mardi 2 avril 2019 - par doctorix, complotiste

Donner un vaccin à un enfant, ce n’est pas comme lui donner une sucette

C'est pourtant ce que sous-entend notre Ministre de la santé Agnes Buzyn, quand elle impose 11 vaccins obligatoires, et quand elle autorise pharmaciens et infirmières à vacciner, sans même l'avis d'un médecin.

A la lecture de ce qui suit, même un médecin devrait frémir à la pensée de ce qui risque de lui arriver s'il ne prend pas un maximum de précautions. A fortiori un non-médecin.

Parce que Mme Buzyn impose un acte médical d'une grande gravité, pour un intérêt tout à fait modeste en l'absence du moindre risque épidémique, et pour une efficacité tout à fait discutable, tout en se lavant les mains en cas de conséquence funeste.

Il faut savoir que les seuls effets secondaires reconnus des vaccins se limitent à ceux survenant dans les quelques jours qui suivant l'acte vaccinal. Les problèmes plus tardifs, et qui sont souvent les plus graves car ils traduisent souvent une atteinte du système immunitaire irréversible qui peut être gravissime (bien que tout soit fait pour que ce soit nié) sont complètement négligés tant par les autorités sanitaires que par les laboratoires (qui sont de fait chargés de leur étude, sans vrai contrôle indépendant). En dehors de la douleur et de la rougeur au point d'injection, on vous affirme que ce n'est pas plus toxique qu'une sucette.

Mais tous ceux qui ont étudié sérieusement les vaccins savent que c'est faux, et que des maladies invalidantes peuvent survenir non seulement immédiatement ou dans les 24 heures, mais aussi des mois ou des années après une ou plusieurs injections. C'est ce délai qui permet aux laboratoires de se laver les mains très souvent (bien qu'aux USA, les indemnités accordées aux victimes se montent maintenant en milliards de dollars). 

Aussi, j'avertis non seulement mes confrères, mais les nouveaux admis à pratiquer l'acte vaccinal, que tout se passera bien tant qu'il n'y aura pas d'accident. Mais en cas de pépin, soyez assuré que l'administration de Mme Buzyn leur tombera dessus, oubliant son énorme responsabilité.

En attendant, qu'ils prennent connaissance des précautions à prendre avant de vacciner, et qu'ils comprennent qu'un vaccin ne se fait pas à la va-vite, mais demande plusieurs dizaines de minutes d'examen et d'interrogatoire, dont ils trouveront les détails dans cet article publié par l'AIMSIB.

A cette lecture, je crois qu'il faut être fou pour accepter de vacciner dans ces conditions. Je relaie cet article afin que mes confrères (et les para-médicaux autorisés maintenant à vacciner), prennent enfin conscience que l'acte vaccinal, qui consiste à interférer avec (et à agresser gravement) le système immunitaire d'un enfant, lequel a fait la preuve de son efficacité au cours des millénaires, n'est pas cet acte anodin qu'on leur a décrit. Et qu'ils se demandent enfin si l'enjeu en vaut la chandelle. Je le relaie quelques semaines avant sa version définitive en en raison de son caractère d'urgence à mes yeux.

Les six précautions préconisées par l’AIMSIB pour la vaccination des nourrissons (Mars 2019)

par La rédaction de l'AIMSIB | 31 Mar 2019 | 4 commentaires

En préparation de la réunion de travail de l’AIMSIB du 8 Juin 2019 à Paris (voir en fin d’article) le Comité Médical vous propose de travailler sur ce texte, de le critiquer, de l’améliorer, puis de l’amender en vue d’une édition définitive à l’issue de nos travaux. Si l’intérêt scientifique et médical des obligations vaccinales ne nous semble pas établi, comment au moins en atténuer certains effets secondaires dévastateurs ? Bonne lecture, à vos commentaires.

 

Il est aujourd’hui difficile pour une famille, et pour un médecin dont la responsabilité juridique est engagée en cas de complication postvaccinale, de vacciner de façon systématique des bébés de deux mois avec des seringues contenant des vaccins hexavalents ; et encore plus si un autre vaccin est injecté lors de la même séance.

Quelles précautions les familles et leurs médecins devraient prendre au moment de vacciner et au décours des injections uniques ou multiples ?

Les précautions qui suivent, préconisées par l’AIMSIB, ne visent pas à encourager ou décourager les familles et leurs médecins concernant les vaccins, obligatoires ou pas. Ce sont des informations potentiellement utiles. Chacun peut les utiliser à sa manière ou les négliger. Elles ne visent pas non plus à créer de conflits entre les familles et leurs médecins. Mais il est crucial dans l’intérêt de tous (familles et médecins), de se prémunir, c’est-à-dire d’anticiper la survenue possible de complications postvaccinales.

Anticiper signifie qu’on est informé de l’existence de ces complications. C’est la 1ère et impérative précaution du médecin avant de vacciner un nourrisson : il doit informer les familles que des complications sont possibles. Il doit procéder de façon intelligible et objective ; il doit notamment préciser que la fréquence et la sévérité des complications ne sont pas clairement connues car mal étudiées. S’il ne procédait pas ainsi et si une complication survenait, il serait difficilement défendable devant un tribunal.

La liste de précautions minimales qui suit n’est pas exhaustive et chaque médecin ou chaque famille devrait y ajouter sa pierre.

1ère précaution, mode d’injection :

Le professionnel de santé qui vaccine doit respecter scrupuleusement les consignes d’injection des vaccins. Elle doit être lente (quel que soit l’agitation du bébé et l’anxiété des parents) et strictement intramusculaire. Le professionnel doit donc vérifier, avant de commencer à injecter et au moins une fois au cours de l’injection, si l’aiguille n’est pas dans une veinule du muscle. Pour ce faire, il doit aspirer (donc stopper l’injection si elle a débuté) afin d’être certain que du sang (la moindre goutte) ne revient pas dans la seringue.

En effet, l’injection directement dans un vaisseau sanguin du contenu de la seringue peut être à l’origine de complications immédiates ou différées selon les industriels eux-mêmes.

En cas d’incident (par exemple dû à l’agitation du bébé) ou de manquement à ces principes, le professionnel doit l’inscrire sur le carnet de vaccination avec date, heure et tampon. Les circonstances de l’incident doivent être décrites. Si le professionnel s’y refusait pour une raison quelconque, la famille doit procéder elle-même avec les détails nécessaires et indiquer que le professionnel s’y est refusé. Il faudra faire copie du rapport de l’incident et l’envoyer à l’Agence Régionale de Santé (ARS) sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction.

2ème précaution, surveillance post vaccinale :

A la suite de l’injection, les parents doivent suivre de façon minutieuse les réactions du bébé. Il faut, heure par heure, noter tout ce qui peut paraître nouveau ou anormal par rapport à la situation antérieure : en particulier, de l’agitation, des pleurs inconsolables, de l’insomnie, ou une perte d’appétit, tout doit être noté sur le carnet de vaccination de façon chronologique car ce sont des signes de neurotoxicité.

Il serait préférable que ces signes soient constatés par le professionnel qui a vacciné, et ce constat doit être daté et signé sur le carnet de vaccination. Outre les réactions locales, la fièvre et des signes cutanés ou lymphatiques (apparition de ganglions), toute autre manifestation, notamment gastro-intestinale, par exemple, doit être notée et suivie.

Si le professionnel se refusait pour une raison quelconque à valider les observations de la famille, celle-ci doit procéder elle-même avec les détails nécessaires et indiquer que le professionnel s’est refusé à valider leurs observations. Il faudra copier le rapport des signes anormaux inscrits sur le carnet de vaccination (ou sur un dossier partagé par des témoins) et l’envoyer à l’ARS sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction.

Evidemment toute manifestation aigüe et/ou sévère doit faire l’objet d’une visite aux Urgences ou d’un appel aux services d’urgence mobiles compétents. A nouveau, tout doit être scrupuleusement noté par la famille et validé par les professionnels de santé qui interviennent à domicile ou aux Urgences. Le rapport d’hospitalisation, des urgences ou de la visite à domicile, daté et signé par le médecin, doit être obtenu sur place, copié et adressé à l’ARS. Ce doit être une lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction que personne ne pourra contester.

