mercredi 29 juillet 2020 - par George L. ZETER

Bill Gates : Les portes de l’enfer

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L’enfer est pavé des meilleures intentions…C’est bien connu. Depuis mars 2020, pas une journée ne se passe sans que l’on voit, entende, écoute le philanthrope milliardaire Gates. Sur tous les fronts de l’agitation de « trouver LE vaccin ! » Et ça parle milliards de milliards sur chaque média. De plus, ses potes zilliardaires les possèdent tous ces… Médias. Donc, aucune chance de contradictions dans ces shows passe-plats/pisse-froid. C’est d’une shoftness infernale, sans saillie, sans répartie et sans aspérité, tel un électrocardiogramme raplapla. Bill peut développer benoîtement ses lubies eugénistes (oups ! ne pas dire ce vilain mot), sans être interrompu par un ectoplasme. Il est certain que Bill et Kant n’auraient pas fait bon ménage. Le philosophe ne prétendait-il pas : « que l'on peut apercevoir l'intelligence d'une personne au travers des doutes qu'il est capable de supporter. » Et Bill, en bon psychorigide ne doute pas, ce n’est pas dans son ADN, à chaque jour mérite sa peine et il creuse et creuse patiemment le sillon du vaccin pour chacun, partout où un bipède s’agite. Point ! Ah, que l’enfer c’est les autres !

Parlons de cette fameuse fondation Melinda & Bill Gates

Une fondation philanthropique, est une organisation non gouvernementale à but non lucratif, avec des actifs fournis par des donateurs, gérés par ses propres fonctionnaires et avec des revenus préférentiellement dépensés à des fins « socialement utiles ». En fait, un électron libre dans un monde si bien organisé pour traquer de la taxation. Bon, mais ça m’a l’air très bien tout ça non ? Mais, meuh… ??? Au-delà de l’engagement pour le bien commun, la philanthropie garde toute sa place dans une stratégie patrimoniale de défiscalisation optimale, et voici chers mécènes comment en profiter efficacement. Une fois choisi le mode d’action le plus adapté, reste à optimiser la fiscalité. Différents leviers existent pour faire vivre sa fondation et son fond de dotation, tout en en tirant profit maxi. Plus le projet philanthropique aura été anticipé, plus les avantages en seront importants. Que ce soit à la création ou après, il y aura des bénéfices en matières de déductions fiscales sur les dons effectués. Je vous passe les explications techniques[1], mais il y a un point primordiale à jouer les philanthropes : C’est de décider de la destination où Mon l’argent et où Mes impôts vont, alors que pour le tout venant contribuable, ce sera, payer aux services idoines de collecte en temps et heure.

Bill Gates fut en guerre contre l’administration fiscale américaine dans les années 90 avec la loi antitrust sur le dos. Pour contrecarrer, il divisa en deux son empire Microsoft, puis, en 2000, il balança tous ses avoirs et bénéfices dans sa fondation, ce qui lui permet depuis de dormir tranquille, de ne plus être embêté par le fisc et de jouer au bon samaritain sous les vivats des peuples décervelés. C’est la marotte de tous ces ultras-mégas riches : Un bon exemple, chez nous : La fondation LVMH qui défiscalise à coup de milliards d’euros aux caprices du prince (sans rire) Bernard Arnault ; Et que j’inaugure un musée ici, une galerie là, que je balance deux cents millions pour Notre Dame… Et c’est d’autant qui ne tomberont dans les caisses de l’état. Historiquement, l’ancêtre de ce bidouillage fut l’homme le plus riche du monde des années 50/70, Howard Hugues, un drogué notoire, qui ne paya jamais d’impôts grâce à ces montages olé, olé alors qu’il entre autres possédait les trois quarts de Las Vegas…

