lundi 25 mai 2020 - par Régis DESMARAIS

Hydroxychloroquine : le Grand dévoilement

Le déferlement médiatique contre l’hydroxychloroquine devient si excessif qu’il provoque un Grand dévoilement. Ce lever de rideau nous offre le spectacle d’une guerre impitoyable pour obtenir la maîtrise des soins à prodiguer face au Covid-19. Ce Grand dévoilement révèle la prise en otage de nos « généraux » et la contamination fatale du secteur de la santé par la recherche du profit maximum.

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Mars est le Dieu de la guerre et la guerre a bel et bien été déclarée en mars 2020

Le président Macron a été fort critiqué pour avoir évoqué une situation de guerre. Cette critique se révèle, plusieurs semaines après les déclarations présidentielles, fort injuste. En effet, nous sommes bien en situation de guerre et même de guerre mondiale. Toutefois, le président s’est lourdement trompé sur les objectifs de cette guerre et sur l’ennemi à combattre. L’ennemi n’est pas le virus qui, par nature, est incapable d’élaborer une stratégie de conquête des territoires. L’ennemi, le vrai, est celui qui veut, de façon obstinée, maniaque et obsessionnelle, mettre l’hydroxychloroquine à la poubelle. Les objectifs de cette guerre sont manifestement d’invalider toute proposition de traitement du Covid-19, avec sans doute le souhait de contrôler demain la thérapie qui sera diffusée à l’échelle mondiale contre ce coronavirus.

La guerre est violente et les méthodes utilisées sont redoutablement efficaces.

Le 22 mai dernier, la revue dite de référence, The Lancet, a publié une étude américaine qui indiquerait que l’hydroxychloroquine est inefficace et dangereuse. Immédiatement, à la une de tous les médias du monde, il a été dit et répété que l’hydroxychloroquine ne marche pas et est dangereuse. Le ministre français de la santé a même demandé « une révision des règles » de prescription de la chloroquine suite à la vaste étude parue dans The Lancet. Il a saisi le Haut conseil de la santé publique, qui doit lui donner une réponse sous 48 heures. Le ministre agit avec célérité sans même soumettre les informations en sa possession à un contrôle de fiabilité. En d’autres temps, une telle précipitation, sans le moindre recul, aurait intrigué et donné le sentiment d’une soumission, d’une incompétence ou pire, d’une complicité avec l’ennemi. Les temps ont changé, aujourd’hui plus rien n’étonne.

Les généraux ennemis sont redoutablement puissants. Leurs armes : la peur ; les dommages : la prise en main des pensées et la mise hors service du libre arbitre et du sens critique. La peur est une arme redoutable : peur d’un virus présenté comme ultra contaminant, peur d’être contaminé sans espoir de traitement, peur de finir intubé dans un couloir d’hôpital, peur des autres, peur de tout.

Tous les médias, le ministre de la santé et tous ceux qui ne veulent pas que les médecins puissent prescrire l’hydroxychloroquine brandissent à bout de bras l’étude publiée par The Lancet. Cette étude est devenue le petit livre rouge de la dictature anti-traitement. Ils sont comme électrisés, et même hypnotisés, car aujourd’hui tous ces gens se réfèrent à une étude qui a notamment pour caractéristique de ne pas respecter la fameuse loi sacramentelle tant de fois répétées : « essais conduits avec ce qu’on appelle un système randomisé en double aveugle où ni le prescripteur, ni le patient ne savent qui est soigné et qui reçoit le placebo ». Tous ceux qui se prévalent de cette étude américaine ont visiblement oublié cette loi qu’ils semblaient vénérer plus que les malades.

Une étude américaine contestable qui devrait intriguer

Le Docteur Nicole Delépine a publié ici même un article très précis sur les travers de cette étude. Je ne vais donc pas redire, forcément maladroitement, ce qu’elle a écrit avec clarté. Je vais rajouter les points suivants de réflexion :

Tout le monde le sait, l’étude Discovery est un échec car cette étude qui devait reposer sur plus de 3 000 patients n’en a réuni que 7 à 800, la plupart en France, ce qui réduit son envergure européenne. Eh bien l’étude publiée par The Lancet repose sur presque 100 000 malades répartis sur 671 hôpitaux ! alors que Discovery n’a même pas réussi à rassembler 3 000 malades. Ce point aurait dû interpeller les journalistes et notre ministre de la santé. Comment des chercheurs américains, par ailleurs non infectiologues, ont-ils pu conduire aussi rapidement une étude d’une telle ampleur ? Aucun média ne semble s’être posé cette question. Hypnotisée par les maîtres de la guerre, une partie de la population semble incapable de penser et de questionner ce qui lui est donné à voir. C’est dommage, car se poser la question « comment cette étude américaine a-t-elle pu rassembler autant de patients  ?  » aurait permis de percevoir une faille, voire une apparence d’imposture. A la question « comment ? » la réponse est « en récupérant a posteriori des dossiers patients que les auteurs n'ont ni traités ni suivis eux-mêmes ». L’étude américaine n’est donc qu’une agrégation statistique de dossiers de malades, pour la plupart hospitalisés aux Etats-Unis.

Cette étude se vante que l’hydroxychloroquine a été testée, mais sur des malades suffisamment affaiblis pour être hospitalisés, dont le pronostic vital était parfois menacé. Or vous le savez, car le professeur Raoult l’a répété inlassablement, l’hydroxychloroquine n’a plus d’effets notables quand le malade est en situation de grande détresse respiratoire. A ce stade, le médicament est administré trop tardivement.

Enfin, il convient de préciser que dans ses conclusions, l’étude américaine rappelle qu’elle « a plusieurs limites », que « L'association d'une diminution de la survie avec des schémas thérapeutiques à base d'hydroxychloroquine ou de chloroquine doit être interprétée avec prudence  ». Les auteurs de l’étude signalent que la conception même de l'étude observationnelle, ne permet pas d’écarter d’autres facteurs ayant une incidence sur les résultats. Ils précisent enfin que « des essais cliniques randomisés seront nécessaires avant de pouvoir tirer des conclusions  ». C’est donc sur la base d’une telle étude que les médias concluent à l’inefficacité de l’hydroxychloroquine !

Une guerre psychologique et mentale

La guerre fait rage et notre commandement général semble totalement sous emprise mentale de l’ennemi. Aujourd’hui, notre ministre de la santé sacralise une étude qui viole manifestement les règles qu’avait retenues ce même ministre pour écarter l’étude du professeur Raoult. Aujourd’hui, on nous reparle à nouveau des effets dangereux de l’hydroxychloroquine en occultant que selon la fiche de pharmacovigilance de l’ANSM, entre 2017 et 2019, sur près de quatre millions de boites de Plaquenil (Hydroxychloroquine) vendues, deux décès ont été rapportés, dont un cas dans le cadre d’une intoxication médicamenteuse chez un sujet prenant six psychotropes en plus de l’hydroxychloroquine. On passe sous silence le fait que ce médicament a été distribué à tous les Piémontais sans que nous soyons alertés d’une multiplication des crises cardiaques ou des suicides en Italie du Nord. On nous parlera encore de cet américain empoisonné après avoir avalé, hors prescription, de l’hydroxychloroquine. On répondra alors que ce pauvre homme a avalé du détergent pour aquarium…

La guerre est là, et désormais, on voit surgir des informations selon lesquelles les effets dangereux de l’hydroxychloroquine sont répertoriés partout dans le monde. Etrange pour une molécule administrée depuis plus de soixante ans et à plus d’un milliard d’hommes. Comme tout peut changer en quelques heures…

La guerre qui se déroule autour de l’hydroxychloroquine met en lumière l’irrationalité et les incohérences de ceux qui sont envoyés sous le feu des canons. Olivier Véran se jette sur l’étude publiée par The Lancet alors qu’il aurait pu aussi se précipiter sur d’autres d’études qui montrent l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et notamment des études conduites selon les règles sacramentelles autrefois défendues par le ministre de la santé. Ce dernier a ignoré toutes ces études y compris celles qui respectent la méthodologie des études à haut niveau de preuve. Le ministre aurait même pu se référer à une étude publiée par The Lancet en 2003 qui montre l’efficacité de la chloroquine contre les maladies virales. Le ministre aurait pu mais il ne l’a pas fait, car le ministre semble suivre un seul programme : dire qu’il n’existe pas de traitement contre le coronavirus, car visiblement on l’a persuadé qu’aucun traitement ne peut exister. Les études qui disent le contraire sont donc des balivernes.

Le Conseil d’Etat se découvre des compétences médicales 

A ce jour, les recours en référé formés devant le Conseil d’Etat, pour rendre à tous les médecins de ville leur liberté de prescrire l’hydroxychloroquine, ont été rejetés.

Pour ce faire, le Conseil d’Etat a rappelé qu’en application de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, et en l’absence de toute recommandation temporaire d’utilisation, l’hydroxychloroquine peut faire l'objet d'une prescription non conforme à son autorisation de mise sur le marché (pour soigner le Covid-19) dès lors qu’il n’y a pas d’autre alternative médicamenteuse appropriée et sous réserve que le médecin prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l'état clinique de son patient. En clair, un médecin peut prescrire l’hydroxychloroquine dès lors qu’il n’y a pas d’autre traitement et que les données scientifiques lui permettent d’envisager un effet positif de ce médicament sur son patient.

