dimanche 23 décembre 2018 - par delepine

Effet paradoxal du vaccin anti-hépatite B : augmentation du nombre de cancer du foie après vaccination. Recul de 25 ans

 

Effet paradoxal du vaccin anti-hépatite B : augmentation du nombre de cancer du foie après vaccination. Recul de 25 ans.

 

  Gérard Delépine, chirurgien cancérologue et statisticien

[email protected]

Nicole Delépine, pédiatre, cancérologue

 

On doit juger une action, non sur ses intentions, mais sur ses résultats avérés. Le vaccin contre le virus de l’hépatite B serait-il de fait un accélérateur de la cancérogenèse ? L’objectif de la vaccination -diminuer le nombre de cancers hépatiques- n’est pas atteint, bien au contraire. Le nombre de cancers du foie augmente dans les pays largement vaccinés avec un recul de 25 ans. N’est -ce pas venu le temps de stopper cette vaccination, au lieu de la rendre obligatoire en France depuis janvier 2018 pour les nouveau-nés ?

 

Parmi les cancers liés à la présence de virus, le cancer primitif du foie[1] occupe une place cruciale, car il fut le premier, objet d’une tentative de prévention par un vaccin. La publicité actuelle poussant les jeunes femmes et maintenant les hommes à se faire vacciner par le Gardasil, espérant prévenir les cancers du col de l’utérus et du canal anal, a conduit à l’étude des registres des cancers des pays qui en disposent et à cette occasion, à l’évaluation du nombre de cancers hépatiques et donc à celui de l’impact de la vaccination anti-hépatite B.

 

 

 Manipulation de l’Humain par des virus : une démarche à hauts risques

 

Il s’agit d’une démarche téméraire, quand on sait que certains cancers sont liés de très près à la présence d’un virus. Nous ne citerons ici que l’exemple du lymphome de Burkitt et de ses liens étroits et avérés avec le virus [2] d’Epstein-Barr. Il existe de nombreux exemples chez l’animal.

Effet paradoxal de la vaccination par Gardasil (augmentation des cancers du col) et par vaccin anti-hépatite B (augmentation des cancers du foie).

 

 Probablement pas un hasard.

 

La découverte de l’effet paradoxal du Gardasil, qui in fine augmente le risque de cancer du col de l’utérus, au lieu de le diminuer, nous a conduit à regarder de plus près la situation pour le vaccin anti-hépatite B et le cancer du foie. Cette problématique nous a paru d’autant plus importante que le vaccin anti-hépatite B a été inclus dans les onze vaccins rendus obligatoires pour tous les enfants nés après le 1er Janvier 2018. Nous avons recherché les évaluations de ce bénéfice-risque par des autorités avant le vote de l’obligation vaccinale mais nous ne l’avons pas trouvée.

 

 De fait, l’Organisation Mondiale de la Santé, l’Institut National du Cancer[3], le ministère de la santé [4], les médias [5] [6] et la Ligue contre le cancer répètent en chœur :

« la vaccination est le moyen de protection le plus efficace contre l’hépatite B. Son efficacité à réduire le nombre de cas et de complications, en particulier les cancers du foie a été démontrée, c’est pourquoi elle est considérée comme la première vaccination efficace contre un cancer » … « Pour prévenir le cancer du foie, vaccinez-vous ».

 

Où trouve-t-on cette démonstration scientifique de la prévention du cancer par la vaccination invoquée par les pouvoirs publics ?

 

Le doute fécond, celui qui ne se satisfait pas des dogmes à la mode, nous a poussé à vérifier si ces affirmations s’appuyaient sur des faits avérés en comparant, d’après les registres des cancers, les évolutions des incidences[7] des cancers du foie, avant et depuis la vaccination, dans les principaux pays qui ont massivement vacciné leurs populations.

 

Et ces évolutions sont très différentes selon les régions du monde et l’âge des vaccinés. « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà » disait Blaise Pascal.

 

 

Histoire naturelle du cancer du foie et cirrhose

 

Rappelons que le cancer primitif du foie se développe presque toujours à partir d’une maladie chronique du foie, au stade de cirrhose (environ 90 % des cas), que cette cirrhose soit secondaire à l’alcool[8], une maladie virale ou une surcharge métabolique[9]. Il s’agit le plus souvent d’un « carcinome » c’est -à dire d’un processus cancéreux développé à partir des tissus glandulaires.[10] [11]

 Le cancer primitif du foie est en augmentation depuis plusieurs années, de l’ordre de 8000 cas par an en France, plus fréquent en Afrique (zones tropicales) et Asie du Sud-Est. Il survient vers 60 ans en Europe et en Amérique du Nord et vers 35 ans en Afrique et en Asie et plus souvent chez l’Homme. Cliniquement, il sera évoqué devant des douleurs en regard du foie, fièvre, altération de l'état général (amaigrissement, perte de l'appétit, fatigue), jaunisse, parfois une ascite, (gonflement très important du ventre causé par la présence d’eau). L'examen clinique retrouvera un foie de volume augmenté, dur, de surface irrégulière, sensible ou douloureux. On pourra diagnostiquer une anémie et une augmentation du nombre de globules blancs dans le sang, et une modification du taux sanguin des enzymes fabriqués par le foie (augmentation des gamma-GT, des phosphatases alcalines...). Le dosage de l'alpha-foetoprotéine (AFP) important pour le diagnostic de cancer primitif du foie. Cette protéine présente dès la 8ième semaine de la vie embryonnaire, diminue chez l'adulte. Dans le cancer primitif du foie, l'AFP est élevée 9 fois sur 10, mais augmentation n’est pas spécifique car présente dans d'autres maladies (hépatites virales,cancers digestifs,cancer du testicule et chez la femme enceinte). Scanner et IRM et échographie du foie montreront une ou plusieurs masses évocatrices. C’est la ponction biopsie qui permettra d’affirmer le diagnostic sur l’examen du foie au microscope.

 

 CAUSES DES CARCINOMES HEPATIQUES

 

En France, pays où la prévalence des hépatites virales est faible, l'alcoolisme est la principale cause du cancer du foie, devant l’infection par les virus des hépatites B (VHB) et C [12](VHC).

 

Dans les pays où la prévalence des hépatites virales est élevée (Afrique, Asie) la majeure partie des hépatocarcinomes est due à l'hépatite B (60 à 90% des cas)[13], à l’intoxication par l’aflatoxine[14]( toxines produites par des champignons), ou à l’association des deux[15].

 

La prévalence (nombre de cas total pour 100 000 personne) de l’antigène spécifique de l’hépatite B (appelé HBs Ag) permet de distinguer des zones de forte endémie (prévalence > 8/100000), des zones d’endémie intermédiaire (prévalences de 2 à 7/100000), et des zones de faible endémie (prévalence < 2/100000).

 

 En cas d’infection chronique par le virus de l’hépatite B, la présence de l'antigène spécifique appelé VHB (marqueur de la réplication du virus), sa quantité dans le sérum (charge virale) et les caractéristiques génétiques du virus, ou une infection concomitante par le VIH, virus du SIDA, constituent également des facteurs majorant le risque de cancer de type carcinome hépatocellulaire[16] [17].

 

 

 Le miracle de Taïwan et les folles illusions 

 

L’espoir que le vaccin anti-hépatite B puisse effectivement prévenir le cancer est basé sur l’expérience de pays asiatiques, et en particulier de Taiwan. Dans cette île, la vaccination systématique des nourrissons, débutée en 1984, a entraîné une baisse spectaculaire de l’incidence du cancer du foie chez l’enfant, atteignant près de 50% chez l’enfant de 6 à 14 ans et même 75% chez ceux âgés de 6 à 9 ans, avec baisse concomitante de la mortalité[18] [19].

 

Mais parallèlement, dans cette même population, l'incidence du cancer du foie chez les sujets de plus de 14 ans, a doublé entre 1981 et 1992 et, sur l’ensemble de la population, la mortalité par cancer du foie a augmenté passant de 30/100000 en 1986 à 40/100000 en 1997 et 47/100000 en 2012.

 

En Chine, en Thaïlande et à Singapour, les campagnes de vaccination ont été suivies d’évolutions similaires chez les enfants.

 

 

 PROMOTION MONDIALE SUR INTERPRETATION ERRONEE POUR L’ADULTE A PARTIR DES RESULTATS DES NOURISSONS

 

La diminution des cancers primitifs du foie observée chez les enfants de Taiwan et de Thaïlande[20] a servi d’argument pour une campagne de promotion mondiale intense de vaccination, négligeant ses résultats inquiétants chez les adultes, et les différences majeures entre les situations épidémiques des populations asiatiques et celles des pays occidentaux.

 

En Asie, la prévalence de l’infection virale était très élevée et son mode de transmission principalement vertical et précoce (de la mère à l’enfant lors de l’accouchement), alors qu’en Occident, l’incidence était faible et la transmission, horizontale et tardive (à partir de l’adolescence par voie sexuelle ou sanguine), le risque de cancer hépatique se concentrant sur les adultes[21].

 

 DIFFERENCES IMPORTANTES ENTRE POPULATIONS

 

Sans [22]compter les différences d’habitudes alimentaires, l’exposition aux toxiques (aflatoxines) et les prédispositions génétiques pouvant favoriser certaines maladies.

 

Ce qui a été un succès pour les enfants de Taiwan a pu malheureusement aboutir à un échec cuisant pour les adultes des pays industrialisés peuplés d’occidentaux.

 

 RESULTATS A LONG TERME (25 ans) DES LARGES CAMPAGNES DE VACCINATION : discordance entre infection et cancer.

 

Près de 25 ans sont passés depuis le début des campagnes de vaccination, et un premier bilan objectif peut être tiré des points de vue infectieux et cancérologique.

 

 Comme pour le vaccin anti HPV (gardasil), la discordance entre efficacité contre l’infection et nocivité pour le cancer est frappante. Ces constatations devraient susciter beaucoup de réflexion et de travaux de chercheurs à l’échelle mondiale.

 

Contre l’infection, les campagnes de vaccination contre l’hépatite B ont été très efficaces, entraînant une baisse spectaculaire de l’incidence des hépatites aigues : 90% aux Etats-Unis (passant de 10.8 en 1990 à 0.9 en 2014)[23], 62% en Italie (de 5,4 en 1990 à 2 en 2000), plus de 80% en Allemagne[24].

 

Au Canada, où la stratégie vaccinale a été similaire à celle mise en place aux Etats-Unis, le taux d’incidence de l’hépatite B aiguë en 1998-99 a été estimé à 2,3 pour 100 000, selon les données du Registre national des maladies à déclaration obligatoire.

 

En France, chez les femmes enceintes, la prévalence du portage de l’antigène de l’hépatite B (AgHBs) a été estimée à 0,41 %. Chez les donneurs de sang, la prévalence de l’AgHBs est passée de 5,3 pour 100 000 en 1991 à 1,8 pour 100 000 en 2003.

 

 

 INFECTION ET CANCER, DES DESTINS PARFOIS OPPOSES

 

Les succès considérables du vaccin contre l’infection ont suscité l’espoir d’une réduction comparable de l’incidence des cancers du foie. Mais contrairement aux espoirs et aux affirmations de l’INCa et du ministère, la vaccination dans les pays occidentaux n’a pas entraîné une diminution de l’incidence du cancer du foie, mais au contraire une augmentation considérable de celle-ci.

 

Ainsi, en Grande-Bretagne entre 1993 et 2015, l’incidence du carcinome hépatique a été multiplié par 2.5 [25]

 

En Australie, l’incidence et le taux de mortalité standardisés par cancer du foie ont triplé en trente ans (de 2 /100000 en 1980 à 6 en 2013[26].

