jeudi 10 février 2022 - par Daniel MARTIN

L’identité nationale de la France qui nourrit des nationalismes, existe-t-elle ?

Si l’on considère que « l’identité nationale » est une donnée ou un ensemble de données pour mesurer l’homogénéité ethnique et culturelle d’une population sur un territoire précis, on peut affirmer que l’identité nationale de la France c’est de ne pas en avoir.

Par sa situation géopolitique, la France fut depuis l’antiquité une territoire de migration

Pour rappel : sa position géopolitique de Finistère à l’ouest de l’Eurasie, avec autant de frontières terrestres et celles ouvertes sur les mers et les océans, si l’on y intègre également les DOM TOM, la France, aussi loin que l’on remonte dans le temps, est ouverte et n’a cessé d’accueillir des migrations de populations.

Depuis la préhistoire on a un pays composite ethniquement et culturellement, avec successivement des Celtes, des latins, des Germains, et leurs mixtes (Gallo-Romains) mais aussi des Vikings sans compter les traces laissées par les incursions des Huns et des arabes. Toutes ces populations n’ont cessé de se mélanger et de se fondre dans cet immense et bouillonnant creuset que fût et que reste notre pays. Notre pays a su toutefois préserver les éléments enrichissants de ces diversités culturelle qui se sont conjuguées intelligemment, bien que très souvent cela ne se soit pas fait de façon indolore, ce qui faisait dire à Mirabeau en 1789 : ...« la France n’est qu’un agrégat de peuples désunis »... C’est encore vrai aujourd’hui avec les immigrations récentes et en cours, issues pour la plupart des anciennes colonies.

Les candidat(e)s aspirant(e)s présidentiables de droite extrême(Mme. Le Pen) et d’extrême droite (Mr. Zemmour), et celles ou ceux qui « leur emboîtent le pas », devraient s’attarder sur l’histoire de ce pays qui a accueilli tant de populations culturelles différentes qui font, qu’on le veuille ou non, que la France est et restera encore longtemps un pays multiculturel.

Certain(e)s aspirant(e) présidentiables devraient éviter d’ouvrir « la boite à Pandore »...

Attention ! à force de jouer sur les mots et les formules telles que celles se référant à l’identité nationale de la France pour s’attirer les grâces d’un certain électorat, il y a un risque évident de régénérer les vieux et pires démons du nationalisme, ainsi que ses thèses raciales dont on a pu mesurer les effets dévastateurs depuis la fin du 19° siècle… Lorsqu’en 1853 et 1855 le comte Arthur de Gobineau, écrivain et homme politique, publiait un essai « sur l’inégalité des races humaines « , probablement sous l'influence des milieux wagnériens, et notamment de celle du penseur eugéniste Houston Chamberlain, principal inspirateur d'Hitler, avec les nazis, on a pu que constater et subir les effets dévastateurs et criminels de son interprétation... A noter toutefois que la distinction primordiale qu'établit Gobineau entre les races n'est pas tant quantitative que qualitative, et prétend témoigner d'aptitudes différentes plutôt que similaires et inégales. Il suffit de se référer à ses écrits pour constater que si le comte de Gobineau détestait la démocratie et le métissage, il n’était pas pour autant antisémite et son racisme se bornait plus, comme le font à tort aujourd’hui, certain(e)s politiques à opérer des classifications entre différentes populations, toutefois les définir par des notions de races est une grossière erreur puisque sur le plan scientifique il n’y a qu’une seule race humaine de l’espèce des hominidés dont nous sommes les seuls représentants.

Malgré sa suppression votée par le parlement, le mot race reste toutefois inscrit dans la Constitution, ce qui est un non sens

En constitutionnalisant la notion de « race », cela participe à reconnaître et légaliser une notion récusée par les scientifiques qui n'existe pas. Cela implique aussi des risques de théorisation, sous entendu, entre les supérieures et les inférieures, avec les effets que cela produisit, de sinistre mémoire.