Le Conseil d’Etat, pour rejeter les recours contre les décisions du premier ministre, s’est justement fondé sur l’absence de données acquises de la science pouvant justifier l’usage de l’hydroxychloroquine. Rappelons que la notion de « données acquises de la science » est une création jurisprudentielle (Civ. 20 mai 1936, Dr Nicolas c/ Mercier). Le 28 mars 2020, le Conseil d’Etat a donc pris acte «  qu’aucun traitement n’est à ce jour connu pour soigner les patients atteints du covid-19  », que « les résultats de la recherche conduite, du 5 au 16 mars 2020, par une équipe de l’institut hospitalo-universitaire de Marseille en utilisant l’hydroxychloroquine en association avec un antibiotique, l’azithromycine doivent être considérés avec prudence en raison de certaines de ses faiblesses et de son très faible niveau de preuve  ».

Pour le Conseil d’Etat, d’une part, les études disponibles, au 28 mars 2020, souffrent d’insuffisances méthodologiques, en particulier, l’étude observationnelle menée à l’institut hospitalo-universitaire de Marseille qui ne portait que sur vingt-six patients et ne comportait pas de groupe témoin comparable, et d’autre part, l’usage de l’hydroxychloroquine peut provoquer des hypoglycémies sévères et entraîner des anomalies ou une irrégularité du rythme cardiaque susceptibles d’engager le pronostic vital, et il présente des risques importants en cas d’interaction médicamenteuse. Enfin le Conseil d’Etat a pris note des résultats imminents de l’étude Discovery.

Cette position du Conseil d’Etat est problématique car la loi dit que le médecin peut prescrire un médicament en dehors de son autorisation de mise sur le marché si le médecin prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à ce médicament. Mais qui est habilité à dire où en sont les données acquises de la science ? Le médecin ? ou une autre autorité ? Le texte de l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique n’aborde pas ce point. Il semble toutefois que le suivi des données acquises de la science soit de la compétente de la Haute autorité de santé qui, en vertu de l’article L. 161-37 du code de la sécurité sociale doit « Procéder à l'évaluation périodique du service attendu des produits, actes ou prestations de santé et du service qu'ils rendent. »

Le Conseil d’Etat, qui ne se réfère pas à une position de la Haute autorité de santé au sujet de l’hydroxychloroquine, s’est donc « substitué » à cette autorité pour dire quelles étaient les données acquises de la science au sujet de l’hydroxychloroquine. Or le Conseil d’Etat n’a pas de compétence médicale.

Le code de la santé publique dit qu’un médecin peut prescrire un médicament en dehors de son autorisation de mise sur le marché s’il juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à ce médicament. Il s’agit donc d’une appréciation du médecin qui, en fonction de la pathologie de son patient va estimer si, au regard des données acquises de la science, et quelles que soient les conclusions de ces données acquises, il est indispensable de le prescrire. Il s’agit donc d’une prescription, au cas par cas, car elle dépend d’une appréciation fondée sur l’état des connaissances scientifiques mais aussi sur l’état et les besoins du patient.

Dès lors, la « révélation » par le juge administratif des données acquises de la science, pour valider une interdiction générale de prescription, interpelle. De plus, les conclusions que tire le Conseil d’Etat des données scientifiques acquises remettent en cause la mise en balance entre les données scientifiques et l’état d'un patient qui relève de la seule compétence du médecin prescripteur. La capacité d’appréciation du médecin dans son acte de prescription est donc ignorée.

Presque deux mois après la position du Conseil d’Etat, les choses ont changé :

- L’étude du professeur Raoult ne porte plus sur vingt-six patients mais sur plus de mille ;

- Des études récentes, présentant un fort niveau de preuve, montrent l’efficacité de l’association de l’hydroxychloroquine avec un antibiotique dès lors que ce traitement est délivré en début de contamination ;

- les effets secondaires de l’hydroxychloroquine, contrairement à ce qui a été répété, sont quasiment inexistants dès lors que ce traitement est prescrit correctement et avec un suivi médical approprié.

-Les résultats de Discovery tomberont peut-être un jour, mais on ignore dans quel siècle.

Enfin, l’étude sur laquelle semble vouloir se fonder le ministre de la santé pour redéfinir les possibilités de prescription de l’hydroxychloroquine présente un faible niveau de preuve au regard des critères exigés pour l’étude de Marseille.

En cas de recours contre un éventuel nouveau décret limitant encore plus la prescription de l’hydroxychloroquine, le Conseil d’Etat, en appliquant sa grille d’analyse de mars 2020, ne pourra que difficilement le rejeter sauf à balayer d’un revers de main tous les travaux sérieux montrant l’efficacité de l’hydroxychloroquine. Ce revers de main est possible, mais dans ce cas, le Conseil d’Etat ne se placerait plus sur le terrain du droit mais sur celui de l’opportunisme, et cet opportunisme serait celui des maîtres de guerre à qui profite l’interdiction de tout traitement du Covid-19.

Le Grand dévoilement est à l’œuvre

L’acharnement contre l’hydroxychloroquine confirme désormais clairement la situation de guerre en cours : d’un côté des individus veulent soigner les victimes d’une pandémie et de l’autre, des individus veulent bloquer toute possibilité d’un traitement, qui plus est peu onéreux. S’agit-il de maximiser le nombre de morts ? La réponse est négative car le virus s’est montré assez peu contaminant et mortel. S’agit-il de favoriser l’usage d’un vaccin ? On pourrait le penser, mais à ce jour tous les vaccins contre les coronavirus ont échoué. Plus basiquement, il semble que la finalité de cette guerre soit de vendre de nouveaux produits pharmaceutiques à prix d’or, et peu importent leur efficacité réelle, leurs effets secondaires et la santé des personnes.

Le Grand dévoilement est bien engagé et ce qu’il donne à voir est accablant : Le secteur de la santé n’est qu’une source de profits financiers et une partie de la population a renoncé à se poser des questions utiles, renonçant ainsi à sa propre liberté et à sa survie. Pour la partie de la population qui n’a pas encore renoncé à sa liberté, il s’agit d’entrer en résistance, et les résistants de 2020 n’auront peut-être plus d’autre choix que celui de la « La désobéissance civile  » selon l’analyse de Monique Pinçon-Charlot.

Régis DESMARAIS



204 réactions


  • Old Dan 26 mai 2020 10:27

    Ds mon métier de véto, des quinones et quinolones s’employaient avec bcp de précautions pour traiter diverses maladies des bœufs et autres ruminants sauvages (antilopes, buffles...) De la casse cardiaque 1/5 environ + les emmerdements annexes et... Bof !

    .

    [ En 2020, je n’y risquerais pas mon meilleur ennemi, sauf en traitement hospitalier ultime, « de miséricorde »... ]


  • remixxx 26 mai 2020 10:47

    Je suis medecin, je ne suis ni infectiologue, ni pneumologue, ni reanimateur. J’ai aidé ces spécialités en me mettant à leur service auprès des patients pendant le mois au cours duquel mon établissement à du s’arreter pour faire face à l’epidemie Covid. Je vais essayer de vous expliquer pourquoi le traitement par hydroxychloroquine n’arrivera pas à être testé dans les conditions que vous souhaitez.

    A chaque fois qu’un essais est publié, les tenants de ce traitement objectent deux arguments forts, l’hydroxychloroquine n’aurait pas été associée à un macrolide ( dont l’azIthromycine ) et l’étude a porté sur des patients hospitalisés, donc en phase de gène respiratoire. L’ étude devrait donc se porter sur les patients à domicile avec ces deux traitements.

    Je vais rappeler quelques hypothèses de base concernant le COVID et ces traitements. Le Covid tue en très grande majorité des patients âgés ou fragile sur la sphère cardio-vasculaire ( diabétique, coronarien, hypertendu mal contrôlés). L’hydroxychloroquine a peu d’effet secondaire, un d’eux, rare, est le trouble du rythme cardiaque. Les macrolides ont peu d’effet secondaire, l’un d’eux rare est le trouble du rythme cardiaque.

    On propose donc un traitement qui associe deux médicaments dont les effets secondaires se croisent sur une population qui sera le plus sensible à cet effet secondaire. Ceci est possible, mais vous imaginez bien que cela ne peut se faire sans surveillance. Une étude portant sur des patients n’ayant pas ces facteurs de risques prouvera que le traitement n’a pas d’effet secondaire mais ce traitement a il alors un intérêt. Les études sur les patients hospitalisés qui ont ces facteurs de risques ont été réalisés et montrent que ce traitement est morbide en augmentant leur mortalité.

    Maintenant, je vais essayer de vous représenter ce qu’est une étude par tirage au sort. C’est super, super, super pénible. C’est un tombereau de paperasse que vous n’imaginez pas. La plupart de ces études n’arrivent pas à terme parce qu’un traitement plus prometteur est proposé pendant la phase d’inclusion des patients. En medecine de ville, pour une pathologie benigne dans la très grande majorité des cas, vous aurez un nombre de perdu de vue extrêmement élevés qui rendra l’interprétation de vos résultats impossibles. En hospitalisation, alors que le patient est à votre disposition, que beaucoup de médecins sont disponibles parce que mis au chômage forcé par l’épidémie, vous pouvez inclure les patients, surveiller les effets secondaires, la prise effective du traitement et noter son efficacité. A domicile ou en cabinet de consultation, ce n’est pas plus dur, c’est impossible. Seul un regime totalitaire, sequestrant ces patients bien portant, leur administrant le traitement ou son placebo sans leur consentement et avec une surveillance policière quotidienne de leur prise effective et de leur résultats pourrait arriver à réaliser cette étude chez des patients bien portants sans perdus de vue.

