mercredi 27 mai 2015 - par Philippe VERGNES

L’instrument majeur du pervers narcissique : la parole

« L’apanage le plus redoutable de la pensée perverse[1] est le décervelage, »[2] nous dit Racamier. Mais si le décervelage est l’attribut princeps de la pensée perverse à l’œuvre dans les relations d’emprise, ou toutes entreprises totalitaires, par quels moyens « extraordinaires » les pervers narcissiques réalisent-ils l’exploit d’assujettir leur entourage à la satisfaction de leur moindre désir ?

C’est à cette question que tente de répondre ce billet qui porte sur un des aspects les plus négligés de cette problématique dont la connaissance pourrait aider certains à mieux s’y retrouver, car « le terrain de prédilection, l’instrument majeur de la perversion narcissique, il est temps de le dire, c’est la parole »[3].

Ainsi, le secret de la prétendue force que l’on octroie inconsidérément au pervers réside dans l’usage dévoyé des mots et du raisonnement dont il use et que trahit un certain type de parole. Cette parole est tout à la fois séduisante et fascinante, voire envoûtante. Sa capacité de persuasion est remarquable, mais elle chante comme un petit air de faux que l’on a du mal à symboliser. Et pour cause... elle possède l’étrange don de « méduser » ses auditeurs ce qui, du point de vue de la psychotraumatologie, provoque un état dissociatif de la personnalité avec tous les effets délétères que cela implique[4] (identification à l’agresseur et syndrome de Stockholm).

Dès lors, si le discours pervers nous donnait des indices qui permettent de soupçonner sa présence – rappelons ici que la perversion narcissique est une prédation morale – il serait alors plus facile d’y remédier.

En effet, comment reconnaître et interpréter correctement la dimension intersubjective – qui est une communication complexe s’effectuant à différents niveaux : verbal et non-verbal – de deux ou plusieurs protagonistes d’une relation d’emprise narcissique ?

Répondre à cette question revêt un enjeu crucial qui dépasse le simple cadre bourreau/victime que l’on attribue aux seules relations du pervers narcissique avec sa ou ses proies, car si nous pouvions facilement identifier ce qui relève de la perversion narcissique, il serait alors beaucoup plus aisé de combattre ce fléau, d’en mesurer l’importance et de choisir entre abolir ce type de comportements répréhensibles visant la destruction ou l’anéantissement d’autrui… ou bien d’y souscrire comme le font certains. Ce choix serait alors conscient et se ferait en toute connaissance de cause tant pour les agresseurs que pour leurs victimes.

Outre la connaissance des définitions de cette pathologie de l’agir de parole[5] concernant l’éviction de deuils ou de conflits internes tels que déjà abordé lors d’un précédent article[6], il convient de savoir s’il existe d’autres moyens plus simples que ceux dévolus aux praticiens afin de déceler l’expression d’une perversion narcissique (dans un premier temps, la distinction entre les divers plans ou échelons de la perversion narcissique – fréquence, durée, intensité – qui détermine s’il s’agit d’un mouvement, d’une formation ou d’une organisation perverse de la personnalité, n’est pas prioritaire, car il s’agit avant tout de se libérer de ce type de lien dans lequel nous plonge une relation d’emprise).

Il se trouve qu’il existe quelques travaux de grande qualité qui peuvent nous aider à ne pas mélanger le bourreau – l’initiateur de la relation d’emprise – avec sa proie – la véritable victime. Ses travaux portent avant tout sur l’utilisation d’une logique et d’un langage idiosyncrasique pervers destinés non pas à communiquer et à entrer en relation avec autrui, mais à agir – à « faire-agir », « transagir » ou « extragir » aurait dit Racamier – sur le récepteur du discours en suscitant chez lui divers sentiments négatifs qui vont le pousser à la faute. Faute qui lui sera ensuite triomphalement reprochée par une habile inversion des places et des rôles induisant un retournement de situation : le bourreau se faisant alors passer pour la victime de ses propres exactions (c’est sur ce type de retournement qu’est basé le principe de la jouissance perverse narcissique). C’est là, selon le Dr Gérard Lopez, la signature du vampire[7]. (Ce mécanisme d’inversion a également été parfaitement décrit par les Drs Maurice Hurni et Giovanna Stoll[8] et est de plus en plus et de mieux en mieux reconnu dans les diverses disciplines des sciences humaines qui s’intéressent à cette problématique.)

Pour le pervers, il ne s’agit pas tant de communiquer – au sens de « partager quelque chose avec quelqu’un » ou « être ou entrer en relation plus ou moins directe avec quelqu’un » – que de dominer et de contrôler cet autre différent de lui qu’il ne peut tolérer. Ainsi, le pervers utilise le langage non pas pour établir un lien avec autrui, ce qui serait pour lui source d’angoisse, mais pour conforter le pouvoir qu’il s’octroie sur son entourage. Ce faisant, il soumet ses interlocuteurs à une « double contrainte » – ou « double nœud » selon la traduction que fait Racamier de la découverte des palo-altistes – qui consiste à répondre au désir de communiquer de quelqu’un par des messages qui privent son interlocuteur d’une quelconque possibilité d’exprimer ses pensées ou ses idées. Pour parvenir à ce résultat, il utilise diverses techniques de disqualification basées sur le mode paradoxal confusiogène d’une communication/anticommunication qui pourrait ce formuler ainsi : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez, ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison. »

Le discours pervers induit en effet un état de sidération qui possède la faculté d’abolir notre raison et facilite toutes les manipulations, car l’individu conditionné aux techniques rhétoriques que nous allons aborder dans ce billet se « dissocie » et « scinde » (clive) son psychisme en deux ou plusieurs parties. Il en résulte à la longue une dissociation traumatique, semblable à celle que connaissent les personnes atteintes d’un état de stress post-traumatique[9], que le discours pervers alimente et entretient.

La connaissance des caractéristiques de cette communication perverse apte à piéger tout un chacun et à induire un ESPT chez certains est donc d’une importance vitale à connaître pour discriminer les agressions perverses des simples conflits interpersonnels avec lesquels elles sont majoritairement confondues.

Dans deux précédents articles portant sur la communication paradoxale[10] (déviante ou perverse) introduisant le sujet de l’emprise[11], nous avons déjà abordé certaines caractéristiques du discours paradoxal, mais comme l’a le premier souligné Didier Anzieu : « L’étude de l’injonction paradoxale n’épuise pas la diversité des situations paradoxales. Un autre type en est la disqualification. Il s’agit non plus d’un ordre donné à quelqu’un mais d’un jugement porté sur lui. Dans le premier cas, le paradoxe réside dans le fait que l’ordre impose au sujet deux contraintes antagonistes. Dans le second cas, le paradoxe tient en ce que le jugement communiqué au sujet sur lui est une dénégation du vécu même du sujet, de la perception que celui-ci a de ses sensations, de ses pensées ou de ses désirs. »[12]

Autrement dit, le jugement que l’on porte sur autrui est une négation de sa propre existence ; c’est une attaque portée à l’identité de cet autre différent de soi destinée à annihiler, anéantir ou détruire son existence même ; une tentative de meurtre psychique ou de meurtre d’âme.

Nous sommes là, au cœur des problématiques narcissiques perverses pour qui les frontières entre le monde interne et le monde externe de la psyché sont absentes ou floues. Comme dans le mythe de Narcisse, l’individu atteint de ce trouble ne reconnaît pas sa propre image dans le reflet de la source et finit par la perdre (il projette)… et y perdre les autres. L’altérité est niée et laisse place à ce que Radu Clit a dénommé la position totalitaire.[13]

Quoi qu’il en soit, en dehors de la systémique (G. Bateson, P. Watzlawick, etc.), rares sont les recherches portant sur les paradoxes cliniques étudiés comme procédés typiquement schizo (-phréniques ou -phrénogènes), mais bien plus rares encore ont été ceux qui ont approfondi la recherche sur les paradoxes pragmatiques « serrés », les plus pathogènes, et leur « unité de base » :

 

La disqualification

« Avant que d’intégrer le paradoxe dans la perspective plus large d’un modèle de fonctionnement psychique, il faut le ramener à ce qu’il est fondamentalement pour le moi : une disqualification – entendons, par là, le contraire de toute reconnaissance narcissique de l’activité propre du moi.

Pour prendre un exemple clinique très simple : c’est une disqualification qui est opérée à l’encontre de l’enfant qui, de retour de l’école, annonce qu’elle a faim, et à qui sa mère répond : « Mais non, tu n’as pas faim. » (Notons bien que cette mère ne dit pas à l’enfant qu’il ne faut pas manger ou que ça n’en est pas l’heure ; bien au contraire, l’intervention porte sur le propre vécu de l’enfant, et c’est en cela qu’elle est disqualifiante. Même chose s’observe dans l’exemple, relaté à et par Anzieu, de l’enfant que les parents plongeaient dans un bain brûlant, lui affirmant ensuite quand, écarlate et haletante, elle se plaignait de brûler, que cette eau-là était parfaite mais qu’elle, enfant, jouait la comédie.)

Nous voyons à l’évidence que l’enfant dont la perception est disqualifiée est placé dans l’alternative de croire au témoignage de ses sens, ou de croire son objet ; il doit choisir entre la confiance de son moi et l’amour de l’objet ; il est écartelé entre son moi et son objet. Si la disqualification est fréquente, voire constante, le résultat sera que des activités naturellement non conflictuelles du moi vont devenir conflictuelles. Il deviendra en soi conflictuel de percevoir, de sentir et, dans la même foulée, de penser.

Si la disqualification directe est simple, c’est qu’elle s’attaque à la sensation, au perçu. Dès qu’elle s’attaque à des aspects plus complexes de l’activité propre du moi – à de ces aspects que l’on dit neutres parce qu’ils s’exercent d’ordinaire sans conflit notable – la disqualification prend, et ne peut que prendre, la forme du paradoxe. Et le paradoxe va plus loin : il disqualifie non seulement la pensée, et le processus secondaire, mais encore les affects ; il excède ainsi les ressources du travail psychique du moi. Schreber n’aurait-il pas dit que c’est un assassinat d’âme ? »[14]

C’est ainsi que Jean-Pierre Caillot (2003) qui répond au souhait de René Roussillon (1979) plaidant pour une épistémologie des paradoxes précise que « la disqualification par le sujet pervers narcissique des sensations, des émotions ou des pensées de l’objet crée dans l’objet des confusions. »[15]

Et René Roussillon de préciser : « La disqualification est une anti-reconnaissance, elle surgit de la non-prise en compte du désir de communiquer de l’un des deux locuteurs par l’autre. La disqualification signifie au sujet disqualifié que, concernant quelque chose qui le touche de près, il n’a rien à en dire, il n’a pas à en communiquer quoi que ce soit, mieux, il n’a pas à en penser quoi que ce soit. Globalement, elle lui signifie qu’il n’est rien. »[16]

Les méthodes de disqualifications sont innombrables et plus ou moins complexes et constituent donc un indicateur important de la présence d’une perversion narcissique. Néanmoins, les disqualifications ne visent pas toutes le même but et n’émanent pas forcément des mêmes intentions destructrices.

Il nous est tous arrivé un jour ou l’autre de disqualifier quelqu’un en certaines circonstances, ce qui ne veut pas dire pour autant que nous soyons tous des pervers narcissiques « accomplis » selon l’acception que fait Racamier de cette terminologie. Cela fait simplement écho au fait qu’« un brin de perversion narcissique ne nuit à personne et même est-il indispensable à quiconque, en vue de sa survie sociale… »[17]

Ainsi, si quelqu’un nous confronte à une situation paradoxale disqualifiante, à moins d’être totalement sous emprise, il n’est rien de plus naturel que de répondre par une disqualification subséquente qui lui signifie que nous n’avons pas à accepter d’être le réceptacle de ses excrets. C’est une question de respect et de dignité, gage de bonne santé (cf. les recherches d’Henri Laborit sur l’agressivité et sa cage d’inhibition).

Toutefois, à répondre à ce type de manœuvres perverses il est nécessaire de ne pas perdre de vue, comme l’avait très bien analysé Didier Anzieu, que « les paradoxes logiques sont des figures de la pulsion de mort »[18] et que « le raisonnement peut servir d’arme au sujet humain pour établir son pouvoir sur autrui ».[19] Il convient donc de n’avoir recours à ce genre de procédé qu’en mode défensif, et non pas offensif (imposition d’une contrainte paradoxale), et surtout d’en comprendre les implications et les effets pour ne pas s’y laisser piéger – ce qui constituerait une victoire pour le pervers –, car « placer quelqu’un dans une situation paradoxale et lui reprocher ensuite le caractère contradictoire de son discours et de ses affects constitue une démarche inconsciente qui pervertit les processus secondaires par les processus primaires, avec le but de maintenir l’emprise sur autrui par un renforcement économique, c’est-à-dire par l’accroissement de la pulsion d’autodestruction. S’installe une sorte d’alliance thérapeutique négative entre la pulsion inconsciente de l’émetteur qui vise la mort de l’autre et la pulsion d’autodestruction du destinataire. »[20]

En d’autres termes, la disqualification peut être proactive et maligne ou bien réactive et bénigne (légitime défense). Apprendre à discriminer l’une et l’autre de ces deux formes de disqualifications permettrait de rendre une justice équitable aux cibles de pervers narcissiques, car « le chef-d’œuvre de l’injustice, c’est de paraître juste sans l’être »[21].

 

Conclusion :

« En quoi consiste la conduite narcissiquement perverse ? [interroge Paul-Claude Racamier] Elle sera toujours une prédation morale. Une attaque du moi de l’autre au profit du narcissisme du sujet. Une disqualification active (plus ou moins habile et subtile) du moi de l’autre et de son narcissisme légitime. »[22]

Puis ultérieurement, il rajoute : « La disqualification est un des moyens absolument essentiels de toute activité perverse de type narcissique. Cette disqualification déconsidère ce que l’autre ou ce que les autres ressentent, souhaitent, désirent, peuvent faire et vivent. »[23] « Elle consiste en un discrédit porté sur la valeur et la qualité intrinsèque des capacités et des accomplissements d’un individu (ou plus précisément de son moi, ou bien encore d’un groupe ou d’une famille). C’est une atteinte narcissique : l’inverse de la reconnaissance – au sens de qualification positive – des capacités manifestes ou potentielles d’autrui ou de soi-même. […] Il est bien vrai que toute disqualification est une atteinte aux droits narcissiques, et constitue à ce titre une frustration*. »[24]

En définitive, la perversion narcissique est une atteinte aux droits fondamentaux de tout individu tel qu’inscrit dans le marbre de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen. Peut-être est-ce là l’une des raisons, puisant sa source dans notre inconscient collectif, pour laquelle ce concept a été découvert et développé en France ?

