samedi 29 août 2020 - par Bernard Dugué

Avec le Covid-19, ils ont fabriqué une société de la peur ; sont-ils devenus malades ?

 

Ce texte est prévu pour figurer dans mon livre intitulé : Covid-19 Mystery Strain

 

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 La crise sanitaire de 2020 est aussi une crise de société, pour ne pas dire de civilisation. Cette crise ne se réduit pas aux effets systémiques constatés dans le monde, causés par les décisions des gouvernants appuyées par une expertise scientifique et gérées par les systèmes de la puissance publique. Cette crise est aussi intérieure, affectant les âmes et les consciences. Une peur s’est propagée. Quelle est la nature de cette peur ?

 

 1) La question du mal comme introduction à la question de la peur. La Shoah a suscité des questionnements avec une controverse autour de la thèse développée par Arendt sur la banalité du mal, à l’occasion d’une enquête sur la personnalité d’Eichmann avant et pendant le procès de ce « bureaucrate des camps » tenu à Jérusalem. Le mal était-il banal ou radical ? Cette question est importante mais sans doute mérite-t-elle une analyse sémantique précise. Que signifient ces qualificatifs de banal et de radical ? Banal signifie qu’Eichmann aurait agi comme un fonctionnaire, effectuant une tâche sans se préoccuper de la portée morale ou idéologique des gestes accomplis. Radical est employé dans un sens proche de celui utilisé pour désigner des individus adhérant aux idéologies islamistes, salafistes ou autre. Ces gens sont désignés comme radicalisés, adjectif que nul n’emploierait pour parler d’Eichmann alors que cet homme était bel et bien radicalisé, comme la plupart des exécutants du nazisme. Le nazisme fut une radicalité d’Etat, comme l’est le salafisme dans des pays musulmans mais pas en France. Seuls quelques individus sont radicalisés, ce qui veut dire que l’idéologie toxique à laquelle ils adhèrent s’est enracinée dans leur âme, avec le mal comme puissance qui les habite et leur permet de commettre parfois des attentats. Le débat porte alors sur un mal enraciné ou alors un mal contingent. Autrement dit, Eichmann adhéra au nazisme en étant imprégné de cette peste idéologique ou alors Eichmann n’était qu’un fonctionnaire qui s’est trouvé là au moment où il fallait signer des formulaires pour envoyer des juifs vers les camps. Le mal enraciné est tout autre. Si le mal est radical, alors Eichmann envoya les juifs vers les camps en connaissance de cause, accompagnant ces actes par une adhésion à la peste idéologique nazie. C’est donc ici le point central de la controverse générée par l’analyse d’Arendt qui exempta Eichmann de l’accusation de radicalité en traçant une conjecture hasardeuse sur une déficit de pensée, bref, faisant d’Eichmann on homme ordinaire, un représentant du On heideggérien. Une analyse bien menée qui fut déconstruite depuis. Un mal radical est un mal essentialisé, par opposition à un mal banal qui lui, apparaît comme contingent ou alors accidentel. Essentialisé signifie qu’il est devenu une puissance, qu’il se manifeste avec une intention. C’est simple à comprendre. Un mal accidentel se produit lors d’un emportement, une colère passagère, un coup échangé, un coup malheureux, parti trop vite, inopinément. En revanche, le mal essentialisé génère une intention. Le coup n’est pas accidentel, il est prémédité, il est parfois calculé. L’homme infesté de ce mal attend l’occasion, le prétexte pour porter le coup et il le fait en trouvant raisons et justifications. Le nazi savait pourquoi il envoyait les juifs au camp, le pervers narcissique sait pourquoi il détruit sa victime qui devient son exutoire, une victime coupable de ne pas suivre la loi de sa toute puissance et doit en conséquence expier sa faute. L’essence du mal est d’être un poison de l’âme qui souvent, pour se soigner, n’hésite pas à faire le mal à l’extérieur, comme si par un effet de miroir le patient infecté par le mal voyait dans l’autre la cause de ce mal.

 La vengeance aussi repose aussi sur un mécanisme du mal entré dans l’âme après des événements fâcheux subis par « victimes » dans le passé. Mais il n’est pas nécessaire d’avoir été victime, il suffit de se sentir victime par procuration, comme dans les familles corses où se pratiquait la vendetta et maintenant dans les mouvements féministes ou alors anti-esclavagiste. Chaque femme ou chaque membre de la communauté noire américain pratiquant la posture de la victime. Pour les unes Bertrand Cantat ne doit plus se produire sur les scènes musicales, pour les autres il faut déboulonner les statuts des « héros » de l’ère coloniale. La vengeance est un ressentiment dont on peut dire que comme le rire, il est le propre de l’homme, sauf qu’il ne fait pas rire. Le sentiment de vengeance appartient au mal essentiel, bien qu’il soit de moindre intensité que la haine. Les nazis étaient habités par ce mal essentiel composé de ressentiment à l’égard de la grande défaite de 1918, du traité de Versailles qui s’en suivit, avec une haine des valeurs démocratiques libérales, du parlementarisme et surtout, la haine des juifs et de tout ce qu’ils ont réalisé dans le monde moderne. Cette haine a poussé les nazis à commettre l’abominable. Ils n’ont pas été les premiers ni les derniers. Des centaines de milliers de tutsis furent massacrés en plein milieu des années 1990.

 

 2) Du mal à la peur. Il existe en premier lieu une différence (a) le mal en soi et le (b) mal produit dans le monde. Faire mal et avoir le mal en soi sont deux choses distinctes. Une pierre qui vous tombe dessus risque de vous faire mal mais la pierre est sans âme. Une porte refermée sur votre main vous fera mal mais celui qui l’a refermée n’avait pas vu votre main et ce pourrait très bien être une belle personne dans la vie au quotidien. Le mal en soi est une maladie portée par l’homme qui très souvent, se décharge en mal causé dans la société et si ce n’est pas le cas, finit par altérer l’organisme.

 Le mal occasionné passe par plusieurs types de causes se scindant en intentionnelles et non intentionnelles On distingue ainsi (i) Le mal produit par la radicalité, l’essence toxique qui a infesté l’âme, telle une énergie sombre débordant pour générer le mal en visant des cibles, expiatoires le plus souvent ; un mal qui se propage dans les gouvernants et les populations Il existe aussi (ii) un mal intentionnel mais contingent, produit par une situation qui ne rend pas nécessaire la génération du mal mais l’acte qui va le produire. Ce mal n’est gouverné par une essence toxique, il arrive lorsque les événements le justifient, par exemple lorsqu’un policier est d’obligé d’abattre un forcené pour éviter le pire. Un mal est causé pour en éviter un autre. C’est un classique de la sociologie. (iii) Le mal rationnel est le fait des fonctionnaires et autres bureaucrates prenant des mauvaises décisions ou alors imposant des contraintes morales ou physiques depuis leur bureau. Ils le font pour obéir aux ordres ou alors parce qu’ils sont convaincus de réaliser des opérations conformes à une idéologie qui les justifie. Ce fut le cas pour Eichmann. On peut actuellement se poser la question en observant les propos et les agissements du préfet de Paris Lallement. C’était sans doute le cas d’Eichmann. (iv) Le mal accidentel arrive par pure contingence, à l’occasion d’un mot de travers échangé, d’un énervement passager, d’un énergumène imbibé d’alcool et ne savant plus se maîtriser. Le mal accidentel est causé sans intention, contrairement au mal produit par la radicalité (l’essence).

