lundi 11 novembre - par Clojea

Et pendant que le monde a les yeux rivés sur Donald Trump, le mondialisme avance !

 

La majorité des français et aussi des européens ignore que l’état profond mondial œuvre dans les coulisses. En effet, une direction générale de la mondialisation vient d’être créée au Quai d’Orsay. La volonté de dissoudre notre pays dans le fondu mondialiste anglo-saxon est belle et bien réelle. À la lecture des documents indiqués (1) & (2), nul ne pourra ne le contester. Une armada de technocrates, formatée très certainement par le programme « Young Global Leaders » créé par Klaus Schwab en 2004, (3) a délégation de signatures à la place de ministres, pour des actes, arrêtés, et décisions. En effet, une direction générale de la mondialisation a été dûment enregistrée au Journal Officiel le 20 septembre 2024.

Voici un extrait, particulièrement explicite, de l’énorme pouvoir discrétionnaire que l’état profond mondial et son homologue français, donne à un haut fonctionnaire d’état, via la « direction générale de la mondialisation » présente au Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères.

« Délégation est donnée à M. Rami ABI AKL, ingénieur en chef des mines, chef de la mission du numérique et de l'intelligence artificielle, à l'effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l'exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission du numérique et de l'intelligence artificielle. La mission soutient l'internationalisation des entreprises françaises dans les différentes filières numériques jugées stratégiques, comme les technologies quantiques, l'intelligence artificielle, la cybersécurité, les télécommunications, ainsi que l'acquisition, le traitement et la gestion des flux de données numériques. En coordination avec les autres administrations concernées, elle définit et met en œuvre les mesures d'attractivité pour les entreprises et talents étrangers ou expatriés sur les technologies critiques concernées. En outre, la mission contribue à renforcer la présence et l'activité de la France au sein des instances multilatérales dans les domaines de sa compétence, en particulier au sein de l'OCDE, de l'Union internationale des télécommunications (UIT) et des organismes normatifs européens et internationaux. »

Le contenu du document en entier montre que notre pays est entre les mains de technocrates ayant tous les pouvoirs. Nous retrouvons d’ailleurs les mêmes technocrates aux commandes du Parlement européen. Car, contrairement à une certaine légende urbaine, ce ne sont pas les députés européens qui dirigent Bruxelles en tant que capitale politique, mais bien des commissaires-technocrates aux ordres d’une présidente illégitime à sa tête, Madame Ursula von der Leyen.

Tous les domaines évoqués dans ce document, sont sous le contrôle de hauts fonctionnaires d’état. Ils ont le pouvoir de signer tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets. Frissons garantis !

Voici la liste des secteurs contrôlés par l’intelligentsia technocratique, présents dans ce document :

  • Les pays membres du G7, du G20, de l’OCDE, et les sommets internationaux
  • Le commerce extérieur et la coopération économique
  • Sous-direction des secteurs stratégiques
  • Énergies
  • Normes économiques et lutte contre la corruption
  • Attractivité et rayonnement économique
  • Intelligence artificielle, Cybersécurité, Télécommunications, Données numériques.
  • Développement humain
  • Environnement et Climat
  • Gouvernance démocratique. (comprenne qui pourra !)
  • Diplomatie féministe et éducation
  • Culture et médias
  • Enseignement supérieur et recherche
  • Coopération et action culturelle
  • Ordonnancement des dépenses, recettes, engagements et liquidations
  • Langue française et éducation
  • Investissement solidaire et durable
  • Enseignement supérieur
  • Collectivités territoriales et société civile
  • Asie-Amériques, coopération. Le document est consultable dans les notes (1) & (2)

À la lumière de ce document, et après quelques recherches, il appert que cette « direction générale de la mondialisation » existe aussi en Italie (5), en Belgique (6), en Suède (8), tendant à prouver que l’Europe occidentale est, malheureusement, sous contrôle étroit de cette caste financière internationale à l’idéologie mortifère. Bienvenue dans un état fédéral européen dictatorial, gangrené par les technocrates, avec pour résultat une paupérisation galopante et une inflation démesurée. L’UE compte plus de 100 millions de pauvres en 2024 ! https://brigittebouzonnie.substack.com/p/100-millions-de-pauvres-dans-lunion

Italie : extrait du document. Voir note (5).