En tout état de cause, c’est probablement pourquoi cette expression est bien plus que ce à quoi certains voudraient la réduire : un simple phénomène de mode.

 

Philippe Vergnes


[2] Racamier, Paul-Claude (1992), « Pensée perverse et décervelage », in Secret de famille et pensée perverse, Gruppo n°8, Revue de Psychanalyse Groupale, Paris : Apsygée, p. 137-155.

[3] Racamier, Paul-Claude (1992), Le génie des origines, Paris : Payot, 422 p. (p. 292)

[5] Pirlot, Gérard ; Pedinielli, Jean-Louis (2009), Les perversions sexuelles et narcissiques, Barcelone : Armand Colin, 127 p.

[7] Lopez, Gérard, « La relation d’emprise », sur le site de la préfecture de la Sarthe.

[8] Hurni Maurice et Stoll Giovanna (1996), La haine de l’amour – La perversion du lien, Paris : Harmattan, 386 p. (cf. « Comment reconnaître un pervers narcissique “manipula-tueurˮ »).

[12] Anzieu, Didier (1975), « Le transfert paradoxal. De la communication paradoxale à la réaction thérapeutique négative », in Nouvelle Revue de Psychanalyse, n° 12, p. 49-72.

[14] Racamier, Paul-Claude (1978), « Les paradoxes des schizophrènes », in Revue Française de Psychanalyse, tome XLII, Psychoses et États limites, Paris : PUF, p. 877-969. Le passage reproduit ici est un extrait du chapitre VIII de cette étude, p. 949-950, que l’on peut lire en intégralité en cliquant sur le lien suivant : « Schizophrénie et paradoxalité ». (C’est moi qui souligne.)

[15] Caillot, Jean-Pierre (2003), « Envie, Sacrifice et manœuvres perverses narcissiques », in Revue Française de Psychanalyse 2003/3 – La perversion narcissique, Volume 67, Paris : PUF, p. 819-838.

[16] Roussillon, René (1979), « Pour une épistémologie des paradoxes psychologiques » (inédit). (C’est moi qui souligne.)

[17] Racamier, Paul-Claude (1992), Le génie des origines, Paris : Payot, 422 p. (p. 281). Cf. « Pervers narcissique (partie 1/2) : plongée au cœur des origines d’un concept en vogue ».

[18] Anzieu, Didier (1975), « Le transfert paradoxal. De la communication paradoxale à la réaction thérapeutique négative », Nouvelle Revue de Psychanalyse, n° 12, p. 49-72.

[19] Ibid.

[20] Ibid. (C’est moi qui souligne.)

[21] Platon, La République, II, 361a.

[22] Racamier, Paul-Claude (1987), « De la perversion narcissique », in Gruppo, Revue de Psychanalyse Groupale, n°3, Paris : APSYG, p. 11-25. (Propos souligné par l’auteur.)

[23] Racamier, Paul-Claude (1995), « Décervelage et perversion dans les institutions », 2ème conférence du cycle « Perversions et Société », Lausanne le 6 avril 1995. (C’est moi qui souligne.)

[24] Racamier, Paul-Claude (1995), L’inceste et l’incestuel, Crolet : Les éditions du collège, 254 p. (p. 68). (Souligné par l’auteur.)

* Dans ses premières études portant sur les frustrations précoces (1953 et 1954, cf. « Pervers narcissique (partie 1/2) : plongée au cœur des origines d’un concept en vogue »), Racamier précisait que le terme frustration était à entendre en matière de préjudices.



392 réactions


    • PIPO 5 juin 2015 15:38

      @JL
      « je ne vois vraiment pas ce que cet article en lien et dont les auteurs semblent découvrir l’eau chaude »
      Vous avez déjà du mal avec la simple définition du mensonge et vous trouvez le moyen de critiquer un docteur en neurosciences sur une question qu’il est l’un des rare à étudier.
      Là je dis BRAVO

      « Et il pencherait plutôt en ma faveur par le fait qu’il rejoint ce que je vous disais précédemment au sujet de l’intention des criminels. »
      voyez ma réponse précédente.

      Maintenant vous avez du mal avec les définitions inconscient conscient.
      « nulle intention inconsciente de ma part »
       
      Par définition si l’intention est inconsciente, vous ne la connaissez pas.

      Vous ne m’en voudrez donc pas d’en rester à la définition du mensonge. C’est déjà assez difficile comme ça.

      j’attends toujours une réponse à la question : pouvez vous nier « la connaissance de cause » ?


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 15:47

      @PV,
       
      vous allez de nouveau vous plaindre au juges ? Je croyais que vous aviez dit à plusieurs reprises que vous ne me voulez aucun mal . Étrange façon de ne vouloir aucun mal : provoquer pour obtenir de quoi fonder une plainte.
       
      Rappelez nous donc ce qu’est un mensonge ? Un paradoxeur  ?
       
       Pfff !


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 16:05

      @PIPO,
       
       mais bien entendu qu’on peut nier la connaissance de cause. Quelle question !
       
      On peut nier tout ce qu’on veut, sauf les évidences : cela s’appellerait du déni.
       
      Personne ne peut prouver une intention chez quelqu’un qui nie cette intention. D’ailleurs, vous dites que l’intention elle peut être inconsciente. Expliquez moi ce paradoxe y aurait-il ou non mensonge ?
       
      On peut en revanche établir avec certitude que la personne avait les informations lui permettant de savoir quelle était la vérité, donc qu’elle mentait. C’est cela, la connaissance de cause. Comment faut-il vous l’expliquer ? En grec ? en latin ? En hébreu ?

       


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 18:29

      Nous avons assisté ici en direct à de nombreux cas d’école.
       
      Ainsi, quand PV fournit des références sciemment erronées pour discréditer mon post prouvant son mensonge, il ment. .
       
      Donc il manifeste une intention de tromper. Mais tromper qui ? Moi ? Non évidemment : nous savons tous les deux qu’il triche.
       
      Ses amis ? Aucun d’entre eux ne se donnera la peine de vérifier mes dires et les liens (*) : cela serait vu comme une trahison par le groupe. Nul ne peut mettre en doute la bienveillance intentionnelle de PV à l’égard de ses soutiens.
       
      Un autre exemple ? Quand charlie énonce cette ineptie (*), il est chaleureusement félicité : son intention était bienveillante à l’égard de PV.
       
      On le voit, la définition de PV transforme la recherche de la vérité en chasse aux sorcières, la vérité n’étant plus qu’une question secondaire et qui relève du consensus, c’est-à-dire, in fine, de la parole du gourou.
       
       
      Dans une secte, les interventions seront jugées à l’aune des intentions par les autres membres du groupe, le gourou se gardant pour lui le rôle de guide de la vérité : sa vérité. Une sorte de directeur, non pas de conscience, mais de croyance.
       
       Et cette longue discussion me permet d’établir la différence entre religion et secte : le lien religieux est une croyance commune ; le lien sectaire est une confiance commune.
       
      J’ai fourni ici de la matière à des dizaines d’articles pour Philippe Vergnes. Nul doute qu’il saura reprendre à ses compte et profit, comme il a toujours fait, ces réflexions. Malheureusement, il les pervertira. Mais ceci est une autre histoire, une histoire sans fin, hélas.
       
       
       
      (*) Il va de soi que je me tiens à la disposition de qui me demanderait les liens.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 18:41

      @JL. Tu es fou à lier, et c’est bien dommage. N’envisagerais-tu pas un redéploiement complet de ton activité internettine, vers autre chose de plus constructif  ?


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 18:50

      @JC_Lavau
       
      ’’ Il ne faut pas discuter avec JL. La vie est bien trop brève.’’ (JC_Lavau)
       
       smiley
       
       Ps : et toi mon bonhomme, qu’est-ce que tu fais ici ? Tu vois, je croyais que tes articles étaient savants. Je n’ai pas eu besoin de m’en occuper : tu les as décrédibilisé toi même.


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 09:31

      @JC_Lavau
       
      Je suis soupe au lait, mais je crois que vous l’êtes aussi. Je vous fais mes excuses pour le post ci-dessus sur le fait que vous auriez décrédibilisé vous-mêmes vos propres articles. Je dois dire cependant pour ma défense que, si je suis tolérant aux écarts de langage quand la guerre n’est pas déclaré, je ne prends jamais de gants avec les gens qui font ami ami avec les ennemis de mes ennemis. Et personnellement, j’évite toujours soigneusement d’interférer dans un conflit qui n’est pas le mien.
       
      Je suis allé lire quelques uns de vos articles, notamment votre lettre à Michel Rocard. Si je suis d’accord sur le fond, en revanche, j’y ai relevé ceci : ’’Vous êtes parfaitement nul et naïf en sciences, incapable de recouper les « infos » de pure propagande qui vous sont instillées voire martelées par ceux en qui vous avez confiance. Vous êtes donc bien leur jouet. J’espère ici vous déniaiser, mais l’entreprise semble dépasser les forces humaines.’’
       
      Michel Rocard est un homme politique et n’a aucune compétence en sciences. C’est un fait avéré que les politiques font de très mauvais chercheurs, et les chercheurs de très mauvais politiques.
       
      Philippe Vergnes a le profil type d’un homme politique, et pas celui d’un chercheur. Je m’étonne qu’un homme comme vous se soit laissé abuser par ses discours verbeux, amphigouriques et versatiles de fausse science. Bien sûr qu’il dit des choses justes, mais à l’instar des hommes politiques qui utilisent des faits vrais pour en faire des mensonges, il utilise des analyses pertinentes empruntées aux spécialistes du sujet pour en faire des articles qui n’ont plus rien de scientifique : on n’y trouve aucune synthèse ni aucun souci de la précision, bien au contraire : ses auto-exégèses interminables, à tout propos et digressifs à l’excès y pourvoiront, noyant encore s’il le malheureux lecteur vaincu par autant de savoir et qui veut pourtant y croire.
       
      C’est pourquoi je vous pose la question : qu’êtes vous venu faire sur ce fil ? Est-ce que vous aviez un vieux compte à régler avec moi ?

       
       


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 09:48

      @PV
       
       
      j’ai dit à PIPO (5 juin 15:04) que mon objectif conscient et assumé ici c’est d’établir que vos articles sont des impostures.
       
      phrase à laquelle vous avez répondu avec votre habitude ce déformer le sens des mots : ’’Donc, c’est en toute connaissance de cause que vous me diffamez...’’
       
      S’il fallait tenir le compte de nos diffamations réciproques, à charge pour le compteur de déterminer le bon grain de l’ivraie, vous me battez à plates coutures dans le diffamatoire
       
      En effet, je vous ai à plusieurs reprise sommé de fournir la preuve de vos mensonges diffamatoire à mon encontre : je n’ai jamais eu aucun retour. En revanche, de mon coté, je n’ai jamais menti sur les faits que je vous reproche, j’ai toujours étayé mes accusations.
       
      Le seul qui a diffamé l’autre ici, c’est vous. Et je peux le prouver.


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 10:08

      Pour en finir avec cette histoire d’intention vs connaissance de cause :
       
      Dans toutes les grandes affaires d’empoisonnement industriels que nous avons connu, les accusés ont régulièrement plaidé qu’ils n’avaient pas l’intention de donner la mort.
       
      Je dis que si la justice prenait en compte la notion de connaissance de cause, de telles erreurs judiciaires seraient impossibles : il est évident que les dirigeants de Seveso, pour ne citer que cet exemple, savaient que le déversement de mercure tuerait des individus, puisque ce sont eux qui possèdent l’expertise de ces choses.
       
      Ils n’auraient pas pu plaider la non connaissance de cause comme ils plaidé la non intention de donner la mort.
       
       Je trouve paradoxal que quelqu’un comme PV qui dénonce régulièrement la perversion du système capitaliste et de nos dirigeants, plaide pour le maintien de principes surranés qui autorisent cette perversion.


    • PIPO 6 juin 2015 14:48

      @Philippe VERGNES
      Bonjour, un livre de Lionel Naccache, que vous avez peut-être déjà trouvé :
      https://books.google.fr/books?id=nmackLcc6F4C&printsec=frontcover&dq=lionel+naccache+le+nouvel+inconscient&hl=fr&sa=X&ei=8elyVbDlObOQ7AbBrYLwBA&ved=0CDQQ6AEwAA

      Pour moi le lien ne marche pas en direct, j’ai dû copier coller dans la barre d’adresse.
      Bon Weekend.


    • PIPO 7 juin 2015 11:38

      @JL
      bonjour JL,
      « Dans toutes les grandes affaires d’empoisonnement industriels que nous avons connu, les accusés ont régulièrement plaidé qu’ils n’avaient pas l’intention de donner la mort. »

      Ils plaident l’accident et donc pas de mensonge.
      vous voyez votre « connaissance des causes » n’est pas suffisante pour prouver le mensonge.
      Elle l’est pour prouver leur responsabilité uniquement.
      « puisque ce sont eux qui possèdent l’expertise de ces choses. »

      "il est évident que les dirigeants de Seveso, pour ne citer que cet exemple, savaient que le déversement de mercure tuerait des individus, puisque ce sont eux qui possèdent l’expertise de ces choses. « 

      Il est évident, l’ont ils reconnu ? et pouvez vous le prouver ?
      Le directeur à été condamné pour homicides involontaires par négligence ou imprudence.
      Pas d’intention de donner la mort, pas de crime, pas de mensonge.

       »Je dis que si la justice prenait en compte la notion de connaissance de cause"
      Si je suis bien votre raisonnement, vous juge, vous les auriez condamné pour crime, sans preuve de leur intention de donner la mort.
      Vous êtes extrêmement dangereux, JL.
       
      MERCI JL, pour votre contre démonstration.


    • Philippe VERGNES 7 juin 2015 12:11

      @ PIPO, bonjour,


      Tout d’abord merci pour le lien vers l’ouvrage de Lionel Naccache que je ne connaissez pas. Les quelques pages que j’ai pu découvrir sur Google m’ont donné envie de me le procurer, car la question de l’intentionnalité est extrêmement importante et malheureusement peu ou pas du tout étudiée en psychologie ou en psychiatrie.

      Françoise Sironi en parle dans ses articles et ses ouvrages, elle s’est détournée de la psychiatrie traditionnelle parce que la question de l’intentionnalité y était absente. Or, pour elle, « on ne peut soigner une personne délibérément traumatisée, si on ne s’intéresse pas au système qui produit le traumatisme, si on ne s’intéresse pas aux agents qui le mettent en œuvre, si on ne s’intéresse pas à la formation de ces agents. Pourquoi ? Précisément parce que ce n’est pas de folie privée dont souffrent les victimes de traumatismes intentionnels ».

      Et il y a déjà bien longtemps que j’ai compris cela. C’est même pour moi l’une des principales causes d’échec thérapeutique par la méthode psychanalytique. C’est également l’absence de recherche d’intentionnalité dans la psychiatrie traditionnelle qui a orienté Françoise Sironi vers l’ethnopsychiatrie de G. Deveureux et T. Nathan.