Il ne s’agit pas, évidemment, de faire du tort ou des ennuis au professionnel de santé impliqué mais de se préparer à des suites, notamment juridiques, au cas où l’état de santé du bébé se trouverait altéré dans les jours, semaines ou mois qui suivraient la vaccination. Toute discordance entre les rapports (datés et signés) des professionnels et les observations de la famille doivent être notées sur le carnet de vaccination (ou sur un dossier cosigné par des témoins) et copie doit être envoyée à l’ARS sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception.

Pourquoi ces précautions s’avèrent aujourd’hui indispensables pour les familles comme pour les médecins ?

Parce que l’OMS a modifié la façon dont les effets adverses des vaccins devaient être classifiés. En simplifiant, pour attribuer un effet adverse à un vaccin – c’est-à-dire, affirmer une relation de causalité : « le vaccin est la cause probable de cet effet adverse » – l’OMS a décidé d’adopter de nouveaux critères.

Les critères de causalité habituellement utilisés – critères dits de Brighton – par les scientifiques et les juristes ont été modifiés. En conséquence, les familles et leurs médecins doivent désormais redoubler de précautions quand ils décident conjointement de vacciner un bébé. En bref, si un effet adverse ne répond pas à la définition donnée désormais par l’OMS – définition élaborée en collaboration avec des employés de l’industrie des vaccins – il doit être rejeté et ne doit pas être rapporté comme susceptible d’avoir été provoqué par le vaccin.

Cette façon de procéder revient à exonérer les vaccins d’une multitude d’effets adverses notamment ceux survenant à distance de l’injection supposée responsable ; à moins de montrer continuité et contiguïté entre le moment de l’injection du vaccin et la survenue de l’effet adverse.

Dit autrement, pour qu’un effet adverse soit reconnu selon les nouveaux critères de l’OMS, il faut pouvoir démontrer que des premiers signes avertisseurs ont été enregistrés au moment ou à proximité du jour et de l’heure de l’injection. C’est la notion fondamentale de contiguïté. D’où l’importance pour les familles et leurs médecins d’enregistrer, de façon visible (officielle), tout signe avant-coureur d’une future complication.

En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction que personne ne pourra contester. L’exemple de la SEP survenant au décours du vaccin contre l’hépatite est révélateur. Il faut qu’une manifestation de neurotoxicité immédiate (aussi minime soit-elle) ait été enregistrée au moment ou dans les suites immédiates de l’injection pour espérer faire reconnaître une SEP postvaccinale diagnostiquée parfois plusieurs années plus tard par des neurologues consciencieux.

3ème précaution, non utilisation des anti-pyrétiques :

il ne faut jamais prescrire (ou donner) systématiquement des médicaments antalgiques (contre la douleur) ou contre la fièvre au décours immédiat d’une vaccination, type paracétamol et ibuprofène. Le paracétamol peut être toxique par lui-même chez les bébés. Mais c’est pour une autre raison qu’il est préférable de s’abstenir : ces médicaments peuvent masquer les effets adverses du (ou des) vaccin(s).

Au contraire, il faut identifier et noter chronologiquement toute anomalie [tout symptôme qui était absent avant l’injection vaccinale] qui peut advenir car, en cas de complication ultérieure, il faudra pouvoir montrer qu’un effet adverse a été noté très initialement. Aussi minime soit-il, ce symptôme peut être annonciateur et être considéré comme une 1ère alerte qui donnera du sens à des symptômes ultérieurs. La prise en compte immédiate de ce symptôme montrera que la famille, et surtout le médecin, n’ont pas été négligents. Il faudra par exemple mesurer régulièrement la température du bébé (éventuellement construire une courbe) car toute fièvre est symptôme d’une réaction immunitaire systémique. Si elle est anormalement prolongée ou trop élevée (en l’absence de médicament), elle constitue un effet adverse dysimmunitaire hautement significatif pour interpréter tout effet adverse ultérieur plus sévère.

4ème précaution, préparation à la vaccination suivante :

Bien sûr, il faut tout faire pour protéger le bébé. Mais, face aux obligations légales de vacciner, il faut aussi se préparer à assumer les ennuis inéluctables provoqués par une vaccination de masse. Pour beaucoup, tout ira bien au moins en apparence, mais pour certains vaccinés, des ennuis pourraient survenir. Si on oblige un professionnel de santé à vacciner un bébé, tout en lui affirmant qu’il n’y a pas de contre-indication à ce vaccin, on peut difficilement lui reprocher la survenue d’un effet adverse ou l’en rendre responsable légalement. Mais ce professionnel doit être prudent et s’entourer d’un maximum de précautions. Au moment de vacciner un bébé pour la 1ère fois (à l’âge de 2 mois en principe), il est généralement impossible d’avoir connaissance ou de suspecter une intolérance à une substance présente (y compris sous forme de traces) dans une seringue vaccinale.

Les choses sont différentes pour la seconde injection 2 mois plus tard. A ce stade, des familles pourraient se retourner contre ce professionnel si celui-ci n’a pas tenu compte, au moment d’administrer une seconde injection (ou un rappel), d’une alerte survenue après une 1ère injection ou une injection antérieure. Le professionnel doit être très attentif à tout évènement survenant au moment ou au décours de chaque injection.

Ici se pose un problème crucial : est-ce que tout professionnel de santé susceptible d’injecter un vaccin est apte et/ou habilité à identifier des effets adverses postvaccinaux ?

La réponse est évidemment négative : seuls les médecins devraient injecter des vaccins et suivre les bébés vaccinés au décours de l’injection car eux seuls ont en principe la formation professionnelle leur permettant d’identifier, et éventuellement quantifier, les effets adverses postvaccinaux.

5e précaution afférente aux seringues :

il est impératif de vérifier la date de péremption des seringues avant chaque injection.

Dans le même ordre d’idée, il faut aussi vérifier si le contenu de la seringue n’est pas douteux. Certaines seringues peuvent être « opaques », c’est en principe annoncé sur la notice si c’est normal ; avec avoir ou non secoué cette seringue. Dans leur grande majorité les seringues vaccinales doivent être claires. En cas d’opacité inattendue, il ne faut pas l’injecter car cela peut témoigner d’un défaut dans la fabrication ou le stockage avec possibilité d’inefficacité et de toxicité.

Un vaccin contenant de l’aluminium ne doit jamais avoir été conservé à une température négative donc toute seringue dont le contenu aura été un temps gelé doit être détruite avant usage.

A cet égard, une association (avec un laboratoire de biologie) italienne, le Corvelva[https://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccinegate-final-technical-report-molecular-profile-analysis-of-vaccines.html], a produit des analyses du contenu de seringues vaccinales commercialisées en Italie. N’ayant pas accès aux données brutes de ces analyses et aux méthodes chimiques – et biologiques pour identifier et quantifier les antigènes présents dans les seringues – le comité AIMSIB préfère être prudent en attendant des confirmations par d’autres laboratoires indépendants ; mais ce que le Corvelva a publié en janvier 2019 (ci-dessous) est très inquiétant. Leurs premières analyses concernaient entre autres vaccins l’Infanrix hexa, un vaccin hexavalent administré aux bébés dès l’âge de 2 mois en France.

Les biologistes de Corvelva disent simplement qu’ils ont trouvé dans les seringues toutes sortes de substances qui n’auraient pas dû y être [ce sont des contaminations] et, inversement, que des substances (notamment des antigènes vaccinaux) qui auraient dû y être n’étaient pas retrouvées.

On peut éventuellement expliquer ce dernier point par un manque de sensibilité de la méthode utilisée mais cette même méthode s’est avérée efficace pour identifier les substances espérées dans une seringue vaccinale concurrente.