« La Direction générale de la mondialisation et des questions mondiales est l’une des neuf directions générales du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République italienne créées à la suite de la réforme de 2010. La structure s’occupe de diverses activités et questions pertinentes dans le contexte international mondialisé actuel qui présentent un intérêt particulier pour l’Italie. En particulier, la Direction comprend à la fois des bureaux ayant une expertise thématique, principalement de nature multilatérale, et des bureaux ayant une expertise géographique couvrant les régions de l’Afrique, de l’Amérique latine et de l’Asie. Les principales questions dont s’occupe aujourd’hui la direction générale de la mondialisation et des questions mondiales étaient auparavant traitées par l’ancienne direction générale des questions économiques.

En particulier, la Direction est chargée d’analyser et de gérer :

  • les processus de gouvernance mondiale ;
  • les enjeux économiques au sein du G8/G20 ;
  • la coopération économique et financière multilatérale ;
  • les questions de propriété intellectuelle ;
  • les enjeux internationaux en matière d’énergie et d’environnement.”

 

Belgique. Extrait du document. Note (6)

« Direction générale des Affaires multilatérales et de la Mondialisation (DGM)La direction générale des Affaires Multilatérales et de la Mondialisation (DGM) a pour missions de promouvoir et défendre la politique étrangère de la Belgique dans le cadre des thèmes multilatéraux et relatifs à la PESC. »

Suède. Etude de l’agenda 2030 prévu par le gouvernement Suédois. Note (8)

Extrait : « Le travail du gouvernement avec la politique de développement mondial et l'Agenda 2030 a été abordé (UU5). Le Riksdag a examiné la lettre du gouvernement sur la politique de développement global (PGU) dans le cadre de la mise en œuvre de l'Agenda 2030 »

Les ministres de nos pays, n’occupant en réalité que des CDD grassement rémunérés, ne sont là que pour amuser la galerie. Le système est très bien rôdé. Les médias et les partis politique fixent l’attention de la majorité grâce à des débats stériles qui n’ont jamais fait progresser la société, laissant le champ libre au véritable pouvoir profond qui, jour après jour, tisse la toile mondialiste avec ardeur. L’énième représentation du grand « théâtre de Guignol » dans toute sa splendeur.

Dormez bien braves gens, l’oligarchie financière mondiale apatride tentaculaire veille sur vous. Deux options sont possibles : soit, la France retrouve sa souveraineté, soit elle sera bientôt totalement diluée et absorbée dans la fondue mondialiste.

Merci à Maître Roland Sanviti, avocat au barreau de Paris, fondateur de « Justice et Démocratie » & Co-fondateur du Prix Giovanni Falcone pour avoir diffusé cette « pépite ».

Claude Janvier

Écrivain, essayiste et chroniqueur. Auteur du livre « Les Démasqués. Qui dirige réellement le monde ? », et co-auteur du livre « L’État Profond Français. Qui, comment, pourquoi ? » KA Éditions https://kaeditions.com/

Notes :

  1. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000050246202
  2. https://www.legifrance.gouv.fr/download/pdf?id=y0PkQV1cillm_b3Xep77lF6VIs0OSt5HGx1KyTrJAYE=
  3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Young_Global_Leaders
  4. Légifrance  :

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Décision du 20 septembre 2024 portant délégation de signature (direction générale de la mondialisation)

NOR : EAEM2424867S

Le directeur général de la mondialisation,

Vu le décret n o 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement, notamment son article 3 ;

Vu le décret n o 2012-1511 du 28 décembre 2012 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère des affaires étrangères ;

Vu l’arrêté du 28 décembre 2012 modifié relatif à l’organisation de l’administration centrale du ministère des affaires étrangères,

Art. 1 er. – Décide : Délégation est donnée à M. Paola DEBRIL-LOISEAU, secrétaire des affaires étrangères principale, et à Mme Inès SARAGOSA, cadre contractuelle, chargées de mission du directeur général de la mondialisation, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, les bons de commande et les factures relatives aux réceptions organisées à la demande des services de la direction générale.

Délégation est donnée à M. Raphaël NOIRAY, secrétaire des affaires étrangères, chef de la mission « G7/G20, OCDE, sommets internationaux », et à M. Maxime ROTH, secrétaire des affaires étrangères, adjoint au chef de la mission « G7/G20, OCDE, sommets internationaux », à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission

Art. 2. – « G7/G20, OCDE, sommets internationaux ». Délégation est donnée à Mme Fany ROBIN, cadre contractuelle, adjointe à la sous-directrice du commerce extérieur et de la coopération économique, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous- direction du commerce extérieur et de la coopération économique.

