jeudi 18 avril 2019 - par republicain

Ce n’est pas l’ENA qui forme nos dirigeants : le véritable cycle reproductif socialo-macronien passe par le copinage et l’UNEF

 

CE N’EST PAS L’ENA QUI FORME NOS DIRIGEANTS : LE VERITABLE CYCLE REPRODUCTIF SOCIALO MACRONIEN PASSE PAR LE COPINAGE ET L’UNEF

 

L’Ena n’est qu’un simple bouc émissaire, nos dirigeants sont passés par un cycle reproductif bien différent, celui du copinage, du piston, de l’inculture et de l’Unef. Les faits rien que les faits… pas plus de 5% d’énarques parmi ceux qui nous gouvernent

L’Ena formait les élites des années 60, 70 mais depuis bien longtemps l’Unef l’a remplacée.

La difficulté à réformer la France demeurera longtemps un mystère impénétrable. Il n’est pas dans notre propos d’analyser la pertinence des réformes mais d’analyser le processus de reproduction chez l’ « homo socialistus ». Hier l’espèce se reproduisait via le syndicalisme ouvrier, la petite bourgeoisie provinciale ou même l’ENA.

 

Les derniers de cette époque, les bébés Mitterrand qui dans leur immense majorité avaient fait l’Ena.

 

Aujourd’hui le cycle de reproduction commence par les mouvements lycéens et étudiants, l’apprentissage de la contestation et du blocage. La deuxième étape du cycle conduit les leaders contestataires qui terminent des études poussives à une insertion professionnelle ignorant le monde du travail. Le plus souvent celà passe par la pouponnière d’un homme politique, Rocard, DSK ou Huchon.

Enfin troisième étape du cycle, ils deviennent à leur tour ministres…

La France macronienne infectée par les anciens de la lutte anti cpe du début 2000 et par les bébés dsk

L’Ena des années 2010 n’est plus aussi sélective qu’auparavant, même Macron a eu le concours alors qu’il a lamentablement échoué plusieurs fois à Normale Sup.

Pas un seul énarque en dehors de lui dans la nouvelle génération macronienne..

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Le copinage et la protection d’un parrain sont les premiers critères de la réussite des macroniens. Ils ont réussi parce qu’ils ont plu à DSK… aucun n’a fait l’ENA 

Ismael Emilien le super conseiller de Macron est un bébé DSK, il n’a pas fait l’ena. Benjamin Griveau entré par piston dans le groupe DSK a échoué à l’Ena, ce qui ne surprendra personne.

Adrien Taquet et Sébastien Guérini sont également des bébés DSK, aucun n’a fait l’ENA

Idem pour les cerveaux de la Macronie, Gilles Finchelstein et Cedric O.

 

L’Ena des années 2010 n’est plus aussi sélective qu’auparavant, même Macron a eu le concours alors qu’il a lamentablement échoué plusieurs fois à Normale Sup.

Pas un seul énarque dans la nouvelle génération macronienne..

Le macronisme a sauvé le cycle reproductif socialiste compromis par la déconfiture hollandaise .

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Le 30 juin 2015, un mystérieux site internet annonce le lancement d’un mouvement nommé les Jeunes avec Macron (JAM). Cette initiative, présentée comme « totalement indépendante » du cabinet de celui qui n’est alors que le ministre de l’Économie va se révéler extrêmement utile dans l’ascension d’Emmanuel Macron vers l’Elysée. Ses initiateurs sont en réalité des proches de Stéphane Séjourné, le conseiller politique d’Emmanuel Macron chef de la campagne des européennes.

Malgré leur jeune âge, ces militants vont réussir, avec un talent indéniable, le coup de leur vie. Entre bluff, petites manips’ et vieilles méthodes, l’aventure va les conduire au cœur du pouvoir.

Qui se cache derrière les Jeunes avec Macron ? Cette question agite une partie de la gauche en ce début du mois de juillet 2015. Dans un texte intitulé « Qui sommes-nous ? » on peut lire : « Militants de partis politiques, membres d’associations et de syndicats, entrepreneurs, salariés, apprentis, étudiants ou encore lycéens, nous […] avons décidé de nous constituer en collectif indépendant des organisations politiques pour témoigner notre soutien à […] Emmanuel Macron. »

Stéphane Séjourné et les quatre cofondateurs des Jeunes avec Macron se connaissent depuis leurs études, à la fac de Droit de Poitiers. Le futur conseiller politique, de 3 ou 4 ans leur aîné, est leur mentor au sein du MJS, où tous militent.

