mercredi 5 septembre 2018 - par George L. ZETER

Infections Nosocomiales : Il y aurait UNE autre solution !

« La résistance croissante des bactéries aux antibiotiques provoquent 700 000 morts par an dans le monde, il y en aura dix millions par an d'ici à 2050 car, il ne fait aucun doute que la résistance aux antibiotiques est l'un des plus grands dangers pour les soins hospitaliers.  » Entre autres, c’est le docteur Ben Howden[1] qui nous le dit.

Pourquoi cet article ? J’ai lu dans ce titre parut dans « Pourquoi docteur ? » : « Staphylococcus epidermidis : une redoutable bactérie se propage dans les hôpitaux du monde entier. Staphylococcus epidermidis est devenu un formidable pathogène nosocomial, alertent, très inquiets, des chercheurs australiens dans la revue Nature Microbiology. »[2] C’est annoncé comme ça, comme au temps où la peste sévissait, il n’y a rien à faire, pas d’autres options que ces antibios qui ne fonctionnent plus...

Alors, comme indiqué dans le titre, il y aurait une autre solution  : La phagothérapie, par les phages, les virus guérisseurs tueurs de bactéries.

Vous allez dire que je ne suis pas médecin et que même je n’ai jamais passé une seule seconde dans un amphi de médecine, et vous auriez raison, mais, j’essaye d’avoir du bon sens en me disant que la médecine, c’est soigner et si possible guérir des gens et que c’est une science du tâtonnement et de l’empirisme. En m’informant, et en compulsant des articles scientifiques j’ai, je crois compris une chose fondamentale : c’est que « l’industrie pharmaceutique » régit de nos jours la médecine au sens large et tient la main du toubib qui rédige l’ordonnance... 

Si je faisais l’analogie entre l’industrie du vêtement et de la médecine, et bien : le prêt-à-porter est taillé et peut être porté par tout le monde, ou plutôt pour on va dire à la louche 80% des gens/patients ; avec plus ou moins de rejets, de contre indications etc. Les 20% eux qui ne rentrent pas dans les clous font partis de ceux qui développent des infections nosocomiales en milieu hospitalier, des allergies, des résistances et qui font tristement parti des sept cents milles morts par an. « L’industrie pharmaceutique », prescrit par les docteurs fabrique des traitements s’adressant à la majorité... Les antibiotiques furent pendant très longtemps LE remède miracle, sauf, que donnés en dépit du bon sens (mais juteux pour le business) : « La consommation d'antibiotiques mondiale est passée de 21,1 milliards de doses quotidiennes en 2000 à 34,8 milliards en 2015, soit une augmentation de 65%... »[3]  Ainsi, plein de gens devinrent antibiorésistant ; ces médicaments n’ayant plus aucun effet sur eux... Alors tant pis pour ces 20%. On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, et donc, le profit étant le crédo, ceux pour qui ce « prêt-à-porter » ne fonctionne pas, n’ont plus qu’à aller bruler un cierge à l’église du coin et invoquer les saints, les dieu et tout le st frusquin car il n’y a pas de solution pour eux ! Pourtant, à l’opposé, la phagothérapie elle, est dans le domaine du sur mesure, taillée spécifiquement pour chaque individu : chaque traitement crée est spécifique au patient auquel il est administré. C’est efficace, coute peu cher et est mauvais pour le business...

Petite parenthèse : si un médecin lit cet article qu’il soit assez gentil de me dire si je n’ai rien compris ou puisse m’apporter des éclaircissements, je suis preneur ; Merci d’avance !

Au moins n’ayant pas fait médecine, donc, incapable de jargonner dans un sabir incompréhensible, je ne vais qu’employer des mots simples, les miens, pour faire avancer cette histoire.

Un patient s’est attrapé un staphylocoque d’orée à l’hôpital suite à une opération d’une fracture ouverte du tibia. Des traitements antibiotiques lui ont été administré mais ca n’a pas fonctionné car ce patient est antibiorésistant. Si on ne fait rien, le staphylocoque va gangrener cette partie du corps et il restera comme seule option l’amputation, avec peut être de lourdes complications par la suite.(voir le fils Depardieu)

La phagothérapie, a pour principe de faire œuvrer les « phages » : Par définition, les phages sont les virus des bactéries.

Un bactériophage est un virus qui infecte les bactéries. Il contient de l'acide nucléique (ADN ou ARN) et une plaque qui vient se fixer sur la bactérie pour s'y reproduire, provoquant une infection. De cette façon, le bactériophage détruit des bactéries telles que le staphylocoque, le bacille dysentérique ou le colibacille. Le phénomène de destruction s'appelle la lyse bactérienne.

Localisation

On trouve les bactériophages dans l'ensemble de la biosphère, notamment dans les égouts, le sol et les excréments...

Chaque bactérie possède donc en elle-même sont propre virus, Il est facilement isolable car il se développe parallèlement à la bactérie, qui employé à bon escient pourra tuer cette bactérie.

J’insiste : Un phage lytique ne détruira qu’une seule souche bactérienne, voire plusieurs souches d’une espèce donnée (Staphylococcus aureus, par exemple), mais pas toutes les espèces des souches appartenant à un genre (Staphylococcus) comme le ferait un antibiotique.[4]

Explications, disons que la personne a un staphylocoque dans le genou ; on lui fait un ponction pour récupérer les bactéries logées dans ce membre. Si, on mélange cette ponction avec disons une eau polluée d’un caniveau, et bien, ce bouillon de culture va fabriquer par réaction un antibactérien spécifique aux bactéries ajouter du patient. Pour faire simple, ses bactéries en contact avec d’autres bactéries fabriquent la solution du traitement, il suffit ensuite d’isolé ce « sérum » et de traiter le patient avec. En revenant à la comparaison de l’industrie du vêtement, là, on est dans le sur mesure. Ce traitement ne peut fonctionner que sur ce patient spécifique, et ça fonctionne presque à 100%.

Quelques médecins français s’intéressent à cette thérapie, mais, l’industrie pharmaceutique veille au grain et surtout à sa grosse cagnotte, et donc, ce traitement venu du far-est, n’est absolument pas enseigné dans les facs de médecine, et peu de professionnels s’y intéressent et l’utilisent...Et oui, la médecine qui soigne...Mais auparavant passe par la case bancaire.

Une thérapie venue de l’est

L’ex URSS n’a jamais eu d’industrie pharmaceutique, par contre ses citoyens pouvaient être soignés bien et à faibles couts. Le Centre mondial de cette thérapie était et est toujours Tbilissi en Géorgie, région d’où était née Staline ce qui n’est pas un hasard si cette thérapie se développa si bien.

Après la découverte des bactériophages par Félix d'Hérelle en 1917, l’utilisation des phages a été rapidement reconnue par un grand nombre de scientifiques comme étant une voie possible pour combattre les infections bactériennes. Coupés des progrès occidentaux en matière de production d'antibiotiques dans les années 1940, les scientifiques soviétiques ont continué à mettre au point la phagothérapie afin de traiter de nombreux soldats infectés par diverses souches bactériennes, notamment celles de la dysenterie bacillaire et des gangrènes. Les chercheurs du monde soviétique ont continué à perfectionner leurs traitements et ont publié des résultats. Le pourcentage de succès était équivalent sinon supérieur à celui des antibiotiques. Mais, autant parce que les articles étaient écrits en langue russe qu’en raison des barrières imposées aux échanges scientifiques, ces connaissances ne furent pas propagées dans le monde entier. [5]

Il y eu des préparations commerciales de phagothérapie en France jusque dans les années 1970 et même les Instituts Pasteur de Lyon et de Paris fournissaient des préparations sur mesure, constituées après recherche dans leur « phagothèque » de la meilleure composition active sur une infection documentée. Mais, depuis le début des années 1990, aucune source officielle de bactériophages thérapeutiques n’est plus disponible en France.[6] Comme par hasard à l’époque où les laboratoires pharma ont vraiment mis la main sur le traitement de la santé au niveau mondial, et c’est d’autant plus néfaste, que ce fut dans ces années là où le mur de Berlin tombait et où l’URSS disparaissait, et ainsi, toute l’information sur la phagothérapie pouvait être consultée.