    Comment juger l’efficacité de ce traitement ? On peut reprélever les patients à la fin du traitement pour juger du taux de portage du coronavirus, on peut quantifier le taux d’hospitalisation et le taux de passage en reanimation ainsi que le taux de mortalité.

     Pour le taux de portage du virus, l’etude a déjà été faite pour l’hydroxychloroquine seule ( sans le macrolide) en double aveugle sans montrer d’éfficacité. Une étude a été initié en double aveugle parmi les soignants pour déterminer si la prise d’hydroxychloroquine diminuait leur risque d’etre infecté, malheureusement il s’est révélé que les soignants sensibilisés, se protégaient très bien et n’étaient pas infectés, l’etude a donc peu de chance de conclure à quoi que ce soit

    Pour le taux d’hospitalisation et de passage en reanimation, il s’agit de critere subjectif dependant de l’observateur et du patient, l’étude doit alors être non seulement randomisé mais surtout double aveugle. Alors que vous savez qu’ un des groupes a plus de chance de mourir de toxicité cardiaque, une fois hospitalisé, ce double aveugle n’est pas tenable. Il vous reste comme critere objectif le taux de mortalité.

    Vous programmez donc une étude associant hydroxychloroquine et azIthromycine chez des patients bien portant sans facteurs de risques cardio-vasculaire, capables de comprendre les tenants et aboutissants du traitement, de lire ses kilos de papiers en y apposant leur signature avec pour critère d’efficacité la mortalité. Cette population a un taux de mortalité très faible, elle ressemble à celle du Charles de Gaulle, 1100 contaminés, zero mort, un passage en rea. Il va vous falloir énormément, énormément de patient pour prouver une efficacité. L’etude programmée à Poitier tablait sur 1300 patients nécessaires. Aujourd’hui alors que doivent être exclu les patients avec des facteurs de risques de trouble du rythme cardiaque, ce chiffre me semble extrêmement faible car dans cette population le taux de mortalité est plus proche du un pour mille que du un pour cent. Même si l’hydroxychloroquine divisait par deux la mortalité, il vous faudrait 10 000 patients pour le prouver.

    A nouveau, seul un regime totalitaire pourra réaliser cette étude, évidemment si ces résultats sont négatifs, ils ne seront pas publiés…Je vous assure, il y a plus méchant que vos bigpharma.


    • cevennevive cevennevive 26 mai 2020 11:11

      @remixxx, bonjour,

      Merci pour ces précisions !
      Je me doutais (nous nous doutions) bien que la façon dont sont faits ces essais ne pouvait donner des résultats probants...
      Vous venez de développer des arguments imparables.
      Cordialement.


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 11:17

      @remixxx
       
       votre argumentaire est relativement convaincant.
       
      Mais cmment expliquez vous que les pays qui traitent avec la chloroquine ont obtenu de meilleurs résultats que ceux qui s’y refusent ?
       
      Comment expliquez vous que les pays

      pauvres s’en sont mieux sortis que les pays riches ?


    • njama njama 26 mai 2020 11:35

      @remixxx
      L’hydroxychloroquine a peu d’effet secondaire, un d’eux, rare, est le trouble du rythme cardiaque.

      Le Dr Pierre Taboulet Cardiologue – Urgentiste que je cite un peu plus haut (26 mai 09:15/ 09:16/ 09-17) exprime clairement que les quinidiniques, la chloroquine et certains antipaludéens dont la quinine sont des stabilisants de membrane et des antiarythmiques ! que la quinidine est antiarythmique et antifibrillant.
      ok c’est assez contradictoire avec le Vidal, pourquoi je ne sais pas ???
      Il n’y a donc pas cumul d’effets de troubles cardiaques dans le traitement HCQ + AZI, au contraire puisque l’association la chloroquine stabilise ou compense les possibles troubles du rythme. Le risque de « torsades de pointes » n’est pas indiqué dans le Vidal pour ces 2 antipaludéens, il l’est seulement pour la Zithromax et autres antibiotiques de la même famille.

      La chloroquine peut être responsable de troubles du rythme cardiaque potentiellement graves, en particulier en cas d’hypokaliémie, d’insuffisance cardiaque non contrôlée, d’infarctus du myocarde récent ou de ralentissement important du cœur.
      https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-bnivaq01-NIVAQUINE.html
      L’hydroxychloroquine peut rarement être responsable de troubles du rythme cardiaque. Elle doit être utilisée avec prudence en cas d’hypokaliémie, d’insuffisance cardiaque non contrôlée, d’infarctus du myocarde récent ou de ralentissement important du cœur.
      https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-jplaqu01-PLAQUENIL.html
      Zithromax
      Les antibiotiques de la famille des macrolides exposent à un risque de torsades de pointes.

      https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-ozitro01-ZITHROMAX.html


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 11:49

      @cevennevive
       
       ’’Vous venez de développer des arguments imparables’’
       
       Ve n’est ni vous ni moi qui pouvons confirmer ou infirmer cet argumentaire. J’aimerais connaitre l’antithèse que ne devraient pas tarder à produire les spécialistes


    • DLaF mieux que RN ou Z / Ukraine vraidrapo 26 mai 2020 11:55

      @remixxx

      Bonjour et merci de vos explications qui court-circuitent un peu les exposés trop techniques.

      Vous programmez donc une étude associant hydroxychloroquine et azIthromycine chez des patients bien portant sans facteurs de risques cardio-vasculaire, .....pour critère d’efficacité la mortalité. Cette population a un taux de mortalité très faible, elle ressemble à celle du Charles de Gaulle, 1100 contaminés,


      Doit-on comprendre que la Marine a utilisé l’HCQ ?

      A nouveau, seul un régime totalitaire pourra réaliser cette étude, évidemment si ces résultats sont négatifs, ils ne seront pas publiés…

      Négatif de quel point de vue ?


    • cevennevive cevennevive 26 mai 2020 12:17

      @JL, bonjour,

      Les « arguments imparables » ne sont pas destinés aux bienfaits ou non de la chloroquine.
      Simplement le docteur remixxx nous explique, très clairement ce dont nous nous doutions un peu, à savoir que les essais actuels ne peuvent être concluants
      compte tenu du panel hasardeux des malades ou des porteurs bien portants.

      De plus, remixxx ne prend pas des positions très strictes ou orientées, comme nous avons l’habitude d’en lire quotidiennement. Il développe et explique.

       


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 12:47

      @cevennevive
       
       d’ailleurs, il nous suffisait de lire la réponse de Njama ci-dessus 11:35 qui infirme la thèse de remixxx

      .


    • njama njama 26 mai 2020 13:49

      @JL
      Si nous ne prenons pas un apport régulier en magnésium, avec du sel de mer (celui raffiné n’en contient pas, je le considère comme toxique d’autant plus que dans certains du fluor y est ajouté), avec des eaux magnésiennes de temps en temps, ou avec de petites cures de chlorure de magnésium nous sommes tous carencés avec cette agriculture moderne qui nourrit les plantes aux phosphates et autres intrants chimiques. Donc une grande partie de la population est susceptible d’être en hypomagnésémie, y compris dès l’enfance.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypomagn%C3%A9s%C3%A9mie

      Les causes de l’hypokaliémie sont pour la plupart liées à des pathologies
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Hypokali%C3%A9mie

      Les deux combinés d’après ce cardiologue ce n’est pas bon au niveau cardiaque
      "En revanche, l’hypomagnésémie potentialise les effets ECG d’ une hypokaliémie et expose au risque de torsade de pointes."

      Ceci expliquerait peut-être la fréquence des pathologies cardiaques dans nos sociétés... de là à faire porter le chapeau à la chloroquine... c’est un pas trop vite franchi je trouve.


    • remixxx 26 mai 2020 21:18

      @lacoste

      Ce que je cherchais à expliquer, c’est que l’évènement « mort du patient » est un événement rare dans cette pathologie pour des patients sans facteur de risque et qu’il faudrait inclure énormément de patient pour prouver qu’un traitement est efficace. Si l’événement "mort du patient" survenait une fois sur deux, avec une étude comparant deux groupes de vingt patients vous auriez une réponse. Pour un événement qui survient une fois sur mille il vous faut inclure des milliers de patients. D’autre part, Il est aussi très difficile de faire une étude sans perdue de vue dans un milieu ouvert. C’est pourquoi, les études randomisées double aveugles sont beaucoup plus faciles en milieu hospitalier, l’hospitalisation étant une forme de privation de liberté. 
      En conséquence, les études sont faites en milieu hospitaliers sur des patients ayant soit des facteurs de risques soit une avancée dans la maladie qui fait que l’ événement « mort du patient » devient fréquent et qu’il y a peu de perdue de vue ou de traitement non poursuivis.
      Ce que je voulais vous dire concernant les régimes totalitaires est juste une disgression. Pour faire cette étude de façon correcte, il faudrait traiter des patients bien portants et leur imposer une contrainte en termes de surveillance et de contrôle qui est naturelle en milieu hospitalier mais qui ne l’est pas du tout à domicile. Le régime qui a pu mettre en quarantaine les patients infectés dans des stades pourait faire cette étude (je vous conseille l’interview du dr Philippe Klein concernant la prise en charge de la pandemie à Wuhan).
      Les études sont biaisées non par la volonté d’un complot mais par la facilité, la médecin n’échappe pas à la critique heideggérienne de la société, le post modernisme envoie la société non plus selon la volonté humaine mais là ou l’eau coule le plus facilement.