 Peut-on transposer la question du mal à question de la peur ? Vous croisez un serpent ou un ours, vous avez peur et vous faites tout pour l’éviter. Ce n’est pas une tare et c’est même le signe que l’évolution adaptative a développé des mécanismes neurologiques de survie. Quand le serpent détale vous n’avez plus peur. En randonnant sous un orage, vous avez peur tant que la foudre continue à tonner, après c’est terminé et tout est oublié. Dans d’autres circonstances la peur dure des mois, voire des années. A chaque moment, le résistant craignait de voir un Allemand débarquer chez lui ou surgir d’un talus, et pour vivre avec cette peur durable, il fallait s’armer de courage. La peur est une nécessité et le courage est une utilité qui sert à vivre avec la peur. S’il est humain et sain d’avoir peur pour inciter à la prudence et la vigilance, en revanche, des peurs irrationnelles ou irraisonnées peuvent émerger et constituer un poison comme le mal, un poison conduisant les hommes et le pouvoir à commettre des actes inappropriés, voire même l’irréparable. Combien de « sorcières » brûlées pendant la longue chasse au démon pendant les XVIe et XVIIe siècle en Europe ? La peur des sorcières a conduit les tribunaux princiers à prononcer des peines de mort, tout en gagnant l’assentiment des populations manipulées par la propagation d’une ambiance de peur. De plus, il n’est pas certain que la peur ait été le seul ressort dans cet épisode. Des enjeux de pouvoir sur les corps et les âmes ont traversé ces siècles. C’est autant la peur que la défiance (parfois haineuse) face à ces « femmes renégates » qui conduisit aux bûcher les sorcières. Par ailleurs, les pouvoirs politiques ont parfois été gagnés par la peur ou alors ont généré la peur dans les populations qu’ils voulaient mettre sous leur coupe. Ce fut le cas dans l’Union soviétique, de Staline à Brejnev. Les Etats-Unis n’ont pas échappé aux épisodes de panique politique et ont connu pitoyable époque du maccarthysme. Les autorités avaient pris en grippe les communistes et autres gauchistes. Plusieurs millions d’Américains furent soumis à des enquêtes policières et judiciaires. Le dramaturge Arthur Miller en fit une pièce de théâtre, Les sorcières Salem, en se basant sur le procès en sorcellerie tenu à Salem en 1692. Il présenta sa pièce comme une allégorie du maccarthysme et fut placé à son tour sur la liste établie par le Comité des activités anti-américaines. La peur, sentiment ou émotion naturelle, a été souvent employée par le pouvoir pour contraindre les populations à se plier aux règles fixées par l’Etat et parfois, c’est carrément le pouvoir qui fut habité par les peurs.

 La peur spontanée est transitoire. En règle générale, elle est ajustée à l’intensité de la menace et produit une réaction appropriée. La peur vous place en situation de vigilance, elle vous rend attentif et prudent et lorsque la menace arrive, elle vous permet de réagir avec justesse. En revanche, une peur instillée par des messages émanant des gouvernants et gestionnaires de la société peut devenir irraisonnée, amplifiée, exagérée. Le résultat psychique n’est tant une peur qu’un sentiment diffus constitué de crainte, inquiétude, anxiété. Ces sentiments logent dans l’âme durablement, comme c’est le cas pour le « mal » essentiel ou radical. L’inquiétude et l’anxiété deviennent un caractère essentiel ancré dans la société, sorte d’énergie grise entretenue maintenant par les médias de masse, les infos en continu, les réseaux sociaux. La peur arrive en réaction à une situation objective, l’anxiété maladive est logée à l’intérieur de l’âme, sans qu’il soit nécessaire qu’un objet la génère. Si la « peur » fut légitime lorsque la vague épidémique arriva en mars 2020, elle ne se justifie plus en septembre 2020. Les « parlants » dans les médias, politiques, experts, journalistes, ont instillé depuis la fin du déconfinement une peur du virus et de la maladie, alors que les hospitalisations et réanimations étaient restées modestes, décroissant progressivement pour se stabiliser à partir de la mi-juillet. Cette fabrication d’une société habitée par la crainte fut dénoncée par quelques rares observateurs, au point que des médias ouvrent le débat sur une situation de dictature sanitaire en France.

 La crainte qui n’est pas liée à une situation réelle devient un mal, non pas un mal positif incitant à agir, à se mobiliser, à haïr, à détruire, mais un mal qui inhibe, empêche de se lancer avec passion et joie dans les actions, rend les gens timorés, génère parfois de la lâcheté. Bref, une crainte maladive qui finalement est un moindre mal, mais un mal tout de même, qui mine la société, empêche les gens de vivre librement, sereinement, de cultiver l’amitié, l’invention au quotidien, le partage. Cette crainte ou inquiétude maladive conduit les gens à voir dans l’autre un contaminé, un pestiféré, à l’instar des sorcières habitées par le démon du mal, ce qui nous ramène des siècles en arrière, nous qui avons cru qu’avec la science nous entrions dans le royaume radieux de la connaissance et du bien vivre matériel.

 La peur maladive a été instillée collectivement, par les médias, les experts, les politiques. Elle s’est disséminée dans les populations en manque d’immunité rationnelle ou spirituelle. Les gens portent le masque parce qu’ils ont craignent le virus, d’autres parce qu’ils redoutent un reconfinement, ou alors craignent le gendarme, enfin, c’est pour beaucoup un chantage moral, autrement dit une culpabilisation, acceptée avec une drôle de servitude ; refuser le masque c’est ne pas vouloir protéger les autres, c’est conduire les fragiles dans les salles de réanimation. La configuration éthique et morale de la peur est plus compliquée que la question du mal, qui n’était déjà pas simple, suscitant des milliers d’articles philosophiques. Les autorités combattent un mal épidémique par un autre mal qui pourrait être dévastateur. Suppression des libertés publiques, masque du visage, délitement des relations sociales, ambiance de crainte, surveillance policière de chaque individu dans la rue. Il n’y a que dans les dictatures que l’on voit cela. En honnête homme du monde, vous faites tranquillement vos courses dans un supermarché et vous voyez débarquer deux gendarmes, des militaires, venus contrôler le port du masque. Dans les centres-villes, dès que vous arpentez une rue, vous devenez suspect, surveillé par les policiers venus constater si vous avez le masque. Que vous le portiez ou pas, vous êtes surveillés !