      Mais on est là également dans une rupture épistémologique avec certains courants psychanalytiques. Ce que j’appelle la psychanalyse orthodoxe. D’où toute la pertinence des travaux de Racamier et de la psychanalyse groupale et familiale qui eux, réintègrent cette notion d’intentionnalité en dénonçant le pervers et ses comportements destructeurs pour autrui. Pourtant cette notion d’intentionnalité existait déjà dans le concept de pulsion. Cela a été éludé (refoulé ou dénié ?) par une grande majorité de psychanalyste. Pourquoi ? Il serait peut-être intéressant de le comprendre.

      Chapeau pour votre démonstration à JL. Je pensais la lui faire également tellement que ce qu’il argumente est totalement abscons dans une démocratie, mais c’est peine perdu avec lui, comme vous avez pu déjà vous en rendre compte. De plus, c’est bien entendu avec un tel mode de pensée qu’il voit des inquisiteurs chez autrui et en fait la chasse.

      Cela prouve bien ce que j’explique dans tous mes articles sur la dangerosité de telles personnalités lorsqu’elles atteignent des postes de pouvoir. On est pas sorti de l’auberge ! smiley

      Bon dimanche.

    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 13:10

      @PIPO, bonjour,
       
       d’abord une précision : la multinationale n’est pas Seveso, mais l’Union-Carbyde
       J’aurais dû vérifier : à Bhopal, il s’agissait d’un accident.
       
      De fait je pensais à Minamata  : La compagnie Chisso niera toute accusation et cachera les résultats des tests faits dans la baie de Minamata Tout le monde sait que le mercure ingéré tue.
       
      Et j’aurais, en recherchant d’autres faits dont j’ai eu connaissance, bien des exemples à vous fournir. Par exemple, comment jugeriez vous le Général Nivelle surnommé le boucher du chemin des dames, qui a agi en toute connaissance de cause, mais sans intention de tuer ses hommes ?
       
      Vous pouvez demeurer dans vos sophismes : ceci ne vous autorise pas à m’accuser de dangerosité. Je dirais ici, que votre intention précède votre argumentaire, vous n’êtes manifestement pas dans la recherche de vérité.
       
       
       Puisque nous y sommes, encore un mot, au sujet de l’intention et du mensonge
       
       Il y a des gens qui, même en connaissance de cause n’ont pas le sentiment de tromper en ne disant pas la vérité : et c’est là toute la question, celle du Surmoi. Les manipulateurs n’ont jamais l’intention de tromper puisque tromper est dans leur nature. Le scorpion de la métaphore n’a pas eu l’intention de tromper la grenouille, il l’a piquée sur une impulsion, conformément à sa nature : il l’a fait en toute connaissance de cause.
       
      La définition à laquelle vous vous accrochez ne profite qu’aux psychopathes, puisque contrairement aux gens normaux dont l’intention est toujours évaluée à l’aune de leur connaissance de causes et réciproquement, chez les psychopathes l’intention ne se filtre pas au travers du surmoi et des connaissances de causes : je parle ici des personnes amorales, des multinationales et des personnes immorales au surmoi pervers.
       
      La définition du dictionnaire, a fortiori celle de PV qui en est une nuance aggravée, ne concerne que les gens normaux. La mienne ne nuit pas aux gens normaux pour qui elle n’est guère plus dangereuse. En revanche, elle permet de traquer (harceler dirait PV) les personnes amorales et les personnes immorales, ce que ne font pas les vôtres.
       

       
       
       


    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 13:32

      Le comble ici, c’est que je suis accusé de psychopathie par ceux qui soutiennent une définition favorable aux psychopathes, et qui combattent becs et ongles une définition qui permet de confondre les psychopathes et qui est sans danger pour les gens normaux, comme je viens de le démontrer ci-dessus.


    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 13:46

      La définition de PV qui nie le rôle de la connaissance de cause, aboutit au paradoxe suivant :

      Je ne mens pas si je dis sans intention de tromper que A est vrai alors que je sais que A est faux : je me trompe.
       
       !!!
       
       Mais si on lui fait remarquer où il se trompe on se fait ipso facto traiter de mal-intentionné, de menteur, puis de harceleur.
       
       Les mots ont un sens : on ne harcèle pas un menteur : on le traque.
       

       


    • Philippe VERGNES 7 juin 2015 14:36

      @ PIPO,


      Je ne crois pas qu’il faille encore plus de preuves pour démontrer, comme le disait J_C Lavau ci-dessus s’adressant à JL (J_C Lavau 6 juin 14:35), qu’ : « Invariablement il y a un divorce total entre ce qui est écrit, et ce que tu crois y lire... »

      Cependant, je me dois de relever ici le défaut de l’argumentation de JL qui croit voir des paradoxes là où il n’en existe pas (il les invente : délire d’interprétation) et n’en voit pas là où il y en a.


      Ainsi, sa phrase : « Je ne mens pas si je dis sans intention de tromper que A est vrai alors que je sais que A est faux : je me trompe » est une nouvelle fois d’une stupidité sans borne, tant et si bien que l’on se demande comment on peut s’y laisser piéger. Mais le pire, c’est que ça fonctionne très bien sur certains (voire le plus grand nombre).

      En effet, si je sais que A est faux avant l’acte de parole qui énonce A, et que je l’énonce malgré ce ; alors c’est qu’inévitablement et dans le lien qui unit la connaissance d’un fait (savoir, pensée) et son énonciation (acte de parole), j’ai eu l’intention de tromper mon interlocuteur. Ce que je dis est donc obligatoirement un mensonge.

      Pour JL, cette impossibilité dû à la relation de cause à effet entre la pensée et la parole existe bel et bien. C’est la suppression de ce lien et l’uniformisation des liens de causalité entre la pensée, la parole et les actes qui marque la pathologie des agirs de parole chez un pervers narcissique.

      Il y a dans la « folie raisonnante » de JL une capacité de stérilisation du langage véritablement phénoménale. Il abolit le sens du discours par des circonvolutions sémantiques dont lui seul a le secret.

      A ce titre, j’insère ici un passage du texte dont nous avions discuté précédemment et sur lequel j’avais quelques points de désaccords, mais j’étais par contre totalement en phase avec le propos d’Alain Ksensée concernant la parole du pervers que je n’ai pas inséré dans mon article pour ne pas l’allonger de plus : « La formation réactionnelle la plus efficace des pulsions sadiques orales est la dimension persécutive présente de manière latente au cœur du discours du pervers narcissique. C’est la raison pour laquelle, le domaine électif de certains pervers narcissiques est celui de l’idéologie, du politique et des luttes institutionnelles ; son arme est le « slogan » déguisé en pensée véritable. Il s’agit pour ces « idéologues » de construire un nouveau monde uniquement en parole (les lendemains qui chantent) car l’acte nécessiterait l’emprunt à l’énergétique anale. Cette caractéristique permet au pervers narcissique de détruire tout ce qui évoque la transmission « humaine », la vérité de l’interprétation historique de la « vie des hommes ». Il efface de manière implacable comme tous les pervers, la différence des sexes et des générations. La description de Racamier est sur cepoint particulièrement démonstrative. Le pervers narcissique utilise les « mots » de façon surprenante. Ce ne sont pas les mots de l’hystérie qui s’accrochent aux mots pour les opposer aux « choses », mais des mots qui jouent avec le sens de façon à les vider de leur sens. Ce sont les mots qui constituent le phallus magique autonome du pervers narcissique ; le déni du sens, selon Racamier. Les mots sont des « emblèmes » destinés à détruire toutes les lois qui gouvernent les significations. La force de cette perversion ne réside pas dans le faux en tant que tel mais en ce qu’il détruit la vérité du sens, de la signification. »

      Et c’est sur une telle « logique » qu’il pourra ensuite partir à la « chasse », « traquer » ou « harceler » ses contradicteurs... ou bien plus grave encore, sa(son) conjoint(e) et ses propres enfants. On imagine les dégâts.

      Cela se passe de commentaire ! smiley

  • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 12:39

    Il ne faut pas discuter avec JL.
    La vie est bien trop brève.


    • Philippe VERGNES 5 juin 2015 13:40

      @ JC_Lavau,


      Je comprends d’autant mieux votre conseil que j’approuve totalement votre propos (JC_Lavau 4 juin 09:10) : « C’est pourquoi la seule mesure efficace est de le/la pincer, et de lui faire sentir le poids de la loi. » smiley
      Il n’est donc nullement question pour moi de « discuter » avec JL dans le sens « d’échanger » entre alter égo, mais bien plutôt de « tester » certaines théories qui ont pu être émises à l’étranger sur l’attitude à adopter face à de telles personnalités.

      Le conseil donné le plus courant est de fuir et c’est la solution de sagesse qu’il convient d’adopter si l’on en a la possibilité. Mais la plupart du temps la fuite est impossible surtout lorsque des enfants sont pris en otages par ces individus qui se prétendent parents. Aussi, et dans certaines circonstance, il peut être utile de savoir leur opposer une résistance adéquate.

      A ce titre, je suis de l’avis de Didier Pleux pour qui « il faut oser le conflit avec les sociopathes ordinaires ». Ce qui ne signifie pas que cela soit vrai en toute occasion et en toute circonstance (je précise également que j’interviens auprès d’associations par réunions de groupe ou conférences, aussi est-ce avant tout dans un but didactique et non pas « d’affrontement » que je « discute » avec JL : il en est bien incapable et vous avez posé le bon diagnostic en parlant de pervers paranoïaque).

    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 14:08

      @Philippe VERGNES,
       
      pour avoir écrit ceci à mon encontre ceci : ’’ la plupart du temps la fuite est impossible surtout lorsque des enfants sont pris en otages par ces individus qui se prétendent parents’’
       
      je devrais vous remercier : les personnes de mon entourage n’auront plus aucun doute quant à votre folie désormais clairement avérée pour eux.
       
       Mais puisque j’ai évoqué les associations de victimes sous l’article du jour relatif à Outreau, laissez moi vous poser une question, certes inconvenante pour la majorité des intervenants, et je m’en excuse d’avance auprès d’eux : à votre avis, où un prédateur pourrait-il trouver autant de des victimes potentielles que dans de telles associations ?
       


    • Philippe VERGNES 5 juin 2015 14:22

      @ JL,


      La réponse à votre question est très simple.

      Si les personnes de votre entourage n’auront plus aucun doute quant à ma folie désormais clairement avérée pour eux, alors c’est chez vous qu’un prédateur pourra trouver autant de victimes potentielles. D’autant si vous incluez dans cet entourage le forum d’Agoravox là où vous y sévissez depuis son ouverture avec plus de 28600 commentaires à ce jour, un record. smiley

    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 14:40

      @Philippe VERGNES,
       
      avis à toutes mes victimes, c’est mon jour de bonté : je promets à tous une généreuse récompense en échange de la preuve présentée ici des sévices que je leur aurais infligés.
       
       smiley  smiley  smiley


    • Le Gaïagénaire 5 juin 2015 15:03

      @Philippe VERGNES 5 juin 14:22 et à tous,

      Philippe Vergnes, bonjour

      Je vous suggère d’analyser le commentaire de JL 3 juin 19:01

      En ce qui me concerne, il y a là quelque chose d’extrêmement pervers.Je n’en dis pas plus.

      Mais il me semble que JL est convaincu que cette mère dit la vérité.

      Ce qui me fait conclure que JL idéalise sa mère...

    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 15:14

      @Le Gaïagénaire,
       
      qu’est-ce qui est pervers, là dedans ? Vous avez remarqué que ce sont les paroles d’une chanson de marie Laforêt : je vous suggère d’essayer de comprendre pourquoi je l’ai copiée collée là.
       
      Quelle est donc cette vérité qui n’en serait pas une, svp ?
       

       


    • charlie charlie 5 juin 2015 16:58

      @Le Gaïagénaire

      Attendez la réponse de Ph V à qui vous vous adressez, mais votre remarque a fait tilt. 

      Cela me rappelle soudain « la mère » dans Family Life, le film extraordinaire de Ken Loach. Ce personnage a toujours été l’archétype de la mère perverse (narcissique, je ne sais pas, sans doute).

      Une façon de fiche minable son enfant, de l’écraser sous couvert d’amour et du « c’est pour ton bien ». De le culpabiliser aussi, en même temps, de le détruire, l’empêcher d’être, de vivre, de se construire.


      Et dans le fond, cette chanson de M Laforest, qui est belle - au premier degré - est finalement, je le réalise, chargée de sous-entendus perverses, culpabilisants. Vous n’avez pas tort.


    • Le Gaïagénaire 5 juin 2015 17:30

      @charlie  5 juin 16:58


      Félicitation.

      Vous savez reconnaître le « fil rouge » smiley


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 17:56

      Ach !
       
      J’avais oublié que parler d’amour dans une secte c’est politiquement incorrect. Big Brother non plus, ne tolérait pas l’amour autre que celui qu’il exigeait pour lui.
       
      Je constate qu’il n’y a pas que PV qui voit des PN partout.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 18:05

      @Philippe VERGNES.
      Ce qui m’avait frappé dans sa chanson est l’élimination de tout père. « J’ai du pognon, je peux tout me permettre ! ». L’enfant est ornement à son narcissisme, instrument de sa gloire de mère omnipotente.

      Perversion au sens de pnm ? Pas prouvé. Elle a d’autres objets intéressants dans sa vie, au contraire de la mother filmée par Kenneth Loach, femme bornée, dominatrice et oisive.

      ML fait passer pour sa générosité propre ce qui n’est jamais que l’intelligence de l’espèce ; mais cela ne dépasse pas le niveau d’égocentrisme standard des autres narcisses.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 18:38

      @JC_Lavau. J’ignore comment s’est produit l’erreur d’adressage. Je répondais à Charlie.


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 18:45

      @JC_Lavau
       
       tiens, je croyais que vous aviez vu en moi, un sale macho tortionnaire ? Votre réflexion ici au sujet de la forclusion du père, évaluée à l’aune de votre question inconvenante (’’Elle en pense quoi ta femme ? ’’) c’est un peu paradoxal, non ?
       
       Ne me répondez pas. Ne me lisez surtout pas, la vie est trop brève.
       
       smiley
       
      Ps : je me demande pourquoi il dit que ML a du pognon ? Confondrait-il le personnage avec son interprète ? Et en quoi le fait d’être une mère riche permettrait-il des sévices sur ses enfants ? Quant à la forclusion du père dans cette chansonnette, il faut avoir de bon yeux pour la voir : j’avoue que cela m’avait échappé.


    • Philippe VERGNES 5 juin 2015 20:29

      @ Le Gaïagénaire, bonsoir,


      Je n’avais pas absolument pas prêté attention à cet extrait de chansonnette pensant comme JC_Lavau que ce « coq à l’âne » n’avait ni queue ni tête. Du coup, je m’en étais totalement détourné.

