vendredi 31 juillet 2020 - par ClemCoucou

Covid-19, une analyse multi-factorielle de la situation

Un traitement fonctionne, il est interdit en France, question : pourquoi ?

Quel est ce traitement ? L’association hydroxychloroquine + azithromycine.

Comment est-il interdit ? Par ce décret du 25 mars 2020.

Pourquoi donc n’ai-je pas le droit de soigner ni d’être soigné ?

Un traitement fonctionne, il est interdit en France, question : pourquoi ?

Voici les différents facteurs que j'ai identifiés pour répondre à cette question. Je les résume en 9 BIGs dans mon analyse :

1) BIG Bétail

A ce stade je ne peux pas dire si l’origine du Corona virus est naturelle, thèse de la mutation spontanée d’un virus de pangolin ou de chauve-souris par exemple, ou bien si elle est artificielle, thèse de l’arme bactériologique par exemple.

En revanche il existe un lien bien établi dans l’histoire humaine entre maladies infectieuses et sédentarisation, le don fatal du bétail comme disait Jared Diamond dans son livre De l’inégalité parmi les sociétés. Proximité des gens entre eux (développement des villes) et proximité des gens avec le bétail favorisent en effet l’émergence d’épidémies (variole, grippe, …) chez les êtres humains.

Plus récemment, des chercheurs français ont montré que l’accroissement du bétail sur l’ensemble de la planète impacte directement la faune sauvage et le nombre d’épidémies chez l’homme et l’animal domestique.

2) BIG Business

Ensuite la rapide propagation du Corona virus s’explique, de mon point de vue, par la grande inter-connexion des sociétés humaines actuelles. Les échanges commerciaux, les déplacements humains, bref la mondialisation a probablement joué un rôle d’accélérateur dans la propagation à l’échelle mondiale de ce nouveau virus.

3) BIG Data

Le 16 mars 2020, Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres (financé en mars 2020 à hauteur de 80 millions de dollars par la Foundation Bill and Melinda Gates) publiait un article prédisant 510 000 morts au Royaume-Uni et 2 200 000 morts aux Etats-Unis. Le même jour la presse privée française relayait cette information. Le lendemain le gouvernement français prenait la décision de confiner la population entière. Sous l’influence de cette publication prétendument scientifique, les gouvernements anglais et états-uniens ne tardèrent pas à suivre cette politique.

Il s’est avéré que ce Neil Ferguson n’en était pas à son coup d’essai en matière de prévision épidémique alarmante et erronnée. Concernant son modèle censé décrire la dangerosité du covid-19 en particulier, il est tout simplement ridicule.

Un autre article a défrayé la chronique à propos de l’hydroxychloroquine. Ce fut un article publié le 22 mai 2020 dans la revue The Lancet qui concluait à l’absence de preuve quant à l’action bénéfique de ce médicament. Devant l’évidente inanité scientifique de cet article, The Lancet a préféré le retirer de ses publications, chose rare pour une revue de ce niveau.

Bien sûr la science n’est pas réductible à ce genre de publications douteuses, des scientifiques sérieux et des médecins honnêtes font leur travail, mais la masse d’information disponible aujourd’hui permet à Big Média de faire son choix…

4) BIG Média

Depuis le 11 septembre 2001 les médias d’État et les médias privés n’ont plus aucune crédibilité à mes yeux, j’ai donc arrêté de les écouter et de les lire. Par curiosité, j’ai quand même jeté un coup d’œil à la presse privée : la fabrique de la peur continue de tourner à plein régime ! On discrédite les médecins Delépine, Perronne, Raoult par ci, on jette le doute sur l’hydroxychloroquine par , bref on est vendu au plus offrant et, le pire, c’est qu’on nous écoute encore !

5) BIG Pacha

Nous avons la chance en France de vivre dans un haut niveau de confort (hôpitaux modernes, capital financier d’environ 200 000 € par personne en moyenne), ce qui favorise la peur de tout et l’idéologie sécuritaire actuelle : obligation de nous attacher dans une voiture, obligation de vacciner nos enfants, obligation de mettre un capuchon en plastique sur nos couteaux de cuisine bientôt ? Nous vivons comme des pachas, la mort nous effraye, tout décès accidentel peut donc être montée en épingle par les médias dominants pour nous effrayer. Dans ce contexte, nous nous sentons démunis face à la menace du Corona virus. Mais que fait l’État ? Au secours !!

