mercredi 27 mai 2015 - par Philippe VERGNES

L’instrument majeur du pervers narcissique : la parole

« L’apanage le plus redoutable de la pensée perverse[1] est le décervelage, »[2] nous dit Racamier. Mais si le décervelage est l’attribut princeps de la pensée perverse à l’œuvre dans les relations d’emprise, ou toutes entreprises totalitaires, par quels moyens « extraordinaires » les pervers narcissiques réalisent-ils l’exploit d’assujettir leur entourage à la satisfaction de leur moindre désir ?

C’est à cette question que tente de répondre ce billet qui porte sur un des aspects les plus négligés de cette problématique dont la connaissance pourrait aider certains à mieux s’y retrouver, car « le terrain de prédilection, l’instrument majeur de la perversion narcissique, il est temps de le dire, c’est la parole »[3].

Ainsi, le secret de la prétendue force que l’on octroie inconsidérément au pervers réside dans l’usage dévoyé des mots et du raisonnement dont il use et que trahit un certain type de parole. Cette parole est tout à la fois séduisante et fascinante, voire envoûtante. Sa capacité de persuasion est remarquable, mais elle chante comme un petit air de faux que l’on a du mal à symboliser. Et pour cause... elle possède l’étrange don de « méduser » ses auditeurs ce qui, du point de vue de la psychotraumatologie, provoque un état dissociatif de la personnalité avec tous les effets délétères que cela implique[4] (identification à l’agresseur et syndrome de Stockholm).

Dès lors, si le discours pervers nous donnait des indices qui permettent de soupçonner sa présence – rappelons ici que la perversion narcissique est une prédation morale – il serait alors plus facile d’y remédier.

En effet, comment reconnaître et interpréter correctement la dimension intersubjective – qui est une communication complexe s’effectuant à différents niveaux : verbal et non-verbal – de deux ou plusieurs protagonistes d’une relation d’emprise narcissique ?

Répondre à cette question revêt un enjeu crucial qui dépasse le simple cadre bourreau/victime que l’on attribue aux seules relations du pervers narcissique avec sa ou ses proies, car si nous pouvions facilement identifier ce qui relève de la perversion narcissique, il serait alors beaucoup plus aisé de combattre ce fléau, d’en mesurer l’importance et de choisir entre abolir ce type de comportements répréhensibles visant la destruction ou l’anéantissement d’autrui… ou bien d’y souscrire comme le font certains. Ce choix serait alors conscient et se ferait en toute connaissance de cause tant pour les agresseurs que pour leurs victimes.

Outre la connaissance des définitions de cette pathologie de l’agir de parole[5] concernant l’éviction de deuils ou de conflits internes tels que déjà abordé lors d’un précédent article[6], il convient de savoir s’il existe d’autres moyens plus simples que ceux dévolus aux praticiens afin de déceler l’expression d’une perversion narcissique (dans un premier temps, la distinction entre les divers plans ou échelons de la perversion narcissique – fréquence, durée, intensité – qui détermine s’il s’agit d’un mouvement, d’une formation ou d’une organisation perverse de la personnalité, n’est pas prioritaire, car il s’agit avant tout de se libérer de ce type de lien dans lequel nous plonge une relation d’emprise).

Il se trouve qu’il existe quelques travaux de grande qualité qui peuvent nous aider à ne pas mélanger le bourreau – l’initiateur de la relation d’emprise – avec sa proie – la véritable victime. Ses travaux portent avant tout sur l’utilisation d’une logique et d’un langage idiosyncrasique pervers destinés non pas à communiquer et à entrer en relation avec autrui, mais à agir – à « faire-agir », « transagir » ou « extragir » aurait dit Racamier – sur le récepteur du discours en suscitant chez lui divers sentiments négatifs qui vont le pousser à la faute. Faute qui lui sera ensuite triomphalement reprochée par une habile inversion des places et des rôles induisant un retournement de situation : le bourreau se faisant alors passer pour la victime de ses propres exactions (c’est sur ce type de retournement qu’est basé le principe de la jouissance perverse narcissique). C’est là, selon le Dr Gérard Lopez, la signature du vampire[7]. (Ce mécanisme d’inversion a également été parfaitement décrit par les Drs Maurice Hurni et Giovanna Stoll[8] et est de plus en plus et de mieux en mieux reconnu dans les diverses disciplines des sciences humaines qui s’intéressent à cette problématique.)

Pour le pervers, il ne s’agit pas tant de communiquer – au sens de « partager quelque chose avec quelqu’un » ou « être ou entrer en relation plus ou moins directe avec quelqu’un » – que de dominer et de contrôler cet autre différent de lui qu’il ne peut tolérer. Ainsi, le pervers utilise le langage non pas pour établir un lien avec autrui, ce qui serait pour lui source d’angoisse, mais pour conforter le pouvoir qu’il s’octroie sur son entourage. Ce faisant, il soumet ses interlocuteurs à une « double contrainte » – ou « double nœud » selon la traduction que fait Racamier de la découverte des palo-altistes – qui consiste à répondre au désir de communiquer de quelqu’un par des messages qui privent son interlocuteur d’une quelconque possibilité d’exprimer ses pensées ou ses idées. Pour parvenir à ce résultat, il utilise diverses techniques de disqualification basées sur le mode paradoxal confusiogène d’une communication/anticommunication qui pourrait ce formuler ainsi : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais et surtout puissiez-vous ne rien comprendre à ce que je vous raconte de manière à ce que, quoi que vous pensiez, quoi que vous disiez, ou quoi que vous fassiez, je puisse toujours avoir raison. »

Le discours pervers induit en effet un état de sidération qui possède la faculté d’abolir notre raison et facilite toutes les manipulations, car l’individu conditionné aux techniques rhétoriques que nous allons aborder dans ce billet se « dissocie » et « scinde » (clive) son psychisme en deux ou plusieurs parties. Il en résulte à la longue une dissociation traumatique, semblable à celle que connaissent les personnes atteintes d’un état de stress post-traumatique[9], que le discours pervers alimente et entretient.

La connaissance des caractéristiques de cette communication perverse apte à piéger tout un chacun et à induire un ESPT chez certains est donc d’une importance vitale à connaître pour discriminer les agressions perverses des simples conflits interpersonnels avec lesquels elles sont majoritairement confondues.

Dans deux précédents articles portant sur la communication paradoxale[10] (déviante ou perverse) introduisant le sujet de l’emprise[11], nous avons déjà abordé certaines caractéristiques du discours paradoxal, mais comme l’a le premier souligné Didier Anzieu : « L’étude de l’injonction paradoxale n’épuise pas la diversité des situations paradoxales. Un autre type en est la disqualification. Il s’agit non plus d’un ordre donné à quelqu’un mais d’un jugement porté sur lui. Dans le premier cas, le paradoxe réside dans le fait que l’ordre impose au sujet deux contraintes antagonistes. Dans le second cas, le paradoxe tient en ce que le jugement communiqué au sujet sur lui est une dénégation du vécu même du sujet, de la perception que celui-ci a de ses sensations, de ses pensées ou de ses désirs. »[12]

Autrement dit, le jugement que l’on porte sur autrui est une négation de sa propre existence ; c’est une attaque portée à l’identité de cet autre différent de soi destinée à annihiler, anéantir ou détruire son existence même ; une tentative de meurtre psychique ou de meurtre d’âme.

Nous sommes là, au cœur des problématiques narcissiques perverses pour qui les frontières entre le monde interne et le monde externe de la psyché sont absentes ou floues. Comme dans le mythe de Narcisse, l’individu atteint de ce trouble ne reconnaît pas sa propre image dans le reflet de la source et finit par la perdre (il projette)… et y perdre les autres. L’altérité est niée et laisse place à ce que Radu Clit a dénommé la position totalitaire.[13]

Quoi qu’il en soit, en dehors de la systémique (G. Bateson, P. Watzlawick, etc.), rares sont les recherches portant sur les paradoxes cliniques étudiés comme procédés typiquement schizo (-phréniques ou -phrénogènes), mais bien plus rares encore ont été ceux qui ont approfondi la recherche sur les paradoxes pragmatiques « serrés », les plus pathogènes, et leur « unité de base » :

 

La disqualification

« Avant que d’intégrer le paradoxe dans la perspective plus large d’un modèle de fonctionnement psychique, il faut le ramener à ce qu’il est fondamentalement pour le moi : une disqualification – entendons, par là, le contraire de toute reconnaissance narcissique de l’activité propre du moi.

Pour prendre un exemple clinique très simple : c’est une disqualification qui est opérée à l’encontre de l’enfant qui, de retour de l’école, annonce qu’elle a faim, et à qui sa mère répond : « Mais non, tu n’as pas faim. » (Notons bien que cette mère ne dit pas à l’enfant qu’il ne faut pas manger ou que ça n’en est pas l’heure ; bien au contraire, l’intervention porte sur le propre vécu de l’enfant, et c’est en cela qu’elle est disqualifiante. Même chose s’observe dans l’exemple, relaté à et par Anzieu, de l’enfant que les parents plongeaient dans un bain brûlant, lui affirmant ensuite quand, écarlate et haletante, elle se plaignait de brûler, que cette eau-là était parfaite mais qu’elle, enfant, jouait la comédie.)

Nous voyons à l’évidence que l’enfant dont la perception est disqualifiée est placé dans l’alternative de croire au témoignage de ses sens, ou de croire son objet ; il doit choisir entre la confiance de son moi et l’amour de l’objet ; il est écartelé entre son moi et son objet. Si la disqualification est fréquente, voire constante, le résultat sera que des activités naturellement non conflictuelles du moi vont devenir conflictuelles. Il deviendra en soi conflictuel de percevoir, de sentir et, dans la même foulée, de penser.

Si la disqualification directe est simple, c’est qu’elle s’attaque à la sensation, au perçu. Dès qu’elle s’attaque à des aspects plus complexes de l’activité propre du moi – à de ces aspects que l’on dit neutres parce qu’ils s’exercent d’ordinaire sans conflit notable – la disqualification prend, et ne peut que prendre, la forme du paradoxe. Et le paradoxe va plus loin : il disqualifie non seulement la pensée, et le processus secondaire, mais encore les affects ; il excède ainsi les ressources du travail psychique du moi. Schreber n’aurait-il pas dit que c’est un assassinat d’âme ? »[14]

C’est ainsi que Jean-Pierre Caillot (2003) qui répond au souhait de René Roussillon (1979) plaidant pour une épistémologie des paradoxes précise que « la disqualification par le sujet pervers narcissique des sensations, des émotions ou des pensées de l’objet crée dans l’objet des confusions. »[15]

Et René Roussillon de préciser : « La disqualification est une anti-reconnaissance, elle surgit de la non-prise en compte du désir de communiquer de l’un des deux locuteurs par l’autre. La disqualification signifie au sujet disqualifié que, concernant quelque chose qui le touche de près, il n’a rien à en dire, il n’a pas à en communiquer quoi que ce soit, mieux, il n’a pas à en penser quoi que ce soit. Globalement, elle lui signifie qu’il n’est rien. »[16]

Les méthodes de disqualifications sont innombrables et plus ou moins complexes et constituent donc un indicateur important de la présence d’une perversion narcissique. Néanmoins, les disqualifications ne visent pas toutes le même but et n’émanent pas forcément des mêmes intentions destructrices.

