mardi 2 avril 2019 - par doctorix, complotiste

Donner un vaccin à un enfant, ce n’est pas comme lui donner une sucette

C'est pourtant ce que sous-entend notre Ministre de la santé Agnes Buzyn, quand elle impose 11 vaccins obligatoires, et quand elle autorise pharmaciens et infirmières à vacciner, sans même l'avis d'un médecin.

A la lecture de ce qui suit, même un médecin devrait frémir à la pensée de ce qui risque de lui arriver s'il ne prend pas un maximum de précautions. A fortiori un non-médecin.

Parce que Mme Buzyn impose un acte médical d'une grande gravité, pour un intérêt tout à fait modeste en l'absence du moindre risque épidémique, et pour une efficacité tout à fait discutable, tout en se lavant les mains en cas de conséquence funeste.

Il faut savoir que les seuls effets secondaires reconnus des vaccins se limitent à ceux survenant dans les quelques jours qui suivant l'acte vaccinal. Les problèmes plus tardifs, et qui sont souvent les plus graves car ils traduisent souvent une atteinte du système immunitaire irréversible qui peut être gravissime (bien que tout soit fait pour que ce soit nié) sont complètement négligés tant par les autorités sanitaires que par les laboratoires (qui sont de fait chargés de leur étude, sans vrai contrôle indépendant). En dehors de la douleur et de la rougeur au point d'injection, on vous affirme que ce n'est pas plus toxique qu'une sucette.

Mais tous ceux qui ont étudié sérieusement les vaccins savent que c'est faux, et que des maladies invalidantes peuvent survenir non seulement immédiatement ou dans les 24 heures, mais aussi des mois ou des années après une ou plusieurs injections. C'est ce délai qui permet aux laboratoires de se laver les mains très souvent (bien qu'aux USA, les indemnités accordées aux victimes se montent maintenant en milliards de dollars). 

Aussi, j'avertis non seulement mes confrères, mais les nouveaux admis à pratiquer l'acte vaccinal, que tout se passera bien tant qu'il n'y aura pas d'accident. Mais en cas de pépin, soyez assuré que l'administration de Mme Buzyn leur tombera dessus, oubliant son énorme responsabilité.

En attendant, qu'ils prennent connaissance des précautions à prendre avant de vacciner, et qu'ils comprennent qu'un vaccin ne se fait pas à la va-vite, mais demande plusieurs dizaines de minutes d'examen et d'interrogatoire, dont ils trouveront les détails dans cet article publié par l'AIMSIB.

A cette lecture, je crois qu'il faut être fou pour accepter de vacciner dans ces conditions. Je relaie cet article afin que mes confrères (et les para-médicaux autorisés maintenant à vacciner), prennent enfin conscience que l'acte vaccinal, qui consiste à interférer avec (et à agresser gravement) le système immunitaire d'un enfant, lequel a fait la preuve de son efficacité au cours des millénaires, n'est pas cet acte anodin qu'on leur a décrit. Et qu'ils se demandent enfin si l'enjeu en vaut la chandelle. Je le relaie quelques semaines avant sa version définitive en en raison de son caractère d'urgence à mes yeux.

Les six précautions préconisées par l’AIMSIB pour la vaccination des nourrissons (Mars 2019)

par La rédaction de l'AIMSIB | 31 Mar 2019 | 4 commentaires

En préparation de la réunion de travail de l’AIMSIB du 8 Juin 2019 à Paris (voir en fin d’article) le Comité Médical vous propose de travailler sur ce texte, de le critiquer, de l’améliorer, puis de l’amender en vue d’une édition définitive à l’issue de nos travaux. Si l’intérêt scientifique et médical des obligations vaccinales ne nous semble pas établi, comment au moins en atténuer certains effets secondaires dévastateurs ? Bonne lecture, à vos commentaires.

 

Il est aujourd’hui difficile pour une famille, et pour un médecin dont la responsabilité juridique est engagée en cas de complication postvaccinale, de vacciner de façon systématique des bébés de deux mois avec des seringues contenant des vaccins hexavalents ; et encore plus si un autre vaccin est injecté lors de la même séance.

Quelles précautions les familles et leurs médecins devraient prendre au moment de vacciner et au décours des injections uniques ou multiples ?

Les précautions qui suivent, préconisées par l’AIMSIB, ne visent pas à encourager ou décourager les familles et leurs médecins concernant les vaccins, obligatoires ou pas. Ce sont des informations potentiellement utiles. Chacun peut les utiliser à sa manière ou les négliger. Elles ne visent pas non plus à créer de conflits entre les familles et leurs médecins. Mais il est crucial dans l’intérêt de tous (familles et médecins), de se prémunir, c’est-à-dire d’anticiper la survenue possible de complications postvaccinales.

Anticiper signifie qu’on est informé de l’existence de ces complications. C’est la 1ère et impérative précaution du médecin avant de vacciner un nourrisson : il doit informer les familles que des complications sont possibles. Il doit procéder de façon intelligible et objective ; il doit notamment préciser que la fréquence et la sévérité des complications ne sont pas clairement connues car mal étudiées. S’il ne procédait pas ainsi et si une complication survenait, il serait difficilement défendable devant un tribunal.

La liste de précautions minimales qui suit n’est pas exhaustive et chaque médecin ou chaque famille devrait y ajouter sa pierre.

1ère précaution, mode d’injection :

Le professionnel de santé qui vaccine doit respecter scrupuleusement les consignes d’injection des vaccins. Elle doit être lente (quel que soit l’agitation du bébé et l’anxiété des parents) et strictement intramusculaire. Le professionnel doit donc vérifier, avant de commencer à injecter et au moins une fois au cours de l’injection, si l’aiguille n’est pas dans une veinule du muscle. Pour ce faire, il doit aspirer (donc stopper l’injection si elle a débuté) afin d’être certain que du sang (la moindre goutte) ne revient pas dans la seringue.

En effet, l’injection directement dans un vaisseau sanguin du contenu de la seringue peut être à l’origine de complications immédiates ou différées selon les industriels eux-mêmes.

En cas d’incident (par exemple dû à l’agitation du bébé) ou de manquement à ces principes, le professionnel doit l’inscrire sur le carnet de vaccination avec date, heure et tampon. Les circonstances de l’incident doivent être décrites. Si le professionnel s’y refusait pour une raison quelconque, la famille doit procéder elle-même avec les détails nécessaires et indiquer que le professionnel s’y est refusé. Il faudra faire copie du rapport de l’incident et l’envoyer à l’Agence Régionale de Santé (ARS) sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction.

2ème précaution, surveillance post vaccinale :

A la suite de l’injection, les parents doivent suivre de façon minutieuse les réactions du bébé. Il faut, heure par heure, noter tout ce qui peut paraître nouveau ou anormal par rapport à la situation antérieure : en particulier, de l’agitation, des pleurs inconsolables, de l’insomnie, ou une perte d’appétit, tout doit être noté sur le carnet de vaccination de façon chronologique car ce sont des signes de neurotoxicité.

Il serait préférable que ces signes soient constatés par le professionnel qui a vacciné, et ce constat doit être daté et signé sur le carnet de vaccination. Outre les réactions locales, la fièvre et des signes cutanés ou lymphatiques (apparition de ganglions), toute autre manifestation, notamment gastro-intestinale, par exemple, doit être notée et suivie.

Si le professionnel se refusait pour une raison quelconque à valider les observations de la famille, celle-ci doit procéder elle-même avec les détails nécessaires et indiquer que le professionnel s’est refusé à valider leurs observations. Il faudra copier le rapport des signes anormaux inscrits sur le carnet de vaccination (ou sur un dossier partagé par des témoins) et l’envoyer à l’ARS sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction.

Evidemment toute manifestation aigüe et/ou sévère doit faire l’objet d’une visite aux Urgences ou d’un appel aux services d’urgence mobiles compétents. A nouveau, tout doit être scrupuleusement noté par la famille et validé par les professionnels de santé qui interviennent à domicile ou aux Urgences. Le rapport d’hospitalisation, des urgences ou de la visite à domicile, daté et signé par le médecin, doit être obtenu sur place, copié et adressé à l’ARS. Ce doit être une lettre recommandée avec accusé de réception. En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction que personne ne pourra contester.

Il ne s’agit pas, évidemment, de faire du tort ou des ennuis au professionnel de santé impliqué mais de se préparer à des suites, notamment juridiques, au cas où l’état de santé du bébé se trouverait altéré dans les jours, semaines ou mois qui suivraient la vaccination. Toute discordance entre les rapports (datés et signés) des professionnels et les observations de la famille doivent être notées sur le carnet de vaccination (ou sur un dossier cosigné par des témoins) et copie doit être envoyée à l’ARS sous forme de lettre recommandée avec accusé de réception.

Pourquoi ces précautions s’avèrent aujourd’hui indispensables pour les familles comme pour les médecins ?

Parce que l’OMS a modifié la façon dont les effets adverses des vaccins devaient être classifiés. En simplifiant, pour attribuer un effet adverse à un vaccin – c’est-à-dire, affirmer une relation de causalité : « le vaccin est la cause probable de cet effet adverse » – l’OMS a décidé d’adopter de nouveaux critères.