Il a à son actif un fait d’armes : le blocage de sa fac pendant deux mois en 2006 lors du mouvement de protestation contre le CPE (Contrat première embauche). « C’était l’œuvre de Stéphane, se rappelle aujourd’hui Jules Aimé, qui militait à l’époque au MJS de Poitiers. Autant bloquer une face de Lettres ou de Sciences humaines, ce n’est pas trop compliqué vu la sociologie des étudiants, autant arriver à faire voter le blocus en Fac de Droit, c’était un tour de force. Pendant deux mois nous avons vécu une expérience incroyable, moi personnellement j’y ai perdu dix kilos. »

Stéphane Séjourné et ses amis appartiennent à l’aile droite du MJS, proches de Dominique Strauss-Kahn. Bordurés dans un mouvement très ancré à gauche, ils vont peu à peu s’en détacher après y avoir fait leur apprentissage politique. Après l’élection d’Emmanuel Macron, lorsque les élus PS verront arriver tous ces jeunes gens dans les allées du pouvoir, ils les reconnaîtront immédiatement : « Ah mais c’est la bande de Poitiers ! » diront certains. La journaliste de l’Opinion Nathalie Segaunes sera la première à leur donner cette étiquette qui est aujourd’hui leur surnom « officiel » à l’assemblée.

Pas d’Ena pour Séjourné mais l’Unef…

Idem pour le député islamisto compatible Sacha Houlié, son fait d’arme : la lutte contre les lois Pécresse

Idem pour le numéro 2 de LREM PIERRE PERSON  ; il n’a pas fait l’Ena mais la couveuse de Cambadélis et l’Unef

Guillaume Chiche député macroniste est un responsable Unef, il n’ a pas fait l’Ena mais la couveuse Huchon

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Sibeth Ndiaye est née le 13 décembre 1979 à Dakar au Sénégal. Fille de députés et président du conseil Consitutionnel. Sibeth Ndiaye s’investit dans un syndicat étudiant, l’UNEF, dès la fin des années 90, puis au sein de La mutuelle des étudiants (LMDE). Peu à peu, elle s’engage sur le terrain politique et adhère au Parti Socialiste en 2002. En mars 2008, elle participe à la campagne électorale du socialiste Mathieu Hanotin pour les cantonalesSibeth Ndiaye est alors propulsée chef du service presse du cabinet de Claude Bartolone. Elle y fait ses armes pendant deux ans, puis, devient chargée de mission auprès de Claude Bartolone en juin 2010.

En décembre 2013, elles’occupe des relations pressede Montebourg. En août 2014, après le départ d’Arnaud Montebourg, elle conserve les mêmes fonctions auprès du nouveau ministre, Emmanuel Macron.

En août 2016, Emmanuel Macron démissionne du gouvernement et fonde le mouvement En marche !. Sibeth Ndiaye le suit et devient, en septembre 2016, responsable presse et communication d’En Marche !

Pas d’Ena pour Sibeth mais l’Unef…

Aurélien Tache, le député islamisto macronien a été président de l’Unef à Limoges avant de devenir le protégé de Huchon

Pas d’Ena pour Tache mais l’Unef

 

Le nouveau monde ne recrute pas d’énarques à l’exception de Jupiter, Le Maire et Philippe.

Les anciens gauchistes apportent leur soutien au nouveau monde :

Romain Goupil a fait une seule chose dans sa vie : il a été exclu de son lycée pour activisme pro vietcong. Pour le reste il devient l’idole du monde bobo artistique, le protégé de Duras et Godard. Toute sa vie il s’ est trompé : soutien à BHL, favorable à la guerre en Iraq,

Cohn Bendit, tout le monde connait, sa mauvaise foi est proportionnelle à son intelligence…

 

Une nouvelle génération islamo Gauchiste tente de doubler les macroniens sur la gauche,

Mathieu Hanotin, Bruno Julliard, Caroline De Haas et Nadjet Boubekeur pour l’opposition actuelle d’extrème gauche, proche d’Henri Emmanuelli oude Benoît Hamon, quand Antoine Pelletier et Julien Salingue donnent de la voix pour les trotskistes de la « tendance tous ensemble »….