Statut officiel de la phagothérapie en France

Longtemps tolérée, sinon officiellement autorisée, la thérapie par bactériophages n’a pas sa place aujourd’hui dans les législations française et européenne qui régissent les médicaments...[7] Alors lorsque l’on cherche et punissons des crimes contre l’humanité, l’industrie pharmaceutique, qui a si bien verrouillée toutes possibilités d’autres thérapies que la et les siennes, qui, a réussie à coup de lobbying à faire passer des lois qui vont contre la santé publique, qui a réussie à rendre complice des professeurs de médecine et a réussie à tenir la main de ceux qui prescrivent ; il serait impératif d’envoyer tous ces responsables de labo, comme l’avait fait l’administration américaine contre les fabricants de cigarettes devant des cours de justice et les condamner à de très très fortes amendes, puis de nationaliser ces labos : La santé du genre humain ne doit pas être un business comme un autre, mais, un droit à la vie !!! Et vive la phagothérapie !!!

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Voici un témoignage édifiant de l’efficacité de la phagothérapie (allez sur internet vous en trouverez des milliers...A moins que ce soit une grande conspiration fabriquée à coups de fake news...)

Christophe Novou, 47 ans, explique comment la phagothérapie a guéri sa jambe en quinze jours après 34 ans d’infections résistantes aux antibiotiques. « J’ai été renversé par une voiture à l’âge de 10 ans. La fracture du fémur s’est infectée sous la peau. Cela m’a valu 19 ans de complications, d’abcès purulents, d’hospitalisations, une enfance volée… Aucun antibiotique n’était efficace. J’ai cru être guéri un moment, mais lors d’une nouvelle fracture en avril 2011, mauvaise surprise : l’infection, notamment un staphylocoque doré, était toujours là, impossible de m’opérer ! J’ai enchaîné alors des traitements très douloureux, curetage, aspiration et bain d’antibiotiques sur plaie ouverte, bloc opératoire tous les deux jours, rien à faire : l’infection gagnait du terrain. Le jour où le chirurgien m’a dit qu’il fallait envisager l’amputation de toute la jambe, je me suis isolé dans la pièce voisine et je me suis effondré. Par miracle, ma belle-sœur a vu à la télévision un reportage sur la phagothérapie. Elle m’a appelé, j’ai décidé de tenter ma chance.

La solution : aller en Géorgie pour se faire soigner

Accompagné par un ancien malade lui-même guéri par les phages, je suis parti en Géorgie. J’ai monté le voyage seul, sans d’aide de la Sécurité sociale pour tout financer. Le coût total 8000€. À Tbilissi, je suis allé à l’hôpital pour des consultations. Les médecins m’ont d’abord "boosté" en vitamines pour renforcer mon corps. Ensuite j’ai reçu des petites fioles de cocktails de phages à boire chaque jour durant deux semaines. Puis le médecin m’a renvoyé chez moi avec ces mots tant attendus : "vous êtes guéri". Je n’y croyais pas, il m’a dit de retourner faire des analyses à Paris, et c’était vrai ! L’équipe médicale en France a confirmé la disparition du staphylocoque dorée ! Aujourd’hui je remarche, en boitant un peu à cause des opérations, 49 au total, mais je remarche ! Pour moi, il est scandaleux que les médecins restent frileux devant cette thérapie. Elle marche, la preuve : elle a sauvé ma jambe ! » (En comparaison, Christophe a chiffré le coût pour l’Assurance maladie des deux ans et demi d’hospitalisation précédent son départ à plus de 700 000€.)...[8]

Et oui, l’industrie pharma est le bénéficiaire de cet énorme pactole car le crime légal paye, beaucoup ; Que les patients aient des vies gâché, souffrent, coutent un bras à toute la société, puis en bout de course meurent ; cela n’est qu’une ligne dans leurs statistiques !

Il faut absolument que ça change ou bien nous nous dirigeons vers des hécatombes dignes de la peste noire du moyen âge !

Georges Zeter/septembre 2018



96 réactions


  • MagicBuster 5 septembre 2018 11:44

    Les maladies viennent de vos oreilles et de vos nez.

    Personne ne vous désinfecte partout en entrant au bloc . . . .


  • njama njama 5 septembre 2018 13:51
    Les antibiotiques c’est plus rentable pour l’industrie pharmaceutique, mais il n’est pas impossible que le blocage soit en partie culturel après plus d’un siècle de dogme pasteurien, de panspermies bactériennes et virales qui nous seraient irrémédiablement hostiles

    L’idée de virus qui soignent, de virus « amis », ce serait la faillite de quelques paradigmes en médecine, et celle de l’Institut Pasteur.

    Peut-être même (enfin) la mort des vaccins , qui sait (?)


    • Pere Plexe Pere Plexe 5 septembre 2018 22:00

      @njama
      à la difficulté de breveté et donc faire de l’argent avec les phages s’ajoute le fait qu’ils sont interdits.

      La technique, à défaut de remplacer les antibiotiques, pourrait la compléter utilement.
      Malgré le manque de moyens et des recherches anecdotiques des résultats intéressants ont été obtenus

    • Doume65 6 septembre 2018 17:51

      @Pere Plexe

      « s’ajoute le fait qu’ils sont interdits. »
      C’est un poil plus complexe :
      L’Agence nationale de sécurité du médicament ne reconnaît pas officiellement les bactériophages comme un médicament. « Cela n’a jamais été interdit, mais aujourd’hui, il existe une réglementation stricte qui exige que lorsque l’on utilise un produit pour traiter une maladie, on doit le classer parmi les médicaments. Or, un médicament nécessite d’être fabriqué selon des normes très précises. Et ça ne correspond qu’à des produits chimiquement définis. Primo, le bactériophage est un produit naturel. Et deuzio, il est variable d’un isolat à l’autre, il faudrait donc adapter et demander une autorisation pour chaque bactériophage… »

      C’est d’ailleurs cette personnalisation à la souche du pathogène qui fait qu’il n’y a pas de recette toute prête. Pour soigner avec les phages, il faut d’abord cultiver le pathogène en boites de pétri et le soumettre à l’attaque d’une foultitude de phages qu’on a en stock et voir lequel combat le mieux avant de l’administrer au patient. On a donc quelques jours pendant lesquels le patient risque d’être mal soigné. Par contre, une fois le bon phage identifié, le phage est un bien meilleur choix que les antibiotiques, ne serait-ce que parce qu’il ne produit pas de bactéries résistantes.

    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 21:56

      @Doume65
      merci d’avoir éclairé un point d’ombre auquel je n’etais pas certain d’avoir compris.


    • njama njama 7 septembre 2018 07:45

      @George L. ZETER


      En résumé avec une telle législation peu voire pas de médecins s’aventureront sur ce terrain le conseil de l’ordre pourrait leur taper sur les doigts s’il avait vent de telles prescriptions qui sortent de l’orthodoxie académique.
      Et puisqu’il s’agit de produits naturels, les labos laisseront ça de côté, puisque ils ne pourraient pas déposer de brevets ni les industrialiser.
      Seule solution, aller se faire soigner dans les pays de l’est.

    • George L. ZETER George L. ZETER 7 septembre 2018 07:57

      @njama
      bonjour, et c’est malheureusement ce qui se passe, quant à la santé publique... l’ordre des medecins s’en tape !


    • njama njama 7 septembre 2018 08:16

      @George L. ZETER

      bonjour
      l’ordre des medecins s’en tape !
      Exemple, en réponse à :
      SEP et vaccination anti-HBV ; Bernard Guennebaud répond à l’Ordre des Médecins, partie 1
      Lettre ouverte au Conseil national de l’Ordre des médecins, par Bernard Guennebaud, mathématicien

      Réponse de l’Ordre à B. Guennebaud, « les effets secondaires des vaccins ne nous concernent pas, leurs évaluations non plus »


    • njama njama 7 septembre 2018 08:28
      Littéralement la réponse du Conseil de l’ordre est :

      « De la même façon, il n’appartient pas à notre institution de prendre parti sur les effets secondaires des vaccinations. »


      Pour une institution qui se veut gardienne du dogme et qui joue les gendarmes, cette position est pour le moins très étrange.
      bref les victimes collatérales de la vaccination, il s’en tape
      Responsable, mais pas coupable ...

    • George L. ZETER George L. ZETER 7 septembre 2018 08:37

      @njama
      au moins le conseil rappelle qu’il n’est pas une société savante...


    • Francis, agnotologue JL 7 septembre 2018 09:02

      @njama

       
      «  bref les victimes collatérales de la vaccination, il s’en tape
      Responsable, mais pas coupable ... »
       
      Plus grave : la majorité des signalements sont poubellés.

    • njama njama 7 septembre 2018 09:15

      @JL

      Exact, les signalements retenus sont principalement ceux remontés par le REVAHB l’Association des victimes du vaccin Hepatite B


       A l’heure actuelle, plus de 3000 personnes ont déclaré un effet secondaire post-vaccinal grave auprès de notre association.

