jeudi 8 août 2013 - par Initiative Citoyenne

Effets du vaccin ROR : des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

Nello, le fils de Lionel et Sandrine

Les parents du petit Nello nous ont fait part du drame qui leur est arrivé : leur fils, Nello, né le 17 octobre 2010, et qui était en parfaite santé jusque là, a vu sa santé gravement se détériorer après la deuxième dose de vaccin ROR (Priorix). Malgré de multiples examens qui ont mis en lumière des troubles neurologiques, Sandrine et Lionel ont pu se rendre compte de l'énorme tabou en matière d'effets secondaires vaccinaux. A l'heure actuelle, Nello ne sait toujours pas parler, marcher, tenir des objets ni soutenir sa tête et son dos. Il présente aussi une gastrotomie percutanée, soit un trou dans son estomac parce qu'il ne sait pas être alimenté normalement. Ses parents, désemparés, se demandent ce que leur enfant va devenir. C'est pourquoi, ils lancent un appel en vidéo, une "bouteille à la mer", dans l'espoir que les parents d'autres enfants victimes puissent les contacter pour les informer d'effets similaires ou tout simplement partager leur expérience.

En tant que collectif citoyen bénévole consacré à la thématique des vaccins, nous ne pouvons que nous poser la question suivante : qu'arriverait-il si les parents de TOUS les autres enfants victimes de vaccins de par le monde se mettaient à faire comme Sandrine & Lionel et témoignaient eux aussi en vidéo ?

Il convient tout de même de se rappeler à ce sujet que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement notifiés et donc comptabilisés. C'est ce qui ressort d'un article faussement rassurant paru en novembre 2011 dans la Revue du Praticien (une revue médicale professionnelle). Voyez par exemple aussi ci-dessous comment l'ancienne Afssaps représentait cette "sous-notification inévitable" des effets secondaires vaccinaux dans un document de 2007 consacré à la pharmacovigilance de ces produits (cfr p.5)

Par ailleurs, cet article de la Revue du Praticien comporte d'autres aveux assez accablants en défaveur de la prétendue sécurité vaccinale :

- En page 2 de cet article, on peut en effet notamment lire qu' "il n'y a pas de consensus sur les éléments chronologiques ou sémiologiques de l'imputabilité d'un vaccin dans la survenue d'un effet indésirable (EI)." En d'autres termes, cela signifie donc qu'il n'y a aucun accord au sein même du monde médical sur le timing de survenue ou sur la nature des symptômes à réunir pour pouvoir incriminer l'un ou l'autre vaccin. De là, certains idéologues tentent habilement d'opérer le glissement selon lequel "pas d'accord" signifie "effet secondaire non prouvé" et donc de là aussi le fait qu'on ne parle jamais aux parents que des seuls effets sur lesquels la communauté médicale serait tombée d'accord, à savoir la fièvre ou la douleur au point d'injection ! Nous avons toutefois dévoilé le dessous des cartes lorsque nous avons publié sur notre site internet des documents confidentiels des fabricants de l'Infanrix Hexa et du Prevenar (respectivement GSK et Pfizer) tels qu'ils ont été communiqués aux autorités (qui sont donc tout à fait au courant) : des documents qui démontrent noir sur blanc que les effets secondaires des vaccins sont autrement plus graves, plus fréquents et plus variés que ce qu'on dit aux parents et que ceux-ci se comptent en centaines.

- Un deuxième aveu non moins important, tel qu'on peut le lire dans cet article de la Revue du Praticien, et qui figure en page 1 est formulé de la façon suivante : "Au moment de l’AMM, les données issues des essais cliniques ayant inclus quelques centaines ou milliers d’individus sélectionnés permettent de préciser l’efficacité du vaccin sur des marqueurs souvent biologiques (taux d’anticorps protecteurs) mais rarement sur le marqueur clinique pertinent qu’est la prévention de la maladie. Le profil de tolérance est décrit, mais seuls sont identifiables les effets de survenue précoce, d’incidence relativement élevée (réactions locales, fièvre). Les effectifs des essais pré-AMM sont insuffisants pour identifier les risques rares. La pharmacovigilance du vaccin est donc indispensable après l’AMM." Cela signifie donc, en d'autres termes, que les autorités sont au courant, dès avant l'attribution d'une autorisation de mise sur le marché à un vaccin, que les effets secondaires statistiquement plus rares mais pouvant être très graves restent non étudiés et leur fréquence non évaluée ! Tout fonctionne donc de façon expérimentale, "on pense que" mais on n'a aucune preuve, on prétend aux gens que le rapport bénéfices/risques est favorable alors qu'on n'en a strictement aucune idée. Et à ce sinistre petit jeu-là qui consiste à agir d'abord puis à réfléchir ensuite, il semble bien possible que les effets secondaires graves, y compris les décès, s'avèrent nettement plus élevés, si on veut bien tenir compte de la sous-notification, que le nombre de complications naturellement normalement attendues en l'absence de la moindre vaccination...