 

Aux USA, le vaste plan d’éradication de l’hépatite virale, débuté en 1991, a abouti au triplement de l’incidence des cancers du foie celle-ci atteignant 14/100000 en 2015.[27]

Parallèlement, le taux de mortalité aux États-Unis a augmenté de 40% entre 1990 et 2004 et continue d’augmenter.

 

Au Canada, entre1992 et 2012, l’incidence des cancers du foie a plus que triplé, passant de 2.0 en 1970 à 6.2 en 2007 et 9.9 en 2017 chez les hommes. Les taux de mortalité par cancer du foie ont également augmenté davantage chez les hommes (2.8% par an) que chez les femmes (1.7% par an)[28].

 

En France, la vaccination anti-hépatite B a été suivie d’une augmentation considérable de l’incidence du cancer du foie (3,2 % par an), aboutissant à doubler son incidence en 20 ans (de 6.8 pour 100000 en 1995 à 13,4 en 2017[29]). Pourtant, pendant cette période, la consommation d’alcool, principale cause de ce cancer, a régressé considérablement.

 

ESTIMATION GLOBALE MONDIALE

Du point de vue cancérologique, la généralisation de la vaccination contre l’hépatite B a été paradoxalement suivie d’une augmentation sans précédent de l’incidence du cancer du foie.

Au niveau mondial, depuis la vaccination, l’incidence et la mortalité par cancer du foie ont, en moyenne, triplé dans les régions dans lesquelles elles étaient faibles, telles que les Amériques et l’Europe.

Et cette augmentation considérable, parfois même comparée à un tsunami[30], ne peut guère être attribué au tabac ou à l’alcoolisme, car ces deux intoxications ont fortement diminué durant cette période. Certes la prévalence de l’hépatite C, de l’obésité et de la stéatose non alcoolique ont augmenté, mais dans des proportions incapables d’entraîner une augmentation d’une telle rapidité et d’une telle ampleur.

 

On peut s’étonner que cet échec cuisant n’ait pas suscité d’études en vue de l’expliquer et regretter que ces données scientifiques indiscutables et publiques, n’aient pas été prises en compte par le ministère de la santé et les parlementaires, lorsqu’ils ont voté la loi d’obligation vaccinale en décembre 2017, incluant ce vaccin dangereux.

 

Comme le disait Montaigne : "Quelle vérité que ces montagnes bornent, qui est mensonge au monde qui se tient au-delà".

 

L’obligation d’un vaccin censé prévenir un cancer sans aucune preuve de sa capacité à atteindre son but constitue une expérimentation médicale sur la population susceptible de menacer sa vie, car les chances de guérison après ce cancer restent faibles, malgré les quelques progrès des deux dernières décennies.

 

Et cette expérimentation s’est d’ores et déjà révélée dangereuse. En attendant les résultats d’études indépendantes sur les raisons de cet échec cancérologique cuisant de la vaccination contre l’hépatite B, le principe de précaution exigerait de ne plus imposer ce vaccin à l’ensemble de la population et même de le déconseiller fortement.

 

Le silence de nos autorités sanitaires à ce propos est d’autant plus sidérant que ce vaccin a été intégré dans le bouquet des onze vaccins obligatoires imposés aux enfants nés après le 1 er janvier 2018 et reste obligatoire pour tous les professionnels de santé.

 

A nous tous d’informer nos élus de cette catastrophe sanitaire avérée, de leur demander d’œuvrer pour que des études sérieuses indépendantes soient enfin menées sur le sujet et , en attendant d’exiger le retrait de l’obligation[31].

 

[1] Par opposition aux métastases de cancers venus d’autres organes. La forme anatomopathologique la plus fréquent est le carcinome hépatique.

[2] lymphome de Burkitt : lymphome non hodgkinien (LNH) à cellules B matures. Le virus d’Epstein-Barr (VEB) est un facteur de risque connu, et la plupart des personnes atteintes de Burkitt (en majorité des enfants sont infectées par ce virus. 

http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/non-hodgkin-lymphoma/non-hodgkin-lymphoma/more-types-of-nhl/burkitt-lymphoma/?region=pe#ixzz5aV8Z5Y7O

[3] INCA La vaccination contre l'hépatite B pour se protéger du cancer du foie ; dernière mise à jour du 14 9 2015

[4] INPS questions-réponses sur la vaccination contre l’hépatite B. État des connaissances : mai 2014

[5] Le figaro santé. Peut-on se faire vacciner contre le cancer ? 29 8 2010

[6] Futura science. Existe-t-il des vaccins contre certains cancers ?

[7] Incidence brute : Nombre de nouveaux cas annuels pour 100000 personnes.

Incidence standardisée monde : incidence brute d’un pays, corrigée des variations démographiques et rapportant l’incidence brute à une population standardisée monde.

[8] Consommation excessive sur le long terme d’alcool induit inflammation du foie et lésions évoluant en cirrhose. Un patient atteint de cirrhose a un risque évalué entre 1 et 5 % de développer un cancer du foie chaque année.

[9] stéatohépatite non alcoolique ou NASH : Non Alcoolic Steato Hepatitis. La stéato-hépatite métabolique, chez environ 1/3 des patients, évolue à travers différents degrés de fibrose vers une cirrhose et favorise l'apparition d'un cancer. Une des causes de la stéatohépatite est une maladie du métabolisme liée à une résistance à l'insuline. NASH retrouvée le plus souvent chez patients en surpoids ou obèses, diabétiques et patients avec triglycérides élevés. La stéatose hépatique peut être comparée au « foie gras », accumulation de graisses dans le foie.

[10] Les cancers primitifs du foie : 85% à 90 % des carcinomes hépatocellulaires et plus rarement, le cholangiocarcinome (qui se développe à partir des cellules des voies biliaires), l’angiosarcome (à partir des cellules des vaisseaux hépatiques notamment après une exposition répétée à des produits toxiques ou l’hépatoblastome de l’enfant (à partir des cellules embryonnaires du foie).

[11] Autres facteurs de risque : tabac, stéroïdes anabolisants utilisés par sportifs comme dopant afin d’augmenter la masse musculaire ; aflatoxine B1 : toxine produite par un champignon se trouvant dans les cacahouètes, le maïs et les graines de coton dans les pays chauds et humides comme Nigeria, Inde ou Vietnam.

[12] Ishikawa T. Caractéristiques cliniques du carcinome hépatocellulaire lié au virus de l'hépatite B. Monde J Gastroenterol. 2010 ; 16 : 2463–2467

[13] Franco E, Bagnato B, et al. Hepatitis B : Epidemiology and prevention in developing countries. World J Hepatol. 2012 ; 4(3) : 74-80. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22489259

[14] Les aflatoxines sont des toxines produites par des champignons (mycotoxines) du type Aspergillus qui se développent plus facilement dans les régions chaudes et humides des pays d'Afrique, d'Asie et d'Inde. L'aflatoxine B1, la plus fréquente et la plus toxique possède des propriétés génotoxiques et carcinogènes. L'ingestion de denrées alimentaires contaminées est la voie d'intoxication majeure chez l'homme

[15] Kew CM. Synergistic interaction between aflatoxin B1 and hepatitis B virus in hepatocarcinogenesis, Intech : Aflatoxins - Recent Advances and Future Prospects, 2013:223-31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14986813

[16] Chen CJ, Yang HI, Su J, Jen CL, You SL, Lu SN, Huang GT, Iloeje UH ; REVEAL-HBV Study Group Risk of hepatocellular carcinoma across a biological gradient of serum hepatitis B virus DNA level. JAMA. 2006 Jan 4 ;295(1):65-73. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16391218

[17] Yang HI, Lu SN, Liaw YF et al. Hépatite B et antigène et risque de carcinome hépatocellulaire. N Engl J Med. 2002 ; 347 (3) : 16874. [ PubMed ]

[18] Huang K, Lin S. Nationwide vaccination : a success story in Taiwan. Vaccine. 2000 Feb 18 ;18 Suppl 1:S35-8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10683542

[19] Chang MH et al. Universal hepatitis B vaccination in Taiwan and the incidence of hepatocellular carcinoma in children. Taiwan Childhood Hepatoma Study Group. New England Journal of Medicine, 1997, 336:1855–1859 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9197213

[20] Wichajarn K, Kosalaraksa P, Wiangnon S. Incidence of hepatocellular carcinoma in children in Khon Kaen before and after National Hepatitis B Vaccine Program. Asian Pac J Cancer Prev. 2008 ; 9:507–9. [PubMed : 18990029] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18990029

[21] Mast E, Mahoney FJ, Kane M, Margolis H. Hepatitis B vaccine. In Plotkin SA, Orenstein WA.“Vaccines”,Saunders Ed, Philadelphia, 2004 : pp 299-337.

[22] Centers for Disease Control and Prevention Surveillance Summaries mortality and morbidity weekly report sMay 22, 2009 / Vol. 58 / No. SS-3 www.cdc.gov/mmwr

[23] Nelson NP, Easterbrook PJ, McMahon BJ.Epidemiology of Hepatitis B Virus Infection and Impact of Vaccination on Disease. Clin Liver Dis. 2016 Nov ;20(4):607-628. doi : 10.1016/j.cld.2016.06.006. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27742003

[24] Nienhaus A Infections in Healthcare Workers in Germany-22-Year Time Trends. Int J Environ Res Public Health. 2018 Nov 26 ;15(12). pii : E2656. doi : 10.3390/ijerph15122656. https://www.mdpi.com/1660-4601/15/12/2656

[27] Hashem B El-Serag, Fasiha Kanwal Epidemiology of Hepatocellular Carcinoma in the United States : Where Are We ? Where Do We Go ? Hepatology. 2014 November ; 60(5) : 1767–1775 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24839253

[28] L. Kachuri, MPH (1) ; P. De, PhD (1, 2) ; L. F. Ellison, MSc (3) ; R. Semenciw, MSc Cancer incidence, mortality and survival trends in Canada,1970–2007

https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/migration/phac-aspc/publicat/hpcdp-pspmc/33-2/assets/pdf/CDIC_MCC_Vol33_2_3_Kachuri_E_69.pdf

[29]Jéhannin-Ligier K, Dantony E, Bossard N, Molinié F, Defossez G, Daubisse-Marliac L, Delafosse P, Remontet L, Uhry Z Projection de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 http://invs.santepubliquefrance.fr/Publications-et-outils/Rapports-et-syntheses/Maladies-chroniques-et-traumatismes/2018/Projection-de-l-incidence-et-de-la-mortalite-par-cancer-en-France-metropolitaine-en-2017

[31] Sans évoquer ici les complications hélas bien connues de ce vaccin comme une explosion du nombre de scléroses en plaques et autres maladies neurologiques graves. Voir le site de Marc Girard sur le vaccin anti hépatite B.

 www.rolandsimion.org

 

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évolution de l’incidence du cancer du foie selon le sexe
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évolution de l’incidence selon le sexe en Australie du cancer du foie


82 réactions


  • Sergio Sergio 23 décembre 2018 19:20

    C’est pas prêt d’arriver avec le vaccin de l’hépatite C, vu ce que le traitement rapporte au labo ! Et puis si le traitement arrive, la CPAM envisagera la fameuse balance bénéfice/risque. Je précise, quand on parle du bénéfice, ce n’est pas celui du patient, bien sur, déficit budgétaire oblige. Vive les seringues propres, les kits sniff stériles, les préservatifs ... je ne plaisante pas : RDR


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 16:53

      @Sergio

      Cela sent très fort la manipulation des chiffres :

      Si a Taiwan le nombre des K du foie tombe a zéro chez les enfants , le fait de doubler ou tripler ce chiffre rend le résultat négligeable ..