Il nous est tous arrivé un jour ou l’autre de disqualifier quelqu’un en certaines circonstances, ce qui ne veut pas dire pour autant que nous soyons tous des pervers narcissiques « accomplis » selon l’acception que fait Racamier de cette terminologie. Cela fait simplement écho au fait qu’« un brin de perversion narcissique ne nuit à personne et même est-il indispensable à quiconque, en vue de sa survie sociale… »[17]

Ainsi, si quelqu’un nous confronte à une situation paradoxale disqualifiante, à moins d’être totalement sous emprise, il n’est rien de plus naturel que de répondre par une disqualification subséquente qui lui signifie que nous n’avons pas à accepter d’être le réceptacle de ses excrets. C’est une question de respect et de dignité, gage de bonne santé (cf. les recherches d’Henri Laborit sur l’agressivité et sa cage d’inhibition).

Toutefois, à répondre à ce type de manœuvres perverses il est nécessaire de ne pas perdre de vue, comme l’avait très bien analysé Didier Anzieu, que « les paradoxes logiques sont des figures de la pulsion de mort »[18] et que « le raisonnement peut servir d’arme au sujet humain pour établir son pouvoir sur autrui ».[19] Il convient donc de n’avoir recours à ce genre de procédé qu’en mode défensif, et non pas offensif (imposition d’une contrainte paradoxale), et surtout d’en comprendre les implications et les effets pour ne pas s’y laisser piéger – ce qui constituerait une victoire pour le pervers –, car « placer quelqu’un dans une situation paradoxale et lui reprocher ensuite le caractère contradictoire de son discours et de ses affects constitue une démarche inconsciente qui pervertit les processus secondaires par les processus primaires, avec le but de maintenir l’emprise sur autrui par un renforcement économique, c’est-à-dire par l’accroissement de la pulsion d’autodestruction. S’installe une sorte d’alliance thérapeutique négative entre la pulsion inconsciente de l’émetteur qui vise la mort de l’autre et la pulsion d’autodestruction du destinataire. »[20]

En d’autres termes, la disqualification peut être proactive et maligne ou bien réactive et bénigne (légitime défense). Apprendre à discriminer l’une et l’autre de ces deux formes de disqualifications permettrait de rendre une justice équitable aux cibles de pervers narcissiques, car « le chef-d’œuvre de l’injustice, c’est de paraître juste sans l’être »[21].

 

Conclusion :

« En quoi consiste la conduite narcissiquement perverse ? [interroge Paul-Claude Racamier] Elle sera toujours une prédation morale. Une attaque du moi de l’autre au profit du narcissisme du sujet. Une disqualification active (plus ou moins habile et subtile) du moi de l’autre et de son narcissisme légitime. »[22]

Puis ultérieurement, il rajoute : « La disqualification est un des moyens absolument essentiels de toute activité perverse de type narcissique. Cette disqualification déconsidère ce que l’autre ou ce que les autres ressentent, souhaitent, désirent, peuvent faire et vivent. »[23] « Elle consiste en un discrédit porté sur la valeur et la qualité intrinsèque des capacités et des accomplissements d’un individu (ou plus précisément de son moi, ou bien encore d’un groupe ou d’une famille). C’est une atteinte narcissique : l’inverse de la reconnaissance – au sens de qualification positive – des capacités manifestes ou potentielles d’autrui ou de soi-même. […] Il est bien vrai que toute disqualification est une atteinte aux droits narcissiques, et constitue à ce titre une frustration*. »[24]

En définitive, la perversion narcissique est une atteinte aux droits fondamentaux de tout individu tel qu’inscrit dans le marbre de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen. Peut-être est-ce là l’une des raisons, puisant sa source dans notre inconscient collectif, pour laquelle ce concept a été découvert et développé en France ?

En tout état de cause, c’est probablement pourquoi cette expression est bien plus que ce à quoi certains voudraient la réduire : un simple phénomène de mode.

 

Philippe Vergnes


[2] Racamier, Paul-Claude (1992), « Pensée perverse et décervelage », in Secret de famille et pensée perverse, Gruppo n°8, Revue de Psychanalyse Groupale, Paris : Apsygée, p. 137-155.

[3] Racamier, Paul-Claude (1992), Le génie des origines, Paris : Payot, 422 p. (p. 292)

[5] Pirlot, Gérard ; Pedinielli, Jean-Louis (2009), Les perversions sexuelles et narcissiques, Barcelone : Armand Colin, 127 p.

[7] Lopez, Gérard, « La relation d’emprise », sur le site de la préfecture de la Sarthe.

[8] Hurni Maurice et Stoll Giovanna (1996), La haine de l’amour – La perversion du lien, Paris : Harmattan, 386 p. (cf. « Comment reconnaître un pervers narcissique “manipula-tueurˮ »).

[12] Anzieu, Didier (1975), « Le transfert paradoxal. De la communication paradoxale à la réaction thérapeutique négative », in Nouvelle Revue de Psychanalyse, n° 12, p. 49-72.

[14] Racamier, Paul-Claude (1978), « Les paradoxes des schizophrènes », in Revue Française de Psychanalyse, tome XLII, Psychoses et États limites, Paris : PUF, p. 877-969. Le passage reproduit ici est un extrait du chapitre VIII de cette étude, p. 949-950, que l’on peut lire en intégralité en cliquant sur le lien suivant : « Schizophrénie et paradoxalité ». (C’est moi qui souligne.)

[15] Caillot, Jean-Pierre (2003), « Envie, Sacrifice et manœuvres perverses narcissiques », in Revue Française de Psychanalyse 2003/3 – La perversion narcissique, Volume 67, Paris : PUF, p. 819-838.

[16] Roussillon, René (1979), « Pour une épistémologie des paradoxes psychologiques » (inédit). (C’est moi qui souligne.)

[17] Racamier, Paul-Claude (1992), Le génie des origines, Paris : Payot, 422 p. (p. 281). Cf. « Pervers narcissique (partie 1/2) : plongée au cœur des origines d’un concept en vogue ».

[18] Anzieu, Didier (1975), « Le transfert paradoxal. De la communication paradoxale à la réaction thérapeutique négative », Nouvelle Revue de Psychanalyse, n° 12, p. 49-72.

[19] Ibid.

[20] Ibid. (C’est moi qui souligne.)

[21] Platon, La République, II, 361a.

[22] Racamier, Paul-Claude (1987), « De la perversion narcissique », in Gruppo, Revue de Psychanalyse Groupale, n°3, Paris : APSYG, p. 11-25. (Propos souligné par l’auteur.)

[23] Racamier, Paul-Claude (1995), « Décervelage et perversion dans les institutions », 2ème conférence du cycle « Perversions et Société », Lausanne le 6 avril 1995. (C’est moi qui souligne.)

[24] Racamier, Paul-Claude (1995), L’inceste et l’incestuel, Crolet : Les éditions du collège, 254 p. (p. 68). (Souligné par l’auteur.)

* Dans ses premières études portant sur les frustrations précoces (1953 et 1954, cf. « Pervers narcissique (partie 1/2) : plongée au cœur des origines d’un concept en vogue »), Racamier précisait que le terme frustration était à entendre en matière de préjudices.



392 réactions


  • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 14:39

    Premier élément de l’inventaire :

    Philippe VERGNES 8 juin 08:57

    @ charlie, bonjour,

    Attention avec JL de ne pas lui donner prise : c’est un pervers paranoïaque d’une rare violence comme a très bien su l’analyser J_C Lavau en peu de temps.

    • philouie 9 juin 2015 15:05

      @JL
      Bof. Il ne s’agit là que d’une stratégie habituelle chez Vergnes. D’un contradicteur qu’il n’aura pas réussit à circonvenir au moyen de basse flatterie, PV en fait un pervers et montre ainsi que ces thèses sont vérifiés. le contredire, c’est être dans le déni, le moquer, c’est être dans la disqualification etc..
      En quelque sorte, chaque contradicteur de PV prouve par sa folie que les vues de PV sont justes.
       
      Ce qu’il y a d’amusant, dans l’extrait que vous citez ici, c’est que PV vient de découvrir un nouveau mot et qu’il le transforme instantanément en arme, masquant par là, qu’il n’avait pas vu jusque là de pervers paranoïaque.


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 15:11

      Merci philouie,
       
       je ne vous dirai jamais assez combien votre intervention fait du bien, tant il est vrai qu’il faut un Moi sacrément solide pour affronter de tels personnages.
       
       


    • Philippe VERGNES 9 juin 2015 15:42

      @ JL, bonjour,


      Si les interventions de philouie vous font du bien de part leurs diffamations, et ben... c’est tout simplement que votre Moi n’est justement pas solide (narcissisme vulnérable qui dégénère en pathologie narcissique perverse lorsque l’on est pas capable d’accepter ses propres tares).

      Sinon, M. le bourreau-victime (LLS devrait venir s’instruire ici sur la dynamique ici sur la dynamique du schéma auto-victimaire), vous n’avez pas trouver d’autres exemples de diffamations de ma part ? Une seule sur ce fil de discussion, là où vous y avez déposé des dizaines d’excrets ?

      @ Philouie, bonjour,

      Je vous avais fait une promesse, et je n’ai déjà que trop tardé avec le sieur JL comme charlie ci-dessus a si bien su le résumer par son post du 8 juin 13:22. Si votre message calomniateur, diffamant et pervers supprimé des dizaines de fois aujourd’hui devait encore réapparaître que ce soit sous votre pseudo ou celui de JL : vous y êtes, la plainte est désormais prête à partir, il ne restera plus qu’à y insérer vos sinistres interventions. On parle là de cyber-harcèlement et non plus de diffamation. Fait autrement plus grave, surtout pas les temps qui courent !

      Bonne chance, les jeux sont presque fait !

    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 15:59

      @Philippe VERGNES
       
       aussi longtemps que vous direz des choses comme ça, je cite :
       

      Par Philippe Vergnes, 8 juin 08:57

      @ charlie, bonjour,

      Attention avec JL de ne pas lui donner prise : c’est un pervers paranoïaque d’une rare violence

       
       
      vous serez débouté devant un tribunal : c’est vous qui harcelez les personnes qui ont l’outrecuidance de contester vos grandioses analyses.
       
       Est-ce dans l’optique de cette ultime forfaiture que vous avez entrepris de faire supprimer les posts litigieux ? Je constate que le compteur d’interventions se réduit comme peaux de chagrin.
       
      Ps. Votre moi ne serait-il pas assez solide que vous ayez besoin de recourir à de tels procédés pour vous en sortir ?

       
      (*) Vous pouvez faire supprimer vos posts litigieux, j’ai fait une copie hors connexion de ce fil depuis un moment. J’y reviendrai. En attendant, je constate une fois de plus cette formule de Racamier : la pensée pervers est un détournement d’intelligences. Oui, c’est moi qui mets le pluriel, : il est bien justifié.


    • philouie 9 juin 2015 16:48

      @Philippe VERGNES
      Si votre message calomniateur, diffamant et pervers supprimé des dizaines de fois aujourd’hui devait encore réapparaître que ce soit sous votre pseudo ou celui de JL : vous y êtes, la plainte est désormais prête à partir, il ne restera plus qu’à y insérer vos sinistres interventions. On parle là de cyber-harcèlement et non plus de diffamation.

      Donc, vous confirmez que c’est bien vous qui avez fait supprimer mon message. C’est le mot « charlatan » ou celui « d’escroc » qui vous dérange le plus ?

      Pour avoir longuement ferraillé avec Philippe Vergnes, je confirme les propos de JL : PV est un charlatan qui cherche a passer pour un spécialiste de la perversion narcissique par accumulation de références scientifiques, sans avoir une réelle compréhension de ce dont il parle.
       