L’évidente leçon à retenir de ce 1er épisode de vérification indépendante (des industriels) des seringues vaccinales commercialisées est que tous les lots ne sont pas identiques et que la probabilité que certaines familles tombent malheureusement sur des lots contaminés et/ou vides d’antigènes n’est pas nulle avec les conséquences que cela implique.

6ème précaution, responsabilité partagée des familles et des médecins :

Sachant que les autorités sanitaires ne reconnaissent presque aucune contre-indication à la vaccination, comment les familles et leurs médecins confrontés à des effets adverses postvaccinaux chez un bébé (après une 1ère ou une 2ème injection) doivent-ils se comporter au moment de l’injection suivante ou d’un rappel ? Certaines familles peuvent accepter de négliger ces alertes. D’autres peuvent s’alarmer.

En fonction du niveau éducatif et culturel (notamment médicale et scientifique) et des expériences vécues par les familles, leurs positionnements peuvent beaucoup varier. La façon de procéder des médecins doit être adaptée à chaque famille.

Le médecin toutefois est supposé apporter une information scientifique et objective aux familles. C’est une exigence du code de santé publique. S’il apporte des informations scientifiques et indépendantes, il peut pousser les familles à refuser une nouvelle injection. S’il répète naïvement les informations que les autorités sanitaires répandent – c’est-à-dire qu’il n’y a pas de contre-indication aux vaccinations, y compris après la survenue d’effets adverses au décours d’une injection précédente – il se met dans une position délicate et paradoxale : il ne respecte plus le code de santé publique tout en répondant aux exigences des autorités sanitaires. Comment faire ?

On comprend maintenant pourquoi il est si important, pour la famille comme pour le médecin, d’avoir documenté tous les effets adverses survenus après une ou plusieurs injections, et de ne pas les avoir masqués avec du paracétamol ou de l’ibuprofène. Ces documents serviront de pièces à conviction face à des autorités sanitaires sourdes et aveugles.

Les avis et les choix des familles doivent évidemment être prépondérants car en cas de complication postvaccinale sévère, elles seront seules à en assumer les conséquences.

Les médecins doivent aider les familles plutôt que rejeter leurs inquiétudes comme étant infondées. Respectueux du Principe de précaution et fidèles au serment d’Hippocrate, les médecins doivent donc en principe soutenir les familles dans toutes leurs démarches.

Si une famille s’inquiète des conséquences d’une nouvelle injection après avoir constaté des effets indésirables postvaccinaux, le médecin doit rédiger un certificat de contre-indication motivé et documenté, avec comme argument additionnel majeur que les parents redoutent de nouvelles complications postvaccinales.

Si ce certificat est rejeté par une municipalité, une administration scolaire ou le Rectorat et que les familles décident de résister aux injonctions (des employés des crèches par exemple), elles doivent, avec le soutien de leurs médecins, s’adresser directement aux Agences Régionale de Santé afin d’obtenir la validation du certificat de contre-indication. Cette demande doit être documentée [ce qui souligne à nouveau l’importance d’avoir documenté tous les signes anormaux qui ont suivi la ou les injection(s) précédente(s)] et adressée [lettre recommandée avec accusé de réception] directement et nominalement au Directeur de l’ARS. Il est impératif de mentionner explicitement qu’en cas de refus de validation du certificat de contre-indication et la survenue d’une complication postvaccinale, ce Directeur en serait tenu pour personnellement responsable. Mentionner également que l’absence de réponse explicite dans un délai raisonnable (par exemple, 4 semaines) aura valeur de validation du certificat de contre-indication et sera comme tel fourni en lieu et place du nouveau certificat de vaccination.

Les médecins n’ont rien à craindre de la rédaction d’un certificat de contre-indication (sinon qu’il soit rejeté) ; mais ils doivent pouvoir défendre leur point de vue [avoir lu les ouvrages décrivant la toxicité des vaccins] et pouvoir documenter les signes et alertes qui ont suivi les injections précédentes. L’AIMSIB recommande une lecture attentive des articles et des livres publiés par ses membres. Il est clair qu’il peut y avoir un décalage temporaire entre les alertes publiées par des scientifiques et leur prise en compte par les autorités sanitaires ou les municipalités (pour les crèches).

A titre d’exemple, on rappelle que les plus hautes autorités sanitaires américaines (le CDC) ont revu à la hausse la liste des contre-indications définitives à la vaccination par le ROR en écartant de la vaccination tous les enfants nés de parents atteints de maladies immunitaires ou qui en comptent dans leurs fratries. A ce jour (Mars 2019), les autorités françaises n’ont pas encore réagi.



665 réactions


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 16:47

      @doctorix
      pour devenir médecin, il faut se faire vacciner et c’est obligatoire.


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 17:21

      @foufouille
      pour devenir médecin, il faut se faire vacciner et c’est obligatoire.
      En 40, aller au STO était aussi obligatoire.
      Mais des salauds (dont mon père) s’y sont pourtant dérobés...


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 17:38

      @doctorix
      le carnet de vaccination est obligatoire sinon tu refais tes vaccins.


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 18:06

      @colibri

      oui les sites khmer vert avec science infuse sont mieux. doctorix et joyeux ne sont pas radiés pas ta caste d’en haut.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 12:33

      @doctorix
      en 70, beaucoup n’était pas vacciné ...........


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 14:28

      @foufouille
      Une chance pour eux : car ayant attrapé la rougeole, ils ne l’auront plus jamais, et ne la transmettront pas.
      Dans ces années là, ou le bon sens ne laissait pas sa place à la peur organisée, on faisait des gouters autour d’un petit malade de la rougeole, des oreillons ou de la rubéole, afin que tout le monde l’attrape en même temps, afin de soulager l’école et de raccourcir les épidémies.
      C’est dire si ces maladies faisaient peur...


    • cevennevive cevennevive 3 avril 2019 14:39

      @doctorix

      Vrai doctorix !
      Aujourd’hui, on isole les enfants des crèches dès qu’ils ont un peu de fièvre. Aux parents de se débrouiller.
      Autrefois au village, lorsque j’étais enfant, les parents disaient : « tiens, untel a la rougeole, ou la coqueluche, ou les oreillons, préparons-nous à ce que toute l’école y passe ». Et cela se réalisait !
      J’aimais bien moi être victime d’une maladie infantile. On restait à la maison, on était gâté et choyé.
      On n’appelait même pas le docteur car on savait, par le voisinage victime de l’épidémie, ce que l’enfant avait et on le tenait au chaud avec un lait de poule et de la soupe chaude.
      Mais c’était dans les années cinquante...


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 14:47

      @doctorix
      je n’ai jamais vu le moindre « gouter » surtout tu étais dans ton lit.
      la coqueluche dure trois mois .......


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 14:54

      @cevennevive
      650 morts en 50 par la rougeole.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 15:43

      On avait du bon sens, car l’industrie pharmaceutique n’était pas toute puissante.
      Malheureusement, elle avait déjà introduit les antipyrétiques qu’on commençait à utiliser à tour de bras.
      Au lieu de laisser les enfants bien au chaud, on a commencé à leur refiler ces produits spectaculaires, mais dangereux.
      En effet, les virus se multiplient de 2 à 500 fois plus vite à 37 qu’à 39, comme le prouve ici le Pr Lwoff, virologue prix Nobel, vers la dixième minute.

      https://www.ina.fr/video/CPF86644119/la-virulence-des-virus-video.html
      C’est ainsi qu’on a transformé des maladies bénignes (rougeole, polio, oui, oui, c’est la plupart du temps une infection bénigne), en maladies gravissimes.
      Je suis certain que la plupart des séquelles de la polio a été liée à l’usage intempestif de ces substances.
      Car 500 fois moins ou plus de virus, ça fait forcément une différence.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 15:52

      @foufouille
      650 morts en 50 par la rougeole.