 Enfin, la peur est instillée en direction d’une population qui est censée ne pas avoir peur, les jeunes. Les messages d’alerte sont émis par les journalistes de service relayant les sachants experts. Même jeunes, vous êtes en danger disent les autorités. Fais pas ci fais pas ça. On dirait des messages de surveillants dans une cours d’école, adressés à des enfants. Danger ou pas ? Les chiffres parlent. De mars à septembre 2020, 98 décès ont été enregistrés dans la tranche des 30-40 ; soit en ajoutant les quelques décès de la tranche précédente, un peu plus de 100 décès pour les 20-40. Pendant cette période, la sécurité routière enregistre quelque 1600 décès sur les routes, sans compter les accidentés. En calculant approximativement, circuler sur les routes est cinq fois plus mortel que le Covid pour les 20 à 40 ans. Pour les 40 à 50 ans, on dénombre 250 décès du Covid, soit une mortalité équivalente à celle de la route si l’on fait un calcul des accidents dans cette tranche.

 

 3) Une dictature sanitaire ? Cette question fut débattue lors de plateaux télévisée, preuve s’il en est qu’il y a encore des observateurs lucides pour se pencher sur l’état des sociétés à l’époque du Covid. Olivier Servais et François Gemenne ont publié une remarquable tribune le 15 août dans le quotidien belge Le Soir. J’en donne quelques extraits :

 « La question du risque ne peut se résumer au seul point de vue des virus (…) Nous prenons tous les jours des risques, souvent à notre insu. Conduire en voiture, c’est accepter le risque de l’accident (…) Vivre en ville, c’est accepter le risque lié à la pollution atmosphérique (…) Faire le choix de l’énergie nucléaire, c’est accepter le risque d’un accident nucléaire – deux accidents nucléaires majeurs jusqu’ici, pour 447 réacteurs nucléaires civils en activité dans le monde au début de l’année 2020, dont près de 70 % ont plus de 30 ans. Pourtant, la situation actuelle nous fait courir un autre risque : celui d’un effondrement sociétal à plus long terme, faute de fondement ou de sens. »

 « En Belgique, les politiques préfèrent manifestement contrôler, culpabiliser et pénaliser plutôt que de vraiment informer, éduquer et faire confiance. Cette situation est très clairement le produit de la rupture du lien de confiance entre les représentants des citoyens et les citoyens eux-mêmes. Face à une idéologie de la maîtrise qui perd pied faute de visibilité sur l’ennemi viral, le Conseil national de sécurité́ applique une idéologie d’hyperconfinement : il faut enfermer, cloisonner, bref sécuriser les citoyens à défaut de produire un consensus social sur le niveau de risque acceptable. Chacun n’est plus lié aux objectifs communs que par les injonctions fortes du pouvoir sanitaire : “faire société” est devenu obsolète. Dans une société matérialiste où l’objectif ultime se révèle de plus en plus pour certains la lutte effrénée contre la mort, on en arrive vite à se couper de tous les autres pour sauver nos petits pénates existentiels. Car pour sauver les corps physiques en les barricadant, nos gouvernants fragilisent le corps social. Ils délitent les liens en les virtualisant, ils imposent des distances qui créent de la vulnérabilité collective (…) Saura-t-on un jour quelle surmortalité a été entraînée par la récession, par les faillites, ou tout simplement par la perte de repères sociaux  ? Cette situation nous apparaît comme l’ultime étape d’un désenchantement absolu du monde (…) Car à pousser à son paroxysme cette rhétorique du “risque zéro”, cette hypertrophie hygiéniste, on réduit certes le risque de mort biologique, virale, mais on court le risque mortel d’une inhumanité en devenir. En effet, hors du risque de mort, point d’humanité : c’est celui-ci qui nous confère notre liberté et conditionne l’exercice de notre libre arbitre. Mais cette mort peut autant être biologique que sociale, individuelle que communautaire. Ne pas percevoir cette dialectique, ce serait en quelque sorte bâtir un second déni, le déni de l’humain comme être intrinsèquement collectif, d’être ne trouvant à exister et à se déployer qu’en société »

 Ces lignes témoignent d’une analyse lucide de la situation des pays européens à l’approche de la rentrée. Les nations européennes ne sont pas les seules à être affectées par un excès d’autoritarisme déployé en réaction à la crise sanitaire qui devient sociale et politique. Au Maroc la situation est plus tendue qu’en France. La ville de Casablanca est occupée par les chars de l’armée surveillant non pas des émeutiers mais des simples gens suspectés d’être contaminants et priés de rester chez eux. Ces phénomènes politiques ont été expliqués il y a près de trois siècles par Montesquieu, auteur d’un livre sur le pouvoir et qui savait que : la peur est le ressort de la tyrannie ; la vertu est le ressort de la république. Tant que la peur persistera, nous serons condamnés à subir cette sorte de tyrannie sanitaire déployée par le régime. Pour en sortir et retrouver le visage de la république, sans les masques, il faudrait au minimum mobiliser, pour maîtriser la peur et la crainte, ce ressort vertueux contre la peur qui est le courage. Que dire de plus ?

 Une chose est certaine, la peur, la crainte, l’inquiétude ou l’anxiété sont devenues endémiques dans la société. Mais la situation est incomparable avec le nazisme ou l’Occupation. En revanche, les mécanismes de la crainte présentent des similitudes. A vouloir combattre une épidémie, les autorités prennent des décisions occasionnant un mal dans la société, un mal social, une destruction des fondamentaux réglant les relations sociales, constituant les fondements de notre humanité. A ne voir que l’obsession du virus, les autorités ne regardent pas le délitement de la société, l’évolution vers un lent suicide. Eichmann signait des documents, avait-il vu ce qui se passait dans les camps ? Non, mais il trépignait à l’idée de massacrer les juifs. Les exécutants et décideurs du Covid-19 ne voient pas ni ne comprennent ce que vivent les gens au quotidien ; seules les données sur la circulation du virus a une importance, avec le respect des mesures par la population. Ils veulent en finir avec le virus mais comme c’est impossible, ils ne pensent qu’à freiner au plus possible l’épidémie, quitte à imposer aux gens des mesures antisociales. Ils ont semble-t-il une âme desséchée, celle des fonctionnaires obtus regardant les des chiffres, les calculs, jouant sur les relais dans l’administration. Que penser des radicaux qui, comme Patrick Juvin ou Patrice Pelloux, souhaiteraient le port du masque à l’échelle du territoire ? Ces recommandations montrent bien que parmi les membres du corps médical, certains ont pris un virage autoritaire, froidement rationnel, laissant sur le côté les principes de la médecine humaniste ; cette médecine qui doit être au service du bien, pratiquer des soins en prenant en considération un humain et non pas une maladie, et surtout en conservant les fondamentaux de la vie sociale, du contact, que ce soit dans un cabinet médical ou dans une ville, face à de vrais visages, des sourires, des bouches s’ouvrant pour laisser s’échapper la parole et le souffle de l’esprit. 

 

 4) Une énigme pour conclure. S’il paraît acquis que la peur a été intentionnellement diffusée, en revanche, les intentions de ceux qui s’en sont chargés ne sautent pas aux yeux. A leur décharge, on pensera que les dirigeants ont eu peur du virus, des conséquences épidémiques, des réactions des professionnels, des frondes populaires, alors ils ont inquiété les gens pour les faire participer à la « guerre contre le Covid » en présentant leur discours comme un appel à la prudence, du reste relayé par les médias avec cette incise sur l’écran « soyez prudents » après le « restez chez vous » du confinement. Cette peur a été aussi diffusée par beaucoup d’acteurs, notamment médiatiques. Quelles ont été les intentions profondes, un souci de contenir la maladie, d’appeler à la prudence, de réagir à une épidémie, ou alors une sorte d’intention maladive, un calcul politique ? Pour y répondre, il faudrait sonder chaque âme. Mais il est sans doute probable que toutes ces réactions traduisent un certain côté maladif constitutif de nos sociétés à l’ère du Pathos. Nous sommes tous concernés par cette question.