    • Arogavox Arogavox 31 mai 2020 23:15

      @remixxx @njama :
      Quid d’un biais imaginable si jamais nous devions tenir compte d’un taux d’infections nosocomiales plus important que la moyenne en milieu hospitalier ?


  • DACH 26 mai 2020 10:55

    Le fétichisme scientifique, le mille feuilles bureaucratique ou centralisme bureaucratique, ,le principe de précaution, et la peur inculquée d’être responsable de quelque chose que l’on a pourtant décidé, vous avez là le cocktail du bordel intellectuel qui saoule tout le monde et constitue le virus de l’inefficacité.


  • DACH 26 mai 2020 11:17

    Des arguments médicaux sur le protocole DR semblent indiquer qu’il s’agit d’un traitement plutôt préventif que un traitement d’attaque en phase sévère. Or la médecine préventive en France c’est.... ;


  • Eric F Eric F 26 mai 2020 11:38

    Ce matin, le Docteur Philippe Parola, chef du service des maladies infectieuses de l’IHU de Marseille, est intervenu sur CNEWS de manière posée et hors de toute polémique, et a expliqué qu’ils ont donné la priorité à l’application d’un traitement qu’ils ont considéré efficace, avec des résultats qui leurs semblent convaincants. 


  • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 26 mai 2020 11:42

    Raoult, un vraie star médiatique ^^


  • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 11:46

    Et si l’efficacité de l’hydrochloroquine résidait principalement en ce qu’elle réduit le nombre de vecteurs de la pandémie ?

     

    Plutôt que d’escompter un miracle vaccinal, ne serait-il pas plus intelligent de traiter la majeure partie de la population saine des zones à risque avec un antiviral ?


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 26 mai 2020 11:47

      @JL

      Et si on veut pas se faire traiter ? et si on emmerde la gouvernement et sa fausse pandémie ? ^^


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 12:09

      @bouffon(s) du roi
       
       je parle des gens qui acceptent déjà la vaccination : c’est une alternative, surtout en l’absence de vaccin.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 26 mai 2020 12:13

      @JL

      Ah ok, chacun voit midi à sa porte effectivement ^^


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 12:37

      @bouffon(s) du roi
       
      ne me faites pas dire ...
       
      Perso, je ferais plus confiance dans la HCQ à titre préventif qu’en un vaccin aux effets secondaires redoutables et à l’efficacité hasardeuses vu que le virus lui-même ne confère pas l’immunité.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 26 mai 2020 12:57

      @JL

      On fait ce que l’on croit bon pour soi (en général), pour ma part, rien : je vais continuer à vivre tout à fait normalement sans aucune peur, sans masque, sans gant, aucun médoc ou vaccin.


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 13:03

      @bouffon(s) du roi
       
       oui, chacun voit midi ...
       
      si on me propose un médoc sûr qui n’enrichit pas Big Pharma et qui peut sauver la vie de personnes âgées ou malades, je suis partant.
       
       D’ailleurs ce que je suggère, ce n’est que gagnant gagnant au sein du groupe social, qui exclut Big Money devenu notre ennemi à tous dans la guerre qu’il nous fait pour accroître ses profits.


    • bouffon(s) du roi bouffon(s) du roi 26 mai 2020 13:14

      @JL

      il y a le protocole Marik, passé sous silence et interdit en France :

      On injecte au patient :
      -1,5 gramme de vitamine C en intraveineuse toutes les 6 heures pendant 4 jours ; -50 mg d’hydrocortisone toutes les 6 heures pendant 7 jours ;
      -200 mg de thiamine ou vitamine B1 en intraveineuse toutes les 12 heures durant 4 jours.

      Et tout ça est bien moins nocif que n’importe quel traitement chimique (et peut être moins cher aussi) ^^


    • foufouille foufouille 26 mai 2020 14:20

      @bouffon(s) du roi

      médecine niveau CM2.


    • Francis, agnotologue JL 26 mai 2020 16:17

      @lacoste
       
       ’’ il ya une omerta totale pour toutes les autres alternatives qui sont totalement décridibilisées’
       
       il y a une omerta totale pour toutes les autres alternatives ou bien leurs promoteurs font l’objet de campagnes de diffamations systématiques.


    • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 27 mai 2020 09:36

      @lacoste
      Il y a effectivement des médecins mosellans, relayés par d’autres praticiens, qui ont proposé un traitement alternatif à celui du professeur Raoult avec des résultats encourageants. Conséquence : l’ordre national des médecins les a menacé de poursuites judiciaires et autres sanctions. Etrange façon de concevoir la liberté de prescription du médecin. Les tirs groupés contre le professeur Raoult nous montrent que beaucoup de gens ont une vision totalitaire du rapport avec les autres. Rapport de force et même de force violente. 


  • le crocodile 26 mai 2020 12:02

    Dernières nouvelles sur le traitement du covid-19 par injections intra veineuses d´hydroxychloroquine ! 100 % de réussite !

    https://fr.sott.net/article/35662-Des-chercheurs-obtiennent-100-de-guerisons-dans-100-essais-cliniques-menes-en-Equateur-a-l-aide-de-l-hydroxychloroquine-en-intraveineuse


    • doctorix, complotiste doctorix 26 mai 2020 20:02

      @le crocodile
      C’est intéressant, mais la traduction confond HCQ et dioxyde de Chlore, ça complique...


  • njama njama 26 mai 2020 12:31

    Une étude parue dans The Lancet en 2003 ne révèle pas de toxicité de la Chloroquine

    Effects of chloroquine on viral infections : an old drug against today’s diseases
    Dr Adrea Savarino, John R Boelaert, Antonio Cassone, Giancario Majori, Roberto Cauda Published:November, 2003
    [...] Safety considerations

    (trad) Les effets de la chloroquine sur les infections virales : un vieux médicament contre les maladies actuelles
    Considérations de sécurité
    Les études examinées ici montrent que la chloroquine hydroxychloroquine a des effets antiviraux in vitro et des propriétés anti-inflammatoires qui pourraient être intéressantes pour les infections virales associées à une inflammation et/ou une activation immunitaire. Avant d’analyser les effets potentiels d’un médicament sur une maladie, des critères de sécurité doivent être remplis, afin d’estimer le rapport risques-avantages. La chloroquine hydroxychloroquine a un profil de toxicité bien étudié. L’utilisation de ce médicament pendant un demi-siècle dans le traitement de la malaria démontre la sécurité de l’administration aiguë de chloroquine aux êtres humains. L’utilisation de la chloroquine hydroxychloroquine dans les maladies rhumatismales et pour la prophylaxie antipaludéenne a montré une faible incidence d’effets indésirables lors de l’administration chronique de ce médicament pendant des périodes pouvant aller jusqu’à quelques années. Dans ces cas, l’effet toxique le plus grave est une rétinopathie maculaire, qui dépend de la dose cumulative plutôt que de la dose quotidienne, et des dommages permanents peuvent être évités grâce à une surveillance visuelle régulière pendant le traitement.27, 28, 29 Une étude récente30 a fourni des résultats encourageants sur la sécurité d’un dosage élevé du médicament (jusqu’à 500 mg de chloroquine base par jour) même pendant la grossesse.
    Nous concluons que l’administration de chloroquine/hydroxychloroquine présente une toxicité limitée et bien évitable et peut donc entraîner un faible rapport risques/bénéfices, du moins lorsqu’elle est utilisée dans des conditions mettant la vie en danger.
    Dorénavant, nous discuterons de l’utilité potentielle de ce vieux médicament dans le traitement de deux maladies infectieuses qui représentent une menace sérieuse pour la santé publique à l’ère de la mondialisation, le SIDA et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Ces maladies sont toutes deux causées par des virus à ARN enveloppés et partagent certaines manifestations cliniques qui sont susceptibles d’être médiées par des réactions immunitaires de l’hôte.

    https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099(03)00806-5/fulltext


    • Legestr glaz Legestr glaz 26 mai 2020 13:13

      @njama

      Etude de nombre 2003, déjà oubliée par les médias. Ceux-ci pourraient-ils faire état de cette étude ? Il existe 61 études associées à ce document, rien que ça !

      Merci pour ce « post » qui démontre toute la duplicité du « système » et des médias dominants. Cette étude est un coup de poing dans la figure de celles et ceux qui ne jurent aujourd’hui que par l’étude du mois de mai 2020 du même journal « The lancet ». 

      La question qui se pose est : comment se fait-il que l’étude « rétrospective » parue récemment dans The Lancet ne fasse pas état de cette étude préalable, de toutes ses sources, de toutes ses références ? Est-ce que l’on est dans l’objectivité scientifique ou c’est autre chose ? 


    • pemile pemile 26 mai 2020 13:32

      @Legestr glaz « Etude de nombre 2003, déjà oubliée par les médias. »

      Du tout, oubliée par vous peut être ? Que l’effet in vitro constaté à cette époque n’a toujours pas été constaté in vivo est bien connu et fut discuté lors des premières annonces de Raoult.