      Ses armes sont l’usage de jargon et l’accumulation de détails qu’un lecteur peu attentif pourrait confondre avec de l’érudition : il ne s’agit en réalité que de poudre aux yeux à des fins de manipulation
      .

      Je constate également que mon propos précédent :

      Il ne s’agit là que d’une stratégie habituelle chez Vergnes. D’un contradicteur qu’il n’aura pas réussit à circonvenir au moyen de basse flatterie, PV en fait un pervers et montre ainsi que ces thèses sont vérifiés. le contredire, c’est être dans le déni, le moquer, c’est être dans la disqualification etc..
      En quelque sorte, chaque contradicteur de PV prouve par sa folie que les vues de PV sont justes.

      se trouve vérifié dans votre propos suivant.


  • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 15:47

    @ la modération :
     
    est-ce que c’est une partie de bras de fer que vous avez entamé ici contre moi ?
     
     Le post de philouie que vous ne supportez pas semble-t-il, ne contrevenait pas plus à la Charte que les posts de PV lui-même ou ses soutiens dirigés conte moi, comme en témoigne ce post de PV lui-même :
     
    Par Philippe Vergnes, 8 juin 08:57

    @ charlie, bonjour,

    Attention avec JL de ne pas lui donner prise : c’est un pervers paranoïaque d’une rare violence

    --------------------

    Je rappelle ce post pour la énième fois :
     
    Par philouie, le 9 juin 09:53
     
    « Les charlatans ont repéré un domaine aveugle dans la culture environnante, où leur bluff peut passer pour du génie, car personne ou presque ne dispose de la culture générale et scientifique nécessaire pour les démasquer rapidement. Du moins personne, là où ils frappent. »
     
    ’’Pour avoir longuement ferraillé avec Philippe Vergnes, je confirme les propos de JL : PV est un charlatan qui cherche a passer pour un spécialiste de la perversion narcissique par accumulation de références scientifiques, sans avoir une réelle compréhension de ce dont il parle. ’’
     
    ’’Ses armes sont l’usage de jargon et l’accumulation de détails qu’un lecteur peu attentif pourrait confondre avec de l’érudition : il ne s’agit en réalité que de poudre aux yeux à des fins de manipulation.’’


  • Philippe VERGNES 9 juin 2015 18:45

    @ JL, philouie, bonsoir,


    Vous assumez donc vos dires en toute connaissance de cause... ce n’est donc nullement moi qui ne supporte pas d’être calomnié, diffamé, insulté, harcelé et j’en passe des vertes et des pas mûres, c’est juste vous qui, dès qu’on leur met le nez dans leurs propres excrets par une simple assertion aussi enfantine que : « c’est celui qui dit qui est » (ce que vous avez enfin fini par comprendre après plus de deux ans d’échanges) se sentent calomniés, diffamé, insultés, etc. oubliant par ce fait même toutes les « saloperies » qu’ils peuvent déverser sur autrui (absence de remise en question, incapacité à assumer ses fautes, harcèle mais se font passer pour victime dès lors qu’ils sont pris les mains dans le pot de confiture, etc., bref, tous les critères des bons pervers qui, à l’image des pédophiles s’écrient devant le juge : « C’est l’enfant qui m’a séduit, il était consentant ».)

    Ainsi, mon cher JL, mon cher philouie... « charlatan, imposteur, manipulateur, pervers narcissique, escroc, etc., ... » des mots que vous avez eu plein la « bouche » sous tous mes articles et préalablement avant que je ne les utilise contre vous comme vous le reconnaissez vous-même dans mon article : « Le mystère Freud : Freud Vs Racamier, l’énigme de la perversion narcissique » et le précédent : « Où est Charlie ? Le retour du fascisme et du totalitarisme sous le masque de la perversion narcissique », je n’ai plus qu’une chose à vous dire : « C’EST TOUJOURS CELUI QUI DIT QUI EST ». smiley !

    • philouie 9 juin 2015 19:48

      @Philippe VERGNES
      le pauvre biquet, il va finir par se plaindre à la maîtresse...

      Bon, je suis retourné en arrière et j’ai fait un peu les poubelles, puisque notre première dispute reposait sur le reproche que je vous faisais de vouloir psychologiser vos contradicteurs. je vous avais qualifier de cyberflic, ce que je trouve toujours très vrai.

      je reposte dons la première intervention sérieuse que j’ai eu avec vous. je n’ai rien à y changer si ce n’est que je remplacerais le terme de pervers narcissique par celui de psychopathe , puisque c’est celui que vous avez explicitement utilisé à propos de Gogorat. (réponse à Bur K qui précède le message de vous que je cite ci après :

      http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-novlangue-des-psychopathes-135715?debut_forums=100#forum3720512

      je cite in-extenso

      Bonjour P. Vergnes,

      Bien sûr, bien sûr.
      Mais vos dénégations et justifications sont contredites par les faits, ce que je vais monter de façon assez simple.
      En préambule, merci d’éviter de m’infliger votre jargon, je parle en français courant et ça me suffit.

      Comme je l’ai déjà dit je suis tombé dans cette dispute par hasard sur un article de Bur K « la France a-t’elle besoin de chef ? », je montrais à morphéus qui prétendait ne pas avoir de volonté de domination d’autrui qu’il mentait. j’avais conclus des échanges sur cette article que ceux qui ne veulent pas de chef ne reconnaissent d’autorité qu’eux mêmes et se comportent en tyrans dès que l’occasion se présente.

      Je me suis alors intéressé à votre dispute pour des raisons que j’ignore pour le moment. Quoiqu’il en soit, j’ai fait ma petite enquête, essayé de comprendre pour démêler le vrai du faux.

      J’ai lu quelques commentaires de JL dans diverses discussions. Je ne crois pas avoir déjà échangé avec lui sur agoravox (peut-être ailleurs...)
      Je dirais de JL que c’est un républicain. honnête. Il a effectivement un coté tête de cochon qui doit le rendre désagréable pour beaucoup d’interlocuteurs : il poste non pas pour plaire mais pour défendre ses idées.

      J’ai lu aussi vos commentaires, quelques uns. j’ai essayé vos articles. En vain. ils relèvent pour moi plus du bruit que du sens.

      Ceci étant dit pour établir le contexte, j’en viens au fond.

      Evidement quand je dis qu’il *semble* que vous êtes friand de la chasse aux sorcières, c’est par euphémisme, puisque j’en ai fait le constat et que je vais vous le montrer.

      Gaspart Delanuit vous a fait part de façon très claire de son inquiétude à ce que vos théories et méthodes conduisent inévitablement à une chasse aux sorcières : en effet pourquoi établir une grille permettant de reconnaitre le pervers narcissique si ce n’est pour le traquer ensuite ?

      J’affirme, moi, qu’il ne s’agit pas que d’un problème théorique, mais que cette chasse aux sorcières vous la mettez en pratique, ici, sur le forum.

      et je le prouve.

      je vous renvoie pour cela à un échange que vous avez eu avec un dénommé gogoRat sur l’article « La france a-t’elle besoin de chef ».

      http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/la-democratie-a-t-elle-besoin-de-135204#forum3712464

      Ce qu’il y a d’intéressant dans cet échange, c’est que JL n’y participe pas, et que vous ne nous pouvez donc pas l’accuser d’être responsable de votre comportement.

      L’échange avec gogoRat est assez court, une dizaine de post tout au plus. je ne vais pas en refaire toute l’histoire mais disons simplement qu’il s’agit d’une dispute entre gogoRat qui vient pour participer au débat et Bur K qui ne le comprend pas . Insulté au bout du deuxième post, gogoRat marmonne son mécontentement et se casse. sans avoir évidement jeté quelques piques (genre que la cours d’école maternel, pas pour lui)

      En tout état de cause rien de bien spécial.

      Et là, vous lui faites son procès en sorcellerie qui consiste à crier à la cantonade : (je ne donne que le sens général)

      - regardez qu’il est beau, je viens d’en attraper un, regardez comme il correspond bien aux critères que j’ai défini, j’en tiens un, j’en tiens un.
      de quoi ? de pervers narcissique bien sûr puisque c’est de cela dont vous parler.

      je copie-colle vos mots les plus parlant :

      Splendide ! Brillantissime ! Grandiose !

      ....

      Vous venez de nous offrir une illustration exemplaire de mon propos en vous montrant incapable de lire un commentaire dans son contexte. Lorsque vous me citez comme vous l’avez fait, en sortant ma phrase du cadre dans lequel elle a été émise (un paragraphe parlant de généralités qui ne vous étaient pas spécialement destinées puisque l’introduction de ce paragraphe commençait par : « Ces erreurs [d’interprétation] sont particulièrement fréquentes sur les forums… ») et que vous en faites une interprétation personnelle en la réduisant à sa plus simple particularité, vous vous méprenez (encore malheureusement) alors qu’il vous aurait été très simple de commenter mon analyse, en l’approuvant ou en la réprouvant pour lever le malentendu que je soulevais. Ce choix dénote d’un désir de ne pas communiquer avec tous les désagréments que cela implique et les conclusions que vos interlocuteurs doivent en tirer.

      Dès lors, ne vous plaignez pas des « attaques » qui vous sont portées, vous n’en êtes que l’instigateur.

      Votre conclusion est à ce titre somptueuse : « ne reste que le factuel, la profession de foi ainsi affichée ».

      Je tiens tout de même à vous rassurer, j’ai l’habitude avec les gens qui s’inventent des demandes lorsqu’il n’y en a pas (prétendent en voir lorsqu’il n’y en a aucune) et qui n’y répondent pas lorsqu’il y en a une.

      Il est clair qu’avec des « interprètes » tels que vous, mon prochain article avance à grands pas. Ce dont je vous remercie par avance.

      Je ne vais pas faire l’analyse de votre prose, ça n’a pas bien d’intérêt, mais il suffit de la lire pour comprendre que vous êtes bien dans le registre de la chasse au sorcière envers un interlocuteur qui n’est pas JL et que vous ne connaissez ni des lèvres, ni des dents.

      Chacun est évidement libre de se faire son idée, la mienne est faite.

      je vous suggère comme prochain article : de l’usage de la flagornerie dans la manipulation.

      Salutations.

      ....

      J’ajoute que le prochain article dont vous parlez là était annoncé juste avant par cette formule :

      Je vous prie cependant de m’excuser pour « polluer » pour encore deux ou trois posts ce fil de discussion en raison d’une part, parce que je prépare un article sur le langage spécifique à la psychopathie et qu’il me faut pour cela des exemples à commenter, et d’autre part, parce que lorsque je « vais à la pêche » ce n’ai jamais s’en avoir quelques bons appâts dans ma musette.
       
      Le simple bon sens montre que vous traitez de psychopathe un interlocuteur, à base de 2 échanges sur Internet.

      A votre service.


    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 20:22

      @Philouie,
       
       magnifique travail, bravo. Merci pour l’image que vous donnez de moi. Et vous savez que je suis jamais dans la flatterie.
       
      Post qui, et ce n’est pas le moindre, ridiculise le travail de charlie. Je ne l’oublierai pas.


    • Philippe VERGNES 9 juin 2015 20:46

      @ philouie,


      Une preuve de plus de votre incapacité à lire un texte en contexte, ce que vous appelez votre « simple bon sens » relève bel et bien de votre délire à deux avec votre comparse.