Malgré sa suppression de la Constitution de 1958, le mot « race » reste bien présent dans notre législation. La raison de cette non-révision est en fait d’un autre ordre. le terme reste (et restera) inscrit, à deux reprises, dans un autre texte à valeur constitutionnelle, le préambule de la Constitution de 1946 (https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/preambule-de-la-constitution-du-27-octobre-1946 ) . Au premier alinéa : « … le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés » et au 16e alinéa :« La France forme avec les peuples d’outre-mer une Union fondée sur l’égalité des droits et des devoirs, sans distinction de race ni de religion ». Selon le Palais Bourbon, « il n’est pas envisagé de modifier en ce sens le Préambule de 1946, car il s’agit d’un texte « historique », au même titre que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) de 1789, dont les termes n’ont donc pas vocation à être révisés. La Constitution de 1958, en revanche, reste un texte « vivant », susceptible d’évolutions »… Cet argument est pour le moins très controversé et ne devrait pas résister à une volonté politique de supprimer le mot »race » de la Constitution, mais cette volonté politique existe t-elle ? A noter que le mot « race » ne fut inscrit pour la première fois dans une Constitution, seulement en 1946 sous la 4e république, ensuite repris dans la 5e en 1958, mais jamais dans les précédentes.

De nouvelles immigrations massives sont-elles possibles ?

Une population mondiale qui augmente de près d’un milliard d’habitants par décennies (6,8 milliards en 2010, 7,7 milliards 2020, soit 2,7 en Millions d’habitants par semaine, alors que les surfaces fertiles régressent à cause du changement climatique et du pillage des terres des plus pauvres par les plus riches pour des cultures à OGM. Ces cultures OGM, outre l’alimentation du bétail, elle servent souvent pour produire des agro-carburants, générant des populations affamées toujours plus nombreuses. Epuisement des ressources naturelles, des énergies fossiles, de l’eau, souffrance des animaux dans les élevages intensifs ou les abattoirs, utilisés et traités comme de vulgaires objets et marchandises, pollutions diverses liées à l’activité industrielle avec les problèmes récurrents de santé qui en découlent ainsi que la mal bouffe ou la désintégration du tissu social etc. ne semble guère préoccuper nos aspirant(e)s présidentiables de droite extrême et d’extrême droite. Ils préfèrent s’enfermer dans un débat se fondant sur l’identité nationale de la France qui serait par ailleurs menacée par un « grand remplacement », du à l’invasion de populations en provenance du continent Africain ou d’autres parties du monde.

Il est toutefois évident que si l’explosion démographique des dernières décennies se poursuivait, il y aurait de réels problèmes d’immigration massive et comme à certaines périodes de notre histoire, les rapports avec les nouveaux arrivants ne serait guère indolore.

Entre 1972 et 2022 la population mondiale est passée de 3, 8 milliards d’habitants à 7,9 milliards soit plus que du double en 50 ans, du jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Si on y ajoute la disparition d’environ 100 000 km² de terres arables par an ( soit en 50 ans 5 millions de km² ou la superficie des pays de l’UE plus ses pays frontaliers), l’épuisement des ressources naturelles et de l’eau, dont le continent Africain est déjà et sera encore le plus affecté, alors oui il y aura effectivement un risque d’immigration massive, avec des affrontements supposés. Mais ce ne sont pas les thèses nationalistes de l’identité de la France, génératrices de violence, qui peuvent être une réponse préventive pour éviter cette situation conflictuelle.

Dans moins de 15 ans, 47% de la population vivra dans des régions déjà soumises à un fort stress hydrique. En Afrique, entre 75 et 250 millions de personnes seront confrontées en 2020 à des pénuries croissantes liées au changement climatique. La pénurie que connaîtront certaines régions arides et semi-arides aura un impact décisif sur les migrations. On estime de 24 à 700 millions de personnes qui pourraient être forcées de migrer pour des raisons uniquement liées à l’eau.

Pour conclure

S’il est démontré que l’identité nationale de la France n’existe pas, faut-il rappeler aussi que toute vérité sociologique veut que ce sont toujours les derniers arrivés parvenus dans un groupe social ou un pays qui veulent fermer la porte derrière eux, ce qui ne peut que générer des situations conflictuelles qui risque dans un futur proche d’être violentes avec les nouveaux arrivants...



23 réactions


  • sirocco sirocco 10 février 2022 17:25

    Pas un mot sur la culture chrétienne qui a prévalu en France durant des siècles.

    Dans un pays où chaque commune possède (toujours) au moins une église, faut le faire !


  • Yann Esteveny 10 février 2022 17:28

    Message à tous,

    Article de propagande mondialiste nihiliste mêlant Hitler, Gobineau, Le Pen, Zemour et les OGM pour parvenir à la conclusion toute faite que le nationalisme c’est pas bien et que la France et les français n’existent pas.


