lundi 8 septembre 2014 - par Pierre JC Allard

D’abord, passez le fric !

La rentrée… Apres l’intermède des vacances, on sait que se remettra bientôt en marche en France, comme dans toutes les démocraties à l’occidentale, le bavardage oiseux des politiciens et des médiacrates, menant à ces quelques moments d’excitations où l’on demandera au peuple souverain s’il est satisfait de ce qu’ont fait pour lui ses mandataires, les gouvernants : il y aura des élections

Des élections.... et comme toujours et partout, de ce brassage de méninges périodique accompagné d’une logorrhée dont le syndrome est désormais sans surprise, il sortira beaucoup de chaleur et bien peu de lumière. La sensation de suffoquer dans un système clos, toutes issues barrées et toutes lampes sous le boisseau. Est-ce que vous n’en avez pas assez qu’on se moque de vous  ?

Car on vous demandera d’opiner sur des questions dont les réponses sont connues et des équations qui n’ont qu’une seule bonne solution. Considérant le large consensus qui s’est établi – à tort ou à raison, est une autre question – sur le but et les objectifs de notre société, les décisions à prendre et le gestes à poser sont déjà déterminés par les experts ad hoc et l’on n’en changera rien.

A quoi sert tout le cirque médiatico politique ? À obtenir votre collaboration sans heurts au fonctionnement de cette société en vous faisant croire que c’est VOUS qui avez pris ces décisions… et à désigner les guignols de service qui porteront l’odieux des bavures programmées ; car sans un amiral à pendre, le bon peuple pourrait se fâcher.

Pourquoi toutes les élections déçoivent-elles ? Parce que le peuple souverain n’a pas le droit de poser les deux (2) seules questions qui l’intéressent vraiment, deux questions sur le fric…

1.  Pourquoi la richesse est-elle si mal répartie que l’immense majorité d’entre nous vivions dans une relative pauvreté, voire la misère, alors que le progrès qui a apporté la science et la technologie permet l’abondance  ?

 

2. Qu’allez-vous faire, VOUS l’élu à qui on confiera démocratiquement le pouvoir, pour corriger ces disparités en redistrbuant assez de la richesse et mettre fin à la flagrante injustice qui pourrit la société ?

Quand le peuple aura la réponse à ces deux (2) questions, alors, mais alors seulement, ce ne sera pas une insulte à son intelligence de lui demander son avis sur les grandes orientations de notre gouvernance et, a fortiori, sur les détails techniques de la mise en action de ces orientations. Avant de passer à toutes ces questions de santé, d’éducation, de justice, de culture, d’immigration, etc., il faut donc répondre à ces deux (2) grandes questions sur le fric. 

En attendant qu’on ait répondu à ces deux (2) questions, Quidam Lambda, sait qu’on se fout de sa gueule

La première question est académique et les éléments de réponses sont simples. Ils sont partout dans les bouquins et sur le Web. Chacun peut trouver une réponse à son gout, il lui suffit de sortir de la transe hypnotique induite par notre éducation puis maintenue par les médias, pour comprendre INSTANTANÉMENT la situation.

1. La richesse est mal répartie, parce que la nature humaine pousse l’Individu à s’en accaparer toujours tout ce qu’il peut. À la hauteur d’abord de son insécurité, puis de sa volonté de jouissance et de puissance. 

2. Parce que la division du travail rend plus avantageuse la vie en société, l’individu accepte des limites à son égoïsme que lui impose, la société, mais il fera toujours tout pour biaiser les règles en sa faveur.

3. Il en découle des inégalités croissantes à la mesure du pouvoir de chacun et les lois lois ne visent plus à faire regner la justice ; elles reflètent l’équilibre des forces entre les sociétaires ; le concept de justice n’est là que pour rationaliser le consensus. Les lois sont faites pour PROTEGER les inégalités.

4. Une gouvernance doit néanmoins s’assurer que ces inégalités acceptées, sans quoi il n’y a pas de société.

5.  Il faut donc de temps en temps remettre les pendules à l’heure… Le moment est venu de le faire

La deuxième question est bien concrète. Quiconque ne voit pas qu’une certaine redistribution de la richesse est aujourd’hui essentielle à la survie de la société est un imbécile. Quiconque ne le dit pas est un hypocrite.

La question préalable à poser à tout candidat, aujourd’hui, est donc en deux (2) volets :

 a) dans quelle proportion allez-vous redistribuer la richesse ....

b) comment procéderez-vous pour y parvenir ? 