      Par la rougeole ou par l’aspirine ?
      La question se pose.
      Dans tous les cas, cette hécatombe n’est plus d’actualité en France, et le vaccin n’y est pas pour grand-chose.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 15:56

      @doctorix
      encore plus mort de rire, il est évident que tu risque rien si ta température est trop haute. c’est comme 20/13 de tension, c’est pas grave.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 16:18

      @foufouille
      Il y a une différence entre traiter une hyperthermie au delà de 40 et se contenter de surveiller une fièvre à 39, une température créée par le système immunitaire pour lutter contre la prolifération virale et qui constitue la première défense de l’organisme.
      Mais vous n’avez pas envie de comprendre, ni même d’écouter Lwoff.
      A quoi ça sert, puisque vous savez déjà tout...


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 16:44

      @doctorix
      je ne vais pas regarder une vidéo antivax alors que j’ai la FAC de médecine en ligne .......


    • foufouille foufouille 4 avril 2019 15:18

      @Seudoo
      tout à fait car il y en un lien vers l’étude et je suis pro-vaccins aussi.
       smiley


    • doctorix, complotiste doctorix 5 avril 2019 10:50

      @foufouille
      je ne vais pas regarder une vidéo antivax

      Crétin....
      Lwoff est un virologue prix Nobel de médecine qui faisait la promotion du vaccin dans les années 70, au cours d’une émission télévisée d’Igor Barrère, Pierre Desgraupes et Etienne Lalou.
      C’est celle que je proposais à votre inculture crasse.


    • foufouille foufouille 5 avril 2019 11:30

      @doctorix
      donc il est antivax ? je ne pense pas, c’est plus le contraire. au lieu de prendre une partie de vidéo youtube qui défendrais la cause antivax, tu pourrais étudier la virologie qui est au programme de médecine mais comme c’est de la merde pour toi .........
       smiley


    • doctorix, complotiste doctorix 5 avril 2019 23:53

      @foufouille
      Faut arrête le chichon, vous délirez.


    • foufouille foufouille 6 avril 2019 06:55

      @doctorix
      le fait est qu’il y a pas mal de cours de virologie en ligne mais pas sur youtube.


    • foufouille foufouille 11 avril 2019 16:53

      @samuel
      non, il prétend que les épidémies doivent tuer les faibles et que les autres sont immunisés à vie.


  • GerFran 2 avril 2019 14:28

    1 - Seuls 1 à 10% des effets indésirables graves des vaccins sont notifiés.

    La Revue du Praticien : Pharmacovigilance des vaccins.

    Tome 25 - N° 869 - novembre 2011 - page 716

    http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera—Revue-du-Praticie.pdf

    2 - Réponses aux vaccins en fonction de notre système immunitaire HLA.

    - HLA B13, B44 et C5 ne répondent pas au vaccin contre la rougeole.

    - HLA DR7 entraîne une faible réponse au vaccin anti-hépatite B.

    - HLA DR3 prédispose à des réactions explosives à toute stimulation immunitaire.

    - Aw 24 et B5 sont de mauvais répondeurs au vaccin contre la rubéole. Etc.
    Source : « L’apport des vaccinations à la santé publique ; La réalité derrière le mythe » par Michel Georget - agrégé de biologie - pages 114 et 115.

    3 - L’évaluation des propriétés pharmacocinétiques n’est pas requise pour les vaccins.

    Notice GSK du vaccin Infanrix Hexavalent - (page 12/52) :

    http://www.ema.europa.eu/docs/fr_FR/document_library/EPAR_-_Product_Information/human/000296/WC500032505.pdf

    4 - Infanrix has not been evaluated for carcinogenic or mutagenic potential, or for impairment of fertility.
    Notice GSK du vaccin Infanrix Pentavalent - (page 13/16) : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Infanrix-notice-US.pdf




    • foufouille foufouille 2 avril 2019 14:47

      @GerFran
      comme on ne peut pas être malade sans vaccin, c’est forcément de la faute du vaccin.


    • spearit 2 avril 2019 20:41

      @foufouille
      C’est ton jour aujourd’hui, celui où tu baves ta propre connerie parce que les autres ne sont pas aussi rabougris du cerveau que toi ???

      Un vrai gamin, aucun argument (peut-être si, un : la maîtresse a dit...)


  • amiaplacidus amiaplacidus 2 avril 2019 14:28

    Dans une famille voisine, père et mère s’accordaient pour ne pas vacciner leurs enfants.

    Leur fils, faute de vaccination, a fait une polio dont il est ressorti assez fortement handicapé pour marcher (il doit mettre un appareillage sur sa jambe gauche).

    Le jour de ses 18 ans, il a dit « merde » à ses parents est parti et ne leur a plus jamais donné de nouvelles.

    Je peux vous dire que, depuis 15 ans, tous les jours, les parents se repentent de leur ancienne stupidité.

    Comme je me suis un peu occupé de lui, Je suis resté en contact avec leur fils, avec l’interdiction de sa part de dire quoi que ce soit à ses parents. Je pense que la bêtise ne doit pas forcément être trop sévèrement punie, j’ai donc enfreint cette interdiction en disant simplement aux parents que leur fils allait bien.

    .

    Voilà où peut mener l’obscurantisme.


    • GerFran 2 avril 2019 14:47

      @amiaplacidus               

      Vytenis Andriukaitis, commissaire européen pour la santé :

      « Des enfants souffrent d’expériences terrifiantes, liées aux effets secondaires du vaccin contre la grippe porcine (H1N1). »

      Près de 1.700 adultes et enfants à travers l’Europe souffrent de maladie neurologique à vie, de narcolepsie causée par cette vaccination.

      https://inews.co.uk/essentials/news/health/eu-health-commissioner-narcolepsy-swine-flu-vaccine/

      February 22nd 2017


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 15:10

      @amiaplacidus
      Le vaccin est apparu quand l’épidémie avait régressé de plus de 90%.
      Comme toutes les maladies à vaccins, d’ailleurs, quand elles n’ont pas disparu sans vaccin.
      La polio a également disparu dans les autres parties du monde où il n’a pas été utilisé.
      En revanche, les parents doivent savoir que la plupart des cas de polio actuels sont dus au vaccin. En 1977. Jonas Salk, inventeur du vaccin antipolio fait avec des virus tués, affirma que les cas de polio aux Etats-Unis, depuis 1970, étaient probablement secondaires au vaccin polio vivant qu’on utilise en routine.
      En 2011, l’Inde (après une vaccination massive), a été déclarée libre de tout cas de polio, mais cette même année a vu apparaître 47.500 cas de paralysies flasques aiguës. L’incidence de ces maladies a augmenté dans les régions où plusieurs doses de vaccins polio avaient été administrées.
      Les auteurs signalent que sur le plan national, le taux des PFA est douze fois plus élevé que ce qui avait été attendu. Dans les états d’Uttar Pradesh et du Bihar  les taux de PFA étaient respectivement de 25  et de 35 fois plus élevés que les taux internationaux.

      La maladie n’a pas disparu, elle a juste changé de nom. Pire, c’est le vaccin qui la propage.
      Vous pouvez dire à votre protégé de se réconcilier avec ses parents...


    • GerFran 2 avril 2019 15:20

      @amiaplacidus      

      Une maladie paralysante grave similaire à la poliomyélite, frappant principalement les enfants, connaît cet automne un pic aux Etats-Unis, bien qu’elle soit encore extrêmement rare, ont annoncé les autorités de santé américaines. Il n’existe aucun traitement pour la combattre.

      « C’est un mystère », a expliqué Nancy Messonnier, directrice du centre national pour les vaccinations et les maladies respiratoires. Au total, depuis 2014, 386 cas ont été confirmés, dont 90% chez des moins de 18 ans.

      L’âge moyen est d’environ quatre ans. Cette année, 62 cas ont été confirmés, un nombre comparable à 2014 et 2016, mais la saison n’est pas terminée et des dizaines d’autres cas sont étudiés.


      https://www.lematin.ch/monde/Une-epidemie-d-une-rare-maladie-infantile-aux-USA/story/20404816

      18/10/2018

      Augmentation des cas de paralysie flasque aiguë inexpliqués chez les enfants en Angleterre et en Europe

      http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2019-02-20/paralysie-flasque-aigue-angleterre-europe

      Publié le 20 février 2019


    • leypanou 2 avril 2019 16:49

      @amiaplacidus
      vous connaissez personnellement une personne qui n’a pas été vaccinée contre la polio et qui reproche son infirmité à ses parents à vie. Avez-vous déjà entendu parler à la télé de personnes victimes d’effets secondaires de vaccin dont la vie a été devenu un enfer ?