      Si encore le vaccin de l ’ Hepatite B était atténué , on pourrait comprendre le phénomène délétère , mais avec un virus tué , allez expliquer ça ???

      De même pour le Gardasil ...

      A prendre avec des pincettes ..

      Vous me semblez être du genre Evin qui délire sur les statines ...


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 17:28

      @Galilée
      Christian Labrune
      La tendance actuelle de la presse médicale à quatre sous , est de vous expliquer que les médicaments ne servent à rien pour la plupart , et pis, qu ’ils sont responsables de tous les mots ,sous entendu faits uniquement pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques ..
      Exemple le Pr Evin qui vous explique doctement que les statines tuent alors que grâce à elles la mortalité cardiovasculaire est en chute libre ..
      En fait ce sont les caisses de retraite qui souffrent d ’ avoir à payer tant de vieux, de même que les sécurités sociales en faillites , qui n’ hésitent pas à tout derembourser ..
      Mourrez jeunes , vous serez citoyens , solidaires et responsables , et surtout , ne vous vaccinez pas ..


  • Christian Labrune Christian Labrune 23 décembre 2018 19:34

    Je ne sais pas comment la modération peut laisser passer des délires de cette sorte, qui ont eu déjà des effets criminels en matière de santé publique : des maladies infantiles qui avaient disparu recommencent à tuer, même en France.

    Cela s’ajoutant aux élucubrations des écolos prophétisant la fin du monde par son réchauffement, force est de constater qu’un obscurantisme bien pire que celui du moyen-âge est de nouveau là. Je dis que c’est bien pire parce qu’il était excusable, avant Pasteur, de raconter n’importe quoi sur l’origine des pathologies. Aujourd’hui, tout le monde dispose des moyens de savoir, et on trouvera des dizaines de milliers de bouquins, à la bibliothèque de Beaubourg, dans la section « médecine ».

    En attendant, Viva la muerte !


    • xana 23 décembre 2018 19:46

      @Christian Labrune

      Tu as une réfutation ou c’est juste viscéral ?


    • leypanou 23 décembre 2018 20:09

      @Christian Labrune
      l’auteur de l’article est médecin : il s’y connait mieux en vaccins qu’un vague commentateur sur agvx non ?

      Mieux, oser écrire cela alors que la majorité de ses collègues préfèrent vivre en moutons -le courage n’est pas leur fort témoigne d’un certain courage non ?

      Ce n’est pas avec les trouillards que le monde change.


    • phan 23 décembre 2018 20:45

      @xana

      Les trois statues de la Liberté nommées « Coqueluche », « Rougeole » et « Variole » qui ont fait disparaître des millions d’Awoniens en Amérique, surtout la « Teigne » qui ont fait disparaître des milliers d’enfants séfarades.

    • dr.jambon-beurre dr.jambon-beurre 24 décembre 2018 03:04

      @Christian Labrune
      des délires de cette sorte
      Nous sommes tout ouï concernant votre argumentation.

      des effets criminels en matière de santé publique
      Vous ne craignez rien si vous êtes vaccinés, laissez donc les gens choisir s’ils veulent ou non se faire injecter des produits chimiques.


    • Arthur Gohin 24 décembre 2018 03:26

      @xana
      Christian Labrune se montrant totalement incapable de reprendre les éléments de cet article d’un bon niveau médical, il nous faut conclure que « c’est juste vicéral » comme vous le dites si bien. 


    • Arthur Gohin 24 décembre 2018 03:35

      @phan
        Ce que vous nous dites là ne réfute aucunement les conclusions de l’article. C’est logiquement déconnecté, même si c’est intéressant. 


    • Arthur Gohin 24 décembre 2018 04:05

      @Christian Labrune
        L’article est très bien argumenté, et très bien référencé. A vous de reprendre avec la même riqueur logique les points précis qui ne vous conviennent pas. 

        Par ailleurs l’origine des pathologies est une question vaste qui dépasse les maladies infectieuses. Avez-vous seulement conscience de la signification absolument générale du mot « pathologie » ?
        Pour ma part je crois que l’origine du mal d’une façon générale c’est Lucifer, qui n’a que le pouvoir que nous lui cèdons. Mais je n’éprouve pas le besoin de considérer ceux qui croient autrement comme des obscurantistes inexcusables ; ce que vous faites. 


    • njama njama 24 décembre 2018 10:43

      @leypanou

      Il ne faut pas compter sur Christian Labrune pour étriller la mafia médicale, quand bien même, statistiques à l’appui, les effets délétères de certains vaccins démontrent une inefficacité et plus grave, une toxicité.
      En bonne conscience de classe, ce que l’on ne saurait lui reprocher, il veille aux intérêts des Goldman Sachs, Lehmans, Kuh Loebs, Rothschild, Warburg, Lazards, Moses Seifs,...dont il perçoit peut-être quelques prébendes pour arrondir sa retraite (?)
      Les commentateurs auront noté que sa critique de l’article est totalement inconsistante, son commentaire n’aura pas plus d’écho qu’un petit cri de mulot.

      L’article de G Delepine comme les précédents du même auteur sur le Gardasil pourraient faire mauvais effet sur les actionnaires, comme sur le gouvernement, comme peut-être sur les médecins eux-mêmes, hypnotisés pour la plupart par la propagande nationale pasteurienne inoculée depuis des décennies sur bancs d’école. Sortiront-ils leurs gilets jaunes, pour exiger un moratoire sur la vaccination obligatoire de ce vaccin toxique contre l’Hépatite B ? comme celui peu recommandable anti-HPV, Gardasil ou Cervarix.


    • njama njama 24 décembre 2018 11:00

      @phan
      surtout la « Teigne » qui ont fait disparaître des milliers d’enfants séfarades.

      hallucinant !!! Le Dr Mengele n’aurait pas fait mieux...

      Quelle a pu être la contrepartie de ce deal avec les américains qui leur offrait des cobayes séfarades ? on peut se poser la question...
      doter Israël de la bombe atomique ?

      Faut dire qu’à l’exacte même époque les « cowboys » ont fait exploser 126 bombes bombes atomiques atmosphériques dans les 2 150 km2 du site d’essais du Nevada, au nez et à la barbe de la plupart des citoyens américains.

      AMERICAN GROUND ZERO
      LA GUERRE NUCLÉAIRE SECRÈTE
      CAROLE GALLAGHER MIT 1993

      Le 27 janvier 1951, quelques minutes avant les premières lueurs de l’aube, un bombardier B50 de l’Air Force tourna à gauche au-dessus des genévriers et des arbres de Josué [ Yucca du sud-ouest des Etats-Unis] et lâcha une bombe atomique dans le désert, à l’ouest de Las Vegas. La lumière de l’éclair réveilla les fermiers habitant plus au Nord, dans l’Utah. La secousse fit voler en éclats des vitres dans l’Arizona. Les radiations se répandirent dans toute ’Amérique, contaminant les sols de l’Iowa et de l’Indiana, les côtes de la Nouvelle Angleterre et les neiges de l’État de New-York, au Nord.

      Ainsi commençait le programme d’expérimentation scientifique le plus prodigieusement téméraire de l’histoire des États-Unis d’Amérique. Durant les douze années qui ont suivi, les acteurs gouvernementaux de la guerre froide firent exploser 126 bombes atomiques atmosphériques dans les 2 150 km2 du site d’essais du Nevada. Chacun des nuages roses qui dériva au-dessus des plateaux et des vallées interdites appartenant aux terrains d’essais atomiques contenait des doses de radiation comparables à la quantité relâchée en 1986 après l’explosion du réacteur de Tchernobyl.

      Les États-Unis ont condamné l’Union soviétique pour avoir passé sous silence le désastre de Tchernobyl pendant trois jours, empêchant ainsi les Ukrainiens et les Européens de prendre des mesures contre les radiations. Mais de leur côté, les patrons de l’industrie des armes nucléaires américaines ont, pendant 30 ans, tout fait pour sauvegarder le secret médical et scientifique, afin de camoufler la contamination de vastes zones de l’Amérique du Nord résultant des explosions atomiques sur le site d’essais du Nevada.

      AMERICAN GROUND ZERO
      LA GUERRE NUCLÉAIRE SECRÈTE
      CAROLE GALLAGHER MIT 1993
      le livre est en PDF téléchargeable ...
      http://www.dissident-media.org/infonucleaire/American_Ground_Zero.pdf


    • phan 24 décembre 2018 11:59

      @Arthur Gohin

      Pour quelqu’un qui exhibe fièrement la statue de la liberté comme avatar qui pleurniche auprès de la modération pour censurer des articles avec des opinions alternatives : c’est carrément des méthodes fascistes viscérales comme en 1900, les sionnards Rockefeller et JP Morgan rachetaient l’Encyclopedia Britannica, pour supprimer toute information et références défavorables aux vaccinations.
      Pasteur n’était pas médecin mais possédait une démarche scientifique pour l’élaboration du vaccin contre la rage et on ne devient pas expert en médecine en consultant un rayon spécialisé de la bibliothèque de Beaubourg.
      L’auteure est médecin, oncologue et statisticienne expose sur l’effet secondaire du vaccin d’Hépatique B sur le foie, comme il y a 10 ans un article chez Agoravox sur l’effet secondaire SEP (sclérose en plaque) .

    • njama njama 24 décembre 2018 16:37

      @Julien S
      On comprend également à votre récit que les classes dirigeantes étasuniennes possédaient dès les années cinquante un vaccin antiradiation à elles réservé.

      Les classes dirigeantes comme vous dites étaient moins ignare à cette époque que le vulgum pecus, elles en sont d’autant moins excusables.

      « Remenber », combien de bacheliers à l’époque ? dont parmi eux combien issus de section scientifique ( bac es sciences)  ?
      Pas très loin en arrière une aiguille de radium (demi-durée de vie radioactive d’une poignée de siècles, 4 dans mes souvenirs) était une panacée, elle soignait des verrues, et je ne sais quoi, y compris des troubles psychiatriques... et cela ne donnait pas d’urticaire à l’Académie de médecine.

      Ce n’est pas le sujet de l’article mais si vous voulez me brancher sur l’omerta des effets délétères de la radioactivité dans le monde politique je suis votre homme, Écrivez donc un article et je vous flingue !
      Les collusions entre l’AIEA et l’OMS sont un secret de polichinelle qui échappe encore aux foules https://www.agoravox.fr/commentaire4561353


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 16:54

      @leypanou
      Les médecins qui croient les conneries qu ’ils racontent , ça existe ..


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 17:10

      @Christian Labrune
      La tendance actuelle de la presse médicale à quatre sous , est de vous expliquer que les médicaments ne servent à rien pour la plupart , et pis, qu ’ils sont responsables de tous les mots ,sous entendu faits uniquement pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques ..
      Exemple le Pr Evin qui vous explique doctement que les statines tuent alors que grâce à elles la mortalité cardiovasculaire est en chute libre ..
      En fait ce sont les caisses de retraite qui souffrent d ’ avoir à payer tant de vieux, de même que les sécurités sociales en faillites , qui n’ hésitent pas à tout derembourser ..
      Mourrez jeunes , vous serez citoyens , solidaires et responsables , et surtout , ne vous vaccinez pas ..


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 17:13

      @Julien S
      Je parle évidemment de l ’ auteur de l ’ article ...