      Mais bon sang... bonne pioche : votre intuition (et je sais qu’elle est particulièrement perspicace dans ce domaine) ne vous a pas trompé.

      C’est étrangement l’expression nostalgique de la fusion mère/fils tel que P.-C. Racamier la décrit au travers du concept de séduction narcissique « fermée » qui débouche sur ce qu’il a nommé l’incestuel dont j’ai amplement parlé lors de mon dernier billet sur « Le mystère Freud : Freud Vs Racamier ou le mystère de la perversion narcissique ». Incestuel indispensable au diagnostic de perversion narcissique.

      Comme quoi, c’est vraiment à croire que JL est un avatar destiné à démontrer preuve à l’appui tous les concepts de Racamier que je tente de vulgariser.

      Ici, le contexte de ce partage ne s’y prêtait absolument pas, et effectivement, on est en droit de ce demander ce que vient faire cette citation en plein milieu d’une discussion sur la perversion. Au delà de l’éviction du père, c’est le fait de citer une telle chanson pour un mec qui se dit avoir plus de 70 ans qui dans le contexte conflictuel présent relève de l’absurde.

      C’est plus que troublant, d’autant que ce genre d’acte inconscient à très forte signification est fréquent chez les pervers : si l’on sait écouter, ils nous disent, de part leurs projections, la façon dont ils souhaiteraient être traité. Ce qu’il faut en comprendre, c’est le mécanisme d’inversion qui ressort toujours quoiqu’il arrive de leur propos : je t’accuse de ce dont je me rends coupable sur toi. C’est à peine croyable, mais c’est toujours vrai !

      Au niveau rhétorique, cette inversion alliée aux techniques paradoxales de disqualification et diverses mystifications ainsi que l’imposition d’un vocabulaire dont le pervers garde seul la maîtrise en refusant le caractère polysémique des mots usités signent cette pathologie de la parole de l’agir de parole dont nous avons sous quasiment tous mes articles une parfaite illustration.

      Un cas d’étude en direct en somme ! smiley

      En tout cas, merci d’avoir attiré mon attention sur ce détail que j’avais omis.

      PS :
      Pour changer un peu d’auteur et de références, Erich Fromm qui a fait une superbe analyse de la destructivité humaine, traite de cette problématique dans son ouvrage Le cœur de l’homme. Il appelle les p.n. les nécrophiles, n’ont pas au sens de la perversion sexuelle qui y est rattachée, mais au sens de ces personnalités qui aiment la mort bien plus que la vie tout en éprouvant le besoin de la mettre en scène. L’archétype du nécrophile étant Hitler. L’archétype du p.n. et du « réseautage » dont ces gens sont capables pour Racamier : Hitler.
      Pour Erich Fromm, le fantasme du retour de la fusion à la mère (incestuel) est l’un des trois principaux aspects des nécrophiles.
      Pour Racamier, la séduction narcissique « fermée » (fusion mère/fils) est l’un des trois principaux aspect des pervers narcissiques.
      Étonnant non ?! smiley

    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 20:52

      Quels délires autour d’une chansonnette destinée à dire que les échanges de services inter-familiaux ne sauraient être tarifés.
       
       Sherlock Holmes n’y aurait pas vu le dixième de ce que vous y trouvez à charge contre moi !
       
       smiley
       
       Ce que l’enfant de cette historiette a compris semble vous avoir échappé totalement, comme par effet de cécité collective. J’en conclue qu’on est bien en présence d’un noyau pervers en train de se constituer contre moi.


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 20:56

      Après avoir vu en moi un tyran domestique, voilà que vous m’imaginez à l’opposé, en protecteur de mères abusives !
       
       Vous délirez grave.


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 21:03

      @JL : « en train de se constituer contre moi ». Ah ? Et pas paranoïaque le moins du monde ?


    • JC_Lavau JC_Lavau 5 juin 2015 21:06

      @JL : « je croyais que vous », etc.
      Ce que tu crois sur autrui est généralement archi-faux, le délire total.


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 23:26


      Tiens, il manquait celui-là, celui que j’ai appelé le ’’pitre haineux’’ en référence à son usurpation d’avatar et de sa haine pour les fonctionnaires., comme en témoigne ceci qu’il a posté à plusieurs reprises : ’’Un bon fonctionnaire est un fonctionnaire mort’’.
       
       
       JC_Lavau, vous êtes pitoyable : quand je dis ’’je croyais que vous’’ c’est une figure de style pour remplacer le banal : vous avez dit que, vous avez écrit, etc. Contrairement à d’autres, je ne fais de la projection, ni une armure ni un cache misère..
       
      à PV : ’’Au fait, je croyais que vous aviez fait un article au sujet des Pervers narcissiques manipulateurs ?’’ Vrai, n’est-ce pas ?
       
       à PV : ’’Je croyais que vous aviez dit à plusieurs reprises que vous ne me voulez aucun mal ’’ Vrai, n’est-ce pas ?
       
      à JC_Lavau : ’’ je croyais que vous aviez vu en moi, un sale macho tortionnaire ? ’’
      Vrai, n’est-ce pas ?
       
      à PV : ’’je crois pouvoir dire que cette citation vous l’avez utilisé pour me stigmatiser à chaque fois que j’ai écrasé votre pied.’’ Vrai, n’est-ce pas ?

      JL à JC_Lavau : ’’je croyais que vos articles étaient savants.’’ Vrai, n’est-ce pas ?

      Rien de tout cela ne concerne ce que je croirais de quelqu’un. Vous me décevez de plus en plus Lavau .
       
      je vous croyais plus avisé. Vrai, n’est-ce pas ?


    • Francis, agnotologue JL 5 juin 2015 23:29

      Attention mon petit Lavau, vous gâchez le temps de vie qu’il vous reste en vous adressant à moi :
       
       smiley)


    • JC_Lavau JC_Lavau 6 juin 2015 14:35

      @JL.

      Invariablement il y a divorce total entre ce qui est écrit, et ce que tu crois y lire.
      Ton cas est désespéré.


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 15:10

      @JC_Lavau
       
       Ce qui est écrit où, JCL ?
       
       Vous êtes capable de faire des phrases, non ? D’exprimer votre pensée ? Vous n’êtes pas sénile ? Autiste ?
       
       Alors, svp, arrêtez de poster vos insanité ou bien expliquez vous.


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 15:48

      @JC_L,
       
       vous avez dit que j’ai menti. Vrai ou faux ?
       
      Je vous ai demandé où j’ai menti, en vain.

       Qui ne comprend pas ici ?

      Ici, vous dites que je comprends de travers : donnez moi un seul exemple de proposition que j’aurais comprise de travers ?
       
      Pour aller un peu plus loin : un jour, suite à ce que j’avais pris pour une demande d’aide de vote part, je vous avai dit que je n’aime pas les pleurnichards. Est-ce que vous faites allusion à ça ?
       
      Dans ce cas, laissez moi vous dire que venir m’attaquer ici serait particulièrement déloyal.


  • Xenozoid 5 juin 2015 16:09

    Apres tous articles confonduent, sur la perversion et narsictique, 2 tares qui ne sont pas définis, on a un combat de coqs, bravo messieurs, si c’est le tabous que vous voulez, ben vous l’avez et demain de nous faire un conter arcticle, nous expliqua que le pouvoir est aussi victime des pervers et autres narcistes,,,,,, ca devient une caricature et un soap,bonne chasse


    • charlie charlie 5 juin 2015 16:30

      @Xenozoid

      Vous écrivez toujours comme ça ou vous tapez avec des moufles ?


      Bref, j’ai rien compris. Je suis pourtant très large d’esprit sur le mauvais français que je ne reprends jamais (en général une réaction de vieux con), mais là, que couic, zé rien compris…..


      Vous pourriez répéter la question ?….. smiley


    • Xenozoid 5 juin 2015 16:33

      @charlie
      non , ils se reconaitront


    • Xenozoid 5 juin 2015 16:45

      @charlie

      Vous écrivez toujours comme ça ou vous tapez avec des moufles ?

      oui, je place ce que je peux dans un contexte,bien sure je ne suis pas stupide, et tout le programe n’est qu’une question d’égo, se qui est tabou selon le pervers , ce que le narciste par dénie reprend et ouvre en un nouveau débat,,,,, c’est mieux ?



    • charlie charlie 5 juin 2015 16:55

      @Xenozoid
      « c’est mieux ? » euuuh.... pas vraiment. Pas grave, je passe mon tour smiley


    • Xenozoid 5 juin 2015 16:57

      @charlie

      je passe mon tour

      tout a fait, moi de même


  • Le Gaïagénaire 5 juin 2015 17:33

    @charlie  5 juin 16:58


    Félicitation.

    Vous savez reconnaître le « fil rouge » 

    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 15:05

      @Le Gaïagénaire
       
      Je vous avais posé une question simple : seriez vous incapable d’y répondre ?
       
      Vos deux liens renvoient vers un même texte, édité par deux sites différents. Ce qui fait que vous avez posté 4 fois la même chose.

      Ce texte que vous me proposez émane semble-t-il du docteur Hamer, reprise par Claude Sabbah dans le cadre de son séminaire de base de Biologie Totale des Etres Vivants.

      Un psychothérapeute a été condamné en Belgique pour pratique illégale de la médecine après avoir conseillé à des patients des traitements assimilés à la biologie totale.

      ’’En juin dernier la MIDILUVES dénonçait les pratiques de ces pseudo-thérapeutes conduisant les patients à se détourner de la médecine conventionnelle.

      C’est le cas de la biologie totale pour qui toutes les maladies, y compris le cancer, ont pour origine un choc émotionnel appelé « conflit  ». Pour guérir, il suffirait donc de retrouver l’origine de ce conflit. Une pratique largement inspirée de la Médecine Nouvelle Germanique du docteur allemand Ryke Geerd Hamer, condamné en 2004 pour escroquerie et complicité d’exercice illégal de la médecine. Depuis la Norvège où il s’est réfugié, ce pseudo-scientifique continue pourtant de promouvoir ses théories dangereuses. Claude Sabbah a, lui, cessé toute activité en 2008.

      Mais ses adeptes, ainsi que ceux de Hamer, ont pris le relais sous des appellations variées. Ainsi, l’ancien infirmier Christian Flèche, installé près d’Aix en Provence, a créé l’Ecole de Psycho-bio-thérapie où il forme de nouveau pseudo-thérapeutes au «  bio-décodage » ; Salomon Sellam, médecin généraliste retiré de l’ordre, pratique et enseigne la « Psychosomatique Clinique » dans l’Héraut ; Gérard Athias, lui aussi ancien généraliste retiré de l’ordre et formé par Sabbah, « décrypte » le sens de la « mal à dit » dans son « Collège International Gérard Athias » à Hyères ; Olivier Hertel ? Sciences et Avenir.fr, 28/09/2011s.’’

       
       
      Dans le même genre de fausse science, je vous propose cet édifiant ouvrage :

      La génétique néo-libérale - Les mythes de la psychologie évolutionniste ; par Susan McKinnon

       

       J’ai lu cet ouvrage que je conseille à tous ceux et j’ai copié depuis la 4è de couv, ceci : ’’au moment où l’urgence de comprendre toutes les nuances de la complexité et de la variété de la vie sociale se fait profondément ressentir, la psychologie évolutionniste témoigne, par les mythes et les fables morales qu’elle propage, d’une approche extrêmement réductrice. Comme le démontre brillamment Susan McKinnon, ce récit réducteur détruit non seulement toutes les preuves qui témoignent de la créativité humaine et de la diversité culturelle dans le monde, mais il restreint considérablement notre champ d’investigation. ’’


    • Le Gaïagénaire 6 juin 2015 15:30

      @JL 6 juin 15:05
      « Une des constellations les plus fréquentes est bien connue et est étudiée dans le détail dans un article particulier sur le sujet, il s’agit de la paranoïa ou constellation bi-occipitale, qui concerne les foyers de neurones situés à l’arrière du cerveau et qui traitent les informations visuelles. Quand il y a un foyer atteint dans un des deux hémisphères, le représenté de la vision de ce qu’on voit est partiellement déformé. Quand il y a deux foyers atteints, un dans chaque hémisphère, la personne est paranoïaque en constellation, plus ou moins compensée ou décompensée en fonction du fait que les deux foyers (et donc les conflits de peur dans la nuque qui les concernent) sont actifs ou non. Durant les phases délirantes, la peur est doublée, c’est la folie de la persécution. »


      PS C’est ma dernière communication avec vous.

    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2015 15:42

      @Le Gaïagénaire
       
      Comme c’est beau ! On dirait une traité d’alchimie.
       
       Dites moi : est-ce que vous souffrez du syndrome que vous décrivez ?


    • Philippe VERGNES 6 juin 2015 16:21

      @ Le Gaïagénaire, bonjour,


      J’ai lu votre lien est j’ai pensé exactement comme vous en lisant le paragraphe de l’article que vous insérez ici à 15:30.

      J’ai suivi d’assez loin la polémique autour du Dr Hamer. Je pense pour ma part qu’il a eu une excellente intuition qu’il n’a pas su exploiter et explorer correctement. D’où les ennuis qu’il a pu connaître par la suite. Mais c’est quelque chose de récurent dans les sciences (humaines et autres) et ce même avant Copernic.

      Je me permets de vous transmettre le lien vers un article en deux parties d’une interview du Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte, auteur du livre « ... Et si la maladie n’était pas un hasard... », qui développe l’idée du Dr Hamer mais sur la base des découvertes de chercheurs tels que G. Groddeck, H. Selye, H. Laborit, J-.P. Changeux, etc., etc.

      C’est du lourd, du très, très lourd. Il y est question de « compensation symbolique inconsciente ». Une notion que rejoint celles des « marqueurs somatiques » d’Antonio D’Amasio et « d’inscription corporelle de l’esprit » de Francisco Varela.

      Autant d’auteurs que je cite en lien dans mes articles « creux et vides » que certains prennent pour « scientifiques » (? ??). smiley

      Bon week-end !

    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 11:02

      Philippe VERGNES a écrit ci-dessus : ’’J’ai lu votre lien est j’ai pensé exactement comme vous en lisant le paragraphe de l’article que vous insérez ici à 15:30.’’
       
      J’invite tout un chacun à chercher dans ce post une quelconque pensée émanant de Le Nonagénaire : en effet, dans ce post de 15:30 on trouve en tout et pour tout, un copié collé d’un article émanant d’un individu condamné pour activités illégales de la médecine.
       
       Bien entendu, cela ne discrédite pas pour autant le contenu de ce copié-collé. Non, ce qu’il convient de remarquer, c’est que les travaux de cet individu sont la négation même de l’œuvre entre autres, de Racamier ! Mais aussi Freud, Lacan et tous les autres, bien sûr.
       