Les critères de causalité habituellement utilisés – critères dits de Brighton – par les scientifiques et les juristes ont été modifiés. En conséquence, les familles et leurs médecins doivent désormais redoubler de précautions quand ils décident conjointement de vacciner un bébé. En bref, si un effet adverse ne répond pas à la définition donnée désormais par l’OMS – définition élaborée en collaboration avec des employés de l’industrie des vaccins – il doit être rejeté et ne doit pas être rapporté comme susceptible d’avoir été provoqué par le vaccin.

Cette façon de procéder revient à exonérer les vaccins d’une multitude d’effets adverses notamment ceux survenant à distance de l’injection supposée responsable ; à moins de montrer continuité et contiguïté entre le moment de l’injection du vaccin et la survenue de l’effet adverse.

Dit autrement, pour qu’un effet adverse soit reconnu selon les nouveaux critères de l’OMS, il faut pouvoir démontrer que des premiers signes avertisseurs ont été enregistrés au moment ou à proximité du jour et de l’heure de l’injection. C’est la notion fondamentale de contiguïté. D’où l’importance pour les familles et leurs médecins d’enregistrer, de façon visible (officielle), tout signe avant-coureur d’une future complication.

En cas de complications ultérieures, ce sera une pièce à conviction que personne ne pourra contester. L’exemple de la SEP survenant au décours du vaccin contre l’hépatite est révélateur. Il faut qu’une manifestation de neurotoxicité immédiate (aussi minime soit-elle) ait été enregistrée au moment ou dans les suites immédiates de l’injection pour espérer faire reconnaître une SEP postvaccinale diagnostiquée parfois plusieurs années plus tard par des neurologues consciencieux.

3ème précaution, non utilisation des anti-pyrétiques :

il ne faut jamais prescrire (ou donner) systématiquement des médicaments antalgiques (contre la douleur) ou contre la fièvre au décours immédiat d’une vaccination, type paracétamol et ibuprofène. Le paracétamol peut être toxique par lui-même chez les bébés. Mais c’est pour une autre raison qu’il est préférable de s’abstenir : ces médicaments peuvent masquer les effets adverses du (ou des) vaccin(s).

Au contraire, il faut identifier et noter chronologiquement toute anomalie [tout symptôme qui était absent avant l’injection vaccinale] qui peut advenir car, en cas de complication ultérieure, il faudra pouvoir montrer qu’un effet adverse a été noté très initialement. Aussi minime soit-il, ce symptôme peut être annonciateur et être considéré comme une 1ère alerte qui donnera du sens à des symptômes ultérieurs. La prise en compte immédiate de ce symptôme montrera que la famille, et surtout le médecin, n’ont pas été négligents. Il faudra par exemple mesurer régulièrement la température du bébé (éventuellement construire une courbe) car toute fièvre est symptôme d’une réaction immunitaire systémique. Si elle est anormalement prolongée ou trop élevée (en l’absence de médicament), elle constitue un effet adverse dysimmunitaire hautement significatif pour interpréter tout effet adverse ultérieur plus sévère.

4ème précaution, préparation à la vaccination suivante :

Bien sûr, il faut tout faire pour protéger le bébé. Mais, face aux obligations légales de vacciner, il faut aussi se préparer à assumer les ennuis inéluctables provoqués par une vaccination de masse. Pour beaucoup, tout ira bien au moins en apparence, mais pour certains vaccinés, des ennuis pourraient survenir. Si on oblige un professionnel de santé à vacciner un bébé, tout en lui affirmant qu’il n’y a pas de contre-indication à ce vaccin, on peut difficilement lui reprocher la survenue d’un effet adverse ou l’en rendre responsable légalement. Mais ce professionnel doit être prudent et s’entourer d’un maximum de précautions. Au moment de vacciner un bébé pour la 1ère fois (à l’âge de 2 mois en principe), il est généralement impossible d’avoir connaissance ou de suspecter une intolérance à une substance présente (y compris sous forme de traces) dans une seringue vaccinale.

Les choses sont différentes pour la seconde injection 2 mois plus tard. A ce stade, des familles pourraient se retourner contre ce professionnel si celui-ci n’a pas tenu compte, au moment d’administrer une seconde injection (ou un rappel), d’une alerte survenue après une 1ère injection ou une injection antérieure. Le professionnel doit être très attentif à tout évènement survenant au moment ou au décours de chaque injection.

Ici se pose un problème crucial : est-ce que tout professionnel de santé susceptible d’injecter un vaccin est apte et/ou habilité à identifier des effets adverses postvaccinaux ?

La réponse est évidemment négative : seuls les médecins devraient injecter des vaccins et suivre les bébés vaccinés au décours de l’injection car eux seuls ont en principe la formation professionnelle leur permettant d’identifier, et éventuellement quantifier, les effets adverses postvaccinaux.

5e précaution afférente aux seringues :

il est impératif de vérifier la date de péremption des seringues avant chaque injection.

Dans le même ordre d’idée, il faut aussi vérifier si le contenu de la seringue n’est pas douteux. Certaines seringues peuvent être « opaques », c’est en principe annoncé sur la notice si c’est normal ; avec avoir ou non secoué cette seringue. Dans leur grande majorité les seringues vaccinales doivent être claires. En cas d’opacité inattendue, il ne faut pas l’injecter car cela peut témoigner d’un défaut dans la fabrication ou le stockage avec possibilité d’inefficacité et de toxicité.

Un vaccin contenant de l’aluminium ne doit jamais avoir été conservé à une température négative donc toute seringue dont le contenu aura été un temps gelé doit être détruite avant usage.

A cet égard, une association (avec un laboratoire de biologie) italienne, le Corvelva[https://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccinegate-final-technical-report-molecular-profile-analysis-of-vaccines.html], a produit des analyses du contenu de seringues vaccinales commercialisées en Italie. N’ayant pas accès aux données brutes de ces analyses et aux méthodes chimiques – et biologiques pour identifier et quantifier les antigènes présents dans les seringues – le comité AIMSIB préfère être prudent en attendant des confirmations par d’autres laboratoires indépendants ; mais ce que le Corvelva a publié en janvier 2019 (ci-dessous) est très inquiétant. Leurs premières analyses concernaient entre autres vaccins l’Infanrix hexa, un vaccin hexavalent administré aux bébés dès l’âge de 2 mois en France.

Les biologistes de Corvelva disent simplement qu’ils ont trouvé dans les seringues toutes sortes de substances qui n’auraient pas dû y être [ce sont des contaminations] et, inversement, que des substances (notamment des antigènes vaccinaux) qui auraient dû y être n’étaient pas retrouvées.

On peut éventuellement expliquer ce dernier point par un manque de sensibilité de la méthode utilisée mais cette même méthode s’est avérée efficace pour identifier les substances espérées dans une seringue vaccinale concurrente.

L’évidente leçon à retenir de ce 1er épisode de vérification indépendante (des industriels) des seringues vaccinales commercialisées est que tous les lots ne sont pas identiques et que la probabilité que certaines familles tombent malheureusement sur des lots contaminés et/ou vides d’antigènes n’est pas nulle avec les conséquences que cela implique.

6ème précaution, responsabilité partagée des familles et des médecins :

Sachant que les autorités sanitaires ne reconnaissent presque aucune contre-indication à la vaccination, comment les familles et leurs médecins confrontés à des effets adverses postvaccinaux chez un bébé (après une 1ère ou une 2ème injection) doivent-ils se comporter au moment de l’injection suivante ou d’un rappel ? Certaines familles peuvent accepter de négliger ces alertes. D’autres peuvent s’alarmer.

En fonction du niveau éducatif et culturel (notamment médicale et scientifique) et des expériences vécues par les familles, leurs positionnements peuvent beaucoup varier. La façon de procéder des médecins doit être adaptée à chaque famille.

Le médecin toutefois est supposé apporter une information scientifique et objective aux familles. C’est une exigence du code de santé publique. S’il apporte des informations scientifiques et indépendantes, il peut pousser les familles à refuser une nouvelle injection. S’il répète naïvement les informations que les autorités sanitaires répandent – c’est-à-dire qu’il n’y a pas de contre-indication aux vaccinations, y compris après la survenue d’effets adverses au décours d’une injection précédente – il se met dans une position délicate et paradoxale : il ne respecte plus le code de santé publique tout en répondant aux exigences des autorités sanitaires. Comment faire ?

On comprend maintenant pourquoi il est si important, pour la famille comme pour le médecin, d’avoir documenté tous les effets adverses survenus après une ou plusieurs injections, et de ne pas les avoir masqués avec du paracétamol ou de l’ibuprofène. Ces documents serviront de pièces à conviction face à des autorités sanitaires sourdes et aveugles.

Les avis et les choix des familles doivent évidemment être prépondérants car en cas de complication postvaccinale sévère, elles seront seules à en assumer les conséquences.

Les médecins doivent aider les familles plutôt que rejeter leurs inquiétudes comme étant infondées. Respectueux du Principe de précaution et fidèles au serment d’Hippocrate, les médecins doivent donc en principe soutenir les familles dans toutes leurs démarches.