      Savez-vous qu’aux États-Unis, 9 milliards de $ ont été attribués à des familles victimes d’effets secondaires de vaccins, information dont se gardent bien d’en parler TOUS les médias en France ?


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 16:52

      @leypanou
      en zunie, une femme a obtenu un million car ce n’était pas écrit sur la notice qu’il ne fallait pas mettre son chat dans le micro onde pour le sécher ........


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 17:07

      @leypanou
      9 milliards de dollars...
      A 100.000 dollars par tête de pipe, ça fait quand même 90.000 victimes des vaccins officiellement reconnues, et sans doute dix fois plus non reconnues compte-tenu de la difficulté à se faire reconnaître comme victime, surtout dans un pays où la Justice est très chère.
      Près d’un million de victimes pour des vaccins sans autre danger « qu’une douleur et une rougeur au point d’injection », ça fait quand même beaucoup...
      Se souvenir que seuls 1 à 10% des dégâts vaccinaux sont signalés.
      L’espoir est que les laboratoires vaccinaux finissent par crouler sous les procès perdus, et qu’on soit enfin débarrassés de ces résidus de médecine du moyen-âge qui abiment nos enfants.


    • spearit 2 avril 2019 20:44

      @amiaplacidus
      « Voilà où peut mener l’obscurantisme. »
      Visiblement au fond de ton cul...
      Rigolo le lien entre la maladie et l’absence de vaccin, c’est prouvé scientifiquement ou c’est juste parce que ça t’arrange ??
      Parce le lien entre maladie et vaccin, les scientifiques y rament sec...


  • cevennevive cevennevive 2 avril 2019 15:06

    Bonjour à tous, et en particulier à doctorix,

    Revoici venues les joutes oratoires à l’infini des pour et contre les vaccins...

    Je ne vais pas en rajouter.

    Mais ce week end, j’ai fait la connaissance d’un arrière petit fils, Aaron, petit bonhomme de 3kg200 qui a eu un mois hier. Donc, si je ne m’abuse, il va falloir le faire vacciner dans quelques jours.

    Ses mamans (car il a deux mamans, ma petite fille étant mariée à une jeune femme) m’ont longuement parlé de cette loi qui les effraie.

    Les pour, les contre, avez-vous tenu dans vos bras un pitchoune vagissant de 3kg, qui serait la chair de votre chair, et qui va devoir affronter une telle ignominie dans quelques jours ?

    Etes-vous concernés ?

    Je ne crois pas que foufouille, ardent défenseur des vaccins soit dans ce cas...

    Moi, ça me terrorise.

    Nous ne sommes pas sur un site « pour » ou « contre » la gauche, la droite, Asselineau ou je ne sais qui. Ce n’est pas de la politique, c’est une abomination que d’avoir institué une loi qui OBLIGE les parents à inoculer dès deux mois, 11 vaccins dont l’utilité, pour quelques-uns, est douteuse (le papillomavirus pour les petits garçons, et l’hépatite B pour les nourrissons...)


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 15:16

      Bonjour @cevennevive
      Une chose n’a pas changé avec l’ignoble Buzyn : aucun vaccin n’est exigible avant 18 mois.
      Ne pas confondre le calendrier des laboratoires et l’obligation légale.
      Un délai précieux pour que l’organisme se fortifie avant d’affronter le malheur.
      Au fait : Asselineau sera sur l’A2 Mercredi soir, après décision légale et condamnation du CSA à 1.500 euros d’amende.


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 15:23

      @cevennevive
      étant enfant, j’ai eu toutes ces maladies à la con dont la coqueluche.
      c’est peu agréable, par chance la polio était déjà disparue mais je connais une personne qui en a gardé un bon souvenir : une bonne paralysie.


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 15:29

      @cevennevive
      avec 0.01% de « chance » d’avoir un effet secondaire grave imaginaire, tu as autant de chance d’avoir une maladie rare, grave ou pas sans rien.
      les sauvages ne vivent pas très vieux.


    • cevennevive cevennevive 2 avril 2019 16:09

      @Bonjour petit foufouille,

      Dans mon village, il y eut deux centenaires, parties depuis deux ou trois ans maintenant.
      L’une et l’autre n’avaient pas eu de mammographie, d’analyses biologiques, de traitement du cholestérol ou de la tension artérielle, et encore moins de vaccins.
      D’ailleurs, mes parents, mes grands parents, mes vieux voisins étaient ou sont dans ce cas. Ici, il y a des vieux de 90 ans passés qui font encore leur jardin et qui conduisent leur véhicule.
      Ne me dis pas que les sauvages ne vivent pas très vieux, tu ne sais pas quel est leur âge.
      L’un de mes amis, lorsque j’étais étudiante, était un Malien de la brousse perdue, venu faire ses études de médecine en France, il ne savait pas sa date de naissance. On lui en a attribué une d’office. Mais il disait que dans son village de cases, les ancêtres avaient certainement plus de 80 ou 90 ans, voire 100 ans. C’était des « sages » que l’on écoutait et respectait...
      Pour la petite histoire, il est désormais un grand chirurgien à Alençon.
      Je te comprends, tu as une santé défaillante, mais ouvre les yeux, les humains qui sont là depuis des millénaires n’ont pas été « vaccinés » par des seringues et des produits propres à enrichir les labos !


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 16:27

      @cevennevive
      mon grand père est mort à 55 ans, sa femme à plus de 90.
      ton malien ne sait pas quand il est né mais sait pour ses anciens car c’est un mytho comme pour les hunzas.
      en 1900, en france, l’espérance de vie était de 48 ans. on le sait car presque tout le monde se faisait enregistré par une église. c’est le cas pour des tas de sauvages.
      je tiens de ma grand mère donc assez résistant sinon je serais mort comme les autres.


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 16:29

      @cevennevive
      j’en ai connu un aussi qui a vécu 100 ans mais il avait été opéré du coeur, des poumons et du foie ........


    • leypanou 2 avril 2019 16:37

      @foufouille
      une personne qui en a gardé un bon souvenir : une bonne paralysie 

       : toi, c’est plutôt ton cerveau qui est paralysé, et cela se voit car tu répètes toujours les mêmes âneries.


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 16:49

      @leypanou
      si tu es un croyant vert, c’est ton problème.


    • Xenozoid 2 avril 2019 16:56

      @foufouille

      l’espérance de vie ne veux pas dire que les gens ne vivent pas vieux, c’est une statistique,si sur 10 gamins,5 meurt a 10 ans et 5 a 100 ans ne fait pas qu’ils meurent tous 55 ans,mais ça tu comprends j’espere


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 17:03

      @Xenozoid
      et tes gamins sont morts par magie et pas de maladies.


    • cevennevive cevennevive 2 avril 2019 17:28

      @foufouille,

      « ton malien ne sait pas quand il est né mais sait pour ses anciens car c’est un mytho comme pour les hunzas. »


      Je ne laisserai pas dire une telle énorme bêtise...
      « Mon » Malien fut scarifié sur les joues par sa mère lors de sa naissance, comme tous les gens de son village, mais il ne savait pas traduire la date de sa naissance selon notre calendrier. Donc, il savait l’âge de ses ancêtres.
      Pour toi, les « sauvages » sont donc des gens qui vivent loin des Lidl ou des Carouf et qui sont complètement ignares et mytho ?
      Non foufouille, arrête tes conneries, réfléchis avant d’écrire. Tu n’es pas si bête que cela tout de même !
      Le monde est si vaste et les terriens sont si différents les uns des autres !


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 17:36

      @cevennevive
      évites donc d’écrire des conneries, avec les baptêmes et enterrements on sait très bien que la plupart des gens vivaient moins vieux en moyenne avec des exceptions qui auraient vécu 120 ans actuellement.
      les sauvages hunzas immortels est du pipeau.