Ainsi, Gates distribue ses milliards où il veut, quand il veut, à qui il veut sans avoir à se justifier d’un iota. Cool non ! Moi lorsque je paye les miens d’impôts j’aimerai dire au contrôleur d’envoyer cette somme pour réparer le toit de l’école ou acheter des jeux pour la maison de retraite du coin…Au lieu de ça, mon argent durement gagné tombe dans le tonneau des Danaïdes pour payer les intérêts de l’emprunt de la dette (45 milliards par an pour des banquiers et actionnaires)

Retournons très loin, vers 1975. Gates bidouille avec son pote Paul Allen sur les premiers ordinateurs PC naissants. Dès le départ, il a la bosse du commerce Billy the cash. Il faut savoir que l’informatique des premiers temps était un truc de hippie, donc, pas question de faire du fric sur le dos de cette nouvelle technologie. Mais lui, sentant le vent, rapidement y mit le holà. Le 31 janvier 1976, il écrit une lettre intitulée « An Open Letter to Hobbyists » (Lettre ouverte aux bricoleurs), dans laquelle il condamne pour la première fois le partage illégal gratuit de l'un des logiciels, le Basic d'Altair de Paul Allen. Nous lui devons donc depuis, le paiement de chaque programme mis en service dans le monde…Merci qui ? Ce sera son seul coup de génie, faire raquer le geek. Il a surtout compris en bon commercial que les dollars se prendraient sur la peau du software, et non pas sur celle du hardware ; Ce qui fut la grande erreur de Steve Jobs, son concurrent, qui le vit couler pour un temps. Ce petit retour pour dire quand il est question de pépettes, il se pose là « le génie de l’informatique ». Et donc, sa fondation destinée au bonheur, à la santé du monde, est d’abord avant tout une machine à cash/cash, qui lui permet d’avoir plus de pouvoir que n’importe quel pays au monde. Faut voir les leaders (macron) à quatre pattes qui se la bouclent lorsque Billy débarque, avec ses 50 milliards et tous ses amigos pleins aux as. Tout ce poids lui permet de forcer la main et aussi de vendre aux gouvernements des systèmes Microsoft ; Voir la France avec le scolaire et la défense, mais comment dire non à Billy le mirifric ? Qui bien planqué derrière ses lunettes de presbyte, sourit et ne pipe mot. Un sphinx qui aurait du nez, qui ramasse la mise et ne dira jamais merci !

Bill Gates avait annoncé léguer 95 % de sa fortune à sa fondation. Ces belles actions ont contribué à ce que le magazine Time le désigne comme la « Personnalité de l'année 2005 », aux côtés de son épouse Melinda et de Bono, le chanteur du groupe U2, pour leurs actions sur le front philanthropique. (Le front…ca se voit qu’ils ne sont jamais allé à la guerre). S’il était resté PDG de Microsoft, il n’aurait été qu’un grand patron de plus avec autant de dérives qu’un Carlos Ghosn, mais là, sans avoir aucun talent particulier, il parle d’homme à homme à ceux qui occupent le devant de l’estrade ; il est l’un deux, et est traité comme une star de cinéma sans avoir tourné son bout d’essais et même la reine d’Angleterre lui claque la bise.

Alors ? Quels seraient ses plans pour demain ?

Nous sommes d’accord, je ne suis pas dans la tête de Gates et ni itou dans celle de John Malkovich. Mais en ayant bien observé, écouté et cogité, voila ce que je ponds.

Bill Gates doit souffrir. Je vous entends… Partagé qu’il doit être par deux courants contradictoires. 1) – Vouloir soigner à tout prix l’humanité en espérant sur le très long terme une diminution graduelle de sa population, car, selon lui, les meilleures conditions d’hygiènes et de santé via les vaccins et les médocs feront que la mort infantile reculera drastiquement et ainsi, les femmes accoucheront moins. 2) – Le développement de l’intelligence artificielle qui mettra rapidement sur le carreau des milliards de travailleurs remplacés par de la robotique, alors que faire de ces déclassés ? Donc, d’un coté une diminution très lente de la population et de l’autre un effondrement rapide et prochain des structures sociétales. Si ce n’est pas choisir entre la peste et le cholera je n’y comprends plus rien. Les alternatives se télescoperont : le soin devenant un contrôle ? La théorie selon laquelle les vaccins pourraient être le vecteur d’une réorganisation du monde n’est pas à négliger. D’autant, en parcourant la ligne de la fondation Gates, et ses nombreux mauvais choix et manipulations des années passées, ayant mis sur le carreau des populations entières de pays pauvres, nous prouve fortement que l’adage « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs  » est à l’épreuve.