    • Galilée Galilée 24 décembre 2018 17:25

      @xana
      Christian Labrune
      La tendance actuelle de la presse médicale à quatre sous , est de vous expliquer que les médicaments ne servent à rien pour la plupart , et pis, qu ’ils sont responsables de tous les mots ,sous entendu faits uniquement pour enrichir les laboratoires pharmaceutiques ..
      Exemple le Pr Evin qui vous explique doctement que les statines tuent alors que grâce à elles la mortalité cardiovasculaire est en chute libre ..
      En fait ce sont les caisses de retraite qui souffrent d ’ avoir à payer tant de vieux, de même que les sécurités sociales en faillites , qui n’ hésitent pas à tout derembourser ..
      Mourrez jeunes , vous serez citoyens , solidaires et responsables , et surtout , ne vous vaccinez pas ..


    • njama njama 24 décembre 2018 19:50

      @Julien S
      Faites une expérience : proposez un article sur le cynisme israélien dans la question palestinienne, et vous verrez qu’il passera à l’unanimité des votants ! 

      ben oui, on ne pourrait prétendre être pour la liberté d’expression et interdire..., euh non, excuser, la « censurer ».

      Oui effectivement le sujet du cynisme israélien dans la question palestinienne ça tient la route pour peu que cela serait bien troussé, ne vous en déplaise. Ce qui ne ferait pas de ce site un site « antisémite »  smiley


    • leypanou 25 décembre 2018 12:37

      @Alcyon
      c’est même indigne d’un étudiant de bachelier pour un cours introductif aux statistiques 

       : toujours aussi prétentieux l’algébriste.

      Ce sont vos connaissances des corps finis qui vous rendent aussi affirmatif ? Mes maigres connaissances de statistiques ne me permettent pas de qualifier quelqu’un dont je ne connais pas le parcours. Et en logique, pareil.


    • zingiberofficinale777 24 janvier 2019 16:28

      @Alcyon
      Oui, vous avez bien raison, logique, rigueur sont essentiels dès qu’on touche à des sujets aussi graves. Du coup je vous suggère de lire les articles que vous commentez pour aller dans ce sens. Cela vous permettra de remarquer que votre justification par l’espérance vie augmentée est risible, étant donné qu’en 30 ans celle-ci a bien peu augmenté...que ce soit en occident ou ailleurs.
      Sur une pathologie qui toucherait des personnes très âgées pourquoi pas, mais l’âge moyen d’un cancer du foie en occident est de 60 ans, nous dit-elle, pour 35 ans en Afrique, ça reste relativement jeune....
      Si l’on prend les études statistiques des Delepine sur les vaccins HPV (de la part de personnes qui sont bien des statisticiens, pas beau de mentir ! ; -là on n’est plus dans le manque de rigueur, c’est d’un manque d’éthique qu’il s’agit), l’énormité de votre argument explose : augmentation autour de 100 pour cent pour de très jeunes femmes, on voit mal en quoi ce peut être lié à une espérance de vie (à peine) augmentée ces 30 dernières années....
      Quant au sophisme de la cause unique, l’article précise aussi qu’on a en Occident une nette baisse de l’alcoolisme et de la consommation tabagique, ce qui ne peut qu’accréditer la piste du vaccin...encore faut-il daigner la suivre... question de rigueur et d’éthique à nouveau.
      Certes, il y a tout un ensemble de pollutions en augmentation, -et il est logique de penser que divers toxiques environnementaux peuvent également jouer ; se combiner entre eux (on sait qu’avec les métaux lourds par ex l’effet dose ne suffit pas, que d’infîmes quantités peuvent être à risques, surtout par l’effet cocktail...remarquez que ça n’écarte pas les vaccins pour autant)
      Toujours est-il que les promesses d’une baisse des cancers grâce au vaccin ne sont très clairement pas remplies en ce qui concernent le HPV et l’hépatite.


  • colibri 24 décembre 2018 09:59

    Ah mais ce que dit la courageuse Dr DELEPINE est très politiquement incorect , c’est pour ca que les moutons décérébrés qui avalent la propagande du système crient au scandale !


  • zygzornifle zygzornifle 24 décembre 2018 10:52

    Avec les 11 vaccins OBLIGATOIRES on sait a quoi s’attendre a l’avenir .....


    • zygzornifle zygzornifle 24 décembre 2018 15:14

      @Raymond75

       Quand on voit le nombre d’hallucinés qu’il y a à en marche ils ont une longueur d’avance concernant la puce cérébrale .....


    • zygzornifle zygzornifle 25 décembre 2018 12:46

      @Julien S
       il y a assez de métaux dans ces vaccins pour construire des bagnoles ....


  • njama njama 24 décembre 2018 11:31

    "Cette problématique nous a paru d’autant plus importante que le vaccin anti-hépatite B a été inclus dans les onze vaccins rendus obligatoires pour tous les enfants nés après le 1er Janvier 2018.« 

    En rendant obligatoire le vaccin hexavalent INFANRIX qui contient six valences (diphtérie, tétanos, polio, hib coqueluche, hépatite B) le ministère de Mme Buzyn a contourné l’injonction qui lui avait été faite par le Conseil d’État d’exiger du fabricant qu’il fournisse de nouveau le vaccin trivalent DTP (dipthérie, tétanos, polio) qu’il ne fournissait plus depuis 2008.

    C’est ce que l’on appelle une »forfaiture", au moins morale au plan déontologique, qu’il soit politique ou médical, puisque juridiquement ce crime d’un fonctionnaire n’existe plus.

    La santé publique a bon dos, quand on cède aux exigences des laboratoires qui produisent les vaccins.

    Après 25 ans de vaccin anti-hépatite B : augmentation du nombre de cancer du foie après vaccination !... quel retour de manivelle pour les vaccinolâtres !


  • njama njama 24 décembre 2018 11:45

    La présence du vaccin anti-hépatite B inclus parmi d’autres valences n’a rien de scientifique, elle n’a résulté que d’une stratégie commerciale du fabricant pour l’imposer aux pouvoirs publics.

    De l’aveu même d’icelui !

    Car vacciner des nourrissons avec un vaccin censé protéger des adultes contre des MST, cela pourrait-il être scientifique ?

    Le cas du vaccin contre l’hépatite B est donc sans conteste de la vente forcée, qui expose les enfants à des troubles neurologiques, et maladies appelées pudiquement aujourd’hui « auto-immunes ».

    Le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK)

    a donc cherché à créer un monopole et a commercialisé des vaccins multiples parce qu’il les trouvait plus rentables.

    Quelle gloire pour la santé publique !


    • njama njama 24 décembre 2018 11:47

      Déclaration de Jean Stéphenne qui a dirigé la branche vaccins chez GSK pendant 23 ans, en juin 2012 devant un parterre de chefs d’entreprise :

      « Nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B, c’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevets. Nous avons tous les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, eh bien vous allez devoir négocier avec nous. Je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful, et après on a développé des vaccins combinés, c’est à dire on a mis l’hépatite B avec tout autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets, et en faisant ça, on rendait évidemment les produits combinés protégés.
      Et donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça... » 


    • njama njama 24 décembre 2018 11:48

      source :  VIDEO. Envoyé spécial. Vaccins pour enfants : les labos font-ils de la vente forcée ?

      Une vidéo compromettante
      Pour deux cadres du laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) qui commercialise ce vaccin hexavalent, il s’agit d’abord de considérations de santé publique – lutter contre l’hépatite B –, et en aucun cas de raisons commerciales ou de rentabilité.

      Pourtant, Sophie Bonnet s’est procuré une vidéo datant de juin 2012, où l’on voit Jean Stéphenne, ancien directeur de la branche vaccin de GSK, se vanter de sa réussite. Il explique que GSK détient tous les brevets sur le vaccin contre l’hépatite B. En le combinant avec des vaccins non protégés par un brevet, le laboratoire étend son monopole sur l’hépatite B aux cinq autres vaccins  : « C’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful […] donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. » Le labo a donc commercialisé ces vaccins multiples parce qu’il les trouvait beaucoup plus rentables.

      Extrait d’« Envoyé spécial. Se soigner à quel prix ? » du 11 février 2016.

      https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-vaccins-pour-enfants-les-labos-font-ils-de-la-vente-forcee_1311677.html



  • Odin Odin 24 décembre 2018 12:37

    Merci à l’auteur pour ce nouvel article ainsi que de votre courage à publier ces vérités.

    Les marionnettistes ont impunément le droit de faire ce qu’ils veulent pour arriver où ils le souhaitent. Après quelques décennies, ils ont réussi à paupériser notre pays et pour sceller cette réalisation, d’y mettre à sa tête un de ses valets encore plus servile que les précédents et la France n’est pas une exception. 

    De même que pour l’OMS, l’Institut National du Cancer, la Ligue contre le cancer, les médias et bien sûr Agnès Buzyn et son mari Yves Lévy ancien président de l’Inserm qui peuvent rendre obligatoire depuis janvier 2018 cet empoisonnement volontaire des nouveau-nés.

    Que voir d’autre dans cette obligation vaccinale qu’un génocide programmé des futures générations qui avant de trépasser devront, pour certains et qui en auront encore les moyens, suivre des traitements lourds et très onéreux qui iront enrichir toujours plus les instigateurs de cette ignominie.


  • Galilée Galilée 24 décembre 2018 16:51

    Cela sent très fort la manipulation des chiffres :

    Si a Taiwan le nombre des K du foie tombe a zéro chez les enfants , le fait de doubler ou tripler ce chiffre rend le résultat négligeable ..

    Si encore le vaccin de l ’ Hepatite B était atténué , on pourrait comprendre le phénomène délétère , mais avec un virus tué , allez expliquer ça ???

    De même pour le Gardasil ...

    A prendre avec des pincettes ..

    Vous me semblez être du genre Evin qui délire sur les statines ...

    Pasteur doit se retourner dans sa tombe ..


    • njama njama 24 décembre 2018 17:55

      @Galilée

      Si encore le vaccin de l ’ Hepatite B était atténué , on pourrait comprendre le phénomène délétère , mais avec un virus tué , allez expliquer ça ???

      De même pour le Gardasil ...

      Vous détournez le problème, la question de la dangerosité d’un vaccin n’est pas (seulement) liée au fait qu’il s’agirait d’un virus vivant même atténué, ou non, car les fabricants ont construit des leurres si on peut dire qui ne valent pas forcément mieux, comme le rappelait déjà en 2013 le Dr Dupagne sur son site Atoute.org :

      GARDASIL Intérêt ? Risques ? Dangers ? [...]

      Retour sur le vaccin contre le virus HPV à l’occasion d’une plainte récente.

      La pratique actuelle a donc changé depuis un vingtaine d’années. Elle consiste à fabriquer par génie génétique des protéines présentes à la surface de ces germes, protéines spécifiques qui permettent à notre système immunitaire d’identifier ces virus et ces bactéries. Ces protéines/antigènes induiront la la fabrication et la mise en mémoire immunitaire d’anticorps spécifiques et n’exposent à aucun risque d’infection puisqu’ils ne contiennent aucun germe.

      Le problème, c’est que la simple injection de ces antigènes ne suffit pas à provoquer une immunité forte et durable. En effet, et heureusement pour nous, la simple mise en contact de notre système immunitaire avec un corps étranger ne provoque pas forcément une réaction immunitaire, sinon, nous serions tous multi-allergiques [1] !

      L’immunité faible et brève obtenue par l’injection d’antigènes est acceptable pour l’injection annuelle du vaccin antigrippal, mais pas pour les vaccins devant nous protéger plus de 50 ans comme celui contre les virus du cancer du col de l’utérus.

      Les chercheurs en vaccination ont alors imaginé un subterfuge : associer aux antigènes injectés des substances irritantes ou immunostimulantes (aluminium, L-Histidine, lipides...) qui provoquent les mêmes symptômes locaux qu’une infection : une inflammation. Ces produits sont appelés des adjuvants.