L’homme politique qui ne répond pas à ces question n’est pas une partie de la solution, mais du problème. Il ne mérite pas une seule minute d’attention.

Ce que la population attend de ses gouvernants, TOUT DE SUITE, c’est qu’ils procèdent sagement à une nouvelle répartition de la richesse, sans violence et au profit, sinon de tous, ce qui serait utopique, de tous ceux au moins sans l’accord desquels cette répartition ne pourra se faire correctement.

Il y a diverses façons de procéder. J’ai ai proposé une. On a des choix. Ce que l’on doit exiger, cependant, c’est que le gouvernement pérennise l’effet positif d’une redistribution de la richesse par la mise en place d’un régime universel de revenu/travail garanti. Favorisant ainsi de toutes ses forces une redistribution constante raisonnable de la richesse par un revenu de le travail et non par l’assistanat. 

L’avenir de notre société passe par la volonté de redistribuer la richesse et de remettre immédiatement au travail chaque travailleur apte au travail, garantisse à chacun un revenu conforme à sa compétence reconnue, QUELLES QUE SOIENT LES FLUCTUATIONS DE L’ÉCONOMIE. Que ceux qui spéculent ne briment les intérêts de celui qui produit.

Dans le contexte actuel, parler d’autre chose est inacceptable.

 

Pierre JC Allard



20 réactions


  • geo63 8 septembre 2014 10:01

    Dans votre analyse vous oubliez un point essentiel : les gouvernants n’ont plus le pouvoir, ils doivent naviguer dans un système avec des chicanes qui sont installées par le monde de la finance au plus haut niveau.

    Il me semble que l’avenir (s’il y en a un ?) sera entièrement dicté par l’évolution de la Chine. Dans quelques années toute la « modernité » scientifique et technique aura été digérée par ce peuple en ébullition. Ma visite de ce pays en 1998, avec notamment le barrage des trois gorges en construction, Pékin, Wuhan, Shanghaï...m’a définitivement convaincu que nous étions tout petit. La finance chinoise pourrait bien devenir la référence incontournable et à partir de là tout peu arriver !


  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 8 septembre 2014 13:53

    @ geo63



    J’ai bien peur que vous n’ayez raison. Mais je noublie pas,.. Je me fais seulement un point d’honneur de soulever quelques questions, pour faire un geste de la main a ceux qui vienent encore parfois émettre des idées politiques sur ce site. Mais mes deuils sont faits. Je ssis bien, qu’on llra mes textes en proporion inveree de leur importance. Pour une persone qui connait le nom de Castoriadis, il y en a 1000 qui sont passionnées par les mémoires de Mme Ex-Concubine.

    Le Systeme a gagné son pari de l’insignifiabnce : transformer la population en un cheptet parfaitement domestiqué, dont le choix politique se limite, « à ’Américaine’ », à se pretendre de Droite ou de Gauche, comme on se dit Démocrate ou Républicain en Akansas, ou comme on se disait ’Bleu« ou ’Vert » à Byzance. Tout ca est sans contenu. Seule compte une loyale appartenance et l’illusion qu’on en sera recompensée.
     
    Pourquoi m’en étonnerais-je, puisqu’il y a 30 ans que je que je l’annonce.... ? Juste la nostalgie de comprendre que nous somme en fin de parcours, comme le vieux Romain au tépidarium qui s’émeut sans excès des Barbares qui sont là, et qui sese souvient qu’il fut un temps où l’on voulait que la civilisation eu un sens et où l’on rêvait qula vie aussi en eut un.



    PJCA
     

  • larebil 8 septembre 2014 16:27

    Prendre l’argent de ceux qui créent des richesses, pour le donner à ceux qui n’en créent pas. Essayé maintes fois, ça a toujours eu la même conséquence : on crée moins de richesses, et tout le monde s’appauvrit.

    Si votre modèle c’est la Corée du nord ou Cuba, je vous propose plutôt d’aller y vivre que de vouloir l’importer dans une France qui s’écroule déjà sous une redistribution étouffante puisqu’atteignant 57% du pib, en voie de détenir le record du monde occidental.

    Ou montrez moi que depuis que le Venezuela a avancé vers cette solution il a une économie maintenant florissante, avec son hyper inflation, ses pénuries et le recul des libertés.

    Même les pays scandinaves ont compris qu’il y avait des limites à la redistribution et font maintenant machine arrière.