Si une famille s’inquiète des conséquences d’une nouvelle injection après avoir constaté des effets indésirables postvaccinaux, le médecin doit rédiger un certificat de contre-indication motivé et documenté, avec comme argument additionnel majeur que les parents redoutent de nouvelles complications postvaccinales.

Si ce certificat est rejeté par une municipalité, une administration scolaire ou le Rectorat et que les familles décident de résister aux injonctions (des employés des crèches par exemple), elles doivent, avec le soutien de leurs médecins, s’adresser directement aux Agences Régionale de Santé afin d’obtenir la validation du certificat de contre-indication. Cette demande doit être documentée [ce qui souligne à nouveau l’importance d’avoir documenté tous les signes anormaux qui ont suivi la ou les injection(s) précédente(s)] et adressée [lettre recommandée avec accusé de réception] directement et nominalement au Directeur de l’ARS. Il est impératif de mentionner explicitement qu’en cas de refus de validation du certificat de contre-indication et la survenue d’une complication postvaccinale, ce Directeur en serait tenu pour personnellement responsable. Mentionner également que l’absence de réponse explicite dans un délai raisonnable (par exemple, 4 semaines) aura valeur de validation du certificat de contre-indication et sera comme tel fourni en lieu et place du nouveau certificat de vaccination.

Les médecins n’ont rien à craindre de la rédaction d’un certificat de contre-indication (sinon qu’il soit rejeté) ; mais ils doivent pouvoir défendre leur point de vue [avoir lu les ouvrages décrivant la toxicité des vaccins] et pouvoir documenter les signes et alertes qui ont suivi les injections précédentes. L’AIMSIB recommande une lecture attentive des articles et des livres publiés par ses membres. Il est clair qu’il peut y avoir un décalage temporaire entre les alertes publiées par des scientifiques et leur prise en compte par les autorités sanitaires ou les municipalités (pour les crèches).

A titre d’exemple, on rappelle que les plus hautes autorités sanitaires américaines (le CDC) ont revu à la hausse la liste des contre-indications définitives à la vaccination par le ROR en écartant de la vaccination tous les enfants nés de parents atteints de maladies immunitaires ou qui en comptent dans leurs fratries. A ce jour (Mars 2019), les autorités françaises n’ont pas encore réagi.



665 réactions


    • foufouille foufouille 17 avril 2019 13:14

      @doctorix

      1. les premiers malades n’avaient aucun traitement et sont décédés « indirectement ».
      2. c’est pas une petite dose de bactéries qui va te déranger si tu as la coqueluche vu que tu en as déjà assez pour être malade 100 jours avec une toux très chiante.

    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 14:04

      @foufouille
      les premiers malades n’avaient aucun traitement et sont décédés « indirectement ».

      Les premiers malades se droguaient aux poppers pour mieux s’envoyer en l’air, et avaient foutu en l’air leur système immunitaire. Ils sont devenus très sensibles à des maladies rares (Kaposi, pneumocyste), mais un rhume les aurait tués de la même façon.
      Pour la coqueluche : eh bien si : ce bébé se débattait avec la coqueluche, et l’agression vaccinale l’a mis part terre un peu plus, avec des signes exacerbés. Trouverez-moi un médecin qui vaccinerait contre une infection en cours alors qu’il le sait, et je demande sa radiation.


    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 14:20

      @Gérard

      D’après vous, la vaccination est inefficace et vise à créer un espèce de génocide planétaire organisé.
      Ce n’est pas ce que je dis.
      Le génocide n’est pas nécessairement un but, juste un dégât collatéral dont les labos n’ont rien à foutre, du moment qu’ils peuvent encore vendre. Faudrait pas tuer trop de monde quand même, un mort n’est plus un client. Mais un faux malade, si.
      S’il n’y a pas de vaccin c’est parce que la maladie n’a pas encore disparu spontanément (enfin celle qu’on prétend détecter avec des tests bidons), et que ça serait trop visible qu’il ne fonctionne pas.
      En fait, il est bien difficile de lutter contre une maladie imaginaire, et le vaccin risque de ne pas apparaître de sitôt.
      Et je n’ai pas changé de sujet : je parle des vaccins, de tout les vaccins, dont pas un ne vaut mieux que l’autre.


    • Gérard 17 avril 2019 14:30

      @doctorix

      Génocide : Un génocide est un crime qui consiste en l’élimination physique intentionnelle, totale ou partielle

      [...]

      S’il n’y a pas de vaccin c’est parce que la maladie n’a pas encore disparu spontanément

      La maladie n’aurait jamais disparu « spontanément ». Des moyens de prévention ont permis de réduire l’incidence de la maladie, qui reste malgré tout gigantesque (37 millions de personnes vivent avec le VIH dans le monde en 2017).

      Et je n’ai pas changé de sujet : je parle des vaccins, de tout les vaccins, dont pas un ne vaut mieux que l’autre.


      OK, mais alors, pourquoi ignorez vous mes questions et créez de nouvelles affirmations ?
       


    • foufouille foufouille 17 avril 2019 14:50

      @doctorix
      les drogués n’ont pas tous le SIDA, c’est comme les diabétiques qui ne sont pas tous gros, le virus se transmet par le sang et les contacts sexuels. ceux qui ne se droguent pas ont donc un SIDA par magie.

      ben non, il est inactivé ou acellulaire donc elle ne peut se reproduire du tout, ta bactérie magique.


    • Anthel 17 avril 2019 15:02

      @Gérard

      Je me pose encore la question de l’utilité de vos interventions


    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 16:31

      @Gérard

      Ecoutez, si c’est pour lire de pareilles banalités, autant lire le Bottin mondain ou les notices des labos.

      Et si vous n’avez rien de mieux à dire, mieux vaudrait vous taire.

      Moi je préfère m’adresser aux mamans, avec un message très important.

      Avant de vous précipitez sur la seringue, prenez du temps pour étudier les vaccins. N’écoutez pas nécessairement votre médecin qui n’a probablement étudié les vaccins que deux heures en fac, et qui en saura moins que vous sur ce sujet si vous passez quelques dizaines d’heures à travailler la question.

      Ensuite, si malgré tout vous décidez de vacciner votre enfant (et on ne vous laisse guère de choix, par une scandaleuse coercition) rien ne vous oblige à le faire trop tôt : rien n’est obligatoire avant 18 mois, et votre enfant sera plus fort pour les supporter si vous patientez.

      S’il a de la fièvre, jusqu’à 39°C, surveillez la mais respectez-la. C’est ainsi que votre enfant se défend contre les virus que la chaleur empêche de se reproduire : pas d’antipyrétiques en dessous de 39, modérément au-dessus.

      Donnez-lui votre lait le plus longtemps possible. Votre lait s’adapte au fur et à mesure que l’enfant grandit, change sa composition en fonction des besoins de son âge (ce n’est pas mal fait du tout !). Deux ans n’a rien de ridicule, si vous pouvez le faire, et dites merde aux ignorants qui oseraient se moquer de vous.

      Plus tard, proscrivez toute forme de sucreries (et le fluor), vous ne verrez pas le dentiste et votre enfant se défendra mieux face aux agressions bactériennes et virales.

      Renoncez aux nourritures industrielles, aux plats préparés, au MacDo et à la malbouffe, sous peine d’abimer le système immunitaire de votre enfant.

      Pour les écrans, jamais plus d’une heure par jour : les jeux violents rendent votre enfant agressif et violent, nuisent à son sommeil et à son équilibre.

      Si vous suivez ces conseils, votre enfant sera plus fort, plus résistant, et son QI sera même meilleur.

      Votre enfant, dès sa naissance, est une cible rêvée pour toutes sortes d’industries mortifères : vaccinale, alimentaire, vidéo : à vous d’être pour lui un rempart.

      N’écoutez pas trop les Michel Cymes et autres escrocs télévisuels.

      Lisez plutôt pour 8 euros Françoise Berthoud, « La bonne santé des enfants non vaccinés »

      https://www.amazon.fr/bonne-sant%C3%A9-enfants-non-vaccin%C3%A9s/dp/2889113477

      Je vous souhaite bon courage, vous serez sans doute mal comprise : mais Bien Faire et Laisser Dire (ou braire) doit être votre devise.


    • foufouille foufouille 17 avril 2019 16:47

      @doctorix
      marrant car enfant tout le monde utilisait tes méthodes, sauf l’allaitement ( pourquoi pas jusqu’à 15 ans ), et beaucoup d’entre nous étaient malade.


    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 17:17

      @foufouille
      Les maladies infantiles sont nécessaires à la maturation du système immunitaire. C’est un apprentissage qui doit se faire par étapes (et non en une fois comme le proposent les vaccins Hexavalent + Prévenar pratiqués le même jour).
      L’enfant doit les subir à l’âge prévu (5-10 ans pour la rougeole, par exemple). Avant ou après, c’est plus risqué.
      Contrairement au vaccin la maladie protège le plus souvent à vie. Elle permet à la mère de transmettre plus et plus longtemps sa propre immunité à son enfant : pour la rougeole, la protection est d’1mois par la mère vaccinée, et de quatre mois par la mère qui a subi la maladie.
      Certaines de ces maladies le prémuniront plus tard contre d’autres maladies plus graves (la rubéole protégerait de l’arthrite plus tard, par exemple).
      Tant qu’on ne saura pas tout de la façon dont marche notre système immunitaire, il est plus qu’hasardeux de s’y immiscer. C’est jouer aux apprentis-sorcier, se prendre pour Dieu. Or tous les spécialistes vous diront qu’on n’en connait pas grand chose.
      C’est pourtant ce que fait la médecine qui se dit moderne (alors que le système vaccinal est anté-diluvien).
      Avec une parfaite inconscience.