         Les principales affections recensées au sein du REVAHB sont des maladies neurologiques (60%). Les scléroses en plaques (SEP) représentent bien sûr l’éventualité la plus fréquente (plus du tiers des victimes). D’autres maladies neurologiques plus rares sont aussi recensées : myélite (inflammation de la moelle épinière), maladie de Guillain Barré (paralysie des nerfs périphériques des membres), sclérose latérale amyotrophique (SLA), névralgie amyotrophique de l’épaule, surdité brusque… mais aussi des affections neurologiques atypiques ou inclassables, non moins invalidantes. Parmi ces maladies inclassables que la médecine refuse parfois de reconnaître ou oriente vers les services de psychiatrie, une nouvelle entité a été récemment isolée par des médecins français sous le terme de myofasciite à macrophages. Certaines de ces personnes concernées sont étiquetées fibromyalgies ou syndrome de fatigue chronique alors qu’elles ont des symptômes similaires.
         L’autre groupe important de complications post-vaccinales est représenté par des maladies « auto-immunes » (23 %) : lupus, périartérite noueuse, polyarthrite rhumatoïde, maladies thyroïdiennes, maladies digestives, diabète insulinodépendant, syndrome de Gougerot-Sjögren.
         Des affections ophtalmologiques spécifiques ont aussi été décrites : uvéite, occlusion de la veine centrale de la rétine... ou des maladies hématologiques à type de thrombopénie (baisse des plaquettes) ou même d’aplasie médullaire (destruction des cellules sanguines produites dans la moelle) parfois mortelle.

         Afin de tenter de dénombrer et de recenser au mieux tous ces effets indésirables plus ou moins connus ou reconnus, le REVAHB a travaillé depuis février 1998 en relation avec la Pharmacovigilance nationale (AFSSAPS), et continue depuis mai 2012 avec l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).
         Cet organisme, sous la dépendance de la DGS (Direction Générale de la Santé), est chargé de recenser par les voies officielles tous les effets indésirables médicamenteux ou post-vaccinaux.
         Il est apparu qu’une sous notification importante existait en matière de déclaration des complications post-vaccinales. Lorsque nous avons croisé notre listing avec celui de l’AFSSAPS, il existait une minorité de doublons puisque 72% des dossiers transmis par le REVAHB n’étaient pas connus de l’Agence. Les actions du REVAHB complètent donc très efficacement le recensement officiel de ces affections post-vaccinales afin d’aboutir progressivement à une quantification la plus complète possible de ce problème de santé publique. Le REVAHB effectue donc depuis des années un travail régulier et gratuit de Pharmacovigilance avec, à ce jour, plus de 2 000 dossiers transmis.



  • njama njama 5 septembre 2018 14:02
    La phagothérapie bientôt 100 ans d’existence, enfin, pas partout !
    Le professeur Géorgien Guiorgui ELIAVA est venu travailler à l’Institut Pasteur de Paris et a rencontré le découvreur de la phagothérapie : Félix d’Hérelle. Tous deux ont longuement travaillé ensemble sur la phagothérapie et sont devenus très amis. Au point que Félix d’Hérelle et Guiorgui ELIAVA sont partis ensemble à Tbilissi en 1921 pour y créer un Institut entièrement dédié à la phagothérapie.
    C’est ainsi qu’est né l’Institut Eliava de la phagothérapie en 1923.
    En dépit de l’arrivée des antibiotiques, les Géorgiens n’ont jamais arrêté la pratique de la phagothérapie.

    L’institut Eliava de la phagothérapie (Eliava phage therapy center) a fourni et soigné toute l’Union Soviétique en bactériophages (phages) pendant des décennies, et fournit encore maintenant l’Ukraine, la Pologne, la Russie et bien sûr la Géorgie.

    L’Institut Eliava est le seul centre au monde qui dispose d’une telle banque de bactériophages (6000) et d’une telle expérience. Leurs docteurs, scientifiques et laboratoires pratiquent sans cesse la phagothérapie et en sont les experts mondiaux.





    • George L. ZETER George L. ZETER 5 septembre 2018 18:29

      @njama
      merci pour ce complément d’information


    • njama njama 5 septembre 2018 22:02

      @George L. ZETER


      Il m’est difficile de dire si des questions politiques auraient pu interférer dans l’évolution de cette approche scientifique... je manque d’informations pour me déterminer sur cette question géopolitique
      Au point que Félix d’Hérelle et Guiorgui ELIAVA - un géorgien - sont partis ensemble à Tbilissi en 1921 pour y créer un Institut entièrement dédié à la phagothérapie.
      C’est ainsi qu’est né l’Institut Eliava de la phagothérapie en 1923.

      Félix d’Hérelle travaille à l’Institut Pasteur de 1917 à 1925 ...


      « L’invasion soviétique de la Géorgie, également connue sous le nom de guerre soviéto-géorgienne1, est une campagne militaire de l’Armée rouge menée du 15 février au 17 mars 1921 »

      Que la (les) guerres entrave(nt) la science, les connaissances d’une manière générale, les coopérations en tous genres, économiques, culturelles, humanistes ... ne relèveraient pas de l’exception dans l’Histoire, causant au passage de nombreuses victimes collatérales.



    • Pere Plexe Pere Plexe 5 septembre 2018 22:04

      @njama
      j’ai vu ce centre lors d’un reportage : sont état est des plus pitoyables.

      Et coupures de courants, frigos vétustes et guerre de 1992 ont décimé une grande partie des souches qu’ils avaient.

    • RICAURET 5 septembre 2018 23:03

      @njama

      LE DOCTEUR RICHE sur YouTube vous donne la marche a suivre c est un élevé du découvreur de cette thérapie


      c est un virus naturel qui maintient l équilibre on a asseye de tuer cet homme et oui il est dangereux pour la médecine dite allopathique (qui est dans une impasse qui va crée rune pandémie mondiale sauf dans certains pays )PAR LE MANQUE D ESPRIT SCIENTIFIQUE docteur ou médecin doit toujours se remettre en cause même si il guéri son patient sans le tuer

    • njama njama 6 septembre 2018 11:57

      @RICAURET


      Merci pour le lien vidéo

  • foufouille foufouille 5 septembre 2018 14:06
    "Vous allez dire que je ne suis pas médecin et que même je n’ai jamais passé une seule seconde dans un amphi de médecine, et vous auriez raison, mais, j’essaye d’avoir du bon sens en me disant que la médecine, c’est soigner et si possible guérir des gens et que c’est une science du tâtonnement et de l’empirisme. En m’informant, et en compulsant des articles scientifiques j’ai, je crois compris une chose fondamentale : c’est que « l’industrie pharmaceutique » régit de nos jours la médecine au sens large et tient la main du toubib qui rédige l’ordonnance... "
    manifestement faut retourner étudier les bases.
    les patch à la nicotine ou le cannabis sont vendus cher alors que le composant de base ne vaut rien et c’est pareil pour ton boiron qui vend de l’eau hors de prix dans son placebo homéopathique.
    les phages sont bien étudiés en france et utilisé puisque certains peuvent modifier l’adn donc c’est dangereux.

    • njama njama 5 septembre 2018 14:12

      @foufouille

      les phages sont bien étudiés en france et utilisé puisque certains peuvent modifier l’adn donc c’est dangereux.

      où ça ? des liens ?

    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 14:31

      @njama

      j’ai aucun lien de khmer vert.
      ils sont aussi utilisés depuis un an ........


    • njama njama 5 septembre 2018 15:42
      @foufouille

      Il y a l’Avenue Félix-D’Hérelle, dans le 16e arrondissement de Paris, en son hommage...

      Une avenue khmer vert ?

    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 18:15

      @njama

      effectivement un khmer vert sans aucun diplôme ni travail scientifique. de plus, l’adn a été découvert bien après, il faisait des tests au pifomètre comme tous les khmer verts.


    • njama njama 5 septembre 2018 18:43

      @foufouille


      Et Pasteur (1822 - 1895) comment travaillait-il ?
      il faisait des tests au pifomètre comme tous les khmer verts ? pour faire des vaccins !

    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 19:11

      @njama

      c’est plus simple, l’adn n’est pas nécessaire et le microscope existait.