Ainsi, si on ne prenait QUE le seul cas de Nello, mais il y a bien d'autres effets secondaires graves du ROR chaque année en France, on arriverait, si on tient compte de la sous-notification, à un nombre 10 à 100 fois plus élevé de victimes. Imaginez tous les gens qui ont déclaré ces effets et qui se comptent sûrement en dizaines et même en centaines, et multipliez cela par 10 ou par 100. Il n'est guère difficile de se rendre compte que même sans aucune vaccination, il n'y aurait jamais autant de victimes de complications naturelles de la rougeole dans un état industrialisé comme la France. Pays où, rappelons-le tout de même, la mortalité par rougeole avait déjà baissé spontanément de 99,5%, sans le moindre vaccin, entre 1906 et 1983, selon les données de l'annuaire statistique de France.

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Evolution de la mortalité rougeoleuse en France
Extrait du livre « Vaccinations, les vérités indésirables » de Michel Georget, Editions Dangles.

En outre, il faut aussi, selon nous, prendre en compte l'absurdité de revacciner aussi précocement et aussi aveuglément des enfants qui ont déjà eu une dose de vaccin ROR. Pourquoi ? Parce que, comme cela est très bien expliqué dans le dernier livre de Virginie Belle, "Faut-il faire vacciner son enfant ?", selon l'étude de Daï Bin (*) menée pendant 15 ans en Chine, il n'y a pas d'effet de rappel, quel que soit le temps écoulé après une première dose. En effet, le taux d'anticorps atteint après une seconde dose est environ 10 fois inférieur en moyenne à celui obtenu après une première dose. Mieux, plus les doses sont rapprochées, plus la concentration en anticorps diminue rapidement. La proportion d'individus qui deviennent séronégatifs quelques années après la seconde dose est d'autant plus importante que les taux initiaux d'anticorps étaient faibles. Par exemple, 76% des 25 enfants revaccinés deux à trois ans après une première dose et qui avaient des titres d'anticorps inférieurs à 2 sont devenus séronégatifs. La seconde dose ne prolonge donc pas la durée de l'immunisation conclut Daï Bin. Alors, pourquoi existe-t-elle ? Pour être en adéquation avec les objectifs fixés par l'OMS en vue de l'élimination de la rougeole. En France, cet objectif a été formalisé en 2005. On pense en effet que 5 à 10% des nourrissons vaccinés ne seraient pas immunisés après la première injection. A cette proportion d'enfants s'ajoutent 10% de nourrissons non vaccinés. [... ] Cette seconde dose (de vaccin) n'est en fait pas présentée comme un rappel mais comme une deuxième chance d'immunisation pour les 5 à 10% de sujets qui n'ont pas été immunisés par une première dose. Cette seconde vaccination est donc INUTILE pour les 90 à 95% d'enfants déjà immunisés avec la première dose." En d'autres termes, lors d'une seconde dose de ROR, les parents qui n'en sont hélas jamais informés doivent savoir que c'est seulement (dans le meilleur des cas !!) 5 à 10% de bénéfices, et encore, parce que tout rougeoleux ne développerait pas forcément des complications graves, contre tout le vaste champ des effets secondaires qui est à nouveau de mise à chaque injection du moindre vaccin, tel une sinistre roulette russe. Tout cela, parce que les autorités jugent "trop coûteux" de systématiser un dépistage sanguin préalable à une seconde dose de ROR, un test qui ferait perdre des millions d'euros aux fabricants de vaccins avec des millions d'enfants à ne pas revacciner. Au lieu de cela, des enfants, comme c'était peut-être le cas de Nello, auront un effet contreproductif, même au niveau du taux d'anticorps avec une seconde dose : une sorte de tout à perdre et rien à gagner ! Sans compter que tout est ici misé sur la seule présence d'anticorps alors que de récentes recherches tendent à montrer que les anticorps ne seraient pas du tout indispensables pour se défendre contre divers virus.

Ce que les parents de Nello ont fait, ce témoignage-vidéo, c'est à la fois courageux et constructif. Cela rappelle ce que les enfants risquent sans le savoir, parce que leurs parents ont été désinformés et surtout culpabilisés. Ce genre de témoignage est fondamental, tout spécialement à une époque où divers pays (Suisse, Pays-Bas et même la France) ont envisagé de rendre le vaccin ROR obligatoire !

Alors que de prétendus "experts" très renommés comme Paul Offit, et qui trouvent hélas un écho dans le monde entier, osent affirmer que "les vaccins sont la chose la plus sûre que nous puissions introduire dans nos organismes (encore plus sûrs que les vitamines a-t-il dit !)", il importe de nous rappeler que les enfants accablés par une batterie consternante de vaccins, sont tout bonnement incapables de verbaliser et de décrire en détail le malaise et les effets de tous ces vaccins qu'on leur administre en série. Un atout évidemment considérable pour Big Pharma qui rêve pour cette même raison de voir ses vaccins anti-HPV (papillomavirus ou fausse appellation de "vaccins contre le cancer du col de l'utérus") être administrés à de fragiles nourrissons, ce qui pourrait constituer alors une sorte de "palliatif" au tollé croissant que suscitent ces vaccins risqués chez les adolescentes qui sont d'ailleurs de plus en plus nombreuses à témoigner du désastre.