    • Xenozoid 2 avril 2019 18:17

      @foufouille

      et tes gamins sont morts par magie et pas de maladies.

      mais cela ne change pas le fait qu’il peuvent devenire vieux, tu oublies les bombes sur la gueules,et tellement de facteurs, mais bon tu t’en fous,je te laisse a ton monde


    • Xenozoid 2 avril 2019 18:23

      @foufouille

      imagine un monde sans enfants mais tous vivant 100 ans,ont il tous cent ans ?


    • foufouille foufouille 2 avril 2019 18:36

      @Xenozoid
      ils n’ont pas d’enfants et sont tous immortels comme toi. jamais malade.


    • spearit 2 avril 2019 20:50

      @cevennevive
      Foufouille l’andouille est juste jaloux de 99,999% de la population qui n’en pas chier comme lui, c’est aussi simple que ça, de la rancoeur pur jus bien épaisse et noire


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 04:05

      @spearit
      encore plus débile que les autres. des centaines de milliers de personnes pas visible. un million qui reçoit l’AAH, etc ..........


    • chantecler chantecler 2 avril 2019 17:00

      @doctorix
      Tiens à côté de chez moi , une catastrophe : 40 veaux vaccinés , tous décédés.


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 17:17

      @chantecler
      J’aimerais avoir un lien sur ce dossier des veaux vaccinés et morts.
      Apparemment, il y a un black-out sur cette info.
      Merci.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 11:18

      @foufouille
      Toujours pas vu ce film ?
      https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8
      Il y a maintenant des centaines de chercheurs qui commencent à gueuler très fort.
      La vérité sur l’autisme est très proche de vous péter à la figure.
      Je crois que quand elle sortira, tous les labos vaccinaux vont s’effondrer sous les dommages et intérêts.
      Et de nombreux états, co-responsables par leurs directives et leurs propos aussi rassurants que mensongers, se retrouveront tous nus. Il leur restera à soigner toutes ces victimes dont ils sont les bourreaux.
      Madame Buzyn sera un jour autant appréciée par l’Histoire que Hitler ou Mussolini.
      Et vous, mon pauvre Foufouille, vous aurez l’air d’un con.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 11:58

      @doctorix
      encore youtube qui est une preuve scientifique .......


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 14:01

      @foufouille
      Cette vidéo donne des faits précis, notamment que la dose vaccinale d’aluminium qu’on accepte chez le nourrisson avec la vaccin est 300 fois celle préconisée au maximum chez l’adulte.
      C’est une mutilation volontaire à l’encontre du bébé.
      Un crime, contre un enfant sans défense.
      Celui dont j’ai précisément bien plus à coeur les intérêts que vous.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 14:36

      @doctorix
      une vidéo est juste une vidéo comme tes études bidonnées.


    • Gérard 4 avril 2019 10:19

      @doctorix

      La vérité sur l’autisme est très proche de vous péter à la figure.

      Non pas du tout.
      C’est tout le contraire : la science accumule une quantité considérable et très impressionnante de preuves qui montre que vaccins et autisme ne sont pas du tout liés.


  • Esprit Critique 2 avril 2019 17:23

    Je dirais même mieux :

    « Donner une sucette à un enfant, ce n’est pas comme lui donner un vaccin »

    Surtout le parfum Placé-bobo.


  • tashrin 2 avril 2019 17:24

    Ce qui est très drole avec les anti vaccins, c’est que leur raisonnement ne tient que grace à une chose : au fait que les autres se font vacciner...

    tout est question d’un rapport cout / benefice

    Ne pas vacciner son gamin dans un environnement où 90 % des gens le sont, c’est pas dangereux pr le mioche. Mais il compte du coup sur la bonne conscience des autres pour se préserver... Sympa...

    Si tout le monde applique le meme raisonnement, le taux de couverture decroit. Le risque d’être malade devient donc plus important que celui lié au vaccin. Et rationnellement, on prefere eviter une rougeole qu’on a 70 % de contracter plutot qu’une hypothetique maladie qui va potentiellement se declencher à hauteur 1/ xxxx des années après.

    Cf la rougeole dernièrement...

    Bref, encore un super argumentaire à la con basé sur le bon vouloir d’autrui à prendre des responsabilités que vous refuser d’assumer

    Bravo


    • GerFran 2 avril 2019 17:39

      @tashrin

      During the measles outbreak in California in 2015, a large number of suspected cases occurred in recent vaccinees (3). Of the 194 measles virus sequences obtained in the United States in 2015, 73 were identified as vaccine sequences.

      https://jcm.asm.org/content/55/3/735

      https://jcm.asm.org/content/jcm/55/3/735.full.pdf

      Journal of Clinical Microbiology. February 22, 2017.


       


    • GerFran 2 avril 2019 17:43

      @tashrin

      Épidémies d’oreillons aux États-Unis chez des populations correctement vaccinées.

      https://actualite.housseniawriting.com/sante/vaccination/2018/03/22/recrudes cence-des-oreillons-aux-etats-unis-a-cause-de-la-reduction-de-limmunite-vaccinale/26215/

      March 21, 2018 - Source : Harvard T.H. Chan School of Public Health

      Les récentes épidémies d’oreillons aux États-Unis chez des populations pourtant vaccinées suggèrent une perte de l’immunité vaccinale après 27 ans. Cela peut mener à des recommandations pour des vaccinations de rappel ou une nouvelle vaccination à 18 ans pour maintenir la protection.


      Mumps resurgence likely due to waning vaccine-derived immunity.

      https://www.sciencedaily.com/releases/2018/03/180321141401.htm

      March 21, 2018


    • cevennevive cevennevive 2 avril 2019 18:19

      @GerFran, bonjour,

      Comme quoi, il vaut mieux avoir les oreillons enfant. Nous les avons tous eus en classe de primaire, et mes trois filles aussi. Les oreillons sont dangereux pour les hommes, et beaucoup moins pour les petits garçons.


    • doctorix, complotiste doctorix 2 avril 2019 20:44

      @tashrin
      Mauvaise idée que de prendre la rougeole comme exemple.
      Une maladie parfaitement bénigne, qui tue péniblement une personne par an, quand la grippe en a tué 7000 (et 13000 l’année précédente (vaccin ou pas).
      C’est pour ça qu’il faut vacciner 650,000 enfants par an, avec la cascade d’effets secondaires liés à ce nombre ? Ne voyez-vous pas le ridicule du projet, sauf si vous êtes actionnaire chez Merck ou lobbyiste au Ministère de la santé ?
      Ce n’est pas parce que Buzyn et Touraine ont réussi à la diaboliser qu’elle est devenue dangereuse.
      C’est une maladie qu’il faut affronter, afin d’être immunisé à vie.


    • tashrin 3 avril 2019 09:21

      @doctorix
      Perso je l’ai eue, m’en fous
      Peut etre que l’exemple était mal choisi, mais il n’en est pas moins grave que d’encourager des comportements completement irresponsables dont vous n’aurez pas à affronter les consequences
      Et vous ne repondez pas sur le fond : votre raisonnement n’est possible QUE parce que d’autres ne le suivent pas
      Facile..


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 11:04
      @tashrin
      Non. Comme je l’ai dit plus haut, nos enfants actuels sont les descendants des survivants de la rougeole, naturellement sélectionnés .
      Ils sont forts et aptes à se défendre.
      Le mieux, pour ne pas propager le virus, c’est de l’avoir vaincu soi-même.
      Parce que si on l’a combattu ou évité par le vaccin, qui perd son efficacité avec le temps, on redevient porteur possible.
      Seule la maladie protège définitivement. Et donc seuls ceux qui l’ont vaincue sont assurés de ne plus jamais être porteur.
      D’ailleurs, si vous étudiez la littérature, vous verrez que les vaccinés propagent le virus, et que bien des épidémies sont dues au virus vaccinal, parfaitement identifié.
      Lisez attentivement cet article, et vous comprendrez beaucoup de choses. C’est vrai qu’il vient d’IC, et que je ne l’ai pas trouvé dans le Figaro. Mais lisez quand même :

    • tashrin 3 avril 2019 11:52

      @doctorix
      Je vais le lire, merci du lien
      toutefois, je maintiens que vous déviez le sujet : votre argumentation ne tient que si les autres sont majoritairement vaccinés. Ce qui revient à se protéger en comptant sur le fait que les autres vont se « sacrifier ».