    • njama njama 26 mai 2020 14:04

      @pemile
      En citant cette étude ce n’est pas tant comme faire valoir de qualités antivirales de la chloroquine (j’avais souligné le in vitro), quoiqu’elles paraissent très prometteuses au point d’avoir retenu l’attention d’autres chercheurs à l’époque, que pour mettre en exergue ce qui en était rapporté quant à sa sécurité d’emploi Safety considerations

      qui est actuellement contestée avec une grande virulence de la part des détracteurs du protocole de l’IHU de Marseille
      Il est donc logique que sur cette base Raoult a communiqué aux chinois d’en tester l’efficacité dès le début de l’épidémie bien avant qu’elle n’atteigne la France.


    • Legestr glaz Legestr glaz 26 mai 2020 14:11

      @pemile
      Avec vos « principes » il faudrait arrêter d’urgence toutes les chimiothérapies. 

      Parce que, en effet, est-ce que la chimiothérapie, si coûteuse, fonctionne ? Nous n’avons strictement aucune preuve de l’efficacité de la chimiothérapie. Strictement aucune ! Même sous chimiothérapie les cancéreux continuent de mourrir !

      Alors pemile, pourquoi ce combat acharné contre l’hydroxychloroquine dans les médias et pas contre la chimiothérapie ? Pour des raisons de business ? Ce sont l’argent et les profits qui sont au centre du jeu ? 


    • pemile pemile 26 mai 2020 14:12

      @njama « pour mettre en exergue ce qui en était rapporté quant à sa sécurité d’emploi »

      C’est secondaire, il faudrait déjà prouver une efficacité !


    • njama njama 26 mai 2020 14:40

      @pemile
      vous me faites rire vous dites que c’est secondaire, alors que c’est un point important examiné dans l’étude et obligé avant l’éventualité de passer du stade in vitro au stade in vivo
      « Before analysing the potential effects of a drug on a disease, safety criteria have to be met, to estimate the risk/benefit ratio. »

      Et comme le profil de sécurité était jugé très élevé, pourquoi attaquer aujourd’hui son usage ?
      « The half-century-long use of this drug in the therapy of malaria demonstrates the safety of acute administration of chloroquine to human beings. »

      Et l’efficacité est jugé bonne à partir de quel stade ? de la chloro seule ou en association avec l’azi ?
      A l’IHU ils ont démontré une diminution plus rapide de la charge virale... qu’est-ce que vous voulez de plus, pas besoin d’une étude en « double aveugle » contre placebo, ce qui serait immoral je vous signale. Vous confondez médecine et recherche scientifique.


    • pemile pemile 26 mai 2020 15:15

      @njama « A l’IHU ils ont démontré une diminution plus rapide de la charge virale »

      Non.

      « Et comme le profil de sécurité était jugé très élevé, pourquoi attaquer aujourd’hui son usage ? »

      Parce qu’à l’image de Trump tout le monde devient taré et se précipite sur ce traitement qui n’a pourtant toujours pas démontré son efficacité ?


    • pemile pemile 26 mai 2020 15:20

      @Legestr glaz « Alors pemile, pourquoi ce combat acharné contre l’hydroxychloroquine dans les médias »

      Parce que Papy Raoult n’a toujours apporté de preuves d’efficacité de son traitement ?


    • njama njama 26 mai 2020 16:01

      @pemile
      Parce qu’à l’image de Trump tout le monde devient taré et se précipitera sur le vaccin magique ARNm avec quelques nanoparticules en prime ... dont on ne sait absolument rien, qui sera validé en fast-track...
      sûrement dès que la « communauté scientifique » aura réglé son compte avec l’HCQ
      mais quoiqu’il arrive Raoult est inattaquable au plan déontologiquie

      « Par exemple, le vaccin contre la Covid-19 de Moderna a récemment reçu l’approbation accélérée de la Food and Drug Administration (FDA) après avoir reçu le « feu vert » pour passer à la phase 2 des essais avant que les résultats de la phase 1 ne soient publiés. Le président de Moderna, le Dr Stephen Hoge, a récemment déclaré que la société s’attendait maintenant à commencer la troisième phase finale des tests cet été. »

      Cette histoire est cousue de fils blancs il n’y a pas de pandémie ! l’OMS a déclaré abusivement un état de pandémie
      Ils peuvent se le garder leur vaccin ! on va lancer un grand mouvement de protestation contre ça comme en 2009


    • pemile pemile 26 mai 2020 18:21

      @lacoste « Attendre les résultats d’études cliniques est à mon sens criminel »

      Oui, alors que Raoult et l’IHU-MI avait la structure nécessaire pour la faire il y a maintenant 3 mois !


    • doctorix, complotiste doctorix 26 mai 2020 20:10

      @njama

      on va lancer un grand mouvement de protestation contre ça comme en 2009

      En 2009, on s’est faits traiter d’assassins, d’inconscients... Comme aujourd’hui...
      Mais la victoire populaire (et du bon sens) fut écrasante, avec 7 millions de doses injectées sur 94 millions de doses achetées.
      Je sens que la même chose se prépare...
      Il faudra donc utiliser la force, mais les gouvernements en ont-ils les moyens ?
      Je ne crois pas.
      Big Pharma pourrait bien mordre la poussière sur ce coup. C’est sans doute pourquoi il joue à quitte ou double et force la dose.


    • Legestr glaz Legestr glaz 26 mai 2020 21:54

      @pemile
      C’est comme avec la chimiothérapie, qui donc a apporté la moindre preuve de son efficacité ? Hein pemile, qui ? Vous tentez une petite réponse ? Le gouvernement et la HAS vont interdire les chimiothérapies ? 

      Alors pourquoi ce 2 poids 2 mesures ? 


    • Legestr glaz Legestr glaz 26 mai 2020 22:08

      @pemile
      Mais l’étude parue ces jours ci dans The Lancet est tout aussi faible que l’étude de 2003. Alors, pemile, pourquoi la considérer comme « supérieure » ?

      Cette étude rétrospective sur l’hydroxychloroquine est de faible niveau de preuve scientifique. Il se trouve que tous les médias la tienne pour « solide ». Tout ça n’est vraiment pas très sérieux. 







      Faible niveau de preuve scientifique

      Niveau 3
      - études cas-témoins.

      Niveau 4
      - études comparatives comportant des biais importants ;
      - études rétrospectives ;
      - séries de cas ;
      - études épidémiologiques descriptives (transversale, longitudinale)



  • bernard29 bernard29 26 mai 2020 14:25

    la solution est pourtant simple.

    Il suffit de laisser libre le médecin de prescrire de l’hydrochloroquine + azithromycine aux patients légèrement atteints tout juste dépistés positifs, avec leur accord et sous la responsabilité du médecin. 

    Il n’y aurait pas eu tout ce cinéma si le mage Chloroquinix ne l’avait pas présenté dès le début comme la potion miracle qui allait éradiquer le virus, pour se faire mousser médiatiquement. C’est en cela que le prosélytisme de l’apothicaire de la canebière est fautif.

    l


    • bernard29 bernard29 26 mai 2020 15:58

      @lacoste

      « Chloroquinix » avait arrêté de prescrire ? 
      Le décret a été salué par le professeur Raoult, le directeur de l’Institut Méditerranée Infection, à Marseille, qui prône depuis plusieurs jours l’utilisation de cet anti-paludique dans la lutte contre le coronavirus. https://www.courrier-picard.fr/id77743/article/2020-03-27/un-decret-autorise-la-prescription-de-chloroquine-en-traitement-du-coronavirus ;


    • Eric F Eric F 26 mai 2020 16:08

      @bernard29
      Je partage en partie votre point de vue, le Pr Raoult avait été exagérément péremptoire avec sa formulation « fin de partie », ce qui a induit dès l’origine des réticences de la part de « la faculté ». Or basiquement ce qu’il propose est plutôt « traditionnel », on avait déjà envisagé l’emploi de chloroquine à l’époque du SRAS (mais celui-ci s’est rapidement résorbé), et les Chinois ont eu des résultats encourageants au début de la présente épidémie.
      Ce qui surprend un « observateur » non impliqué, c’est désormais la virulence des attaques destinées à dénigrer ce médicament universellement utilisé. Excès de « principe de précaution », suivisme corporatiste, ou conflit d’intérêt ? Un peu des trois, je suppose.


    • njama njama 26 mai 2020 16:11

      @bernard29
      Votre article date un peu 27/03/2020

      « Ce médicament n’est pas utilisable « dans la prise en charge du Covid-19 en médecine de ville », précise l’agence du médicament l’ANSM, alors qu’il fait actuellement l’objet d’une demande massive. »


    • bernard29 bernard29 26 mai 2020 17:41

      @Eric F
      Et que dites vous de la virulence des adeptes de Chloroquinix qui ont quasiment matraqué deux mois durant leur bible. D’ailleurs il est évident lorsque l’on parcoure leurs argumentaires que de nombreux militants se sont bien plus intéressés aux potentialités d’une utilisation politique de cette affaire médicale qu’à l’épidémie elle même.