    • Julyo Julyo 17 avril 2019 17:33

      C’est bien Gérard,
      "Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile sinon impossible d’atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Pour extirper la variole de ces pays avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie."
      vous cueillez de bonnes cerises, encore un effort pour en cueillir de bien meilleures encore qu’on peut trouver aisément dans le texte de l’Oms.


    • foufouille foufouille 17 avril 2019 17:42

      @doctorix
      marrant, j’ai lu le contraire pour la rougeole. vaccin ou pas la mère immunise le même temps le bébé et les mères non vax ont moins d’anticorps.


    • Gérard 17 avril 2019 19:11

      @Julyo

      […]il fallait absolument changer de stratégie."
      vous cueillez de bonnes cerises, encore un effort pour en cueillir de bien meilleures encore qu’on peut trouver aisément dans le texte de l’Oms.

      Le changement de stratégie a consisté en une surveillance active et à un endiguement des foyers épidémiques. Endiguement qui consistait en la quarantaine des malades et la vaccination systématique des entourages des malades.

      Je ne peux pas lire le rapport à votre place. Lisez-le. Je ne peux pas vous dire autre chose.


    • Gérard 17 avril 2019 19:15

      @doctorix

      Les « conseils » de Françoise Berthoud vont totalement à l’encontre des recommandations issues du consensus scientifique. Ces « conseils » sont assimilables à de la mise en danger d’autrui. 

      Le parent qui est soucieux de la santé de son enfant doit demander conseil à médecin.


    • Gérard 17 avril 2019 19:27

      @doctorix

      Ecoutez, si c’est pour lire de pareilles banalités, autant lire le Bottin mondain ou les notices des labos.

      37 millions de personnes vivants avec le VIH (dont 1,8 millions d’enfants) …
      940.000 décès par an …
      21,7 millions de personnes sous traitement …

      Sacrée banalité


    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 20:51

      @Gérard
      Oui, 500 morts d’immunodéficience en France en 2017.
      C’est 26 fois moins que la grippe, mais ça reste intéressant.
      Combien de drogués à mort la-dedans, on ne sait pas. C’est pourtant une cause importante.
      Combien de séropositifs parmi ces morts, on ne sait pas non plus.
      Maintenant le sida n’est pas la seule cause d’immunodéficience, mais on aime bien faire l’amalgame.
      On peut dire qu’environ une personne sur1400 qui meurt en France chaque année, meurt du Sida , ou de ce qu’on appelle Sida.
      Ca n’est pas très impressionnant. Même si on a très fort envie d’impressionner, ou d’être impressionné.
      Moins d’une personne sur 1000 passe au dépistage, et moins d’une sur 10,000 se révèle positive à cet innocent virus.. Pas de chance pour eux, ils vont subir le traitement miracle jusqu’à la fin de leur vie. Le descendant de l’AZT, poison violent qui tuait bien plus que le Sida. Sans doute voisin du Tamiflu, l’antiviral assassin de Donald Rumsfeld.
      Bref, la petite industrie du Sida se porte bien.
      C’est quand même formidable d’avoir trouvé cet innocent virus qu’on n’a jamais détecté chez aucun malade, de l’avoir accusé de tous les maux, et d’en avoir fait un best-seller. Je rappelle qu’on ne trouve pas non plus d’anticorps chez personne, juste des particules censées lui appartenir qu’on est obligé d’amplifier par des méthodes douteuses (PCR) pour supposer qu’il est là.
      Je rappelle aussi que la plupart des séropositifs ne développent pas le sida, et que des séronégatifs font un authentique syndrome d’immunodéficience.
      Donnez-moi un rougeoleux, un rubéoleux, un grippé, et je vous trouve des virus par millions. Donnez-moi un sidéen mourant, et on ne lui trouve pas le moindre virus.
      Etonnant, non ?


    • Gérard 17 avril 2019 21:02

      @doctorix

      Votre mépris pour les malades et les morts et votre ignorance vous rendent pathétique.
      Vous êtes un type extrêmement dangereux.


    • doctorix, complotiste doctorix 18 avril 2019 09:15

      @Gérard
      Ma connaissance des faits est dangereuse, et votre totale ignorance ne le serait pas ?
      Décidément vous avez un avis sur tout sans avoir jamais rien étudié.
      Ne vous occupez pas de Sida, ce n’est pas pour ça qu’on vous paye, juste pour les vaccins. Vous n’êtes pas très bon en vaccins, mais vous êtes nul en Sida.


    • Gérard 18 avril 2019 09:28

      @doctorix

      Vos propos sont en totale contradiction avec la recherche menée depuis 30 ans sur le sujet ...

      Mais c’est forcément vous qui avez raison ... Dégonflez votre cou, soyez humble et regardez ce que la science produit comme connaissances.


  • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 16:47

    Je voulais dire encore une chose à propos du serment d’Hippocrate.

    L’actuel n’est plus conforme à celui que j’ai prêté il y a plus de quarante ans.

    Je promettais alors de n’introduire aucun poison dans le corps de mes patients.

    Il faut reconnaître là l’abandon logique d’une hypocrisie.

    Comment les médecins pourraient-ils en effet respecter ce serment quand on leur demande d’injecter de l’aluminium, du mercure (abandonné en France mais pas aux USA), de l’antigel (polysorbate), des ARN animaux, des nanoparticules disparates, et près de 80 substances incongrues et toxiques dans le corps d’un nourrisson ?

    Il est vrai que les médecins ne savent rien de ce qu’ils injectent tous les jours : posez-leur la question.

    Donc on peut maintenant empoisonner nos petits patients sans trahir son serment.

    Ce qui est très réconfortant pour l’éthique médicale.

    Pour la bonne conscience, c’est autre chose.


    • Julyo Julyo 17 avril 2019 17:24

      @doctorix
      c’est tout de même étonnant tous ces scientifiques qui ne se posent guere de questions...Je pense que c’est en train de changer ?
      Antérieurement, vous avez rebondi sur liens /durée protection maternelle et sur la Roumanie, mais pas sur ce lien là,  :

      http://rougeole-epidemiologie.overblog.com/2018/03/la-rougeole-c-etait-mieux-avant.html

       Comparaison : Répartition des cas de rougeole par an pour une situation fictive sans vaccination

      Répartition des cas de rougeole en 2011

      Répartition des cas de rougeole en 2016

      Les deux derniers sont sourcés

      ce qui m’a étonné


    • doctorix, complotiste doctorix 17 avril 2019 21:14

      @Julyo
      C"est assez confus.
      Par exemple, 4 cas de moins d’un an sur 59, c’est bien 6,8% comme en 2011.
      Mais ça n’est absolument pas significatif, contrairement au chiffre de 2011 qui lui est très significatif.
      Parce que 59, c’est bien trop petit.
      Deux de moins ou deux de plus, on passe du simple au triple.
      C’est du foutage de gueule et il ne démontre rien du tout.


    • Julyo Julyo 17 avril 2019 21:44

      @doctorix

      Tableau 1, la rougeole a fait son plein à 10 ans pour 97%.

      Tableau 2 et 3, la rougeole a fait son plein au-delà de 10 ans pour respectivement 68 % et 52% dont 36 et 40% au dessus de 20ans…


    • doctorix, complotiste doctorix 18 avril 2019 09:04

      @Julyo
      C’est effectivement ce qu’il fallait voir.
      Nous avons échangé une parfaite protection avant dix ans, gratuite de surcroît, contre une mauvaise couverture dans le temps, très couteuse par dessus le marché.
      Le risque est de voir la rougeole devenir une maladie des vaccinés  qui touchera les hommes murs et les vieillards (donc gravement), lesquels transmettront la maladie à leurs congénères et aux nourrissons, et avec des mamans qui n’auront rien à offrir à leurs enfants.
      D’autant plus qu’on ne peut pas vacciner avant un an.
      Un jour, on prouvera de plus que nous avons échangé des rougeoles contre des autismes et des hépatites contre des scléroses en plaque.


    • Gérard 18 avril 2019 09:45

      @doctorix

      Un jour, on prouvera de plus que nous avons échangé des rougeoles contre des autismes et des hépatites contre des scléroses en plaque.

      Donc, vous avouez que ce n’est pas prouvé à ce jour. Bel aveu.

      Nous avons échangé une parfaite protection avant dix ans, gratuite de surcroît,

      Gratuite ? Pas vraiment. Vous occultez une fois de plus les nombreuses complications qui peuvent survenir en contractant la rougeole.