Tous ces produits de l’Unef ont joué un rôle clé dans la campagne présidentielle de 2017, aussi bien au Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qu’au Parti socialiste (PS) ou à En marche !. Mathieu Hanotin, député (PS) de Seine-Saint-Denis, codirigeait la campagne de Benoît Hamon dont Nadjet Boubekeur était responsable presse. Fanélie Carrey-Conte, députée socialiste de Paris, soutenait également le candidat issu de la gauche du PS, comme nombre d’anciens de l’UNEF. Antoine Pelletier et Julien Salingue comptaient parmi les rouages essentiels de la campagne de Philippe Poutou. Lors du débat télévisé du 4 avril, on a d’ailleurs vu l’ouvrier de chez Ford prendre conseil auprès de M. Salingue.

Historiquement, la majorité est hamoniste, mais depuis deux ans, elle a connu une mélenchonisation, décrit un cadre de l’Unef. Avec la présidentielle, beaucoup de gens sont partis chez les Insoumis. Et pendant l’été 2017, ils ont essayé de donner l’Unef à La France Insoumise.

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L’Unef est devenue un syndicat raciste dangereux dont les membres gangrènent la gauche éclatée, en particulier la France Insoumise et les Hamonistes

https://pgibertie.com/2019/04/16/lunef-est-une-organisation-raciste-dangereuse-qui-doit-etre-dissoute-des-responsables-de-lunef-se-rejouissent-de-la-destruction-de-notre-dame-apres-avoir-appeler-au-gazag/

Caroline De Haas l’islamo gauchiste 

Caroline De Haas est née dans la grande bourgeoisie, elle fera des études d’histoire mais parviendra elle à la maitrise.

Brillante carrière, à l’UNEF comme les autres mais dans les années 2000. Elle se convertit ensuite dans le féminisme et entame une carrière professionnelle socialiste. Elle sera ainsi attachée de presse du grand ancien, Benoit Hamon.

Caroline De Haas est nommée conseillère en charge des relations avec les associations et de la lutte contre les violences faites aux femmes au sein du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem. Elle est chargée de créer et d’animer des séances essentielles de sensibilisation aux questions d’égalités hommes-femmes pour les ministres du gouvernement.

En janvier 2016, elle lance avec Elliot Lepers et Arnauld Champremier-Trigano la campagne « Primaire de gauche », le 18 février 2016, elle lance la pétition « Loi Travail : non, merci ! » contre la réforme du code du travail.

Dans les débats qui suivent les agressions sexuelles du Nouvel An 2016 à Cologne, Caroline De Haas dénonce les « merdes racistes » qui lient les agressions à l’arrivée de migrants en Allemagne. Elizabeth Badinter lui répondra : « « Toutes celles qui ont mis la priorité sur la dénonciation du racisme avant la protection des femmes ont fait exactement la même erreur que la maire de Cologne [Henriette Reker a tout d’abord mis en garde contre les amalgames avant de conseiller aux femmes de… s’éloigner des hommes, ndlr]. Et j’en suis d’autant plus surprise que le féminisme, depuis une dizaine d’années, a pour principal objet, pour leitmotiv même, la lutte contre les violences faites aux femmes, ici, en France. Ce que cette affaire de Cologne a démontré, c’est que quand ce sont des étrangers qui sont en cause alors les priorités changent. Franchement, quand on prétend diriger un mouvement féministe, ou incarner le nouveau féminisme, être à ce point silencieux, comme première réaction, sur les violences dont ont été victimes ces femmes… c’est stupéfiant ! »

« Effectivement, le féminisme qui se reconnaît dans l’extrême gauche a adopté les priorités de l’extrême gauche. C’est à peu près ce qui se passait il y a 40 ans, du temps des staliniens. « Ne dites pas ceci ou cela, car vous feriez le jeu du fascisme », nous répétait-on à l’envi. Aujourd’hui ça n’a pas changé : ces femmes sont d’abord politiques, avant d’être féministes et à chaque fois, elles vous renvoient à la figure que, si les jeunes portent le niqab, c’est parce qu’elles le veulent bien. Et que, si vous prétendez critiquer ceci, c’est une attaque de leur pratique religieuse… Donc c’est fini, on n’en parle plus. C’est devenu un sujet tabou. »

BRUNO JULIARD et les couveuses

Le révolutionnaire anti cpe fut le fils à sa maman maire du Puy en Velay ; il a été le protégé d’Anne Hidalgo, maire de Paris. Autoproclamé responsable de l’éducation et soutien de la la Dame des 35 heures, maire de Lille. Un loup politique allant de couveuse en couveuse… Cursus classique pour le reste : l’Unef, la M.N.E.F., le mouvement des jeunes socialistes et le PS. Impasse sur le marché dit normal du travail.