    • njama njama 5 septembre 2018 21:35

      @foufouille


      Ces histoires de phagothérapie, de virus macrophages de bactéries mis en évidence par Félix d’Hérelle en 1917, devaient de mon avis susciter autant d’intérêts d’un point de vue scientifique et médical que de suspicions ...
      lesquels ne convergent pas toujours avec les intérêts financiers des investisseurs, ni vraiment vers des intérêts de santé publique.
      Remis dans le contexte, l’industrie de l’Institut Pasteur étant déjà dans les rails d’une industrie des vaccins...
      et ces histoires de phagothérapie venaient jouer les trouble-fêtes, dans les ron-ron des bien-pensants de la science, et des investisseurs aussi ...


    • njama njama 5 septembre 2018 21:41
      @foufouille

      Félix d’Hérelle travaille pourtant à l’Institut Pasteur de 1917 à 1925 ...

      Mais, en 1917, on le retrouve à l’Institut Pasteur, à Paris, où il fait une découverte majeure : le bactériophage,...
      De 1920 à 1925, la phagothérapie, comme on appelle l’usage du bactériophage contre les bactéries, est à la mode un peu partout dans le monde. D’Hérelle commercialise sa découverte. Il est congédié de l’Institut Pasteur en 1925 pour des motifs jamais éclaircis7.

      7. ↑ Dr Alain Dublanchet, Des virus pour combattre les infections : La phagothérapie : renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques, Favre SA, 22 janvier 2009 (ISBN 2828910466).


      Mais pourquoi donc l’Institut Pasteur aurait donc congédié ce découvreur ?

    • njama njama 5 septembre 2018 21:47
      @foufouille

      Les découvertes de Félix d’Hérelle, à l’instar de la médecine orthomoléculaire, compromettaient-elles l’industrie naissante des vaccins ?



    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 21:48

      @njama

      la science demande des preuves tangibles, reproductible et expliqués. c’est la même histoire que se laver les mains avant de soigner ou accoucher : le médecin qui a découvert ceci est passé pour un fou car le microscope ne permettait pas ou n’existait pas pour voir les bactéries et il fallait ensuite les isolées, etc.
      deplus, ce n’est pas ton charlatan sans diplôme qui a fait cette découverte mais un docteur en biologie anglais en 1915.
      il a juste eu une bonne intuition sans pouvoir le prouver et pour ça il faut un microscope électronique plus découvrir l’adn.


    • njama njama 5 septembre 2018 22:14

      @foufouille


      Les bonnes idées font leur chemin quoique vous en pensiez, comme les caravanes, elles ne ne se soucient guère des chiens qui aboient à leur passage


      La phagothérapie : des virus pour combattre les infections
      Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques
      Dr Alain Dublanchet

      Présentation de l’éditeur

      Ce livre, accessible au grand public malgré son sujet pointu, fait découvrir ou redécouvrir une thérapie éprouvée et simple, qui a longtemps été négligée grâce au succès des antibiotiques, et qu’il est grand temps de réintroduire vu le nombre de décès dus à des bactéries résistantes aux antibiotiques.

      Depuis 70 ans, la découverte des antibiotiques puis leur développement avaient suscité un grand espoir dans la lutte contre les infections bactériennes. Mais aujourd’hui, devant le développement inexorable des résistances bactériennes aux antibiotiques et le déficit actuel en nouvelles molécules, les impasses thérapeutiques peuvent avoir des conséquences dramatiques. Si certaines infections ont été maîtrisées, elles ne sont pas moins nombreuses qu’autrefois car un chapitre s’est ouvert avec les risques nosocomiaux à bactéries multirésistantes. Une réplique doit être trouvée. L’une d’entre elles pourrait être celle d’une pratique abandonnée et oubliée : la phagothérapie.
      Il y a plus de 90 ans, bien avant l’ère des antibiotiques, les infections bactériennes faisaient des ravages et durant plusieurs décennies, la phagothérapie a semblé répondre, au moins pour certaines infections bactériennes, à cette attente. Ce traitement implique d’utiliser des phages, qui sont des sortes de virus, pour combattre les bactéries.
      L’avènement des antibiotiques durant la deuxième moitié du XXe siècle a marginalisé cette thérapie. Après la Seconde Guerre mondiale, ce traitement fut carrément abandonné par les pays occidentaux.
      Cependant, les médecins des pays de l’ex-URSS ont continué à l’utiliser jusqu’à nos jours pour soigner leurs malades. Avec l’aide du savoir-faire de certains instituts comme celui de Tbilisi (Géorgie), aujourd’hui accessible à la recherche occidentale et en l’adaptant aux sciences biologiques modernes, il n’est pas utopique de mettre cette phagothérapie au service de la médecine moderne de notre pays.
      Avec les progrès des sciences biologiques et médicales, il reste à démontrer, expérimentalement et avec les normes actuelles, l’efficacité et l’innocuité, puis à préciser les paramètres d’administration des suspensions thérapeutiques. Alors, peut-être, la phagothérapie sera-t-elle réintroduite dans la pharmacopée moderne et pourrait être un recours face à ce problème.
      Ce livre, accessible au grand public malgré son sujet pointu, fait découvrir ou redécouvrir une thérapie éprouvée et simple, qui a longtemps été négligée grâce au succès des antibiotiques, et qu’il est grand temps de réintroduire vu le nombre de décès dûs à des bactéries résistantes aux antibiotiques.

      Biographie de l’auteur

      Le Dr Alain Dublanchet est responsable du laboratoire de Microbiologie et hygiène au Centre hospitalier intercommunal de Villeneuve-Saint-Georges. Il est l’un des spécialistes mondiaux de la phagothérapie et prône la réintroduction de cette technique, mieux reconnue dans le reste du monde (Europe de l’Est et Canada) qu’en France.



    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 22:15

      @njama

      il a été viré car soit pas de vrais diplômes soit car mauvais scientifique.
      le début de ton lien wiki me fais plié de rire !


    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 09:19

      @bébert
      mossieur bebert, pourquoi de si vilains mots ? ce n’est pas sous l’insulte que l’ignorant avance...donnez lui une carotte !


    • njama njama 6 septembre 2018 12:00
      @George L. ZETER

      pas grave le bébert changera peut-être d’avis s’il est atteint un jour d’un gentil petit staphylocoque indécrottable avec les antibiotiques

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 12:02

      @George L. ZETER

      insulter les malades en prétendant qu’il existe une science miraculeuse mais cachée qui guérit tout ne te dérange pas.


    • njama njama 6 septembre 2018 13:07
      @bébert

      sachant qu’une découverte médicale, parfois inopinée, met en moyenne 20 ans pour arriver jusque chez ton médecin traitant...
      enfin ça c’était avant...
      avant qu’internet révolutionne le secteur ... de l’information qui était largement bridé auparavant.
      pour preuve nous parlons de la découverte de la phagothérapie qui aura bientôt 100 ans d’existence et nous n’en étions pas même informés malgré que les infections nosocomiales font des hécatombes chaque année au nez et à la barbe de nos grands médecins dans nos grands hôpitaux
      L’ignorance tue, c’est sûr !
      L’année prochaine on fêtera le centenaire de cette découverte !

    • sweach 6 septembre 2018 14:15

      @njama
      Découvrir quelques chose et en maîtriser tout les tenant et aboutissant ce n’est pas la même chose.


      Je ne sais pas pourquoi on n’exploite pas les phages dans notre arsenal thérapeutique, mais il y a probablement des raisons pratiques ou économiques qu’on ne connait pas ?

      Injecter des phages à quelqu’un qui est infecté par une bactérie, je suis incapable de dire si oui ou non le phage sera capable de s’attaquer aux bactéries ?
      Par contre je sais que notre organisme va réagir contre le phage et il ne pourra peut être pas faire son boulot ?
      Il est fort à parier que si cela fonctionne ça ne serait qu’une seul fois, car l’organisme serait immunisé contre ce phage les fois suivante.

      Il faut voir au niveau industriel comment produire ces phages et les stocker ? car ils doivent être vivant.

      Pour remplacer les antibiotiques  :

      Il est a noter qu’on pourrait directement utiliser des anticorps pour nous soigner, si on ne le fait pas c’est juste une question de coût, mais cela évolue et on commence à voir les premières immunothérapie, nul doute que les souches de bactérie résistante vont avoir ce genre de traitement dans un avenir proche, si ce n’est déjà le cas.

    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 14:15

      @foufouille

      « insulter les malades », hey, faut te calmer !


    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 14:19

      @sweach

      bonjour,
      c’est justement l’idee de l’article « Il faut voir au niveau industriel comment produire ces phages et les stocker ? car ils doivent être vivant. »... on ne peut pas, c’est du sur mesure...

