lundi 24 août 2015 - par Pierre Mellifont

Critique de l’antiracisme psychotique

Ce n’est pas en niant l’existence des races que l’on pourfendra le racisme. Au contraire : cette affirmation pseudo-scientifique étant une insulte à l’intelligence, elle ne peut que favoriser à terme une réaction raciste. Le racisme vient de loin, et il faut le traiter avec prudence et intelligence.

Pourtant, Christophe Oberlin, dans un entretien publié sur Agoravox TV, joue avec le feu et ne s’en rend pas compte. (http://www.agoravox.tv/actualites/societe/article/entretien-avec-christophe-oberlin-50656)

 

L’obsession « anti-raciste » jusqu’au déni de réalité

Si l’on suit intégralement et attentivement la vidéo du « scientifique » Oberlin nous expliquant sans rire que « les races n’existent pas », on peut noter qu’il clame à plusieurs reprises que la chose est « scientifiquement démontrée » : On attend alors avec impatience, dans cette longue vidéo, l’argument ou les arguments « scientifiques »  constituant la preuve de la prétendue vérité, mais rien ne vient. Ce n’est pas étonnant, car lesdites « preuves » sont si faciles à réfuter que Christophe Oberlin sait intuitivement qu’il est préférable de ne pas les énoncer.

Il faut donc lui répondre, dans l’espoir de lui faire comprendre que, d’une part, il a perdu la tête et que, d’autre part, ce n’est pas parce qu’il a perdu la tête qu’il doive à tout prix essayer de la faire perdre à ses semblables, d’autant moins en agitant le gri-gri du « scientifiquement démontré », ce qui calomnie la science tout en cherchant à intimider ceux qui la vénèrent précisément parce qu’elle n’a pas l’habitude de proférer des mensonges, ayant toujours pris soin d’appeler hypothèse ce qui n’est qu’hypothèse et de n’appeler preuve que ce qui est irréfutable.

Il faut donc que Christophe Oberlin comprenne que tout combat, y compris antiraciste, ne peut être juste que s’il s’appuie sur un discours de vérité, et non sur des idées arrangées pour leur efficacité supposée. Son attitude véritablement démentielle (et nous pesons nos mots) nous oblige à lui expliquer ce qu’est le racisme, afin qu’il puisse reconsidérer cette question qui l’a visiblement névrosé, après quoi il pourra reprendre son combat s’il le souhaite, en se basant cette fois sur des faits avérés et des vérités universelles : L’enfant de 3 ans reconnaît la variété des races sans pour autant être raciste. C’est ce que nous allons montrer.

 

Origines du racisme

Affirmons tout d’abord que si la communauté scientifique laisse s’immiscer en son sein des individus peu scrupuleux qui veulent faire passer leurs options politiques pour des vérités scientifiques, alors c’est la science tout entière qui voit menacer sa réputation d’honnête impartialité et la sérieuse abnégation de ses travaux.

Le cas s’est déjà vu : Avec le racisme, précisément, qui donna lieu, au XIXe siècle, à toutes sortes d’élucubrations dites « scientifiques » prétendant démontrer les droits de la race blanche sur les autres races, ce qui justifiait confortablement la construction des empires coloniaux, et permettant ensuite aux allemands de décréter impure et fourbe la race des juifs et aux anglo-saxons d’en finir sans scrupule avec le « problème » des peaux-rouges d’Amérique et des aborigènes d’Australie, et d’adopter des lois de séparation des races aux Etats-Unis jusqu’en 1965 et en Afrique du Sud jusqu’en 1991. Glorifions-nous ici d’être français, car au même moment où les Noirs des Etats-Unis, même sous John Kennedy, qui n’a pas eu le temps d’abolir lui-même ces lois racistes, n’avaient pas le droit de s’asseoir dans les autobus ni de fréquenter les mêmes écoles que les Blancs, ni même de se soulager dans les mêmes vespasiennes, Gaston Monnerville, métis des Antilles et descendant d’esclave était, en France, Président du Sénat, c’est-à-dire le deuxième personnage de l’Etat…

Certes, ces cas anglo-germaniques font tache dans l’histoire moderne, montrant que le racisme est une tendance regrettable à laquelle l’esprit humain se laisse facilement aller, d’autant plus facilement que, dans la longue histoire de l’humanité, le mépris du racisme est une nouveauté qui ne fut introduite que par le christianisme , comme nous allons le voir.

Dans l’antiquité, en effet, chaque peuple se construit sur des mythes ou des légendes qui en font la race élue des dieux, considérant les peuples étrangers comme des barbares maudits par le ciel, que l’on peut donc traiter comme un bétail corvéable à merci que l’on peut abattre quand son travail ne donne plus satisfaction.

Ainsi, les Grecs appelaient barbares tous les peuples étrangers, et on oublie que la démocratie qu’ils ont fondée ne s’entendait que sous l’angle de la race grecque élue des dieux : cette race démocratique ne voyait aucun inconvénient à utiliser comme esclaves les enfants des races barbares.

De même, les Romains, en bâtissant leur empire, soumettaient des peuples auxquels la citoyenneté romaine n’était accordée qu’à quelques éléments d’élite, tandis que des milliers de jeunes hommes se voyaient priver de leur dignité et transformer en machines à travailler dans les mines de Sicile, où ils vivaient un véritable enfer et y perdaient rapidement la vie.

Les Chinois, de leur côté, appelaient leur empereur « Fils du Ciel », et considéraient la terre comme un disque au Milieu duquel se trouvait la grandiose Chine, entourée, sur ses confins, de nations barbares, obscures et méprisables.