La vraie hécatombe de notre époque, est individuel : c’est la faillite de notre système immunitaire, torpillé par la chimie (Monsanto), l’agro alimentaire, les OGM, pesticides, antibiotiques, la médicalisation généralisée, le stress et la peur, l’obésité et bien d’autres fléaux, comme la pollution, les changements climatiques et même la faillite du système économique et financier… Eh bien tous ces vecteurs de morbidités participent grandement au financement de la fondation Gates… Et aux versements de ses si généreux « dons » pour « sauver le monde ». 

Vous me direz, qu’avec ces trois articles j’ai dû me faire plaisir à tirer à boulets rouges sur cet homme… FAUX !!! Car je crois en sa sincérité. Bill Gates et sa femme étaient au départ malgré un sens du lucre prononcé des gens de bonne volonté, mais pris qu’ils sont depuis vingt ans dans un maelstrom qu’ils ne contrôlent plus, où ils ne voient plus la réalité vraie, devenu hors sol, ils évoluent dans une stratosphère inhumaine. Cependant, bien au dessus d’eux plane « un autre monde » restreint, peuplé et conduit par une bande de dingues fonctionnant sur l’« après nous le déluge ! » Des nihilistes, des vrais méchants, capables de pousser sur le bouton libérant l’atome ; Ceux là même qui veulent faire « de la place » et si possible net, car, pour eux, cette terre où nous sommes entassés n’est plus viable… De toute manière que faire de ce troupeau d’inutiles ? Alors du balaie ! Dégagez ! Leur force est d’être bien cachés pour tisser leur toile, ils sont non identifiables et utilisent savamment des idiots utiles, s’il le faut, de haut vol... Gates serait-il l’un de ceux-là ? ?

Il y a longtemps en Californie, un jeune homme bidouillait des ordis des rêves plein la tête. Qu’en est-il aujourd’hui ? Comme tout mortel, l’âge venu se pique-t-il de philosophie désabusée, là haut tout en haut de sa montagne d’argent, et en tire-t-il cela ? : « L'enfer n'est que le lieu où se consume ce qui a refusé de vivre d'une vie réelle. »[2] … Moi, Bill Gates… J’ai visité les portes de l’enfer.

Georges Zeter/juillet 2020



21 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 29 juillet 2020 14:15

    « Bill Gates et sa femme étaient au départ malgré un sens du lucre prononcé des gens de bonne volonté  »

    Alors, la une bande de dingues fonctionnant sur l’« après nous le déluge, les nihilistes, les vrais méchants, capables de pousser sur le bouton libérant l’atome sont, comme eux des gens de bonne volonté

    Vous ne trouverez nulle part le Docteur Folamour ni le savant fou qui criera sur les toits : « je veux être le maître du monde ».

    Comme l’écrit Serge Halimi dans l’édito du Monde Diplomatique d’Août 2020,le lobby de la guerre agite le grelot de Moscou dès qu’il s’agit de se désengager d’un pays quelconque, et ils savent qu’ils peuvent compter sur le soutien du NYT. Mais ce ne sont pas des Pinochet ni des Rommel. Ce sont des petits retraités rentiers porteurs d’actions du lobby militaro-industriel générateur des profits qui alimentent leur compte de dépôt régulièrement.

    Ceux qui s’agitent comme Tump et prennent des airs de Matamore seraient plutôt partisans de réaliser des économies pour payer moins d’impôts.



  • popov 29 juillet 2020 14:49

    Il faut boycotter Windows.