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 14:13

      @tashrin
      Mais pas du tout, vous lisez mal
      Un vacciné est un propagateur de rougeole en puissance.
      D’abord dans l’immédiat, quand il est porteur du virus vaccinal qui est en soi porteur de maladie.
      Et plus tard, quand, ayant perdu son immunité artificielle et délétère, il est susceptible d’attraper à nouveau la maladie et de la répandre.
      Un malade guéri sort de ce cadre.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 14:31

      @doctorix
      c’est juste l’inverse car sinon on aurait un paquet d’épidémies ....


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 21:39

      @foufouille
      Mais ON A un paquet d’épidémies !!!
      700 épidémies de rougeole eb Chine dans une population vaccinée à 99%, juste entre 2009 et 2012...
      http://initiativecitoyenne.be/article-pourquoi-la-chine-connait-elle-des-epidemies-de-rougeole-alors-que-sa-population-est-vaccinee-a-99-124662626.html


    • foufouille foufouille 4 avril 2019 07:58

      @doctorix
      une épidémie, c’est quand beaucoup de monde est malade. là, ce sont juste des non vaccinés 58000 sur 1000 000 000 .......
      https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-rougeole-chine-100-millions-vaccinations-9-jours-25152/


    • Gérard 4 avril 2019 08:52

      @doctorix

      La Chine compte grosso modo 1 milliard d’habitant.

      Une étude montrait que la Chine compte 95% de vaccinés (et non 99%) ...
      Mais admettons que ce soit effectivement 99% ...

      1 milliard * 1% = 10 millions de non-vaccinés ... C’est énorme !

      Sachant que ces non-vaccinés sont souvent regroupés dans des régions ou des villages ... voilà pourquoi il y a des épidémies en Chine.


  • GerFran 2 avril 2019 17:50

    Dangers de l’Aluminium des Vaccins : L’ALU TOTAL ! --- [ENGLISH SUBTITLES]

    https://www.youtube.com/watch?v=tGdkUB8HTM8

    BROCHURE À DONNER À TON PEDIATRE :

    https://www.docdroid.net/FPcrcC4/danger-des-adjuvants-daluminium.pdf


    • Deepnofin Deepnofin 3 avril 2019 00:22

      @finael Que des sources très sérieuses et non-partisanes, merci pour votre contribution !

      @Doctorix : Bonjour à vous, j’espère que vous allez bien :) Merci pour votre travail ! Et bon courage à nous tous.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 00:50

      @Deepnofin
      Pleine forme, après extraction du myxome de mon oreillette droite et des calculs de ma vessie.
      Pour l’hosto, ça va : cette année, j’ai donné...
      Une experte de Goldmann Sachs a déclaré que « guérir les gens n’est pas un modèle économique soutenable »...
      Surtout s’il s’agit d’un antivax...


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 08:35

      @finael
      Dès le premier site, on voit la qualité de l’info : ça fait 5 ans que Wakefield et son collaborateur ont été réhabilités...


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 09:00

      @doctorix
      certainement dans une vidéo youtube .........


    • pierrot pierrot 3 avril 2019 09:34

      @finael
      Merci pour votre contribution à la nécessaire lutte contre l’obscurantisme des « anti vaccins ».


    • Deepnofin Deepnofin 3 avril 2019 13:51

      @pierrot Une question qui me taraude : pourquoi mettre Doctorix et ceux qui, comme lui, ne font qu’exposer des doutes (qui semblent totalement légitimes vu le Système dans lequel on vit), dans l’étiquette réductrice des « anti-vaccins » ?
      Où voyez-vous ces personnes dire qu’ils sont contre le principe de vaccination ?
      N’est-ce pas là une entrave à la compréhension ? Essayez-vous de comprendre, ou bien pensez-vous avoir déjà compris ?
      Si vous optez pour la 2ème réponse, ça me parait être là une approche réellement obscurantiste.

      @Doctorix : d’accord ! Je vous souhaite alors de ne plus avoir à vous faire hospitaliser, pour toute l’année et bien plus encore ;)


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 15:02

      @Deepnofin
      Le principe de la vaccination aurait pu être une bonne idée.
      Cette idée s’est heurtée aux faits, en partie à cause des nombreux ingrédients utilisés, les antigènes ne suffisant pas à provoquer une immunité, même provisoire : c’est pourquoi on les a multipliés, sans hésiter à utiliser des molécules aussi toxiques que l’aluminium dans un but d’économie mercantile, quand un autre stimulant un peu plus cher était aussi efficace.
      Ces pingreries ont tué la vaccination. Dont d’ailleurs l’efficacité n’a jamais été prouvée.
      En effet, on ne peut pas prouver qu’un humain est indemne d’une maladie l’est parce qu’il est vacciné, puisque tant d’autres qui ne sont pas malades non plus ne sont pas vaccinés.
      La clé de notre santé est et restera le bon état de notre système immunitaire naturel, si malmené par les vaccins.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 15:20

      @doctorix
      il suffit d’une analyse de sang pour prouver que tu as des antigènes « naturels » ou pas.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 16:28

      @foufouille
      Sauf que les anticorps sont une infime partie de la défense immunitaire mis en oeuvre après une agression virale naturelle.
      Une touche sur le clavier d’un piano.
      C’est juste un gadget spectaculaire, l’immunité cellulaire étant bien plus importante que l’immunité humorale.
      C’est pour quoi il faut revacciner, et revacciner encore, sans pour autant protéger.


    • foufouille foufouille 3 avril 2019 16:43

      @doctorix
      dommage pour toi que ce soit faux et complètement faux. j’ai eu la coqueluche mais je pourrais l’avoir une deuxième fois sans vaccin.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 21:23

      @foufouille

      « l’immunité induite par la maladie est de 12 à 15 ans, par conséquent elle n’est pas définitive, la coqueluche maladie n’immunise donc pas à vie. La durée de la protection vaccinale induite par le vaccin coquelucheux est de 8 à 10 ans. »

      Pas terrible...

      Il faudrait donc vacciner les adultes au moins sept ou huit fois au cours de leur vie pour être bien sur.

      Tout un programme réjouissant pour les labos.

      Mais comme ce n’est pas le cas, et que donc 80% au moins de la population n’est pas ou plus immunisée, on se demande par quel miracle on ne voit pas d’épidémies. Vous avez surement la réponse...

      Vous m’avez donné encore une fois une verge pour vous fouetter.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 21:28

      @foufouille
      Mais nous parlions de la rougeole, qui, elle, immunise à vie.


    • doctorix, complotiste doctorix 3 avril 2019 21:31

      Ce qui n’est pas le cas du vaccin...


    • foufouille foufouille 4 avril 2019 08:03

      @doctorix
      c’est le cas pour le vaccin.


    • Gérard 4 avril 2019 09:25

      @doctorix

      La rougeole attrapée « naturellement » immunise à vie. Mais c’est une fausse solution.

      1 rougeoleux sur 1000 meurt
      1 rougeoleux sur 10 a une complication
      1 rougeoleux sur 4 est hospitalisé

      C’est pour cela qu’il faut éviter d’attraper la rougeole « naturellement ».


    • doctorix, complotiste doctorix 5 avril 2019 11:20

      @Gérard

      1 rougeoleux sur 4 est hospitalisé
      Evidemment : les médecins voient si peu de rougeoles, on leur a expliqué que c’était tellement supergrave qu’ils paniquent, ouvrent le parapluie et hospitalisent. Avec 3000 rougeoles par an, un médecin verra UNE rougeole en 30 ans d’exercice...