    • doctorix, complotiste doctorix 26 mai 2020 20:16

      @bernard29
      Il faut arrêter de taper sur Raoult avec une obsession compulsionnelle comme vous le faites.
      Raoult s’est toujours exprimé avec simplicité, et a montré qu’il connaissait son sujet.
      Il n’y a rien à redire sur sa présentation des faits, sauf évidente mauvaise foi.
      Il connait son sujet, et c’est pratiquement ce qu’on lui reproche (« on » étant symbolisé par des journaleux crétins du genre Patrick Cohen, vous savez, celui qui donnait des cours de vaccinologie et de virologie à Raoult, avec son petit sourire de hyène...


    • doctorix, complotiste doctorix 26 mai 2020 20:21

      @bernard29
      Arrêtez de taper sur Raoult en attaques ad personam, c’est remarquablement chiant.
      Il s’exprime simplement, connait son sujet, et sait se mettre à portée de son auditoire..
      Ne vous rangez pas du côté de journaleux de type Patrick Cohen, qui osa lui donner des cours de vaccinologie et de virologie sur un plateau télé, avec son sourire de hyène et son arrogance imbécile.
      Et arrêtez aussi d’évoquer une possible secte, c’est un argument minable.
      S’il y a une secte, c’est chez Big Pharma qu’il faut la chercher.


    • doctorix, complotiste doctorix 26 mai 2020 20:23

      @doctorix
      Bon, j’ai cru mon premier message parti dans les limbes...


    • alinea alinea 26 mai 2020 21:11

      @bernard29
      Non ! il y a aussi la lutte du bon sens, du « on fait avec ce qu’on a » contre la pseudo rigueur d’une pseudo science toute entachée d’intérêts tout autres que sanitaires.
      La dernière vidéo de Raoult est très claire de ce point de vue :
      Didier Raoult c’est la fin de l’épidémie - YouTube


    • bernard29 bernard29 26 mai 2020 23:52

      @doctorix
      vous dites  : « Raoult s’est toujours exprimé avec simplicité etc etc …. »

      Je me permets de vous recopier ici le commentaire que j’avais mis sous l’article « Hydroxychloroquine : l’affaire est entendue… » le 25/05/2020 . vous constaterez que je tape pas sur Raoult mais que je critique la communication de Chloroquinix. 

      Réponse à un commentateur « phan »

      « j’ai regardé la vidéo. de Raoult »
      Personne ne dit que Raoult n’est pas un bon médecin ni un grand chercheur, mais ce qui est désagréable dans son discours c’est son leitmotiv, indiquant que lui, a vu et travaillé sur des malades comme si les résultats de l’étude ont été faits sur des malades qui n’ont pas été suivis par des médecins . Ou alors, Il devrait annoncer clairement que les médecins hospitaliers qui ont rempli les fiches de patients ne sont pas des vrais praticiens ou que ce sont des incompétents. 


    • phan 27 mai 2020 08:40

      @bernard29
      Les médecins de l’étude du Lancet ne sont pas virologues. 

       Anachronisme :

      « L’étude a analysé des données d’environ 96 000 patients infectés par le virus Sars-CoV-2 admis dans 671 hôpitaux entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020, sortis ou décédés depuis. »
      12 janvier 2020 : La Chine publie la séquence génétique du SARS-CoV-2.
      17 janvier 2020 : Le protocole du test diagnostique est publié par l’OMS et réalisé en Allemagne.
      25 février 2020 : Le protocole du Dr Raoult est mis en ligne : « Bientôt il n’y aura plus de Chloroquine dans les pharmacies » !
      L’inspecteur Colombo a détecté tout de suite la triche de l’étude du Lancet !

       Data mining (exploration de données) 

      L’origine des données (alimentation automatique ou manuelle, stockage dans quelle base de données, procédures d’exploitation de ces données ...)

      Les données sont prélevées sur tous les continents !

      L’inspecteur Colombo a détecté tout de suite les mensonges de l’étude du Lancet : on parle anglais sur tous le continents, on utilise un tableau Excel sur un même système Windaube sur tous les continents !

      — La majorité des patients dans l’étude du Lancet sont nord américains : la première cause des décès aux USA est les maladies cardio-vasculaires et le protocole du Dr Raoult va de pair avec une ECG.


      Les doses de médicaments (HCQ+AZT) à prendre varient selon l’âge, le sexe, l’ état de santé et la tolérance.


      PS : une autre vidéo à regarder et un blog intéressant de Jean-Dominique Michel | « Anatomie d’un désastre » | Avril 2020

    • bernard29 bernard29 27 mai 2020 11:09

      @lacoste
      maintenant 27 mai 2020 , l’ lhydroxychloroquine , est interdit hors essais cliniques.


    • Eric F Eric F 27 mai 2020 18:05

      @bernard29
      « que dites vous de la virulence des adeptes de Chloroquinix... »

      Il y a eu un glissement du débat, depuis le domaine médical vers le domaine sociétal, comme symbole du clivage de la « base » contre l’« élite ». Ce n’était pas la situation à l’origine, mais cela a peu à peu migré en ce sens, et il n’est pas niable que le Pr Raoult en joue désormais, je dirais même qu’il surjoue un peu, car en réalité il fait aussi partie d’une élite. Il a le soutien des courants anti-système (accoutumés à la véhémence), et également des provinciaux vs le pouvoir central.

      Mais la « virulence » existe tout autant parmi ses adversaires, notamment l’inénarrable Cohn Bendit qui l’enjoint de la fermer, et à fleuret plus moucheté de la part des mandarins de la corporation, qui ont surdramatisé l’alerte sur les effets secondaires.

      L’étude évoquée par l’article me parait de plus en plus discutable à mesure qu’on en connait les circonstances, elle se révèle comme finalement très centrée USA (majorité de l’échantillon), or une étude dans le même sens avait déjà été publiée là-bas, sur des groupes dont la gravité n’était pas comparable. Il s’agit d’une « étude à thèse » pour discréditer le médicament en question, et il apparait que le cardiologue principal auteur a le soutien du laboratoire Gilead qui veut promouvoir l’usage du Remdesivir (justement testé dans l’hôpital Brigham de Boston). La rapidité de réaction de l’OMS pour suspendre les essais est « questionnable », et évidemment le « pouvoir médical » français a emboité le pas.


    • bernard29 bernard29 28 mai 2020 09:58

      @Eric F
      « l’inénarrable Cohn Bendit qui l’enjoint de la fermer  ».

      Exact !!


  • Emohtaryp Emohtaryp 26 mai 2020 14:41

    Un aveu choquant de l’éditeur de The Lancet, la revue médicale la plus estimée au monde, a été pratiquement ignoré par la grande presse et les médias dominants. Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, a récemment fait une annonce disant qu’un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses.

    -

    https://criigen.org/un-aveu-choquant-de-lediteur-de-the-lancet/


    • pemile pemile 26 mai 2020 15:28

      @gaijin « raoult et le lancet sont d’accord »

      Non, le Lancet dénonce les études pourries, Raoult, lui, il en produit ou les juge « très bon travail » quand elles sont produit par un de ses potes (Pr Perronne) !


    • alinea alinea 26 mai 2020 15:40

      @pemile
      Entre lui et la Buzyn, son mari et ses copains, votre choix est fait ?
      Didier Raoult c’est la fin de l’épidémie - YouTube


    • gaijin gaijin 26 mai 2020 16:03

      @pemile
      raoult aussi il dénonce les études pourries publiées dans des journaux corrompus
      mais vous n’entendez que ce que vous voulez ....


    • njama njama 26 mai 2020 16:05

      @alinea
      oui il l’avait située vers le 19 mai il y a une quinzaine de cela parce que comme pour toutes les épidémies ça obéit à des courbes en forme de cloche.


    • Eric F Eric F 26 mai 2020 16:19

      @njama
      « comme pour toutes les épidémies ça obéit à des courbes en forme de cloche »


      La courbe au niveau national n’est pas vraiment « en cloche », car elle montre une montée assez abrupte mais une pente de redescente plutôt lente à cause de la durée de la maladie pour les patients connaissant des complications, et de la persistance d’apparition de nouveaux foyers sporadiques. Mais pour l’instant, c’est « maîtrisé » contrairement à la mi-mars.


    • pemile pemile 26 mai 2020 17:06

      @gaijin « raoult aussi il dénonce les études pourries publiées dans des journaux corrompus »

      Pas si c’est l’étude d’un copain qui défend l’HCQ


    • pemile pemile 26 mai 2020 17:06

      @alinea « Entre lui et la Buzyn, son mari et ses copains, votre choix est fait ? »

      Faux dilemme.


    • gaijin gaijin 26 mai 2020 17:24

      @pemile
      bien évidemment ...


    • pemile pemile 26 mai 2020 18:15

      @lacoste "Je ne voulais pas intervenir mais votre agressivité transparaît à travers tous vos propos car vous n’acceptez pas que l’on puisse penser différemment de vous« 

      Vous rigolez ? Quelles seraient mes »convictions" ?


    • alinea alinea 26 mai 2020 21:26

      @pemile
      Ce n’est pas un faux dilemme, c’est le cœur du problème !!


    • pemile pemile 26 mai 2020 23:31

      @alinea « Ce n’est pas un faux dilemme, c’est le cœur du problème !! »

      Si, si, et bien binaire, ne proposer comme choix que Raoult ou Buzyn,son mari et ses copains !


    • alinea alinea 27 mai 2020 00:32

      @pemile
      Il faut voir un peu plus loin !! bon sens et santé face à Big Pharma et politiques voyous.
      Derrière « Raoult » il y a un soin utilisé à l’échelle planétaire !! de l’Inde aux USA en passant par le MO et l’Afrique...
      Derrière « Busyn » il y a les lobbies qui veulent notre peau pour s’engraisser !!