Les victimes de vaccins, et les parents d'enfants victimes de vaccins gagnent réellement à se faire entendre partout, dans tous les pays, et en différentes langues. Il est essentiel que ces victimes puissent échanger entre elles, prendre contact avec la presse, se fassent entendre en vidéo ou par écrit et qu'elles échangent entre elles sur les possibilités d'action en justice qui sont les leurs. Il n'y a en effet QUE de cette façon que le monde entier pourra se faire une plus juste idée du rapport bénéfices/risques REEL des vaccins "sauveurs de vie."...

(*) BIN (Daï), ZHIHUI (Chen), QICHANG (Liu), TING (Wu), CHENGYING (Guo), XINGZI (Wang), HANHUA ( Fang), YONGZHONG (Xiang), "Duration of Immunity Following Immunization With Live Measles Vaccine : 15 Years of Observation in Zhejiang Province, China.", Bulletin of the World Health Organisation, 69 (4), 1991, pp. 415-23.



122 réactions


    • Julie Julie 15 août 2013 00:15

      oh ciel... c’est à ce point ? faut que je continue à vous expliquer de la ... médecine ?!?!

      Tropisme bien sur... mais il n’y a pas de GPS ou de téléportation pour éviter les capillaires sanguins, la lymphe et le liquide intersticiel qui sont sur le chemin entre la toxine et la terminaison nerveuse et contiennent les anticorps...(et il n’y aurait pas un tout petit tropisme de rien du tout non plus entre toxine et anticorps ? smiley )
      et à un moment donné, sans anticorps, les terminaisons nerveuses locales finiraient par saturer de toute façon, les toxines iront donc se faire voire ailleurs...

      Tétanos généralisé signifie que cela commence au niveau des machoires. Les symptomes apparaissant ensuite dans un ordre descendant le long du corps.

      Si toutes les toxines remontaient un seul et même axone (pour vous faire plaisir, en squizzant la circulation générale et tout le reste) depuis, disons, le petit orteil gauche vers le système nerveux central, alors les symptomes apparaitraient en ordre ascendant, ce qui n’est pas observé dans la grande majorité des cas de tétanos qui sont descendants.

      Par contre, si les toxines passent par la circulation générale, la circulation générale étant plus rapide que la remontée de la toxine dans un axone vers le système nerveux central, et toutes les terminaisons nerveuses motrices étant alors concernées, c’est le nerf le plus court qui disjoncte le premier. Oh, ben c’est ce qui est observé. Dingue. La toxine passe par la circulation générale. Scoop Scoop... ah ben non, tout le monde le savait déjà...


    • doctorix, complotiste doctorix 15 août 2013 09:39

      Ici, vous verrez que l’incubation du tétanos peut durer jusqu’à 6 semaines :

      Quarante deux jours !
      Pourquoi pas six mois ?
      Ne dirait-on pas que la toxine préfère l’omnibus de la voie nerveuse au TGV de la voie sanguine ?
      Votre bacille de Nicolaïev est quand même un chanceux : il ne rencontre pas de vaisseaux sanguins pour lui apporter l’oxygène qui le tuerait, mais il en trouve pour transporter sa toxine dans l’organisme.
      Vous savez, Julie, plutôt que de me donner des cours de maternelle, essayez de comprendre que ce que dont vous essayez de me convaincre, je l’ai professé et pratiqué pendant trente ans avant d’y renoncer dans la douleur.
      Tâchez d’avoir un peu plus de respect pour vos adversaires.
      J’en sais autant que vous sur le sujet, majoré de quelques connaissances supplémentaires qui m’ont fait douloureusement renoncer à mes convictions, comme vous finirez par le faire.
      Vous trouverez dans les trois liens qui suivent de sérieux motifs de doute, et de bonnes raisons de ne plus vous ranger aux côtés des assassins :
      par exemple, on peut lire ceci :
      « C’est à plusieurs reprises que des décès de nourrissons ont été liés à l’utilisation du vaccin pentavalent. Le Bhutan, le Sri Lanka, le Pakistan et le Vietnam ont déjà interdit ce vaccin. Le Bhutan l’a interdit après le décès de quatre bébés, mais l’aurait apparemment rétabli suite aux exhortations de l’OMS, puis l’a, à nouveau interdit après la mort de quatre nouveaux bébés.
      Or quatre bébés déclarés morts, ce sont dans la réalité de 40 à 400 décès, puisque seul un effet indésirable sur 10 ou 1OO est déclaré.
      Voici donc les trois derniers articles d’initiative citoyenne :
      Loi sur les épidémies & votation du 22 septembre : pourquoi les Suisses doivent dire NON ! (Une contribution très intéressante du Dr Françoise Berthoud)
       
       
      Vaccins : des patients qui agissent en vrais consommateurs
       
       
      Un pédiatre indien dénonce le rapport bénéfices/risques défavorable du vaccin pentavalent
       

      Bonne lecture, et qu’elle vous ouvre les yeux !