Les Hébreux eux-mêmes ne faisaient pas exception à cette règle universelle : Yahvé s’était choisi un peuple, seul digne de recevoir ses communications prophétiques, et le reste de l’humanité n’était qu’un troupeau de barbares ignorant jusqu’à l’existence du Dieu Vivant .

Ainsi, on le voit, dans l’antiquité, le racisme est la chose la mieux partagée du monde.

Toutefois, bien que les Juifs fussent donc à leurs propres yeux, tout comme les autres peuples, un peuple élu entouré de nations barbares, il se trouvait cependant chez eux une spécificité : l’attente du Messie.

 

Origine de la réfutation du racisme

Et de fait, ce Messie est venu au temps annoncé (peu de temps avant la destruction du second temple, selon le prophète Daniel), et il a ainsi renouvelé la religion : Pas seulement celle des Juifs, mais celles de la terre entière, à qui il a été annoncé au fil des siècles, comme il l’avait demandé.

Quels changements universels a donc apportés ce Messie ? En tout premier lieu, il a bouleversé les rapports humains, en mettant fin au mythe paradoxalement universel dans l’antiquité du «  Nous sommes le peuple élu et les autres ne sont qu’un bétail de barbares indignes d’être appelés humains » : Le Christ, en effet, envoie ses disciples proclamer l’Evangile à toutes les nations : il a bien dit « toutes », sans faire d’exception. Il n’y a donc plus de race élue, puisque toutes les races sont dignes de recevoir la Bonne Nouvelle.

Ainsi, la religion est renouvelée : Jésus enseigne que Dieu ne fait pas acception des personnes, c’est-à-dire que la naissance n’est pas la garantie du salut, et qu’au contraire ceux qui sont nés dans les privilèges n’en seront jugés que plus sévèrement s’ils n’ont pas utilisé au profit des autres les dons exceptionnels qu’ils ont reçus. Il rappelle le commandement mosaïque « Tu aimeras ton prochain comme toi-même  », qu’il reformule en affirmant « Aimez-vous les uns les autres », ajoutant même « Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous maudissent ».

Ces paroles sont littéralement révolutionnaires, car elles mettent fin aux malédictions réciproques que s’adressaient entre eux les peuples de l ‘antiquité.

 

La condamnation du racisme remplace celle des races vaincues

Ainsi, de cette aventure évangélique il est resté quelque chose : C’est que le « Vae Victis »Malheur aux vaincus) des Romains, qui valait aussi pour tous les autres peuples antiques, a été abattu : Avant Jésus-Christ, en effet, la terre est peuplée de nations rivales qui se soumettent tour à tour, chacune s’octroyant un droit de vie et de mort sur les peuples qu’elle a vaincus  : Si les dieux nous ont donné la victoire, c’est qu’ils nous aiment et haïssent nos ennemis : nous avons donc sur nos ennemis le droit de vie et de mort. Cette loi est universelle jusqu’à Jésus-Christ, et si elle nous semble aujourd’hui cruelle et barbare, c’est uniquement parce que le christianisme l’a abattue dans l’esprit des hommes : Même quand ceux-ci essaient de la faire perdurer dans les faits, ils savent maintenant que c’est contre la justice universelle qu’ils le font, alors que jadis ils s’en glorifiaient auprès de leurs faux dieux sectaires.

C’est donc le Christ qui condamne le racisme, tandis que l’Antiquité le glorifiait. Mais ce n’est pas parce que le racisme est condamné qu’il est condamnable de reconnaître l’existence des races. Bien au contraire, c’est l’existence des races qui rend monstrueux le racisme, et il serait insensé de croire qu’un déni de réalité constituerait un renfort de la justice.

 

Le lapin du chapeau, ou les arguments prétendument « scientifiques »

Au reste, quels sont ces « arguments scientifiques » que notre « scientifique » a omis d’énoncer dans son exposé prétendument « scientifique » ? Ils sont assez connus, car Le Monde et France-Culture, notamment, ont abondamment diffusé ces arguments « scientifiques » depuis maintenant une trentaine d’année. Ces arguments, au nombre de deux, sont tout aussi spécieux l’un que l’autre :

  • Premier argument « scientifique » : L’écart génétique entre l’homme et le chimpanzé n’est que de 1/10000e, ce qui est déjà très peu. Vous pouvez donc imaginer que l’écart génétique entre l’homme blanc et l’homme noir, par exemple, est si faible (de l’ordre de 10-9) que l’on peut le considérer comme négligeable. Donc on peut le considérer comme nul. Donc il est nul. Donc les races n’existent pas.

Ce premier argument est un syllogisme qui n’a rien de scientifique : Dire que 10-9 est si petit qu’il est égal à zéro est tout simplement une contre-vérité. Etant donné qu’on ne sait pas réellement ce qui fait la vie, rien ne dit qu’une infime différence ne soit néanmoins décisive, comme par exemple la Constante de Planck qui est terriblement plus petite que 10-9, puisqu’elle est de l’ordre de 10-34, et dont les physiciens ne peuvent pour autant se permettre de faire abstraction.

  • Deuxième argument « scientifique » : Il n’y a pas de frontière entre l’homme blanc et l’homme noir, car on trouve toute sorte de variantes de couleur, si bien que l’on peut mettre au défi l’adepte de l’existence des races de donner une définition scientifiquement précise de la race blanche.