Pouria Amirshai le pro de l’unef

Il vient de quitter le Ps et pourtant il lui doit tout. La présidence de l’Unef, une « profession « dans les mutuelles puis un siège de député. Ses camarades ne lui pardonnent pas de téléguider le syndicat Unef contre la loi travail.

William Martinet, le versaillais, licencié en biologie, bac plus 10, futur ministre de Mélenchon 

http://www.lepoint.fr/politique/qui-est-william-martinet-le-vieil-etudiant-qui-veut-la-peau-de-la-loi-travail-04-03-2016-2023026_20.php

 

La mobilisation contre le projet El Khomri, « c’est l’heure de gloire pour un président de l’Unef qui est en train de mettre des jeunes dans la rue », juge une observatrice, pour qui « il joue sa carrière politique maintenant ». Jean-Christophe Cambadélis, Pouria Amirshahi, Christophe Borgel, Bruno Julliard : l’Unef a servi de tremplin politique à certains de ses prédécesseurs, mais l’idée que le syndicat soit considéré comme une « pouponnière socialiste » le pique au vif. « Comme si un jeune ne pouvait pas se faire sa propre opinion ou mener ses propres combats. »

Fraîchement inscrit en master d’Économie sociale et solidaire, il dit n’être pas encarté au PS ou ailleurs. Quant à une carrière politique, « on verra. Moi ce que je veux, c’est travailler dans l’économie sociale et solidaire ». En 2007, c’est exactement ce que nous promettait Bruno Julliard : « Tout ce que je peux dire, c’est que je veux une véritable insertion professionnelle. » C’était deux jours avant d’être candidat aux municipales sur la liste PS à Paris.

Il est candidat aux européennes sur la liste Mélenchon

Le cycle de reproduction fonctionne bien….Il exige hélas un blocage des réformes. De la réussite de ce blocage dépend l’émergence d’une nouvelle génération d’hommes politiques

 

La France de Hollande était dirigée par les casseurs de reformes des années 80/90

 

La France de Hollande était dirigée par les casseurs de reformes des années 80/90

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Les responsables socialistes hollandais sont peu nombreux à avoir fait l’ENA ; Sapin, Hollande. Ils sont majoritairement issus des mouvements de contestation des années 80 /90. La lutte contre la réforme Devaquet de modernisation des universités sous Chirac, c’est eux ; la lutte contre les réformes Juppé de 95/97, c’est encore eux.

Ils sont le plus souvent issus de la bourgeoisie, ont été trotskystes puis sont devenus gestionnaires de l’UNEF, la « matrice » du socialisme, ils ont géré la MNEF célèbre par ses faillites ? Les études furent laborieuses, le plus souvent une licence d’histoire ou de philosophie arrachées vers 24 ou 25 ans .L’insertion dans la vie professionnelle ignore le monde normal du travail. La génération socialiste au pouvoir est constituée des enfants illégitimes de François Mitterrand et de Martine AUBRY.

Harlem Désir : UNEF SOS RACISME EUROPE, NE TOUCHE PAS à mon poste

Le petit Harlem réalise des études poussives, une licence de philosophie en 1983, à l’âge de 24 ans.

Harlem Désir milite brièvement au sein des LCR, il s’engage dans le syndicat étudiant UNEF-ID ; il est membre du bureau national de 1983 à 1984 et salarié de la Mutuelle nationale des étudiants de France. La vie professionnelle du jeune Harlem est toute tracée, il sera politicien, salarié de la Mutuelle étudiante MNEF, d’associations liées puis il sera planqué au conseil économique et social, il faut bien vivre, et enfin député européen (élections à la proportionnelle)