    • njama njama 6 septembre 2018 14:46
      @sweach

      Si l’Institut Eliava est toujours actif depuis 1923, et qu’il exporte ses phages, j’imagine que ce n’est pas juste pour amuser la galerie et qu’il y a eu des résultats probants derrière.
      Le fait que l’Europe de l’ouest n’a pas suivi cette voie, au moins parallèlement aux développement des antibiotiques, est peut-être un dommage collatéral de la guerre froide (?)
      Quand on fabrique des murs entre les nations, la science trinque aussi ...


    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 14:55

      @George L. ZETER

      ben si puisque sa science miraculeuse existe soit disant. on est tous censé être morts à cause du poison que vend bigpharma qui ne fait que dufric mais c’est bien pour boiron.
      ce sont aussi les mêmes copier coller à chaque article sur ce type de sujet. « on peut soigner la polio avec 20g de sel » « la polio est une maladie bénigne » « les gens vaccinés ont encore des virus dans le sang » etc.
      certaines personnes, dont une que j’ai connu, sont mortes du cancer en suivant leurs méthodes basées sur vent car ils n’ont aucune connaissances en médecine ni biologie, même pas les bases.
      .

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 15:05

      @George L. ZETER

      « on ne peut pas, c’est du sur mesure... »
      bien évidement que si, sinon ce ne serait pas de la science.
      c’est du vivant donc il suffit de lui donner à bouffer et ensuite il se reproduit presque à l’identique ce qui est le risque car si pas presque identique, il est inutile voire dangereux. pour le stockage, il suffit d’un congélateur.


    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 15:59

      @foufouille
      j’ai failli me faire tuer par big pharma en prenant le crestor...de plus mon article ne dit pas exactement ça ; les phages sont une autre vraie option lorsque la médecine de l’ouest n’a rien plus faire.


    • sweach 6 septembre 2018 16:28

      @George L. ZETER
      *les phages sont une autre vraie option*

      Peut être, mais il faudrait enquêter pour savoir pourquoi on ne les exploite pas.

      Mais personnellement je pense que les remplaçants des antibiotiques ça sera les immunothérapies, je ne sais pas trop comment notre industrie à réussi mais ils sont aujourd’hui capable de produire des immunoglobuline en grande quantité, ce n’était pas le cas il y a encore quelques années.

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 16:34

      @George L. ZETER

      je n’ai pas dit que les effets secondaires n’existaient pas surtout que j’eb ai deux fois dont moi aussi un grave mais c’était de la faute des médecins khmerts vert.
      la médecine est la même partout dans le monde car c’est une science. les phages sont étudiés en france et utilisé par au moins un hôpital, celui de lyon depuis plus d’un an.



    • George L. ZETER George L. ZETER 6 septembre 2018 17:20

      @foufouille

      Statut officiel de la phagothérapie en France

      Longtemps tolérée, sinon officiellement autorisée, la thérapie par bactériophages n’a pas sa place aujourd’hui dans les législations française et européenne qui régissent les médicaments...
      de plus c’est un technique qui a 100 ans. quant à lyon j’ignorais

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 18:00

      @George L. ZETER

      c’est faux et c’est légal. la technique datant de 100 ans repose sur du vent puisqu’il faut un microscope électronique pour voir un phage. la science demande toujours des preuves.


  • Dr Destouches Dr Mengele 5 septembre 2018 21:42

    La vitamine C à forte dose IV peut guerir aussi des infections résistantes ;50 à 100 g en perfusion


    Proof Vitamin C Miracle Cure ? 


    • foufouille foufouille 5 septembre 2018 21:57

      @Dr Mengele

      mort de rire.


    • sweach 6 septembre 2018 11:00

      @Dr Mengele
      Juste une petite notion de chimie, la vitamine C est un « acide » l’acide L-ascorbique.


      A une concentration de 75g pour 5L de sang, donc à 15g/L le pH du sang subira une forte acidification, ça ne peut pas être anodin pour la santé.

      Comme tout produit chimique, on établie une DL 50, c’est à dire la dose létal pour tuer 50% des souris.
      Pour l’acide L-ascorbique elle est de 3 367 mg·kg-1, disons 3g/Kg pour facilité les calcul

      Donc pour une personne de 70Kg il faudrait 210 g pour la tuer et pour une personne de 50Kg il faudrait 150g pour la tuer.

      Vos 100g en perfusion ont un fort risque d’être mortel car trop près de la DL50.

      Je pense que vous ne réalisez pas les quantités que cela représente et le coté farfelu de la démarche.

    • njama njama 6 septembre 2018 12:47
      @sweach

      A priori très juste, mis à part qu’il faudrait supposer que par perfusion IV C (intravenous vitamin C) -  la diffusion des 50 g (ou ml ?) de Vit. C injectable * est progressive et étalée sur 24 h, soit dans les 2 g par heure. A ce rythme l’acidification du sang reste modérée.
      Sachant aussi que le demi vie de la vitamine C dans le sang n’excède pas une demi-heure, ça reste plausible il me semble.
      * Laroscorbine1 g/5 ml : solution injectable ; boîte de 6 ampoules de 5 ml
      - Non remboursé - Prix libre

    • njama njama 6 septembre 2018 12:52

      @sweach
      Après si on lit l’abstract du posteur egalif egalif sous la vidéo, ça dit que la vitamine C liposomale est beaucoup plus efficace à moindre dose que 50 g de Vit C par injection

      So how did six grams per day of a special vitamin C oral compound manage to do the work of 50 to 100 grams of IV C daily ? The mechanics of liposomal encapsulated vitamin C
      [...]
      Cardiologist and orthomolecular specialist Dr. Thomas Levy discovered exactly why the clinical results of this type of oral C could match the efficacy of many times as much vitamin C by IV.
      [...] He came to realize that the combination of vitamin C and essential phospholipids radcially improved cellular bioavailability. Less than 20 percent of IV C gets into cells. But the Lypo-Spheric compound permits 90 percent of the C to get into cells. That’s because cell walls are made of fats. Vitamin C is water soluble. Tiny particles of vitamin C coated with phospholipids create molecules of vitamin C coated with a substance similar to the cell walls. Thus those coated vitamin C molecules can slip into the cells easily. The encapsulation also avoids diarrhea thresholds of normal oral C.




    • sweach 6 septembre 2018 14:00

      @njama
      Oui la vitamine C n’est pas vraiment quelques chose de toxique, mais 100g par perfusion est une quantité un peu hallucinante.

      On peut toujours mélanger la vitamine C à une solution Tampon et étaler les injections dans le temps, mais le concept reste une folie.

      Cependant ce truc à la vitamine C me fait penser à de nouvelle approche thérapeutique, qui consiste à « jouer » avec le stress oxidatif pour induire des réponses de l’organisme.

      Il est évident qu’une telle quantité de vitamine C (un puissant anti-oxydant) va faire réagir l’organisme, mais si le patient est déjà affaiblie, ce traitement de choc à de bonne chance de le tuer.

    • njama njama 6 septembre 2018 15:01

      @sweach

      La vitamine C liposomale contourne le problème puisqu’elle facilite l’absorption par les cellules.
      Il paraît assez évident que l’’injection intraveineuse à hautes doses de vitamine C reste l’exception, pour des cas très particuliers, la vidéo cite le cas de quelqu’un qui était tombé dans le coma...

      Sur le rôle de la Vitamine C associée à des acides aminés comme la L-Lysine et la L-Proline, on peut se référer aux recherches de Linus Pauling ...

      Il prenait lui-même par voie orale, 18 g de Vitamine C par jour ...






    • njama njama 6 septembre 2018 15:02

      mais c’est un autre sujet ...


    • njama njama 6 septembre 2018 15:17

      @foufouille

      Mégadoses de Vitamine C ? le Vidal indique de ne pas dépasser 1 g par jour, et pendant un mois pas plus .Cette dose (maxi) est dérisoire, nous pouvons en absorber bien plus... Explication :
      Linus Pauling : la dernière interview
      [...]
      LP : Je me suis souvent posé cette question. Lorsqu’on a commencé d’utiliser des molécules médicamenteuses en médecine, les médecins se sont demandé : « Si nous avons une substance intéressante pour traiter une maladie, quelle quantité faut-il donner ? » Ils se sont dit : « Les agents chimiothérapeutiques peuvent sauver la vie de quelqu’un, mais ils sont aussi toxiques. On ne peut pas augmenter sans cesse les doses. Alors, ils se sont mis d’accord sur les doses qui sont habituellement efficaces. Ensuite, ils sont arrivés à la vitamine C. Ils se sont posés la même question : « Qu’est-ce qu’elle contrôle ? Le scorbut ! Donc, nous allons déterminer les doses nécessaires pour prévenir le scorbut. » C’est ce qu’ils ont fait, et on a depuis les doses admises pour la vitamine C.Il ne leur est pas venu à l’esprit que des doses massives de vitamine C pouvaient avoir un intérêt supplémentaire contre d’autres maladies, et qu’elles améliorent la santé en général. Ou ça leur est venu à l’esprit, et ils l’ont rejeté. Voilà ce qui s’est passé, même si de nombreux docteurs ont observé les bénéfices pour leurs patients de mégadoses de vitamine C. Quoi qu’il en soit, la profession médicale était braquée contre les vitamines à hautes doses. Et elle l’est toujours.