Si au demeurant, en effet, il n’y a d’ailleurs pas une mais plusieurs races blanches, et de même plusieurs races noires et plusieurs races jaunes, l’argument avancé ici est un autre syllogisme, là aussi un tour de passe-passe de magicien (ou de mauvais scientifique) s’appuyant sur l’assimilation des variables de nature discrète aux variables de nature continue  : Avec ce raisonnement, précisément, on « réfute » tout aussi bien l’existence des couleurs, car il n’y a pas de frontière avérée dans le spectre lumineux : le passage du rouge au violet est continu et non discret, donc on peut en conclure que le rouge et le jaune sont la même couleur, donc les couleurs n’existent pas. On pourrait, de la même manière, « démontrer » qu’il n’y a qu’un seul nombre réel, puisque l’ensemble des nombres réels ensemble est continu.

Il est assez aisé de voir que ces deux arguments sont d’une approche philosophique si grossière qu’ils ne méritent absolument pas le qualificatif de « scientifique », qu’ils déshonorent en se l’attribuant.

 

L’égalité juridique des races devant Dieu est affirmée par la Bible

Nier l’existence des races humaines, c’est faire insulte à la Création. L’existence d’une certaine variété dans l’espèce humaine n’a rien de honteux, bien au contraire. Ce qui est honteux, c’est d’assimiler la race à l’espèce : voilà l’arme du crime ! Affirmer « notre race à nous est la seule vraiment digne d’être appelée humaine  », voilà le racisme dans toute sa splendeur ! Cela revient à considérer les autres races comme appartenant à une espèce animale inférieure : Cette pensée-là est la source de crimes abominables, sans aucun doute.

Car, pour revenir au Christ, son Apocalypse elle-même proclame la bénédiction de toutes les races et n’épargne non plus aucune race dans les malédictions :

. Les prêtres consacrés à Dieu :

« Tu es digne de prendre le livre et d’en ouvrir les sceaux, car tu fus égorgé et tu rachetas pour Dieu, au prix de ton sang, des hommes de toute race, langue, peuple et nation.  »

(Apocalypse, 4 : 9) 

. La vision des élus :

« Après quoi, voici qu’apparut à mes yeux une foule immense, de toute nation, race, peuple et langue : debout devant le Trône et devant l’Agneau, vêtus de robes blanches, des palmes à la main » (Apocalypse, 7 : 9)

. Le pouvoir de la Bête n’épargne aucune race :

« On lui donna de mener campagne contre les saints et de les vaincre. On lui donna pouvoir sur toute race, peuple, langue ou nation. »

 (Apocalypse, 13 : 7 )

. L’annonce de la Bonne Nouvelle

«  Puis je vis un autre Ange qui volait au zénith, ayant une bonne nouvelle éternelle à annoncer à ceux qui demeurent sur la terre, à toute nation, race, langue et peuple. »

(Apocalypse, 14 : 6)

 

Loin de nier l’existence des races, l’Apocalypse l’affirme à plusieurs reprises, mais elle montre en même temps que nulle d’entre elles n’est plus maudite ou plus bénie que les autres : Elle affirme bien là l’unité de l’espèce humaine dans la variété de ses races. Voilà une vérité éternelle que nulle « preuve scientifique » ne saura jamais défaire, n’en déplaise aux antiracistes psychotiques.

Par conséquent, si Christophe Oberlin n’a d’autre idée à défendre que cette thèse absurde (« les races n’existent pas ») qui insulte à la fois la nature et l’intelligence humaine, il vaut mieux alors, pour lui comme pour ceux qui l’entendent, qu’il se taise.

 

Pierre Mellifont.



128 réactions


  • Phalanx Phalanx 25 août 2015 23:46

    Aux USA (et dans le reste du monde d’ailleurs), Ils ne sont pas au courant que les races n’existent pas. Même la communauté médicale publie des articles qui étudient les risques de cancer selon les races par exemple (et ils trouvent des différences sgnificatives).


    Le racisme, c’est établir une échelle morale basé sur l’appartenance à une race, ce n’est pas considéré qu’il y’a des races différentes (c’est tellement évident qu’il n’y a pas de mot pour ça).


  • franc 26 août 2015 04:09

    S’il existe des caractères différents et des éléments qui ont des caractères communs alors nécessairement il ya des ensembles différents ,c’est mathématique.

    Un ensemble en mathématique est déterminé soit par extension en énumérant ses éléments c’est à dire en exhibant un à un les éléments qui appartiennent à l’ensemble ,soit par compréhension en exhibant la propriété commune aux éléments ,autrement dit les caractères communs aux éléments qui appartiennent à l’ensemble en question ;

    en fait ce qui différencie une collection à un ensemble c’est que une collection peut toujours être déterminée par extension mais non pas toujours par compréhension car les éléments d’une collection peuvent n’avoir aucun caractère commun ni m^me comparable ,alors que les éléments qui appartiennent à un ensemble doivent au moins être comparables et définissables par compréhension et donc avoir au moins un caractère commun

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    S’il ya des caractères humains différents et des individus humains qui ont des caractères communs alors nécessairement il ya des ensembles humains différents .

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    une communauté est un ensemble humain et il y a autant de communauté que d’ensembles humains déterminés par des caractères communs

     une communauté ou un ensemble d’ humains déterminé par certains caractères communs peuvent définir soit une famille ,soit un clan ,soit une tribu ,soit une ethnie ,soit un peuple ,soit une race , soit une espèce, suivant le type et le nombre d e caractères différent pour le déterminer et le définir. Moins il ya de caractères différents pour déterminer une communauté ou l’ensemble humain plus la taille de celui-ci est grande.