    • Julie Julie 15 août 2013 10:19

      « Ici, vous verrez que l’incubation du tétanos peut durer jusqu’à 6 semaines »

      et alors ? Le temps que les bacilles se mettent à émettre les toxines (les toxines sont d’ailleurs libérées au moment de la mort du bacille...), que les toxines diffusent de la plaie jusqu’à la circulation générale, et le temps que la toxine remonte un axone (quelques cm par jour), ca peut être long. Par contre la vitesse de la circulation générale sanguine, ca peut aller jusqu’à 20-40 cm par seconde...

      « Ne dirait-on pas que la toxine préfère l’omnibus de la voie nerveuse au TGV de la voie sanguine ? »

      Si c’était le cas, vous auriez des tétanos ascendant et non descendant commençant par la machoire. La toxine qui passe dans le sang et se rend au niveau des nerfs de la machoire (nerfs courts) atteindra plus vite le Système nerveux central que la toxine qui remonte un axone depuis l’orteil.

      « Votre bacille de Nicolaïev est quand même un chanceux : il ne rencontre pas de vaisseaux sanguins pour lui apporter l’oxygène qui le tuerait, mais il en trouve pour transporter sa toxine dans l’organisme. »

      la toxine vit sa vie toute seule comme une grande. Rien ne l’empêche de diffuser. D’ailleurs si elle ne diffusait pas et restait collée à son bacille lysé, elle n’irait pas non plus dire coucou aux axones locaux.

      non mais sérieusement, vous êtes médecin en exercice ?


    • doctorix, complotiste doctorix 15 août 2013 10:48

      Vous savez donc que le toxine parcourt quelques centimètres par jour le long des axones.

      C’est donc que vous connaissez la voie nerveuse, et d’autant mieux que vos sources sont fournies par votre patron. En effet, il n’est pas de site sensible sur la vaccination qui ne soit infecté par un ou plusieurs gardes-chiourmes de Big Pharma pour tenter de maintenir la chape de plomb du mensonge, trop d’intérêts étant en jeu. Et, à part vous (le vieil ours m’a plutôt l’air d’un benêt), je ne vois personne pour remplir ce rôle.

      Quand à la voie sanguine, si elle existait, il n’y aurait aucune raison qu’elle ne donne pas lieu à la formation d’anticorps spécifiques : leur absence exprime clairement que le système immunitaire ne rencontre pas la toxine, même en petite quantité : le vaccin lui-même n’est pas si riche que ça en anatoxine, et provoque cependant l’apparition d’anticorps. De plus, le système immunitaire est extrêmement réactif et rapide, grâce au ciel.
      Et puis, arrêtez ce petit jeu sur mon titre, mes connaissances et ma profession, c’est un peu lassant, et ça sent l’argument de ceux qui n’en ont plus. De toutes façons, nous ne sommes maintenant qu’entre nous, vous savez parfaitement ce qu’il en est. Vous n’avez plus personne à impressionner, ni à tromper.
      Jusqu’ici, vous étiez disciple d’une fausse doctrine, mais honnête. Maintenant, je ne peux pas imaginer que vous n’ayez pas fini par comprendre comme j’ai fini par le faire. Vous n’êtes plus une fanatique intégriste, mais vous êtes devenue complice de crime.
      Est-ce que votre salaire justifie cette malfaisance, c’est à vous de voir.

    • Julie Julie 15 août 2013 11:40

      « Vous savez donc que le toxine parcourt quelques centimètres par jour le long des axones. »

      Si vous le savez aussi, comment expliquez-vous le tétanos généralisé débutant par la machoire, peu importe le site de la plaie ? Comment expliquez-vous le transport de la toxine jusqu’à la terminaison des nerfs moteurs de la machoire, sans passer par la circulation générale ?

      « Quand à la voie sanguine, si elle existait, il n’y aurait aucune raison qu’elle ne donne pas lieu à la formation d’anticorps spécifiques : leur absence exprime clairement que le système immunitaire ne rencontre pas la toxine, même en petite quantité : le vaccin lui-même n’est pas si riche que ça en anatoxine, et provoque cependant l’apparition d’anticorps. De plus, le système immunitaire est extrêmement réactif et rapide, grâce au ciel. »

      Vous tournez en rond pour faire semblant de ne pas comprendre. La toxine est terriblement toxique, un des plus toxiques qui soient (si pas la plus toxique connue...). On devient malade sans que le système immunitaire ait remarqué quoi que ce soit. Les doses d’anatoxine présentes dans le vaccin n’ont rien à voir avec les doses en jeu en cas d’infection naturelle.

      la dose létale de toxine est de l’ordre du nanogramme par kg de poids (une aiguille dans un botte de foin). Par contre, un vaccin contient 20-40 UI d’anatoxines, bien assez pour développer des anticorps, comme cela est constaté lors des tests sanguins.


    • doctorix, complotiste doctorix 15 août 2013 14:41

       On devient malade sans que le système immunitaire ait remarqué quoi que ce soit.