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 8 septembre 2014 21:14

      @ tarebit


      Prendre l’argent de ceux qui créent des richesses, pour le donner à ceux qui n’en créent pas. Essayé maintes fois, ça a toujours eu la même conséquence : on crée moins de richesses, et tout le monde s’appauvrit.

      VOUS AVEZ RAISON !

      C’est pour ca qu’il faut cesser de prendre l’argent du travailleur, de l’artisan et du fournisseru de services utile pour le donneraux banquiers, agioteurs, speculateurs, marchands et autres intermediaires parasitaires qui representent aujourdh’hu le plus clair de la force de travail.

      Si votre modèle c’est la Corée du nord ou Cuba,...

      La Corée du Nord, non. Cuba... si vous voyez des similitures avec Coree du Nord, je ne crois pas qu"il vau ille la peine d’en discuter avant que nous ayez regardé le dossier de plus près. Vous pouvez commencer ici...


       ...France qui s’écroule déjà sous une redistribution étouffante puisqu’atteignant 57% du pib

      Maitrisez-vous bien la differnce entre capital et revenu ? Percsonne demande un redistribution de 57% de la richesse. Du moins pas pour linstant... smiley

      Ou montrez moi que depuis que le Venezuela a avancé vers cette solution ...

      Toute economie qui cherche a s’emanciper du grand capital est immediatement sabotée. Le Venezuella subit presentement le traitement quon avait reservé a Cuba. La Libye étan tant économiquement invulnerable, on a procedé a la détruire physiquement....


      Anathema sit !


      PJCA







    • larebil 9 septembre 2014 14:40

      « C’est pour ca qu’il faut cesser de prendre l’argent du travailleur, de l’artisan et du fournisseru de services »

      Le seul qui « prend » de l’argent à ces gens la, c’est l’état. Tous les autres ils demandent un rémunération en échange d’un service (les intérêts pour un prêt, le service d’intermédiation pour un marchand, ...). Un spéculateur c’est quelqu’un qui achète quelque chose à un prix en espérant le revendre à un prix plus élevé, mais des fois il perd son pari. Son utilité à été de décharger quelqu’un d’autre d’un risque, c’est pour ça qu’il existe (c’est une forme d’assurance). C’est marrant comme vous voyez toujours les spéculateurs qui gagnent leurs paris mais jamais ceux qui les perdent, de même que vous voyez le prix de votre assurance habitation mais tant que vous n’avez pas de sinistre vous ne voyez pas ce que ça coûte à l’assurance pour vous rembourser.

      « si vous voyez des similitures avec Coree du Nord »

      Un seul parti politique autorisé : le parti communiste. Médias totalement verrouillés. Nombreuses pénuries de produits (hors produits de première nécessité). Cuba est peut être un pays communiste « light » (on n’exécute plus les oposants), mais ça reste un pays ou la liberté est une notion abstraite.

      « Maitrisez-vous bien la differnce entre capital et revenu ? Percsonne demande un redistribution de 57% de la richesse. Du moins pas pour linstant »

      Euh, ou vous voyez une notion de capital ou de revenu dans la notion de redistribution ou de pib ?

      La redistribution c’est des impôts, taxes, cotisations prélevées d’un coté et versées d’un autre sous forme d’allocations, aides, subventions, faux prix, ...Aucun rapport avec la notion de capital et un rapport lointain avec celle de revenu.

      Le pib c’est la somme des valeurs ajoutées, aucun rapport avec la notion de capital et un rapport lointain avec celle de revenu. Mais je suis sur que vous saviez déjà tout ça, vous vous êtes juste emporté dans votre désir de changer de sujet de conversation qui dérange smiley

      « Percsonne demande un redistribution de 57% de la richesse. Du moins pas pour linstant »

      Le pib, c’est donc la richesse produite. La dépense publique, en grande partie, c’est de la redistribution. Donc la redistribution n’est pas encore à 57% de la richesse effectivement, je faisais un raccourci. Mais elle est déjà trop élevée, et décourage les créateurs de richesse. Mais vous trouvez qu’elle doit encore progresser (et faire fuir définitivement les créateurs de richesse, comme à Cuba smiley ) ?