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    jusqu’à présent et dans la définition classique et académique l’espèce humaine est l’ensemble des individus humain ayant comme propriété commune ou caractère commun le seul caractère d’être humain excluant donc tout autre caractère marquant une différence corporelle ou intellectuelle ou spirituelle ,c’est donc la communauté de l’ensembles des êtres humains et elle est donc la plus grande communauté humaine

    l’espèce humaine est différente de l’espèce animale elle-m^mes différentes de l’espèce végétale

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    En principe et dans les définitions classiques et académiques ,les races sont des sous-espèces c’est à dire des sous-ensemble de l’ensemble des êtres humains ou autrement dit des sous-ensembles ( parties) de l’espèce humaine caractérisés par la prise en compte de certains caractères différents visibles surtout physiques principalement , la forme de certaines parties du corps et particulièrement celle du visage et la couleur de la peau et qui se retrouvent historiquement dispersés dans des régions géographiques différentes au niveau continental 

    les ethnies sont des sous-ensembles d’une race ,en prenant en compte d’autres caractères différents à l’intérieur du sous-ensemble race et donc en rentrant encore plus dans le détail ,,comme la taille ,la finesse du visage voire aussi des caractères physiologique , psychique et de l’ intellect ,ainsi à l’intérieur de la race noire africaine ,il ya l’ ethnie tutsie avec un corps élancé et un visage fin qui se différencie de l’ethnie uttu plus petite et rabougrie avec un visage plus négroïde ,ou dans la race blanche européenne ,il ya l’ethnie germanique qui ont des yeux bleus et le s cheveux blonds se différencie de l’ethnie hispanique qui ont des yeux noirs et des cheveux bruns,mais il ne faut pas négliger aussi des différences psychiques et intellectuelles dans ces diverses ethnies ,les tutsies sont plus intellectuels que le s uttus ,les germaniques ont plus la bosse mathématique que les hispaniques

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    on peut encore aller plus loin dans le détail et la différenciation en des sous-ethnies jusqu’au niveau tribal ;Une tribu est une sous-ethnie

    Et puis à l’intérieur d’une m^me tribu il ya des familles différentes .Une famille est un e tribu minimaliste réduite à un parent et des enfants issu de ce parent. On peut dire aussi qu’une tribu est un petit ensemble de quelques familles

    Un individu est une famille réduite à un seul être humain comme un singleton est un ensemble réduit à un seul individu

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     il ya donc une succession de sous -ensembles humains qui sont inclus l’un dans l’autre suivant une progression en grandeur :

    individu ,famille, tribu, ethnie, race ,espèce humaine

    il est à noter que la notion d e peuple n’est pas tout à fait identique à la notion d’ethnie bien qu’il se trouve au niveau de l’ethnie ,un peuple est une ethnie ou un ensemble d’ethnies produisant une culture spécifique ;Il ya un génie propre à un peuple comme une intelligence collective de ce peuple

    de m^me une civilisation se différencie d’une race bien qu’elle se trouve au niveau d’un e race en ce qu’ elle est déterminée et se définit comme une race ou un ensemble de races qui produit une culture spécifique et donc une civilisation spécifique ., une culture à ce niveau est une civilisation ,une culture civilisationnelle.. 


  • franc 26 août 2015 07:01

    Mais comme il est possible de définir une famille ,un peuple ou une race ,suivant que l’on prend comme propriété de compréhension uniquement des caractères d’ordre physiques ou corporelles ou uniquement des caractères d’ordre éthiques ou de valeurs ,ou un mélange de ces deux sortes de caractères physiques ou spirituels, certains de nos jours sous l’empire de l’idéologie antiraciste ne veulent définir une race ou un peuple que sous l’ordre spirituel par le caractère éthique et nullement sous l’ordre corporel , sur aucun caractère d’ordre physique ni m^me physiologique de l’intellect .

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    Alors quelle est la bonne définition de la race ou du peuple ,celle qui se base uniquement sur le corporel ,uniquement sur le spirituel ou un mélange des deux

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    Mon avis est que la bonne définition doit tenir compte des deux types de caractères ,le caractère physique ou corporel et le caractère éthique ou intellectuel ,parce que il ya un rapport de dépendance ou d’influence entre le caractère physique ou corporel et le caractère culturel ou spirituel en liaison avec la tradition et le déroulement du temps historique .

    C’est une vérité expérimentale qu’à un e ethnie ou peuple spécifique avec ses caractères physiques et éthiques propres correspond une culture propre et spécifique .

    lepeuple chinois produit nécessairement la culture chinoise qui est qui est différente de la culture africaine qui est elle-même différente de la culture européenne qui est différente de la culture arabe etc.....

    il n’ ya que le peuple français avec ses caractères corporels et éthiques propres qui puisse créer la culture française historique spécifique la culture dite gauloise ou gallo-franque ,il n’ y a aucun autre peuple qui puisse créer à l’identité parfaite ou aussi parfaitement bien la culture française spécifique ,c’est un effet scientifique qu’à des causes différentes correspond des effets différents

    de même il n’ ya que le peuple chinois avec ses caractères physiques ,physiologiques et éthiques propres  qui puisse créer la culture chinoise ,aucun autre peuple peut créer la culture chinoise aussi bien que le peuple chinois ;

    -

    Et la culture dépend aussi bien des caractères corporels que des caractères intellectuels ;L’esthétique physique est lié au corporel et la science est liée à l’intellect ,tandis que l’éthique d’une société peut être liée à la fois au goût physique et ’à l’acuité intellectuelle ou de l’intelligence ;;Un peuple qui possède cette qualité génétique spécifique d’être doué en mathématique produit une culture scientifique et technique avancée contrairement à un peuple qui ne possède pas ou peu cette qualité spécifique

     Comme la culture est liée à une forme de goût corporel et sensuel ,de perception esthétique ,de compétence scientifique et de sens éthique , et comme le peuple est déterminé par sa culture spécifique qu’il produit , nécessairement le peuple produisant une culture spécifique est lié à sa constitution physique et physiologique spécifique et à sa qualité intellectuelle et spirituelle propre.