      Et par la même occasion, des articles de PV lui-même. Sans commentaire.
       
      Un mot sur ce copié-collé de Le Gaïagénaire : une chose est de dire que toutes les maladies sont d’origine psycho-somatique ; une autre chose est de savoir guérir les maladies mentales.
       
      Et sur ce sujet, il serait intéressant de savoir ce que propose la biologie totale, excepté les tisanes et les incantations.


    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 11:09

      Pas Le Nonagénaire, mais Le Gaïagénaire.


  • charlie charlie 7 juin 2015 16:56

    Je n’aimerais pas être le voisin de JL ! avec son côté procédurier obsessionnel, cela doit être invivable de partager un mur mitoyen avec lui. smiley


    Ça finit par être tellement inextricable les filaments de ses réactions, qu’il faut être rompu aux délires pathologiques pour s’y retrouver. Ce n’est pas mon cas. Bravo ceux qui y arrivent....


    Il me rappelle la blague de Coluche : c’est des mecs que quand tu leur poses une question, une fois qu’ils ont fini de répondre, tu comprends plus la question que t’as posée..


    • Philippe VERGNES 7 juin 2015 18:34

      @ charlie, bonjour,


      D’où mon adage concernant le décervelage et le fait que soutenir une discussion avec de tels individus est parfaitement impossible : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison. »

      Je termine cette interview sur le phénomène d’emprise en disant : « Ce type de communication, qui tend à faire agir les unes contre les autres différentes aires de la personnalité du manipulé, génère des conflits de loyauté et est »schizophrénogène« . Pour le dire plus simplement, ce genre de communication rend »fou« . »

      Ces échanges avec JL en sont une parfaite illustration.

      Cf. l’excellente démonstration de PIPO 4 juin 01:37 où il démontre que JL prétend ne pas être d’accord avec ma définition du mensonge... tout en étant d’accord : c’est typiquement et schématiquement l’énoncé d’un paradoxe : « Faites ce que je dis... » JL crée donc un conflit sur du vent, dans le seul but de dominer son (ses) adversaire(s) puisque conflit il n’y avait pas lieu d’être sur ma définition du mensonge avec laquelle il est d’accord... sans l’être.

      Ce qui est tout à fait normal pour un narcissique pervers puisque pour lui les frontières entre son monde interne et le monde externe n’existe pas. Elles n’ont jamais pu être correctement constituées. De fait, il se choisit un objet (personne ou fétiche, peu importe pour lui, mais la distinction signera sa pathologie) qui va devenir l’hôte du poison qui l’habite (il n’en assume pas la responsabilité). C’est le clivage « bon » objet / « mauvais » objet de Melaine Klein (cf. le lien vers le dictionnaire de psychanalyse en ligne de Laplanche et Pontalis dont l’article est abordable et compréhensible pour tout un chacun.)

      Le conflit ainsi créé là où il n’a pas lieu d’être permet à JL de déposer ses propres affects considérés par lui comme « mauvais » et insupportable chez un hôte : c’est la stratégie du coucou... et celle de la perversion narcissique. Le principale mode de transport de cette exportation est la parole disqualifiante construite sur l’anathème, le dénigrement, le discrédit, la médisance, l’exploitation de rumeurs, le maniement du sarcasme, de la dérision, du mépris, toujours dans le seul but d’imposer son pouvoir, etc., etc.

      La liste des techniques de disqualifications est inépuisable, mais ce qu’il faut en retenir, c’est que c’est toujours une tentative de meurtre d’âme ou de meurtre psychique. L’intention inconsciente est de faire « disparaître » ce mauvais « objet ».

      On comprend là tout le drame des p.n. puisqu’il se lance dans une « chasse », « traque » ou « harcèlement » de ce mauvais objet à l’extérieur de leur moi, alors qu’il se trouve être à l’intérieur. Ce qui ne peut qu’aboutir à ce que J_C Lavau a dénommé ici-même un « paranoïa de combat ».

    • Philippe VERGNES 7 juin 2015 18:35

      @ charlie,


      PS : La citation de Coluche... j’ai toujours adoré : c’est très exactement ça !

    • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 19:32

      Si j’étais paranoïaque, je dirais que c’est cette régularité et constance à vous conforter dont ont fait preuve ces trois personnes, qu’il convient d’appeler le PN et son complice -en l’occurrence ses complices.
       
       Mais je ne suis pas paranoïaque.


    • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2015 20:47

      @JL

      Salvador Dali aussi roulait que « La diffférrence entrre un fffou et mmoi, c’est que mmoi, je ne ssuis pas fffou ! »


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 00:03

      Ce post JL 19:32 ci-dessus qui tombe comme un cheveu sur la soupe, est naturellement incompréhensible après les magouilles opérées sur ce fil par un manipulateur de première.
       
       Il se comprenait la suite de mon post de 19:23 qui a disparu et que j’ai reposté ci-dessous à l’instant.
       
       Dans ce post de 19:23 il était fait référence à des posts qui ont disparu aussi. Mais heureusement, j’ai gardé la trace de ce fil avant le truandage qui révèle la duplicité de son auteur.
       


    • JC_Lavau JC_Lavau 8 juin 2015 09:25

      @JL.

      Des messages parasitaires sous certains de mes articles ont parfois aussi été nettoyés sans que j’aie à intervenir.


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 11:21

      @ PV, je ne sais pas comment ces posts (de PIPO et de vous) sont là : soit ils y ont été remis (merci la modération), soit j’ai eu la berlue.
       
      Quoi qu’il en soit, il sont les bienvenus.
       
       Vous commencez votre nouvelle imposture en disant que j’ai déformé vos propos. Vous aurez pourtant remarqué que j’ai pris la précaution de préciser que je citais de mémoire et ’’en substance’’, deux faits distincts. Votre ’’ET’’ souligné ici est trompeur.
       

       Vous aviez écrit très précisément, et c’est sous nos yeux :
       
      ’’si je sais que A est faux avant l’acte de parole qui énonce A, et que je l’énonce malgré ce ; alors c’est qu’inévitablement et dans le lien qui unit la connaissance d’un fait (savoir, pensée) et son énonciation (acte de parole), j’ai eu l’intention de tromper mon interlocuteur. Ce que je dis est donc obligatoirement un mensonge. Pour JL, cette impossibilité dû à la relation de cause à effet entre la pensée et la parole existe bel et bien.’’
       
      Voilà. J’avais analysé le paradoxe contenu dans cette double assertion et que vous vous évertuez à nier ici, dans mon post disparu et que j’ai pour la cause, dû reformuler ce matin, post que vous avez repris vous même et que je copie colle ici :
       
      ’’Mauvaise pioche : En effet, j’ai dis toujours soutenu que pour les personnes saines mentir en connaissance est synonyme d’intention de tromper, j’ai toujours ajouté que cette implication n’est pas vraie pour les personnes amorales ou immorales, menteurs et psychopathes de tous poils. Mais le paradoxe c’est qu’il disait malgré lui, à la fois une chose et son contraire : cette implication est toujours vraie et n’est pas toujours vraie. Et le comble, c’est que son sophisme, non seulement n’invalide pas ma définition au détriment de la sienne, mais la conforte en lui donnant du grain à moudre.’’ (*)
       
      Ainsi donc, vous me traitez maintenant de menteur par le fait que je n’aurais pas toujours dis ça (*), fournissant pour preuve ... la définition que j’ai toujours soutenue ! je cite :
      « Mentir c’est énoncer une vérité en toute connaissance de cause, quelles que soient les intentions. Point barre. On ne peut faire plus simple et plus clair. »
       
      Ce que vous appelez mon mensonge ici, ce sont les arguments qui soutiennent cette définition ! Et c’est précisément ces considérations qui valident ma définition du mensonge : quelles que soient les intentions  !
       
      C’est énorme ce que vous révélez ici à votre insu.


  • Francis, agnotologue JL 7 juin 2015 23:54

    Mon post JL 7 juin 19:23 qui ne contrevient en aucune manière que ce soit à la Charte et qui a mystérieusement disparu avec d’autres, disait ceci :
     
    @Philippe VERGNES,
     
     vous avez perdu la face sur le front ouvert par le Gaïagénaire hier, et où j’ai mis en évidence que vous dites tout et son contraire et sans aucun souci de cohérence ni de suite dans les idées (JL, 7 juin, 11:02).
     
    Dépité, vous vous êtes alors lancé sur un autre front ouvert par PIPO à 12:38, comme par hasard (qui n’y faisait que répéter ses sophismes). Vous y avez également perdu la face quand j’ai souligné que vous nous avez révélé à votre insu, que vous êtes aveugle à vos propres contradictions (cf. JL, 15:30).
     
    Et voici que vous venez cracher votre venin sur moi sur le troisième front ouvert par charlie fort opportunément pour vous à 16:56 : ici vous nous montrez une nouvelle fois votre phénoménale capacité au déni. Et comble de la veulerie, vous transportez ici la suite de nos échange que vous avez fui afin de mieux en maquiller les faits, loin des yeux.
     
    Pour toute autre personne qu’un individu doté de votre phénoménale aptitude au déni et autant dénué d’amour propre, la messe serait dite.
     
    PIPO, charlie, Le Gaïagénaire ont fait preuve d’une singulière intuition dans le fait de vous jeter des bouées de sauvetage exactement où il fallait, quand il le fallait. Mais seul un paranoïaque y verrait une volonté délibérée de me nuire. Évidemment !
     
     
    Qui ne verrait pas dans vos fuites répétées en avant, un aveu inconscient que mes analyses ont fait mouche ?


  • charlie charlie 8 juin 2015 00:29

    JL, ta parano injuriante commence à me gonfler un tantinet….

    Cela fait plusieurs fois que tu te plains du « groupe » qui fait tout pour te nuire et suit le « gourou » le petit doigt sur la couture du pantalon, à ses ordres, pour lui sauver la mise de l’implacable Justicier blanc.

    Mais pour qui te prends-tu ??


    Alors je vais te dire une chose, écoute bien. Il n’y a ici qu’un seul harceleur : toi.

    Qu’une seule personne qui s’incruste dans les débats pour fiche la merde entre des intervenants qui veulent juste discuter sainement (=sans toi, pitié !).

    Il n’y a qu’une seule personne qui joue la mouche du coche et débite ses conneries à la chaîne : toi !

    Rien n’y fait.


    J’ai relu tes premiers commentaires de 2012 qui n’ont qu’un seul but, c’est clair : agresser Ph V et avoir raison. Et depuis, le harcèlement est permanent. Sur certains de ses articles, une clef de recherche sur JL donne 157 occurrences !!! et toujours plusieurs dizaines.

    Mais bon dieu, ne va pas dire en plus qu’on te poursuit de notre vindicte : c’est TOI qui vient, et revient pour te faire battre. En plus d’être parano, tu es maso ? 


    Je ne sais pas si tu es un PN, mais tu es un gros c….., ça, c’est sûr.


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 08:17

      @charlie
       
       les seuls posts de parano injuriante sur ce fil sont signés Philippe Vergnes : régulièrement quand il est au bord de la perte de contrôle, il nous offre de véritables morceaux d’anthologie de délire interprétatif paranoïaque. Son post relatif à son interprétation de ma personnalité à partir de la chansonnette de Marie Laforêt est un joyau dans le genre servi dans un écrin de digressions hors de propos.
       

      - Si vous n’avez pas suivi ce fil, vos insultes à ma personne n’y sont ni pertinentes ni autorisées.
       
      - Si vous avez suivi ce fil, vous aurez remarqué que par au moins trois fois, PV a fait retirer au moins cinq posts : un de PIPO, un de lui-même et trois de moi dont aucun ne contrevenait en aucune façon à la Charte,
       
      Cette forfaiture était sa seule riposte aux preuves qui l’affligeaient implacablement : pour la première fois, il lui était impossible d’enfumer les lecteurs par une réponse verbeuse et trompeuse : les faits étaient trop tangibles pour être maquillés, ce qui dépassait ses capacité de déni qui sont pourtant impressionnantes.
       
      Dans son post qu’il a réussi on se demande bien comment, à faire retirer, PV déclarait en substance que mentir en connaissance de cause implique automatiquement l’intention de tromper, et que seul JL ne comprend pas ce lien (*).
       
      Mauvaise pioche : En effet, j’ai dis toujours soutenu que pour les personnes saines mentir en connaissance est synonyme ’intention de tromper, j’ai toujours ajouté que cette implication n’est pas vraie pour les personnes amorales ou immorales, menteurs et psychopathes de tous poils. Mais le paradoxe c’est qu’il disait malgré lui, à la fois une chose et son contraire : cette implication est toujours vraie et n’est pas toujours vraie. Et le comble, c’est que son sophisme, non seulement n’invalide pas ma définition au détriment de la sienne, mais la conforte en lui donnant du grain à moudre.
       
      Et je ne résiste pas au plaisir de copier coller ce post, JL, le 7 juin, 13:32 : ’’ Je suis accusé de psychopathie par ceux qui soutiennent une définition favorable aux psychopathes et combattent becs et ongles une définition sans danger pour les gens normaux mais qui permet de confondre les psychopathes, ’’ Un comble ! Vous faites visiblement partie charlie, de ces accusateurs paradoxaux.
       

      Ps . Question : Pourquoi êtes vous ici, puisque vous n’y apportez aucune plus value, bien au contraire ? Est-ce que le trollage est votre conception, du journalisme citoyen ? Vous n’avez rien de mieux à faire ailleurs ? Nous n’avons pas les mêmes valeurs morales : La vérité c’est que vous n’êtes revenu que pour me blesser : quelques soient vos motivations, elles sont méprisables, et je considère que c’est gratifiant d’être insulté par un individu aux motivations aussi méprisables.
       
      (*) Notez qu’il n’a pas dit que les menteurs et psychopathes ne comprennent pas ce lien : il s’est pris les pieds dans son mécanisme rédhibitoire de projection qui le rend aveugle à ses propres contradictions. Et c’est pourquoi il a demandé le retrait de son post.
       


    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 08:57

      @ charlie, bonjour,


      Attention avec JL de ne pas lui donner prise : c’est un pervers paranoïaque d’une rare violence comme a très bien su l’analyser J_C Lavau en peu de temps.

      Bien qu’y ayant fait allusion à de très nombreuses reprises et depuis fort longtemps (le délire d’interprétation est symptomatique de la paranoïa), je n’ai jamais utilisé ce qualificatif, car très peu de personne le connaisse (d’où ma surprise lorsque J_C Lavau a pu l’énoncer). Or, il se trouve que la théorie de la perversion narcissique inclut quatre catégories de pervers dont le pervers narcissique et le pervers paranoïaque. Entre les deux, il n’y a qu’une différence de niveau et de puissance dans les signes pathologies, mais l’origine est très exactement la même.
      Ces personnalités trouvent leur jouissance dans le fait de pousser autrui à la faute et à les rendre fou (cf. « Le ’pouvoir’, les ’crises’, la communication paradoxale et l’effort pour rendre l’autre fou », ainsi que la suite « Comprendre l’emprise, la relation en-pire »), mais s’il sont pris au piège, c’est eux qui en deviennent fou.

