : Enrichissez votre culture, déverrouillez vos cervelles !

      Pour ce qui des « têtes coupées », jusqu- a présent, aucun pays, aucune organisation macabre n’a égalé le record de la France contre-révolutionnaire, ça va gardez votre objection !

      Pour ce qui est de « l’égalité des homme et des femmes », je refuse cette idiotie, cette absurdité, cette stupidité, cette hypocrisie, cette crasse ignorance même si je dois m’opposer à sept milliards d’être humains : Oui, l’homme et la femme (plus généralement le mâle et la femelle sont différents, ils naissent différents physiquement et mentalement et n’ont vraiment aucune vocation a devenir égaux aussi persistante soit la science mariannesque ) Plus terre à terre, c’est précisément la société française qui refuse à la femme ses droits, c’est la société française malade qui fait de la femme un objet de plaisir, un objet de publicité, c’est la société française (la seule au monde) qui paie à la femme un salaire inférieur à celui de l’homme ; gardez votre réflexion, interrogez surtout les Africains et les asiatiques autour de vous, il confirmeront que chez eux la femme est identiquement payée que l’homme ! La France a le seul « mérite » d’avoir collé à la femme le statu de chèvre obéissante qui doit obtempérer à la volonté du bouc !

      Et puisque vous semblez vous intéresser à mes écrits et vous me rappelez des passages : Rappelez encore ceci : La science occidentale est fausse, l’histoire occidentale écrite par les occidentaux pour les occidentaux est fausse, le projet occidental a foiré et l’avenir occidental est sur le sable mouvant : Ne suffoquez pas, le terrorisme est une théorie et une pratique (françaises) occidentales, IL VAUT MIEUX ARRÊTER DE TOUT MÉLANGER . L’ensemble des vivants (humains et animaux) du fragment ouest de l’Europe ne pèsent pas un neutron à côté de la religion musulmane ! Charia vous-même !!!


  • Corinne Colas Corinne Colas 3 septembre 2014 20:16

    « Parce que l’homme est fondamentalement stupide, pas par conception mais par paresse. »


    ... c’est ce que disent pour justifier leurs décisions, les Rockefeller, les Rothschild, les Bill Gates, les Hollande, les Valls, les Baroso, les Juncker, BHL, Club du Siècle, Bilderberg etc. etc. pour parler des plus en vue mais la liste est trop longue (sans oublier leurs chiens ou perroquets du PAF) bref tous nos bergers qui savent à notre place ce qui est bon pour nous ! 

    Certes, cela ne nous enlève pas certaines responsabilités à nous péquins moyens toutefois il faut savoir faire la part des choses. Si à notre niveau, nous avons aussi un immense pouvoir (ex devenir tous végétarien/végétalien, c’est faire d’une pierre quatre coups : santé, environnement, violence, faim), désolée de constater que je ne suis pas responsable des atrocités commises en mon nom ou au nom de la démocratie par ex (si c’était le cas, j’ai donc la capacité d’y remédier). De même, entre la bêtise proférée sur internet par quelqu’un sans pouvoir (ex dans l’article, la loi du Talion pour les chiens abandonnés) et les déclarations d’un autre au gouvernement, c’est le deuxième qui est réellement inquiétant non ?

    « Les connards » comme vous l’écrivez, ont de tout temps, eu le pouvoir parce qu’une bonne connaissance de notre fonctionnement, permet tous les abus sans que nous en soyons conscients justement. Ils peuvent nous amener à l’abattoir en chantant... Le syndrome du larbin n’est pas non plus une vue de l’esprit...

    Fondamentalement, l’homme n’est pas stupide mais manipulable comme tout vulgaire chien de Pavlow, cela est connu depuis longtemps. Notre cerveau n’a pas été conçu pour se prémunir des « mauvaises » influences pourtant impossible de retourner le produit au fabricant ! 