Le gourou d’Harlem s’appelle Julien Dray, lui aussi issu de la LCR, connu pour ses montres si chères. Harlem Désir participe avec lui au club de réflexion Question socialiste, formé par d’anciens militants trotskistes se situant désormais à l’aile gauche du PS. De novembre 1986 à octobre 1987, il occupe la présidence de SOS Racisme tout en étant salarié par l’« Association régionale pour la formation et l’éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » et il perçoit pour cet emploi fictif, un salaire mensuel net de 8 900 francs. Cela lui vaut d’être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende pour recel d’abus de biens sociaux. Harlem Désir aurait également bénéficié d’une amnistie de François Mitterrand concernant une dette de 80 000 francs au Trésor public, relative à des amendes de stationnement (décision de justice du 9 mai 1992) alors qu’il était président de SOS Racisme.

http://www.liberation.fr/societe/1998/11/06/les-salaires-embarrassants-de-harlem-desir-avec-un-autre-ex-responsable-de-sos-racisme-il-comparaiss_252842

 

Harlem Désir et Hayette Boudjema, anciens responsables de SOS Racisme dans les années 80, s’expliquaient en 1998 devant le tribunal correctionnel de Lille sur des rémunérations reçues entre 1988 et 1991 d’une association lilloise, l’Arfem (Association régionale de formation et d’éducation des migrants). 

Cela lui vaut d’être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende pour recel d’abus de biens sociaux.

Egalement condamnée, Hayette ancienne vice-présidente de l’Unef a fait un belle carrière politique en se spécialisant dans le secteur « logement piur les pauvres ». On le retrouve nominé dans plusiseurs commissions et comités.

Harlem lui se spécialise dans l’Europe, c’est plus pratique car les élections ont lieu à la proportionnelle et ses tentatives aux législatives se révèlent désastreuses.

Il se présente sous les couleurs de Génération écologie aux élections législatives de 1993 dans la onzième circonscription des .Six mois plus tard, en décembre 1993, il rejoint le Parti socialiste. Il est alors membre du courant Gauche socialiste. En 2003, il est nommé responsable national pour l’Europe.

Il faut bien vivre, il est nommé membre du Conseil économique et social, de 1989 à 1994, puis de 1997 à 1999.

Il se présente une nouvelle fois sans succès, à l’élection législative d’Aulnay-sous-Bois, en 1997. Deux ans plus tard, il obtient son premier mandat, comme député européen. Lors des élections européennes de 2004, il est tête de liste du PS pour la région Île-de-France

Le grand Harlem évite avec succès le surmenage : Selon le site votewatch.eu, qui recense l’assiduité des parlementaires européens, Harlem Désir n’a participé qu’à 50,15% des votes de l’assemblée européenne (752e sur 766). Il a posé 14 questions parlementaires (601ème) et n’a amendé que 12 rapports (660e).

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/decryptages/2014/04/10/25003-20140410ARTFIG00092-l-absenteisme-persistant-d-harlem-desir-au-parlement-europeen.php

Lors du vote du 18 octobre 2012, il est élu Premier secrétaire du parti, un grand moment : l’affaire Leonarda.

Le monde fait alors le point sur la carrière du leader maximo devenu leader minimo :

« On l’oublie trop souvent, mais il fût une époque où l’on parlait d’une « Génération Désir ». C’était au mitan des années 1980, lorsque le probable futur premier secrétaire du PS était président de SOS-Racisme. Porte-drapeau de la France métissée, Harlem Désir, 25 ans, prenait la parole devant des milliers de jeunes lors des concerts monstres sous la bannière « Touche pas à mon pote ». Les médias se l’arrachaient, il posait en photo avec Coluche, Isabelle Adjani ou Bernard-Henri Lévy.

Trente ans plus tard, l’ancienne star de l’association antiraciste est devenue un ténor socialiste que ses camarades eux-mêmes décrivent comme « bon élève mais zéro charisme », un « champion toutes catégories de la langue de bois », ou un « apparatchik pur jus » ? « Quand on parle de moi, la ligne c’est : ‘Il était jeune et beau. Il est devenu sérieux et chiant »’, reconnaissait-il lui-même il y a quelques années. Ainsi va le paradoxe Désir

 

Harlem Désir, est nommé le 9 avril 2014 secrétaire d’État chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Valls. Personne ne le remarque il doit y être encore mais c’est à vérifier.

La Cour des comptes avait également pointé du doigt en 1997 les résultats d’exploitation de SOS Racisme, qui avait bénéficié de subventions de la part de 10 ministères ! La Cour des comptes avait de nouveau souligné » les graves insuffisances de gestion et de rigueur de SOS Racisme » en 2002. SOS Racisme, plombée par les dette et au bord de la liquidation, avait bénéficié d’une subvention de 230 000 euros prélevée sur les fonds spéciaux de Matignon en 2001.