 



72 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 29 août 2020 09:30

    Leur seule obsession, c’est que la peur change de camp, parce que ce sont eux qui ont peur, peur que la grande bouffe s’arrête.

    Et ils croient qu’ils pourront retrouver la quiétude en transférant leurs angoisses.

    Ils fonctionnent comme s’ils étaient en train de se noyer et ne savaient pas nager. Alors, ils appuient sur la tête de ceux auxquels ils avaient ficelés les chevilles et les poignets depuis plusieurs générations pour essayer de garder la tête hors de l’eau, sans se soucier des noyades qu’ils provoquent autour d’eux et sans comprendre qu’ils couleront eux aussi quand tout le monde sera au fond.


    • Ouallonsnous ? 31 août 2020 02:32

      @Séraphin Lampion

      La peur, ils veulent la provoquer avec l’obligation du port du masque au prétexte que le virus circulerait !

      Tant mieux si le virus circule, nous serons tous immunisés, mais comment fait il ? Le réservoir à virus qui constitue la grippe étant éteint depuis 7 mois maintenant, ne serait ce pas plutôt les résultats de tests PCR qui son incapables de différencier un virus mort d’un actif. Autrement expliqué, il s’agit de personnes asymptomatiques qui ont été testées et non de malades puisqu’il n’y en a plus ? Si vous mettez un masque comme vous oblige les autorités, il vous protégera des amendes, mais c’est tout


  • chantecler chantecler 29 août 2020 09:43

    La peur suscite une bureaucratie .

    Vous citez A. Eichman mais dans « la mort est mon métier » de R. Merle nos découvrons le trajet de techniciens de l’extermination qui se mettent au service de la solution finale .

    Qui bénéficient de plein de reconnaissances et d’avantages .

    Mais qui, n’étant pas les décideurs , de simples fonctionnaires , se déclareront non coupables .

    Des exécutants quoi !


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 août 2020 10:14

      @pacem
      Très peu de progrès pour soigner les infections virales
      c’est comme le cancer, on en reste à un cancer sur deux défini comme soigné et non pas guéri, avec une durée de rémission chiffrée à (5 année je crois)


    • nono le simplet 29 août 2020 10:31

      @Bernard Dugué
      Très peu de progrès pour soigner les infections virales

      en affinant les protocoles et en 5 mois la mortalité en réa est passée de 70-80% à 50% ... si c’est pas un progrès je me demande bien ce que c’est ...


    • I.A. 1er septembre 2020 18:41

      @Philippe Huysmans

      C’est fait, avec commentaire, s’il vous plaît ! (beaucoup de votes, mais +4 avec le mien ! Les trolls vous collent, on dirait !)

      @+


    • jacques 1er septembre 2020 19:03

      @I.A.
      peu votent comme vous et huysmanns


    • Francis, agnotologue Francis29 1er septembre 2020 19:19

      @I.A.
       
       +4 aussi, avec me mien.


  • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 10:08

    grâce à la BRI (banque centrale des banques centrales), les banquiers possèdent le pouvoir monétaire sur toute la planète. Mais ils n’ont pas directement le pouvoir politique. Ils sont obligés de payer grassement toutes sortes de marionnettes dans le monde pour faire exécuter leurs volontés. Une épidémie pourrait permettre d’organiser une structure de coordination globale pour essayer de l’éradiquer. Et une fois les bases de cette structure jetée il n’y a plus qu’à l’étendre patiemment au droit international de façon à le dominer sur tous les continents. 


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 août 2020 10:12

      @Rinbeau Vous n’avez pas compris le système
      Ce ne sont pas les banques mais les Etats qui sont à la manoeuvre, avec leur appareil bureaucratique


    • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 10:20

      @Bernard Dugué

      Je ne pense pas, il y a belle lurette que ce sont les banques qui font passer les Etats à la manœuvre ! Surtout en occident, mais dans d’autres pays également !
      A l’intérieur de beaucoup de pays d’ailleurs existe une guerre impitoyable entre les patriotes et ces banques que l’on nomment souvent pudiquement Etats profonds.


    • Eric F Eric F 30 août 2020 09:55

      @Rinbeau
      En l’occurrence les banques n’ont pas gagné grand chose dans cette épidémie, les taux d’intérêt sont tellement bas que les prêts ne leur rapportent rien, même pas les couts administratifs.
      Par contre effectivement les banques centrales ont tellement injecté de milliards dans les marchés financiers que la bourse est plus haute qu’avant l’épidémie, au profit des grosses fortunes financières, alors que l’« économie vraie » est exsangue.


    • Rinbeau Rinbeau 31 août 2020 11:30

      @Eric F

      Pour les banques c’est une question de survie ! La création monétaire, telle qu’elle est pratiquée par les banques privées par la création ex nihilo de masse monétaire par le biais des crédits a transformé l’argent en opérations comptables débits crédits qui circulent de comptes à comptes et finalement de banque à banque. C’est de l’argent dette ! Qu’une contraction soudaine des crédits se passe dans le monde entier comme aujourd’hui à cause d’une gigantesque sous consommation et vous n’avez plus d’argent en circulation. Voilà pourquoi les taux diminuent jusqu’à devenir négatifs pour inciter les populations à contracter des crédits. Et comme les populations sont séchées alors les Etats se substituent aux particuliers pour contracter des crédits en leurs noms qu’ils rembourseront sous forme d’impôts à n’en pas douter ! 


  • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 10:13

    On entendait parler ouvertement de pandémies par des gens peu recommandables depuis plusieurs années, c’est quand même bizarre ces prophétie auto réalisatrice qui arrivent si rapidement !


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 août 2020 10:15

      @Rinbeau
      Mais non, l’hypothèse d’une pandémie était une hypothèse scientifique présentée en introduction dans des centaines de papiers en virologie, épidémio, immuno


    • Odin Odin 29 août 2020 16:25

      @Bernard Dugué

      Bonjour,

      « l’hypothèse d’une pandémie était une hypothèse scientifique » 

      Désolé, je ne partage pas cette opinion. Ce virus est sorti d’un laboratoire P4 (lequel ?) avec une préméditation machiavélique pour établir la stratégie du chaos (la peur) afin de réaliser un « reset » économique attribué faussement à cette « pandémie ».

      Bill Gates, « Si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes dans les prochaines décennies, ce sera plus probablement un virus hautement contagieux qu’une guerre »

      Jacques a Dit : « des pandémies beaucoup plus sévères [que la grippe H1N1] sont possibles, porteuses de plus terribles menaces encore ».