      TS : Prenez-vous toujours 18 grammes de vitamine C par jour ?

      LP : Qui, oui. Oh..., parfois j’oublie. Je répartis les doses au long de la journée, et parfois ça me sort de l’esprit. Mais oui, oui, je prends à peu près cette quantité. Et bien sûr d’autres vitamines aussi. De la vitamine E. Essentiellement ce que le docteur Hoffer (voir encadré) donne à ses patients : 800 mg de vitamine E, 1000 à 2000 mg de niacine [vitamine B3 ou PP] et du sélénium. Hoffer prescrit ce traitement orthomoléculaire à ses patients depuis des années.


    • sweach 6 septembre 2018 16:16

      @njama
      Avant de faire n’importe quoi avec les vitamines, il faut toujours faire un parallèle avec ce qu’on trouve dans la nature.

      Est-il techniquement possible d’absorber 18g de vitamine C avec l’alimentation ?

      Il y a une grande différence entre la voie Orale et la voie par injection.
      18g par jour par voie Orale me choc moins que 100g par voie intraveineuse, le system digestif est une barrière protectrice.

      Pour la vitamine C liposomale ; encore une fois ça démontre l’importance de la forme galénique, c’est ce qui distingue le plus souvent des médicaments avec leur équivalent générique.

      L’excès de vitamine ou de substances active peut avoir des conséquences sur nos reins et notre foie qui doivent assumer ce surplus inhabituel.

      Beaucoup de gens se pourrissent la santé avec ce genre de truc parallèle, même si il peut y avoir un fondement scientifique il faut l’étudier avant de jouer au cobaye humain.

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 16:47

      @sweach

      par voie orale c’est surtout inutile puisqu’elle n’est plus absorbée par les intestins au dela d’une certaine limite.


    • njama njama 6 septembre 2018 17:32

      @sweach

      18 g c’est effectivement beaucoup, mais il me semble avoir lu que Linus Pauling a augmenté sensiblement ses diverses supplémentations avec l’âge, puisque pour les substances que nous produisons, elles diminuent avec l’âge. L’homme à l’instar de quelques espèces animales seulement ne synthétise pas la Vitamine C.
      Bien qu’on lui ait diagnostiqué un cancer de la prostate à 75 ans, il est dcd à 93 ans. Bel âge tout de même, sans préjuger de savoir si la Vitamine C ça conserve...
      Ceci vérifie au moins qu’il n’y a pas de toxicité à cette dose... sous réserve d’habituer progressivement l’organisme, et comme il le précisait de répartir les doses au long de la journée faute de quoi les excédents partiraient sans profit dans les urines.
      Sa théorie des maladies cardio-vasculaires dont j’apprécie la logique, repose l’hypothèse qu’il s’agit d’une sorte de « scorbut chronique », qui endommage les artères, fait perdre souplesse et élasticité des parois, et que l’organisme pour compenser ces fragilités locales produit justement ces plaques d’athérome (salutaires) que l’on ne retrouve pas partout, mais seulement en différents endroits selon les individus. En quelque sorte l’organisme crée ses pansements ...
      Scorbut, pellagre, béri-béri, diabète, ... sont autant de pathologies liées à une nutrition déséquilibrée, aux carences en certains élément essentiels au bon fonctionnement de l’organisme ... et pourquoi pas donc des maladies cardio-vasculaires ?
      Ce qui met un peu à mal la théorie du cholestérol, qui si elle était juste, devrait provoquer des « dépôts » d’athérome un peu partout ... et non pas en quelques endroits spécifiques.


    • njama njama 6 septembre 2018 17:49
      @sweach
      La suite logique et thérapeutique de la médecine orthomoléculaire (qui utilise des substances naturellement connues de l’organisme) est donc de supplémenter l’organisme en lui fournissant les éléments propres à restaurer ce qui est endommagé.
      Ses recommandations préconisaient des doses moins élevées et suffisantes pour obtenir de nettes améliorations chez de nombreux patients.
      Chapter 7 The Pauling Therapy
      Cardiologists have been kept in the dark regarding the vitamin C connection to heart disease. Most cardiovascular drugs are compensating for low vitamin C intake. There are cardiovascular drugs that exacerbate heart conditions. In my opinion, for the best patient response the doctor would be well advised to replace as many standard heart medications as possible with the following vitamin C and lysine protocol.
      NOTE : Linus Pauling specifically recommended high, generally equal oral doses of vitamin C and the amino acid lysine between 5,000 and 6,000 mg in his Unified Theory lecture (available on video). 
      Anything less, by definition, is not the Linus Pauling Therapy.
      The extended protocol includes advice given by Linus Pauling in his 1986 book, How To Live Longer and Feel Better.

       http://practicingmedicinewithoutalicense.com/protocol/excerpt_chp7.pdf


    • Dr Destouches Dr Mengele 6 septembre 2018 18:41

      @sweach


      Les doses de 100 voire 200 g en perfusion ont été largement utilisées par son promoteur le Dr F Klenner ,sans aucune toxicité,sous forme d’Ascorbate de Na
      Il faut comprendre que ,pour des infections graves ,la vit C est rapidement consommée et doit être renouvelée

    • njama njama 6 septembre 2018 19:10

      @Dr Mengele

      Je ne connaissais par le Dr Frederick Robert Klenner (1907 – 1984)
      mais lorsque vous lancez des affirmations comme celles-ci :
      « Les doses de 100 voire 200 g en perfusion ont été largement utilisées... »

      ce serait bien si vous les documentiez avec des liens, même en anglais si vous n’en avez pas en français

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 19:13

      @Dr Mengele

      ensuite le patient est devenu insuffisant rénal.


    • njama njama 6 septembre 2018 19:14

      @Dr Mengele

      La technique du Dr F Klenner est peut-être dépassée depuis que l’on peut obtenir et utiliser de la Vitamine C liposomale plus efficace que les IVC injections en intraveineuses, sans leurs inconvénients.
      A voir ...


    • njama njama 6 septembre 2018 19:17
      @foufouille

      Il peut s’agir de traitements très temporaires, voire ponctuels, qui ne sauraient provoquer en peu de temps ce que vous présumez....
      La chimiothérapie fait aussi des dégâts non négligeables, avec « parfois » quelques chances de succès ....mais c’est très aléatoire selon les cas et individus

    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 19:26

      @njama

      avec 200g, tu es mort ou tu as au moins 75% de chance de crever. sweach t’as donné la DL50 plus haut mais tu continues d’écrire des conneries.


    • njama njama 6 septembre 2018 21:17
      @foufouille

      Où aurais-je dit qu’il faudrait prescrire 200 g de Vitamine C ? (par jour ?) quand même Linus Pauling, dont je confesse soutenir la théorie (hypothèse scientifique), qui la promouvait avec moult convictions , ne dépassait pas pour lui-même de son propre aveu 18 g / jour par voie orale sur la fin de sa vie.

      Pour info, au cas où vous ne seriez pas correctement renseigné Linus Pauling, était un physicien et chimiste éminent, deux fois Prix Nobel, dont même Einstein disait de lui qu’il était un génie... car il était aussi très féru et pertinent en physique quantique

      Alors, chapeau bas il me semble, et entre vos petites mises en garde ou autres mesquineries orthodoxes ou académiques à l’encontre de ceux que vous nommez khmers verts, et ses conseils que Linus Pauling appliquait pour lui-même, mon choix n’a pas attendu votre conseil, et a été vite fait.




    • foufouille foufouille 6 septembre 2018 21:27

      @njama

      c’est ce qui est écrit plus par l’autre taré de khmer vert. 18g est inutile puisque quand ton stock est fait tes intestins ne l’absorbent plus.
      ton mec n’est pas docteur en médecine donc il y connaissait et en plus gâteux comme tous les vieux qui deviennent khmer vert à cet âge là.