    -

    de sorte que le peuple ne peut être bien défini et de manière complète que par ses caractères à la fois corporels ,intellectuels et spirituels, autrement dit par ses caractères physique ,physiologiques ,génétiques et éthiques .

    -

    certes on peut bien définir arbitrairement un peuple ou une nation uniquement que par ses caractères spirituels et de valeurs éthiques communes,mais alors ce serait une autre sorte de peuple ou de nation qui n’ a pas la m^me substance et contenu que celui qui est défini par les caractères à la fois corporels ou physiques ,intellectuels et spirituels . C’est plus une association artificielle plus qu’un peuple naturel ;sans compter que cela ne supprime nullement l’existence de peuples naturels ,ceux qui sont définis de manière classique et académique avec les caractères principalement d’ordre corporels et anciennement ou primitivement constitués par le temps évolutif au rythme de l’histoire .

    -

    d’autre part les peuples définis artificiellement par abstraction de la constitution naturelle du cours de l’histoire comme association d’ethnies différentes ayant des valeurs éthiques communes se heurtent à la réalité ethnique composée des caractères corporels et physiologiques et psychiques propres et différents qui peuvent s’opposer suivant la force naturelle et extrêmement prégnante et puissante de l’égocentrisme lequel produit l’ethnocentisme qui n’est que l’égocentrisme groupal au niveau ethnique .

    -

    l’égocentrisme et l’ethnocentrisme ne peuvent être effacés artificiellemnt en voulant déterminer et définir un e notion d e peuple écartant arbitrairement et artificiellement les caractères naturels et spécifique à l’ethnie correspondant au peuple ou rejetant d’un revers d ela main ces différences ethniques ;la réalité revient toujours comme un boomerang. L’exemple le plus frappant et tragique est celui du Rwanda composé de deux ethnies différentes ,les tutsies et le s hutus ,et la guerre civile entre elles qui se termine par un génocide .Et l’histoire suivante montre le caractère absolument prégnant et important des différences de caractères physiques et physiologique ,et de l’intellect .

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    les tutsies sont plutôt de corpulence mince et élancée avec un visage fin et possédant un caractère intellectuel relativement développé ,tandis que les hutus sont plus petits et plus grossier corporellement et moins intellectuels que les tutsies de sorte que les tutsies bien que très minoritaire détiennent le pouvoir de commandement reposant sur leur ascendance intellectuelle. L’opposition entre les deux ethnies provoquée par les forces égocentriques et ethnocentriques exacerbées est quasiment inéluctable avec l’intervention de forces intérieures ou extérieures qui poussent à cet antagonisme ,et qu’il ya it intervention ou influence extérieure n’efface nullement la cause fondamentale et essentielle des forces ethnocentriques agissant naturellement par la différence ethnique qui produit l’opposition intrinsèque atavique et psychologique due à instinct naturel psychique de conservation.

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    Ainsi que le montre l’histoire pendant le génocide de cette famille rwandaise composé d’un mari tutsie et de sa femme hutu.Cette famille unie et aimante a vécu heureuse jusqu’à l’évènement du de la guerre civile entre les deux ethnies différente et le génocide des tutsies par les hutus .Et bien la femme hutu a poignardé son mari tutsie lorsqu’il avait le dos tourné ;la différence ethnique s’est révélee dans ces circonstances plus forte que la valeur commune .

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    A bon entendeur salut.

     


  • pemile pemile 26 août 2015 09:46

    La notion de race cela vient de l’élevage et de la volonté des éleveurs de fixer des caractéristiques physiques visibles de leurs « produits »

    Est ce que tous les gros racistes qui veulent absolument différencier un noir d’un blanc (codé sur quelques gènes/allèles) vont aussi accepter de différencier les humains sur tous les autres critères génétiques NON VISIBLES ?

    Ou sur la race des hommes et la race des femmes, sur la race des costauds et la race des chétifs, la race des grands et la race des petits, la race des introvertis et la race des extravertis (sensibilité à la dopamine/adrénaline), la race de ceux qui chient dur et de ceux qui chient mou, et bien sur, sans oublier l’histoire, la race des blonds au yeux bleus et celle des bruns aux yeux marrons !

    Toutes ces distinctions sur des CRITERES VISIBLES ne sont que des jugement subjectifs de bourrins.


  • César Castique César Castique 26 août 2015 09:55

    « Toutes ces distinctions sur des CRITERES VISIBLES ne sont que des jugement subjectifs de bourrins. »


    Ça vaut aussi pour Thuram, antiraciste professionnel, qui, après la victoire de la France en Coupe du Monde de football, voulait faire une photo avec les seuls Blacks, choisis donc sur la base d’un critère visible ?