Délégation est donnée à M. Maël LE BAIL, cadre contractuel, chef du pôle énergies de la sous-direction des secteurs stratégiques, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés, décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction des secteurs stratégiques.

 Délégation est donnée à Mme Coline MECHINAUD-DESMEDT, cadre contractuelle, adjointe au sous-directeur des sanctions, des normes économiques et de la lutte contre la corruption, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés, décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction des sanctions, des normes économiques et de la lutte contre la corruption.

Délégation est donnée à M. Didier JEAN, cadre contractuel, chef de la mission de l’attractivité et du rayonnement économique, et à M. Romain GUILLARD, cadre contractuel, adjoint au chef de la mission de l’attractivité et du rayonnement économique, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission de l’attractivité et du rayonnement économique.

Délégation est donnée à M. Rami ABI AKL, ingénieur en chef des mines, chef de la mission du numérique et de l’intelligence artificielle, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission du numérique et de l’intelligence artificielle. La mission soutient l’internationalisation des entreprises françaises dans les différentes filières numériques jugées stratégiques, comme les technologies quantiques, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, les télécommunications, ainsi que l’acquisition, le traitement et la gestion des flux de données numériques. En coordination avec les autres administrations concernées, elle définit et met en œuvre les mesures d’attractivité pour les entreprises et talents étrangers ou expatriés sur les technologies critiques concernées. En outre, la mission contribue à renforcer la présence et l’activité de la France au sein des instances multilatérales dans les domaines de sa compétence, en particulier au sein de l’OCDE, de l’Union internationale des télécommunications (UIT) et des organismes normatifs européens et internationaux.

Art. 3. – Délégation est donnée à Mme Louise BURDLOFF, secrétaire des affaires étrangères, adjointe à la sous-directrice du développement humain, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction du développement humain.

Délégation est donnée à Mme Marine COLLIGNON, cadre contractuelle, adjointe au sous-directeur de l’environnement et du climat, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction de l’environnement et du climat.

Délégation est donnée à Mme Clémence WEULERSSE, administratrice de l’Etat du premier grade, chef de mission de la gouvernance démocratique, et à Mme Cécile FROBERT, secrétaire des affaires étrangères, adjointe à la chef de mission de la gouvernance démocratique, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission de la gouvernance démocratique.

Délégation est donnée à Mme Marie SOULIÉ, cadre contractuelle, chef de mission de la diplomatie féministe et de l’éducation, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission de la diplomatie féministe et de l’éducation.

Art. 4. – Délégation est donnée à M. Aurélien CHANQUIN TORRES, administrateur de l’Etat du premier grade, adjoint à la sous-directrice de la culture et des médias, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous- direction de la culture et des médias.

Délégation est donnée à M. Mathieu PERROT, secrétaire des affaires étrangères principal, adjoint au sous- directeur de l’enseignement supérieur et de la recherche, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous- direction de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Délégation est donnée à M. Léo LAPORTE, secrétaire des affaires étrangères, adjoint au sous-directeur du réseau de coopération et d’action culturelle, à M. Charles LE FRIEC, cadre contractuel, chef de pôle de synthèse administrative et financière de la sous-direction du réseau de coopération et d’action culturelle, et à M. Yannick LE ROUX, cadre contractuel, chef de pôle Asie et Amériques de la sous-direction du réseau de coopération et d’action culturelle, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction du réseau de coopération et d’action culturelle.

Délégation est donnée à Mme Catherine CHAUVEAU-SOCHNIKOV, secrétaire de chancellerie, gestionnaire au pôle de synthèse administrative et financière de la sous-direction du réseau de coopération et d’action culturelle, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, toutes pièces justificatives relatives aux dépenses et aux opérations de régularisation, notamment tous documents comptables relatifs à l’engagement, à la liquidation et à l’ordonnancement de la dépense et tous ordres de recettes, dans la limite des attributions de la sous-direction du réseau de coopération et d’action culturelle.

Délégation est donnée à Mme Juliette SALABERT, cadre contractuelle, adjointe à la sous-directrice de la langue française et de l’éducation, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction de la langue française et de l’éducation.