    Il y a un peu plus de 15 ans, j’avais un vieil ordinateur qui roulait sur Windows ME et qui était devenu vraiment poussif.

    Au lieu de le jeter par la fenêtre, j’ai essayé diverses distributions de linux et pour finir, j’ai choisi Ubuntu 6.04 LTS.

    Depuis, j’ai changé plusieurs fois d’ordinateur. J’achète des Fujitsu en fin de « lease » par des administrations pour une croûte de pain, je vide le disque dur de toute trace de Windows et j’installe la dernière version d’Ubuntu. C’est gratuit.

    Et je verse une larme (de crocodile) en pensant aux utilisateurs de Windows.


    • amiaplacidus amiaplacidus 29 juillet 2020 15:39

      @popov

      J’utilise exclusivement Linux depuis 1994 et exclusivement Linux depuis 1997. Que du bonheur.

      Mon utilisation :
      1 desktop utilisé pour développement de logiciel embarqué (enfin, de moins en moins, retraite oblige),
      2 desktop généralistes (traitement texte, internet, courriel), 1 pour Mme, 1 pour moi,
      1 portable généraliste pour Mme et moi en voyage,
      1 Raspberry Pi utilisé comme serveur de VPN hébergé chez un ami.

      Tout ce petit monde travaille sous Linux à ma plus grande satisfaction. Au moins, Gates n’a pas gagné grand chose avec moi.


    • amiaplacidus amiaplacidus 29 juillet 2020 15:40

      @amiaplacidus
      Pour la première phrase, lire :

      J’utilise Linux depuis 1994 et exclusivement Linux depuis 1997. Que du bonheur.


    • binary 29 juillet 2020 16:29

      @amiaplacidus

      Gates n’a pas gagné grand chose avec moi.

      Vous n’êtes pas le seul. Le prix officiel de win10 pro est 259€, et on trouve partout des clés pour 9€ sans qu il ne fasse rien !

      M$ connait parfaitement sa valeur réelle.


    • vesjem vesjem 30 juillet 2020 05:45

      @popov
      pas trop emmerdant pour changer ?


    • popov 30 juillet 2020 06:53

      @vesjem

      Ce n’est pas plus difficile que d’installer Windows.
      Et si vous avez de vieux programmes Windows, vous pouvez les faire tourner sous linux à l’aide de l’application wine.


    • babelouest babelouest 30 juillet 2020 07:11

      @popov
      Je confirme : installer Linux est TRÈS facile, plus que Windows parce qu’on n’a même pas à installer la plupart des pilotes, ils y sont déjà. De même que certaines applications pleinement opérationnelles., qui chez microsoft doivent s’installer à part parce qu’elles sont payantes. Après, il sera temps d’ajouter un outil qui pour moi est essentiel : DoubleCommander, de mettre à jour pour la dernière version de LibreOffice, de s’assurer que Gimp est bien là (ce sont des logiciels gratuits qui existent AUSSI sur Windows). Je peux le dire, parce que j’ai à la fois une vieille machine qui fait encore tourner vaillamment Windows 7, et une plus récente et moins puissante (avec Linux, cela suffit).


    • babelouest babelouest 30 juillet 2020 07:16

      @popov
      Pourquoi garder ma vieille bécane ? C’est parce que j’ai, pour le travail, des périphériques pour lesquels il n’existe pas de pilote spécifique sur Linux (question de droits) : une imprimante A3 ET un scanner A3.


    • foufouille foufouille 30 juillet 2020 15:27

      @Yaurrick

      Windaube n’est pas du tout stable et pour les drivers est pire que sauf matériel récent.

      Sous Linux, les drivers fonctionnent mal à cause du fabricant.


    • foufouille foufouille 30 juillet 2020 15:48

      @Yaurrick

      un CPU/GPU intel est lent aussi.