Manuel Valls : le déviant

Le petit Manuel revendique ses origines immigrées et certains imaginent parfois un descendant de réfugié républicain issu de milieu modeste. On ne choisit pas ses origines ,la famille de Manuel est catholique, et riche, très riche, elle connait des difficultés lors de la guerre civile en raison des idées franquistes du pépé. Manuel nous vient des milieux d’affaires et de la banque, et son père était artiste peintre.

Manuel c’est la génération Mitterrand version rocardienne. Des études poussives, une licence d’histoire à 24 ans, un militantisme à l’UNEF et à la M.N.E.F. mais à la différence des autres pas de passage par un mouvement trotskyste.

Protégé par Alain Bauer du Grand Orient de France et par les Rocardiens le jeune Manuel connait une carrière professionnelle totalement politicienne. Attaché parlementaire, membre de cabinet, conseiller, délégué interministériel, chargé de communication. Il faut bien vivre quand on n’a pas réussi l’ENA ou un concours de la fonction publique, quand on veut éviter de travailler en entreprise et quand on ne parvient pas à se faire élire…

En 2001/2002 il réussit enfin son implantation à Evry où il augmente les impôts de 50% et attribue quelques 25 voitures de fonction à ses collaborateurs.

 

En juin 2009, se promenant à Evry et oubliant qu’il était équipé d’un micro-cravate, il déclare : « Belle image de la ville d’Evry… Tu me mets quelques Blancs, quelques Whites, quelques Blancos… »

 

Manuel Valls a tout de même des qualités, c’est un communiquant, il a su faire oublier son incompétence pour prendre le masque du réformisme, comment ? En s’opposant à Martine Aubry et en tenant un discours fort sur les valeurs de la république accompagné de coups de mentons. Célèbre par ses colères, surnommé « pépé soupe à l’oignon y crouton » par ses adversaires, il ressemblerait beaucoup au personnage d’Astérix en Hispanie qui cesse de respirer quand il s’énerve.

Manuel Valls saura négocier les 6% de suffrages obtenus à la primaire du ps mais sa carrière politique butte aujourd’hui sur une nouvelle étoile du parti, plus brillante et plus sympathique. Emmanuel Macron éclipse le colérique Manuel.

http://www.delitdimages.org/le-vrai-visage-de-manuel-valls-par-emmanuel-ratier/

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Cambadélis, sa licence après dix ans de fac, ses copains et la MNEF

http://www.marianne.net/Valls-Cambadelis-Le-Guen-la-bande-de-la-MNEF-aux-affaires_a241584.html

 

Il y a certes bien des questions à se poser sur « l’affaire des diplômes » (ou plutôt de l’absence de) du Premier secrétaire du PS. Que « Camba » ait obtenu sa licence en forgeant un faux (la thèse de Mauduit) ou en obtenant une « dérogation » (la thèse de Camba), l’histoire est peu reluisante. Elle rappelle comment fonctionnait l’extrême gauche de l’époque, fascinée par les « révolutionnaires professionnels ». Certains militants passèrent plus de temps à distribuer des tracts et à haranguer les amphis qu’à bûcher leurs cours. C’est ainsi qu’émergèrent bien des « leaders étudiants » dont les rides trahissaient qu’ils avaient passé l’âge d’être en fac… On pouvait ainsi être dirigeant de l’Unef et sacrément cancre ! Certains le payèrent ensuite en redoublant d’efforts pour décrocher leurs examens, d’autres « se démerdaient » dans une Université, qui, à l’époque, était souvent bonne mère, et pas qu’avec les gauchistes… Apparemment « Camba », n’était pas parmi les bûcheurs. Lui même avoue son peu de goût pour les études : passer une licence après dix années (!) de fac, « cela me faisait suer », déclare-t-il…