      Il y a l’assurance chômage, l’épargne retraite, l’assurance santé, ..., qui sont considérés en France comme des dépenses publiques. Tous ces domaines devraient être « à cotisation égales, droits égaux ». Seule une part exceptionnelle devrait relever de la solidarité nationale : un revenu minimum de subsistance. Le reste devrait être du domaine de la dépense privée et donc la conséquence des choix de chacun.

      « Toute economie qui cherche a s’emanciper du grand capital est immediatement sabotée »

      L’excuse facile des incompétents : c’est la faute aux autres (comme Hollande avec la faute à l’Europe, à la crise, aux patrons, ...).

      L’économie du Venezuela s’effondre pour la même raison que tous les pays qui ont tenté la même chose : quand on supprime la liberté économique, l’économie s’effondre.


  • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 8 septembre 2014 16:41

    À l’auteur :
    « Ce que l’on doit exiger, cependant, c’est que le gouvernement pérennise l’effet positif d’une redistribution de la richesse par la mise en place d’un régime universel de revenu/travail garanti »


    Est-on en droit de vous rétorquer que ce que vous dites est bête ?


  • julius 1ER 8 septembre 2014 16:45

    Si votre modèle c’est la Corée du nord ou Cuba, je vous propose plutôt d’aller y vivre que de vouloir l’importer dans une France qui s’écroule déjà sous une redistribution étouffante puisqu’atteignant 57% du pib, en voie de détenir le record du monde occident

    @larebit,
    encore un qui dit des conneries.... 57 % ne sont pas de l’argent gaspillé mais des investissement dans les infrastructures, les services, les routes, la police etc.....
    la seule chose que l’on peut reprocher à la France c’est d’être 3 points au dessus de la moyenne des pays de l’OCDE....... ce n’est pas 57% d’argent qui fout le camp comme çà, les gens comme toi qui racontent ce genre d’inepties sont bien contents d’avoir des hôpitaux en cas de problème et surtout des routes en état pour y aller !!!!! 

    • larebil 8 septembre 2014 21:03

      Bin oui, dans les autres pays occidentaux, il n’y a pas de police, routes, hôpitaux, ..., c’est bien connu. Et en France il n’y a aucun abus dans la création de ronds points, il n’y a aucun entretien de routes quasiment inutilisées, il n’y a aucun policier qui passe plus de temps à faire de la paperasse plutôt que de patrouiller dans les banlieues, il n’y a aucun hôpital mal géré, ..., c’est bien connu aussi.

      Mais le sujet n’est pas l’utilisation globale de la dépense publique, mais la part énorme utilisée pour la « redistribution » : retraite à 60 ans ou retraites spéciales, indemnisations chômages très généreuses, aides et allocations à tous les étages, ..., tout ceci sans jamais exiger la contrepartie normale. En France on a plein de droits, mais jamais de devoirs.

      L’arnaque Piketty qui a parlé des inégalités de « salaires » au lieu des inégalités de « revenus » (directs et indirects, car les prestations sociales sont une forme de revenu) à lavé le cerveau de trop de personnes.


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 septembre 2014 00:15

      Essayez de comprendre que, si l’argent distribue pour servii de pouvoir d’achat est insuffisant pour acheter ce qui est produit, ce n’est pas le consommateur qui est la principale victime, mais le PRODUCTEUR qui, en l’absence d’une demande effective, voit la valeur de son investissement plonger vers 0.. 


      Pour mesquiner au travailleur sa juste part du revenu de son travail. on a réduit son revenu et rendu systematiquement la demande ineffective. Plutot que de rehausser la valeu en argent du travail, on a choisi de PRETER du fric au consommateur.... Solution stuoide qui a rendu peu a peu tout le monde insolvable... sauf les banquiers ! Il y a un ajustement a faire et on le fera, coute que coute.

       PJCA


    • larebil 9 septembre 2014 08:43

      On parle de redistribution, vous parlez de juste part du revenu de son travail. Si la discussion part dans tous les sens, pas facile de la garder cohérente. Mais soit, parlons de juste part.

      Comment la définir ? C’est simple, elle est fonction de la capacité de la personne à produire de la richesse. Si je produis 1000 de richesse, je peux prétendre entre 0 et 1000 de revenu. Le problème c’est que vous dites que je pourrais prétendre à 1100 de revenu, et c’est la que tout s’écroule, et c’est pour ça que le smic trop élevé en France est source de chômage.