      Le cyber-sociopathe - nom que lui avait déjà donné Bur K - dont il est question sur ce fil de commentaire que vous mettez en lien était déjà JL et non pas gogoRat comme vous l’interprétez. Il suffisait de lire les échanges et de comprendre les différents qui nous opposaient précédemment depuis pas mal de temps pour comprendre cela.

      Ainsi, et encore une nouvelle fois, cette chasse au sorcière qui n’existe que dans votre esprit déluré est celle de votre complice qui s’en vante même à plusieurs reprises ici-même (quel est donc cette pulsion qui le pousse à commenter des articles qu’il avoue lui-même ne plus lire depuis bien longtemps, excepté celui-ci peut-être).

      Dès lors, toute votre démonstration tombe à l’eau comme en témoigne votre conclusion. En effet, dans mon article sur « La novlangue du psychopathe » quels sont les propos que j’ai pris comme exemple de discours paradoxal et manipulateur, les propos de gogoRat ou ceux de JL ?

      La réponse est bel et bien ceux de JL et non pas ceux de gogoRat qui eux m’ont servi pour un tout autre sujet, car lorsque je parlais à plusieurs reprises de « ces erreurs [d’interprétation qui] sont particulièrement fréquentes sur les forums… », à l’attention de gogoRat, je faisais allusion à un autre article qui est paru peu de temps après celui que vous citez et dont le titre est : « Peut-on faire confiance à notre jugement ? La fiabilité des ’expert’ en cause ».

      Ce que vous faîtes-là s’appelle un procès d’intention sans recherche d’intention, ce qui est la marque de la chasse au sorcière et de l’inquisition que vous dénoncez chez autrui. C’est bien pour cela que notre droit pénal ne peut pas entrer en voie de condamnation envers quelqu’un qui n’a pas eu l’intention de commettre un crime. Et c’est bien pour cela aussi qu’il est beaucoup plus difficile de faire condamner quelqu’un aujourd’hui que ça ne l’était sous l’inquisition.

      Vous vous vantez dans d’autre fil de discussion de ne jamais juger, et à la première apparition de votre part sous une de mes articles, vous jugez sans contradictoire et sans cherchez à établir la véracité des faits. Vous êtes l’inquisiteur que vous croyez voir chez autrui mon cher philouie.

      Il aurait suffit de demander et je vous aurais répondu avec précision, mais comme vous le décrétiez vous-même : « Chacun est évidemment libre de se faire son idée, la mienne est faite. Etc. etc., etc. »

      Autrement dit, vous vous êtes montré à de très nombreuses reprises, comme vous le confirmez encore une fois ici, incapable de suivre une discussion en contexte et d’en retracer le déroulé des faits avec exactitude inventant par là même une toute autre réalité exactement comme le fait JL sous tous mes articles.

      De fait, ce n’est pas la recherche de la vérité qui vous importe, mais le seul fait de de pouvoir justifier et confirmer votre propre jugement d’ignorant.

      Personnellement, lorsque j’ignore un fait, une théorie, un concept, une information, etc. je demande aux personnes concernées et j’essaie de trier le bon grain de l’ivraie, une attitude qui vous est manifestement inconnue.

      JL pourra jubiler tout ce qu’il veut, il est et restera la seule victime de ses propres turpitudes dans lesquelles il finira par vous entraîner, car en lui faisant du bien vous vous enfoncez avec lui dans le mensonge.

      J’ajoute enfin pour finir que par la suite, j’ai eu plusieurs échanges fort intéressant avec gogoRat, ce qui atteste sans plus aucun doute possible de votre manque de discernement et du fait que vous justifiez vos ignominies accusatrices infondées sur la base de vos propres erreurs d’interprétation.

      C’est grave docteur ??? smiley smiley smiley


    • philouie 9 juin 2015 21:09

      @Philippe VERGNES
      Vous avez sans doute manqué d’attention. le post que je cite ( 8 mai 2013 09:57) commence par ces mots : Bonjour gogoRat,
      vérifiez. je ne confonds pas.
      mais puisque vous en redemandez et que vous parlez du « cybersociopathe » 
      et que vous vous plaignez d’être traité d’escroc et de charlatan, voici donc les qualificatifs par lesquels vous nommez JL
      (post du 7 mai 2013 11:36)

      cybersociopathe
      empriseur
      paradoxeur de l’extrème
      pervers narcissique
      psychopathe
      prédateur
      tueur d’âme
      parasite
      tanatophore
      nécrophile
      Hitler
      manipula-tueur
      gens du mensonges
      ....


    • philouie 9 juin 2015 21:19

      @philouie
      donc pour être tout à fait clair : le post qui s’adresse à gogoRat commence par ces mots

      Bonjour gogoRat,

      et se termine par ceux-ci :

      Il est clair qu’avec des « interprètes » tels que vous, mon prochain article avance à grands pas. Ce dont je vous remercie par avance.

      (article sur le langage des psychopathes que vous aviez annoncé précédemment)

      conclusion ?


    • Philippe VERGNES 9 juin 2015 21:55

      @ philouie,


      Conclusion : vous vous plantez ! Com’ d’hab’ !

      Et vous vous plantez d’autant plus que vous pouvez dire à de très nombreuses reprises que mes articles sont creux et vides (sont-ce bien vos mots n’est-ce pas ? Car ils correspondent traits pour traits aux conduites disqualifiantes telles que Racamier les décrits dans les conduites narcissiquement perverses). Ainsi, en ne lisant pas mes articles, comment pouvez-vous savoir qui est quoi ???

      La preuve de votre confusion consiste à mélanger les erreurs d’interprétations que je traite dans un article du 5 juin 2013 « Peut-on faire confiance à notre jugement ? La fiabilité des experts en cause », (article dont le sujet est PRÉCISÉMENT les biais cognitifs, les heuristiques de jugement et les erreurs de décision : les erreurs d’interprétations dont il était question dans le message à gogoRat) avec « La novlangue du psychopathe » du 13 mai 2013 où j’ai pris pour exemple le discours paradoxal et manipulateur de JL comme beaucoup d’intervenants avaient déjà pu en convenir à l’époque. Ici, les intervenants ont changés excepté vous et JL, mais la seule constante est votre psychorigidité et ce sujet qui fait « débat », avec toujours la même conclusion des autres participants qui voient clair dans vos petits jeux manipulateurs (surtout ceux de JL, si vous vous y laissez piéger, ce n’est que votre responsabilité).

      Merci de nous rappeler ici, que PIPO, charlie, Le Gaïagénaire, J_C Lavau ont compris ceux que d’autres qu’eux avaient déjà analysé.

      Quant aux qualificatifs par lesquels vous dîtes que je qualifie JL, vous lisez encore une fois très mal les commentaires (mais on ne s’en étonnera plus considérant vos incessants procès d’intention = inquisition).

      Par ailleurs, ma technique a toujours et invariablement était la même : je n’ai agis ainsi que pour la seule et unique raison que JL, dans mon article précédent du 7 janvier 2013, avait eu une attitude particulièrement odieuse et perverse à laquelle j’avais cessé de répondre en finissant par l’ignorer. C’est à la suite de cet article qu’il s’est permis de me citer nommément sous des billets dans lesquels je n’apparaissais nullement et qui n’avaient rien à voir avec le sujet pour inciter les lecteurs à venir lire sous l’article auquel je ne lui avais plus répondu (7 janvier 2013 : « Comment reconnaître un pervers narcissique ’manipula-tueur’* »), la correction qu’il m’avait infligé.

      Ce n’est qu’à la suite de ces événements que vous avez pris le train en route en venant jouer les sauveurs... et les complices de la perversion (narcissique et paranoïaque) de JL, ici maintenant clairement mise à jour.

      Pour finir, je crois que votre incompétence en matière de droit ne plaide absolument pas en votre faveur. Un conseil : prenez un très bon avocat, car lorsque l’on est incapable d’établir la véracité des faits... ben... on se trouve un bon enfumeur sinon on se retrouve vite dans la merde, mais un bon avocat coûte excessivement cher ! smiley

    • philouie 10 juin 2015 08:44

      @Philippe VERGNES
      En ce qui concerne gogoRat, je me suis peut-être trompé d’article que vous progetiez de réaliser sur son dos (je ne vais quand même pas essayer de discerner le sens que vous voulez donner à vos éllucubrations). Mais ça ne change rien au reproche que je vous fais, et que j’ai appelé les actions du cyberflic et que Delanuit appelle la chasse aux sorcières.
       
      Pratique consistant ici, de façon très claire, à psychologiser votre contradicteur, pour faire croire que son comportement serait induit par ses travers psychiques que vous identifiez aux moyens de cases que vous avez vous-même défini.
       
      Le cas de gogoRat à ceci d’intéressant qu’il montre que vos prétextes d’antériorités derrières lesquels vous vous réfugiez à propos de JL ne tient pas, puisqu’il montre ici que ce procès en sorcellerie que vous faites à gogoRat, est de votre fait et sans aucun antécédent.


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 10:00

      @ philouie, bonjour,


      Une fois de plus, le seul ici qui projette ses propres fantasmes sur le dos de son contradicteur : c’est vous ! « C’est celui qui dit qui est »smiley

      Votre jugement est un paradoxe au sens défini par Didier Anzieu tel qu’expliqué et développé dans mon article sous lequel vous intervenez, ce n’est pas vous que je psychologise en dénonçant cela, c’est votre attitude qui relève d’une chasse aux sorcières que vous croyez voir chez moi.

      En témoigne votre phrase entre parenthèse : « (je ne vais quand même pas essayer de discerner le sens que vous voulez donner à vos élucubrations) ».

      Cet aveu (inconscient ?) témoigne incontestablement de votre manque d’empathie (à mon égard = déni d’altérité = perversion non assumée), de votre absence de recherche d’intentionnalité préalable à tout acte avant condamnation, et de votre désir de tout faire pour confirmer votre jugement posé sans aucune connaissance de causes. Causes que vous vous inventez au fur et à mesure de la discussion dès lors que l’on vous contredit. Et cette réinvention passe inexorablement un jour où l’autre par la construction de mensonge qui ne vous servent qu’à vous conforter dans vos premiers jugement. C’EST TRÈS EXACTEMENT CECI AVOIR UNE ATTITUDE INQUISITORIALE !

      Dois-je rechercher les posts où vous prétendez vous faire passer pour quelqu’un qui ne juge pas, alors que toutes vos interventions ici ne porte qu’à cela ?

      Personnellement, je me contrefous que vous vous ridiculisiez ainsi : d’autant plus que c’est bien connu, le ridicule ne tue pas. Cependant, ce que vous considérez comme une preuve de mon procès en sorcellerie avec l’exemple gogoRat, n’est que le reflet de vos propres interprétations qui naissent donc dans vos délires comme en attestent les nombreux échanges que j’ai eu par la suite avec ce même gogoRat. Si comme vous le soutenez, il s’était senti visé par un procès en sorcellerie, je ne pense pas que nous aurions eu les quelques échanges fructueux qui ont fait suite à votre exemple.

      Et c’est ce qu’il y a d’exécrable chez vous comme chez tout inquisiteur qui se prétend blanc comme neige en faisant passer ses opposants pour le « démon » qu’ils ne peuvent percevoir en eux : vous croyez toujours savoir mieux que personne ce qu’il pense ou doit penser d’une situation. C’est une conduite typiquement perverse qui marque la négation de l’altérité. Vous êtes constamment dans le procès d’intention (au lieu de sa recherche et de sa compréhension) et lorsque l’on vous met le nez dans vos propres excrets en vous renvoyant votre propre image que vous ne pouvez voir, vous devenez hystérique et en appelez à la vindicte populaire.