      CIA : « le déclenchement possible d’une pandémie mondiale », on peut notamment y lire une mise en garde contre « l’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire humaine virulente, extrêmement contagieuse, pour laquelle il n’existe pas de traitement adéquat ».

      Le NIC : en 2008 anticipe pour 2025 "l’émergence d’une maladie respiratoire virulente, nouvelle et hautement contagieuse pour laquelle il n’y aurait pas de traitement et qui pourrait initier une pandémie globale".

      « Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique »

      Alexandre Adler : « Au lendemain du SRAS [une épidémie causée elle aussi par un coronavirus en 2003/2004], ils avaient fait alors des prospectives en cas de pandémie planétaire et ses conséquences sur les grands équilibres du monde. Dans le classement des possibles maladies, ils avaient prophétiquement envisagé le coronavirus [Covid-19]… »

      Jérôme Salomon : 05/11/2016, « Notre pays a peu d’expérience de préparation et de gestion des catastrophes. […] Il faut se préparer à faire face aux situations sans précédent donc hors cadre, inconnues jusqu’à aujourd’hui voire impensables, avec la réactivité nécessaire pour conserver la confiance des Français. ». « La France n’est pas prête », ajoutait-il, rejoignant le « We’re not ready » de Bill Gates.

      Près de 4 ans après, on constate que rien n’a été fait et ceci volontairement pour concrétiser ce « reset » économique sur le dos du couillonavirus.

      https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-bill-gates-la-cia-jacques-attali-ils-avaient-alerte-sur-une-epidemie-mondiale-23-03-2020-8285973.php


    • bebert bebert 29 août 2020 19:31

      @Odin
      Comment-se fait-il que peu de monde parle lu labo P4 livré justement à Wu Han ainsi que du médecin chinois lanceur d’alerte, il reste beaucoup de mystères à éclaircir mais je pense que nous ne saurons jamais la vérité trop d’enjeux...


    • babelouest babelouest 30 août 2020 07:59

      @bebert et parle-t-on beaucoup du labo P4 de Fort Detrick ? AutrefoIs il était ouvertement un labo militaire de création de virus mortels, et justement en juillet 2019 il avait été fermé en raison de fuites mortelles de virus.... Après il était trop facile de focaliser les regards sur celui de Wuhan, où ont débarqué au début de l’automne les athlètes militaires de beaucoup de pays, dont bien entendu les USA. Une spécialiste des courses de fond était aussi un agent porteur du virus, pour ce qu’on en sait.



      .


  • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 10:22

    Des papiers irréprochables comme the Lancet ? Oui bien sur !


  • Yann Esteveny 29 août 2020 11:22

    Message à Monsieur Bernard Dugué,

    Je vous cite : « Avec le Covid-19, ils ont fabriqué une société de la peur ; sont-ils devenus malades ? ».

    Qui est ce « ils » dans votre article de « courageuse » dénonciation du nazisme en 2020 ?

    Vous citez Montesquieu : « La vertu est du ressort de la république ». Qui croit encore à cela aujourd’hui ?

    Respectueusement


  • leypanou 29 août 2020 11:46

    A leur décharge, on pensera que les dirigeants ont eu peur du virus, des conséquences épidémiques, des réactions des professionnels, des frondes populaires  : des dirigeants qui ont peur d’un virus et qui commencent par interdire un protocole ?

    Ils ont un agenda qu’ils veulent faire avancer coûte que coûte, étant quasiment certains de ne pas avoir de compte à rendre : le reste n’est qu’habillage.

    Un rappel ici et ici pour ceux qui ne sont pas au courant.


    • Francis, agnotologue Francis29 29 août 2020 12:22

      @leypanou
       
       ’’des dirigeants qui ont peur d’un virus et qui commencent par interdire un protocole ? ’’
       
      Ils ont fait tout le contraire qu’il fallait. Et continuent.


    • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 14:17

      @Pupuce007

      plus explicitement ?


    • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 14:25

      @Shaw

      Mais encore ? en bon françois ?


    • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 14:48

      @Shaw

      Je n’ai jamais léché personne ! (si ce n’est quelques prostituées)
      On n’est pas sérieux lorsqu’on a 17 ans !
      Quand à Dugué, je ne suis pas toujours d’accord avec lui, comme je l’ai précisé, peut être un peu trop conforme, mais incontestablement ses réflexions donnent à réfléchir ! 


    • Rinbeau Rinbeau 29 août 2020 15:16

      @Shaw

      REVELLI & co. ?????????
      On sombre carrément dans l’ésotérisme concernant Dugué !
      Vous semblez posséder des informations que je connais pas !
      Mais il a le droit de s’exprimer comme tout le monde !
      Pour moi pas d’à priori !


  • Réflexions du Miroir AlLusion 29 août 2020 12:57

    Bonjour,

     Comme je l’écrivais récemment  :  la peur a toujours permis de manipuler les foules depuis que les humains sont arrivés sur Terre.

     Il y a tellement de moyens pour arriver à cet esprit de peur.

     La peur de la maladie, la punition divine, la peur du gendarme, la peur des règles restrictives à la liberté imposées par la politique et même la bien-pensance...


  • zoreol il faudrait 29 août 2020 13:04

    merci pour ce long texte qui pourrait inspirer plusieurs sujets de dissertation dans une classe de Terminale Philo comme il en existait antan ! 


  • Baron de Risitas Jean Guillot le retour 29 août 2020 15:22

    j’ai souvenir d’avoir survécu à la pandémie de 1957 , personne ne portait de masques , les médias n’en parlait pas , les hôpitaux n’étaient pas surchargés , il y a eu trois millions de morts dans le monde et tout s’est bien passé dans le calme et l’insouciance car il n’y avait pas la pandémie de la peur créé par les médias et les politiques .

    Merci à René Coty qui était président de la république et qui a bien géré


  • Le421... Refuznik !! Le421 29 août 2020 16:32

    J’avais pas réalisé mais maintenant que vous le dites...

    Je suis mort de trouille !!

     smiley  smiley  smiley


    • babelouest babelouest 30 août 2020 08:11

      @Le421
      Un mort qui parle ! Fuyons !  smiley


    • Le421... Refuznik !! Le421 30 août 2020 09:10

      @babelouest
      Riez, riez !!
      Moi, j’en suis à mon quatrième dépistage.
      Pour le cinquième, j’ai deux semaines d’attente...
       smiley
      Pas ma faute, j’aime ça...


  • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 29 août 2020 18:34

    La peur a t-elle été intentionnellement diffusée ? Répondre oui à cette question necessite d’avoir de solides preuves et d’avoir identifé un ou des mobiles. Certes, nous avons des suspicions. Certes, nous savons que certaines personnes rêvent ouvertement de dépopulation, de vaccination, de transhumanisme, d’un nouvel ordre mondial fondé sur de nouvelles règles. Nous savons que, plus ou moins dans l’ombre, des choses

    se trament ou des mondes nouveaux

    se rêvent avec parfois une humanité revisitée tant du point de vue biologique que du point de vue des lois, des grands principes. La peur est-elle l’un des outils au service de ces projets ? La peur est-elle simplement un outil de contrôle des populations sans qu’un but particulier soit à atteindre ? Une chose est certaine, la peur est la réaction à un danger pressenti ou vécu. Aujourd’hui, nous voyons, avec un certain ahurissement, un décrochage entre le monde vu et le monde raconté par des experts et des politiques. Aujourd’hui, nous voyons mentir sans vergogne des personnes investies d’un pouvoir de représentation. Aujourd’hui, à quelques exceptions près, nous voyons une absence totale de réaction de personnes formées et ayant accès à des médias ou étant en charge de responsabilités. Le vue de tout cela suscite une peur naturelle car en réaction avec la perception immédiate de notre environnement : nous avons peur de voir se déliter le monde et de ne plus comprendre ce qui se passe. Quelquechose nous glisse entre les doigts et nous ne savons pas comment refermer la main pour conserver ce qui nous semblait être acquis et notament de nombreuses valeurs démocratiques. La rationalité semble avoir déserté bon nombre de discours. Un inconnu se dresse devant nous : celui d’un monde qui change et nous pressentons que nous n’avons pas la maîtrise de ce changement. La peur est donc bien réelle. une peur « naturelle » qui sans doute se combine à une peur entretenue, une peur voulue et donc fabriquée. Il y a là bien des points communs avec les modes de fonctionnement des régimes totalitaires. Il est temps et urgent de réagir courageusement. Loin d’être optimiste pour l’avenir, j’observe que de nombreuses personnes posent sereinement les bonnes questions et échangent entre elles. Il y a une réaction et ça, c’est encourageant. Bien à vous !


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 29 août 2020 19:43

      @Régis DESMARAIS Je suis sur la même longueur d’onde. Depuis mars et le début de la vague, je n’ai pas eu peur du virus mais des réactions autoritaires de l’Etat. Je ne sais pas s’il faut chercher des causes. La société en est là parce que les gens se sont aplatis. Je m’en suis aperçu en essayant de discuter avec des Bordelais sur le port du masque. Et j’ai eu le sentiment qu’ils avaient reçu un lavage de cerveau comme dans n’importe quelle secte. J’aurais causé avec des témoins de Jehovah, j’aurais eu le même sentiment.
      On est effectivement dans une bascule, ou bien l’humanité se ressaisit, ou bien elle disparaît dans sa forme historique et devient un parc humain géré par les kapos de la police sanitaire
      Cordialement


    • eau-mission eau-pression 30 août 2020 08:58

      @Régis DESMARAIS

      Cette peur, n’est-ce pas une prise de conscience que la vie est évolution ?

      D’où, pour ceux qui visaient un état stable, cette envie de figer les choses dans des défenses « scientifiques », reproductibles à l’identique.

      Cette idée d’injecter aux individus un système immunitaire de synthèse contre les virus et autres vecteurs de l’évolution, beaucoup l’ont dit, ce serait le refus d’intégrer la mort de l’individu dans l’évolution de l’espèce ?


    • eau-mission eau-pression 30 août 2020 09:05

      @CHAT NOIR

      T’as pas dû suivre le lien. Je répète : l’irraisonneuse sonne à ta porte !


    • Réflexions du Miroir AlLusion 30 août 2020 10:31

      @Philippe Huysmans
       Le mal dont parle Bernard s’infiltre en nous de manière insidieuse.
       A relire : « Reptile humanoïde » existant sous toutes les formes


    • Francis, agnotologue Francis29 30 août 2020 10:35

      @eau-pression
      Bernard Dugué,
      Régis DESMARAIS

       
       ’’Cette idée d’injecter aux individus un système immunitaire de synthèse contre les virus et autres vecteurs de l’évolution, beaucoup l’ont dit, ce serait le refus d’intégrer la mort de l’individu dans l’évolution de l’espèce ? ’’
       
      Une immunité de synthèse est un rêve aussi fou qu’une conscience artificielle. La vie est infiniment plus complexe que nos modèles aussi élaborés soient-ils.
       
      Un individu doté d’un système immunitaire rendu déficient par des drogues des vaccins « dans un parc humain géré par les kapos de la police sanitaire »

      c’est un zombie : un mort vivant.
       
      Est-ce cela le futur de l’hulanité dont rêvent les transhumanistes ?


    • Réflexions du Miroir AlLusion 30 août 2020 12:13

      @Francis29,
       L’immunité et la liberté se gagnent souvent dans la solitude par une force de caractère personnelle et pas derrière un chef de groupe.
       Pas d’amalgame entre les transhumanisme et « l’hulanité ».
       J’aime votre néologisme.... smiley


    • Francis, agnotologue Francis29 30 août 2020 13:08

      @AlLusion
       
       L’immunité et la liberté à l’inverse d’une célèbre pile, ne s’usent que si l’on ne s’en sert pas.
       
       ps. vous êtes trop complaisant envers mes fautes de frappe.
       
       smiley


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 30 août 2020 01:28

    Faut avouer que suivre les infos aujourd’hui faut être maso . Mais bon ça date ...le principe sur les chaines d’info on va tous mourir...gremmy a France Info qui en plus te dis que c’est bien fait pour ta gueule de prolo.


    • arthes, Britney for ever arthes 30 août 2020 10:54

      @Aita Pea Pea

      C’est la géopolitique qu’il faut regarder, enfin, je trouve cela plus instructif et intéressant que de focaliser sur le seul problème franco/français , autour du port du masque, de la peur, du complotisme qui occulte ce qui se passe vraiment, ou plutot ce qui s’est vraiment passé, dans toute son ampleur mondiale.

      Car le covid 19, est au centre des grands bouleversements à venir , la restructuration du monde, mais surtout et précisément la fin du système mondial atlantiste , si décrié mais encore si désiré ?

      Et , cela n’engage que moi : Ce n’était pas voulu par les  tenants du globalisme, les défendeurs de la démocratie libérale et des marchés ouverts, de la soi disante idéologie des droits de l’homme comme prétexte de se mêler des affaires d’états , les déstabiliser et organiser des « révolutions des couleurs » en en faisant une affaire humaniste pour que l’opinion mondiale (enfin occidentale) fasse pression , leur hégémonie s’est heurtée à de telles résistances qu’elle était a bout de souffle au moment du covid.
      Et il faudrait regretter ce monde pourri et hypocrite ?

      Je préfère la franchise de ce que nous vivons actuellement, et qui s’apparente de plus en plus à une dictature militaro/technocrate médicale , car tout est plus clair, surtout que nos gouvernants sont plantés, car des pans entiers de l’économie vont aussi s’effondrer et le plus dur est à redouter...

      Bon, il y aurait bien d’autres choses à dire...

      Sinon, à part ça, ce qui se passe en Biélorussie risque d’être passionnant.
      De même le conflit actuel avec la Turquie.

      En mer de Chine, c’est pas mal aussi...

      Cela donne la mesure de ce qui reste de pouvoir de dissuasion à l’OTAN ainsi que les dissension au sein de cet organisme (par exemple)


  • Désintox Désintox 30 août 2020 08:57

    Depuis le début de l’année 2020, le COVID a fait 10 fois plus de morts que les accidents de la route en un an et 100 fois plus que les attentats islamistes en 40 ans.