    Aujourd’hui, cela paraît plus facile grâce à tous les nouveaux moyens de communication... « L’homme est comme le lapin, il s’attrape par les oreilles » (La Rochefoucauld ? de mémoire), on devrait se répéter cette phrase tous les jours pour tenter d’être indulgent avec les autres, avec soi-même... En effet, même si pour certains, c’est moins souvent que la moyenne, tout le monde tombe dans ce piège : vous, moi, les autres... (Vous en décrivez quelques mécanismes d’ailleurs, c’est notre force et notre faiblesse, notre « kit de survie » inné)

    Et pourquoi ?

    Parce que l’être humain normal est incapable de réfléchir comme un psychopathe, ce dernier étant bien différent du reste de la communauté où il sévit et contamine... 

    Résister, c’est apprendre à reconnaître quand un contaminé (ou influencé et dans ce cas, il est de bonne foi) nous sert la soupe préparée par les psychopathes de tous poils. 

    Son goût est finalement archi-connu, cela se résume à « l’être humain n’est qu’une merde, c’est sa nature » et certains vont à la conclusion implicite : « il n’a que ce qu’il mérite ». 

    Préférons nous inspirer de Théodore Monod plutôt que de celui qui a écrit « Mein kampf » !



    • Breton8329 rol8329 3 septembre 2014 21:07

      Bravo et merci pour cette remarque très claire et très à propos sur les psychopates qui manipulent les foules pour leur bon plaisir. En abordant le problème sous l’angle des pervers narcissiques et autres psychopates, peut être que nous parviendrions à la conclusion que l’homme n’est pas si mauvais mais que sa fainéantise naturelle, à moins que se soit sa gentillesse innée, le positionne en situation de faiblesse par rapport à ce type de personnage très volontariste...


    • epicure 5 septembre 2014 21:07

      "
      Notre cerveau n’a pas été conçu pour se prémunir des « mauvaises » influences pourtant impossible de retourner le produit au fabricant !
      « 
      Le cerveau de l’être humain a d’avord été développé pour survivre dans un environnement hostile, au mileu d’autres êtres humains solidaires ( la petite tribu familiale ) . Mais pas que l’environnent hostile ce soit les êtres humains. C’est l’évolution qui a fait ça, de favoriser les comportements qui permettent de réagir rapidement sans cogiter face à une situation dangereuse.
      Cogitation du genre :
      - tiens un animal qui a approche, voyons il est assez gros, sur ses quatre pattes, une longue queue, tien s le son qu’il fait un dirait un rugissement, sa peau a l’air rayé , maintenant qu’il est plus proche ont dirait qu’il a de grandes dents et des grosses griffes, ah mais oui c’est un tigr.....

      enfin bref notre homme préhistorique a largement de se faire bouffer le temps qu’il cogite qu’il a un prédateur face à lui, s’il n’avait pas de »circuits« rapides de traitements de l’information, qui passent par les émotions. Et toutes ces réponses sont faites pour être optimales dans les situations de survie, mais aussi de savoir reconnaitre un autre être humain, dont l’entourage de son groupe ( c’est pourquoi on peut »voir" des visages dans le nuages ou dans les rochers, ou dans les marques de brulé d’une croque monsieur ), et aussi dans un environnement de pénurie.
      L’homme sauvage survie donc car il est équipé de réponses rapides qui passent par les émotions.

      Seulement nous avons le même bagage de départ, dans un monde totalement différent, où l’environnement est constitué d’humains ou de choses domestiquées/fabriquées par les humains.
      Et les réponses valides face à un environnement hostile, peuvent se relever délétères dans notre environnement civilisé.
      Un des pires exemple, ce sont les hommes qui vivent dans l’opulence, mais dont le cerveau est resté coincé dans l’environnement de pénurie ( c’est un peu comme une anorexie à l’envers dans un certain sens ), qui donc accumulent, accumulent, par peur inconsciente de manquer.

      Mais l’humain a des ressources qui le différencient des autres animaux, et qui font l’homme, et non une créature guidée par ses seuls instincts primaires.
      L’humain a les capacités ( variables selon les individus ) de modeler l’expression de ses sentiments et émotions, de contrôler le traitement de ses perceptions, par la conscience, et faire ainsi qu’il n’agit pas comme un simple animal. Il peut dompter ses émotions quand il a consciencce que la réaction émotionelle va être dommageable pour lui ou quelqu’un d’autre.