      Chez les anglo-saxons qui ont une approche plus « comportementaliste », ces personnalités sont également connues sous l’expression « d’abuseur émotionnel ».

      Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que ce type de personnalité parvient à faire « disjoncter » quelqu’un par leurs accusations incessantes des propres exactions dont ils se rendent coupable sur autrui, cela leur procure leur « jouissance ». C’est leur trip, leur défonce, leur shoot, leur drogue quotidienne sans laquelle ils sont incapables de se sentir vivant. D’où la métaphore du vampire, car ils se nourrissent de « l’énergie » d’autrui qui passe essentiellement par nos émotions.

      Mais comme je le disais ci-dessus à Rocla+, il est désormais temps de passer à la seconde phase du programme. smiley

      Bonne journée,

    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 09:02

      PS :

      Ci-dessous et non pas ci-dessus ! Pardon ! Les fils de discussions ne sont pas toujours facile à suivre sur Ago.

  • Philippe VERGNES 8 juin 2015 10:28

    @ JL, bonjour,


    Je vous avais dis que je ne m’adresserais plus à vous, mais puisque vous vous en prenez désormais à tous ceux qui voient clair dans votre petit jeu (excepté J_C Lavau dont vous continuez à lécher le c.., malgré le fait qu’il ait pu diagnostiquer précisément le mal qui vous habite... Au fait, c’est bon ???) smiley

    Dans votre message à l’attention de charlie de ce matin à 08:17 qui est tout autant calomnieux, diffamatoires, injurieux et haineux, etc. que tout ceux que j’ai fait supprimer par la modération, et outre les tissus de mensonges et d’ânerie que vous y écrivez, vous dîtes notamment (JL 8 juin 8:17) : « PV a fait retirer au moins cinq posts : un de PIPO, un de lui-même et trois de moi dont aucun ne contrevenait en aucune façon à la Charte... »

    Or, il s’avère que les seules interventions que j’ai signalé en abus sont les vôtres. Si l’une de PIPO ou bien l’une des miennes ont été retirées, il est fort probable qu’elles aient été demandées par vous-même.

    Quoiqu’il en soit, vous dîtes : « Dans son post qu’il a réussi on se demande bien comment, à faire retirer, PV déclarait en substance que mentir en connaissance de cause implique automatiquement l’intention de tromper, et que seul JL ne comprend pas ce lien (*) ».

    Or, il se trouve que ce post figure toujours dans le fil de discussion (PV 7 juin 14:36) et qu’en répondant à PIPO j’y dénonçais une nouvelle fois la stupidité de vos arguments tels que votre phrase (JL 7 juin 13:46) : « Je ne mens pas si je dis sans intention de tromper que A est vrai alors que je sais que A est faux : je me trompe » par laquelle vous croyez dévoiler un paradoxe dans mes propos qui ne se trouve finalement que dans vos assertions paranoïaques.

    Par ailleurs, dans ce post, je n’ai jamais déclaré que « mentir en connaissance de cause implique automatiquement l’intention de tromper, ET que seul JL ne comprend pas ce lien » dans le sens où vous l’interprétez vous. Cette phrase qui copie deux morceaux de discours qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre reconstruit un mensonge (comme celui que vous avez reconstruit sur le fait de vous disculper lorsque je vous accuse de tromper philouie et tous les lecteurs) basé sur deux prémisses vrais que j’ai effectivement écrites, mais pas du tout dans le contexte que vous énoncez. Toute votre perfidie suit toujours la même stratégie.

    Les liens que vous supprimez dans toutes discussions sont les relations de causes à effets entre la pensée, la parole et les actes et non pas le lien que vous voyez (et qui existe bel et bien) entre la connaissance de cause et l’intention de tromper. On peut toujours lire cette démonstration dans mon post PV 7 juin 14:36. « Invariablement, il y a divorce entre ceux que vous croyez lire et ce qui est écrit » (J_C Lavau). C’est triste, mais c’est sur la base de ce divorce que vous vous en prenez à vos contradicteurs.

    Vous rajoutez ensuite dans votre intervention de ce matin : « Mauvaise pioche : En effet, j’ai dis toujours soutenu que pour les personnes saines mentir en connaissance est synonyme »intention de tromper« , j’ai toujours ajouté que cette implication n’est pas vraie pour les personnes amorales ou immorales, menteurs et psychopathes de tous poils. »

    MENTEUR !

    Ces précisions ne sont venues qu’à la suite des démonstrations de PIPO concernant le fait que vous exprimiez votre désaccord avec ma définition du mensonge tout en la dénonçant comme étant l’oeuvre d’un sophiste... mais en étant d’accord avec elle par la suite = PARADOXE !

    La preuve, JL 3 juin 12:08 : « Mentir c’est énoncé une vérité en toute connaissance de cause, quelles que soient les intentions. Point barre. On ne peut faire plus simple et plus clair. »

    Ici, vous éludez la question de l’intention, pour la réintégrer ensuite dans un préchi-précha digne des plus grands délirants.

    D’où il résulte que les paradoxes que vous croyez voir chez moi ne sont que le fruit de vos propres interprétations défectueuses puisque après avoir énoncé cette définition, vous avez également soutenu le contraire. Aussi, lorsque vous rajoutez : « Mais le paradoxe c’est qu’il disait malgré lui, à la fois une chose et son contraire : cette implication est toujours vraie et n’est pas toujours vraie. Et le comble, c’est que son sophisme, non seulement n’invalide pas ma définition au détriment de la sienne, mais la conforte en lui donnant du grain à moudre » vous ne faites que nous parlez de la manière dont vous agissez vous et non pas le « fantôme » Philippe Vergnes que vous vous êtes créé dans votre « folie raisonnante ».

    A ce stade de folie, c’est incurable et votre cas relève de la psychiatrie, mais comme il vous est impossible de l’admettre, il vous faudra une injonction de soin prononcé par un juge pour vous faire prendre en charge. C’est peut-être ce qui pourrait vous arrivez de mieux dans cette vie ci.

    J’ai déjà rencontré de tels cas, leur demande d’aide passe par l’explosion du symptôme. Vous vous êtes perdu dans les méandres de la pensée et comme le dit si bien Rocla+ : « vous êtes entré dans un rond point sans entrevoir d’issue » ou vous êtes tombé dans « L’escalier sans fin » d’Escher.

    Vous voyez que je ne vous veux aucun mal. smiley

    PS : Le problème, c’est que pour mettre fin à votre folie, vous avez fini par me convaincre de porter votre cas devant les tribunaux : la diffamation est une atteinte à la liberté d’expression et le cyber-harcèlement est désormais pris très au sérieux par les autorités judiciaires.

    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 11:48

      @Philippe VERGNES,
       
       j’ai oublié ça :
       
      PV, 8 juin, 10:28 : ’’ ...’en répondant à PIPO j’y dénonçais une nouvelle fois la stupidité de vos arguments tels que votre phrase (JL 7 juin 13:46) : « Je ne mens pas si je dis sans intention de tromper que A est vrai alors que je sais que A est faux : je me trompe » par laquelle vous croyez dévoiler un paradoxe dans mes propos qui ne se trouve finalement que dans vos assertions paranoïaques.
       
       Une formulation particulièrement tordue et déformée typique de votre fourberie qui consiste à utiliser un fait vrai mais hors contexte pour en faire un mensonge.
       
      Précisons pour les lecteurs ce que j’avais écrit dans ce post de 13:46 :

      <<La définition de PV qui nie le rôle de la connaissance de cause (dans la définition du mensonge), aboutit au paradoxe suivant : Je ne mens pas si je dis sans intention de tromper que A est vrai alors que je sais que A est faux : je me trompe.  Mais si on lui fait remarquer qu’il se trompe on se fait ipso facto traiter de mal-intentionné, de menteur, puis de harceleur. >>
       
      Si des psys veulent bien se donner la peine d’analyser ces échanges, ils pourront faire du bon travail.

       
       
       Pour ma part, j’en ai assez fait. Je suis vidé.


  • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 11:55


    @ PV, je ne sais pas comment ces posts (de PIPO et de vous) sont là : soit ils y ont été remis (merci la modération), soit j’ai eu la berlue.
     
    Quoi qu’il en soit, il sont les bienvenus.
     
     Vous commencez votre nouvelle imposture en disant que j’ai déformé vos propos. Vous aurez pourtant remarqué que j’ai pris la précaution de préciser que je citais de mémoire et ’’en substance’’, deux faits distincts. Votre ’’ET’’ souligné ici est trompeur.
     

     Vous aviez écrit très précisément, et c’est sous nos yeux :
     
    ’’si je sais que A est faux avant l’acte de parole qui énonce A, et que je l’énonce malgré ce ; alors c’est qu’inévitablement et dans le lien qui unit la connaissance d’un fait (savoir, pensée) et son énonciation (acte de parole), j’ai eu l’intention de tromper mon interlocuteur. Ce que je dis est donc obligatoirement un mensonge. Pour JL, cette impossibilité dû à la relation de cause à effet entre la pensée et la parole existe bel et bien.’’
     
    Voilà. J’avais analysé leparadoxe contenu dans cette double assertion et que vous vous évertuez à nier ici, dans mon post disparu et que j’ai pour la cause, dû reformuler ce matin, post que vous avez repris vous même et que je copie colle ici :
     
    ’’Mauvaise pioche : En effet, j’ai dis toujours soutenu que pour les personnes saines mentir en connaissance est synonyme d’intention de tromper, j’ai toujours ajouté que cette implication n’est pas vraie pour les personnes amorales ou immorales, menteurs et psychopathes de tous poils. Mais le paradoxe c’est qu’il disait malgré lui, à la fois une chose et son contraire : cette implication est toujours vraie et n’est pas toujours vraie. Et le comble, c’est que son sophisme, non seulement n’invalide pas ma définition au détriment de la sienne, mais la conforte en lui donnant du grain à moudre.’’ (*)
     
    Ainsi donc, vous me traitez maintenant de menteur par le fait que je n’aurais pas toujours dis ça (*), fournissant pour preuve ... la définition que j’ai toujours soutenue ! je cite : « Mentir c’est énoncer une vérité en toute connaissance de cause, quelles que soient les intentions. Point barre. On ne peut faire plus simple et plus clair. »
     
    Ce que vous appelez mon mensonge ici, ce sont les arguments qui soutiennent cette définition ! Et c’est précisément ces considérations qui valident ma définition du mensonge : quelles que soient les intentions  !
     
    C’est énorme ce que vous révélez ici à votre insu.


    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 12:46

      @ JL,


      « Je ne sais pas comment ces posts (de PIPO et de vous) sont là : soit ils y ont été remis (merci la modération), soit j’ai eu la berlue. »

      Je crois que vous attribuez un pouvoir à la modération qui une fois de plus ne doit exister que dans votre tête. En conclusion : vous avez eu la berlue (mais cela on le savait déjà).

      Pour votre polémique sur la définition du mensonge, je vous renvoie à l’excellente démonstration de PIPO 3 juin 11:53, à laquelle vous n’avez pas pipé mot, où en réponse à votre message JL 3 juin 09:43 il exprime très bien le paradoxe que vous produisez dans votre argumentaire en ne faisant pas votre ma définition du mensonge... tout en la faisant votre.

      D’où la conclusion qu’en tire PIPO en révélant votre paradoxe : « C’est à croire que vous n’êtes qu’un avatar destiné à illustrer les articles de Philippe Vergnes ».

      Les paradoxes que vous produisez ne vous servent qu’à une seule chose, comme l’atteste votre aveu (JL 2 juin 20:51 : « Le plus comique, c’est qu’il [PIPO] est dans l’incapacité de dire qui est le vainqueur, de vous ou de moi ! ») à prendre le pouvoir sur autrui et à vous déclarez vainqueur des polémiques que vous engagez vous-même par vos incompréhensions.

      Le pire, c’est qu’une telle attitude inquisitoriale fonctionne très bien sur les décervelés que vous avez su rallier à votre cause. Cela se nomme la folie à deux (ou à plusieurs) et génère des mouvements comme nous en avons tristement connu au siècle dernier et qui se nomme le fascisme, nazisme, etc.

      Comme quoi, les fachos ont encore de beaux jours devant eux ! Leur esprit veille au grain.

    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 13:07

      @Philippe VERGNES,
       
       Pour la disparition des posts, je vous renvoie à JC_Lavau, 09:25 : ’’Des messages parasitaires sous certains de mes articles ont parfois aussi été nettoyés sans que j’aie à intervenir.’’
       
      Qui selon vous, sinon la Modé aurait le pouvoir qui n’existerait que dans ma tête, de supprimer des posts ?
       
      Pfff !
       
       Je sais moi-même par expérience, que, dans un souci d’équité, il arrive à la modé de supprimer le ou les posts qui ont suscité le post litigieux qui a fait une demande de retrrait. Je regrette seulement que mon post ne soit pas revenu, ni que je ne l’ai pas sauvegardé, pour prouver qu’il était conforme à la Charte. Le modérateur n’aura pas vérifié, et il aura simplement viré l’ensemble. Quoiqu’il en soit, il n’y a pas lieu de faire des tirades paranoïaques comme ici.
       
       Pour ce qui est des arguments de PIPO qui n’en sont pas (décidément, vous tournez en rond : des efforts pour rendre fou ?), j’en ai plusieurs fois démonté les sophismes. Ces redites ne sont pas différentes des vôtres, malgré vos flagorneries destinées à lui faire accroire qu’il est génial, qu’il existerait des preuves de ma fausseté, et surtout, de nier par l’ouverture d’un nouveau front mon argumentaire.


  • charlie charlie 8 juin 2015 13:00

    Bonjour Philippe Vergnes,

    Merci de vos conseils judicieux, et ne vous inquiétez pas, je ne « disjoncte » pas…. smiley mais n’étant pas médecin j’utilise le vocabulaire de monsieur tout le monde en matière de psychologie sur le net et je les traite comme tel : parano, haineux, complexé, arrogant, irrationnel, émotif, menteur, manipulateur, mauvaise foi, propagandiste, imbécile, etc etc etc 


    Je ne dis pas que le monsieur mérite tous ces qualificatifs (quoique…), et souvent le mot « con » peut résumer bien des comportements, mais j’essaie de l’éviter….. 

    A vrai dire, j’observe JL depuis fort longtemps sur Agoravox, et hors de toute pathologie, j’avais déjà compris les errements de son comportement. Mais comme il est loin d’être le seul à dire n’importe quoi, je n’y ai pas prêté attention plus que ça. Mais je comprends votre réaction.