      Le risque est de voir la rougeole devenir une maladie des vaccinés

      Ce risque est marginal si les doses sont administrées selon le calendrier vaccinal. Et plus la couverture vaccinale sera large à 2 doses, plus on évitera la propagation du virus. En France, la couverture vaccinale est trop faible (79% au lieu de 95%).


    • Anthel 18 avril 2019 10:02

      @Gérard

      Le revoilà, avec ses statistiques qui vont sauver l’humanité, à coups de vaccins forcés.

      Vous savez, le système immunitaire n’en a rien à faire de vos chiffres. Vaccination ne signifie pas immunisation. Si c’était le cas, on ne verrait plus les maladies ;)

      Bonne chance pour prouver que les vaccins ont jamais éradiqué quoi que ce soit à part les systèmes immunitaires des vaccinés.

      Regardez les courbes fournies plus haut par doctorix, les vaccins arrivent lorsque les maladies s’éteignent. Et on attribue le mérite à ces produits toxiques.

      C’est encore une belle preuve de cueillette qui vous arrange. On ne regarde pas les chiffres avant l’arrivée des vaccins, mais au moment où on l’impose.


    • Julyo Julyo 18 avril 2019 10:17

      @doctorix

      Ces 68 % et 52% dont 36 et 40% au dessus de 20 ans…correspondent à une situation inédite franchement répertoriée.

      Ces pourcentages qu’on ne voyait jamais auparavant antévaccination correspondent donc sûrement à des vaccinés qui n’ont pas rencontré le virus sauvage et qui, 15, 20, 30 ou 40 ans voire 50 plus tard y sont confrontés ou y seront confronté ; tôt ou tard. 

      L’épidémie de 2011 est le signal fort que quelque chose se passe : de plus en plus de vaccinés ont une immunité vaccinale qui décline. Ils résistent encore du fait de la moindre circulation du virus…qui peut ressurgir à tout moment.

      Si absence de virus circulant : pas de maladie. Ce qui permet de dire aux autorités, par absence de circulation du virus, que même avec des taux d’anticorps non protecteurs, les vaccinés sont tout de même immunisés
      - à vie. L’épidemie de 2011 tend visiblement à leur prouver le contraire.

      Qu’un virus pointe son nez remet les pendules à l’heure. C’est vraisemblablement ce qui est en train de se passer.

      Fait significatif : la dame enceinte vaccinée dans l’enfance à laquelle on recommande de ne pas circuler en zone d’endémie parce que c’est dangereux si elle attrape la rougeole…


  • Gérard 18 avril 2019 10:37

    @Anthel

    Vaccination ne signifie pas immunisation. Si c’était le cas, on ne verrait plus les maladies ;)

    Demandez-vous pourquoi les pays qui ont les meilleures couvertures vaccinales ont aussi les moindres incidences de rougeole notamment.

    Et inversément, les pays qui ont les pires couvertures vaccinales (France et Italie) ont aussi les plus grosses incidences de rougeole notamment.

    Bonne chance pour prouver que les vaccins ont jamais éradiqué quoi que ce soit à part les systèmes immunitaires des vaccinés.

    Les vaccins n’ont permis de n’éradiquer totalement « que » la variole. En 1947, la variole touchait 85 pays sur les 5 grands continents avec plusieurs millions de cas répartis. Moins de 40 ans plus tard, plus aucun cas n’était signalé. Sachant que l’on retrouve des cas de variole depuis l’antiquité.

    C’est forcément grâce au système immunitaire ...


  • Julyo Julyo 19 avril 2019 09:35

    Faut que je relance Gérard qui a superbement ignoré mon post ci-dessus.

    Alors, vous qui rétorquez envers et contre tout en rafale, ici vous laissez passer la journée. Pas d’état d’âme particulier à épancher, là ?


    • Gérard 19 avril 2019 10:53

      @Julyo

      Faut que je relance Gérard qui a superbement ignoré mon post ci-dessus.

      Quel post ? Celui où vous concluez notamment qu’un"virus pointe son nez remet les pendules à l’heure. C’est vraisemblablement ce qui est en train de se passer."  ?

      Alors, vous qui rétorquez envers et contre tout en rafale, ici vous laissez passer la journée.


      Je réagis encore à ce que je veux. Je dois m’économiser de temps en temps. Sachant que je suis quasiment le seul contradicteur ici face à vous, Anthel, Doctorix et dans une moindre mesure, Seudoo et njama notamment, c’est donc assez logiquement que je poste beaucoup.

      C’est vrai que sur Agoravox, les antivax n’ont pas l’habitude de faire face à une telle oppostion. La plupart du temps, vous conversez entre antivax convaincus, ce qui vaut aux lecteurs lambdas des conversations de haut-vol ! (ironie)

      Puisque vous semblez prompt à m’invitez à répondre à des posts auxquels je ne suis pas interpellé, joignez-vous à moi pour réclamer à Doctorix les réponses à mes légitimes questions.


    • Julyo Julyo 19 avril 2019 12:03

      @Gérard

      Doctorix fait comme il l’entend.

      C’est vrai que pour le coup vous n’avez pas été aidé. Et foufouille qui porte l’étendard sous lequel vous êtes tous les deux rangés ?

      L’opposition n’est pas dérangeante, juste bienvenue et je vous en sais gré de l’avoir représentée. Quelque fois, de meilleure manière aurait été souhaitable. La contradiction est nécessaire pour éviter l’entre-soi toujours tellement piégeux pour la découverte de la vérité.

      C’est vrai que mon post s’adressait à Doctorix. Cependant, vous ne vous sentiez pas un peu concerné ?

      Je vous adresse donc ce post, à vous personnellement. Ensuite, vous ferez bien comme vous voulez.


  • Julyo Julyo 20 avril 2019 12:00

    A Gérard /19 avril 10:53

    « Cependant, vous ne vous sentiez pas un peu concerné ?  » disais-je. Pas de réponse, dommage, on se trouve en plein cœur du problème. Et vous qui êtes intervenu sans coup férir jusque là restez muet là-dessus. C’est donc que vous en êtes là, tel que vous me le disiez : Gérard 13 avril 14:54 : « J’arrête de discuter avec vous tant que je n’ai pas d’intérêt à vous répondre. »…

     

    Le reproche, entre autres, des antivax /la vaccination rougeole c’est le déplacement de l’age ou les enfants faisaient leur rougeole à la période normale de la petite enfance à l’age adulte et que les nourrissons n’étaient plus protégés très tôt alors qu’ils peuvent l’être jusqu’à un an si la maman non vaccinée avait fait la rougeole au bon age.

    Ca fait plus de trente ans que les lanceurs d’alerte vous le clament et vous exposent le danger de cette situation créée de toute pièce par les vaccinateurs.

    Là, ces pourcentages de 68 % et 52% dont 36 et 40% au dessus de 20 ans…vous ne les constatiez pas auparavant. Maintenant, vous les avez sous les yeux.

    Ce que disaient les antivax autrefois et qui est le constat d’aujourd’hui, c’est également les vax qui devraient en prendre acte puisque cette information est dument sourcée en tant que donnée objective indiscutable fournie par l’organisation sanitaire officielle.

    Ces chiffres sont particulièrement significatifs de la situation : vous avez bel et bien interféré dans l’ordonnancement de la nature préalablement établi alors que la rougeole peut se révéler être une maladie extrêmement dangereuse…

    …Je vous laisse conclure de ce qui arrive à des nourrissons qui ne sont plus protégés par leur mère très tôt et à des adultes qui se retrouvent sans défense immunitaire contre la rougeole….


    • Gérard 20 avril 2019 18:02

      @Julyo

      N’en faites pas des caisses non plus. Moi-même, je n’ai plus guère le déplaisir de lire votre avis négationniste de l’éradication de la variole grâce à la vaccination.

      In utero, le bébé qui reçoit les anticorps de sa mère ne sont efficaces que 1 à 4 mois. Et l’allaitement ne permet pas de se protéger de la rougeole.

      Le moyen le plus efficace d’éviter à un bébé non vacciné de tomber malade de la rougeole est bien que son entourage soit vacciné le plus optimalement possible (2 doses). Le vaccin permet de réduire la circulation du virus. Certes ce n’est pas efficace à 100%, mais on les frôle … de l’ordre de 95 à 99%.

      Pour ce qui est du déplacement d’âge des malades de la rougeole (âge où la maladie est plus dangereuse), je pense (à ma connaissance) que personne ne le conteste. Mais ce n’est pas une raison pour moins vacciner. Il faut justement améliorer la couverture vaccinale (objectif de 95% de couverture à deux doses en France, on en est loin). 

      Pour donner une idée,
      En France, il y a environ 80% de gens de 40 ans qui n’ont reçu aucune dose de vaccin, (en Suède : moins de 10%)
      En France, il y a environ 60% de gens de 30 ans qui n’ont reçu aucune dose de vaccin, (En Suède : environ 5%)
      En France, il y a environ 15% de gens de 20 ans qui n’ont reçu aucune dose de vaccin, (En Suède : environ 10%)

      Incidence rougeole Suède 2018 : 2.6 cas / million d’habitants
      Incidence rougeole France 2018 : 44.7 cas / million d’habitants
      17.2 fois plus de cas en France !