      Cette inflammation artificielle trompe les sentinelles de notre système immunitaire qui vont considérer que la présence conjointe de cette inflammation et de ces antigènes signe leur nature infectieuse, et vont donc déclencher la réaction immunitaire. Ces adjuvants augmentent donc considérablement l’intensité et la durée de l’immunité conférée par le vaccin.

      Pour accroître encore leur pouvoir immunisant, ces vaccins doivent être injectés dans un muscle et non juste sous la peau.

      Ces connaissances sont indispensables pour comprendre les risques liés aux vaccins.

      [...]https://www.atoute.org/n/article309.html


    • njama njama 24 décembre 2018 17:59

      @Galilée
      Les seuls virus, atténués ou non, ne sont pas les seuls éléments potentiellement carcinogène contenus dans les vaccins. Le Dr Dupagne concluait son article (lien ci-dessus) ainsi :

      Face à ce risque, il faut mettre en balance le bénéfice apporté par le vaccin. Or, ce bénéfice est à l’heure actuelle tout aussi mal connu que la fréquence des accidents graves imputables au vaccin.

      Le rapport bénéfice/risque est donc impossible à calculer, ce qui est très gênant.

      il me semble à titre personnel que cette vaccination aurait nécessité des exigences plus importante de la part des autorités sanitaires. Je n’aime pas que l’on fasse des paris sur la vie des gens, surtout sans les informer honnêtement de la nature du pari. L’intense lobbying de ses promoteurs a précipité la commercialisation de ces vaccins qui auraient mérité d’être mieux étudiés et promus avec moins de tapage.

      Tout ce que l’on peut dire actuellement du GARDASIL et du CERVARIX se résume ainsi « Ce vaccin n’apporte actuellement qu’un bénéfice hypothétique et il expose à un risque très rare d’accident grave »

      Il me semble que c’est peu pour justifier un tel battage publicitaire et une dépense de 400€ pour 400 000 jeunes filles tous les ans (160 millions d’euros). Une telle somme aurait peut-être été mieux utilisée en organisant au niveau national le dépistage par frottis, qui a fait ses preuves.


    • njama njama 24 décembre 2018 18:05

      @Galilée
      Ajoutons que si la loi concernant l’obligation vaccinale contre le vaccin anti-HPV passait, ce sont 400.000 garçons qui seraient également exposés directement à ces risques...

      Y-aurait-il tellement urgence en matière de santé publique en raison d’infos qui n’auraient pas été portées à notre connaissance pour faire passer cette loi à la hussarde ?


    • Galilée Galilée 25 décembre 2018 13:24

      @njama
      Les traces d ’aluminium dans un vaccin qu ’on injecte en tout et pour tout deux ou trois fois ne posent surement pas problème .
      L ’aluminium, il y en a partout , boites de chocolat , capsules nespresso etc ..
      Cet argument est une authentique foutaise ..
      L’efficacité du Gardasil contre les récidives de condylomes , est en soit une raison suffisante de le continuer et un élément de preuve de son action anti K à long terme


    • njama njama 26 décembre 2018 09:50

      @Galilée
      Les traces d’aluminium ingérées par voies alimentaires ne franchiront pas la barrière intestinale.
      Comparez ce qui est comparable, l’aluminium injecté par les vaccins ne s’élimine pas de l’organisme, on le retrouve dans les muscles au point d’injection, ce qui permet de l’identifier comme cause de fibromyalgies, et une partie peut migrer vers le cerveau...
      L’adjuvant  hydroxyde d’aluminium peut être remplacé par du phosphate de calcium. L’aluminium est étranger à la matière organique, contrairement au calcium. Intéressez-vous à la médecine orthomoléculaire si vous ne l’avez déjà fait

      Une bonne synthèse ici Dangers de l’aluminium des vaccins : L’ALU TOTAL !!!
      pour peu que vous preniez la peine de fouiller le sujet.
      Ou sur le site de l’Association E3M qui rassemble des personnes atteintes de myofasciite à macrophages

      http://www.asso-e3m.fr/

      ou VIDÉO 11’17 Dr Luciia TOMLJENOVIC : « L’aluminium a été commercialisé simplement en supposant qu’il était inoffensif »

      Le Professeur Lucija TOMLJENOVIC est Docteur en biochimie, Chercheuse au Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Canada), Rédactrice en chef adjoint de Journal of Alzheimer’s Disease. Également experte agréée auprès des tribunaux pour tous les problèmes liés à la vaccination.


    • njama njama 26 décembre 2018 10:43

      @Galilée
      L’efficacité du Gardasil contre les récidives de condylomes , est en soit une raison suffisante de le continuer et un élément de preuve de son action anti K à long terme.
      Le sujet porte sur le vaccin anti-hépatite B mais on peut faire un parallèle avec le Gardasil, l’un et l’autre, statistiques officielles à l’appui (suivez les articles et sources de l’auteur) n’atteignant pas les objectifs qu’ils s’étaient fixés mais l’inverse puisque le nombre de cancer du foie et cancer de l’utérus augmentent chez les vaccinés.
      Autre point commun, les principaux vecteurs de transmission, les deux étant supposés combattre des MST.
      N’oublions pas que le premier vecteur de transmission de l’hépatite (dite) B a été iatrogène (de iatros, « médecin »)

      par la transfusion sanguine avant 1991 (idem pour le VHC, et VIH), très loin devant les MST, ou prêts de seringues entre junkies, car pour ce qui est de la transmission par la salive, elle est hautement improbable et epsilonesque.

      Énorme bourde que la médecine n’inscrira pas dans ses Annales, et qui justifia probablement peut-être à elle seule la vaccination de masse contre l’hépatite B. Double peine !
      Dans les deux cas on a eu tromperie sur la marchandise, car il est absurde de penser que toute la population serait exposée à ces pathologies que l’on retrouve essentiellement chez les minorités sexuelles, et autres milieux déviants, ou « progressistes ».


    • njama njama 26 décembre 2018 10:52

      @Galilée
      L’efficacité du Gardasil contre les récidives de condylomes , est en soit une raison suffisante de le continuer ...
      L’argument ne permet pas de justifier de le recommander pour tous. Soulignons que la démonstration n’a pas jusqu’à présent pas encore été faite que les HPV seraient cause du cancer du col de l’utérus ! Présenter le vaccin anti-HPV comme un moyen de s’en prémunir peut s’assimiler à œuvre de bonimenteurs puisque les causes du cancer de l’utérus sont multifactorielles, ce qui est largement admis comme évidence. Pour mémoire :
      Facteurs de risque connus selon la Société canadienne du cancer :

      > Virus du papillome humain (VPH) La majorité des femmes qui développent un cancer du col de l’utérus ont déjà souffert d’une infection au VPH. ...
      > Tabagisme. ...
      > Accouchements multiples. ...
      > Activité sexuelle. ...
      > Système immunitaire affaibli. ...
      > Statut socio-économique. ...
      > Diéthylstilbestrol. ... (sinistrement connu en France sous le nom de Distilbène retiré du marché en 1977
      > Contraceptifs oraux.



    • Galilée Galilée 26 décembre 2018 18:19

      @njama
       Measurement of (26)Al by high-energy accelerator mass spectrometry has permitted more accurate analyses. In normal young rats, 0.05-0.1% of ingested aluminium is absorbed in the intestine, of which roughly half goes to the skeleton within 2 h, whereas the remaining half is excreted in the urine, most of it within 48 h.
      C’est moins négligeable que l’ plu du Gardais ..
      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11904352


    • Galilée Galilée 26 décembre 2018 18:22

      @njama
      J’ ai la nette impression que pour vous la vrai refference c ’est la médecine islamique ;=))


    • Galilée Galilée 26 décembre 2018 18:23

      @Galilée
      Supprimer un des facteurs et surement le plus délétère c ’est déjà pas mal et, dans ce cas , prophétiser est de l ’ordre du rationnel , ce par extrapolation .


  • stef 24 décembre 2018 20:33

    Pas étonné du tout . De l’argent public qui sert à engraisser des labos en pure perte voire à aggraver la santé des gens . Pauvres nourrissons gavés aux vaccins 


    • Galilée Galilée 25 décembre 2018 13:16

      @stef
       Le tétanos est plus que rarissime , la diphtérie est totalement éradiquée, la polio aussi , la typhoïde itou ,d’ après vous , c ’est l ’opération du St Esprit ??
      Si vous tenez absolument a ce que ces horreurs réapparaissent , ne vaccinez plus .
      On a le droit d ’être idiot mais pas d ’être dangereux ..


    • Odin Odin 25 décembre 2018 14:02

      @Galilée

      « c ’est l ’opération du St Esprit ? »

      Vous avez raison si le St Esprit c’est :

      principalement l’amélioration de l’hygiène (salle de bain, WC…)

      des réseaux de collecte des eaux usées

      du traitement des eaux usées

      des normes sanitaires sur l’alimentation etc…

      Où ces horreurs existent, il n’y a pas ces normes.


    • Galilée Galilée 25 décembre 2018 18:17

      @Odin

      Joseph Meister n ’ a pas attrapé la rage grace à l ’intervention de Jesus Cheist , c ’est sur et Pasteur n ’ y est pour rien .
      Le tétanos n’ a rien a voir avec les conditions d ’hygiène et est parfaitement eradiqué grâce au vaccin de Ramon .
      Dans les années 50—60 les conditions d ’hygiène étaient bonnes, le TRT de seaux usées n ’était pas moyenâgeux et la polio a fait des ravages , jusque’ à Salk ,l ’inventeur du vaccin.

      Décidément les dieux germaniques sont toujours aussi pervers ...


    • Galilée Galilée 26 décembre 2018 18:08

      @Julien S
      Ah ! Parce que évidement la rage n ’ a pas quasiment disparue , et Pasteur était un charlatan LOL !

      On a le droit d ’être très con mais pas celui de faire courir des risques d ’épidémies .

      Votre Agnés Buzyn est très provaccin , surement parceque Juive , elle adore répondre la Peste et empoisonner les puits .


    • Galilée Galilée 26 décembre 2018 18:11

      @Julien S
      Je n ’ avais pas bien lu votre post , d ’ou le suivant ;^)) qui va parfaitement à d ’autres !!!


  • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 27 décembre 2018 09:28

    La médecine selon les Delepine :

    « Le gardasil est dangereux, il provoque le cancer. »

    « Le vaccin contre l’hépatite B est dangereux, il provoque le cancer. »

    ...

    « Nous avons d’ailleurs justement écrit un livre qui en parle. N’hésitez pas à l’acheter et à en parler le plus possible afin que nous puissions nous en foutre plein les poches avec notre propagande mensongère. Nous partageons déjà nous même nos articles sur toutes les pages conspis des réseaux sociaux. »


    • njama njama 27 décembre 2018 12:03

      @les Vaxxeuses

      au moins les Delepine (pas comme vous) visitent les registres officiels du cancer de pays étrangers. Pour celui de la France, ils cherchent encore, vu qu’il n’existe toujours pas de registre officiel du cancer.
      Partant de cette énorme carence de données françaises, il est vrai que le ministère peut nous raconter n’importe quoi, sauf que quand on croise les données dans celles existantes (Suède, Norvège, Australie, Angleterre).

      Les Delepine des empêcheurs de croire en rond, des lanceurs d’alerte, tant pis si ça vous défrise smiley


    • njama njama 27 décembre 2018 12:11

      @les Vaxxeuses
      des lanceurs d’alerte il y en eut avant les Delepine, faudrait peut-être prêter attention à ce qu’ils disent...

