Hypogonadisme hypogonadotrope
La société capitaliste avancée, par l'entremise de ses meneurs les plus intrépides a décidé de disloquer le cours naturel du développement de l'être humain et cela depuis la naissance par mille et une mesures machiavéliques dont fait maintenant partie intégrante l'idéologie du genre.
La communauté scientifique et son congénère médical n'ont pas hésité à soutenir ce développement en lui attribuant tant bien que mal tous les attributs possibles et imaginables des principes de la tolérance et de la diversité que notre modernité dévoyée peut exploiter à ses fins.
Ainsi sont nées au nez et à la barbe de nous tous des cliniques d'un type nouveau, dont le dessein est de favoriser et d'encourager le développement de la diversité des genres et du transsexualisme. Jusque là rien de bien répréhensible, chacun faisant selon ses propres désirs et penchants, mais quand cela se pratique sur des enfants en bas âge à l'aide de substances médicamenteuses lourdes de conséquences sur leurs développements et leur intégrité physique, physiologique et psychologique, cela pose question.
Par milliers, des enfants sont ainsi hospitalisés pour endurer des traitements dits inhibiteurs d'hormones ou bloqueurs de puberté atteints de ce qu'il est convenu d'appeler dysphorie de genre. Or, d'où peut bien provenir ce symptôme sinon de l'esprit dégénéré d'adultes en mal de modernité alimentant toutes sortes de nouveautés et d'inventions bizarres, biscornues et mortifères ?
Sont ainsi administrés à des enfants dont le développement est perturbé par la folie de la société tutrice dans laquelle ils n'ont au départ rien sollicité des médicaments à l'origine développés pour soulager entre autres traitements, cancers de la prostate ou de l'utérus chez des adultes touchés.
Ainsi plusieurs dizaines de milliers de cas ont été enregistrés ces dernières années et identifiés comme ayant engendré de graves conséquences sanitaires sur des sujets enfants et pré-adolescents mineurs ayant suivis des protocoles d’inhibiteurs hormonaux et causant la mort de plus de 6000 enfants, ces chiffres ayant été fournis par la FDA étasunienne (Food and Drug Administration), données étant donc confinées à ce seul pays pour 2018, sachant que d'autres pays ont d'ores et déjà adopté ce même genre de pratiques. Ces morts et atteintes graves à la santé ont été causées par l'administration d'acétate de Leuprolide (Lupron) ainsi que par celle de Triptoréline, réprimant l'hormone lutéinisante et l'hormone folliculo-stimulante.
Ces médicaments, réducteurs et inhibiteurs des niveaux de testostérone et d’œstrogène entre autres dommages augmentent notablement la coagulation sanguine et sont la cause d'innombrables douleurs et de fragilités osseuses ainsi que de fractures chez les patients, chez les cobayes devrais-je dire, car aucune étude sérieuse n'a été menée à ce jour concernant les effets secondaires de ces médicaments sur les enfants, bien que nous en voyions d'ores et déjà les effets délétères. Ces pratiques de soins ont d'ailleurs obtenues le soutien de la Société d'Endocrinologie et de l’Académie étasunienne de pédiatrie.
Ont par conséquent été enregistrés des symptômes mortels de coagulation sanguine, des comportements suicidaires avec une augmentation des suicides chez les enfants concernés, une baisse notable des quotients intellectuels, ainsi que comme précisé précédemment une fragilisation dramatique de la solidité des os avec ostéoporose précoce, entre autres symptômes graves que l'industrie du transgenrisme répugne bien entendu à faire mention. À tel point que le NHS (Organisme national britannique de santé publique), voyant le nombre de cas d'enfants atteints de symptômes inquiétants suite à ces traitements ayant explosés dans ce pays, enquête sur leurs légitimités et leur dangerosité, traitements qui font partie de la famille des castrateurs chimiques et sont délivrés à qui mieux mieux aux enfants perturbés par la propagande qu'ils subissent quotidiennement par des adultes irresponsables et les médias criminels.
L'idéologie transgenre c’est ainsi transformée en industrie florissante générant des milliards de dividendes et favorise donc, autant que faire ce peut, par l'entremise des cliniques la prescription des ces protocoles bloqueurs d’hormones et enseigne l'auto-médication afin de suspendre le développement de l’enfance à l'adolescence et prévenir les changements dans la croissance, bien connus dans la période que sont voués à franchir les enfants pour passer de l'enfance à l'age adulte, cela afin d'empêcher le système pileux et le développement des organes sexuels. jusqu'à ce que l'enfant décide enfin de choisir son orientation sexuelle, homme ou femme. C'est alors que de nouveaux traitements idoines seront appliqués pour favoriser la croissance, dans un sens ou dans l'autre. Il faut consolider le choix !! Il va sans dire que ces protocoles induisent les pires dysfonctionnements dans des corps antérieurement sains et créent des interférences physiologiques et psychologiques entraînant des pathologies connues sous le nom d'hypogonadisme hypogonadotrope ou déficit gonadotrope. Cela est une situation grave qui porte atteinte à l'intégrité physique, physiologique et psychologique des enfants contre laquelle les endocrinologues et les pédiatres devraient s’opposer avec la plus grande véhémence. Où sont-ils ? Les entend-on ? Bien au contraire cela a été admis par ces professions aux États-Unis. Et quid des effets secondaires au long cours pour des médicaments relativement récents ? Rien à ce jour.
Sans revenir sur ce qui a été dit plus haut, les premiers effets secondaires ont déjà été identifiés : prothèses osseuses, maladies parodontales et perte des dents, insomnies, fibromyalgies, diminution de la densité osseuse, fragilité des ligaments, arthrose, ostéoporose, symptômes de la ménopause, nombreux dérèglements hormonaux, dépression, maladies auto-immunes, suicides, etc.
Le déficit gonadotrope peut-être pris en charge et résolu par traitements hormonaux, mais ce qu’il c’est produit est que l’industrie du genre a instrumentalisé cette pathologie afin d’induire dans l’enfant la possibilité de changer de sexe à l’adolescence plutôt que de résoudre normalement le déficit, ainsi l’enfant se trouve devant le choix de l’administration de traitements antagonistes et ainsi permettant de transformer sa physiologie, son comportement psychologique et subir ensuite les interventions chirurgicales qui feront de lui un homme ou une femme. Ou alors, chez l’enfant ne présentant pas de déficit gonadotrope, ayant donc un développement normal, on laisse éventuellement entendre qu’il lui sera possible de choisir en adoptant les traitements nécessaires à son développement sexué. Quoiqu’il en soit, l’enfant cible est artificiellement maintenu dans un état physiologique neutre et bloquant son développement normal jusqu’à ce que les traitements lui soient administrés et cela dans la plus grande opacité.
Les enfants ayant ainsi été transformés avec ou sans leurs assentiments devront subir toute leur vie durant des traitements hormonaux pour maintenir les transformations .
Peu nombreux sont les gens informés de cette prédation et de cet outrage faits à l'enfance.
https://pediatrics.aappublications.org/content/142/4/e20182162