vendredi 23 juillet 2021 - par alinea

Est-ce la sortie du tunnel ?

JPEG

Dans cette rebiffade bienvenue, il y a quelque chose qui n’est pas dit : le vaccin est un poison. Pas seulement inutile comme il le prouve dans tous les pays très vaccinants.

Je dis « je » ; j’assume ce « je », par tout ce que j’ai lu, vu, entendu, compris, synthétisé. Je dis « je » parce que je ne suis le porte-parole d’aucune caste, d’aucune classe, d’aucun parti, d’aucun groupe : bien malin qui aujourd’hui pourrait représenter plus qu’un groupuscule tant nous sommes écartelés. Je suis sûre de n’être jamais démentie, parce que, depuis un an et demi, allant d’intuition en intuitions, je n’ai fait qu’ouvrir des volets sur un nouveau réel qui, non content de confirmer le précédent révélé, en rapporte une précision.

De l’interrogation stupéfaite sur la réaction de la Chine, en mars 2020, au port de masque qui perdure dehors sur les marchés, de l’engouement pour la vaccination à la consternation de ce qu’est un État d’urgence, depuis longtemps déjà, et sur ce que j’ai appris depuis, je vais, moi aussi, dessiner mon tableau.

La dernière question que je me suis posée est : pourquoi cet engouement, pourquoi cette obéissance à la vaccination. Il s’agit quand même de nous, notre santé, notre intégrité, comment peut-on la mettre si légèrement en des mains si étrangères ?

Alors j’ai compris qu’une partie très importante de la population prend, quotidiennement, et depuis des années, des pilules chimiques, pour paraît-il soigner des trucs qu’apparemment elles ne soignent pas puisqu’ils continuent d’en prendre. Cela n’interroge pas : pour survivre ( et c’est à ce prix l’augmentation de l’espérance de vie !), il faut le médecin, suppôt du grand pharma. Au point où les médecins n’acceptent plus de nouveaux clients ( je ne parle pas de patients parce que, du coup, pas besoin de patience pour avoir un rendez-vous, c’est niet, d’emblée), le roulement de leurs clients pharma leur suffit pour s’enrichir chaque mois. J’en fus stupéfaite ; depuis quelques années, peu, je savais cela pour l’ostéopathe coqueluche de ces dames ou bien le gynécologue aux mains si douces, ou encore le spécialiste vanté par les upper classes locales. Mais aujourd’hui, le toubib de base arrête sa liste ; il est médecin traitant de tant de personnes, sûr que ce nombre est assez fidèlement présent en salle d’attente pour payer ses emprunts. Dingue.

La formation médicale est assez longue pour qu’aucun sortant n’ait envie d’ouvrir un dispensaire en campagne, par exemple !

Donc la chimie a conquis l’intime de la population, un vaccin n’est donc pas un corps étranger qu’on nous injectera, mais la banale continuation de notre manière de vivre.

On ne s’étonne plus que tous ces fans de chimie s’ébouriffent devant la sauvagerie des anti vax.

À propos d’anti. Dès qu’une masse arrive quelque part, il lui faut gommer les extravagances :

« comment ? Mais je ne suis pas anti vacc, du tout… mais aujourd ’hui, gnagnagangnan »

Le consensualisme a définitivement tiédi la purée, empêche l’engagement engagé, autorise juste celui qui, sur la pointe des pieds, rase les murs . J’ai écrit assez de choses sur les vaccins, je ne vais pas revenir dessus, mais enfin non seulement la science est doute, mais la médecine n’est pas une science ; alors, merde, on peut parler franc, non ? Pour ces histoires privées je n’ai jamais fait de prosélytisme, je sais, sûrement, que l’on ne fait bien que ce que l’on ressent profondément.

Le consensualisme a été acquis par les gentils comme une vertu dont on s’orne pour pas cher ; il permet toutes les lâchetés, tous les retournements, empêche les avancées et n’éclaircit jamais le tableau, au contraire. Une vraie plaie, inventée pour faire corps, avec le pouvoir . Et ça fonctionne à mort.

Donc aujourd’hui, parmi les millions de motivés à balader dans les rues le samedi, une foultitude s’évertue et crie : on n’est pas anti vac, mais ». Je ne sais pas si ça aide.

Le consensualisme dans le privé fait des êtres sans intérêts, mais alors, à l’Assemblée Nationale , un putain de tas de traîtres, comme on dit chez nous. C’est tellement énorme, cette absence d’opposition, que je n’en pleure même pas ; c’est « dehors », plus jamais ça, sur un ton que je n’ai jamais employé avec mon chien, je me retire de ce fatras.

C’est impardonnable ; c’est compréhensible quand on admet que, quand tout va à peu près bien, c’est facile de s’opposer, avoir de belles idées, mais quand on tombe sous le coup de la peur imposée, tout le monde se dégonfle ; l’air qui est sorti des ballons dégonflés n’est pas pur, il fait peur.