    En outre, ce sont vos écrits qui sont pourris par ses délires perpétuels, et c’est votre personne qu’il agresse à chaque fois. 


    Le méli-mélo sur le « mensonge » qu’il impose sur ce fil a rendu toute compréhension extérieure impossible sur les tenants et aboutissants du différent (c’est le but).

    J’invite l’interlocuteur de passage à se rendre juste sur vos premiers articles où il commente, et il verra immédiatement le manège.


    J’en ai fait une petite analyse, c’est instructif. je vous la colle ci-dessous, car elle prend un peu de place (difficile d’être clair, fidèle et concis).

    Il est possible que ce commentaire vous dérange, Philippe, mais les manigances de JL concernent tous les utilisateurs du site, et je crois utile de faire un peu de ménage sur ses mécanismes.

    Et là, j’en aurai terminé avec ses agressions qu’il me balance aussi nommément.


    (c’est quand même malheureux de devoir prendre sur sa pause déjeuner pour s’atteler au déchiffrement tortueux de ses processus manipulateurs…. smiley )



    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 13:24

      @charlie
       
      Concernant les extraits que vous vous apprêtez à produire, j’espère que vous savez à quoi vous vous exposez : des discussions à rallonge sur l’ailleurs en autrefois. De l’enfumage, donc. N’auriez vous pas assez de matière ici contre moi ? Est-ce un aveu ? En effet, je vous ai à plusieurs reprise demandé de fournir une preuve de vos accusations, ne serait-ce qu’une seule : vous en avez été incapable. Vous êtes un diffamateur avéré et je devrais signaler un abus.
       
      Vous m’avez traité de con ? C’est le moment de vous rappeler cette pensée d’Audiard : ’’le con ne perd pas son temps, il perd celui des autres’’ ? Pourquoi perdez vous votre temps précieux avec moi ?
       
      Pfff !
       
      Vous êtes un triste sire, charlie et je suis heureux de ne pas être de vos amis.


  • charlie charlie 8 juin 2015 13:22

    Voilà... c’est beaucoup de temps perdu, mais après je passe la main aux suivants. Bonne lecture


    Les pervers narcissiques manipulateurs

    JL : sa toute première intervention pour annoncer son « écoeurement » que l’auteur (PhV) ait utilisé la couve de l’Obs avec Mélenchon en bas. Suit une injonction de la supprimer et un procès en manipulation anti-Mélenchon……

    Ph V corrige : mon sujet était le cas d’un grand média qui « ose faire les gros titres avec ce genre de sujet », pas le bandeau d’en bas qui n’avait rien à voir.

    JL : « Non ! » et de commencer à accuser l’auteur d’être un manipulateur….


    Puis, il essaie de jouer la mouche du coche au milieu d’une large discussion, mais comme il a annoncé ne pas avoir lu l’article, ça le coince un peu.


    Les pervers narcissiques manipulateurs (suite)

    Là, pas 2 fois la même erreur : il lit l’article, ce qui lui permet de déclarer aussitôt, dès la 3ème intervention du fil : 

    JL : « Ce sujet intéresse visiblement beaucoup de monde, (ça l’ennuie… smiley )

    mais je ne crois pas que c’est en lisant ce genre de pseudo science - il est flagrant que dans la première partie de ce texte, l’auteur « s’écoute parler » mais les phases n’ont pas de sens - qu’on fera avancer la connaissance.  »


    Son attaque insultante est lancée, elle ne s’arrêtera plus jamais, malgré les réponses souvent sympathiques de l’auteur qui répond point par point sans s’énerver (j’admire ! smiley ).

    Suit une série de harcèlements incohérents. 


    JL : « la clinique du pervers narcissique. » dites vous ???

    « A ma connaissance, les pervers narcissiques, et les pervers en général, n’ont pas la particularité de consulter pour ce trouble !  »


    Raté… l’auteur lui répond qu’il se trompe, du coup, JL admet l’évidence du bout des lèvres : 


    JL : « en effet, il y en a qui consultent, ne serait-ce que par obligation (suite à des inculpations par exemple).  » 

    Mais comme ça lui déplaît d’avoir tort (d’avoir « perdu »), il ne peux s’empêcher de rajouter un nouveau dénigrement : «  Mais je suppose que ça reste quand même marginal  »

    PhV : raté encore…. « En fait, non ! Le problème est justement en train de submerger les psys qui, manquant de bases conceptuelles pour l’interpréter correctement, se retranchent (se protègent) derrière des cadres théoriques obsolètes ou désuets  »


    JL, dont chaque pique s’émousse sur la réalité, relance encore et encore, tentant un autre sujet…..


    JL : « "Ce que je ne comprends pas dans votre discours, c’est le manque de distinction que vous semblez faire entre pervers narcissiques et pervers sexuel (sans parler des autres perversions). »

    PhV : «  je ne parle pas du pervers narcissique dans mes écrits. Je n’ai pour le moment parlé que du »mouvement perversif« , de »la pensée perverse« et »des noyaux pervers  »


    Encore raté…. s’il avait lu les articles, JL n’aurait pas posé une question idiote car totalement à côté de la plaque

    .

    JL : «  soit, oublions ce que j’avais perçu comme une manipulation assumée venant de vous.  »


     smiley

    Oublions donc la piste « pervers sexuel » qui ne marche pas, enchaînons sur une autre sujet encore : l’empathie que l’auteur connaîtrait mal, d’après JL


    PhV : conciliant…. « Je ne suis nullement rancunier, d’autant plus que, si ce n’est les sophismes ad hominen que vous avez proférez à mon encontre, vos commentaires ne manquent pas d’intérêt.  »

    JL : tout content d’avoir raison et gagner dans un rapport de force, en frétille : « puisque vous admettez que ma réaction vous a aidé à prendre conscience de ces manipulations dont nous sommes tous l’objet, ne parlons plus d’incident mais d’épisode  »

    PhV, obligé de corriger les travestissement pervers de JL : Non, je n’ai pas « pris conscience de ces manipulations  », mais…. suit les précisions.


    JL, le retour… «  un premier survol de votre réponse me fait buter sur ça : « En fait, l’empathie est neutre. » Je ne comprends pas. »

    PhV, toujours modéré et conciliant : « Je comprends votre réticence d’une définition de l’empathie qualifiée comme « neutre ». Là encore, ce seul mot peut prendre plusieurs sens et il ne signifie pas ici la même chose pour vous que pour moi »


    Fin du deuxième épisode. 

    Article suivant, JL ne lâche pas le morceau… il passe même à la vitesse supérieure Comment reconnaître un pervers narcissique « manipula-tueur »* ?

    C’est intéressant parce que l’auteur finit par ne plus répondre à JL. alors il s’énerve, prend les autres à témoin, intervient brutalement, tout seul : 


    Amalgames déplorables, fausse science, justifiez donc cette expression, donnez une explication intelligente, ou retirez-là, vous dites n’importe quoi, faites preuve d’honnêteté, Vous ne vous en tirerez pas comme ça ! mon post implacable…..

    A bout d’argument, jusqu’à attaquer sur l’orthographe !

    « faute d’orthographe dont vous êtes coutumier : vos écrits en pullulent.  »

     smiley


    Au point d’ailleurs, d’énerver astis, le modéré, qui cherchait à discuter sereinement : 

    « Et moi JL je réfute les amalgames et les polémiques peu dignes que vous recherchez ici contre l’auteur ou d’autres. Le nombre énorme de vos remarques sur Agoravox, sur tout et n’importe quoi, m’incitera à l’avenir à éviter votre route, car tout ce qui est excessif est insignifiant et ne mérite aucune réponse.  »

    Encore un disciple du gourou…. smiley


    Bon, je m’arrête.

    La mauvaise foi est claire, le harcèlement est patent, ses techniques sont évidentes. 

    Je n’ai pas les mots et concepts du clinicien, mais ces échanges montrent une évidence : le désir de nuire et de disqualifier l’auteur et tous ceux qui ont eu le malheur de participer positivement à la discussion. 

    ouf !


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 13:35

      @charlie
       
       cet argumentaire à charge, véritable réécriture condensée du roman, qui relève de la volonté de refaire les matchs, et qui a nécessité un gros travail (des milliers de posts échangés) est clairement le fait d’une mauvaise intention émanant d’un individu qui se plaint, comble du paradoxe, de perdre son temps avec celui qu’il traite de con.
       
       Voyez vous, les enfumages ici sont tellement nombreux qui fusent dans tous les sens, que je ne peux m’y intéresser qu’avec parcimonie. J’ai assez fort à faire avec le diable, pour perdre mon temps avec les diablotins.


    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 13:37

      @ JL,


      « J’ai assez fort à faire avec le diable, pour perdre mon temps avec les diablotins. » smiley smiley smiley

      JL = Inquisiteur : c’est ce que j’ai toujours dis et il l’avoue lui-même en plus.


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 13:52

      @charlie
       
       ’’PhV : «  je ne parle pas du pervers narcissique dans mes écrits.’’
       
      PV disant cela dans un article dont le titre est ’’Les pervers narcissiques manipulateurs’’, ça ne manque pas de sel.

       smiley  smiley  smiley
       
       Le reste est à l’avenant : inconséquent.


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 14:12

      @Philippe VERGNES
       
      Je dois reconnaitre que c’est assez bien joué : on ne bat pas un expert sur son terrain, et en matière d’inquisition, vous en connaissez un rayon.
       
       Mais c’est moi qui ai révélé votre attitude inquisitrice, pas l’inverse, en témoigne notre différend ici sur le sujet des intentions.
       
       L’inquisition c’est la recherche forcenée des intention.
       
      Le paradoxe que j’ai révélé étant que vous m’accusez d’être l’inquisiteur quand je promeus une définition défavorable aux psychopathes et qui ne fait pas appel à l’inquisition mais à l’objectivité seule ; cependant qu’à l’inverse et dans le même temps, vous défendez une proposition qui est profitable aux amoraux et immoraux de toutes engeances, tous experts avérés par définition, en projections et dénis.
       
       
      CQFD


    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 14:18

      @ charlie,


      Très honnêtement, je reste admiratif devant un tel travail d’investigation mené de manière factuelle sur une aussi grande période de temps (près de trois ans).
      Vous relatez en quelques lignes l’historique de mes précédents avec JL et des innombrables techniques d’enfumage qu’il utilise pour noyer le poisson. Votre patience est digne de celle d’un enquêteur criminel et je dois dire qu’à ce titre, j’en reste bouche bée.

      En effet, l’un des rares point de désaccord que j’ai pu exprimé avec la pensée de PIPO concernait le fait qu’il me trouvait trop pessimiste (ce que je concède volontiers). Je suis pourtant de nature optimiste, car entre un imbécile heureux et un imbécile triste, je préfère nettement être un imbécile heureux.

      J’explique ce pessimisme par la durée de mon engagement à faire connaître cette problématique à ceux que ça intéresse et qui commence à comprendre d’où vient le problème de la violence dans toute notre société. Je pense que depuis le temps, la lassitude finit par me gagner et obscurcit quelque peu ma vision de la situation (d’où mon « pessimisme »). C’est une possibilité que je ne rejette pas, mais j’ai pour habitude de ne pas m’extasier même lorsque je reçois des bonnes nouvelles.

      Selon PIPO, il y a bien plus de personnes qui prennent conscience de la situation que je ne le soupçonne. Personnellement je l’ignore, mais en tout cas, vous êtes plusieurs sur ce fil à lui donner raison et j’accepterais vraiment, je l’espère même, avoir tort sur ce point. Mais même s’il y a du chemin parcouru depuis que je me penche sur ce problème, je ne me démobilise pas, car je connais mieux que quiconque la prudence à nécessairement observer et conserver avec de tels personnages (sans toutefois tomber dans la parano : ce sont des lâches).

      Comme déjà indiqué à alinea en tout début de discussion, mon expérience en la matière dépasse tout ce que l’on a coutume d’imaginer sur le sujet et même si je ne m’en suis jamais confié (publiquement parlant), elle dépasse également celle que J_C Lavau a pu connaître dans son étude de ce fléau avec ses 188 menaces de mort (qui je crois lui a valu sa maîtrise en psycho, si mes souvenirs sont exacts, car j’ai lu ses articles lorsqu’il les a mis en ligne, cela devait être en 2006/2007 ou quelque chose comme ça). Je suis ce que l’on appelle un survivant résilient (très rare) et c’est de passages à l’acte (le -s- n’es pas une erreur d’orthographe dont je suis coutumier) dont il est question dans mon expérience (à de multiples reprises d’où le « s » à passages, toutes avortées vous vous en doutez au grand dam de l’instigateur initial et de ses complices). J’aurais pu être l’auteur de Sarko m’a tué (ou a tenté de le faire) à une époque ou l’on ne connaissait même pas le harcèlement et où Heinz Leymann venait juste de publier sa première étude sur le sujet en version originale intitulée « Mobbing, Psychoterror am Arbeitplatz und wie mann sich dagegen wehren kann », traduit en français en 1996 sous le titre « Mobbing. La persécution au travail » .

      En tous cas, bravo à vous pour ce travail de recherche... ça me « scotche » vraiment ! J’en perdrait presque la parole. smiley

    • JC_Lavau JC_Lavau 8 juin 2015 21:20

      @Philippe VERGNES. « 188 menaces de mort ». Là je ne compte que les anonymes, dues en réalité au gang de l’YBMonde n’YBMitrailleuse :
      http://impostures.deontologic.org/index.php?board=9.0

      Je n’ai pas compté les menaces publiques par le dit YBMonde n’YBMitrailleuse, ni celles par le charlatan compulsif qui menaçait aussi ma compagne (mais ce vendeur de remèdes miracles contre le cancer est mort d’un cancer, en août 2013), ni les menaces publiques de mort par arme à feu par Jean-Paul Douhait sous l’un de ses nombreux pseudonymes (< http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=246.0 >).

      Je n’ai pas terminé la maîtrise de psycho : j’ai arrêté en juin 2005, avec deux mémoires mineurs, mais pas le majeur (incapable de m’intéresser au sujet imposé).
      Je suis entré en 1999 en 2e année de DEUG de psycho pour des raisons totalement atypiques. La maîtrise de physique ne m’intéressait plus, et j’ai perçu en décembre 1998 que je commettais la même erreur stratégique que Trotstkiï : s’adresser à mes collègues profs de physique est se tenir dans la ligne de mire de leur artillerie, et l’idée fixe de l’institution est de zigouiller l’innovateur, réformateur et instituant. Il fallait donc changer de lectorat savant, et s’adresser aux didacticiens (et psychologues cogniticiens ?). Toutefois, au cas où le sujet de DEA que je proposais n’était pas retenu, il me fallait un plan B. Il a fallu le plan B : en Sciences de l’Education, c’est le ministère qui choisit SES thèmes de recherches autorisés. Le sujet de thèse « Le contrat de désensorialisation dans l’enseignement des sciences ; abus et remèdes » demeure donc un sujet que personne ne traite. Oui il y a bien des didacticiens à Lyon 2 Bron, mais ils s’arrêtent au cycle Primaire, principalement spécialisés dans l’apprentissage de la lecture. Il aurait fallu aller à Grenoble ou encore plus loin pour trouver des didacticiens des sciences. Trop tard, ma vie était refaite à Lyon.