      D’où tenez-vous cela ?
      Y-a-t-il une seule bactérie, un seul agent étranger qui, introduit dans l’organisme, ne provoque immédiatement une réaction immunitaire, la formation d’un anticorps spécifique et une absorption par les macrophages ?
      Heureusement pour vous, non.
      Même un agent propre à l’organisme, mais dont l’origine est étrangère, provoque cette apparition d’anticorps dirigé contre l’hôte, et donne une maladie auto-immune, comme c’est le cas du squalène. On a pu obtenir des anticorps contre l’hormone gonadotrophine chrionique intégrée dans certains vaccins., entraînant ainsi une stérilité. Pourquoi ce poison qu’est la toxine tétanique ne fait-il pas la même chose ? Parce qu’il n’entre pas en contact avec le système immunitaire, il n’y a pas d’autre explication possible.
      Pourquoi l’attaque des muscles de la mâchoire et le trismus, qui vous tiennent tant à coeur ? Probablement parce que la toxine remonte de synapse en synapse jusqu’aux centres cérébraux, et peut-être qu’elle a besoin de passer par là pour être activée.
      Je ne prétends pas que c’est la bonne explication, mais seulement que l’officielle n’est pas satisfaisante et qu’il faut donc en trouver une autre, au lieu de se complaire dans une explication absurde.
      Il est particulièrement délirant de décréter qu’une toxine présente à quelques nanogrammes n’est pas détectée par l’organisme quand une dilution korsakowienne, de l’ordre de mille centésimales, l’est. Ce qui représente des milliards de fois moins que le nanogramme, et même, à vrai dire, rien de pondérable. Et pourtant même ce rien du tout est détectable et détecté, entraînant des réactions conséquentes.
      Aucune substance étrangère n’est indétectable, à moins qu’elle ne se détourne du système de défense par des astuces qui lui sont propres.

    • Julie Julie 15 août 2013 15:24
      « D’où tenez-vous cela ? »

      ben c’est la façon grossière de dire que la « maladie n’est pas immunisante », ce dont vous êtes au courant (touner en rond à ce point, ca tient du prodige...)


      "Pourquoi l’attaque des muscles de la mâchoire et le trismus, qui vous tiennent tant à coeur ?« 

      Parce que vous ne pouvez pas l’expliquer correctement avec vos théories à deux francs, et que pourtant vous continuez à vous accrocher à ces théories, parce que vous ressentez le besoin de trouver une justification, aussi farfelue soit-elle, à votre anti-vaccinalisme primaire. C’est dommage, parce que l’adhésion à le pseudo-science ne sert pas votre cause. Cette adhésion rend votre cause ridicule auprès de certaines personnes un tant soit peu cultivées mais que vous voudriez convaincre. J’essaie de faire de vous un meilleur opposant à la vaccination. Ne me remerciez pas, la leçon était gratuite.

       »Probablement parce que la toxine remonte de 

      synapse en synapse jusqu’aux centres cérébraux, et peut-être qu’elle a besoin de passer par là pour être activée."

      dans ce cas, l’attaque de la machoire ne serait pas le premier symptome (en cas de blessure au pied, vous auriez d’abord les jambes qui disjonctent, en cas de blessure à la main, vous auriez d’abord les bras, etc...). hors, la machoire est bien le premier signe dans la majorité des cas. Le tétanos généralisé est dit descendant. C’est le nerf le plus court qui disjoncte en premier. Votre explication ne l’explique pas. Par contre, le passage de la toxine dans la circulation sanguine explique cela. je n’invente rien pourtant, je ne devrais donc pas être la première personne à vous l’expliquer. Si vous ne comprenez toujours pas, je ne peux plus rien faire pour vous.


    • doctorix, complotiste doctorix 16 août 2013 09:14

      La maladie n’est pas immunisante, c’est un fait.

      Cette constatation vous suffit, et vous vous passez d’explication.
      Moi pas.
      ll se trouve que la seule explication possible est que la toxine ne passe pas dans le sang.
      Ce qui rend cohérent tout le reste de mon analyse (qui n’est d’ailleurs pas la mienne).
      Maintenant, si vous me donnez une explication à cette anomalie, je veux bien revoir ma position. On retrouve cette anomalie dans l’intoxication botulinique, ça peut être une piste.
      Quand un fait ne colle pas à une théorie, c’est la théorie qu’il faut revoir, et non nier le fait ou le passer aux oubliettes.
      L’explication selon laquelle la toxine serait tellement puissante qu’elle tuerait avant de provoquer l’apparition d’anticorps me parait insuffisante, parce qu’elle ne s’applique pas aux survivants.
      J’explique mal le trismus initial, et vous expliquez mal l’absence d’immunisation. Ce sont deux points qui devraient nous donner à réfléchir, et non nous diviser. 
      Au passage, je me souviens d’un article dans le concours médical des années 60, où l’armée américaine au viet-nam, constatant l’inéfficacité et la dangerosité des sérums de chevaux, avait tenté avec succès de pratiquer une injection d’anatoxine après blessure. L’explication de ce succès n’était pas l’apparition immédiate d’anticorps, mais le blocage des sites de réception de la toxine par l’anatoxine au niveau des centres nerveux.
      Cette vertu curative du vaccin n’a malheureusement pas été reprise à ma connaissance, mais il semble qu’elle était efficace. Vous serez heureuse de voir que j’ai découvert une vertu à un vaccin, même si c’est dans un usage détourné, puisqu’il ne vise pas alors à provoquer l’apparition d’anticorps, et qu’il est d’action immédiate. C’est sans doute ce qui fonctionnait dans la séro-anatoxinothérapie.
      Cependant, si cette notion était appliquée, elle rendrait quelques services, à moindre coût, et à moindre mal.