  • franc 26 août 2015 11:04

    « Toutes ces distinctions sur des CRITERES VISIBLES ne sont que des jugement subjectifs de bourrins. »

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    Non absolument pas , ce sont des critères objectifs parce qu’ils sont visibles et vérifiables expérimentalement .et s’ils ont un impact important sur le plan individuel comme sur le plan social

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    On peut tout à fait aussi classer les individus suivant des caractères psychiques non visibles à première vue mais à effets visibles et ayant un impact important sur la vie des individus et de la société ,comme la déficience mentale, ou de type intellectuel ou manuel , ou comme les caractères psychologiques du type colérique ou sanguin ou doux et ayant la maitrise naturelle de soi , les types intravertis ou extravertis ,par exemple les asiatiques sont plutôt intravertis tandis que les africains sont plutôt extravertis .

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     Ainsi à un peuple à caractère sanguin et colérique correspond une culture violente avec une religion et des lois produites dures et sévères ou violente avec des restrictions et des contraintes comme l’interdiction de l’alcool qui augmente et pousse facilement au passage à l’acte ;Ainsi L’islam est -il à l’image des caractère des arabes ,et Magic Oucacha a mentionné le fait que ceux qui réagissent mal à un simple refus de cigarette par une violence disproportionnée jusqu’à prendre une hache ou un couteau pour tuer ,ce sont toujours ou presque des maghrébins 

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    on peut aussi tout à fait parler de race des femmes et de race des hommes ou encore la race des hétérosexuels et la race des homosexuels

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    par contre le fait d’être petit ou grand ou de chier droit ou mous ne sont pas des critères pertinents pour la catégorisation raciale ,cela n’a pas de grand impact ou d’incidence grave sur la vie des individus ou sur la société -

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    D’autre part ces critères de différences de caractères psychiques ou psychologiques ,de genre ou d’orientation sexuelle sont plutôt des critères de sous-ensembles d’une race que d’’une race proprement dite au sens classique ,car à l’intérieur de chaque race on retrouve aussi ces critères en proportion plus ou moins grande comme dans une famille on peut avoir des enfants grands et petits ,filles ou garçons , colériques ou calmes,hétéros et homos .

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    cela peut provoquer parfois ,je le concède , des réactions racistes a posteriori et indirectement mais non pas systématiquement et directement et par conséquent ne relève pas a priori du racisme à rigoureusement parler comme classification hiérarchique en terme de supériorité ou d’infériorité.


    • pemile pemile 26 août 2015 16:29

      @franc
      "on peut aussi tout à fait parler de race des femmes et de race des hommes ou encore la race des hétérosexuels et la race des homosexuels"

      Et donc, bien sûr, de la race des abrutis ?


    • franc 26 août 2015 18:56

      @pemile

      Oui tout à fait théoriquement.


    • franc 26 août 2015 19:04

      @franc

      Carlo Cipolla dans son livre remarquable « Les lois générales de la stupidité humaine »,petit en volume mais grand en valeur ,classe l’humanité en quatre catégories :

      -les intelligents , idiots les bandits ,les idiots et les stupides

      -

      (voir le livre pour la différence entre idiot et stupide)

      -

      ce sont d’après la 5è loi les stupides qui sont les plus dangereux ,plus dangereux que les bandits.


    • pemile pemile 26 août 2015 23:51

      @franc
      sans gène tes commentaires !


  • soi même 26 août 2015 13:08

    @ l’auteur merci pour ce beau texte ( Ce n’est pas en niant l’existence des races que l’on pourfendra le racisme - Le racisme vient de loin, et il faut le traiter avec prudence et intelligence. je rajoute avec la générosité d’âme ) Oui tous réside dans l’effort, avant d’être, on l’est.
    Une notion pas facile a admettre pour certain, c’est par la reconnaissance du Mal que le Mal se Métamorphose en un plus grand Bien....

    Mr Oberlin est en train d’appliquer la même logique du gender pour le traitement du racisme, il nous propose un socle idéologique pseudo scientifique d’uniformité morphologique, certes sur un point il a raison, aucune race humaine à une morphologie que pouvait décrire Marco polo :

     (De l’île d’Angania.

    L’île d’Angania est grande, les habitants y vivent en bêtes, ils sont sauvages et très cruels, ils adorent les idoles et vivent de chair, de riz et de lait ; ils mangent aussi de la chair humaine. Les hommes sont mal bâtis, car ils ont la tête faite comme celle d’un chien, de même que les dents et les yeux. Il y a dans cette île une étrange abondance de toutes sortes de parfums, de même que des arbres fruitiers de toutes les sortes.

    Cynocéphales d’AndamanBNF, manuscrit 2810 )

  • franc 27 août 2015 02:18

    Pour plus de précision et de rigueur dans la détermination de la notion de race au sens classique ,affiner sa compréhension et restreindre son extension ,et montrer que cela n’a rien d’ arbitraire il faut ajouter que le critère utilisé pour la propriété de compréhension de l’ensemble racial doit obéir à la loi d’hérédité de Mendel,et c’est celle c-i qui détermine la constitution de la race ou de l’ethnie à partir de tribus primitives au cours du déroulement de l’histoire .

    -

    Ainsi dans l’état actuel des choses ,au niveau actuel du développement de l’histoire ,des critères de genre ou d’orientation sexuelle ou d’intelligence ou d’éthique sont écartés puisqu’ils ne se reproduisent pas immédiatement à l’intérieur de plusieurs génération ,dans une m^me famille il ya des enfants m^les et femelles ,des homosexuels sont issus de parents hétérosexuels ,des parents de cadres supérieurs et intellectuels peuvent avoir des enfants manuels tandis que des parents ouvriers peuvent avoir des enfants ingénieurs ,ces caractères ne peuvent engendrer une race par hérédité .