    • JC_Lavau JC_Lavau 22 juin 2015 23:21

      @JC_Lavau.
      Ma mémoire avait trahi : 177 menaces de mort anonymes, pas 188.


  • PIPO 8 juin 2015 19:07

    Bravo @charlie
    j’avais pensé le faire, mais manque de temps.

    @Philippe VERGNES
    Face à des JL, nous avons tous l’impression de perdre notre temps, mais vous savez aussi que c’est un plus pour vos articles.
    je me dis aussi que si JL ne reconnaitra jamais les origines de son comportement, il doit quand même se poser quelques questions. Il doit en être de même pour tout ceux qui se font traiter de pervers narcissique par leur entourage et qui cherchent à comprendre.
    Et je ne parle pas de toutes les victimes qui elles aussi cherchent à comprendre. Vos articles (avec les commentaires) sont les plus explicites du WEB.

    @JL
    Vous reconnaissez vous être trompé sur la multinationale, l’Union-Carbyde et pas Sévéso.
    Mais vous trouvé quand même le moyen de m’en attribuer les conséquences.
    « Vous pouvez demeurer dans vos sophismes : ceci ne vous autorise pas à m’accuser de dangerosité. Je dirais ici, que votre intention précède votre argumentaire, vous n’êtes manifestement pas dans la recherche de vérité. »
    Votre phrase vous est entièrement destinée, c’est ce qu’on appelle une inversion des rôles.
    Je n’y peux rien si vous vous trompez.

    Pour l’Union-Carbyte les liens renvoient sur Sevezo et votre exemple d’un général qui tue ses hommes en les envoyant à la guerre est pathétique.

    « Il y a des gens qui, même en connaissance de cause n’ont pas le sentiment de tromper en ne disant pas la vérité »
    On s’en fout de leurs sentiments et ils n’ont pas plus conscience des causes que de leurs intentions.
    c’est même pour ça qu’ils sont fous.

    « Les manipulateurs n’ont jamais l’intention de tromper puisque tromper est dans leur nature. »
    L’intention de tromper leur vient naturellement. même s’ils ne veulent pas le reconnaitre. et leur connaissance des causes est complétement erroné et pourtant il mentent. Je vous cite « n’ont pas le sentiment de tromper en ne disant pas la vérité »

    Merci encore une fois JL, vous voyez, c’est votre définition qui ne tient pas compte des psycopathes.

    C’est mon dernier commentaire vous concernant,
    faites vous plaisir.


    • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 20:41

      @PIPO
       
       est-ce que je vous aurais accusé d’être responsable d’une catastrophe industrielle ?
       
      Vous délirez grave.
       
      Retournez à l’école, bonhomme, pour apprendre à faire des phrases.


    • Philippe VERGNES 8 juin 2015 20:49

      @ PIPO, bonsoir,


      J’avoue avoir été impressionné par le travail de charlie. C’est la seule arme contre les comportements pervers : le sens du discernement qui atteste des capacités d’analyse, de l’esprit critique et de l’intelligence du sujet (compris ici en opposition au décervelage).

      C’est également la seule façon de conserver son libre arbitre, ce contre quoi lutte le pervers pour garder le pouvoir qu’il s’octroie sur autrui.

      C’est la raison pour laquelle je ne suis pas trop intervenu dans vos échanges avec JL, car vous aussi, vous avez très bien su exercer votre sens du discernement dans ces échanges en dénonçant l’attitude systématique que JL a de toujours inverser les rôles. Cette inversion, avec les moyens de disqualifications dont nous avons des centaines d’exemples sous tous mes articles, ainsi que quelques autres indices dont je n’ai pas encore parlés, signale a n’en pas douter la présence d’une pathologie narcissique perverse.

      Mais l’apothéose concerne l’argumentation de JL autour de la définition du mensonge et de sa conclusion JL 8 juin 14:12 : « L’inquisition c’est la recherche forcenée des intentions » qui témoigne plus que tout de sa pensée perverse.

      En effet, s’il existe de nombreuse définition de la perversion et du pervers et qu’il est aujourd’hui admis que la perversion consiste en un déni d’altérité (ce qui inclus les racismes, la xénophobie, l’homophobie, etc.), il est moins connu qu’un pervers ce reconnait également grâce à son attitude vis-à-vis de la loi, seule garante du vivre ensemble dans nos « démocraties » (qui sous le joug des pression du capitalisme libéral sont en train de devenir de véritables dictatures imposant leurs propres lois : à ce rythme là, ce seront bientôt - tous - les gens honnêtes qui seront taxés de pervers).

      Ainsi, le fantasme typiquement pervers est celui de « renverser le monde » (cf. Saverio Tomasella) et de le conformer à sa propre loi. Le marquis de Sade était l’archétype de se fantasme pervers : « Le marquis de Sade métamorphose le projet des Lumières en un nouvel ordre disciplinaire, sans limite, guidé par l’impératif de la jouissance et propose comme fondement de la République une inversion radicale de la Loi : obligation de la sodomie, de l’inceste et du crime. L’acte sexuel consiste à toujours traiter l’autre comme un objet interchangeable. tout objet en vaut un autre. Le monde vivant, dans son ensemble, doit être traité comme une collection de choses à démembrer et désarticuler et dont il faut jouir de la façon la plus irreprésentable. » 

      Si la perversion narcissique n’est pas à confondre avec la perversion sexuelle, le projet du pervers vis-à-vis de la loi reste le même : renverser le monde.

      Ainsi, l’assertion de JL : « L’inquisition c’est la recherche forcenée des intentions » est-elle fondée en droit ou ne l’est-elle pas ?

      Si elle est fondée en droit, cela signifie qu’il a raison et que nous sommes tous des pervers (tous ces contradicteurs et ils sont nombreux sur tous les fils de discussion de ce forum). Dans le cas contraire, ce fantasme pervers appartient en propre à JL et il en est seul responsable :

      Article 1213 du Code Pénal : « Il n’y a point de crime ou délit sans intention de le commettre... » (C’est l’une des premières choses que l’on apprend en droit pénal. Ainsi, la première chose que toute enquête criminelle doit prouver pour entrer en voie de condamnation vis-à-vis d’un suspect - normalement toujours présumé innocent - est l’intentionnalité qui a précédé l’acte criminel). JL « L’inquisition c’est la recherche forcenée des intentions ». Conclusion : selon la version de JL contraire à notre code pénal actuel, notre système judiciaire est une inquisition qu’il souhaite renverser pour imposer sa propre doctrine typiquement néolibérale du « tout jouir à tout prix et sans entrave ».

      CQFD pour reprendre l’une des formules magiques qu’affectionne JL.

      PS : La démonstration de charlie m’a fait prendre conscience du fait que je me suis montré beaucoup trop clément et magnanime envers JL. Il est plus que temps de rectifier cette erreur. smiley

    • PIPO 8 juin 2015 23:19

      @Philippe VERGNES
      bonsoir,

      "imposer sa propre doctrine typiquement néolibérale du « tout jouir à tout prix et sans entrave ».« 
      oui, pour le pervers narcissique, tout le monde pense comme ça, mais le cache.
      Celui qui n’est pas près à tout est un »faible« qui se cache derrière de fausses bonnes intentions, il l’a appris depuis sa plus »tendre« enfance. D’où son problème avec la recherche des intentions et la loi (qui est faite pour protéger les »faibles").


  • Francis, agnotologue JL 8 juin 2015 23:41


     @Philippe VERGNES
     
    de fait, je devrais écrire : « L’inquisition c’est la recherche forcenée des aveux »
     
     Pourqui cette culture de l’aveux ? Pour établir le mensonge ? Le crime ? Et je répondrai que cette culture des aveux est l’autre face de ces dfinitions archaïques que je dénonce.

     cf. Réforme de la justice : "Passer d’une culture de l’aveu à une culture de la preuve" Christian Charrière-Bournazel, bâtonnier de Paris, le vendredi 4 septembre 2009
     
    Un mensonge est un mensonge comme un meurtre est un meurtre. La loi fait le distinguo entre meurtre et crime, mais pas entre mensonge et mensonge intentionnel pour la bonne et simple raison que le mensonge n’est pas un délit.
     
    Par ailleurs, la loi est antérieure à la psychanalyse. Le néolibéralisme, les menteurs et Sade avec eux, se moquent bien du surmoi, de la psychanalyse et de la morale en générale. Ce n’est pas évidemment pas mon cas.
     
     Le néolibéral ici c’est celui qui fait de Sade un libertin et non pas un criminel, et qui soutient une définition du mensonge qui en exonère les personnes (physiques et morales) amorales, immorales ou psychopathes.
     
    Vous m’accusez d’être l’inquisiteur quand je promeus une définition défavorable aux psychopathes et qui ne fait pas appel à l’inquisition mais à l’objectivité seule ; cependant qu’à l’inverse et dans le même temps, vous défendez une proposition qui est profitable aux amoraux et immoraux de toutes engeances, tous experts avérés par définition, en projections et dénis.

     Ma définition du mensonge englobe tous les cas de mensonge où la votre est s’applique, et au delà. La réciproque n’est pas vraie.
     
    Je conclurai que le progressiste ici c’est moi qui contribue à faire évoluer des concepts archaïques au contraire de vous qui vous y accrochez. Le comble, c’est que celui de nous deux qui prétend dénoncer et combattre la perversité des institutions selon ses propre mots c’est vous.
     
     Un paradoxe de plus à votre actif.
     
     Ps : c’est effrayant d’être diabolisé pour un discours humaniste et progressiste comme le mien ! Comment disait JC_Lavau, déjà ? Fécalisé !


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 00:14

      @JL. « être diabolisé pour un discours humaniste et progressiste comme le mien ».
      ’coute mon gars, si tu es un type aussi bien que cela, alors fais comme si tu étais un adulte, et écris toi-même tes articles, tes livres, ton blog, travaille à ton compte au lieu de parasiter le travail des autres.


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 08:58

      @JC_Lavau
       
      vous permettez qu’on se vouvoie ?
       
      La question n’est pas de savoir si je suis un gars bien, mais si mes idées sont intéressantes. La question de savoir où et comment je les exprime est secondaire : je ne suis pas assez narcissique pour ne m’intéresser qu’à mes propres idées ; je crois en la vertu des échanges intellectuels.
       
      Mais la raison essentielle pour laquelle j’agis comme je le fais ici, sur les articles de PV, apparait limpidement dans mon post ci-dessus du 3 juin, 11:48.
       
      Ainsi que vous l’avez souligné vous-même, les charlatans ’’ont repéré un domaine aveugle dans la culture environnante, où leur bluff peut passer pour du génie, car personne ou presque ne dispose de la culture générale et scientifique nécessaire pour les démasquer rapidement. Du moins personne, là où ils frappent.  »’’
       
       Et où, mieux que sur un site citoyen peuvent-il éditer leurs fadaises en toute liberté, sans aucun contrôle des experts du domine considéré ? Sur leur propre site ? Non, personne n’y va, il y en a pléthore.
       
      Comme vous le savez, sur Agoravox, contrairement aux autres médias
      la correction des articles ne se fait pas avant publication mais après. Je ne fais qu’exercer mon droit de commenter. Ce n’est pas parce qu’un auteur interdit de fait toute remise en cause de ses idées si tant est qu’on puisse appeler ça idées, que cela me rebute : au contraire. Et c’est cette disposition de mon caractère que vous avez vous aussi, diabolisé. Je ne vous en félicite pas.
       
      Cette activité me prend du temps et me vide à un point tel que je n’ai plus d’énergie, de temps ou d’inspiration pour écrire moi-même.
       

       
       

       


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 09:05

      Suite :
       
       Je crois en la vertu des échanges intellectuels : il est probable que cette idée que la détestable culture de l’aveu dans notre justice serait la conséquence de cette définition erronée du mensonge qui a engendré cet article (1213, je n’ai pas vérifié) cité par PV ne me serait probablement pas venue toute seule.
       
       PV pourrait s’en féliciter.


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 11:25

      @JL : "commenter. ...
      Cette activité me prend du temps et me vide à un point tel que je n’ai plus d’énergie, de temps ou d’inspiration pour écrire moi-même
      ."

      La conclusion s’impose : ne commente plus.

      On mit le JL au régime
      On lui supprimant le poison,
      Et les vils commentaires !

      A présent on vit calmes sur Agora.
      JL est parti et retrouve sa raison.
      ...

      Continuez à votre idée sur le texte de Francis Blanche et la musique de Franz Schubert.


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 11:31

      @JC_Lavau
       
      Est-ce que vous voulez insinuer que j’ai perdu la raison ?
       
      N’auriez vous donc pas compris que c’est dans l’adversité que certains esprits peuvent produire le meilleur d’eux-même ?
       
       Ne dit-on pas que « c’est au pied du mur qu’on voit le maçon » ?
       


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 11:34

      @JC_Lavau,
       
       Monsieur JL, ou plus simplement JL, si ça ne vous fait rien. Sans quoi vous m’obligeriez à vous donner du le JC_Lavau.


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 11:57

      @JL : « perdu la raison ? ». Certes, tu en as publiquement multiplié les preuves, de ta psychose paranoïaque.

      Tant que tu n’as pas été jugé incapable par un jugement, tu demeures libre de te ridiculiser comme il te plaît. Je n’ai pas le sentiment que tu fasses une bonne affaire, à abuser de cette liberté comme tu le fais.


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 12:14

      @JC_Lavau
       
       Certes, il vous serait maintenant difficile d’admettre que vous vous êtes complètement planté et avez misé sur le mauvais cheval.
       
       Votre avis sur la question n’est pas recevable : vous vous êtes disqualifié par vos prises de positions aussi passionnelles que malheureuses.


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 12:21

      @JL. Et la métrique de la musique de Franz Schubert, kestanfais ?


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 12:25

      @JC_Lavau
       
      je me demande qui se ridiculise ici, à s’accrocher ainsi à l’autre.


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 12:39

      @JL : « misé sur le mauvais cheval ».

      Kilékon mékilékon mékilékon mékilékon !


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 12:56

      Konseledise,
       
       JC_Lavau ne se trompe jamais ... lui non plus !
       
       smiley
       


  • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 11:27

    Rebonjour philouie,
     
     les posts qui manquent entre autres, sont le mien qui vous remerciait pour cette intervention courageuse, et surtout vôtre :


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