    • Julie Julie 16 août 2013 11:02

      "La maladie n’est pas immunisante, c’est un fait.

      Cette constatation vous suffit, et vous vous passez d’explication.
      Moi pas.« 

      C’est pas compliqué. Il faut dose donnée pour déclencher l’immunité (Di), et il faut une dose donnée pour déclencher la maladie (Dm). Dm est tout simplement inférieur à Di. Rien d’inconcevable. Ne faites pas semblant de ne pas avoir compris.

       »ll se trouve que la seule explication possible est que la toxine ne passe pas dans le sang.

      Ce qui rend cohérent tout le reste de mon analyse (qui n’est d’ailleurs pas la mienne).« 

      Cette explication ne rend pas votre analyse cohérente, puisque vous n’expliquez PAS le Trismus initial (comme vous le reconnaissez à demi-mot par la suite). Ne faites pas semblant de ne pas avoir compris.

      Je me doute que cette explication n’est pas la votre, puisque je ne vous ai pas encore vu développer une seule théorie anti-vaccinaliste originale. Vous ne faites que reprendre les théories des figures de proues du mouvement, celles à qui il arrive d’inventer de temps en temps l’un ou l’autre sophisme et d’en tirer une gloire toute relative. Prenez de la hauteur, réalisez votre propre argumentaire original, si vous voulez être vénéré comme vos idoles et vivre une retraite sous les spotlights.

       »Maintenant, si vous me donnez une explication à cette anomalie, je veux bien revoir ma position.« 

      Il n’y a pas d’anomalie. Le passage par le sang explique le trismus initial. Ce genre de question a été résolue il a bien un demi-siècle de ca, voire plus... Ne faites pas semblant de ne pas avoir compris.

       »L’explication selon laquelle la toxine serait tellement puissante qu’elle tuerait avant de provoquer l’apparition d’anticorps me parait insuffisante, parce qu’elle ne s’applique pas aux survivants."

      ben les survivants n’endurent pas de doses immunogènes non plus. Ne faites pas semblant de ne pas avoir compris.

      Vous avez parfaitement compris le tableau d’ensemble, mais vous pirouettez pour la forme en faisant semblant d’être plus idiot que vous ne l’êtes. Pourtant vous l’avez dit, nous sommes entre nous, ca ne sert à rien de faire semblant. Essayez d’être original. Trouvez d’autres raisons de vous opposer à la vaccination anti-tétanique. Essayez de voir cà comme un challenge. Devenez l’anti-vaccinaliste le plus futé de la toile.



    • doctorix, complotiste doctorix 16 août 2013 13:25

      Votre ton supérieur est assez insupportable, et chacun en jugera.

      Des énigmes résolues il y a 50 ans ont été remises en question à maintes reprises.
      Le tétanos et l’incapacité du vaccin à le prévenir en feront partie dans quelque temps.
      Mais mon problème n’est pas là : c’est moi, et non vous, qui vaccine. Vous vous contentez de profiter des mannes indues qui retombent de cette pratique.
      A ce titre, je suis responsable de ce que je risque d’infliger à mes patients.
      Or la somme des catastrophes engendrées par la vaccination, qui s’allonge au fur et à mesure de leur juteuse prolifération, m’a incité à me renseigner sur les conséquences de ce que je faisais. Je ne suis pas un chercheur, et je n’ai pas de prétention à l’invention dans ce domaine. Les feux de la rampe ne m’intéressent pas non plus, et vos accusations sont grotesques. Seule la recherche de la vérité, celle que vous cachez, m’intéresse, ainsi que le bien-être et la santé de mes patients, ce qui, après tout, est mon boulot.
      La somme des problèmes que vous squeezez d’un haussement d’épaules est devenue considérable, et vous avez le talent, comme toute la clique que vous représentez et qui vous paye, de vous focaliser sur un détail pour tenter de ridiculiser vos adversaires, sans toutefois y parvenir. Visiblement, vous échouez, puisqu’ici, 85% des votants ont préféré mes thèses aux vôtres, et ce score s’est confirmé à maintes reprises sur ce sujet.
      Vous pourrez toujours parler d’obscurantisme, mais chacun aura compris ou est l’obscurantisme, dans cette pratique moyen-âgeuse qui méprise et maltraite le corps humain et qui nous vient d’un autre âge.

  • ffi ffi 12 août 2013 00:01

    En gros, nous sommes confronté à une sorte d’idolâtrie des vaccins, d’où l’impossibilité d’avoir un débat rationnel.