6) BIG Europa

Un mot clé dans la situation actuelle est déresponsabilisation. Par exemple, quand la scolarisation est redevenue possible, l’État a délégué sa responsabilité aux maires qui, eux-mêmes, ont délégué leur responsabilité aux chefs d’établissements qui, eux-mêmes, ont délégué leur responsabilité aux parents d’élèves.

Et inversement, dans cette situation épidémique rendue anxiogène le citoyen se tourne vers l’État pour être pris en charge, puis l’État se tourne vers l’OMS pour savoir quoi faire, puis l’OMS se tourne vers Big Pharma pour développer un vaccin, puis Big Pharma se tourne vers Big Money en lui promettant monts et merveilles s’ils arrivent à vendre leurs injections à 7 milliards de gens, et enfin Big Money se tourne vers Big État en cas de besoin, qui lui-même ponctionnera Big Pacha. Cette boucle qui permet à chacun de dissoudre sa propre responsabilité est une conséquence d’une société bureaucratique complexe que j’appellerai BIG Europa.

7) BIG État

Qu’a fait l’État français face à la situation d’urgence sanitaire liée au Corona virus ? Confinement général ! On notera le caractère innovant de cette mesure par rapport à l'habituelle « Mobilisation générale ! » en cas de "guerre".

La première conséquence de cette politique de confinement généralisé est le contrôle accru de la population : interdiction de manifester, restriction des libertés de circuler, de se réunir, de s’exprimer (loi avia).

Une deuxième conséquence est la mise à mal des petites entreprises locales au profit des plus grandes organisations internationales. De la même façon que la guerre militaire profite au complexe militaro-industriel (Big Armada), la « guerre » contre l’épidémie profite au complexe industriel pharmaceutique (Big Pharma).

8) BIG Pharma

La réponse collective traditionnelle et multi-séculaire face à une épidémie de maladie infectieuse est :

- premièrement, détecter les gens malades,

- deuxièmement, les soigner avec les traitements disponibles,

- troisièmement, les isoler du reste de la population le temps qu’il guérissent (ou qu’ils meurent).

La réponse innovante de l’État français fut au contraire :

- premièrement, organiser la pénurie de tests de détection,

- deuxièmement, interdire par décret l’utilisation d’un traitement efficace contre la maladie,

- troisièmement, confiner les personnes malades avec les autres au sein des familles et des maisons de retraites.

Au prétexte d’une deuxième vague qui n’existe pas, le port du masque est désormais obligatoire un peu partout en attendant un vaccin. Je serais un politicien payé par Big Pharma que je ne m’y prendrais pas autrement.

9) BIG All

Dernier facteur de cette liste, notre idéologie matérialiste actuelle : peu importent les coûts pourvu que je profite. Peu importe le coût économique du confinement pourvu que je puisse acheter sur Amazon (Big Gafa), pourvu que le système monétaire soit protégé (Big Money), pourvu que je puisse continuer à m’employer quelque part (Big Mat, Big Oil, Big n’importe quoi).

Peu importe le coût humain de la distanciation sociale pourvu que je puisse acheter de tout (Big All) !

Alors pourquoi est-il interdit en France de soigner et d’être soigné grâce au traitement de notre choix, en l’occurrence un traitement bon marché et aux effets secondaires très faibles et bien connus ? Ces 9 indices nous montrent une piste. Cette piste mènera-t-elle à une vaccination obligatoire de la population mondiale, pucée à l’occasion comme du bétail, nourrie de ces animaux qui lui ressemblent, abrutie d’informations contradictoires ?

Futurs chômeurs, victimes de la guerre contre le terrorisme de cet infâme virus couronné, j’espère que vous n’aurez pas besoin de votre carte vitale tamponnée par la kommandantur pour quémander quelque revenu écologique de subsistance...

En attendant, pour le droit de soigner et d’être soigné, vous pouvez toujours :

- soutenir le collectif d’avocats N’OublionsRien,

- signer la pétition Douste-Blazy/Perronne dans le même but,

- rejoindre le collectif de soignants StopCovid.

 

Clement Pêtrès

Ancien enseignant-chercheur en robotique et intelligence artificielle à l’Université Paris 6 Pierre et Marie Curie.




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