Art. 5. – Délégation est donnée à Mme Sabrina AUBERT, secrétaire des affaires étrangères principale, adjointe à la sous-directrice du développement et de l’investissement solidaire et durable, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction du développement et de l’investissement solidaire et durable.

Délégation est donnée à M. Jean-Philippe POURTIER, cadre contractuel, adjoint au sous-directeur des moyens et des opérateurs, à M. Yvan SERGEFF, secrétaire des affaires étrangères, chef de pôle de la gestion des dépenses de la sous-direction des moyens et des opérateurs, et à Mme Anaïs PAUL-VENTURINE, cadre contractuelle, chef de pôle évaluation et performance, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la sous-direction des moyens et des opérateurs.

Délégation est donnée à M. Pierre-Jean GUYOMARD, secrétaire de chancellerie, et à M. Charles OTAM, agent contractuel, chefs de pôle adjoints de la gestion des dépenses de la sous-direction des moyens et des opérateurs, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, toutes pièces justificatives relatives aux dépenses et aux opérations de régularisation, notamment tous documents comptables relatifs à l’engagement, à la liquidation et à l’ordonnancement de la dépense et tous ordres de recettes, dans la limite des attributions de la sous-direction des moyens et des opérateurs.

Art. 6. – Délégation est donnée à M. Frédéric CHOLÉ, administrateur de l’Etat du premier grade, délégué pour les collectivités territoriales et la société civile, à M. Denis BARBET, administrateur de l’Etat du deuxième grade, et à M. Jean-Marc POMMERAY, secrétaire des affaires étrangères principal, délégués adjoints pour les collectivités territoriales et la société civile, à l’effet de signer, au nom du ministre des affaires étrangères, tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la délégation pour les collectivités territoriales et la société civile.

Art 7. - La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française

Fait le 20 septembre 2024. Texte 14 sur 87 A. LECHEVALLIER

(5)https://www.esteri.it/it/ministero/Struttura/DGMondializzazioneQuestioniGlobali/

https://it.wikipedia.org/wiki/Direzione_generale_per_la_mondializzazione_e_le_questioni_globali

(6) https://diplomatie.belgium.be/fr/propos/direction-generale-des-affaires-multilaterales-et-de-la-mondialisation-dgm

(7) DGM-Quai_d_Orsay-2.pdf

(8) https://www.riksdagen.se/sv/dokument-och-lagar/dokument/betankande/politiken-for-global-utveckling-i-genomforandet-av_h401uu5/

 



11 réactions


  • leypanou 11 novembre 10:59

    Tant que les dissidents n’ont pas accès aux médias de masse, il sera difficile de contrer cette mondialisation rampante.

    Quand par exemple aucun parti de la prétendue opposition n’a même pas mis en cause de la gestion de la pseudo-pandémie qui a touché les gens directement, comment peuvent ils s’intéresser à une direction générale de la mondialisation ?


  • jacques 11 novembre 11:10

    C’est légal ???


  • Panoramix Panoramix 11 novembre 12:14

    La mondialisation économique est une situation de fait.

    Il y a des organes de coopération, et des lobbies qui s’efforcent de faire pression.

    Dès lors que la France est inévitablement imbriquée dans l’économie mondiale, il est nécessaire qu’elle défende ses intérêts dans le cadre des instances internationales, auprès des entreprises et acteurs notamment de l’économie numérique. Sinon on continuera à se faire dépecer. Donc la mise en place de cette direction mentionnée dans l’article s’avère une nécessité pour nous


  • Rémy Rémy 11 novembre 13:57

    Le « mondialisme globaliste » est en phase terminale et ne survivra à Trump, justement......pas plus que « l’européisme »...

    Réveillez-vous, Clojea ! vous êtes dans la dystopie.


  • Rinbeau Rinbeau 11 novembre 16:25

    Au regard de la constitution.. C’est illégal !

    après 10 ans d’enquête, Sylvie Charles alerte à ce sujet..

    https://www.youtube.com/watch?v=r9f6Zvoh8Sw&ab_channel=NicolasBOUVIER


  • sylvain sylvain 11 novembre 21:06

    que ce soit par l’empire occidental ou les BRICS, le mondialisme avance et continuera d’avancer. C’est une realite industrielle, le monde de la machine sera global, car ce monde commencera en etant une seule entite


  • chantecler chantecler 17 novembre 11:01

    Mais ce « mondialisme » c’est le Néolibéralisme qui a été imposé à la planète dans les années 70par une association serrée , un complot des oligarques .