    • doctorix, complotiste doctorix 12 août 2013 00:29

      Pas d’accord : un débat rationnel est possible.

      Nous passons beaucoup de temps à mettre les vaccinolâtres devant leurs contradictions et leurs conflits d’intérêt.
      Et nous y parvenons de mieux en mieux, je trouve.
      D’ailleurs, la tendance à la méfiance commence à s’installer dans les populations, à juste titre, au fur et à mesure qu’elles s’informent ; Et les chiffres baissent. Je pense que c’est irréversible.
      On voit d’ailleurs les fanas de la seringue se démener comme des fous furieux, parce qu’ils sentent leur combat perdu, et que les milliards vont leur échapper (vous noterez dans l’article que j’ai cité plus haut que le bénéfice de Paul Offit sur le Rotateq -un vaccin archi-bidon contre un rotavirus- s’est monté à 46 millions pour lui-même).
      Profitez-en pendant qu’il est encore temps, les vautours : parce que ça sent la fin.
      On commence à comprendre pourquoi, au moyen-âge, les puissants refusaient que le petit peuple apprenne à lire, et s’exprimaient en latin pour ne pas être compris !!
      C’est le moment de rendre un hommage chalareux à Internet, sans lequel rien n’eut été possible.

  • Ruut Ruut 12 août 2013 06:23

    Avant la France produisait des vaccins sans aluminium et non dangereux, depuis son association avec les USA, tous les vaccins Français ont de l’aluminium car moins cher, la nocivité n’étant plus prise en compte.


    C’est triste d’avoir perdu notre éthique.

    Le management aux nombres est la pire calamité de notre époque.


  • Cedric Citharel Cedric Citharel 12 août 2013 09:08

    L’industrie pharmaceutique impose ses lois. D’ailleurs, qui pense vraiment que c’est en travaillant au noir que le brave docteur Cahuzac s’est constitué son bas de laine ?

    Pour savoir qui dirige le pays, lisez On les croise parfois, de Cedric Citharel.
    Ensuite, vous ne vous étonnerez plus de voir la santé des citoyens sacrifiée sur l’autel de la rentabilité.

  • kid4 21 août 2013 05:34

    Bravo doctorix pour votre détermination et votre patience dans vos réponses.
    Mon témoignage : père d’une petite fille née en 2006, j’ai refusé TOUS les vaccins depuis le début. Lorsqu’elle a eu des fièvres, petite, je n’ai JAMAIS fait baisser la fièvre, malgré que l’on soit allé jusque 39,2. Le lendemain c’était toujours fini. Evidemment c’est paniquant et je comprends que des parents « craquent ». Il faut faire preuve d’une volonté de fer, parfois carrément mentir (oui, oui elle a fait tous ses vaccins) parce que sinon les réactions sont assez violentes (même provenant d’autres parents). Pourquoi j’ai fait ce choix ? Eh bien parce que j’ai lu que le seul vaccin obligatoire dans mon pays (contre la polio) contenait du formaldéhyde, substance que je savais avoir été reconnue cancérigène pour l’homme par l’OMS. Je ne pouvais pas y croire ! On me demandait d’injecter dans le corps de ma fille un produit qui contenait une substance cancérigène ??? J’ai acheté le produit pour m’en assurer et là dans la notice j’ai constaté qu’il y avait 125µg de formaldéhyde. A ce moment-là, ma décision était prise. Aucun vaccin ne rentrerait JAMAIS dans le corps de ma fille, alors que, comble de l’ironie, elle n’est MEME PAS malade. Comme l’a dit très bien dit une journaliste dont j’ai oublié le nom, le principe du bénéfice/risque ne joue pas ici puisqu’on n’est pas malade. Et alors que, comme l’a écrit un médecin, dont j’ai aussi oublié le nom, la probabilité d’attraper cette maladie est égale à la probabilité de se faire mordre par un cobra (en Europe, pas au Lésotho lol) ! Après ça, les pro-vaccins pourront me débiter toutes les c........ qu’ils veulent, ce ne seront que des tentatives de tailler un bloc de marbre avec une aiguille : je ne fais pas injecter un produit qui contient une substance reconnue cancérigène par l’OMS dans le corps de ma fille (alors qu’elle n’est pas malade). Point barre.


  • kid4 21 août 2013 05:42

    Cela étant, mon cher doctorix, il y a un paradoxe que je ne m’explique pas. Comment se fait-il, alors que j’imagine que la plupart des enfants de la classe (et de l’école) de ma fille sont vaccinés et archi-vaccinés, comment se fait-il donc, que tous ces enfants semblent être en très bonne santé ? Je veux dire, si les vaccins sont si nocifs, et j’en suis convaincu, comment se fait-il que beaucoup plus d’enfants ne tombent pas comme des mouches ? Est-ce que cela signifie que c’est chronique, plutôt qu’aigu ? Ou cela fait-il partie du miracle du corps humain qui parvient à survivre de longues années malgré les cent mille produits chimiques qui l’empestent dès le moment de sa conception ?