      Quand à votre mort sur 1000, les deux tiers étaient immunodéficients, ce qui ne présageait pas d’un grand avenir.
      Reste 1 sur 3000.
      3000 sur 67 millions. Une chance sur 22.333 de l’attraper.
      Donc un mort pour 67 millions.
      Contre 13.000 morts de la grippe.
      Vous maniez les peurs et vous vous foutez du monde, comme Mme Buzyn.


    • Gérard 5 avril 2019 13:50

      @doctorix

      Avec 3000 rougeoles par an, un médecin verra UNE rougeole en 30 ans d’exercice...

      Les cas de rougeole sont souvent concentrés en une région. Donc, il se peut qu’un médecin qui exerce dans l’une des régions critiques rencontre beaucoup de cas. Un médecin exerçant dans une région peu concernée n’en rencontrera pas.

      Quand à votre mort sur 1000, les deux tiers étaient immunodéficients, ce qui ne présageait pas d’un grand avenir.

      Un immunodéficient qui est correctement soigné peut vivre aussi longtemps qu’une personne « normale ».
      Vous parlez comme si il est normale que ces personnes se chppent un virus et en meurent. Votre discours est ignoble.

      3000 sur 67 millions. Une chance sur 22.333 de l’attraper.

      Mauvais calcul. Pour faire une comparaison qui tienne la route, comparez le nombre de cas aux nombres de personnes non vaccinées ou vaccinées insuffisamment.

      Vous maniez les peurs

      C’est pas vous qui appelez les vaccinateurs des assassins génocidaires ? Difficile d’utiliser un terme plus anxiogène.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 avril 2019 10:33

      @Gérard
      il se peut qu’un médecin qui exerce dans l’une des régions critiques rencontre beaucoup de cas.
      S’il en voit dix, alors lui et 9 de ses confrères n’en verront plus avant 300 ans.
      Et s’il en voit cent, ce sera dans 3000 ans.
      C’est ça, les statistiques.
      Pour moi, il est heureux qu’on observe encore des cas de rougeole, bien trop peu à mon goût : car seules ceux qui auront rencontré ce virus seront immunisés réellement.
      Les autres l’attraperont à l’âge adulte un jour ou l’autre, avec des conséquences bien plus graves. Et les mamans ne pourront plus jamais transmettre à leur nourrisson les moyens de se défendre.


    • Gérard 6 avril 2019 10:39

      @doctorix

      C’est ça, les statistiques.

      Oui, ce sont des « statistiques » au doigt mouillé quoi.

      Après avoir fait un affront aux chimistes (L’aluminium est un métal lourd, mais léger [voir plus bas dans la discussion]), vous faites un affront aux statisticiens.

      C’est cool, je m’amuse bien avec vous. 


    • foufouille foufouille 6 avril 2019 11:14

      @doctorix
      dans ce cas, on se demande pourquoi personne n’a remarqué ta sélection « génétique » vu que les épidémies auraient tuées les faibles.
      seul les forts auraient survécu et donc beaucoup de maladies n’existeraient plus comme la peste, etc.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 avril 2019 15:19

      Dans ce document,
      http://opac.invs.sante.fr/doc_num.php?explnum_id=7715
      il est dit :
       le début des activités sérieuses de vaccination commence en 1983 (figure 3).

      La figure 5 nous montre que les décès par rougeole passent de 650 en 1950 à 50-60 en 1970 et 50 en 1983.
      Quel est alors le rôle du vaccin ? La mouche du coche ?

      Il est dit aussi
      Les décès par rougeole sont collectés par l’INSERM (figures 4 et 5). Leur nombre a diminué bien avant l’introduction des vaccins, en raison d’une meilleure prise en charge des cas.
      Ce qui est une interprétation, puisqu’il n’y a pas de traitement spécifique. On peut aussi estimer, comme moi, que c’est parce que la maladie devenait de moins en moins dangereuse ou les patients de mieux en mieux armés.
      Toujours est-il que ça s’est passé  bien avant l’introduction des vaccins.


    • foufouille foufouille 6 avril 2019 15:40

      @doctorix
      « Il n’y avait pas de définition de cas. Le nombre de déclarations a régulièrement diminué, entre 1946 et 1965, avant même
      que ne soit introduite la moindre vaccination (figure 1). Ceci a d’ailleurs servi d’argument aux ligues antivaccinales pour
      affirmer (!) que la rougeole diminuait spontanément, sans vaccination. En réalité, la maladie était très fréquente, et les
      déclarations n’étaient pas faites. Par exemple, 13.255 cas étaient déclarés en 1960, 9.103 en 1965 et 1.747 en 1975
      (figure 2). La déclaration a continué de se détériorer au point qu’en 1980 seulement 1.244 cas étaient déclarés alors que
      lors de l’Enquête Santé 1980, on a estimé l’incidence à 484.000 cas. Cette situation est apparue suffisamment ridicule aux
      autorités de santé pour qu’en 1986, lors de la révision de la liste des maladies à déclaration obligatoire, la rougeole ait été
      exclue de cette liste.
      Il faut reconnaître que l’inclusion de la rougeole dans la liste des maladies obligatoires alors qu’aucune activité de
      prévention n’était menée était discutable. L’incidence de la maladie était très élevée. Les médecins n’étaient guère
      motivés, la déclaration d’un cas demandant du temps et entraînant le plus souvent une requête de renseignements
      complémentaires souvent mal vécue.
      Un système privé d’estimation du nombre de cas est mis en place depuis 1974 et relève les diagnostics portés par un
      échantillon de médecins privés, généralistes et pédiatres, ainsi que leurs prescriptions. L’ordre de grandeur des
      estimations parait plus raisonnable que celui des déclarations obligatoires, de l’ordre de 400.000 cas jusqu’en 1984, alors
      que le début des activités sérieuses de vaccination commence en 1983 (figure 3). Il reste cependant largement inférieur à
      l’effectif d’une cohorte annuelle de naissances de l’ordre de 750.000, qui, en l’absence de vaccination, devrait
      correspondre au nombre moyen de cas de rougeole annuels.
      Il faut cependant reconnaître qu’on n’a pas d’information sur le pourcentage de rougeole qui n’ont pas recours à des soins
      pendant la maladie, et qui échappent donc à toute surveillance. »
       smiley


    • foufouille foufouille 6 avril 2019 15:46

      @doctorix
      on peut aussi voir que le nombre de décès est en chute libre après la vaccination.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 avril 2019 20:01

      @foufouille
      Mais on s’en fout du nombre de cas : ce qui compte c’est la mortalité.
      C’est elle qui avait chuté de plus de 90% dix ans avant la généralisation du vaccin.
      Si vous aviez un enfant (ce qu’à Dieu ne plaise, pauvre gamin !) qu’est-ce qui vous importerait ?
      Qu’il ne soit pas malade ou qu’il ne meure pas ??
      Je n’ai jamais dit que le vaccin n’évitait pas les rougeoles, mais qu’il n’avait pas une action durable, et qu’il déplaçait la maladie dans le temps, ce qui est dangereux.
      Que de plus, il empêchait les enfants d’acquérir une immunité définitive.
      Ce que j’ai dit aussi, c’est qu’il ne changeait rien à la mortalité en France, qui s’est passée de lui pour disparaitre.


    • Gérard 6 avril 2019 20:09

      @doctorix

      Mais on s’en fout du nombre de cas : ce qui compte c’est la mortalité.

      Merci pour ceux qui vont ou ont contracté une PESS.
      Ethique antivax dans toute sa splendeur.


    • doctorix, complotiste doctorix 6 avril 2019 21:27

      @Gérard
      Et ceux qui ont récolté une PESS après vaccin en dehors de toute fatalité et qui étaient en parfaite santé avant, ils rentrent dans votre éthique à la con ?
      Une chose est de subir un aléa pénible mais naturel ; une autre est de souffrir toute une vie à cause d’arrogants ignorants qui vous ont imposé leur choix au nom d’un dogme absurde (et surtout d’intérêts sordides).


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