    • njama njama 6 septembre 2018 22:13
      @foufouille

      ton mec n’est pas docteur en médecine
      faut-il être docteur en médecine pour réfléchir ? Si vous continuez à penser dans ce sens-là, vous êtes le parfait bedeau de cette nouvelle religion qui se prétend « médecine »

      ton mec...
      Linus Pauling, éminent physicien et chimiste, deux fois prix Nobel...

      un peu d’humilité s’il vous plaît...

      Pasteur, docteur en médecine ? docteur en quoi au juste ?

    • njama njama 7 septembre 2018 07:57

      @sweach

      Avant de faire n’importe quoi avec les vitamines, il faut toujours faire un parallèle avec ce qu’on trouve dans la nature. Est-il techniquement possible d’absorber 18g de vitamine C avec l’alimentation ?


      ... le gorille des montagnes (pesant de 120 à 160 kg) ingère quotidiennement entre 2 000 et 4 000 mg d’ascorbates (vitamine C) et parfois bien plus6. L’humain occidental moyen ne prenant pas de suppléments en consomme quelques dizaines de milligrammes, et les apports journaliers recommandés de vitamine C sont de 60 mg.

      La majorité des animaux et des plantes synthétisent leur propre vitamine C dans des quantités variables en fonction des stress subis qui équivaudraient, en tenant compte de la masse corporelle (pour les grands mammifères), à 10 000-20 000 mg par jour pour un humain adulte de corpulence moyenne. Quelques groupes d’animaux incluant les humains ne peuvent synthétiser l’enzyme L-gulonolactone oxydase (GULO)7 intervenant dans la dernière étape de la conversion du glucose obtenu par glycogénolyse en acide ascorbique. La perte de cette enzyme, considérée comme une erreur génétique7, remonterait à l’apparition des primates Haplorrhiniens, il y a environ 63 millions d’années. Phylogénie des infra-ordres actuels de primates, d’après Perelman et al. (2011)8 :


      La médecine orthomoléculaire propose de corriger ce déficit par l’apport de quantités comparables à celles consommées par les anthropoïdes ancêtres de l’humain, lorsqu’ils vivaient dans l’écosystème où est survenue la mutation (entre 2 et 6 grammes, approximativement)9, ou alors des quantités équivalentes à celles synthétisées par les autres mammifères, à savoir plusieurs grammes par jour10 (quantité normalisée suivant la masse corporelle). En général, les plus fortes doses sont recommandées en cas de stress ou de maladie.
      ...

    • sweach 7 septembre 2018 10:00

      @njama
      *Quelques groupes d’animaux incluant les humains ne peuvent synthétiser l’enzyme L-gulonolactone oxydase*

      Vous ne répondez pas à ma question.

      L’homme ne produit pas cet enzyme, il a donc évolué sans et doit se la procurer dans son alimentation.

      Comme toutes choses l’excès est mauvais pour la santé, si on veut connaitre les chiffres maximum de quelques chose, il faut souvent regarder le maximum que peut nous donner la nature, car on a évolué avec.

      Exemple de l’orange : 70 mg de vitamine C pour un Fruit

      Imaginon que je souhaite faire une cure de vitamine C en ne mangeant que des Oranges disons 3Kg d’orange par jour soit 15 fruits, ça nous donne 1050 mg par jour, soit 1g

      Donc techniquement pour nous approcher de ces 18g de vitamine C avec seulement l’alimentation on arrive à une impossibilité. Notre organisme n’est pas vraiment adapté pour de tel quantité et je pense que l’excès peut même lui nuire, je vous laisse donc imaginer 100g

      Après il faudrait étudier la question, mais l’approche est trop farfelu et les quantités bien trop importante pour être crédible aux niveaux de la communauté scientifique.
      C’est immédiatement classé en médecine parallèle, charlatanisme ou pratique dangereuse.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2018 11:10

      @njama

      le fait est que tes 18g finissent dans les wc tous les jours donc avant d’affirmer un truc il faut le prouver et pour ça il faut étudier la science. un nobel n’est pas un dieu khmer vert mais un simple humain qui peut devenir gaga et raconter des conneries comme joyeux, il peut aussi être un escroc.de même une vidéo n’est pas forcément vraie ni une preuve.
      mais ce n’est pas un raisonnement de khmer vert.


    • Dr Destouches Dr Mengele 7 septembre 2018 11:57

      @njama

      A titre d’exemple, voici des mesures de production quotidienne du foie ramenées à 70 kg, sur deux animaux, relatées par le Dr Corson dans son ouvrage : Notre ange gardien, la vitamine C– (Ed. Guy Trédaniel) :

      • rat non stressé : 4,9 g
      • rat stressé : 15,2 g
      • chèvre non stressée : 13 g
      • chèvre stressée : 100 g.

    • njama njama 7 septembre 2018 11:58

      @sweach

      Est-il techniquement possible d’absorber 18g de vitamine C avec l’alimentation ?

      Effectivement, non, mais l’apport peut se faire facilement avec de l’acide L-ascorbique, vitamine C pure qui est bon marché, hors celle vendue en pharmacies qui nous les distribuent en faibles doses 1000 mg max par comprimé.
       + ou - 30 € à 40 € / kg suivant les sites, exemples ICI ou ICI et de 35 à 50 € / kg en extrasoluble ICI prix suivant quantité commandée
      De même que pour la L-Lysine 1 kg, 19,99 € ICI

    • njama njama 7 septembre 2018 12:02
      @sweach

      Dans l’optique d’une thérapie des maladies cardio-vasculaires, l’association Vitamine C et Lysine a une logique dans l’hypothèse d’une déficience d’apport nutritionnel suffisant (scorbut chronique), celle de booster la production de collagène, d’élastine... c’est l’hypothèse formulée par Linus Pauling qui a obtenu de très bons effets sur de nombreuses personnes :
      Linus Pauling : la dernière interview
      Sur quoi votre hypothèse repose-t-elle ?
      Linus Pauling : Eh bien, tout le monde est d’accord pour dire que ces maladies commencent par une lésion des parois vasculaires. Il y a quelques années, je me suis demandé pourquoi de telles lésions apparaissent. Et la réponse est probablement que l’organisme manque de vitamine C. La vitamine C est indispensable à la synthèse de collagène et d’élastine, les substances qui rendent les vaisseaux forts et sains. Si vous manquez de vitamine C, vous ne fabriquez pas assez de collagène, ou alors il est de mauvaise qualité. La plupart des animaux fabriquent de la vitamine C, et ils n’ont pas le type de maladies cardio-vasculaires que nous avons. Il leur arrive d’avoir des problèmes, mais pas dans les régions de stress, où le pouls est fort, comme les artères coronaires ou le cerveau. La plupart des gens manquent de vitamine C et le déficit en vitamine C est la première cause des maladies cardio-vasculaires.




    • Dr Destouches Dr Mengele 7 septembre 2018 12:03

      @njama

      La Panacée originelle - La vitamine C Broché – 10 avril 2017
      de Levy Dr. Thomas E. (Auteur)






    • njama njama 7 septembre 2018 12:11

      @Dr Mengele


      Merci pour toutes ces références

    • foufouille foufouille 7 septembre 2018 12:53

      @njama

      tu as un graphique qui montre que ça sert à rien : 90% de 2g de vit c finit dans les urines.


    • sweach 7 septembre 2018 13:45

      @njama
      Je rejoins @foufouille sur ce point, notre organisme n’a pas besoin d’autant de vitamine C, vouloir forcer un surplus, nous oblige à l’éliminer, un surplus vraiment trop important ne peut être sans conséquence.


      *l’apport peut se faire facilement avec de l’acide L-ascorbique, vitamine C pure qui est bon marché*
      Oui tout comme le saccharose ou bien les huiles trans qui sont très bon marché, l’industrie fait des miracles.

      Sauf qu’on ne trouve pas ces nutriments dans des quantités si importante dans la nature, notre organisme n’a pas évolué et n’est pas adapté pour.

      Si on donne à notre corps quelques chose auxquelles il n’est pas préparé, ça a de forte chance de lui nuire.

      Vouloir à tout prix consommer 100g de vitamine C par jour est juste idiot, si effectivement certain on observait des effets positif avec de telle dose, on peut se pencher sur le pourquoi, mais plusieurs études sont actuellement sur le sujet du stress oxydatif, peut être qu’il ne faut pas aller plus loin que le rôle anti-oxydant de la vitamine C sans pour autant pourrir nos reins avec des quantités astronomique à gérer.

    • njama njama 7 septembre 2018 15:14
      @foufouille
      l’étude est établie par rapport à l’ingestion de fortes doses de vitamine C.