  • kid4 21 août 2013 05:52

    Et effectivement j’avais déjà lu que le virus de la polio est carrément tué par une bonne fièvre à 39°C. Donc je peux facilement imaginer que la plupart des polios sont dues à la « bonne » pratique de faire baisser la fièvre !
    Oui comme vous l’écrivez, doctorix, heureusement que nous avons Internet, car il est vrai que c’est là que j’ai pu puiser pas mal d’infos. J’ai aussi acheté quelques livres de médecins « éclairés » (ceux qui sont sortis de la grotte de Platon). Vivement que les consciences s’ouvrent rapidement (encore que, à la télévision, le discours pro-vaccin soit tout à fait majoritaire).


  • yungmi 3 juillet 2014 11:25

    je ne croie pas que ce sois le vaccin qui l’a rendu comme ça ce qu’il à est une maladie génétique bien connue . puisqu’il à supporté la première injection du ROR sans problèmes ! est ce que il à reçu ses vaccin en totalité ? tels que le tetravac BB ! si oui comment avais t’il reagi ? fiévre ou pas ! ce qui permet de connaitre la resistance de l’enfant face aux vaccin .


  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 3 juillet 2014 16:10

    @yungmi : Une chose est certaine à vous lire, c’est que vous n’avez jamais étudié le problème des vaccins, ni des années, ni des mois ni des semaines pour affirmer pareille chose...

    Il n’est pas question de croire ici mais de savoir. De un. De deux, le fait de « supporter » en apparence une vaccination précédente n’est aucunement une preuve qu’une même vaccination ultérieure ne puisse pas constituer, à la manière d’une « goutte d’eau qui fait déborder le vase » le facteur décisif d’une maladie chez un individu donné, sans toujours tout essayer de remettre sur des spécificités génétiques. Quand on voit les chiffres effarants des effets secondaires graves de vaccins (3% !dans les essais cliniques du vaccin Prevenar soit bien + que les complications naturelles possibles de la maladie au plan statistique ; 3 MILLIARDS de dollars versés aux victimes de vaccins aux USA depuis 1986 alors que 2/3 des plaintes sont rejetées d’emblée et que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont officiellement comptabilisés selon des revues médicales officielles), on ne peut que se rendre compte de l’aberration qu’il y aurait à vouloir blanchir les vaccins en mettant à chaque fois tous les cas graves sur le dos de « particularités génétiques » qui seraient alors si nombreuses qu’elles en deviendraient tout bonnement insignifiantes ! C’est un peu comme la volonté qui s’est avérée vaine de mettre le développement de l’autisme sur le compte d’un gène et on a fini par en trouver tellement que la notion de « gène de l’autisme » s’est effondrée d’elle-même. La vérité est que les composants toxiques des vaccins ne font du bien à aucune cellule d’aucun organisme humain. Aller demander aux corps des gens de s’adapter à des vaccins est une bêtise absolue, cela revient à niveler par le bas la santé publique au nom du profit et les prétendus efforts futurs en vue de faire des « vaccins plus personnalisés » constituent une autre illusion de taille étant donné que toute vaccination opère un véritable court-circuitage des mécanismes immunitaires qui ont été prévus et arrêtés comme les plus sûrs et les plus efficaces par des millions d’années d’évolution biologique (voie cutanée ou muqueuse pour la pénétration des microbes dans l’organisme et pas une injection qui court-circuite toutes les étapes prévues)

    Troisièmement, quand vous écrivez « est ce que il à reçu ses vaccins en totalité ? tels que le tetravac BB ! si oui comment avait t’il réagi ? fièvre ou pas ! ce qui permet de connaitre la résistance de l’enfant face aux vaccin . », vous montrez vraiment que vous n’avez pas étudié ce sujet très attentivement sinon, vous sauriez qu’un enfant peut parfois réagir violemment (avec ou sans fièvre !) à un vaccin et devenir handicapé à vie après une troisième dose par exemple là où certains enfants qui n’avaient jusque là jamais mal réagi peuvent par exemple mourir après une première ou une deuxième dose. Les vaccins ne sont pas comparables, un vaccin tetravac n’est pas un ROR. Les seuls points communs, c’est que ce sont -comme tous les autres- tous les deux des vaccins expérimentaux car leur évaluation est scientifiquement biaisée (faux placebos, pas de tests sur le potentiel cancérogène, mutagène, pas d’analyse pharmacocinétique, temps d’évaluation trop bref) et qu’ils sont tous les deux toxiques et suffisants pour pouvoir estropier et handicaper des enfants jusque là parfaitement sains. La vaccination est un véritable terrorisme sanitaire : ses ravages sont certains mais ce qui ne l’est pas c’est la détermination de ceux à qui elle brisera la vie pour toujours,... les effets secondaires graves des vaccins sont nettement plus fréquents qu’on le dit, ils sont certainement plus élevés que les complications graves des maladies naturelles or toute personne vaccinée n’aurait pas forcément fait la maladie et si elle l’avait fait, n’aurait pas forcément subi une complication grave !


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