    • germon germon 30 juillet 2020 16:13

      @babelouest
      « Je confirme : installer Linux est TRÈS facile »

      J’ai commencé avec DOS2 jusqu’à Windows 3.11 ensuite Linux : Slaxware, Red Hat OpenSuse Ubuntu et enfin Debian depuis Woody et maintenant Buster en tri boot avec Bullseye, Sid en attendant Bookworm .

      Installer un Linux/Debian de base me demande une 1/2 heure ET pour le peaufiner (fond d’écran Grub perso, fond d’écran interface Icewm perso, mes logiciels préférés ( genre Paprass ... ) 1 à 2 heures.
      Installer ou dépanner un Windows me prend rarement moins d’une journée  !!!

      Le jour où tu découvres le Libre GNU/Linux, tu ne peux plus t’en
      passer smiley


    • germon germon 30 juillet 2020 17:46

      @germon
      Et l’aide c’est là :

      https://debian-facile.org/index.php

      https://www.mail-archive.com/debian-user-french@lists.debian.org/

      Amusez vous en double boot avec Windows .


    • foufouille foufouille 31 juillet 2020 08:20

      @Yaurrick

      des tas de personnes ont eu des soucis juste avec leur imprimante y a pas longtemps.

      si le matériel est trop, les drivers et logiciels pour la carte graphique sont juste basique comme sous linux.

      le driver propriétaire est générique pour toutes les versions de linux et comporte moins de fonction.

      le libre n’a pas accès à toutes les fonctions non plus car le fabricant refuse de fournir les données même des vieux trucs invendable.

      certaines versions ne peuvent s’installer avec un bios UEFI car il faut payer microsoft.


    • foufouille foufouille 31 juillet 2020 08:21

      @Yaurrick

      si le matériel est trop « vieux ».


  • eddofr eddofr 29 juillet 2020 15:07

    La capacité du système capitaliste à s’auto-préserver est presque égale à sa capacité de détruire tout le reste.

    Je ne crois pas à une conspiration mondiale de dirigeants machiavéliques qui voudraient modeler l’avenir.

    Je crois :

    A quelques choix historiques, dogmatiques, hasardeux et aux conséquences désastreuses à long termes.

    A une majorité de petits joueurs bas du front qui s’imaginent qu’il est préférable de gagner 5% en faisant perdre 10% à tout le monde (eux compris) plutôt que de gagner 2% en faisant gagner 3% à tout le monde (eux compris).

     A quelques sociopathes opportunistes qui profitent sciemment du système en ayant pleinement conscience des dégâts qu’ils font (mais c’est le propre des sociopathes).

    Je penses en particulier à la retraite par capitalisation, aux produits dérivés, à la société anonyme, à la supranationalité des entreprises et à l’invention de l’expression « ressources humaines ».

    L’humain ne devrait pas être une ressource (une ressource ça se « consomme » et ça se jette une fois usée).


  • zygzornifle zygzornifle 30 juillet 2020 08:18

    L’enfer est pavé des meilleures intentions

    Comme LaREM ….


  • George L. ZETER George L. ZETER 30 juillet 2020 15:32

    Je voudrais pas dire mais c’est franchement chiant lorsqu’on écrit des articles, fait au départ pour dialoguer sur un sujet donné, et que des commentateurs utilisent le fil pour des trucs qui n’ont rien à voir, comme c’est le cas pour mes deux derniers articles où les mecs discutaillent à propos de Windows ou linux ; allez sur des fils dédiés à ça, merde !!!


    • foufouille foufouille 30 juillet 2020 15:45

      @George L. ZETER

      ton article parle bien de microsoft aussi.

      pour les autres conneries, on a doctorix et sa terre creuse, sa médecine magique.

      rappel : cuba impose 11 vaccins aux enfants cubains dont 10 sont produit sur place avec de l’alu.


    • germon germon 30 juillet 2020 15:51

      @George L. ZETER
      Bonjour,
      Vous devriez faire un article comparant les deux Systèmes d’Exploitation en cause.
      Je pense que sa intéresserai pas mal de monde, non ?


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