      On comprend donc pourquoi, en France, il y a un déplacement de la rougeole vers des âges où la maladie est plus dangereuse : les principales populations touchées sont les nourrissons et les jeunes adultes : trop jeunes pour avoir eu la rougeole (<40 ans), trop vieux pour une couverture « acceptable » (>10 ans).


    • njama njama 20 avril 2019 18:26

      @Gérard

      toujours vos mêmes sornettes sur l’immunité de groupe !
      Expliquez-nous donc pourquoi un entourage non-vacciné transmettrait le virus sans lui-même développer la rougeole ?
      si vous êtes vacciné vous êtes censé être protégé (au moins pour le sérotype concerné) ce qui ne vous empêcherait pas d’en être porteur et de le transmettre, ni même parfois d’avoir la rougeole puisque les cas ne sont pas rares chez les vaccinés.

      Ma conclusion provisoire et très simple est que le vaccin est un produit d’une efficacité médiocre, ce que bien des oreilles ne veulent pas entendre du moins concernant ce vaccin. Pour la grippe, c’est plus admis, efficacité en dessous des 50 % dans le meilleur des cas


    • njama njama 20 avril 2019 18:40

      @Gérard
      mais l’immunité de groupe comme argument de vente c’est top ...

      UNE EPIDEMIE DE ROUGEOLE QUI ACCABLERAIT LA POPULATION FRANCAISE EN 2019 ?
      où ça exactement


    • Gérard 20 avril 2019 20:00

      @njama

      Ma conclusion provisoire et très simple est que le vaccin est un produit d’une efficacité médiocre

      Vous tirez des conclusions alors même que vous ne prouvez rien du tout.
      La vaccination empêche la circulation du virus.
      Vaccination contre la rougeole à 2 doses efficace à 95-99% (pourquoi évoquer le vaccin contre la grippe ? chaque vaccin a son efficacité propre).

      La comparaison France (couverture médiocre) Suède (très bonne couverture) que j’ai faite est particulièrement éclairante.


    • Gérard 20 avril 2019 20:09

      @njama

      http://www.francesoir.fr/societe-sante/combien-de-cas-de-rougeole-en-france-en-2019

      Plusieurs centaines de cas de rougeole ont été recensés en France depuis le 1er janvier 2019, essentiellement chez des personnes non vaccinées

      Plusieurs centaines de cas de rougeole ont été recensés en France depuis le 1er janvier 2019, essentiellement chez des personnes non vaccinées. Un premier décès est survenu, mais les chiffres semblent cependant globalement rassurant pour l’instant.

      La rougeole a fait son premier mort de 2019 en France, alors que la maladie connaît depuis des mois une propagation inquiétante. Cela en raison d’une couverture vaccinale insuffisante selon les autorités.

      En 2018, trois décès avaient été enregistrés pour 2.902 cas. Les chiffres de 2019 semblent pour l’instant afficher une note plus optimiste. Entre le 1er janvier et le 6 mars 2019, 288 cas de rougeole ont été déclarés, selon les chiffres de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Un chiffre en nette retrait par rapport à 2018, 745 ayant été récences à la même période. Il faut cependant rester prudent sur les extrapolations, les pics épidémiques ne survenant pas forcément au même moment chaque année.

      [...]


    • njama njama 20 avril 2019 20:39

      @Gérard
      et donc d’après vous les vaccinés empêcheraient la circulation des virus, si je vous suis bien grâce aux fameux anticorps apportés par la vaccination.

      Vos déductions ne tiennent pas la route devant les faits puisque des vaccinés (à deux doses) contractent la maladie. D’autre part, des non-vaccinés ne la contracteront pas forcément si leur système immunitaire peut les (neutra)lyser facilement. Et donc suivant votre rhétorique à trois balles un vacciné ne pourrait la transmettre en vertu de l’immunité de groupe conférée par le vaccin alors qu’un non-vacciné qui passe à travers de l’infection en raison du bon fonctionnement de son système immunitaire (qui est fait pour ça) continuerait à être un dangereux réservoir de virus potentiel  !!! c’est absurde votre raisonnement ... vous prêtez au vaccin des vertus « magiques » dignes de charlatans.

      Exemple concret, si je prends mon p’tit cas personnel, en six décennies je n’ai jamais fait une seule grippe, et j’ai côtoyé sans appréhension des tas de gens grippés, l’hiver bien souvent, et quand j’ai un rhume il ne dure jamais plus de 24 ou 48 heures.... et donc pourquoi voudriez-vous que je me vaccine contre la grippe ??? et pourquoi voudriez-vous que je me vaccine contre la rougeole pour PEUT-ÊTRE ??? ne pas contaminer les personnes que je croiserais ?

      J’ai peut-être été contaminé plusieurs fois dans ma vie par le virus rougeoleux allez savoir ... sans comme de nombreuses personnes m’en apercevoir bien sûr smiley


    • Gérard 20 avril 2019 21:14

      @njama

      Vos déductions ne tiennent pas la route devant les faits puisque des vaccinés (à deux doses) contractent la maladie.

      J’ai déjà répété des dizaines de fois que le vaccin contre la rougeole n’est pas efficace à 100%. Il est efficace à 95-99%. Cela signifie que sur 100 enfants, environ 95 sont susceptibles de contracter la maladie. 
      D’où l’importance de la couverture vaccinale pour limiter la circulation du virus et permettre aux non-répondants de ne pas contracter la maladie.

      D’autre part, des non-vaccinés ne la contracteront pas forcément si leur système immunitaire peut les (neutra)lyser facilement.

      Les épidémies actuelles montrent que les non-vaccinés sont beaucoup plus exposés que les vaccinés.

      c’est absurde votre raisonnement ... vous prêtez au vaccin des vertus « magiques » dignes de charlatans.
      Homme de paille, il n’y a rien de magique là-dedans. C’est juste que vous ne voulez pas comprendre le fonctionnement.

      Exemple concret, si je prends mon p’tit cas personnel[...]

      Anectode sans intérêt. Biais du survivant.


    • Julyo Julyo 20 avril 2019 21:26

      @Gérard
      le vaccin contre la rougeole n’est pas efficace à 100%. Il est efficace à 95-99%. Cela signifie que sur 100 enfants, environ 95 sont susceptibles de contracter la maladie. 

       smiley


    • Gérard 20 avril 2019 21:48

      @Julyo

      Avec des arguments, ce serait mieux ... 


    • Julyo Julyo 20 avril 2019 21:52

      @Gérard
      L’information selon Françe Soir
      ou l’art et la manière de se foutre des lecteurs pour les embobiner.
      Avec les infos sur les vaccins on sait à quoi s’en tenir, la référence grippe h1n1 est dans tous les esprits et ne les lâchera pas comme ça.

      Ex. : France Soir. Rougeole chez un bébé...

      "Le vaccin ROR est désormais obligatoire, mais la première injection n’a lieu que vers 12 mois et doit être complétée par une seconde entre 16 et 18 mois. Les nourrissons ne bénéficient donc pas de la même immunité que les adultes vaccinés Point." Et tout à l’avenant !

      C’est vos lectures ça ?


    • Gérard 20 avril 2019 21:59

      @Gérard

      J’ai pris France Soir un peu au hasard, j’aurai pu prendre un autre média.

      Qu’est-ce qui ne vous convient pas dans la phrase citée ? Vous pouvez développer ? Il faut deviner avec vous, c’est lassant.


    • Julyo Julyo 20 avril 2019 22:42

      @Gérard
      C’est ce qui me fait conclure que vous êtes bloqué dans votre monde façon vax.
      / deux points que vous n’avez pas compris il faut que vous relisiez, tout simplement.


    • Julyo Julyo 20 avril 2019 22:56

      @Gérard

      En France, il y a 80% de gens de 40 ans, 60% de gens de 30 ans, qui n’ont reçu aucune dose de vaccin. Et alors ? Cela signifie que ces gens qui n’ont pas été soumis à la vaccination ont fait l’infection naturelle et sont protégés.
      Pour 15% de gens de 20 ans c’est mitigé : certains ont été confrontés à l’infection d’autres ont été vaccinés.
      Je me ferai bien du souci à la place des suédois avec une telle immunité artificielle peu sûre.

       

      Votre raisonnement est donc absurde car spécieux et vicié à l’évidence : les gens qui n’ont pas eu de vaccin sont en réalité, tout à fait bien protégés par celle naturellement acquise par contact direct, à vie.


      La vaccination a échoué puisque maintenant vous pontifiez : "Le moyen le plus efficace d’éviter à un bébé non vacciné de tomber malade de la rougeole est bien que son entourage soit vacciné le plus optimalement possible (2 doses.que l’entourage soit « vacciné » -c’est une obsession, pour protéger les nombreux immuno-incompétents des 800 000 qui naissent chaque année et qui risquent de contracter la maladie potentiellement très dangereuse.


       

      La protection du bébé puisqu’il ne l’est pas…

      …Qu’il ne l’est plus car avant le vaccin il l’était.

      La vaccination n’a-t-elle pas été instituée pour protéger les enfants – à vie ?