    -

    par contre le critère de couleur de la peau ou de la couleur des yeux obéit à la loi de l’hérédité de mmendel c’est pourquoi ils peuvent engendrer une race .

    La loi de Mendel dit que deux parents noirs et dont les ascendants sont aussi tous noirs auront nécessairement des enfants noirs ,toutefois si un grand parent est blanc il ya une probabilité minime mais non nulle d’avoir un enfant blanc ;ce qui dans la durée du cours de l’histoire sur des dizaines ou centaines de génération engendre la race noire

    Si les deux parents sont blonds aux yeux bleus ainsi que tous ses ascendants alors les enfants seront blonds aux yeux bleus ,toutefois si un des grands parents est brun aux yeux noirs alors il ya une probabilité minime mais non nulle qu’un enfant puisse être brun aux yeux noirs ;ce qui engendre à la longue sur des dizaines de générations une race de blonds aux yeux bleus.

    -

    C’est pourquoi le critère de couleur de la peau ou de la couleur des yeux est pertinent pour déterminer une race et démontrant par là en quoi la définition classique de la race n’a rien d’arbitraire.

    Par contre le critère de valeurs communes n’étant pas héréditaire selon la loi de Mendel ,ce critère ne peut être employé pour définir une race ou un peuple naturel, mais une communauté faite par une association artificielle 


    • pemile pemile 27 août 2015 10:21

      @franc
      Ben non justement, t’es encore en train d’essayer de diviser l’humanité arbitrairement sur quelques gènes/ allèles dont l’expression à un effet VISIBLE.

      Si une race se définie que sur quelques gènes, il va te falloir diviser l’humanité en quelques miilions de races !

      PS : et comme toujours ces caractères visibles préférés des racistes c’est une opposition noir/blanc ou blonds aux yeux bleus/bruns aux yeux marrons !


    • franc 27 août 2015 12:37

      @pemile
      -

      Vous avez un problème de compréhension , de logique ou de rationalité ou encore de mauvaise foi,j’ ai parlé de critère fondé sur la loi de l’hérédité de Mendel ,et vous n’en avez nullement tenu compte ,la couleur de la peau est un critère qui obéït à cette loi ,les autres comme la taille ,ou la valeur commune non,,

      vous répondez à côté ou racontez n’importe quoi,,tous les critères physiques n’obéissent pas à la loi de l’hérédité de Mendel et et le fait de dire que "si une race se définit sur quelques gènes alors cela divise l’humanité en quelques millions de de races est complètement fausse.

      Si on se réfère à un critère A génétique qui obéit à la loi de Mendel l’humanité est divisée en 3 catégories fondamentales , le nombre de combinaison entre celle qui possède ce critère et celle qui possède son opposé ou contraire ,cela fait (A,A),(A,nonA),(nonA,,nonA),

      par exemple (noir,noir),=noir ;,(noir,blanc)=gris ;(blanc,blanc)=blanc

      Si on se base sur deux critère ,a,et b ,,on a le nombre de combinaison de combinaison 2 à 2 del’ensemble (a,,nona ,,b,nonb,) qui est le nombre de race :(a,a),,(ab),(bb),(a,nona),(b,nonb),,(a,nonb),(nona,b)

      Si on se base sur 3 critètes le nombres de race est égale au nombre de combinaisons 2 à 2 de l’ensemble (,a,nona,b,nonb,c,nonc,)

      Or pour définir classiquement les races fondamentales l’on se base sur environ 5 critères physiques marquants et prégnants ,le nombres de races fondamentales et ses diverses métissages de 1er degré est le nombre de combinaison 2 à 2 de l’ensemble des 5 critères et de ses 5 critères contraires ,cela fait quelques dizaines au plus avec tous les divers métissages. 


    • franc 27 août 2015 13:08

      @franc

      -

      En fait et grosso modo ,si on prend comme caractères de base les 5 suivants :européen ,asiatique ,noirs africains ,arabes ,indiens ,comme ici on ne compte pas les contraires de ces caractères car ils n’existent pas ,,le nombres de races fondamentales et les divers métissages du 1er degré est le nombre de combinaison 2 à 2 de ces 5 critères de base (a1,a2,a3,a4,a5)


  • pemile pemile 27 août 2015 16:27

    @franc
    C’est gentil le petit rappel des lois de Mendel qui datent de 1850 pour conclure qu’il n’y aurait que 5 races de base européen, asiatique, noirs africains, arabes, indiens, chouette retours en arrière !

    Tes 5 races de bases ne sont bien basées que sur une sélection de quelques gènes, non, pourquoi ceux là ?

    Génotype et phénotype à la Mendel sont aussi présent pour le système sanguin, non ? Quid de ta classification raciste ?


    • franc 27 août 2015 19:14

      @pemile

      ce n’est pas un hasard que ces cinq critères de base sont choisis parce que ils résument les cinq types de races fondamentales marquantes et prégnantes (liant aussi les caractères psychiques et de l’intellect)) qui obéissent à la loi de l’hérédité de Mendel laquelle détermine la constitution d’une race à partir des tribus primitives au cours de l’histoire,les autres gènes comme pour le système sanguin ne déterminent pas une race ou une race marquante.

      -

      cette classification n’est pas raciste mais seulement raciale .