      En supprimant le smic, chacun sera payé en fonction de la vraie juste part corrélée à sa vraie création de valeur. Les personnes seront alors incitées à créer plus de valeur pour augmenter leur revenu, tout le monde profitera de cette valeur créée, accroissant la richesse globale. L’offre s’améliorera en même temps que la demande, entretenant un cercle vertueux.

      La meilleure garantie qu’un salarié ai la plus grande part possible de la valeur créée est le plein emploi, jamais la coercition.


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 septembre 2014 14:09

       @ Larebit


      « Si je produis 1000 de richesse, je peux prétendre entre 0 et 1000 de revenu. Le problème, c’est que vous dites que je pourrais prétendre à 1100 de revenu... ’ »

       D’où vous est venue l’idéée saugrenue de m’attribuer cette absurdité ? Le travail produit une valeur ajoutés et cette valeur aloutée, en toute justiice, devrait etre remise a ceux qui ont contribue a la créer. Cest cette remise qui devrait leur siffire a acquerir le produit de leur propre travail. Ceci, cepeendant n’est PAS le question que je souleve ici. 

      Celle que je souléve ici,c’est que les agios et interets qu’on a prelevés depuis des decennies sur ce qui aurait du etre la part des travailleurs ne leur a jamais laissé qu’un revenu insuffisant pour acqueir le fruit de leur travail. On les a obigées a un endettement progressif constat, ... qui est l’essence meme du capitalisme.

      Mais preter de l’argent ne crée pas de richesse... Le cumul des ces ’emprunts’ a donc constitué avec le temos une msse monétaire énorme qui ne correpond a aucune vaeur réelle. En utilisant cette monnaie de singes, ceux qui l’ont créee mene le monde..... Il y a des réajustements a faire. Ce probleme est si urgent et serieux, que tout le rste du discours politique n’est que pretexte pour ne pas le faire.

      Mais en parlant doucemnt, on finit par le faire comprendre meme au monde très ordinaire...

      PJCA 



       



    • larebil 9 septembre 2014 14:54

      « La question préalable à poser à tout candidat, aujourd’hui, est donc en deux (2) volets :

       a) dans quelle proportion allez-vous redistribuer la richesse ....

      b) comment procéderez-vous pour y parvenir ?  »

      Et donc, vous ne voulez pas « redistribuer la richesse », c’est à dire verser 1100 à celui qui en à produit 1000 ?

      « Le travail produit une valeur ajoutés et cette valeur aloutée, en toute justiice, devrait etre remise a ceux qui ont contribue a la créer »

      Oui, ça s’appelle le salaire (ou autre, suivant la méthode de vente du travail), elle est donc déjà remise à ceux qui ont contribué à la créer.

      « Celle que je souléve ici,c’est que les agios et interets qu’on a prelevés depuis des decennies sur ce qui aurait du etre la part des travailleurs ne leur a jamais laissé qu’un revenu insuffisant pour acqueir le fruit de leur travail »

      Quel rapport entre les intérêts qui ont rémunéré un service rendu et les revenus du travail ? Si vous ne voulez pas payer d’intérêts, n’empruntez pas, mais n’essayez pas d’établir des relations entre des choses qui n’ont rien à voir.

      Et pour désamorcer tout de suite vos 2 prochains arguments :

      1) non, un particulier n’est pas « obligé » d’emprunter pour boucler les fins de mois. S’il le fait, il en assume les conséquences. S’il ne le fait pas, il adapte ses dépenses à ses revenus. S’il n’y arrive pas, c’est son problème, pas celui de ceux qui font l’effort de le faire.

      2) oui, la dette de l’état est légitime (on a élu ceux qui l’ont contractée, on est donc solidairement responsable), et doit être remboursée, ou il faudra en assumer les conséquences (voyez les conséquences pour tous les pays qui ont été obligés de faire défaut sur leurs dettes, ça vous donnera une idée de qui en subira réellement les conséquences en France).


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 10 septembre 2014 15:00

      @Larebit


      Je crois que tous les lecteurs de bonne foi ont deja compris : 

      Une manipulation des banksters - qui est l’esence du capitalis - retient en intéret une parite de la valeur produite et le consommateur n’en dispose donc pass piur acquerir le fruit de son travail.. Une pariie de la production resterait donc sans preneur... si on ne consentait au consommateur le credit (monetaire) pour le faire.... moyennnant un intetet. L’INTERET NE PRODUIT RIEN  Un ecart croissant se creuse e donc entre entre la vrichesse relle des biens tangibles et la masse monetaire qui est supposée la represenster... En bout de piiste, cet ecart est percu meme par les moins doués, la confiance vacille.... IL faut faire disparitre unemotagne de fric qui ne represente plus aucune realit.é mais que ceuxqui la posssedent utiilsent. Rien ne va plus.... 