    C’est le système devenu incontournable dont Macron après Thatcher Regan, Pinochet (Chili) ....s’est aussi emparé quand il parlait de la « Révolution » et qu’il n’entend pas modifier.

    C’est aussi la feuille de route de l’UE (cf Mercosur)

    C’est le monde dont ils profitent totalement ,...

    C’est ce monde qui préempte tous les actifs,appauvrit les masses , brade les services public uns après les autres , déclare toutes les guerres (monnaie , industrie de l’armement , pharmacie, chimie , drogues ,...) et qui fabrique des milliardaires à la pelle , lesquels ont pris le pouvoir sans partage et des millions de cadavres .

    Les « libertariens sont satisfaits » : « chacun pour sa gueule » .et dieu choisira les siens .

    Ils ont leur monde rêvé, incubé aux USA .

    Ce sont des néofascistes .

    A noter une émission intéressante sur FI ce matin autour des « gilets jaunes », les cahiers de « doléances » , les espoirs et les désespérances de la population qui dorment aujourd’hui dans les oubliettes , les corbeilles et statistiques du net , les promesses d’E. Macron....

    Encore de la magie , du passe passe ,du baratin , du bonneteau .


  • L’administration Biden vient de donner à l’Ukraine le feu vert pour utiliser des missiles ATACMS fabriqués et fournis par les États-Unis contre des cibles russes à l’intérieur du territoire russe, y compris Koursk.
    Il convient de noter que les États-Unis, en collaboration avec l’OTAN, ont aidé à planifier et à exécuter l’incursion ukrainienne à Koursk. Maintenant que les forces ukrainiennes sont repoussées dans la région de Koursk par les forces russes, la décision d’autoriser l’Ukraine à utiliser des missiles ATACMS à Koursk ne laisse aucun doute sur le fait que les États-Unis participent directement à l’invasion et à l’occupation du sol russe par les forces ukrainiennes mandatées par l’OTAN.
    En bref, les États-Unis sont désormais en guerre contre la Russie.
    C’est la position adoptée par la Russie le 13 septembre, lorsque le gouvernement russe a mis en garde l’administration Biden contre le fait d’autoriser l’Ukraine à utiliser l’ATACMS contre le sol russe.
    La décision de l’administration Biden reflète un sentiment croissant de désespoir de la part de l’Ukraine, de l’OTAN et des États-Unis, selon lequel la guerre avec la Russie atteint le point de rupture, où une victoire russe décisive est pratiquement garantie.
    L’axe Ukraine/OTAN/USA est également préoccupé par les résultats des élections aux USA qui ont vu Donald Trump remporter une victoire décisive sur un programme qui cherche à mettre fin à la guerre en Ukraine et à éviter une escalade avec la Russie.
    L’administration Biden semble avoir pris cette décision sur la base de deux hypothèses analytiques spécifiques.
    Premièrement, la Russie bluffe et ne cherchera pas à provoquer une escalade.
    Deuxièmement, cette escalade de la part de l’axe Ukraine/OTAN/États-Unis va piéger la nouvelle administration Trump et l’obliger à maintenir le cap en matière de soutien à la fois à l’OTAN et à l’Ukraine.
    L’administration Biden a probablement fait une grave erreur de calcul.
    La Russie n’acceptera pas cette escalade sans rien faire.
    La réponse de la Russie sera décisive et pourrait inclure des frappes contre des cibles situées en dehors de l’Ukraine.
    En outre, Trump ne souhaite pas une guerre avec la Russie, héritée ou non. Plutôt que d’accepter cette escalade comme un fait accompli, l’équipe de Trump informera probablement l’OTAN et l’Ukraine des conséquences néfastes d’une escalade une fois que Trump aura pris ses fonctions le 20 janvier.
    Ce dernier point est de la plus haute importance.
    Si Trump parvient à se dissocier de la décision de Biden d’intensifier les hostilités, la Russie pourrait modérer sa réponse, évitant ainsi le type d’escalade qui conduirait probablement à une guerre nucléaire.
    Il s’agirait d’une action sans précédent de la part de Trump, une ingérence directe dans la politique d’un président en exercice, bien que boiteux.
    Mais la survie de l’Amérique et du monde est en jeu.
    Espérons que Trump reste fidèle à ses promesses et prenne des mesures pour empêcher la guerre. https://x.com/realscottritter/status/1858255856699150491?s=46&t=el6_DPv2BxD85K-hXjASWw