      Seul gogoRat peut dire ce qu’il a pensé de ces échanges et ce qu’il en pense aujourd’hui encore. L’attitude qui consiste à citer un auteur en son absence en interprétant ses propos sans le lui demander (ce que vous avouez faire dans votre phrase entre parenthèse ci-dessus et dont vous faîte une spécialité), voilà ce qui relève encore de l’inquisition. Une chose que j’ai moi-même condamné même chez mes « complices », comme vous les appeler, lorsque cette technique a été utilisé contre JL (qui lui ne s’en prive pas).

      C’est très exactement cela le schéma auto-victimaire qu’a tenté de théoriser LLS sous un autre article sur lequel vous êtes également intervenu. Et c’est très exactement ce type de vision pervertie qui conduira le monde vers de nouveaux fascismes que par ailleurs vous dénoncez, une fois de plus, chez autrui.

      Un commentaire pour finir sur votre phrase : « Mais ça ne change rien au reproche que je vous fais, et que j’ai appelé les actions du cyberflic et que Delanuit appelle la chasse aux sorcières. »

      Lorsque Delanuit a parlé pour la première fois de chasse aux sorcières, j’ai pu démontré, texte à l’appui, sa profonde méprise (ce à quoi il n’a jamais répondu : qui ne dit mot consent). Puisque que j’avais souligné dans mon article qui proposait une grille de lecture « innovante », je me cite : « Or, l’observation d’un trouble de la personnalité d’un point de vue comportemental (de même que de tout autre facteur d’influence) ne peut se faire que si l’on tient compte de la fréquence, de l’intensité et de la durée de ces conduites jugées « déviantes ». Ceci n’est jamais précisé, mais implicitement admis par toutes celles et tous ceux qui analysent ce genre de situation. Si nous oublions ce détail, nous favorisons la confusion. Surgissent alors les incompréhensions et les passions cèdent le pas sur la raison. Cette situation n’aide finalement personne comme nous allons pouvoir le constater. »

      Je n’aurais su mieux dire, tant c’est plus que jamais d’actualité !

      Puis j’avais rajouté à la fin du tableau comparatif présenté dans cet article (cf. « Comment reconnaître un pervers narcissique »manipula-tueur’*« ) en guise de nouvel avertissement en référence au passage ci-dessus :  »Est-il utile ici de repréciser que les items présentés doivent être lus avec les mêmes principes de précaution que ceux émis pour les grilles de lectures comportementales ?« 

      Je n’y peux absolument rien si vous n’êtes pas capables d’interpréter correctement un texte et que vous vous arrêtez juste sur l’intitulé de l’article pour vous faire votre propre opinion. Si ensuite sur la base de vos propres lacunes, vous chargez votre contradicteur de défauts que vous seul imaginé ne venez pas vous plaindre lorsqu’on les retourne à l’expéditeur.

      Ainsi, la chasse aux sorcières que vous m’imputez, n’est une nouvelle fois qu’une réalité que vous avez reconstruit pour justifier vos exactions à mon encontre : c’est cela le délire d’interprétation qui possède une capacité de contagion phénoménale auprès des foules qui rentrent alors dans ce que l’on appelle »la folie à deux" (ou à plusieurs).

      Cela vous va-t-il comme ça, M. l’inquisiteur qui se prend pour une blanche colombe ?

    • philouie 10 juin 2015 10:24

      @Philippe VERGNES
      habituel procès en sorcellerie agrémenter de l’habituel « cessuiquidiquiest ».
      Que dire ?
      pathétique.


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 10:47

      @ philouie,


      Et oui mon cher philouie, tels les vampires qui ne peuvent voir leur image dans le miroir, le simple et enfantin « c’est celui qui dit qui est » vous fait sortir de votre réserve et tomber le masque de vertus dont ils se parent pour mieux se repaître de l’énergie des autres.

      Un inquisiteur à court d’arguments finit toujours par dénigrer, disqualifier, mépriser, dévaloriser, discréditer, vilipender, médire, etc. son contradicteur. Autant de procédés qui relèvent de conduites disqualifiantes dont il est question dans cet article. Ne chercher pas ailleurs ce qui vous a conduit sous mes articles. smiley !

      « En quoi consiste la conduite narcissiquement perverse ? [interroge Paul-Claude Racamier] Elle sera toujours une prédation morale. Une attaque du moi de l’autre au profit du narcissisme du sujet. Une disqualification active (plus ou moins habile et subtile) du moi de l’autre et de son narcissisme légitime. [...] La disqualification est un des moyens absolument essentiels de toute activité perverse de type narcissique."

  • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2015 19:31

    Cette interminable et folle dispute confirme que les paranoïaques ne guérissent jamais.
    Et les pervers non plus.

    Il y avait comme cela une voie sur le site d’escalade de Connelles-Enfreville quii ne s’appelait pas la Directissime, mais la Directochiottes. Pourquoi cela me revient-il en mémoire ? Mystère...


    • Philippe VERGNES 9 juin 2015 19:53

      @ JC_Lavau, bonsoir,


      Sauf peut-être, mais cela reste à voir, après leur avoir fait sentir le poids de la justice.

      Je reviendrais vous tenir au courant. smiley


  • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 22:50
    Gaspard Delanuit 15 mai 2013 05:23

    << @ Phlippe Vergnes

    @ JL
    Quoi qu’il en soit de vos éventuelles disputes antérieures, sur ce fil de discussion, les « faits linguistiques » sont objectivement les suivants :
    JL déclare dans son premier message qu’il aperçoit une confusion et même un amalgame dans l’article. « Je pense que Philippe Vergnes fait une confusion sinon un amalgame »
    Il n’y a pas ici d’attaque sur la personne mais une critique de l’article.
    Phlippe Vergnes, recourant au procédé dénommé argumentum ad personam, répond que JL est ; 
    - un « affabulateur » 
    - dont les « capacités d’analyse sont réduites »
    - dont le comportement est un « archétype de la position perverse d’un observateur »
    - dont la « position paradoxale » et « disjonctive » est « typique des manipulateurs »
    - et qui commet « des attaques indécentes »
    Que dire de tout cela ?
    Pour pouvoir parler sérieusement d’un sujet difficile, l’auteur d’un article devrait éviter de situer le débat sur le plan des critiques personnelles (sans intérêt) pour se concentrer sur son sujet. Bref, il faut discuter de la chose, et non de la personne qui discute de la chose. 
    Il est en particulier déplacé et malvenu de répondre à une critique sur le fond telle que :
    « Je pense que Philippe Vergnes fait une confusion sinon un amalgame en associant novlangue, psychopathie et perversion : si la langue est collective, en revanche les psychopathies sont individuelles. »
    par une agression personnelle en forme de diagnostic comme celle-ci :
    « Voir dans un texte des amalgames là où il n’y en a pas et les ignorer lorsqu’il y en a : voilà bien un archétype de la position perverse d’un observateur. »
    Car cela nous avertit que l’auteur est prêt, s’il se sent acculé, à se réfugier automatiquement dans une position de poseur de diagnostic de toux ceux qui oseront critiquer son propos : les critiqueurs seront aussitôt accusés d’être des incarnations du mal absolu dont l’auteur s’attribue lui-même l’expertise en se proposant d’en d’être à la fois le descripteur et la bonne médecine. 
    Ce modèle de réaction est d’ailleurs fréquent sur Agoravox. Par exemple, vous critiquez sur un aspect particulier un texte dénonçant une tragédie de l’histoire ou de l’actualité, et l’auteur répond en vous accusant sournoisement d’être le complice de la tragédie. 
    C’est dommage, car le sujet de cet article est intéressant. Il mérite d’être discuté entre personnes ne posant pas a priori et de manière fantaisiste une hiérarchie de compétence ou de droit de diagnostic. En d’autres termes, Philippe Vergnes, vous êtes ici seulement l’auteur d’un article publié sur un forum, non un professeur ou un thérapeute de vos interlocuteurs. Ce qui signifie que vous ne pouvez pas interpréter systématiquement toutes les critiques que l’on vous adresse comme s’il s’agissait de propos d’élèves n’ayant pas encore intégré la totalité de votre « enseignement » ou de déséquilibrés n’ayant pas encore bénéficié des avantages de votre traitement. Vous ne devez pas exclure que certains de vos interlocuteurs puissent être des personnes plus intelligentes, plus instruites, plus expérimentées, plus subtiles et moins aliénées que vous-même. Cette éventualité est plutôt réjouissante et ne devrait pas être un motif de crispation. >>

    • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 22:52

      Il suffit d’aller sous les anciens articles de PV, et les preuves à charge contre lui se ramassent comme des coquillages les jours de grandes marées.


    • Philippe VERGNES 9 juin 2015 23:39

      @ JL,


      Il ne suffit pas de citer des propos à charge sans connaissance de cause... c’est bien ce que vous faîtes là. Vous savez ce qu’est la « connaissance de cause » avec la tartine avec laquelle vous nous avez « bassinez » ici à longueur de commentaires,n’est-ce pas ?

      Le commentaire de Gaspard Delanuit 15 mai 2013 05:23 est bien postérieur à vos immondices et aux faits que je dénonce dans mon message à philouie ci-dessus qui concerne votre comportement inadmissible sur un forum et ailleurs qui vous avez eu sous mon article du 7 janvier 2013 à la suite duquel vous vous êtes permis de me calomnier en me citant nommément sous des sujets qui n’avaient aucun lien avec le mien et sous lesquels je n’apparaissais pas.

      Ma réponse 15 mai 2013 08:09 à Gaspard Delanuit est d’ailleurs très explicite en ce sens, tout comme l’est celle (PV 15 mai 2013 06:19) que je formulais déjà à philouie qui venait de manifester sa présence pour la première fois dans nos discussions par une entrée tonitruante de deux messages d’insultes censurés comme il se doit.

      Quand au message de Loup Rebel 25 février 2013 19:39, n’oubliez pas non plus tous ceux qui ont suivi dès lors qu’il a vu clair dans votre petit jeu en particulier sous son article « Balade dans les anneaux de Borromée » ou vous vous y faites fustiger par le même Loup Rebel que vous invoquez ici ET comme d’habitude avec vous, en son absence ?

      Continuer à creuser, peut-être finirez-vous par trouver par où vous avez commencez, et vous seul comme a très bien su le voir charlie ci-dessus, à venir chiez sous tous mes articles en vous faisant passer pour un « expert » ne possédant aucune « compétence » qu’il affiche dans le thème de tous mes articles. Si vous pouvez trompez des ignorants qui se manifestent de temps en temps, vous êtes loin, très loin même de tromper autant de monde que ce que vous le souhaiteriez : ça sent la fin de règne du dieu agoravoxien JL. smiley !

      PS : Mes liens SPIP fonctionnent correctement au contraire des vôtres qui ne fonctionnent jamais, surtout lorsqu’ils renvoient vers des articles que vous avez caviardé.


  • Francis, agnotologue JL 9 juin 2015 23:14

    <<

     Loup Rebel 25 février 2013 19:39

    Dommage que je ne découvre ce papier que maintenant.

    Pas pour le billet, sans grand intérêt, mais pour me délecter à lire les remarquables commentaires de JL et d’Easy.

    C’est un peu... Vol au-dessus d’un nid de coucou, versus les électrochocs directement branchés sur la prise du salon.