  • Gilbert Spagnolo dit P@py Gilbert Spagnolo dit P@py 26 mai 2020 18:03

    Trois pointures viennent en soutien au Pr Raoult ( 06/04/20 )

    https://www.egora.fr/actus-pro/controverse/58739-trois-pointures-viennent-en-soutien-au-pr-raoult



    L’OMS ses liens étranges ?

    https://www.erudit.org/fr/revues/ei/2010-v41-n2-ei3939/044615ar/

    Si vous êtes pressés , allez au chapitre ::Conclusions


    (78) L’oms reste un organisme international nécessaire, en particulier dans le domaine de la réglementation et de la normalisation, pour alerter les États de risques d’épidémies ou de pandémies, pour lancer des programmes de lutte ou d’éradication de maladies, pour intervenir dans les catastrophes humanitaires. Elle peut et doit s’imposer à nouveau par sa compétence basée sur une rigueur technique, sa transparence, son indépendance à l’égard de la politique et par rapport aux puissantes firmes pharmaceutiques.


    [6]Dix des quinze membres du Comité sage ont des liens avérés avec des firmes pharmaceutiques. Selon Le Monde (2010c), trois experts sanitaires sur quatre de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé ont des intérêts dans l’industrie pharmaceutique. Les experts internationaux viennent de listes d’experts nationaux.


    https://www.konbini.com/fr/tendances-2/docu-conflits-dinterets-lobbying-entravent-lefficacite-de-loms/


    https://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/26/l-oms-sous-influence-de-l-industrie-pharmaceutique_1324720_3244.html


    https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/01/22/l-oms-face-a-un-nouveau-conflit-d-interets_1469082_3244.html


    https://www.asso-malades-thyroide.fr/wordpress/index.php/2018/07/07/loms-sous-linfluence-de-lindustrie-pharmaceutique-3/


    https://www.monde-diplomatique.fr/2002/07/MOTCHANE/9250


    https://www.letemps.ch/monde/loms-ne-sortira-indemne-cette-pandemie


    https://www.univadis.fr/viewarticle/l-enquete-menee-par-l-oms-revele-un-conflit-d-interets-potentiel-au-sein-des-associations-pediatriques-687107


    @+ P@py


    • bernard29 bernard29 27 mai 2020 00:03

      @Gilbert Spagnolo dit P@py

      ça devrait plaire à Choroquinix parce que comme technocrates mandarins , c’est pas mal. !!! hein papy … 

      (Fabien Calvo, Jean-Luc Harousseau et Dominique Maraninchi, respectivement ancien directeur scientifique de l’Institut national du cancer (INCa), ancien président de la Haute autorité de santé (HAS) et ancien directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)


    • bernard29 bernard29 27 mai 2020 00:05

      @Gilbert Spagnolo dit P@py

      sinon il y avait aussi les trois pointures « Estrosi, Douste Bal Bla et Ciotti avec leurs pétitionnaires de la »Peuchère" Méditerranée.. 


  • coquecigrue coquecigrue 26 mai 2020 18:16

    Il ne s’agit pas d’une ETUDE, mais d’une compilation disparate de données incohérentes. 


  • merthin 26 mai 2020 21:48

    En fait, 

    Je ne vois pas où est le complot et ce que l’auteur dénonce.

    L’étude publiée dans The Lancet décrit très bien ses limites et ses faiblesses. Elle ne cache rien. Pas comme un certian enchanteur du Sud qui a planqué des morts dans ses statistiques.

    Franchement pas de quoi foutter un chat.

    Si c’est la médiatisation de l’étude que vous dénoncer, sachez que ce n’est pas la première fois que la profession démontre son incompétence à présenter des études scientifiques. Rien de particulier pour l’HCQ.


    • merthin 27 mai 2020 10:11

      @Alcyon

      C’est pas un manque de respect. C’est défiance généralisée envers le centralisme parisien.

      Si Cohen de C’est à vous dit A, alors c’est gens penseront B. Je n’aime pas Cohen. Je le trouve suffisant. Je comprends qu’on ne veuille pas penser comme lui.

      Celà n’empêche qu’on peut parfois penser comme les gens qu’on aime pas.


    • JC_Lavau JC_Lavau 27 mai 2020 17:45

      @Alcyon. Tu es bien connu comme une boussole qui indique le sud.
      A tes yeux, rien ne vient au dessus de tes guerres de religion, les plus futiles et les plus absurdes possibles.


  • juan 27 mai 2020 04:09

    La dictature mondiale des laboratoires vient de se révéler au grand jour. A voir avec quelle servilité l’Exécutif se plie à ses exigences, démontre que les états doivent faire l’objet d’un chantage à l’exécution des commandes. C’est à nous, les (im)patients avec l’appui de nos médecins généralistes non corrompus, de montrer notre détermination. Si certains généralistes se plient aux exigences scandaleuses d’un sinistre de la Santé, détournons nous de ces derniers. Maintenant faute d’autre moyen à chaque élection quelle qu’elle soit, mettre un bulletin « Didier Raoult » C’est peut-être puéril, mais puisque la classe « dirigeante » agit pour son propre intérêt et contre celui de leurs peuples, il ne faut pas se gêner. C’est terminé les tentatives d’asservissement des peuples par tous les moyens : Linky, Maintenant le logiciel ’à télécharger sur son smart’, l’interdiction de prescrire pour les généralistes, la pression des Conseils de l’Ordre départementaux, les rédactions des médias imposant à leurs employés parleurs de répéter des débilités indignes ; bref, tout ce qu’un individu un peu averti peut déceler dans les agissements crapuleux de cette classe dirigeante, incompétente et idéologiquement corrompue. Si une révolte venait à éclater, il faudra se souvenir à qui nous la devons.


  • ticotico ticotico 27 mai 2020 08:22

    La preuve par la communication

    J’avais décroché de ce débat, attendant que des conclusions apparaissent une fois la tension redescendue...

    Voilà, le tir médiatique massif et maladroit contre ce traitement a fini par me convaincre... Comme dans toute dictature, si le pouvoir essaie de te persuader par tous les moyens d’une « vérité », il doit donc s’agir d’un mensonge.


  • Laulau Laulau 27 mai 2020 09:26

    Tous les grands media se gargarisent de la grande qualité du Lancet qui voudrait que ce qu’il publie soit gravé dans le marbre. Foutaises !

    Il est un autre grand journal scientifique de renommée planétaire, c’est Nature. Ce journal a pourtant publié une fable qui arrangeait bien certains laboratoires pharmaceutique. Il s’agissait de la « mémoire de l’eau » qui permettait à Boiron de prouver que la flotte qu’il revendait sous forme de pilules sucrées pouvait avoir un effet thérapeutique.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9moire_de_l%27eau


    • joletaxi 27 mai 2020 09:43

      @Laulau

      fort heureusement, les pilules sucrées ne vous tuaient pas ,comme cette saleté de chloro.

      je me rends compte maintenant combien j’ai été crédule d’avoir eu recours à l’homéopathie, et que finalement ,même si cela m’a été profitable, cela n’a été finalement qu’un effet placebo... comme la chloro

      mais alors... la chloro pourrait vous améliorer ?

      tttt, cela ne marche qu’avec des pilules sucrées, et puis, il y a des millions de morts avec avec la chloro ;

      Heureusement qu’il y a des experts, des savants, qui veulent notre bien,eux ils savent, il faut faire confiance, attendons le vaccin.

      Heu, c’est pas un peu ce qui se passe avec la « crise climatique » ?

      mais non, puisque l’on vous dit que ce sont des experts


    • merthin 27 mai 2020 13:47

      @Laulau

      Donc l’article du Lancet n’a aucune qualité parce que Nature a laissé publier l’article sur la mémoire de l’eau ?


    • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 27 mai 2020 15:17

      @merthin
      L’étude du publiée par The Lancet annonce 12 morts de plus en Australie que ce qui a été pendant la période ciblée par l’étude, les données ne sont pas vérifiables, les groupes non homogènes, et l’hydroxychloroquine a été administrée à des personnes hospitalisées donc déjà en état grave. Du reste, les auteurs même de l’étude, dans leurs conclusions, indiquent que pour avoir des résultats fiables, il faudrait faire.… une étude randomisée.


    • merthin 27 mai 2020 15:55

      @Régis DESMARAIS

      Du reste, les auteurs même de l’étude, dans leurs conclusions, indiquent que pour avoir des résultats fiables, il faudrait faire.… une étude randomisée.

      Des comploteurs qui dévoilent leur complot en Live. Faut les embaucher de suite ceux-là !

      Bis repetita. Y a pas de quoi fouter un chat. C’est pas la première fois que des journaleux annonce qu’on a dépassé la vitesse de la lumière ou fait un lien entre avoir un chat et le cancer colorectal...

      L’étude du publiée par The Lancet annonce 12 morts de plus en Australie que ce qui a été pendant la période ciblée par l’étude, les données ne sont pas vérifiables

      Il sembleraient qu’elles soient vérifiables puisque vous venez de le faire. Prenez votre plus belle plume et écrivez au Lancet.