  • L’UKRAINE VEUT LA 3E GUERRE MONDIALE : Le nationaliste ukrainien Korchinskiy estime que ce serait un soulagement pour l’Ukraine si la troisième guerre mondiale éclatait ! https://x.com/MyLordBebo/status/1858252647314190447


  • L’Ukraine prévoit de lancer ses premières frappes avec des missiles à longue portée ATACMS sur la région de Koursk dans les prochains jours, ont indiqué des sources à Reuters.

    La publication confirme que Biden a autorisé de telles frappes contre les troupes nord-coréennes sur le territoire russe. En quoi cela dérange qui que ce soit que des Nord Coréens soient en RUSSIE ?????


  • Le président américain aurait donné à l’Ukraine son feu vert pour frapper en profondeur le territoire russe avec des missiles américains à longue portée, a rapporté ce 17 novembre le New York Times.
    Les autorités russes ont mis en garde qu’une telle décision serait considérée comme une entrée en guerre de l’OTAN.

    . Xi Jinping à Joe Biden : « Le piège de Thucydide n’est pas une fatalité historique »

    Citant des responsables américains, le New York Times a rapporté ce 17 novembre que Joe Biden, à deux mois de la fin de son mandat, aurait donné son accord à Kiev pour l’emploi de missiles à longue portée fournis par les États-Unis pour frapper le territoire russe dans sa profondeur.

    « L’autorisation donnée aux Ukrainiens d’utiliser des missiles à longue portée, connus sous le nom de systèmes de missiles tactiques de l’armée, ou ATACMS, est une réponse à la décision surprise de la Russie d’engager des troupes nord-coréennes dans le combat », a précisé le quotidien américain, citant ses sources.


    Ces missiles semi-balistiques, pouvant être tirés par les lance-roquettes mutiples HIMARS, peuvent atteindre des cibles à plus de 300 kilomètres. La Maison Blanche refuse de commenter
    Bien que les responsables aient déclaré qu’ils ne s’attendent pas à ce que ce changement modifie fondamentalement le cours du conflit ukrainien, l’un des objectifs de ce changement de politique, ont-ils déclaré, est d’envoyer un message aux Nord-Coréens que leurs forces sont vulnérables et qu’ils ne devraient pas en envoyer davantage.

    Contacté par Reuters, la Maison Blanche a refusé de commenter les informations concernant ce revirement du positionnement de Joe Biden qui, jusqu’à présent, avait refusé les demandes de Kiev. « Pour le moment, nous refusons de commenter », a répondu le service de presse du Pentagone à nos collègues de RT International.

    L’emploi de missiles à longue portée occidentaux pour frapper en profondeur le territoire russe était réclamé par le régime de Zelensky depuis des mois. Au-delà des seuls Ukrainiens, plusieurs diplomaties européennes - en l’occurrence la France et la Grande-Bretagne - entendaient convaincre Biden de franchir ce cap pour les missiles SCALP avant son départ de la Maison Blanche, avait rapporté le 10 novembre The Telegraph. Vers une escalade ?
    Les avertissements russes ignorés

    La Russie a prévenu à plusieurs reprises qu’une telle autorisation serait considérée comme « une implication directe » des pays de l’OTAN dans le conflit en Ukraine, notamment en raison des moyens occidentaux que ces missiles nécessitent pour être opérés.

    Mi-septembre, le président russe Vladimir Poutine a averti que cela « changerait considérablement l’essence et la nature même du conflit ». « Cela signifiera que les pays de l’OTAN, les États-Unis et les pays européens sont en guerre contre la Russie », a-t-il précisé.

    Cette dernière sera alors contrainte de prendre des « décisions appropriées », toujours selon le chef de l’État russe.

    Un avertissement réitéré, dans la foulée, lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, par le Représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l’ONU Vassili Nebenzia. « Si la décision de lever les restrictions est prise, cela signifiera qu’à partir de ce moment, les pays de l’OTAN entreront directement en guerre avec la Russie », avait-il déclaré.

    En savoir plus sur RT



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