    Easy, si vous avez l’occasion de me lire ici, je vous tire mon chapeau : vous êtes un virtuose. Vous avez démasqué le pervers narcissique que l’auteur décrit : lui-même. Vous l’avez poussé dans ses derniers retranchements, à se trahir par ses répliques.

    Pas de remise en question,
    Persistance du but, seulement changement de tactique,

    Point 8 des arguments binaires du tableau clinique donné par l’auteur. Plus quelques autres que je ne perds pas mon temps à lister.

    Le pervers est souvent celui qui cherche à le définir.

    Les perversions sont légion, mais une perversion ne fait pas ipso facto un pervers.

    La chose est aisée de s’intéresser aux perversions, autre chose est de se pencher sur le cas du pervers. Les premières sont des « choses », le second est un être humain. >>


  • Francis, agnotologue JL 10 juin 2015 10:38

    Puisque l’on en est à refaire le match, allons-y !

    Je passe sur le premier article de PV que je n’ai pas lu et qui affiche : zéro commentaires.

    Il semble que l’histoire commence réellement au deuxième, et par ce premier commentaire :
     
    << Par Nilasse, 26 juillet 2012 16:12
    je suis consterné par cette phrase :
    « Nous pouvons dès lors très bien comprendre l’embarra de nos législateurs qui, en tout état de cause, et quel que soit le texte définitif adopté, sont loin d’avoir réglé la problématique de la pénalisation du harcèlement, véritable fléau de société. »
    a lire cela,on pourrait avoir l’impression que derrière chaque type,il y a un harceleur qui ne demande qu’a déchaîner des pulsions pervers et délirantes. il faut rappeler ce que,des lois sur harcèlement sexuel,donnent aux USA. un simple compliment peut vous envoyer au tribunal,avec dommages et intérêts, voir de la prison. ce déballage de texte de loi,sur une question qui justement, ne concerne fondamentalement pas le droit, mais bien une conception de la société en tant que telle. nous en sommes arrivés tellement loin dans l’outrance et les lois liberticides,qu’on pourrait aussi imaginer,au train ou vont les choses,qu’un simple regard,pourrait être perçu comme du harcèlement,boire un coca,faire l’apologie de l’obésité,manger de la viande,un crime contre la nature,etc............ le vrai sujet n’est pas le harcèlement,qui n’est qu’un élément parmi tant d’autres pour imposer un cauchemar de type orwellien par des gens sans vergognes,dont la pénalisation,toujours plus grande,du citoyen est la finalité ultime d’un processus de contrôle. d’ailleurs a part en pondant des textes de lois comme si il en pleuvait,a quoi servent désormais nos hommes politiques,ayant perdu la main sur l’économie,ils se rabattent sur de faux sujets facilement traitables dans le cadre actuel,pour asseoir leur autorité.>>
     
    Commentaires :
     
    1 - outre que PV n’avait répondu à aucun commentaire, je note que moi non plus, je n’y étais pas.
    2 - Le commentaire de Nilasse est très lucide et révélateur de tant de choses sur la personnalité et les intentions troubles de l’auteur que n’ai pas besoin d’en dire plus.
    3 - apparemment, ces deux premiers articles n’ont servi que d’apéritifs, puisque le troisième a suscité la polémique que l’on sait autour de la couverture de l’Obs. Déjà il apparait que PV y accusait l’establishment politique d’être pervers, et dans le même temps, il préconisait encore plus de lois liberticides.
    4 - Si son discours a changé au fil du temps, l’objectif et les contradictions demeurent. Mais PV est toujours infaillible !


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 10:56

      @ JL, bonjour,


      « Le commentaire de Nilasse est très lucide et révélateur de tant de choses sur la personnalité et les intentions troubles de l’auteur que n’ai pas besoin d’en dire plus. »

      Et oui... et selon philouie, c’est moi qui psychologise JL. smiley smiley smiley

      Alors que ma stratégie, toujours clairement affiché est la suivante : « c’est celui qui dit qui est »smiley

      PS : JL, le match va se refaire, soyez en sûr désormais ! Mais pas ici et pas sous couvert d’un anonymat qui vous permet d’entraver en toute impunité la règle d’or de ce forum démontrant pas là toute votre perversité.


    • philouie 10 juin 2015 11:14

      @Philippe VERGNES
      et selon philouie, c’est moi qui psychologise JL.
       
      ce n’est pas ce que j’ai dit.
      j’ai dit que vous psychologisez systématiquement tous vos contradicteurs.


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 11:47

      @ philouie,


      En réponse à ma phrase : « ... et selon philouie, c’est moi qui psychologise JL », vous dîtes : « ... ce n’est pas ce que j’ai dit. J’ai dit que vous psychologisez systématiquement tous vos contradicteurs. »

      Menteur !

      Si comme vous l’affirmez, tel était le cas, pourquoi donc n’ai-je pas psychologisé Gaspard Delanuit que vous citez vous-même comme contradicteur ?

      MA technique systématiquement et invariablement la même que j’use envers tous mes contradicteurs insultants est de toujours répondre par un : « c’est celui qui dit qui est ». Ce qui a le dont d’irriter certains qui ne tolérent pas qu’on leur fasse subir ce qu’ils infligent aux autres.

      Prouvant et attestant par là, qu’ils se croient au-dessus de la foule pour s’autoriser à faire à autrui ce qu’ils ne supporteraient surtout pas qu’on leur fasse. C’est très exactement cela la perversion morale dont souffre notre société néolibérale.

      Le pire, c’est que ceux qui sont incapables de supporter d’être soumis aux traitements qu’ils infligent aux autres, sont ici, ceux-là même qui se prennent pour des victimes = schéma auto-victimaire.

       smiley smiley smiley

    • Francis, agnotologue JL 10 juin 2015 12:16

      @Philippe VERGNES
       
       
      ’Le match va se refaire...’’
       
      Sachez PV, qu’une chose est de procéder à des détournements d’intelligences ; une autre est de réussir à le faire à son profit dans la durée.
       
      Vos dénis et votre aveuglement face à vos contradictions (*), est la source de ces détournements d’intelligences.
       
       (*) Ce recours à la Justice n’est pas la moindre après tout ce que vous avez dit au sujet de votre maîtrise des dialogues : combien de fois avez vous dit que vous vous me remerciiez pour mes posts qui étaient l’illustration parfaite de vos thèses, faisant même accroire aux tiers que vous en faisiez votre clinique  !
       


  • philouie 10 juin 2015 11:28

     puisqu’on en est à faire les poubelles, un autre exemple, celui de Marc Chinal. je ne mets pas le lien, il s’agit d’un message du 13 octobre 2013 12:28, dans l’article

    Pervers narcissique : mythe ou réalité ? Point de vue critique (partie 1/2)

    je souligne les mots qui correspondent à mon affirmation :

    Pratique consistant ici, de façon très claire, à psychologiser votre contradicteur, pour faire croire que son comportement serait induit par ses travers psychiques que vous identifiez aux moyens de cases que vous avez vous-même défini.

    citation in extenso :

    "

    @ Ce cher Marc CHINAL,

    Manifestement, soit vous ne lisez pas les articles que vous commentez, soit, plus grave encore, vous ne les comprenez pas. Qu’à cela ne tienne, vos interventions rentrent tout à fait dans le cadre de cet article qui porte avant tout sur l’impérieux besoin, spécifiquement humain, de réification.

    Si vous lisiez et compreniez les billets sous lesquels vous postez, vous auriez constaté par vous-même que quel que soit le niveau de réification auquel on accède (ou que nous employons), l’important réside seulement dans le fait d’être à même d’objectiver notre subjectivité afin de transmettre des informations qui peuvent être partagées et discutées, ou non, par tout un chacun.

    Que vous soyez réfractaire à un tel partage, ou la façon dont ce partage est effectué est une chose (et libre à vous d’en faire le choix), mais que vous vous insurgiez de façon aussi sectaire sur le moyen utilisé pour partager ces informations est une tout autre chose ; surtout pour quelqu’un qui fait la promotion d’un monde non monétisé.

    C’est un peu comme si vous considériez que seule votre démarche est digne d’intérêt et que toute autre opinion doit être jetée aux ordures.

    Et c’est un tel individu qui se permet ensuite d’écrire : « Vous n’avez aucun respect pour ce qui n’est pas de votre monde. Arrêtez donc votre hypocrisie. » ???

    Ce qui est vraiment intéressant dans les interventions de ce genre, c’est l’observation des contradictions dont elles sont pétries et dont l’auteur n’a même pas conscience.

    Au chapitre des contradictions dont vos messages sont porteurs, les sophismes dont vous faites usage pour dénigrer la notion de « pervers narcissique » sont dignes du plus grand intérêt : vous apportez la preuve de ce que j’affirme dans mon article au sujet de la quatrième catégorie des opposants à ce concept, c’est-à-dire celle des ignorants au sujet de laquelle j’avais écrit (copié/collé puisque vous ne semblez pas lire les articles que vous commentez) :

    « 4) C’est dans cette dernière catégorie que nous retrouvons les opposants les plus virulents au concept de pervers narcissique. Outre les attaques ad hominen fréquentes dont ils sont de féconds pourvoyeurs, signalons deux autres procédés couramment employés pour discréditer par avance toute argumentation en retour qui montrent bien à quel point le domaine est « sensible » :
    - fustiger une position (clinique, théorique, technique…) qui n’existe que dans l’esprit de ceux qui la dénoncent (ce que FREUD aurait dénommé une projection, soit l’externalisation défensive d’une motion interne réprimée : une modalité de lutter sans le savoir contre ses propres spectres, un retour du refoulé en quelque sorte) ;
    - dénoncer une position au nom des excès auxquels elle donne lieu chez certains de ses supposés tenants ; n’en pointer que les aspects potentiellement négatifs pour la caricaturer et la discréditer, sans jamais argumenter sur son fond : une forme de suspicion qui, jouant en quelque sorte d’un effet de rumeur, disqualifie a priori toute argumentation contraire. »

    En deux messages seulement, vous avez réussi à adopter les trois positions critiques que je dénonce dans mon article au sujet de cette catégorie d’opposant.

    Je n’aurais qu’une seule chose à dire : BRAVO !!! Bel exploit, il fallait y penser.

    Et avec tout ça nous devrions vous suivre dans votre combat contre la monétisation ???

    C’est à quelle école du rire que vous avez étudié, parce que vraiment, vous n’avez pas volé votre diplôme. J’espère au moins que les examinateurs vous ont octroyé la mention « Très bien » : vous êtes impayable.

    "

    Voila CQFD.

    pas de JL ici.


    • Francis, agnotologue JL 10 juin 2015 12:23

      Bravo philouie
       
       ce copié-collé des propos de PV prend tout son sens quand on sait que le même PV en est aujourd’hui à se plaindre à la justice ... des commentaires dont il se réjouissait hier !
       

       


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 12:27

      @ philouie,


      Pas de recherche de véracité = menteur ! (CQFD)

      Cet exemple est typique de ce que j’affirme dans mon précédent post (PV 10 juin 11:47).

      Vous caviardez volontairement, et cela ne fait ici aucun doute, la réalité des faits. Ainsi, mon message à Marc Chinal (PV 13 octobre 2013 12:28) fait suite à deux interventions de Marc Chinal pour laquelle, dans la seconde, il me traitait de pervers narcissique.

