samedi 5 décembre 2020 - par republicain

Avant de piquer papy et mamie, consultez votre vétérinaire !

 

Les vétérinaires interdisent de vacciner les animaux s’ils sont malades ou s’ils ont déjà eu un coronavirus

Les chercheurs vétérinaires planchent depuis des années sur les coronavirus animaux, dont certains sont relativement proches de celui qui circule actuellement chez l’homme. Des vaccins ont été mis au point. Mais leur efficacité est hélas souvent décevante. Certains ont même posé problème, comme cela a été le cas pour celui contre le coronavirus du chat, en augmentant potentiellement les risques pour l’animal ou en provoquant des réponses immunes inadaptées. Pour le cas présent, l’incertitude existe aussi : aucun vaccin n’a jamais été mis au point pour un coronavirus pour l’homme, même si des projets étaient bien avancés pour le Sras, en 2003 (l’épidémie s’était éteinte avant la fin des travaux).

La formation d’anticorps dits « non neutralisants » peut conduire à une réaction immunitaire excessive, en particulier lorsque les sujets testés sont confrontés au vrai virus « sauvage » après la vaccination. Cette soi-disant amélioration dépendante des anticorps, ADE, est connue depuis longtemps par des expériences avec des vaccins corona chez le chat. Au cours de ces études, tous les chats qui avaient initialement bien toléré la vaccination sont morts après avoir été infectés par de vrais coronavirus. Cette réaction excessive est encore favorisée par les boosters actifs.

Les vaccinations devraient produire des anticorps contre les protéines de pointe du SARS-CoV-2. Cependant, les protéines de pointe contiennent également des protéines homologues à la syncytine, qui sont essentielles pour la formation du placenta chez les mammifères tels que les humains. Il doit être absolument exclu qu’un vaccin contre le SRAS-CoV-2 déclenche une réaction immunitaire contre la syncytine-1, sous peine de provoquer une infertilité de durée indéfinie chez les femmes vaccinées.

http://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccination-sars-cov-2-le-dr-wodarg-et-le-dr-yeadon-disent-stop

 

https://www.letelegramme.fr/france/coronavirus-pour-les-animaux-les-vaccins-ont-souvent-ete-decevants-16-04-2020-12540144.php

https://www.lefigaro.fr/sciences/les-lecons-contrastees-des-vaccins-veterinaires-contre-les-coronavirus-20200505

https://www.royalcanin.com/fr/cats/kitten/feline-infectious-peritonitis

On sait que : vaccins à VRSB/coronavirus sont dangereux donc contre indiqués chez les animaux malades. On vaccinera sans discriminer ; gens malades peu ou pas symptomatiques, ou ayant eu la maladie…

AVANT DE PIQUER PAPY ET MAMIE CONSULTEZ VOTRE VETERINAIRE

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https://pgibertie.com/2020/12/01/les-labos-avouent-les-limites-de-leurs-vaccins-le-traitement-seule-alternative/



17 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 5 décembre 2020 11:34

    D’ailleurs, mes chats ont toujours refusé d’être vaccinés et je vois qu’ils ont bien raison !

    Par contre, ils prennent bien leur vermifuge, et moi aussi.


  • McGurk McGurk 5 décembre 2020 11:35

    Merci pour cet article clair, concis et très intéressant !

    Cette manie de vouloir vacciner et les informations présentes sont vraiment effrayantes !


    • Clark Kent Séraphin Lampion 5 décembre 2020 11:45

      @McGurk

      C’est pas une manie, c’est un business.


    • njama njama 7 décembre 2020 13:03

      Les liens d’intérêts sont souvent évoqués, voire heureusement dénoncés parfois, concernant des médecins et des experts chargés de notre sécurité sanitaire, mais très rarement ceux qui lient l’État à l’industrie pharmaceutique. Il ne s’agit pas de complot, tout est public.
      De même que le mythique Institut Pasteur, la branche vaccin de Sanofi est considérée comme un fleuron de l’industrie française, tout comme Airbus l’est pour l’industrie aéronautique. A ce titre le sérail politique, qu’il soit de gauche ou de droite, se comporte en représentant de commerce d’une « industrie nationale ». Les liens entre le monde politique et les labos sont bien établis très officiellement :

      « les laboratoires pharmaceutiques constituent les partenaires naturels des pouvoirs publics... »,
      « La France est le premier pays producteur de vaccins et exporte 85 % de sa production.... » « Cette situation favorable doit être confortée par les pouvoirs publics par une politique ambitieuse d’installation et de maintien des sites de production,... » Sénat, Rapport n° 476 (2006-2007)

      http://www.senat.fr/rap/r06-476/r06-476.html
      un peu plus de détails sur ce Rapport >

      https://www.agoravox.fr/commentaire4297689
      Suite à quoi, il est naïf d’attendre une impartialité de jugement sur les vaccins de la part des autorités de santé comme des autorités politiques en général...