Je vous ferais bien grâce du développement de cette autre chose douloureuse qu’est l’omerta sur les dangers de l’injection, mais cela me taraude, et si ça mérite une analyse plus approfondie et plus fine qu’une énième plainte, il faudra attendre encore une peu. La plainte, ceux qui sont au courant la formule, mais j’ai été surprise quand même de ce qu’elle ne soit pas en avant de nos échanges, de nos inquiétudes, de nos interrogations. C’est trop, c’était comme en mars 2020 de dire que ce virus était trafiqué et sortait d’un laboratoire : c’était trop tôt. Et puis, il y a beaucoup de vaccinés autour de nous, donc c’est trop tard. Pas facile.

 

J’ai été surprise de l’importance donnée à la parole macronienne, comme si ce qu’il avait dit – nous étions prévenus – personne pensait qu’il oserait le dire ! Personne pense que les parlementaires vont voter pour ; je me demande dans quelle sorte de réel les gens vivent…

Ce 12 juillet, une ligne a été franchie ; c’est marrant parce que c’est la date exacte du transit d’Uranus sur la Lune natale de Macron, et cela correspond à la période d’éveil dont parlait cette vidéo :

(184) Le bouleversement de 2021 et le Thème d'E.Macron - YouTube

( petite synthèse à la 26’)

 

Date de réveil des Gilets qui réintègrent les ronds-points, des premières rencontres spontanées sur les marchés, un bel été…

Le réveil de la gauche FI, ma foi, me fait plus mal que du bien ; peut-être parce qu’il ne sert à rien et bien entendu, ne remet pas en question… la science !

Mais à bien y réfléchir, on marche sur la tête : certes cette discrimination est inadmissible et il faut évidement y résister ; mais, tout de même, le plus dramatique, le plus grave, n’est-il pas le contenu des vaccins ? Administré sans le définir, sans prévenir, sans expliquer, sans s'enquérir de qui vous êtes ? Cette pudeur que je ressens aussi devant l’atroce irréel, alors que l’on sait très bien l’hybris ne s’arrêter que quand s’arrêtent les moyens dont dispose l’humain.

Quels sont ces moyens ? Énormes ! Planétaires, et si elle ne va pas jusqu’au nucléaire, c’est que le nucléaire est aussi suicidaire ! et que ce n’est pas à la portée de tout le monde ; tandis que la chimie, la pharmacie, et la biologie, oui.

Souvenons-nous des dégâts épouvantables dont on n’a fait que peu de publicité, même pas étudiés à l’école, des bombardements chimiques, nucléaires des Américains sur la Corée du Nord ! Il y a… presque soixante dix ans !!

Alors l’hybris décrite depuis plus de trois mille ans, soudain ne saurait exister ?

Quand on ne sait pas, on se méfie, on est attentif et on préfère le recul.

Alors, mettre en perspective l’impossibilité d’aller au cinéma ou au restaurant et le fait de se faire injecter des produits, brevetés depuis plus de quinze ans, prévus comme arme bactériologique, avec une protéine de synthèse, qui n’existe pas dans la nature, et qui est sue toxique par les scientifiques qui l’ont étudiée… cela interroge sur ce qu’est devenu homo sapiens.

Parce que la sagesse, parlons-en ; il y a des vieilles qui pensent qu’obéir est sage, parce qu’on ne cherche pas les ennuis, la sagesse est un plat fade qui se mange tiède n’est-ce pas ?

Non, c’est l’adéquation au monde, l’attitude juste qui colle aux évènements, les stimuli, les besoins.

Je parle toujours de l’animalité comme une perte en l’homme, parce que l’animal garde cette aptitude à la réaction immédiate, un changement de tonus sans séquelle, en cas de besoin ; l’animal sait que l’attention n’est pas tension, que la méfiance n’est pas crispée et que les sens en alerte ne sont pas le bruit de la sirène ! Et nous possédons cette capacité. Si elle n’était pas si enfouie sous les conneries « civilisationnelles », nous n’en serions pas là.

À ce propos, pas un n’imagine faire la grève des téléphones mobiles pour faire la nique aux apprentis fliqueurs. Personne ne voudrait se passer de sa carte bleue, pour faire la nique aux repéreurs. Ceux qui aiment manifester manifestent, les autres restent chez eux, et la vie continue, n'est-ce-pas, sauf un faux-pas...

Si ce 17 juillet est considéré comme le premier pas osé au-delà de la limite imposée, alors, tout espoir n’est pas perdu, on ne fait jamais qu’un pas à la fois ; il faut juste, ne pas s’arrêter en chemin !

Le consensus semble se poser sur les élections de 22…

♠...en attendant je n’ai poussé qu’une énième plainte, quelques reproches et montré peu d’optimisme !



423 réactions


Réagir