    • JeanCorseul 27 août 2015 23:01

      @franc
      Votre débat avec Permile est intéressant, parce qu’il illustre parfaitement le propos de l’article, qui est de montrer que des hommes se piquant de postures « scientifiques » ont un tel complexe vis à vis du racisme, qu’ils déclarent que les races n’existent pas afin de montrer comme ils sont de bons antiracistes irréprochables.


      Permile se range du côté d’Oberlin : Vous lui parlez de différence entre les races, il en déduit que vous êtes raciste. Or, le racisme, ce n’est pas de reconnaître l’existence des races et leurs caractères repsectifs, mais c’est de prétendre qu’il y a entre elles une hiérarchie de droits, comme le faisait Jules Ferry : «  Il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures » (Jules Ferry à l’Assemblée Nationale le 28 juillet 1885).

      Jules Ferry était un vrai raciste ! Mais de dire « les Blancs ont tel caractère, et les Noirs tel autre », c’est « racial », comme vous le dites, et non « raciste ». 

      Mais aujourd’hui, cette question a engendré un tel niveau de crispation qu’il suffit de prononcer le mot « race » pour entendre les fantassins de la police de la pensée armer les chiens de leurs revolvers...

    • pierre 28 août 2015 11:09

      @JeanCorseul
      « Vous lui parlez de différence entre les races, il en déduit que vous êtes raciste. » oui et c’est normal non ? celui qui s’occupe de races est par définition un raciste


    • pemile pemile 28 août 2015 13:32

      @JeanCorseul

      "Or, le racisme, ce n’est pas de reconnaître l’existence des races et leurs caractères repsectifs, mais c’est de prétendre qu’il y a entre elles une hiérarchie de droits"

      Non, c’est déjà d’employer un terme (race) qui vient de l’élevage d’animaux domestiques pour l’espèce humaine et surtout de baser cette classification (même sans hiérarchie) uniquement sur des critères morphologiques les plus immédiatement apparents, la couleur de la peau ou la forme du nez.


    • JacquesDenost 28 août 2015 18:03

      @pemile
      Si l’idée est de dire le plus d’âneries possibles, vous avez vos chances de remporter la palme... Le terme de « race » ne vient absolument pas de l’élevage d’animaux domestiques : Il s’y applique par extension, c’est tout.


      Votre inculture vous amène à des conclusions sémantiques hasardeuses, et c’est bien dommage. Il serait bon de lire avant de venir donner votre avis sur les forums, vous diriez moins de bêtises...

    • JacquesDenost 28 août 2015 18:06

      @pierre
      Absolument pas. Je vois que vous n’avez pas lu cet article, qui vous démontre précisément que s’occuper de races n’est pas être raciste : C’est une certaine façon de s’en occuper qui est raciste : Prendre la partie pour le tout, c’est tomber dans l’obscurantisme, fût-ce au nom des prétendues « lumières ».


    • pemile pemile 28 août 2015 20:50

      @JacquesDenost
      « Le terme de « race » ne vient absolument pas de l’élevage d’animaux domestiques : Il s’y applique par extension, c’est tout. »

      Tu est donc capable de nous dire de quelle époque date la classification de l’humanité en race et à quelle époque elle s’est appliquée à l’élevage ?


  • pemile pemile 27 août 2015 20:42

    Ces critères sont subjectifs, arbitraires et bien évidement raciste.

    « les cinq types de races fondamentales marquantes et prégnantes (liant aussi les caractères psychiques et de l’intellect) »

    La caricature du raciste 19ème siècle !


    • franc 27 août 2015 22:16

      @pemile

      ce sont des critères marquants et prégnants physiques liés aux caractères psychiques et de l’intellect que vous le vouliez ou non et qui ont un impact important sur la vie des individus et de la société en tout temps et en tout lieu déterminant la constitution des peuples et des races découlant du cours de l’histoire .

      -

      ces caractères physiques et psychiques avec des formes et des effets extérieurs marquants et prégnants influencent et dirigent directement le domaine social en général et celui de la sexualité en particulier lié à la reproduction ou non ,à la vie amoureuse ,à la conviviabilité et à la sociabilité .Les gens sont attirés par la beauté extérieure de l’esthétique physique lié au caractère physique et de la beauté intérieure de la vertu éthique liée au caractère psychique.

      -

      Les personnes sont amoureuses ou se mettent en couple non sur la base des groupes sanguins mais sur la base de l’esthétique physique ,de la dtnamique physique ou intellectuelle et de la vertu morale ,lesquelles sont aussi à l’origine de la puissance et l’harmonie de la société .Les groupes sanguins ou d’autres caractères de ce genre n’ont aucun impact sur ces domaines importants ,essentiels et fondamentaux .

      -

      Voilà pourquoi ces critères sont importants et retenus pour déterminer les races qui sont des données historiques et sociologiques de la réalité individuelle et sociale qui marquent les sociétés humaines .

      -

      Le déni de la réalité n’aide pas au progrès de l’humanité

       


    • pemile pemile 27 août 2015 23:46

      @franc
      Les gens sont attirés par la beauté extérieure de l’esthétique physique lié au caractère physique et de la beauté intérieure de la vertu éthique liée au caractère psychique.

      Tu plonges dans un délire religieux !

      Et le doux parfum des phéronomes ?


  • Lonzine 28 août 2015 18:25

    bon la synthèse est : il y a un peu plus de 7 milliards de races voilà tout le monde est content ?


  • jocelyne 8 septembre 2015 20:00

    Vous avez une réponse , essayez d’y répondre sinon plouf le crédit....


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