      La vaccination a échoué puisque ces nourrissons ne sont plus protégés et que les parents doivent y pallier. Auparavant ils n’avaient même pas à y penser. Désormais, c’est un impératif dès lors la naissance.

       

      La France n’est pas une île isolée et il peut toujours se trouver un contaminant extérieur. Ils ne manquent pas, tant il y se trouve de pays qui sont « mal vaccinés » pour tout un tas de raisons qui foisonnent. Éradication impossible donc et le virus subsiste, attendant son heure inévitable. Et l’on trouve là, un nouvel échec du vaccin.

       

      Tant qu’il n’y a pas de virus qui circule, tout est bien : le vaccin est efficace à 100%. Nous voyons que dans ces conditions il n’est pas méritant.

      Qu’un virus débarque, et là on devient en mesure d’apprécier la valeur réelle de la vaccination. Il existe suffisamment de données pour savoir à quoi s’en tenir.


      En cas de problème, pas de problème, qu’une solution : la vaccination renforcée généralisée.

      Quand il va falloir dire aux adultes qu’ils doivent aller se faire vacciner contre la rougeole, on verra les réactions.


      Et nous ressortirons l’ensemble de cette file pour pointer les responsabilités. Nous ne ferons alors que nous défendre puisque vous aurez rien à trouver de mieux et accuserez les antivax de vos turpitudes pour expliquer l’échec de cette vaccination vraiment foireuse.


    • njama njama 20 avril 2019 22:59

      @Gérard

      un vacciné ne pourrait la transmettre en vertu de l’immunité de groupe conférée par le vaccin alors qu’un non-vacciné qui passe à travers de l’infection en raison du bon fonctionnement de son système immunitaire (qui est fait pour ça) continuerait à être un dangereux réservoir de virus potentiel 

      vous n’avez pas répondu, c’est vraiment ce que vous « croyez » ?
      et donc l’immunité artificielle (et éphémère) par les anticorps d’un vacciné vaudrait davantage ou au moins autant que l’immunité naturelle d’un non-vacciné ?


    • Gérard 21 avril 2019 07:33

      @Julyo

      En France, il y a 80% de gens de 40 ans, 60% de gens de 30 ans, qui n’ont reçu aucune dose de vaccin. Et alors ? Cela signifie que ces gens qui n’ont pas été soumis à la vaccination ont fait l’infection naturelle et sont protégés.

      Non, les gens de moins de 40 ans sont de moins en moins susceptibles d’avoir été en contact avec la maladie,

      Je me ferai bien du souci à la place des suédois avec une telle immunité artificielle peu sûre

      Quand on voit l’incidence des cas France/Suède, il n’y a pourtant pas photo. 

      les gens qui n’ont pas eu de vaccin sont en réalité, tout à fait bien protégés par celle naturellement acquise par contact direct, à vie.

      De qui parlez-vous ? On dirait que vous croyez que tous les gens qui n’ont pas été vaccinés sont protégés car ils ont été en contact avec la maladie. Ca sort d’où ça ?

      La protection du bébé puisqu’il ne l’est pas…

      …Qu’il ne l’est plus car avant le vaccin il l’était.

      Dans un environnement correctement vacciné, le bébé ne craint rien (ou presque risque extrêmement faible). Correctement vacciné = 2 doses avec couverture de 95% au moins

      La vaccination a échoué puisque ces nourrissons ne sont plus protégés et que les parents doivent y pallier. Auparavant ils n’avaient même pas à y penser. Désormais, c’est un impératif dès lors la naissance.

      Le carnet de vaccination est là pour rappeler aux parents (et puis à l’enfant devenu adulte), ce qu’ils doivent faire.
      Avant, on ne se souciait pas de devoir se faire vacciner … mais on se souciait du risque de de chopper la maladie et ses complications … 

      La France n’est pas une île isolée et il peut toujours se trouver un contaminant extérieur.

      De quoi parlez-vous ? Quel contaminant ? Vu la médiocrité de sa couverture vaccinale, la France ne peut s’en prendre qu’à elle-même.

      Ils ne manquent pas, tant il y se trouve de pays qui sont « mal vaccinés » pour tout un tas de raisons qui foisonnent

      Il se fait que les deux pays européens à la plus mauvaise couverture vaccinale sont la France et l’Italie. Ce sont ces pays qui comptabilisent le plus de cas. A l’inverse, les pays du nord (notamment la Suède que j’ai déjà évoqué) ont une bonne couverture, et peu de cas à comptabiliser. Déduisez-en ce qu’il y a lieu d’en déduire.

      le vaccin est efficace à 100%

      Le vaccin n’est jamais efficace à 100%. Mais si la couverture vaccinale est optimale (95% au moins), on peut s’attendre à ce qu’il y ait peu ou pas de cas.

      Tant qu’il n’y a pas de virus qui circule, tout est bien. Nous voyons que dans ces conditions il n’est pas méritant.

      Vous êtes en train de dire que le vaccin « fonctionne » quand il n’y a pas de virus ? Mais qu’il ne fonctionne pas quand il y a un virus en circulation ? Le vaccin est donc d’une totale inefficacité selon vous ?

      En cas de problème, pas de problème, qu’une solution : la vaccination renforcée généralisée.

      C’est effectivement une piste de solution. Solution qui a tendance à plutôt bien fonctionner.

      Quand il va falloir dire aux adultes qu’ils doivent aller se faire vacciner contre la rougeole, on verra les réactions.

      L’immunité vaccinale les protègent pendant un bout de temps (au moins 30 ans). Selon les problèmes que l’on peut rencontrer, il peut y avoir un ajustement du calendrier vaccinal. Pourquoi pas une troisième dose. On sait que la composante oreillons du ROR est celle qui pose le plus de problèmes en terme d’efficacité. Il est possible que dans un avenir plus ou moins lointain, la recommandation passe à 3 doses. A moins que la recherche ne permette d’encore améliorer l’efficacité grâce à un vaccin amélioré. 


    • Gérard 21 avril 2019 07:53

      @njama

      La vaccination n’étant pas efficace à 100% (je me répète, je me répète, je me répète), mais bien efficace à 95-99%, il est possible qu’un vacciné non-répondant transmette le virus. 
      Mais la probabilité qu’un non-vacciné participe à la circulation du virus est beaucoup plus grande. 
      Dans toute les épidémies récentes ou en cours, la proportion de gens non (ou mal) vaccinés est systématiquement plus importante que les gens correctement vaccinés.

      L’immunité conférée par les vaccins permet aussi de réduire les symptômes dus à la maladie (dans l’hypothèse où une personne se chope la maladie malgré 1 ou 2 doses), moins d’hospitalisation, moins de complications.


    • foufouille foufouille 21 avril 2019 08:10

      @njama
      dans le cas de la grippe, toutes les personnes en contact avec le virus la transmette sans pour autant être malade.


    • njama njama 21 avril 2019 12:22

      @foufouille
      dans le cas de la grippe, toutes les personnes en contact avec le virus la transmette sans pour autant être malade.


      toutes les personnes ?
      Il n’y a pas la moindre preuve de ça hormis votre croyance en la panspermie microbienne (théorie de pasteur) qui arroserait indistinctement tout le mondeet partout
      Les foyers infectieux se déclarent autrement que par le hasard, il y a toujours un contexte autour qui les provoque, ils sont toujours localisés et jamais étendus...
      De l’eau potable et des réseaux d’assainissement pour toute l’Afrique, et presque toutes les maladies infectieuses disparaitront du continent en très peu de temps, chose que les millions de dollars de Bill Gates en vaccins n’arrangeront jamais.


    • Julyo Julyo 21 avril 2019 12:40

      Pas de trêve pascale, Gérard, toujours sur la brèche !

      Vous en êtes à environ 230 posts depuis le 4 avril sur un ensemble de 747...

      Vous continuez à creuser avec pugnacité. C’est bien ! On avance.

      Attention, aux ampoules tout de même parceque vos réponses deviennent laborieuses et trahissent la fuite en avant. On sent qu’il faut que vous répondiez avec pour but de pour ne pas perdre la face. Au risque que ce vous écrivez soit révélateur d’enfumage qui sera inévitablement détecté par un lecteur averti.


    • njama njama 21 avril 2019 14:11

      @Gérard
      Mais la probabilité qu’un non-vacciné participe à la circulation du virus est beaucoup plus grande. 

      Ce n’est qu’une allégation statistique de votre part comme quoi le non-vacciné serait davantage porteur « et vecteur » de l’agent infectieux en circulation (dont on ne sait exactement comment d’ailleurs il « circule »), qui n’infecte pas d’ailleurs systématiquement loin de là


    • foufouille foufouille 21 avril 2019 15:03

      @njama
      c’est logique car le vacciné a des anticorps donc virus ou bactéries sont reconnus comme ennemis et attaqués.
      sans anticorps, virus bactéries se reproduisent assez vite pour permettre de transmettre la maladie à d’autres personnes.


    • foufouille foufouille 21 avril 2019 15:21

      @njama
      c’est comme ça que ça marche. la plupart tueront rapidement le virus, c’est tout.
      j’ai u la grippe presque tous les ans étant puis plus du tout, juste une fois en 99 car elle était forte cette année. je ne sort presque pas et évites aussi de serrer la main.
      la grippe est plus ou moins commune a pas mal d’espèces donc impossible à faire disparaître.
      les maladies qui se servent du corps humain comme hôte peuvent disparaître sauf si une souche rare survit et se reproduit, cas de la rougeole et de la polio.