  • Clark Kent Schrek 10 février 2022 17:28

    Le terme « nation » n’est pas défini juridiquement, mais l’usage en politique internationale en fait un équivalent d’ »état souverain ». Si la charte de l’ONU « fixe les droits et les obligations des états membres », son préambule exprime les idéaux et les buts communs de tous les peuples dont les gouvernements se sont réunis pour former l’Organisation des Nations unies ».

    Les états-nations sont en effet confrontés à une attaque frontale des « mondialistes » qui entendent soumettre les administrations aux décisions et intérêts privas des grandes multinationales et des courtiers en bourse type Blackrock.

    Mais, encore aujourd’hui, le fait de constituer une « nation » n’est pas un fait ethnique, ni linguistique, ni même historique, mais simplement un « consensus » à un moment donné. La « nation belge » existe. Ça n’a pas toujours été le cas, et ce n’est peut-être pas pour l’éternité, mais c’est un fait. Il suffit d’être expatrié plusieurs mois pour comprendre de quoi il s’agit : question de références et de codes.


    • Clark Kent Schrek 10 février 2022 17:30

      @Schrek

      le nationalisme est aux nations ce que l’islamisme est à l’islam : une dérive.
      mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain parce qu’il a fait caca dedans


    • rogal 11 février 2022 01:27

      @Schrek
      Le terme ’’nation’’ n’est peut-être pas défini juridiquement, mais il est présent dans notre Constitution ; ce qui n’est pas le cas, sauf erreur, du terme ’’patrie’’.


  • PascalDemoriane 10 février 2022 17:57

    @L’auteur

    Préchi-précha de perroquet bien conforme. Macron vous a noté que 13 sur 20, mention "Peut mieux faire".
    Vous n’avez pas assez nié l’existence d’une culture et d’une langue française, ni rappelé que ce pays a été intégralement bâtit par des immigrés, ni dénoncé le crime contre l’humanité de son projet homophobe nationaliste de vouloir perdurer. Faudra faire un stage de conscientisation déconstructive, et une 5e dose vaccinale pour rester l’aspirant LREM que vous rêvé d’être...
    Courage !


  • troletbuse troletbuse 10 février 2022 18:29

    Le problème n’est pas l’identité. Mais on ne peut accepter le grand remplacement payé par Soros et compagnie.

    On n’ a plus d’entreprises, plus de boulot et on finance ceux qui arrivent, même pas clandestinement.

    Le réchauffement climatique, il a bon dos car on le subit aussi. Le vrai problème est les mondialistes qui veulent amener des esclaves et détruire la population actuelle.


  • Octave Lebel Octave Lebel 10 février 2022 19:44

    « l’identité nationale de la France n’existe pas » Que c’est beau et profond comme certains débats sur France-Culture ou LCP, après lesquels on se sent minus tellement la hauteur de vue nous a rendu étranger à nous-mêmes et quémandeur de guides pour nous éclairer. 

    On peut faire plus simple et dire que nous traversons une crise de régime et depuis un moment déjà. On nous fait un chantage à des traités que nous avons refusés ainsi que les règles économiques et juridiques qui vont avec non par volonté de ne pas construire une Europe mais parce que vu le prix payé du fait des classes dirigeantes d’alors en guerres diverses et variées par les générations qui nous ont précédés, nous aimerions nous faire entendre et être respectés. Et nous n’apprécions pas de nous faire faire un enfant dans le dos par des qui ayant décroché un mandat de député et sénateur se sont investis par eux-mêmes constituants d’un nouveau genre pour dire que non c’est oui.

    Nous aimerions mieux connaître, comprendre, travailler, développer des projets et préparer notre avenir en collaboration avec les peuples européens sans des classes dirigeantes qui jouent entre elles un jeu avec des fausses cartes auquel nous serions tenus de nous plier d’une manière ou d’une autre parce que la complexité des problèmes corrélée à celle de nos ignorances nous mettraient hors-jeu si ce n’est d’un vote sans réelle portée.

    Ce serait mieux et c’est même indispensable vu la complexité des problèmes, la cote des politiques et des journalistes. Pas difficile de voir que la crise de régime ne va pas pouvoir facilement être enterrée sous des éléments de langage.


  • Jonas Jonas 10 février 2022 21:58

    « la France, aussi loin que l’on remonte dans le temps, est ouverte et n’a cessé d’accueillir des migrations de populations. »

    C’est faux.

    Jusqu’au début des années 1970, la France est composée à plus de 98% de gens de race blanche et de culture européenne.