       How many side effects will gona be enough for this vaccine to be pulled off ? »
      Combien d’effets secondaires seront suffisants pour que ce vaccin (HPV) soit retiré ? 
      à 21’10 dans la VIDEO HPV Vaccine Safety and Efficacy Issues : Dr. Tomljenovic’s in Vancouver, 2015.

      Post-licensure U.S. VAERS records (2006 - Nov 2013)
      ----------------------------------------------
      - 26.623 total adverse effects (effets indésirables)
      - 92 deaths (morts)
      - 534 life-threatening events (événements mettant la vie en danger)
      - 823 events resulting in permanent disability (événements entraînant une invalidité permanente)
      - 9.188 events requiring emergency hospitalization (événements nécessitant une hospitalisation d’urgence)
      -------------------------------------------------
      VAERS - Vaccine Adverse Event Reporting System (CDC WONDER VAERS Request http://wonder.cdc.gov/vaers.html)


    • njama njama 27 décembre 2018 12:26

      @les Vaxxeuses
      Tous les vaccins sont potentiellement dangereux. Les vaccins sont des produits sur lesquels il n’y a pas d’études pharmacocinétiques, pas d’études de
      mutagenèse, de cancérogenèse, de génotoxicité, de déficience de fertilité, et qui n’ont jamais été comparés à de « véritables » placebos, contrairement aux obligations préalables pour les médicaments avant mise sur le marché, et certains produits cosmétiques.
      De la science à géométrie variable qui ne penche pas en faveur de la confiance !
      L’INFANRIX est aujourd’hui injecté à tous les nourrissons !

      - Extraits de notices de vaccins GlaxoSmithKline :

      13.1 Carcinogenesis, Mutagenesis, Impairment of Fertility : INFANRIX has not been evaluated for carcinogenic or mutagenic potential, or for impairment of fertility.

      Notice GSK du vaccin Infanrix Pentavalent - (page 13/16) : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Infanrix-notice-US.pdf

      5.2 Pharmacokinetic properties : Evaluation of pharmacokinetic properties is not required for vaccines.

      Notice GSK du vaccin Infanrix Hexavalent - (page 12/51) : http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/EPAR_-_Product_Information/human/000296/WC500032505.pdf


    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 28 décembre 2018 12:35

      @njama
      Pourriez vous nous fournir les preuves concernant vos m̶e̶n̶s̶o̶n̶g̶e̶s̶ propos au sujet des tests des vaccins ?
      En vous remerciant.


    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 28 décembre 2018 12:37

      @njama
      Ah, le VAERS, super base de données où n’importe qui peut déclarer n’importe quoi. Comme par exemple le fait de se transformer en Hulk après un vaccin :
      http://momswhovax.blogspot.com/2011/10/incredible-hulk-vaccine-side-effect-or.html
      C’est super fiable ça comme source d’informations dites moi.
      En vous remerciant.


    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 28 décembre 2018 13:04

      @njama
      Et donc les Delepine vont voir les registres du cancer des autres pays ?
      Très bien, faisons comme eux alors. Prenons l’Angleterre par exemple.

      Si on regarde leur lien, on constate que la hausse du nombre de cancer du foie concerne majoritairement des personnes âgées de plus de 70 ans. OH ! Zut alors. Des personnes qui n’ont JAMAIS reçu de vaccin contre l’hépatite. C’est ballot. Mais ça, ils se gardent bien de le dire. Ça pourrait plomber les ventes de leur dernier livre. Et comme ce n’est pas vous qui allez faire l’effort d’aller vérifier leurs propos, c’est tout bénef !

      Les Delepine font toujours du cherry picking. Ils sélectionnent bien soigneusement les chiffres pour leurs faire dire ce qu’ils veulent.

      Comme par exemple dire que le vaccin contre l’hépatite B est un vaccin contre le cancer du foie. Le vaccin contre l’hépatite B est un vaccin contre l’hépatite B qui UNE DES CAUSES du cancer du foie. Ces gens sont des menteurs. Des malhonnête qui profite des esprits crédules comme le votre. A aucun moment il n’abordent non plus la problématique des cirrhoses et cancer liés à la nash. Pour des cancérologues, vous repasserez.


    • njama njama 28 décembre 2018 13:22

      @les Vaxxeuses
      Je laisse les Delepine répondre au procès d’intention méthodologique que vous leur faites...

      toutefois d’autres arrivent aux mêmes conclusions qu’eux :


    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 2 janvier 2019 11:25

      @njama
      Alors ça c’est splendide. Citer une fausse étude pour justifier ses propos. C’est magnifique. Mais bon, la qualité des sources, c’est pas votre polus grand soucis. L’essentiel c’est de propager les mensonges.
      On a donc ici une étude sur la Suède, publiée dans un obscur journal Indien connu pour ne pas être très regardant sur ce qu’il publie, par un certain Lars Anderson du Department of Physiology and Pharmacology, Karolinska Institutet.
      Sauf que pas de bol, il n’y a personne de ce nom là qui bosse là bas. Et ce faux profil a déjà été reconnu coupable de publication de plusieurs articles antivax frauduleux.
      https://ki.se/en/news/information-about-a-hpv-vaccine-study-published-in-the-indian-journal-of-medical-ethics
      https://www.skepticalraptor.com/skepticalraptorblog.php/fake-hpv-vaccine-researcher-worthless-fail/
      Magnifique.
      N’hésitez pas nous proposer encore d’autres articles.
      Vous nous ferez bien rigoler.


    • njama njama 9 janvier 2019 13:27

      @les Vaxxeuses
      vous avez lu l’article que vous donnez en lien jusqu’au bout ? un pseudonyme n’en fait pas forcément un « faux chercheur »...

      [...]So what did the Indian Journal Medical Ethics do next ? Well, according to Retraction Watch,

      The comment “Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination” was published in the Indian Journal of Medical Ethics online on April 30, 2018. The author gave his name as Lars Andersson, in the department of physiology and pharmacology, Karolinska Institute (KI), Sweden.

      On May 8, the KI informed us that its department of physiology and pharmacology did not have any person of this name and requested us to remove the name of the institution. So, on the same day a correction was carried out and the name of KI was removed and duly intimated to KI.

      Since then, we have investigated and learned the identity of the author. The author has said that he used a pseudonym because he believed the use of his real name would have invited personal repercussions from those opposed to any questioning of vaccines.

      This deception of the journal’s editors is unacceptable. The author could have asked the editors for confidentiality, giving the reasons. Editors may choose to publish articles without revealing the true name of the author, if it is determined that the circumstances justify it.

      However, we considered the matter and decided to keep the article on the site as the issues raised by it are important and discussion on it is in the public interest. The author’s true name is withheld at his request.

      https://www.skepticalraptor.com/skepticalraptorblog.php/fake-hpv-vaccine-researcher-worthless-fail/


    • njama njama 9 janvier 2019 13:35

      @les Vaxxeuses
      N’hésitez pas nous proposer encore d’autres articles.

      Notez que après cette petite controverse sur l’identité de Lars Anderson l’Éditeur The Indian Journal of Medical Ethics a toutefois maintenu sa publication !

      « However, we considered the matter and decided to keep the article on the site as the issues raised by it are important and discussion on it is in the public interest. The author’s true name is withheld at his request. »

      traduction : Cependant, nous avons examiné la question et décidé de conserver l’article sur le site, car les questions soulevées par celui-ci sont importantes et la discussion à ce sujet est dans l’intérêt public. Le vrai nom de l’auteur est retenu à sa demande.


    • njama njama 9 janvier 2019 13:46

      @les Vaxxeuses

      Notez aussi que les conclusions formulées sous le pseudonyme de Lars Anderson par ce suédois rejoignent tout à fait celles de l’auteur Delepine, ce qui se vérifie également dans les statistiques de l’Angleterre, de l’Australie, de Norvège si vous avez lu son précédent article*

      LE CANCER DU COL DE L’UTÉRUS AUGMENTE CHEZ LES POPULATIONS VACCINEES

      En Suède, d’après le registre officiel du cancer Nordcan [6] les filles appartenant au groupe d’âge vacciné ont vu depuis leur risque de cancer doubler !

      [6] http://www-dep.iarc.fr/NORDCAN/english/frame.asp

      * https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/alerte-informations-destinees-a-209976#_ftn6


  • njama njama 27 décembre 2018 12:32

    @les Vaxxeuses

    Les données du REVAHB l’Association des victimes du vaccin Hepatite B

    confirment d’ailleurs cette dangerosité en même temps qu’une très importante sous-notification des effets secondaires graves consécutifs aux vaccins. A croire que le principe de précaution en la matière ne concernerait pas plus les humains que les volailles ou les lapins.

    http://www.revahb.fr/ A l’heure actuelle, plus de 3000 personnes ont déclaré un effet secondaire post-vaccinal grave auprès de notre association.

     Les principales affections recensées au sein du REVAHB sont des maladies neurologiques (60%). Les scléroses en plaques (SEP) représentent bien sûr l’éventualité la plus fréquente (plus du tiers des victimes). D’autres maladies neurologiques plus rares sont aussi recensées : myélite (inflammation de la moelle épinière), maladie de Guillain Barré (paralysie des nerfs périphériques des membres), sclérose latérale amyotrophique (SLA), névralgie amyotrophique de l’épaule, surdité brusque… mais aussi des affections neurologiques atypiques ou inclassables, non moins invalidantes. Parmi ces maladies inclassables que la médecine refuse parfois de reconnaître ou oriente vers les services de psychiatrie, une nouvelle entité a été récemment isolée par des médecins français sous le terme de myofasciite à macrophages. Certaines de ces personnes concernées sont étiquetées fibromyalgies ou syndrome de fatigue chronique alors qu’elles ont des symptômes similaires.
     L’autre groupe important de complications post-vaccinales est représenté par des maladies « auto-immunes » (23 %) : lupus, périartérite noueuse, polyarthrite rhumatoïde, maladies thyroïdiennes, maladies digestives, diabète insulinodépendant, syndrome de Gougerot-Sjögren.
     Des affections ophtalmologiques spécifiques ont aussi été décrites : uvéite, occlusion de la veine centrale de la rétine... ou des maladies hématologiques à type de thrombopénie (baisse des plaquettes) ou même d’aplasie médullaire (destruction des cellules sanguines produites dans la moelle) parfois mortelle.

     Afin de tenter de dénombrer et de recenser au mieux tous ces effets indésirables plus ou moins connus ou reconnus, le REVAHB a travaillé depuis février 1998 en relation avec la Pharmacovigilance nationale (AFSSAPS), et continue depuis mai 2012 avec l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
     Cet organisme, sous la dépendance de la DGS (Direction Générale de la Santé), est chargé de recenser par les voies officielles tous les effets indésirables médicamenteux ou post-vaccinaux.
      Il est apparu qu’une sous notification importante existait en matière de déclaration des complications post-vaccinales. Lorsque nous avons croisé notre listing avec celui de l’AFSSAPS, il existait une minorité de doublons puisque 72% des dossiers transmis par le REVAHB n’étaient pas connus de l’Agence. Les actions du REVAHB complètent donc très efficacement le recensement officiel de ces affections post-vaccinales afin d’aboutir progressivement à une quantification la plus complète possible de ce problème de santé publique. Le REVAHB effectue donc depuis des années un travail régulier et gratuit de Pharmacovigilance avec, à ce jour, plus de 2 000 dossiers transmis.




    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 28 décembre 2018 12:29

      @njama
      Vous permettez que je vous corrige ?
      REVAHB l’Association des PERSONNES QUI SE CROIENT victimes du vaccin Hepatite B
      Corrélation, causalité, tous ça tout ça ...
      Voyez, j’ai raté mon permis de conduire l’année où j’ai reçu le vaccin contre l’hépatite B. Vous pensez que je devrais faire une déclaration à la pharmacovigilance ?
      En vous remerciant.