    • Gérard 22 avril 2019 09:07

      @njama

      Ce n’est qu’une allégation statistique de votre part

      Une allégation statistique ?! Extraordinaire mauvaise foi.


  • Julyo Julyo 21 avril 2019 22:24

    A Gérard ( bien sûr)

    http://www.infectiologie.com/UserFiles/File/medias/JNI/JNI12/2012-JNI-Rougeole-charlier-woerther.pdf

    Voir P 5 +P 7 :

    En France 10% des femmes en âge de procréer sont susceptibles vis à vis de la rougeole (InVS)

    +P 9, 10 et 11 : Le risque rougeole est important chez la femme enceinte. « Grâce » à la vaccination.


  • Gérard 22 avril 2019 09:26

    En France 10% des femmes en âge de procréer sont susceptibles vis à vis de la rougeole (InVS)

    Oui, à 20 ans en 2019, le pourcentage d’individus (je n’ai pas de répartition hommes-femmes malheureusement) montre qu’il y a au moins 10% de non vaccinés et le pourcentage grimpe à 50% si on prend en compte les non + les mal vaccinés (1 dose).

    +P 9, 10 et 11 : Le risque rougeole est important chez la femme enceinte. « Grâce » à la vaccination.

    Pourquoi ajoutez-vous « grâce à la vaccination » ? C’est votre interprétation personnelle ? Il ne me semble pas que ce soit écrit ou même sous-entendu dans le document. 


    • Julyo Julyo 22 avril 2019 09:37

      Parceque tous ceux dont vous parlez n’existaient pas.
      Parceque avant la vaccination tous les enfants étaient soumis à la rougeole et étaient immunisés correctement.
      C’est bien la vaccination qui a créé cette situation.


    • foufouille foufouille 22 avril 2019 10:38

      @Julyo
      et 650 morts en 50 .........


    • Gérard 22 avril 2019 10:44

      @Julyo

      Ok, et les symptômes potentiels de la rougeole décrit dans le document que vous présentez ne vous alertent pas sur le danger qu’elle représente ?
      Je cite le document (dans l’ordre des slides) :
      Contagiosité extrême
      Contagiosité 5j avant l’apparition de l’éruption cutanée
      (ça veut dire qu’un gosse dont on ne sait pas encore qu’il est susceptible de transmettre la maladie puisqu’il n’en a pas encore les manifestations physiques, peut par exemple contaminer toute sa classe et son environnement familial)
      50% d’hospitalisations chez les + de 30 ans.
      Complications : pneumopathie virale, hépatite biologique (30%), surinfections bactériennes ORL/pulmonaires, neurologique (1/1000) : encéphalites.
      Impact sur la grossesse : + d’hospitalisations, + de pneumopathies, + de décès maternels.
      Risque de fausse couche, de mort fœtale in utero et de prématurité. 
      Sur-risque de PESS en cas de rougeole néonatale.

      Oui, avant la vaccination, les enfants étaient beaucoup plus en contact avec la rougeole et étaient immunisés.
      Mais encore une fois, vous occultez les effets potentiellement graves de la maladie.

      Maladie qualifiée, je le souligne, de bénigne par certains inconscients ici.


    • Julyo Julyo 22 avril 2019 11:36

      @Gérard

      50% d’hospitalisations chez les + de 30 ans.
      Complications : pneumopathie virale, hépatite biologique (30%), surinfections bactériennes ORL/pulmonaires, neurologique (1/1000) : encéphalites.
      Impact sur la grossesse : + d’hospitalisations, + de pneumopathies, + de décès maternels.
      Risque de fausse couche, de mort fœtale in utero et de prématurité. 
      Sur-risque de PESS en cas de rougeole néonatale.

      Vous me donnez l’opportunité de persister : tous ceux dont vous parlez n’existaient pas avant la vaccination.
      Parceque avant la vaccination tous les enfants étaient soumis à la rougeole et étaient immunisés correctement.
      C’est bien la vaccination qui a créé cette situation telle que vous décrivez.


    • Julyo Julyo 22 avril 2019 11:45

      @foufouille
      Vous auriez ou aussi prendre le début du siècle pour que votre chiffre prenne encore davantage de signification.
      Et dans les années 80, soit trente à quarante ans plus tard,
      juste avant la campagne de vaccination de fin 80,
      donc, dans une toute autre situation sanitaire que en 1950, combien d’encéphalite, PESS et morts ?


    • foufouille foufouille 22 avril 2019 11:59

      @Julyo
      ces chiffres viennent d’un lien fourni par doctorix ......
      sur le graphique on peut voir 2 grands pics d’épidémie suivit d’un troisième beaucoup plus petit par cycle.
      deux cycles avant la vaccination puis chutes libre du nombre de malades et de morts.


    • Gérard 22 avril 2019 15:27

      @Julyo

      Vous me donnez l’opportunité de persister : tous ceux dont vous parlez n’existaient pas avant la vaccination.

      Vous avez une source qui montre que avant vaccination, il n’y avait pas de telles complications ?

      Au Royaume-Unis, le vaccin contre la rougeole a été introduit en 1968.
      Cette étude montre qu’en 1963 (avant l’introduction du vaccin donc), 1 rougeoleux sur 15 a eu une complication sérieuse et 12 sont morts (sur 55.589 cas notifiés). L’incidence des complications était élevée chez les adultes et chez les enfants, et il n’y a avait pas de différence entre les sexes. Des bronchites et pneumonies sévères ont été rapportés dans 38 cas sur 1.000. L’incidence chez le bébé était presque doublée par rapport aux enfants plus âgés. Les otites était le seconde complications la plus commune, survenant dans 25 cas sur 1.000. Des perturbations neurologiques survenaient dans environ 4 cas sur 1.000 et sur ces 4 cas, 1 eut une encéphalite ou une perte de connaissance. 


    • Julyo Julyo 22 avril 2019 19:40

      Gérard,

       Je vous cause pas des complications, il y en avait, bien sûr des complications…

      Il n’y en avait pas chez ceux dont je vous ai causé :

      - 50% d’hospitalisations chez les + de 30 ans que vous mentionnez,

       - les rougeoles à problème chez le nourrisson dès un mois, non protégé par sa mère,

      - la femme enceinte sans immunisation ou immunisation déclinante (En France 10% des femmes en âge de procréer sont susceptibles vis à vis de la rougeole (InVS) qui doit impérativement intégrer la rougeole dans son plan de santé (surtout, qu’elle reste bien chez elle et ne soit pas en contact avec des cas importés inévitables par nos temps qui courent et qu’elle n’aille pas circuler en zone d’endémie alors qu’elle est enceinte) .

      http://rougeole-epidemiologie.overblog.com/2018/03/la-rougeole-c-etait-mieux-avant.html

      Votre étude citée de 1963 indique donc surtout 12 morts et les encéphalites.

      Elle corrobore les 3,8% pour les moins de 1 an ( 0,4% de 0 à 5 mois) avec protection maternelle et 2,3% au dessus de 10 ans. Tableau 2. Naturellement, pour les plus âgés atteints c’était toujours plus problématique qu’à l’age classique. Mais comme il y en avait très peu…

      La maladie touchant tout le monde soit 750 000 /an, (avec expression plus ou moins grave ou de manière non clinique), il se trouvera toujours quelques enfants qui feront des complications graves pour des raisons particulières qui ne se trouvent pas dans la population générale.

      http://invs.santepubliquefrance.fr/Publications-et-outils/BEH-Bulletin-epidemiologique-hebdomadaire/Archives/2011/BEH-n-33-34-2011

      Dans un contexte de vaccination en situation « épidémique » de 2009, 2010, 2011, avec un faible nombre de cas déclarés, 22 000, nous pouvons trouver ces graphiques intéressants :

      Tableau : « Proportions de cas déclarés hospitalisés avec et sans complications par tranches d’âges  » Ce sont les extrémités des ages qui sont le plus atteintes. C’est pas dans votre étude.

      Tableau : « Cas survenus chez des nourrissons de moins de 12 mois en 2010 » ; en dessous de 9 mois, 405 cas. Nourrissons atteints à 1, 2 3,4 5 …mois. C’est vraiment très très tôt ! Ca ne se retrouve pas dans votre étude.

      Tableau : « Sévérité des cas de rougeole » le tableau crie l’ampleur du problème notamment /encéphalites dont on ne sait si elles ont laissé des séquelles graves. Au vu du nombre des décès, à comparer à votre étude de 1963, 12. Là avec un nombre beaucoup moins important on en a 10 dont 6 pour une année.

      Toutes les femmes enceintes étaient immunisée naturellement et protégeait le bébé. C’est plus le cas. Votre étude ne pouvait en parler ; la situation étant inédite.

      On est revenu à l’age de pierre de l’histoire de la rougeole.

      Ce qui peut nous donner une idée de ce qui ce passera quand les immunités artificielles s’effondreront.


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