    • Laulau Laulau 28 mai 2020 08:34

      @merthin

      Ça c’est vous qui le dite, pas moi ! Ce que je dis c’est que la « qualité » du journal n’offre aucune garanti sur la validité de l’article qu’il publie. Hors, s’il y a eu bien d’autres articles publiés contre l’HCQ, c’est bien sur la renommée du Lancet que le gouvernement s’appuie pour essayer de clore le débat. Mais les faits sont têtus : avec une densité de population et un nombre de cas équivalents :

      Bouches du Rhône 3 % de surmortalité par rapport à 2019
      Rhône 26 %

      Il n’y a pas photo !


    • merthin 29 mai 2020 15:26

      @Laulau

      Ce que je dis c’est que la « qualité » du journal n’offre aucune garanti sur la validité de l’article qu’il publie

      Vous demandez l’impossible. Rien ne garanti la vérité. La méthode garanti de discriminer ce qui est faux de ce qui est potentiellement vrai. En celà The Lancet offre de meilleures garanties que la revue dont pépère Raoult est co-éditeur.

      Jamais le premier article de Raoult n’aurait passé le crible du Lancet (méthode faible, échantillon ridicule, biais méthodologique énorme pour une équipe qui produisait toutes ses données)

      Calvados : sur-mortalité de 3% par rapport à 2019.
      Cantal : Sous-mortalité de 9%
      Pas de calais : surmortalité de 7%
      Allier : sous-mortalité de 2%
      Alpes de Haute Provence : sous-mortalité de 2%

      Je pense que le calva et la suze ont un effet protecteur contre le SarCov2 smiley
      Peut-être également le génépi mais on manque de données fiables pour en être sûr.

      La statistique de surmortalité est totalement hors de propos. Vous mettez là-dedans TOUTES les causes de mort. Ce n’est donc pas un indicateur discriminatoire.


    • merthin 29 mai 2020 15:40

      @Laulau

      Mais les faits sont têtus : avec une densité de population et un nombre de cas équivalents :

      Bouches du Rhône 3 % de surmortalité par rapport à 2019
      Rhône 26 %

      Et l’article du Lancet fait le même genre d’analyse que vous (rétrospective) sur plusieurs continents, des analyses statisitiques poussées et des indicateurs plus discriminant que les votre. En arrivant à une conclusion inverse.

      Mais Agoravox est effectivement une revue très reconnue dans le monde scientifique. C’est là qu’on trouve la plus grosse [fan boy de Raoult].


  • Traroth Traroth 27 mai 2020 11:53

    Votre article a comme postulat que l’hydroxychloroquine est efficace contre le Covid-19, ce qui reste largement à démontrer. Les études bidons de Raoult ne le permettent pas, en tout cas.


    • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 27 mai 2020 15:14

      @Traroth
      Vous avez mal lu mon article. Je ne pose pas le postulat que l’hydroxychloroquine est efficace pour une raison simple, je ne suis pas chercheur, ni médecins. Je me saisis de faits pour en montrer les incohérences, pour montrer les oublis et les partis pris. Vous en conviendrez qu’entendre pendant des semaines que les travaux du professeur Raoult ne sont pas sérieux au motif qu’il n’a pas fait une étude randomisée en double aveugle avec groupe placébo et que soudain on déclare sérieux une étude observationnelle non randomisée en double aveugle avec groupe placebo a de quoi intriguer, ou du moins, interpelle sur la cohérence des critiques.


    • Traroth Traroth 28 mai 2020 17:03

      @Régis DESMARAIS
      Je cite votre toute première phrase : « Le déferlement médiatique contre l’hydroxychloroquine devient si excessif qu’il provoque un Grand dévoilement »

      Cette phrase n’a de sens QUE si l’hydroxychloroquine est efficace. C’est juste de la logique.


    • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 31 mai 2020 23:13

      @Traroth
      Vous interprétez ce que vous lisez en fonction de ce que vous voulez y lire. Le sujet n’est pas dire que l’hydroxychloroquine est efficace mais de constater que l’ampleur et la violence des réactions à l’encontre de cette molécule conduisent à révéler des comportements problématiques de certaines personnes, comportements qui interpellent sur les raisons réelles et objectives qui sous-tendent ces réactions. Par ailleurs, quand des gens basculent dans l’insulte contre le professeur Raoult, peu importe que sa molécule fonctionne ou pas, mais ces insultes dévoilent la médiocrité et le manque d’argumentation de ceux qui insultent.


    • pemile pemile 31 mai 2020 23:25

      @Régis DESMARAIS « comportements qui interpellent sur les raisons réelles et objectives qui sous-tendent ces réactions »

      La raison de l’efficacité donnée par Traroth ?


    • Traroth Traroth 9 juin 2020 17:02

      @Régis DESMARAIS
      Bon, puisqu’il faut vous faire un dessin... Si l’hydroxychloroquine n’est pas efficace voire nuisible, contre le Covid-19 il est normal et souhaitable qu’elle ne soit pas prescrite aux personnes qui en sont atteintes. S’étonner de son interdiction revient donc très logiquement à faire de son efficacité un postulat de base.

      Devoir expliquer des choses aussi évidentes est très agaçant !


  • touriste 27 mai 2020 14:40

    Le titre est mal choisi !  Il fallait : « Le grand négationnisme ! »

    Quand toutes les revues médicales de tous les pays disent que le HCQ est inefficace voire toxique, il ne reste plus qu’une poignée de médecins à soutenir Raoult !

    Bizarrement, tous sont membres du Conseil d’Administration de l’IHU !

    Ca alors !!

    Conflits d’intérêt ? Non jamais !  lol


  • Régis DESMARAIS Régis DESMARAIS 27 mai 2020 15:06

    En complément de cet article :

    Les nouvelles mesures prises par le gouvernement :


    Le décret 2020-630 du 26 mai 2020 supprime l’article 19 du décret 2020-548 du 11 mai 2020 autorisant l’usage du PLAQUENIL © pour les formes graves de Covid-19 à l’hôpital.

    De fait, l’état du droit nous amène à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique en vertu duquel un médecin peu prescrire un médicament, en dehors de son autorisation de mise sur le marché, « dès lors qu’il n’y a pas d’autre alternative médicamenteuse appropriée et sous réserve que le médecin prescripteur juge indispensable, au regard des données acquises de la science, le recours à cette spécialité pour améliorer ou stabiliser l’état clinique de son patient. »

    En clair, un médecin peut prescrire l’hydroxychloroquine dès lors qu’il n’y a pas d’autre traitement et que les données scientifiques lui permettent d’envisager un effet positif de ce médicament sur son patient.

    Toutefois, un arrêté du 26 mai 2020, complétant l’arrêté du 23 mars 2020 prescrivant les mesures d’organisation et de fonctionnement du système de santé nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, a introduit un article 6-2 dans l’arrêté du 23 mars 2020. Aux termes de ce nouvel article : «  La spécialité pharmaceutique PLAQUENIL ©, dans le respect des indications de son autorisation de mise sur le marché, et les préparations à base d’hydroxychloroquine ne peuvent être dispensées par les pharmacies d’officine que dans le cadre d’une prescription initiale émanant exclusivement de spécialistes en rhumatologie, médecine interne, dermatologie, néphrologie, neurologie ou pédiatrie ou dans le cadre d’un renouvellement de prescription émanant de tout médecin ».

    Conclusions :


    Contre le Covid-19, il est possible de se faire prescrire de l’hydroxychloroquine mais :


    1°) Uniquement par des spécialistes en rhumatologie, médecine interne, dermatologie, néphrologie, neurologie ou pédiatrie dès lors, évidemment, que ces professionnels estiment que les données scientifiques leur permettent d’envisager un effet positif de ce médicament sur le patient. Il est clair que le professionnel qui pourra dans le cadre de son office prescrire l’hydroxychloroquine pour lutter contre le Covid-19 sera le médecin généraliste d’hôpital (médecine interne). Pourquoi la prescription n’est possible que par ces professionnels ? Tout simplement parce que l’article 6-2 de l’arrêté du 26 mai 2020 autorise les pharmacies à délivrer le PLAQUENIL © que sur la base d’une ordonnance émanant de ces professionnels.

    2°) La liberté de prescription de tous les médecins généralistes de ville, pour l’hydroxychloroquine en tant que soin contre le Covid-19, est remise en cause, voire bafouée. En effet, les pharmacies ne pourront délivrer le PLAQUENIL © que sur la base d’une ordonnance rédigée par les professionnels visés à l’article 6-2 de l’arrêté du 26 mai 2020.

    Cordialement

     


    • Eric F Eric F 27 mai 2020 18:14

      @Régis DESMARAIS
      "les préparations à base d’hydroxychloroquine ne peuvent être dispensées par les pharmacies d’officine que dans le cadre d’une prescription initiale émanant exclusivement de spécialistes en rhumatologie, médecine interne, dermatologie, néphrologie, neurologie ou pédiatrie"
      Ah bah, si je tousse et que j’ai du mal à respirer, j’irai chez le pédiatre, j’espère qu’il n’y a pas d’âge limite smiley


    • leypanou 27 mai 2020 19:45

      @Régis DESMARAIS
      comme par hasard, les 3 pays européens les plus nuls¹ au niveau résultat contre le covid-19, à savoir l’Italie, la Belgique et la France sont les 3 premiers pays à s’empresser à interdire l’HCQ sur la base d’étude foireuse.
      ¹:dans les 15% de ratio nb décès/nb infectés


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