    Saint-Denis (film vidéo du centre-ville, plus de 90 000 habitants) n’est qu’un exemple parmi les innombrables communes de la banlieue parisienne où la population française de souche a été totalement remplacée par une population d’origine extra-européenne (berbères, arabes, africains sub-sahariens, asiatiques, indiens, etc...) en moins de 30 ans. Dans les rues de la ville, on n’entend presque plus personne parler français.
    Ceci impliquant un bouleversement du paysage culturel, cultuel et ethnique.
    Les prénoms donnés ne sont plus Christophe, Matthieu, Sylvaine et Estelle, mais Rachid, Mohamed, Youssouf, Fatoumata et Kakambwa.
    Les nouveaux arrivants n’ont plus comme héritage Aristote, le Christ, Jeanne D’Arc, Descartes, Pascal ou Chateaubriand, mais le Coran, le Ramadan, le Zouk, le Wolof et l’arabe. (une trentaine de boucheries islamiques pour 90 000 habitants, pas une seule boucherie traditionnelle !!!), 7 ou 8 écoles coraniques enseignant l’Islam radical aux jeunes musulmans, et la grande mosquée financée par l’Arabie Saoudite flanquée de son minaret (islam radical wahhabite), inaugurée par le bon maire communiste.

    Paris dans les années 1920.

    Histoire de la cité des 4000 à la Courneuve, ravagée par l’immigration africaine.


  • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 10 février 2022 22:14

    Je comprends plus...il y a encore quarante ans l’extrême gauche me traitait de consanguin ...dur a suivre...


  • josy&jacq josy&jacq 10 février 2022 23:31

    « les surfaces fertiles régressent à cause du changement climatique », « dans des régions déjà soumises à un fort stress hydrique. En Afrique, entre 75 et 250 millions de personnes seront confrontées en 2020 à des pénuries croissantes liées au changement climatique. La pénurie que connaîtront certaines régions arides et semi-arides aura un impact décisif sur les migrations. On estime de 24 à 700 millions de personnes qui pourraient être forcées de migrer pour des raisons uniquement liées à l’eau ».

    Cet auteur est abonné aux contre-vérités. A son excuse, jamais il n’a appris les bases de la physique des gaz, de la physique de l’atmosphère, de l’océanographie, et il ne soupçonne même pas que ça existe. Voilà pourquoi il débite conneries sur conneries, oh, mais toutes politically and terroristically correct...


  • zygzornifle zygzornifle 11 février 2022 08:42

    Qu’il est dur d’être un vrai Français a notre époque ....


  • zygzornifle zygzornifle 11 février 2022 08:42
    Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays ; c’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer.
    Edgard Quinet

  • Albert123 11 février 2022 10:06

    les boomers collabos néo mathusiens qui suintent le gauchisme par tous les pores de leur peau sont une véritable plaie pour l’Humanité.

    ils sont d’ailleurs tous affairés à la faire disparaitre.


  • wagos wagos 11 février 2022 10:10

    A un certain âge, c’est navrant de débiter de telles conneries tout juste du niveau d’un gamin de 15 ans qui veut refaire un monde de gentils contre les méchants...

    A 16 heures au goûter, il y aura du riz au lait mon petit Daniel !


  • saint louis 11 février 2022 10:18

    Aujourd’hui sexagénaire, je n’aurais jamais imaginé entendre un jour ce de de propos aussi débile.

    Lors du certificat d’étude début 70 nous devions chanter soit « la marseillaise » soit " le chant du partisan

    Et maintenant certains crachent sur notre fondement et sur nos racines.

    Certainement le même genre qui dénonçaient les résistants en 43 à la gestapo.


  • eddofr eddofr 11 février 2022 12:57

    Nier l’identité nationale c’est comme vouloir nier l’identité d’un individu.

    Ce n’est pas parce que quelqu’un décide que je suis « non genré », « iel », que je ne reste pas moi, à savoir un homme, caucasien, hétérosexuel, vivant de son travail, Français, chrétien, militaire, Italien, Anarchiste, provincial, une peu Breton un peu Auvergnat, ... Parce que c’est mon identité, c’est comme ça que je me reconnais.

    L’identité nationale, c’est un consensus, une somme de particularités, de valeurs, d’héritages culturels sur lesquels une population s’accorde et dans lesquels elle se reconnait.

    Ce n’est ni juridique, ni statique, ni fermé. Mais ça évolue lentement.

    Les immigrants apportent leurs propres héritages avec eux, certains ayant vocation à s’amalgamer au socle national et d’autre moins.