      La discussion en entier avec les liens qui fonctionnent :
      Marc Chinal 10 octobre 2013 01:18 : entrée en matière virulente, c’est le moins que l’on puisse dire.
      PV 10 octobre 2013 08:52 : réponse diplomate, mais ferme.
      Marc Chinal 12 octobre 2013 15:40 : me traite d’hypocrite et de pervers narcissique.
      PV 13 octobre 2013 12:28 : le post que vous recopier pour prouvez votre thèse en éludant les informations qui précèdent = mensonge.
      Marc Chinal 13 octobre 2013 15:11 : me traite de pervers pépère.
      Etc., etc., etc.

      Donc encore une fois, face à un contradicteur qui cherche la paille dans l’œil du voisin tout en ignorant la poutre qu’il y a dans le sien, je me suis simplement contenté d’un : « c’est celui qui dit qui est ».

      En résumé, votre exemple démontre clairement un mensonge par omission puisque vous avez « oubliez » de relater la succession d’échanges préalables ayant entraîné mon post que vous incriminez. Ceci dénote clairement votre volonté de nuisance pour laquelle vous vous montrez près à toutes les transgressions dans le seul but de prouver... que vous avez finalement tort.

      Ainsi, vous tentez de manipuler vos interlocuteurs en leur communiquant de fausses informations. Le plus risible dans l’histoire, c’est que c’est un accroc du complot qui se permet ce genre de manipulation. Et cette manipulation est d’autant plus perverse qu’elle se fait sur le dos d’intervenants qui ne peuvent participer à ces échanges (ce que j’avais dénoncé moi-même lorsque cela a été pratiqué par mes « complices » sur JL, (cf. PV 10 juin 10:00).

      Mais mon petit gars, tant que vous serez dans cette posture, vous ne serez jamais crédible. Mentir pour chercher la vérité n’a jamais été une option. Au contraire, cela discrédite tout le travail des véritables chercheurs de vérité.

      Méditez bien là-dessus mon cher philouie ! smiley

      (Oui je sais... mes arguments sont creux et vides = déni ; mais cela, c’est la solution perverse).

      PS : Ne vous gênez surtout de me signaler les liens SPIP qui ne fonctionneraient pas. smiley

    • philouie 10 juin 2015 12:48

      @Philippe VERGNES
      Marc Chinal 12 octobre 2013 15:40 : me traite d’hypocrite et de pervers narcissique

      Sauf que Chinal ne vous traite pas de pervers narcissique puisqu’il dit :

      A bas l’obscurantisme Freudien qui est tellement flou, que tout peut être qualifié de « pervers narcissique », même un auteur d’article comme Philippe VERGNES.

      donc ici le menteur c’est vous.

      et quand bien même, vous voulez justifier vos propos à partir de ceux de M.Chinal, mais je vous signale quand même que ce que vous avez écrit, c’est bien vous qui l’avez écrit et que c’est suffisamment explicite pour qu’il n’y ai rien à y ajouter.


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 13:45

      @ philouie,


      Mon très cher philouie, c’est ce que je vous ai déjà dit tantôt : apprenez à distinguer les différents types d’agressions verbales telles que je les exposes dans mon article « Le match : psychopathes Vs pervers narcissique ».

      Ainsi, l’attaque de Marc Chinal, après m’avoir traité d’hypocrite (agression verbale directe) et passé en conclusion une attaque verbale indirecte (les plus difficiles à détecter).

      L’insinuation n’en était pas moins très explicite. Si elle ne m’était pas destinée et s’il avait véritablement souhaité donné un sens très général à sa formule comme il le sous-entendait alors, il aurait dit quelque chose comme : « ... tout peut être qualifié de »perverse narcissique« , vous et moi y compris ».

      Vous êtes tellement aveugle que vous ne savait même pas voir vos propres excrets lorsque vous les semez, mais par contre lorsqu’on vous les retournent à l’envoyeur, vous hurlez au loup en vous faisant passer pour une pauvre victime.

      Par votre ignorance, vous démontrez que vous n’avez même pas conscience de votre propre perversité : vous avez caviardez l’information = mensonge !

      Vous avez dit « pathétique » ??? smiley smiley smiley

      PS : Pour la troisième fos, en référer à des personnes qui sont absentes des débats (Gaspard Delanuit, Loup Rebel, Marc Chinal, etc.) relève de comportements pervers, ni plus ni moins. Et comme tout ceux qui adoptent de tels comportements, vous méritez le qualificatif de pervers tant que vous resterez dans cette posture (plus de trois déjà pour JL, 2 ans maintenant pour vous). Vous voyez, moi aussi j’appelle un chat, un chat. smiley


    • philouie 10 juin 2015 15:28

      @Philippe VERGNES
      Mon très cher philouie, c’est ce que je vous ai déjà dit tantôt : apprenez à distinguer les différents types d’agressions verbales telles que je les exposes dans mon article « Le match : psychopathes Vs pervers narcissique ».

      et plaf, d’entrée de jeu, une réponse qui confirme encore, si besoin était, que PV psychologise ses adversaire pour les faire entrer dans ses cases psychopathiques.

      Pour le reste que voulez vous prouvez ?
      Que quand Chinal blesse narcisse, celui-ci répond en essayant de le faire passer pour fou ?
      c’est réussit.


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 15:39

      @ philouie,


      Une fois de plus apprenez à lire avant de pavoisez et ne vous contentez pas du titre. Cela démontre toute la dimension de votre ignorance. Si vous ne connaissez pas la signification des mots que vous utilisez, prener un dictionnaire. Excepter quand vous portez un attaque directe contre moi, la seule chose que je psychologise dans nos échanges ce sont vos attitudes perverses et vos agressions verbales qui, si elles se répètent sur une longue période de temps comme ici, vous valent le qualificatif de pervers. (Mais apparemment vous devez aimer, ça vous excite.) smiley !


    • philouie 10 juin 2015 17:04

      @Philippe VERGNES
      en matière d’agression verbale, je n’ai fait pour l’essentiel, que citer vos propos.
      ce qui, convenons-en, ne plaide pas en votre faveur.


  • charlie charlie 10 juin 2015 12:40

    Philippe bonjour,

    Eh bé, ça continue et là vous vous êtes attaché un morceau de premier choix avec philouie… j’ai toujours pensé que ce qui manquait à votre vieil ami pour être un PN « accompli », c’était l’intelligence….. Il est peut-être dans le « mouvement perversif », mais il s’arête en chemin, il ne sait pas « y aller » tout seul smiley il a besoin de soutiens pour le rassurer, du « noyau ».


    philouie est plus consciemment manipulateur, il a mieux appris ses petites fiches, et s’est formé aux techniques de noyautage pervers, et il est grave. Il fonctionne tout seul.

    J’ai eu de longs échanges en m’inscrivant ici après les attentats de janvier, avant de réaliser qu’il était inutile d’espérer le moindre échange rationnel et de bonne foi avec lui.

    Pour information, voici quelques citations pas piquée des vers. 


    Par exemple, le 10 janvier, ça commence fort : 

    Philouie  : « Que les assassins soient musulmans ça reste à prouver. Qu’on veuille le faire croire, c’est par contre certain.  »


    Après, on retrouve les mêmes emberlificotement et les bottages en touche, genre « apprenez à » ou « quel nigaud », afin de mieux infantiliser son adversaire, ou « mort de rire » quand il est acculé.

    Amusant tout cela, car dans un éclair de sincérité - coup de mou ou intention, je ne sais pas -, il tombe le masque de ses intentions : 


    Philouie : « Si vous reprenez les messages que j’ai pu déposer sur ce site, je ne traite que de questions religieuses, de façon quasi exclusive. je suis donc engagé dans un combat idéologique de nature religieuse.

    Je mène un combat contre contre la religion catholique. Pour faire court mon projet est l’éradication de l’église catholique de la surface de la terre. Projet un peu prétentieux j’en conviens, mais c’est comme ça. je le mène parce que je crois que les croyances du catholicisme sont des mensonges et qu’elles sont néfastes pour l’être humain »

    Pas mal, hein ?


    Toutes ses interventions sont liées à ce combat idéologique : défense de l’islamisme le plus fondamentaliste, et combat à mort contre le catholicisme. Tous ses chemins mènent à cela.


    Bonne journée ! smiley

    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 14:20

      @ charlie, bonjour,


      Je vais vous faire un aveu, la théorie de la perversion narcissique est une « tuerie » pour la compréhension de toutes ces dynamiques auxquelles nous assistons ici, mais les noyaux pervers se forment autour du plus paranoïaque des deux. Le pervers narcissique obéit au pervers paranoïaque. Ils ont des buts communs (toujours portés sur le pouvoir et son partage), c’est pour cela qu’ils s’entendent comme larrons en foire, mais des moyens différents pour les atteindre.

      (Et oui, philouie, c’est ce que l’on apprend en tout premier lorsque l’on étudie la perversion narcissique, d’où le fait que quelqu’un qui prétend connaître ce qu’est la perversion narcissique tout en ignorant ce qu’est un pervers paranoïaque, comme le fait JL ici, ne peut-être qu’un imposteur qui oeuvre dans un noyau aveugle de la culture. Vous voulez les références exactes pour parfaire un peu votre connaissance du sujet ? Cela fait partie des petits indices que je me réserve pour démasquer les véritables charlatans qui prétendent avoir des compétences sur la question : vous savez, comme l’incestuel, l’antœdipe, la séduction narcissique, etc. que je dévoile au compte goûte. Peut-être en parlerais-je dans un autre article... j’sais pas encore ! Toutefois, je doute que cela vous ouvre véritablement les yeux.)

      Quant à philouie, j’ai eu l’occasion, comme il le dit lui-même de ferrailler avec l’individu, sa duplicité est bien plus grande que celle de JL qui, comme vous le dîtes, est assez puérile en fait. Cependant, ils se congratulent l’un l’autre.

      Je ne sais pas si vous avez suivi les échanges que ces deux énergumènes ont eu avec Fergus sur son article à charge contre Emmanuel Todd. Fergus s’y est montré d’une magnanimité extraordinaire envers eux et ce même dans l’adversité, mais ces deux « hyènes » se sont rués sur lui et sur tous les « charlies » avec une violence telle qu’il faut le lire pour le croire. Après ça, il viennent me faire la morale. smiley smiley smiley !

      Les pauvres, j’espère pour philouie qu’il n’habite pas en France parce que lorsque la justice sera saisie, ça va pas être de la tarte pour lui si elle lui met la main dessus. (J’y travaille, la plainte partira probablement lundi prochain !)

      En tout cas, je vous dois un grand merci, car ce n’est pas que j’ai de la patience avec des entêtés pareil, mais honnêtement, vu qu’ils repartent la queue entre les jambes même lorsqu’ils croient avoir remporté une « victoire » (quelle idée), je ne me suis jamais soucié du fait qu’ils dépassaient largement les « bornes des limites ». Votre récapitulatif m’a fait prendre conscience de mon laxisme : j’ai été beaucoup trop tolérant. C’est ce que je vais corriger dans peu de temps et je m’attelle à la tâche depuis avant hier. J’ai maintenant presque terminé. Nos chers comparses vont pouvoir refaire le match avec de véritable arbitre. On jouera alors avec des règles communes et non pas celles qu’ils s’inventent.

      Bonne journée !

    • Francis, agnotologue JL 10 juin 2015 15:19

      @Philippe VERGNES
       
      ’’ en référer à des personnes qui sont absentes des débats (Gaspard Delanuit, Loup Rebel, Marc Chinal, etc.) relève de comportements pervers, ni plus ni moins.’’
       
      C’est joli comme la morale d’un conte pour enfants.
       