Jean-Christophe Cambadélis, Manuel Valls et Jean-Marie Le Guen. Ce trio constituerait un véritable GIE, un « groupement d’intérêt économique » dont le terrain d’expérimentation fut la MNEF, la mutuelle étudiante. Mauduit réouvre ce dossier (exploré à l’époque par Armelle Thoraval de Libération dans des conditions difficiles) et lui donne un sens politique. La MNEF était, dans les années 1970 et 1980, un gâteau découpé par des dirigeants d’organisations politiques au prorata de leur influence sur la gauche étudiante. Sont venus au festin non seulement les trotskystes (OCI) de Cambadélis (salarié comme « sociologue »), mais aussi les jeunes rocardiens (Le Guen est « conseiller médical). Au conseil d’administration de la MNEF siège aussi un certain Manuel Valls… Cambadélis fut condamné pour emploi fictif, Le Guen obtint un non-lieu. Cette « génération MNEF » est désormais portée au pouvoir par le remaniement d’avril 2014. Camba tient le PS, Le Guen a enfin un pied au gouvernement, Valls le dirige.

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L’unef est une organisation raciste dangereuse qui doit être dissoute Des responsables de l’Unef se réjouissent de la destruction de Notre Dame après avoir appeler au gazage des blancs 

Sa disparition permettrait un vrai renouvellement de la classe politique

 



11 réactions


  • Rantanplan Chantecler 18 avril 2019 11:54

    la France macronnienne est surtout infestée par les cathos, les cul-bénits, les anciens élèves de Jésuites et les anciens employés de la banque Rotschild, passés à la moulinette des young-leaders et de Bilderberg ;

    C’est tout ça qui pue !

    L’UNEF et l’Ena ne sont pour rien dans ce clientélisme, pas plus que l’école maternelle.

    On y apprend à lire et à écrire, c’est tout !

    Les réseaux se font ailleurs.


    • Rantanplan Chantecler 18 avril 2019 11:56

      @Chantecler

      les photos et l’objet de l’articlent retardent d’un quinquennat, et même plus
      la balle a changé de camp


    • troletbuse troletbuse 18 avril 2019 12:00

      @Chantecler
      Ils se disent cathos. Ca sert bien leurs intérêts. Bientôt ils vont se convertir à l’Islam. C’est payant.


    • Julien30 Julien30 18 avril 2019 12:43

      @Chantecler
      Mais oui les cathos sont aux affaires ! On en lit de ces trucs sur internet...


    • Gilles Mérivac Gilles Mérivac 18 avril 2019 13:07

      @Julien30
      Ne vous en faites pas, ils essaient vainement d’allumer un contre feu mais l’article est clair et précis dans l’étalage de la pourriture qui sévit au plus haut niveau.


  • zygzornifle zygzornifle 18 avril 2019 12:38
    Ce n’est pas l’ENA qui forme nos dirigeants

    C’est bien vrai quand on voit la catastrophe une fois lancés dans la politique ou a la tète des grandes entreprises , fiasco sur fiasco ....


    • troletbuse troletbuse 19 avril 2019 12:35

      @zygzornifle
      Ah si, elle forme de parfaits menteurs, escrocs et arrivistes de tout poil. On ne peut lui enlever celà. Les énarques sont des brêles qui n’ont pas pu faire autre chose.


  • tuxuhikewi 18 avril 2019 14:00

    Des photos de salopards avec des flèches et des noms.

    J’en suis friant, et toute la complosphére avec moi.


  • Waspasien 18 avril 2019 20:34

    Ca alors ! Que va t’on faire des énasculés maintenant ?


  • nenecologue nenecologue 19 avril 2019 11:03

    Plus globalement je dirais que ce sont les apatrides qui sont le vivier de la politique.

    Les nomades (immigrés , habitants bobos des grandes villes , et grosses fortunes apatrides) seront toujours en conflit avec les sédentaires ( la france péri urbaine , les ruraux)


  • jamjam 19 avril 2019 12:27

    Oui, l’université est pourvoyeuse de « talents » politiques qui ne travailleront jamais dans le monde de l’entreprise. Ce sont souvent des gens qui font des études d’histoire, de sociologie, de droit, filières dont on dit que ce sont les recalés des autres filières qui s’y engouffrent. Filières sans débouchés suffisants. J’ai ainsi récemment entendu que la France formait plus de sociologues que tous les pays européens réunis. Est-ce vrai ?

    Un exemple typique est celui de Juillard qui a traîné à l’UNEF à la fac pendant des années et ne travaillera sans doute jamais dans la vie réelle. Un bon point au postier trotskiste qui, après de longues études d’histoire, a travaillé comme postier. Comme fonctionnaire quand même. 


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