      « non, un particulier n’est pas « obligé » d’emprunter pour boucler les fins de mois. S’il le fait, il en assume les conséquences. S’il ne le fait pas, il adapte ses dépenses à ses revenus. S’il n’y arrive pas, c’est son problème, pas celui de ceux qui font l’effort de le faire »...

      Un particukiera ce choix, et peut gentiment accepter de se laisser mourir de faim.... Mais pas la collecivité... Le systeme de production global ne peut pas décider de fermer parce que de petits futés dont tous les besoins sont saisfaits et qui ne consomment plus ont thesaurisé les symboles de la richesse... alors que ceux qui ont des besoins et voudraent produire sont privés de la possibilitré de leur faire faute d’acces aux outls.... Quand des gouvernants veulent le faire, on les tue.

      PJCA



  • julius 1ER 8 septembre 2014 17:02

    @JC Allard,

    les piqûres de rappel ne font pas de mal, en économie il y a des cycles et là tout comme toi je pense que l’on arrive au bout d’un cycle.... en Grande Bretagne les 2/3 des gens interrogées sont pour des renationalisations, et la remise sous autorité publique des principaux services........... c’est pas mal pour le pays qui a lancé la vague Ultra-Libérale en Europe. je crois que les gens ont fait le tour de ce mirage et aspirent à autre chose !!!!!!!!!!!!
    bien sûr il y a les crétins de service qui vont pousser des cris d’orfraie en disant que nationaliser c’est vouloir aller vers une société collectiviste type Corée du Nord
    c’est toujours le pire exemple qui est montré comme si la France par son organisation sociale et économique et son système de formation n’était pas capable d’inventer un modèle qui lui soit propre !!!!!!!!!
    il faudrait rappeler aux analphabètes comme leur pieds, genre Larebit ou Spartacul
    que les Français ont inventé des Coopératives et des Gaec bien avant tout le monde et que cela a été un modèle d’organisation copié par bien d’autres pays..

    • larebil 9 septembre 2014 08:53

      L’insulte est le refuge de ceux qui manquent d’arguments, vous en êtes le parfait exemple.

      La majorité à élu Hollande, et vous voyez le résultat. Donc une majorité de personnes qui souhaitent une chose ne veux pas dire que cette chose soit bonne.

      Et je ne vois vraiment pas ce que viennent faire les Gaec dans la discussion.

      Autrement dit, pour vous participer à une discussion c’est répondre totalement à coté de la plaque, et c’est moi qui serait analphabète ?


  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 septembre 2014 00:31

    @ Julius 1er


    « ll faudrait rappeler aux analphabètes comme leur pieds, genre Larebit ou Spartacul.... »

    Vous croyez ? Je pense que tout le monde a droit une explication polie, mais ensuite on peut continuer sans remords ... 

    PJCA

  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 septembre 2014 14:38

    Je trouve bien triste que si peu de gens soientt prtes a prendre une taloche pour leurs idées. J’y mets pourtant les formes... Cmment pourra-t-on les guérir de leurs idées ridicules, s’ils ne se manifestent que qund ils ont les rieurs de leur côté ?



    Il semble que le lecteurt type d’Agoravox veuille bien partager son horreur concernant Gaza, s sa haine dela politique américane et son mépris de la politique français, tous partis confondus,... Mais si on veut soriir de ce consenus on ne se bourcule pss au portillon.... Dommage.


  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 9 septembre 2014 14:40

    Je trouve bien triste que si peu de gens soient prêts a prendre une taloche pour leurs idées. J’y mets pourtant les formes... Cmment pourra-t-on les guérir de leurs idées ridicules, s’ils ne se manifestent que quand ils ont les rieurs de leur côté ?



    Il semble que le lecteurt type d’Agoravox veuille bien partager son horreur concernant Gaza, sa haine dela politique américanes et son mépris de la politique français, tous partis confondus,... Mais si on veut soriir de ce consenus on ne se bourcule pss au portillon.... Dommage.


    • armand 10 septembre 2014 19:39

      Bonsoir Pierre, non nous lisons et voila, ce coup-ci il faudra vraiment les raccourcir TOUS et Toutes
      mais cela couve, patience....


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