    • njama njama 28 décembre 2018 13:36

      @les Vaxxeuses
      en plus vous êtes cynique !
      on a déjà entendu la chanson avec l’affaire du sang contaminé, responsable mais pas coupable !
      Peut-être travaillez-vous au Conseil de l’Ordre des médecins qui lui aussi s’en soucie comme d’une guigne des effets secondaires des vaccins, et donc des français et françaises, quand pourtant dans l’autre main il pratique avec zèle la chasse aux sorcières, et fait la police contre les médecins qui oseraient seulement émettre des doutes sur l’opportunité de telle ou telle vaccination, sur les vertus réelles ou supposées de tel ou tel vaccin...

      SEP et vaccination anti-HBV ; Bernard Guennebaud répond à l’Ordre des Médecins, partie 1
      Lettre ouverte au Conseil national de l’Ordre des médecins, par Bernard Guennebaud, mathématicien
      Réponse de l’Ordre à B. Guennebaud, « les effets secondaires des vaccins ne nous concernent pas, leurs évaluations non plus »


    • les Vaxxeuses les Vaxxeuses 2 janvier 2019 12:54

      @njama
      Un mathématicien ? Super.
      Quelqu’un a expliqué à ce monsieur la différence entre corrélation et causalité ?


  • njama njama 27 décembre 2018 18:38

    INFO IMPORTANTE 15/09/2018 : Officialisation - Communiqué du Conseil d’administration :

    Le REVAHB est devenu officiellement le REVAV : réseau des victimes des accidents vaccinaux.

    Nous mettons nos 20 ans d’expérience au service de toutes les victimes de vaccins.

    Notre numéro de téléphone a changé, vous pouvez désormais joindre notre secrétaire au : 06 45 45 63 26.
     
    Nous continuons le combat et nous accueillons toutes personnes qui souhaitent travailler avec nous dans la défense des intérêts des victimes. 

    Nous avons une nouvelle page Facebook :
    https://www.facebook.com/reseauvictimesdaccidentsvaccinaux/
     
    Et nous avons créé un groupe Facebook pour vous permettre de communiquer entre vous :
    https://www.facebook.com/groups/2715746048451207/ 
     
    Nous continuons le combat et nous allons rencontrer les spécialistes de l’ANSM : Agence Nationale de Sécurité des Médicaments. 
    Nous avons activement participé à la marche des cobayes, et vous avez pu nous suivre sur Twitter et sur la page Facebook. 
     
    Nous donnons de la visibilité aux victimes. 
     
    Pour le conseil d’administration,
     
    Cathy Gaches


    • Galilée Galilée 28 décembre 2018 00:12

      @njama
      Il est nettement préférable de faire valoir l ’ association des rescapés des maladies mortelles que les vaccins ont protégés et qui, eux, se comptent par milliards ..

      Pour ce qui est de l ’ hépatite B le nombre incalculable de ceux que le vaccin a protégé ne peut en aucun cas se comparer aux petit nombres victimes d ’effets secondaires supposés ou même réels .
      Même une ambulance peur avoir un accident de la route lorsque ’elle fonce avec son gyrophare , et , même a l ’ arrêt si un camionneur saoul la percute et tue son passager .
      La vie est dangereuse , mais les vaccins sont infiniment moins dangereux que les maladies ..


    • njama njama 28 décembre 2018 10:50

      @Galilée

      Un Jésus français n’échapperait pas aux vaccins pour son entrée en crèche, à commencer par le BCG, qui bien que non obligatoire, qui bien que de nombreux pays l’ont abandonné depuis quelques décennies car trop dangereux [...] *, est trop souvent injecté systématiquement aux nourrissons sans l’accord des parents en raison de la nouvelle politique de vaccination BCG lancée en 2007...

      Et puis ensuite, à 2 mois, une piqure d’INFANRIX dans une fesse, une de PREVENAR dans l’autre, et rebelote deux mois plus tard.

      Ça frise le harcélement médical !

      * BCG épisode 1, comment cette affaire éclaire l’actualité vaccinale
      BCG épisode 2, Guérir la tuberculose avec de la tuberculine


    • njama njama 28 décembre 2018 10:58

      @Galilée
      A propos du vaccin contre l’hépatite B, Bernard Guennebaud *, auteur des 2 articles écrit dans son commentaire du 22 décembre 2018 à 22 h 45 min (2° article) :

      Sur le même thème voici un extrait de la « Note pour Monsieur le Secrétaire d’Etat à la Santé » transmise par l’Agence du Médicament le 21/09/98 et ayant pour objet : » Vaccins contre l’hépatite B – compte-rendu de la réunion internationale » tenue le même jour à cette Agence.

      « on ne peut pas exclure que la vaccination hépatite B puisse révéler ou faciliter le développement de ces affections démyélinisantes chez certains vaccinés. En effet, les trois études réalisées peuvent être considérées comme traduisant une telle tendance. »

      « Pour ce qui concerne les actions de santé publique à mener, deux positions ont été exprimées  :
      1- la première émanant du responsable du programme de vaccination contre l’hépatite B de l’OMS (le dr M. Kane) visant à surtout ne rien modifier à la politique vaccinale pour éviter de mettre en péril la campagne de vaccination universelle.
      2- la seconde proposition plus consensuelle a été de réévaluer le rapport bénéfices-risques en prenant en compte dans les différents pays à la fois l’épidémiologie de l’hépatite B et la politique vaccinale nationale. »

      La position de l’OMS rapportée dans ce compte-rendu montre clairement que le problème n’est pas de savoir si la vaccination hépatite B pourrait favoriser les atteintes démyélinisantes mais de tout faire pour que les populations et leurs médecins ne se doutent de rien et donc de ne rien faire qui puisse leur mettre la puce à l’oreille. Cela correspond tout à fait à ce que nous observons aujourd’hui pour les vaccins devenus obligatoires . Ce fut ainsi dans le passé pour la vaccination antivariolique, le BCG, la tuberculine etc

      ---------------------------------------

      * Bernard Guennebaud, mathématicien, représente sûrement le scientifique français le plus au fait s’agissant de la saga de la vaccination anti-tuberculeuse, sûrement parce qu’encore adolescent il a subi les conséquences très néfastes d’un invraisemblable surdosage en tuberculine qu’il a en partie raconté dans son livre (*).


  • Galilée Galilée 28 décembre 2018 15:26

    « on ne peut pas exclure que la vaccination hépatite B puisse révéler ou faciliter le développement de ces affections démyélinisantes chez certains vaccinés. En effet, les trois études réalisées peuvent être considérées comme traduisant une telle tendance. »

    Une SEP ( sclérose en plaque ) peut être révélée par une grossesse , une grippe, un conflit familial, une deuil , une choc post traumatique , une vaccination...Tous ces facteurs déclenchant ne sont pas la CAUSE de la maladie mais juste leur révélateur.

    Un sujet qui n ’est pas naturellement ,prédisposé à developper la maladie peut être vacciné contre l ’hépatite B sans le moindre risque .

    Question de malchance , comme toujours dans l ’existence quand un malheur n ’est pas vraiment prévisible ..

    Surement pas une raison d ’empêcher l ’immense majorité d ’être protégée ..


    • njama njama 28 décembre 2018 16:18

      @Galilée
      Surement pas une raison d ’empêcher l ’immense majorité d ’être protégée ..

      oh mais que ceux qui souhaitent être protégés contre l’hépatite B se protègent, on ne saurait les empêcher.
      Le mode de transmission étant essentiellement sexuel, d’où pourquoi imposer ce vaccin aux nourrissons  ?
      Que votre prêtiez des vertus à ce vaccin sur la foi d’arguments scientifiques qui vous satisfont, c’est bien votre droit, mais de l’imposer à des nourrissons cela n’a rien de scientifique, c’est de l’idéologie pure, de l’endoctrinement, c’est de la dictature sanitaire, ce n’est plus de la médecine.


    • njama njama 28 décembre 2018 16:54

      @Galilée

      et comme il n’y a pas d’explication ni raisonnable, ni logique, ni scientifique à ce que je considère comme du harcélement physique et traumatique sur les nouveaux-nés, les explications seraient peut-être à chercher dans les replis d’archaïsmes anthropologiques.

      Une symbolique sexuelle de l’acte vaccinal peut-être ? ou une symbolique de soumission à un ordre patriarcal ? comme peut l’être la circoncision. La pérennité du pouvoir, du monarque, de la seigneurie ou de l’État, reposant en bonne partie depuis toujours sur son rôle de protecteur de la Cité.
      La vaccination outil de la médecine coloniale également qui a servi tous les impérialismes, et continue plus que jamais de les servir.

      Après tout, avec des brochettes de « coupeurs de prépuces » aux manettes qui décident à notre place, pourquoi pas quelques résurgences inconscientes de mythes bibliques derrière la vaccination... Freud ne me contredirait peut-être pas


    • njama njama 28 décembre 2018 18:14

      @Galilée
      Question de malchance,...
      cependant selon l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) les effets indésirables des prescriptions médicales seraient annuellement responsables d’environ 128 000 hospitalisations, avec un nombre de journées s’élevant à 1,146 million et un coût financier estimé à quelque 320 millions d’euros (*).

      (*) AFSSAPS, La iatrogénie médicamenteuse, janvier 2001

      et (mystérieusement !!!...) les vaccins seraient complétement SÛRS à 100 % (si l’on en croit Mme Buzyn et son mari qui font partie de la secte des « coupeurs de prépuces » dont les rabbinous disent que les bébés mâles ne ressentent rien et ne risquent pas d’infections, JWH veillant sur son Peuple élu évidemment).
      Question de chance sûrement ?
      Admettons (vous voyez je suis gentil), mais alors les vaccins, une priorité de santé publique ? pour les nouveaux-nés qui gravitent le plus souvent normalement dans un environnement assez confiné, avec peu de promiscuité, et aujourd’hui dans des conditions d’hygiène jamais connues précédemment dans l’histoire).
      En auriez-vous vu qui trainaient leurs petits chaussons dans les rues, le métro, dans les rave-parties ?


    • Galilée Galilée 29 décembre 2018 01:38

      @njama
      Donc il s’ agit bien d ’une théorie complotante de très bas étage ..A peu prés aussi sérieuse que le protocole des Sages de Sion ..
      La dame Buzyn , aurait surement répandu la peste et empoisonné les puits si elle avait vécu il y a sept siècles ..
      Les circoncis par les Rabbins se portent en général bien , sont le plus souvent de bons élèves , et deviennent fréquemment médecins pour la grande joie de leur maman et leur papa ..
      Ils ont plutôt tendance a prolonger la vie humaine et évitent d ’expédier leurs semblables au paradis d’ Allah , comme vos petits copains ..
      Je vais vous révéler un secret : Allah , comme vous , déteste les vaccins , les remèdes , les médecins Juifs , et préfère de loin les pédiatres tueurs de gosses comme George Habbache , un de vos grands camarades ..


    • njama njama 29 décembre 2018 12:23

      @Galilée

      Face à ce phénomène sociologique des temps modernes, bien que les conditions d’hygiène n’aient jamais été égalées par le passé sur cette planète, notre ministère de la santé se préoccupe plus que jamais de distribuer l’onction vaccinale ! et de remonter les bretelles aux détracteurs et récalcitrants.

      Les Delepine ont parfaitement raison de parler d’ HYSTÉRIE VACCINALE, moins serait un euphémisme, laquelle ne traverse pas que la société française lobotomisée depuis longtemps par les mensonges de Pasteur.