    • Legestr glaz Legestr glaz 30 août 2020 09:24

      @Désintox

      Vos calembredaines il faut les réserver à votre petite cercle d’amis. Votre propagande et vos manipulations ne fonctionnent pas devant la réalité. 

      Le covid19 était un virus respiratoire aérosol ni plus méchant ni moins méchant que les virus respiratoires aérosols que l’on rencontre chaque hiver en Europe.

      Le chiffres communiqués par la Confédération helvétique sont absolument clairs à ce sujet. 
      « Selon la Tribune de Genève, la Suisse a ainsi comptabilisé 39 211 décès entre janvier et juillet 2020, toutes causes confondues. Ce bilan intermédiaire est similaire, en moyenne, aux cinq années précédentes. C’est même 538 morts de moins qu’en 2019 durant la même période ».

      Sauf à imaginer que le covid19 était moins « agressif » en Suisse qu’en France, votre mauvaise foi est simplement « puante ». 

      Ici un article de fond qui compare la France et la Suisse, d’une manière très éclairée. Et l’on s’aperçoit, qu’en France, les mesure sanitaires prises consistaient à faire « augmenter » la mortalité pour créer un climat anxiogène. Ces initiatives de nos dirigeants ont entrainé vers la mort de nombreuses personnes qui seraient encore en vie aujourd’hui si « on » avait accepté de les soigner « dès les premiers symptômes ». Seulement voilà, des intérêts plus puissants sont en jeu.

      « Désintox » ne vous convient absolument pas comme pseudo ! Les termes de propagandiste ou de manipulateur conviendrait bien mieux à votre état d’esprit. 

      https://www.afrik.com/mortalite-du-covid-19-ce-que-revele-la-comparaison-france-suisse


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 30 août 2020 09:27

      @Désintox Le Covid a fait pour l’instant 800 000 morts dans le monde
      Le cancer et le cardio en font 15 millions et là aussi, des sujets jeunes sont touchés


    • alanhorus alanhorus 30 août 2020 11:50

      @Désintox
      Le logo œil dans triangle fait référence au troisième Œil (triangle =3+œil)
      https://www.youtube.com/watch?v=pffQpSs8ukM&vl=fr-FR
      Comment savoir si notre TROISIÈME ŒIL est ACTIVÉ ?

      Il se poser plus de questions bref votre commentaire fait plus troll que d’apporter une réflexion.


    • alanhorus alanhorus 30 août 2020 11:51

      @alanhorus
      lire : il faut se poser


    • alanhorus alanhorus 30 août 2020 17:27

      @Osselait42
      Difficile de comprendre le commentaire.
      Le profil est étrange Adir f-351 אדי ר pokemon 104 et MORGAN + 4
      https://www.agoravox.fr/auteur/takyaiste-de-marcel-on
      https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/terrorisme-qu-est-que-la-technique-de-dissimulation-7791954922


    • Occitan Occitan 31 août 2020 06:35

      @alanhorus
      Son 3° oeil est effectivement activé... le problème c’est qu’il se situe entre ses deux fesses...


    • I.A. 1er septembre 2020 11:39

      @Désintox

      Z’êtes pas piqué des vers, vous !

      Primo : qui dit confinement, dit 100 fois moins de circulation sur les routes !!

      Deuxio : idem pour les attentats islamistes (remplacez « circulation » par « islamistes »). Les cancers : combien de milliers de fois plus que les attentats ??

      Si vous prétendez vous intéresser au SARS-CoV, alors intéressez-vous aussi aux autres pathologies. Sans compter que comparer des maladies à des attentats, c’est très particulier, quand même !


  • Eric F Eric F 30 août 2020 10:20

    Il y a eu de tout temps des épidémies et des peurs suscitées par celles-ci. Mais la médecine et la situation sanitaire ont considérablement progressé depuis un siècle, et nous pensions désormais que toute maladie infectieuse devrait pouvoir être éradiquée ou contrôlée (même le sida semble avoir désormais ses palliatifs).

    Cependant, il reste des craintes sourdes, et il apparait que les gouvernants ont « vraiment » eu peur, tout comme à l’époque du H1N1 mais avec bien plus d’ampleur encore. Car les économies ont été sacrifiées face à ce qui a été perçu comme une urgence sanitaire ; des années d’« efforts » pour maîtriser les dépenses publiques et arrêter l’hémorragie d’emplois ont été en trois mois réduites à néant. Les gouvernants ont perdu leur crédibilité et la confiance, ils se donnent l’illusion de maitriser la situation en pourchassant les joggers à l’aide de drones pendant le confinement, ou désormais en verbalisant ceux qui n’ont pas de masque dans une rue déserte du grand Paris (mais le coureur qui expectore plus que le marcheur est pour sa part exempté du masque : ubuesque !).


  • Ecométa Ecométa 30 août 2020 11:51

    À leur décharge : il n’y a rien !

    Dès le départ ils avaient tout faux : pas de masque, pas de tests, pas de liquide hydroalcoolique, pas de respirateurs ! Pas de tests au départ qui auraient pourtnat été tellement utiles et nécessaires ; par contre maintenant il y en a des tests, et « comme en veux -tu en voilà » ; t’en a pas eu assez : tiens en voilà d’autres.. Parfois plus de 100.000 par jour ! Qui paye... la sécu... mais c’est nous la sécu ; mais il est vrai qu’il y a eu de sacrées économies de réaliser puisqu’on ne soignait plus les malades : les autres malades !

    C’était au départ qu’il fallait tester pour isoler les malades pour éviter de confiner tout le monde et mettre l’économie en bas ! C’était impossible de tester à grande échelle, techniquement impossible ; alors, pourquoi « Didier l’Embrouille », à Marseille a réussi à le faire : Il faut arrêter de se foutre du monde ! Le monde vétérinaire, très grosses capacité de tester, a proposé ses services mais là, pas de décrets pour les y autoriser.  On ne fait pas des tests au départ d’une épidémie, pour les mêmes raisons qu’à la fin. Est-ce d’ailleurs nécessaire : les statistiques d’entrées à l’hôpital et le nombre des réanimations devraient suffire. Au regard de ces statistiques vraiment fiables, les seules qui vaillent cette soi-disant deuxième vague n’est rien d’autre que celle de l’immunité collective. Le virus du départ n’est plus le même et ceci rendra un vaccin totalement inopérant.

    Que nous disent les tests actuellement que l’immunité collective marche ; mais on ne veut pas l’entendre car le système immunitaire humain est l’ennemi juré de Big-pharma ! Il se trouve que nous avons tous une pharmacie ambulante : notre système immunitaire. Et bien qu’il ne fasse pas de commerce ce « système « » ; c’est une sacrée concurrence commerciale pour Big-pharma et tout ce qui peut le diminuer dans son efficacité, comme le port de masque, la distanciation sociale, et un l’isolement lié à la peur qui engendre une immunodépression, un déficit immunitaire ; tout ceci est bon à prendre pour ces « apparatchik » d’une « médecine on Line ».  