      Le temps d’ingestion n’est pas précisé, ce qui laisse supposer que l’observation a été réalisée pour une seule prise avec ingestion rapide, jusqu’à 2 gr de Vit. C dont 90 % sera éliminé dans les urines.
      On en déduit que l’absorption est saturable. Sans que soit précisé dans quel limite de temps de temps ?
      Aussi qu’en est-il de l’absorption de vitamine C par petites doses étalées dans la journée ???

    • njama njama 7 septembre 2018 15:20

      @sweach

      Vouloir à tout prix consommer 100g de vitamine C par jour est juste idiot,...

      bien sûr, ça me parait vraiment très excessif ... encore plus sous forme de sel, ascorbate de calcium, de potassium ou de magnésium.
      On ne voit pas très bien d’ailleurs comment ingérer une telle quantité par jour ...

    • njama njama 7 septembre 2018 16:56
      @ foufouille

      4. Métabolisme de l’acide ascorbique :
      4-a. Absorption
      Pour des prises de plus de 10 grammes par jour, l’absorption n’est que de 16%, alors que pour des prises inférieures à 20mg, le taux d’absorption peut atteindre 98 %.
      L’acide ascorbique s’accumule dans l’organisme jusqu’à atteindre le seuil plasmatique de 1500 mg/dl chez l’homme et 1300 mg/dl chez la femme. Au-delà de ce seuil, il est excrété dans les urines avec une demi-vie de 30 minutes. En dessous de ce seuil, il est réabsorbé au niveau des tubules rénaux.
      Page 37 du PDF (ou page 31 de cette Thèse de doctorat en médecine - II. Acide ascorbique pages 29 à 37)
      Si des prises de 10 g permettent d’atteindre le seuil plasmatique, de trop faibles prises, voire les apports par l’alimentation n’y arriveront pas.

    • foufouille foufouille 7 septembre 2018 17:36

      @njama

      si tu veux te bousiller les reins, c’est ton droit. tes reins vont trop travailler et claquer.


    • foufouille foufouille 7 septembre 2018 21:37

      @njama

      "Malgré tout ça, pour évaluer si Pauling aurait raison, la Clinique Mayo a entrepris trois études à double-insu portant sur un total de 367 patients avec cancer avancé. Les études, rapportées en 1979, 1983, et 1985, ont démontré que les patients ayant reçu 10 000 mg de vitamine C par jour n’ont pas eu d’effet bénéfique plus que ceux qui ont reçu le placebo[14-16]. Pauling a critiqué la première étude, déclarant que les agents utilisés dans le traitement de la chimiothérapie auraient pu avoir un effet négatif sur le système immunitaire des patients empêchant l’effet bénéfique de la vitamine C [17]. Mais son rapport de 1976 sur le travail de Cameron dit clairement que : "Tous les patients sont traités initialement de façon très conventionnelle, par la chirurgie, la radiothérapie, et l’administration d’hormones et de substances cytotoxiques." Et durant une conférence subséquente à l’Université d’Arizona, il aurait dit que la thérapie avec la vitamine C pourrait être utilisée en plus des modalités conventionnelles de traitement [18]. Les participants dans l’étude de 1983 n’avaient pas subi de traitements conventionnels, mais Pauling a nié les conclusions quand même.« 
       »Selon un rapport d’une investigation par James Lowell, Ph.D., dans le bulletin Nutrition, une recherche de Robinson lui a fait conclure en 1978 que des doses élevées (5 à 10 grammes par jour) de vitamine C recommandées par Pauling pourraient actuellement provoquer certains types de cancer chez les souris [18]. Robinson aurait dit à Lowell, par exemple, que les animaux nourris de quantités équivalentes aux recommandations de Pauling avaient fait du cancer cutané presque deux fois plus souvent qu’un groupe contrôle et que seulement des doses de vitamine C approchant les niveaux létaux auraient un effet protecteur. Suite à avoir rapporté cela à Pauling, Robinson a été demandé de donner sa démission de l’institut, ses animaux sur lesquels il a fait des expériences ont été tués, ses résultats saisis, et les résultats d’études antérieures détruits. Pauling a aussi déclaré publiquement que la recherche de Robinson était d’un niveau « amateur » et inadéquate. Robinson a répondu en intentant une poursuite contre l’institut et ses administrateurs. En 1983, la cause a été réglée hors cour pour 575 000$. Dans une entrevue citée dans Nature, Pauling aurait dit que le règlement "représentait pas plus qu’une compensation pour perte de travail et le coût des frais légaux de Robinson." Toutefois, l’entente approuvée légalement précise que $425,000 du règlement était pour diffamation. Les frais légaux de l’Institut étaient près d’un million de dollars [21]."


    • njama njama 7 septembre 2018 21:43
      @foufouille
      @njama
      si tu veux te bousiller les reins, c’est ton droit. tes reins vont trop travailler et claquer.

      Il m’est arrivé de faire de petites cures ponctuelles 10 g / jour pendant une paire de semaines ou deux sans effets délétères, mes reins fonctionnent correctement si j’en crois mes dernières analyses biologiques.

      Libre à vous de ne pas accorder d’intérêt à ces études sur la vitamine C. Je ne cherche pas à convertir qui que ce soit.

    • foufouille foufouille 7 septembre 2018 21:45

      @njama

      Certaines personnes croient que parce que la vitamine C est soluble dans l’eau, il n’est pas risqué d’en prendre de hautes doses. Au-delà de 2 grammes par jour, en plus d’une totale inutilité pour la santé, il y a un risque d’avoir la diarrhée, d’être atteint d’allergies ou de décalcification osseuse.


  • RICAURET 5 septembre 2018 23:13
    c est l Europe qui proscrit les bactériophages et autohemoterapie on y va vers le mur


  • 4 ou 15 wasp 6 septembre 2018 11:01
    pas de solution miracle :
    je me suis laissé dire que les phages étaient très difficiles à cultiver, manier, et entretenir ; qu’il étaient très spécialisés à certains type de bactéries et que ça peut changer ; bref, le rapport boulot/résultat pour traiter un patient est excessivement faible et pour des cas très particuliers, ça se discute, mais pas pour un usage généralisé.

    Mais, moi, spécialiste et docteur en clé à molette...ce que j’en dit ?!



  • Ruut Ruut 6 septembre 2018 15:35

    UN peut comme aller chez le pédiatre qui prescrit a 90 % des placebos et anti douleurs et vraiment rien qui soigne.


  • mumiketico mumiketico 6 septembre 2018 23:01

    Bonjour,


    Arrêtez de travailler chez les esclavagistes dans les villes, vous ne serais presque plus jamais malade. Je ne dis pas que ca soignera vos mutations foireuses, vos traces d’usures et vos cicatrices.

    Mais rien que par un vrai sommeil et un réveil naturel, plus de taches répétitives, ca change la vie. Au lieu de mettre une semaine a guérir d’une infection banale au semi travail forcé, vous mettrez 1 ou 2 J en mode marmotte. 

    Bannisez tout ce qui est alimentation préparé et n’achetez que des produit de base (varier les sources/origine prime sur la prétendue « qualité ») Variez variez variez les produit les marchants les épices, vous aurez pas d’carences.

    Passez a un seul repas par jour change tout. T’a presque la moitié de la journée ton cerveau a 100%, au lieu de l’avoir seulement quelques minutes le matin avant de bouffer toute la journée. Le cerveau commande le système immunitaire.

    Oooommmmmmmmm (sans complexe et d’expérience réussie, tirez vous des villes)







  • UnLorrain 6 septembre 2018 23:05

    @ l’auteur

    J’ai lu en diagonale votre Feuille. Les commentaires aussi ou certains ont l’insulte facile planqu ?s derri ?re leurs fen ?tres.

    Je voyais un docu TV il y a 20 ans pass ?s. ?a se passe au pays de Galles,h ?pital,le docteur visite et contr ?le plut ?t ses patients,il contr ?le notamment les...asticots qu’il a d ?pos ? sur les plaies de ses patients qui semblent atteints de gangr ?ne,il v ?rifie en fait que ces colossaux ? phages ? mangent bien leur unique aliment qu’est la chaire se d ?composant,ainsi la plaie sera exempt de putr ?faction..propre et saine ?

    Le commentateur ? HH ? qui je crois vit en Irlande proche pourrait peut- ?tre apport ? des ?l ?ments confirmant le mien de commentaire...s’il s’est reconnu et qu’il passe par votre billet celui qui se gaspille quelque peu en m ?taphysique...qu’il ! smiley smiley


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