  • zygzornifle zygzornifle 5 décembre 2020 16:43

    Avant de les piquer il faut les dépouiller vite avant que Macron s’en charge .....


  • eau-du-robinet eau-du-robinet 5 décembre 2020 17:05

    Bonjour,

    .

    « A ce jour les animaux domestiques et les animaux sauvages ne jouent aucun rôle épidémiologique dans le maintien et la propagation du SARS-CoV-2 en France, où la diffusion du virus est aujourd’hui le résultat d’une transmission interhumaine par voie respiratoire. » déclare l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses) dans ses conclusions du 19 novembre, version actualisée de son communiqué d’avril 2020Cela ne veut pas dire que les animaux domestiques ne sont pas « réceptifs » au virus. Ils peuvent l’héberger sans forcément développer des symptômes. Depuis le début de l’épidémie en décembre 2019, cinq cas de chats porteurs du Covid-19 ont été détectés : un à Hong Kong, un en Belgique, deux à New York et un en France. La question du risque de transmission du coronavirus Sars-CoV-2 entre l’homme et l’animal (domestique surtout) s’était alors posée. 

    Quels risques de transmission ?

    Dans son communiqué du 19 novembre, l’Anses confirme que les animaux domestiques ne sont pas des vecteurs de transmission du coronavirus Sars-CoV-2 à l’homme. Leurs experts indiquent que :

    • Les chiens sont réceptifs au SARS-CoV-2, c’est-à-dire qu’ils peuvent héberger la Covid-19 sans avoir de symptômes, leur sensibilité (capacité exprimer des signes clinques ou des lésions dues au virus) reste néanmoins à confirmer. "Très peu de chiens ont développé des signes cliniques en condition naturelle au regard des niveaux d’exposition au virus pourtant très élevés (des milliers de personnes infectés par la COVID-19 ont été en contact étroit avec leur chien). Par ailleurs, les essais réalisés sur des chiens contacts n’ont pas permis de démontrer une transmission du virus entre eux. Enfin, il n’existe pas, à l’heure actuelle, de données scientifiques mettant en évidence une transmission du SARS-CoV-2 depuis le chien vers une autre espèce."
    .
    source et suite ...

    • I.A. 5 décembre 2020 18:26

      @eau-du-robinet

      Très instructif. 
      Il est effectivement très peu probable que les microbes ne circulent pas entre humains et animaux domestiques ou d’élevage. Je dirais même que ça semble impossible : les contaminations sont nécessairement croisées et ancestrales...

      Mais tant qu’à pratiquer un hygiénisme suicidaire, autant abattre tous les animaux domestiques et d’élevage  pas que le vison ! Allez hop !


  • ETTORE ETTORE 5 décembre 2020 17:13

    C’est incroyable ce que la perversité est ancrée chez certains....

    Prenez le cas de l’Italie..... se pose le cas....de la disparition des effets personnels des gens décédés..... Bracelets, alliances, portables.....

    D’ici que les dents en or, aient été arrachés.....On se retrouve avec une histoire ancienne bien connue.

    De toute façon, en dehors de ces funestes comportements, ailleurs, tout comme ICI, il reste la somme incommensurables des personnes que l’on a laissé crever ou aider à crever par simple délégation !

    C’est un « holocauste » à répétition pour ce pays, et si on veut faire le parallèle avec les plaies d’Egypte, ce ne sont pas les nouveaux nés, qui ont trépassé, mais bien les plus anciens .

    Et cela pourquoi ? Pour libérer le pognon des labos par ce même pas sauvé des eaux, qu’est notre Monarc National .


  • I.A. 5 décembre 2020 18:32

    Moi, mon vétérinaire-traitant me l’a déconseillé, ce vaccin !

    Les médecins, je ne les écoute plus depuis le mois de mars 2020 : je pense qu’ils sont autistes. Ils devraient s’occuper d’animaux. Il paraît que ça soigne beaucoup de maladies mentales, le contact avec les animaux...


    • JPCiron JPCiron 5 décembre 2020 21:17

      @I.A.

      Oui, sans doute consultons-nous le même vétérinaire...
      Lesquels sont souvent de bon conseil : ils traitent une variété d’espèces animales, ce qui leur permet de percevoir des liens entre les choses.
      Nos médecins ne traitent qu’une espèce...

      En tout cas, la vaccination commencera par ceux dont l’espérance de vie est plus courte. Si cela tournait mal, l’opération aiderait au moins à réduire le déficit des caisses de retraites...
      .


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