    Big-pharma et Big-data ont la main mise sur la santé en France ; ils sont tous ces technoscientistes, dans la place au Comité Scientifique du covid 19, à la Haute Autorité de Santé, dans tous les départements, les Préfets, et les Agences Régionale de Santé ont aux ordres ! Mondialement l’OMS est aux ordres ! Ils nous préparent la santé sur plateforme, et pour se faire Big-data et des « machines learning » apprennent la médecine et les médecins traitants comme le mien et le vôtre n’existeront plus ; il faudra s’abonner à la "santé on Line !

    En matière de « Santé Publique » qui deviendrait totalement « privée », Il y a là un sacré paquet de pognons à se faire pour tous ces gros affairistes. Tout ceci est « en marche » ; on peut empêcher les médecins de soigner c’est précisément ce qui a été fait !

    Heureusement : il y a des résistants et de grands résistants, des gens de « bon sens », comme Didier Raoult, Le professeur Toussaint, Laurent Toubiana, Alexandra Henrio-Claude ; des épidémiologistes, des généticiens, des Professeurs de médecines, des chercheurs, tous de très grand renom, puis de simples médecins de terrain… ceci dans le monde entier !



    • Francis, agnotologue Francis29 30 août 2020 13:07

      @Ecométa
       
      ’’ le système immunitaire humain est l’ennemi juré de Big-pharma !’

       
       Le système immunitaire des mougeons appartient à Big Pharma, comme l’argent des consommateurs appartient à la banque, comme la proie appartient au prédateur.
       
      Les mougeons
      Les consommateurs


    • Eric F Eric F 30 août 2020 18:54

      @Ecométa
      « Que nous disent les tests actuellement que l’immunité collective marche »
      Actuellement 4% des personnes testées sont positives ; certes, en cumulatif ça s’accroit lentement, mais on doit en être autour de 10% en moyenne nationale, loin des 70% de l’immunité collective (du reste, la grippe saisonnière n’atteint jamais ce niveau).


    • Bernard Dugué Bernard Dugué 30 août 2020 22:53

      @Eric F
      Pour la grippe, l’immunité collective arrive assez vite
      3/4 des porteurs du virus grippal sont asymptomatiques


    • Ecométa Ecométa 31 août 2020 12:15

      @Eric F
      Exact, en géneral c’est de l’ordre des 18 % à 20 %: on doit être dans la loi des 20/80 ou ou 80/20 ? 

      Mais franchement à quoi servent ces tests en fin d’épidémie sinon à foutre la trouille ? Il est vrai qu’ils sont convaincus d’une deuxième vague .... il faut absolument discréditer Didier L’Embrouille de Marseille.

      Cette deuxième vague n’est rien d’autre que celle l’immunité collective : comment la constater cette immunité collective, autrement qu’avec des tests ! Pourtant elle n’a pas besoins d’être constatée car « elle est naturellement » mais la science n’aime pas la nature et surtout pas la nature humaine ! 



    • Eric F Eric F 31 août 2020 18:25

      @Bernard Dugué
      « Pour la grippe, l’immunité collective arrive assez vite
      3/4 des porteurs du virus grippal sont asymptomatiques »

      Selon les chiffres de Santé Publique France, il y a entre 2 et 6 millions de personnes infectées par la grippe chaque années en France, même s’il faut multiplier par 4 (3/4 asymptomatiques) cela donne entre 8 et 24 millions de personnes touchées par ce virus, encore loin des 70% d’immunité collective.
      La « saisonnalité » est plutôt expliquée par les caractéristiques climatiques de transmission (température, etc.).


    • Francis, agnotologue Francis29 1er septembre 2020 11:27

      @Ecométa
       
       ’’ la science n’aime pas la nature et surtout pas la nature humaine ! ’’
       
       Il faut préciser : la science du profit


  • Réflexions du Miroir AlLusion 30 août 2020 12:15

    @Bernard,

     Faites-nous part de la sortie de « Covid-19 Mystery Strain » smiley


  • Ecométa Ecométa 31 août 2020 12:03

    Relativisons

    Le problème, dans ce qui nous est donné depuis le début, c’est que rien n’est « relativisé » ; et surtout pas, car cela craindrait sérieusement !

    Les données sont brutes de décoffrage et jamais réellement expliquées ; comme actuellement avec les tests qui n’ont plus aucune raison d’être, du moins pas la même qu’au départ du covid ; et encore moins en termes de dépenses publiques, si c’est uniquement pour savoir qu’il y a une immunité qui s’est installée !

    Les vrais chiffres, ceux qui comptent, ce sont les entrées à l’hôpital, les patients en ranimation et les gens qui décèdent du covid 19... le reste c’est de la masturbation statisticienne car la courbe est plate de chez plate !

    Relativisons  : 38 % des décès ramener à une population de 100.000 habitants (relativisé) pour éviter le problème de nombre et de promiscuité, avec 19 % chacune, donc 38 % en additionnant, sont à attribués à l’Ile de France et au Grand-Est. Ensuite 11.47 % à la bourgogne Franche Comté, Toutes les autres régions sont entre 2.18 %pour la Nouvelle Aquitaine et 9,78 % pour les Hauts de France. Et, 5,88 % pour PACA que tout le monde scrute ! Tout ceci ramené à 100.000 habitants. En Nouvelle Aquitaine il y a eu mis de décès en 2020 q’en 2019 et 2019 selon l’INSEE sur la période du 01/03 au 29/06/2020. 

    Le problème c’est que la raison de cette » surmortalité", surtout en région parisienne, car ailleurs, sauf le Grand-Est, nous ne sommes pas au même niveau de mortalité ; ceci ne sera jamais réellement étudié ! Une région parisienne (I. D. F) ou les personnes encore hospitalisées représentent plus de 50 % des hospitalisation en France et aussi plus de 50 % des réanimations : pourquoi alors que ’IDF ne fait pas 18 % de la populations métropolitaine ? Comment expliqué l’augmentation de 125 % des personnes décédés entre le 01/03 et le 30/06/2020 dans les établissements pour personnes âgées : 2298 pour 2019 et 5166 pour 2020. On ne sait pas soigner en Ile de France ? On ne veut pas soigner en Ile de France ?

    Sur la période du 01/03 au 29/06/2020, toujours sur le même mode de calcul pour 100.000 habitants ; sur 274 décès déclarés en mairie en Ile de France (sources INSEE), le covid avec 63 décès et 274 pour les déclarations en mairie, ne représente que 23 % des décès dans cette région  : quid des autres décès ? Que fait-on pour eux ? On supprime les voitures, les débits de boisson, le tabac le travail ...


    • Eric F Eric F 31 août 2020 18:36

      @Ecométa
      " quid des autres décès ? Que fait-on pour eux ? On supprime les voitures, les débits de boisson, le tabac, le travail ..."

      Chaque cause de mortalité est traitée par des actions spécifiques, par exemple concernant la mortalité automobile, elle a été divisée par 5 depuis 1972 alors que le trafic a triplé. Le tabac a été largement interdit en espace public clos. etc.


    • Lancelot 23 octobre 2020 03:32

      @Eric F
      Il y’a toujours autant de personnes qui meurt du tabac ou de l’alcool ! Je vois que les nouvelles générations sont plus portés sur l’alcool que la mienne !


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