    Le problème vient d’immigrants trop nombreux (ou plus exactement trop nombreux d’une même origine ethnique, culturelle ET sociale) ou trop « séparatistes » qui bousculent le socle de valeurs dans une tentative vouée à l’échec de le faire « évoluer de force ».

    Plus les cultures sont éloignées, plus le temps est long pour qu’elles fassent Nation.

    En 2 générations à peine, la France, métropolitaine en particulier, est passée de l’absence presque totale de la population maghrébine à une minorité qui n’est pas loin de ne plus en être une.

    La culture de cette minorité devient donc « trop dense » pour se diluer et s’amalgamer.

    Par ailleurs, la culture anglosaxonne, via les médias et l’ultraconsumérisme, s’acharne à détruire, saper et détricoter ce qui fait l’identité Française, rendant celle-ci ultra sensible à « l’invasion ».

    Je dirais que tout ça engorge le système d’intégration culturelle. Et qu’il faudrait ralentir le flux, le temps qu’il absorbe le trop plein.


  • mmbbb 11 février 2022 15:31

    Si nous persistons ainsi c est à dire être inféodé à l europe et notamment à son idéologies délétères en considérant qu il n y a plus de peuple de nation , la culture européenne sera balayée dans deux générations .

    la culture nationale francaise a ete forgée par notre histoire et évidemment la gauche la renie , la laicité est l acceptation désormais de l altérite 

    On en percoit les effets , il faut être sacrément cons pour ne pas percevoir ce changement notamment dans l enseignement ou les profs recoltent les premiers les fruits de cette transformations exemple enseignement de l histoire et des sciences naturelles ..

    Quant a l islam , il faut aussi qu un guaucho d aujourdh ui pour ne pas vouloir discerner l affirmation de cette religion 


  • quijote 11 février 2022 21:33

    @l’auteur

    Tu aimes « la diversité, » hein ? L’idée qu’on pourrait arrêter l’immigration t’est insupportable, pas vrai ? Eh bah j’ai la solution pour toi ! Tu vas voir, c’est facile. Deviens donc ce que tu aimes ! Pars en Afrique ! Tu seras entouré d’Africains ( chacun son truc... je comprends pas mais je respecte ) et tu seras toi-même ce que tu aimes tellement : TU seras la diversité. Et quoi de mieux que d’être ce que l’on aime ?

    Maintenant je t’explique pourquoi c’est clairement la meilleure solution. Le peuple français, dans sa majorité, il en veut plus d’immigration. Il veut plus d’enrichissement. Pourquoi ? Trop de « faits divers »... D’autre part, une minorité de ce même peuple français, dont toi, n’en a jamais assez, d’immigration. Il vous en faut toujours plus. Je n’entrerai pas en détail sur ce que ça signifie d’un point de vue psychanalytique ( je préfère te laisser tes jolies illusions sur ta propre personne car je suis d’un naturel bienveillant ), mais il est simple de comprendre que si, vous tous, vous partez en Afrique, eh bah nous on pourra arrêter ou ralentir l’immigration sans que vous en souffriez : vous serez heureux, là-bas, entourés d’Africains ! Et alors, enfin, vous nous ferez plus chier ! Tout le monde sera content.

    Tu vois, c’est pas compliqué. Tu pars quand ? Veux-tu qu’on t’aide à porter tes valises ?


  • Daniel MARTIN Daniel MARTIN 12 février 2022 08:48

    J’ai rédigé ce texte volontairement provocateur, même si ce n’est pas très rémunérateur, par opposition aux « éructations » de partisans de certain(e)s présidentiables qui n’ont que cette référence pour leur« programme »...


  • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 12 février 2022 10:10

    « puisque sur le plan scientifique il n’y a qu’une seule race humaine »

     

    Si sur le plan scientifique il n’y a qu’une seule race humaine, alors les Français de France sont plus forts que les scientifiques puisqu’ils arrivent à distinguer 3 grandes races : Les Blancs en Occident, Les Noirs en Afrique, les Jaunes en Asie. Comme quoi l’observation, ça a du bon.


    • eddofr eddofr 15 février 2022 13:44

      @Daniel PIGNARD

      Et pourquoi pas les grands et les petits ou les yeux ronds, en amande et bridés, ou les petites oreilles et les grosses oreilles ?
      Pourquoi focaliser sur la couleur ?

      L’observation à ses limites, dont celles des critères distinctifs qu’on choisit d’observer.


Réagir