      Nulle théorie complotante, il suffit juste d’observer l’ampleur mondiale du phénomène vaccinal pour s’apercevoir qu’il dépasse de simple vœux philanthropiques, ce qui rend la cause fort suspecte !

      La nature serait donc si mal faite après tant d’évolutions génétiques multimillénaires qu’il nous faudrait être TOUS inoculés pour corriger cette supposée fragilité immunitaire qui affecterait tout un chacun partout et en tous lieux ? Quel étrange paradigme ! se pourrait-il que l’hypothèse serait scientifique ?


    • njama njama 29 décembre 2018 12:31

      @Galilée

      un petit échantillon des grands philanthropes en question. Le ministère, et plus loin les gouvernements successifs se gardaient bien d’ébruiter ce genre de liens d’intérêts  !

      La France est le premier pays producteur de vaccins et exporte 85 % de sa production.« »Cette situation favorable doit être confortée par les pouvoirs publics par une politique ambitieuse d’installation et de maintien des sites de production," (Sénat, Rapport n° 476 (2006-2007)

      Investir dans la vaccination c’est investir dans l’avenir ?

      Pourquoi la France a intérêt à soutenir la santé publique en Afrique
      [........]

      C’est doter la coopération française d’une véritable stratégie, humainement forte, économiquement et financièrement efficace. C’est également permettre aux entreprises de s’impliquer davantage dans l’investissement socialement responsable. La France est en effet le 2ème contributeur de l’IFFIm (International Finance Facility for Immunisation) , un mécanisme international de financement pour la vaccination qui soutient les programmes de Gavi par l’émission d’obligations sur les marchés financiers. Le soutenir offre l’opportunité aux entreprises françaises d’investir dans des titres à impact social positif, combinant performance et responsabilité sociétale.

       Dans ce contexte, la France doit impérieusement apporter son soutien financier à la vaccination pour mettre en place une diplomatie économique fondée sur des impératifs d’efficacité au bénéfice de tous. De Dakar à Berlin via Davos, investir dans la vaccination c’est investir dans l’avenir.

      - Jean-Louis Bancel, président du Crédit Coopératif

      - Richard Bielle, président du directoire de la CFAO (Compagnie française de l’Afrique Occidentale)

      - Tanguy Claquin, responsable mondial Finance Sociale et Environnementale, Crédit Agricole CIB

      - Jean-Marc Leccia, président directeur général d’Eurapharma

      - Alexandre Vilgrain, président du CIAN (Conseil français des investisseurs en Afrique)

      - Philippe Zaouti, directeur général de Mirova (filiale Natixis Asset management)

       http://www.latribune.fr/opinions/tr...


    • njama njama 29 décembre 2018 12:38

      @Galilée

      Les compagnies pharmaceutiques à la manœuvre en Europe. Aucun lien d’intérêts vous pensez ? Pas de complot, pas de secret, il suffit de lire leurs déclarations sur leur site http://eswi.org/home/about-eswi/resources/

      The pharmaceutical companies supporting ESWI include :

       Hofmann-La Roche
       AstraZeneca
       GlaxoSmithKline
       Seqirus
       Sanofi Pasteur
       Mylan
       Janssen

      Manufacturers of influenza vaccines join forces in Vaccines Europe in order to promote a favourable climate for expanded vaccine protection and improved vaccine coverage in Europe. Manufacturers of influenza vaccines are assembled in the Influenza Vaccine Supply international task force to assist business leaders in ensuring adequate flu vaccine production capacity in the event of a pandemic, and to provide advice to health authorities regarding vaccination recommendations and delivery strategies.

      No exclusive rights to sponsorship exist. ESWI is pleased to discuss sponsorship opportunities with any organisation (commercial, non-profit, educational) interested in supporting and facilitating its long-term objectives. Potential sponsors are invited to contact the ESWI management : [email protected]


    • Gérard 18 janvier 2019 13:38

      @njama

      "... la société française lobotomisée depuis longtemps par les mensonges de Pasteur.

      « 

      Ah bien, c’est sûr que si c’est Marc-André Cotton qui le dit ... Qui ça ? Marc-André Cotton ? C’est qui lui ?
      C’est un psycho-historien ... qui cite des sources hautement discutables : Louis de Brouwer WTF !!!) et qui veut remettre en question 200 ans de médecine scientifique !

      Vous paraissez vachement crédible njama avec vos références !

       »La nature serait donc si mal faite après tant d’évolutions génétiques multimillénaires qu’il nous faudrait être TOUS inoculés pour corriger cette supposée fragilité immunitaire qui affecterait tout un chacun partout et en tous lieux ? Quel étrange paradigme ! se pourrait-il que l’hypothèse serait scientifique ?

      "

      Waouw, faut arrêter de lire Nexus et Initiative Citoyenne mon vieux. Çà attaque le cerveau.


  • njama njama 28 décembre 2018 18:25

    dédicace @les Vaxxeuses 

    et @Galilée

    Pasteur et la République
    par Marc-André Cotton, article est paru dans la revue Regard conscient No 13 (décembre 2003)

    Résumé : Les hommes s’aveuglent sur les conséquences de leur compulsion à empoisonner le vivant sous prétexte de le protéger. Un éclairage sur les processus inconscients qui sous-tendent l’acte vaccinal.

    [...] Pourquoi, malgré cela, la mise en cause des dogmes pasteuriens suscite-t-elle tant de résistances, dans le corps médical comme auprès du public ? À quoi faut-il attribuer l’aveuglement collectif qui permet à l’industrie médicale de renoncer impunément au fameux précepte « primum non nocere » ? (3)

    Rituel salvateur

    À la fin du XIXe siècle, la France avait de bonnes raisons de promouvoir les vaccinations. Après des années de guerre, s’amorçait une seconde révolution industrielle. Le peuple espérait toujours que la bourgeoisie allait l’associer à son ascension économique et le sortir ainsi de la misère. Or, il était indéniable que celle-ci se développait sur son exploitation. Les liens entre maltraitances, conditions de vie et maladies étaient mieux perçus. Il fallait donc au pouvoir républicain un intermédiaire qui donnerait l’illusion qu’il se souciait réellement de la souffrance des gens. Pour ne pas remettre en cause les mentalités dominantes, il imposa un rituel qui précipita le refoulement de ces souffrances, individuellement et collectivement : les campagnes vaccinales financées par la République.

    Les maladies infectieuses devinrent un support inconscient qui occultait toutes les agressions relationnelles étouffant la conscience et la vitalité de l’enfant tout au long de sa croissance, en particulier la violence exercée contre lui par le père (lire ci-dessous). Avec Pasteur – comme il l’avait prétendument démontré avec sa vaccination –, il devenait possible de combattre les pestes de toutes sortes et de purifier la nation de pollutions fatales. Ce fervent catholique permit de réactiver la foi chrétienne en une autorité salvatrice sans trahir l’esprit laïque, en focalisant « scientifiquement » l’origine du Mal sur un corps étranger. Sa gloire fut le produit d’une propagande minutieusement orchestrée et les vaccinations furent utilisées comme instruments de cohésion sociale. Devant l’ampleur de cette idéalisation, il n’est pas étonnant d’apprendre que Louis Pasteur ait truqué nombre de ses expériences les plus célébrées, pour obtenir le crédit public qu’il convoitait.
    [...]
    lire la suite http://www.regardconscient.net/archi03/0312pasteur.html


  • Galilée Galilée 29 décembre 2018 19:40

    « il n’est pas étonnant d’apprendre que Louis Pasteur ait truqué nombre de ses expériences les plus célébrées, pour obtenir le crédit public qu’il convoitait. »

     ;^)))

    Si le Diable existait , il aurait des portes paroles du genre Oussama, Mengele et Njama ..


  • njama njama 30 décembre 2018 14:14

    @Galilée

    En tous cas, la coercition vaccinale exercée par les pouvoirs publics ne semble pas vous étrangler. Pas plus que leurs mensonges, la variole n’a jamais été vaincue par « la seule vaccination », quoiqu’en disent quelques blouses blanches haut-perchées, les documents de l’OMS démontrant le contraire.

    La coercition est un point non négligeable à prendre en compte dans l’Histoire de la vaccination, tant elle s’apparente à des pratiques sectaires, ou fascistes (expression d’un système politique autoritaire qui associe populisme, nationalisme et totalitarisme au nom d’un idéal collectif suprême... la « santé publique » ?)

    Une Histoire émaillée de procédés ultra-violents que l’on peut qualifier de terroristes, surtout sous les latitudes coloniales et pas que militaires comme nous le rappelle Bernard Guennebaud sur son Blog :

    When they ran, we chased. When they locked their doors, we broke down their doors and vaccinated them. »

    Quand ils couraient, nous les pourchassions. Quand ils barricadaient leurs portes, nous fracassions leurs portes et les vaccinions.

    Il existe de cela un exemple historique décrit par l’historien Paul Greenough [4] dans une étude intitulée [5] :

    « Intimidation, coercition et résistance dans l’étape finale de la campagne d’éradication de la variole en Asie du Sud - 1973-1975 »

    Ce processus est apparu quand on a remplacé la vaccination des contacts par la vaccination en anneau en 1973. Auparavant l’équipe interrogeait les villageois pour éviter de vacciner les anciens varioleux et ceux qui avaient été récemment vaccinés. Trop long, perte de temps, trop sous la dépendance de l’interrogateur...Il fut alors décidé de vacciner systématiquement tous les villageois quelque soit leur statut et donc sans leur adresser la parole ni échanger avec eux.

    Effet produit : les chiens sont lâchés !

    Selon ce que rapporte Greenough cette mesure donnera lieu à des pratiques ’’quasi militaires’’ où les vaccinateurs n’hésiteront pas à enfoncer les portes quand elles étaient fermées, à vider les femmes et les enfants de leur lit et même des latrines pour les vacciner de force, à laisser le village dans ’’le chaos’’.

    Extrait en anglais :Grenough page 635, colonne 2 - 636 colonne 1 [5] :

    « The actual application of containment so defined, however, often produced chaos in the affected villages.

    The initial stage in the evolution of a coherent containment policy was marked by an almost military style attack on infected villages . . . . In the hit-and-run excitement of such a campaign, women and children were often pulled out from under beds, from behind doors, from within latrines.

    Almost invariably a chase or forcible vaccination ensued in such circumstances ... We considered the villagers to have an understandable though irrational fear of vaccination ... We just couldn’t let people get smallpox and die needlessly. We went from door to door and vaccinated.

    When they ran, we chased. When they locked their doors, we broke down their doors and vaccinated them. »

    Quand ils couraient, nous les pourchassions. Quand ils barricadaient leurs portes, nous fracassions leurs portes et les vaccinions.


    source : http://questionvaccins.canalblog.com/archives/2012/02/16/23536676.html


  • njama njama 30 décembre 2018 18:58

    @Galilée

    Galilée comment se fait-il que le pays qui vaccine le plus au monde, 26 doses de vaccins pour les nourrissons âgés de moins de 1 an aux États-Unis - le taux le plus élevé dans le monde -, a le taux de mortalité infantile le plus élevé au monde, 6,1/1.000 !

    Un « paradoxe » comme disent les Delepine ! un de plus concernant les vaccins censés protéger l’enfant.

    Figure 1 Infant Mortality Rates 2010


    • Gérard 18 janvier 2019 13:00

      @njama

      Oh comme c’est comique !
      Le site où vous avez pioché votre lien est un site pro-vaccin (Vaxopedia).

      Et l’un des enseignements qu’ils tirent de ce graphique est (en prenant notamment pour exemple le Japon) :
      "There is no correlation between the number of vaccines that a country gives and their infant mortality rate.

      "

      Vos méthodes sont décidément nauséabondes !


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