      Cela s’appelle la modération, l’autodiscipline, la raison etc....

      Et donc par un travail actif, il peut résister aux manipulations, en apprenant à les détecter.

      L’homme ne né ni bon, ni mauvais, mais l’environnement, l’éducation , et parfois des prédispositions personnelles, pourront favoriser l’un ou l’autre.

      Il est intéressant de voir que les crises favorisent les réactions de milieu hostiles, favorisant les idées basées sur la colère, le mépris de l’autre, l’agression ( par exemple les idées racistes ).


  • soi même 3 septembre 2014 23:24

    Il faut être à minuit moins deux pour le savoir, ouf, demain ,je serais moins naïf !  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  ?


  • scalino scalino 4 septembre 2014 06:57

    L’homme n’est ni bon ni mauvais c’est un animal opportuniste quand on a compris ça on comprend mieux son comportement  ;-|


  • prolog 4 septembre 2014 07:51

    Bonjour,

    Je suis d’accord sur le fait qu’on ne soit pas « bon », même si c’est un raccourci à mon avis. On est peureux et fuyard, le reste est logique.

    Par contre, je ne pourrais pas être aussi catégorique que vous sur le fait que ca constitue notre état naturel. Vous comme la plupart des gens sommes incapables de distinguer cet état naturel (s’il existe) avec ce qu’on a acquis de la civilisation, la culture, (et pourquoi pas d’autres incarnations, j’en sais quoi moi :) ).
    Les dix commandements, c’est pareil. Si ca a existé ailleurs que dans un bouquin, ca semble dater d’une époque où la distinction était impossible aussi.
    Et quand on voit à quoi servent les lois (ie payer une police pour déplacer un problème), on peut douter que ca ait été créé pour rectifier le comportement de l’homme. Les lois sont avant tout un outil de pouvoir.
     


  • Pascal L 5 septembre 2014 11:18

    Au départ l’homme est juste une variété de grand singe. Le comportement social de l’homme est similaire aux comportements des grands singes, empruntant tel ou tel trait de comportement à tel ou telle espèce de singe. On ne se pose pas la question du bien ou du mal pour les singes et l’homme ne s’est sans doute pas posé la question pendant quelques dizaines de milliers d’années. Tant que les Dieux qu’il s’est créé étaient à son image, il ne devait pas penser différemment.

    Le changement intervient pour moi au moment où l’homme commence à penser qu’il existe un Dieu, non pas construit à notre image mais immensément bon. Le mal commence alors à apparaître comme une transgression. La notion de bien n’apparaît pas en une fois, mais très progressivement et continue à évoluer aujourd’hui. Le livre de la Genèse, une fois que l’on a compris que ce n’est ni un livre d’histoire ni un livre de science, décrit très bien ce mécanisme. La notion de Paradis terrestre décrit pour moi la période ou l’homo sapiens, qui n’est pas encore l’humanité, ne se pose pas de questions sur le bien et le mal. On est très loin de l’imagerie qui a été développée ensuite.

    Si nous regardons aujourd’hui l’organisation des structures de pouvoir (gouvernements, partis politiques, grandes entreprises) nous pouvons encore observer des comportements sociaux très proches des comportements des grands singes. L’évolution vers le bien n’est pas dans les gênes de ces structures. Quand il y a une modification du fonctionnement du groupe, c’est sous l’influence de quelques individus. Lorsque ceux-ci disparaissent, le comportement du groupe revient à la case départ.

    On nous parle aujourd’hui de morale laïque comme un optimum. Les individus se sacrifient parce qu’ils ont plus à gagner lorsque le groupe va bien. Ce comportement est vrai tant que l’écart entre les gains à se comporter égoïstement et les pertes lorsqu’il fait le jeu du groupe est faible. Lorsque l’écart augmente, les comportements changent. Il suffit d’observer le comportement des personnes qui nous gouvernent pour comprendre.
    Le bien sans la conscience d’un Dieu immensément bon est une chimère.

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