      Hum ! je suppose que ça ce n’est pas une référence à un absent ?, je cite PV  : ’’
      Je ne sais pas si vous avez suivi les échanges que ces deux énergumènes ont eu avec Fergus sur son article à charge contre Emmanuel Todd. Fergus s’y est montré d’une magnanimité extraordinaire envers eux et ce même dans l’adversité’’
       
      Que ferez vous, PV, lorsque vous irez porter votre plainte ? Vous en réfèrerez à des personnes qui seront absentes, n’est-ce pas ? Comment expliquez vous ça ? Moi j’appelle ça un paradoxe, un de plus, des centaines, on les compte plus.
       
      A ma connaissance, Fergus ne s’est jamais préoccupé de vos articles. Outre que cette référence mensongère (*) que vous faites ici à une personne absente des débats relève autant d’une diversion que d’une perfide attaque ad’hominem, une de plus dans chaque catégorie, j’y vois surtout la preuve, une de plus, de votre propension à foutre la merde partout.
       
      (*) références mensongères parce que là encore, vous refaites le match. Un de ces matchs auxquels vous ne participez jamais d’ailleurs, vu qu’il n’y a que vos propres articles qui vous intéressent.
       
       
      Vous venez de commettre ici, Philippe Vergnes, ce qui en Droit s’appelle de la diffamation, une de plus ; et je vous mets au défi de trouver sur le fil de Fergus un seul commentaire qui prouverait que ce n’est pas une diffamation.
       
      Allez donc présenter au Tribunal votre dossier de faussaire, PV. Et surtout, provisionnez une grosse somme d’argent : je saurai être très pointilleux quand j’évaluerai les dommages et intérêts qui me sont dus.
       


    • Philippe VERGNES 10 juin 2015 15:33

      @ JL,


      Ai-je cité un seul propos que vous avez tenu sur cet autre fil de discussions en les sortant de leur contexte et en leur donnant un sens que seul l’auteur pourrait attester ???

      NON ! Je ne l’ai jamais fais, même lorsque ce procédé a été utilisé contre vous par mes « complices » pour vous mettre le nez dans vos propres excrets. Attitude que j’ai moi-même condamné lorsqu’elle a été utilisée contre vous et que vous appliquez ici contre moi étant incapable de discourir sur le fond sans diffamer votre contradicteur. (Vos connaissances en matière pénale sont si nulles que je ne m’étonne plus de vos agissements : ignorer qu’en droit pénal : « il n’y a pas de crime sans intention de le commettre... » fallait vraiment le faire. Je n’ai vraiment rien à craindre avec vous.)

      Aucune manipulation de ma part donc. Toute la différence entre vous et moi est résumée à cela : vous n’êtes que victimes de vos propres turpitudes et de vos interprétations totalement délirantes : il y a un divorce complet entre ce qui est écrit et ce que vous croyez lire.

      Comment pouvez-vous en invoquer à la morale alors que vous pervertissez même ce simple principe de courtoisie ???

    • Francis, agnotologue JL 10 juin 2015 15:56

      PV,

      C’est quoi cette bouillie ? je vous cite : ’’Ai-je cité un seul propos que vous avez tenu sur cet autre fil de discussions en les sortant de leur contexte et en leur donnant un sens que seul l’auteur pourrait attester ???’’


    • philouie 10 juin 2015 22:08

      @charlie
      Bien que ce n’est aucun rapport avec la choucroute et que vous avez la prétention de tirer de moi un portrait à base de deux citations :
      je vous cite :
      Toutes ses interventions sont liées à ce combat idéologique : défense de l’islamisme le plus fondamentaliste, et combat à mort contre le catholicisme. Tous ses chemins mènent à cela.

       
      Je pense qu’il n’est pas inutile de citer l’ensemble du message duquel vous avez tiré ces quelques mots :
      je me cite :

      je vais essayer de donner l’exemple de mon cas.
      Si vous reprenez les messages que j’ai pu déposer sur ce site, je ne traite que de questions religieuses, de façon quasi exclusive. je suis donc engagé dans un combat idéologique de nature religieuse.
       
      Le Coran nous enseigne ceci :
      ’Si Je l’avais voulu, J’aurai fait de vous une seule communauté, concourrez pour le bien je vous départagerais de vos disputes".
       
      Ce qui signifie explicitement que le combat pour les valeurs doit d’abord être un combat positif : on défends des valeurs en montrant ce que ces valeurs ont de bien.
       
      Je ne suis pas exactement dans ce combat là parce que je mène également un combat contre.
      Contre la religion catholique. Pour faire court mon projet est l’éradication de l’église catholique de la surface de la terre. Projet un peu prétentieux j’en conviens, mais c’est comme ça. je le mène parce que je crois que les croyances du catholicisme sont des mensonges et qu’elles sont néfastes pour l’être humain. C’est un combat que je mène uniquement contre l’église catholique parce que je suis baptisé catholique.
       
      Maintenant, j’essaye de mener ce combat sans agresser les catholiques : j’en fais un combat d’idées que je nourris avec des arguments que j’essaye de construire raisonnablement.
      mais je respecte les catholiques. je ne vais pas les agresser et les traiter d’abrutis au prétexte que je ne crois pas en ce qu’il croient et bien au contraire je suis à leur coté lorsqu’ils sont injustement agressés.
       
      lorsque je rentre dans une église, je suis respectueux du lieu et je considère que les croyants qui sont là, sont avant tout des croyants comme moi et que nous partageons ensemble une foi qui s’exprime avec des divergences.
      Je ne rentre jamais dans une église sans y consacrer un temps pour la prière, une prière que je fais à ma façon sans ostentation ni hostilité. J’ai ainsi des rapports courtois avec mes contemporains et je respectent toutes les croyances, même celles que je combat.
       
      Alors évidement il m’arrive de déraper, ça me semble humain, mais je ne fais pas du dérapage un style de vie.
       
       

      L’interprète des désirs

      Ibn ’Arabi

      [extraits]

      ... Prodige ! Une jeune gazelle voilée

      Montrant de son doigt pourpré et faisant signe de ses paupières !

      Son champ est entre côtes et entrailles,

      O merveille, un jardin parmi les flammes !

      Mon coeur devient capable de toute image :

      Il est prairie pour les gazelles, couvent pour les moines,

      Temple pour les idoles, Mecque pour les pèlerins,

      Tablettes de la Torah et livre du Coran.

      Je suis la religion de l’amour, partout où se dirigent ses montures,

      L’amour est ma religion et ma foi.


    • charlie charlie 11 juin 2015 00:01

      @philouie

      Avez-vous dit, oui ou non : « mon projet est l’éradication de l’église catholique de la surface de la terre. Projet un peu prétentieux j’en conviens, mais c’est comme ça. je le mène parce que je crois que les croyances du catholicisme sont des mensonges et qu’elles sont néfastes pour l’être humain.  »


      Répondez : votre combat est-il d’éradiquer l’Eglise catholique de la surface de la terre, oui ou non ?


    • philouie 11 juin 2015 07:51

      @charlie
      Oui bien sûr, c’est écrit dans le message que je cite.
      Je suis anti-catholique. je ne m’en suis jamais caché.
      Et alors ?
      D’ailleurs, ça me fait un point commun avec Charlie Hebdo.
      Pour le reste je en vois pas bien le rapport avec ce que publie P Vergnes et ses méthodes de débat.


    • Francis, agnotologue JL 11 juin 2015 08:03

      @ la modération,
       
       je proteste contre charlie qui se conduit en inquisiteur, véritable agent de la police de la pensée, en posant à philouie des questions sans rapport avec le sujet de l’article.
       
       Inquisiteur, charlie l’est de toute évidence, lui qui n’a jamais fourni ici aucun argument correct mais s’est constamment livré à d’odieuses attaques ad’hominem pour régler ses comptes personnels.
       
      Je ne suis pas toujours d’accord avec philouie, notamment sur les questions religieuses, sujet de discorde entre nous. Mais nos règlements de comptes ont toujours été loyaux, et philouie est sur tous les sujets, un intervenants que je respecte.


    • philouie 11 juin 2015 08:53

      @JL
      Merci JL, mais il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
      Une diversion tout au plus.
       
      @Charlie
      le lieu n’est pas adéquat.
      Si vous voulez poursuivre cette discussion et mes intensions, le mieux serait de l’initier sur un sujet plus adapté. Vous voyez bien qu’il n’est question ici, ni d’Islam, ni de catholicisme. mais de psychologie et de perversion. (et aussi de charlatanerie)


    • charlie charlie 11 juin 2015 09:46
      @JL

      Je ne faisais qu’utiliser la façon de faire de votre magister en posant des questions Je pensais qu’il m’en saurait gré de faire tout comme lui, non ?


      Rappelons-nous entre mille exemples, en plein débat sur la liberté d’expression et le droit de rire des dogmes religieux, il a posé NEUF FOIS la même question «  pourquoi je n’ai pas le droit de me torcher dans le drapeau français ? »


      Outre la Gross finesse de la question, que penses-tu de ce harcèlement hors sujet, avant qu’un intervenant le prenant au mot de sa grossièté et de sa scatologie ne lui réponde sur le même plan, ce qui lui a cloué le bec et a enfin arrêté son trollage incessant….


      Au fait, je n’ai pas vu de JL s’en émouvoir et en appeler à la modé. Comme c’est curieux mon cher voisin….. smiley 


      @philouie


      Alors je reprends ma question, qui n’est pas hors sujet : «  Si vous reprenez les messages que j’ai pu déposer sur ce site, je ne traite que de questions religieuses, de façon quasi exclusive  », pourquoi alors intervenir systématiquement sur des articles qui traitent de « perversion narcissique » ?


      Dis-nous où tu vois un rapport entre la perversion narcissique et le projet « d’éradication de l’église catholique de la surface de la terre » …..


    • philouie 11 juin 2015 10:50

      @charlie
      D’une part, je fais ce que je veux.
      Mais en réalité il y a un rapport très direct.
      Sans doute vous échappe-t-il que la religion et la psychologie ont le même objet d’étude, l’esprit : on ne peut s’intéresser à l’un sans s’intéresser à l’autre.
      Sans doute savez vous que les questions religieuses tournent autour de l’égo. Or qu’est-ce que l’égo, si ce n’est du narcissisme ?
      Je prétends que le catholicisme crée une idéalisation de l’homme et que cette idéalisation favorise l’égo et les travers correspondant, tandis que les moyens ordinaires de la religion visent au contraire à réduire l’égo. c’est la question de la castration visant la séparation d’avec la Mère (dont l’église est d’ailleurs une figure)...


    • philouie 11 juin 2015 10:55

      @charlie
      je vous invite à lire sous un article de Vergnes, les commentaires que je fais du livre d’Esther, vous y verrez le lien très direct qu’il y a, entre religion et narcissisme.


    • philouie 11 juin 2015 11:13

      @charlie
      Par ailleurs, vous me reprochez de tenir des propos scatologique d’une GROSS finesse.
      je vous fais remarquer que je répondais, au même niveau, à un interlocuteur (cassino) qui disait :
      En Algérie on a brulé le Coran ou chié dessus, pourquoi nous ne sommes pas capable de faire la même chose en France ?


    • philouie 11 juin 2015 11:18

      @charlie
      Voila un lien qui montre, n’en déplaise à machine Fourest, qu’il n’y a pas de liberté de blasphème en France


    • charlie charlie 11 juin 2015 12:03

      @philouie
      « Par ailleurs, vous me reprochez de tenir des propos scatologique d’une GROSS finesse.
      je vous fais remarquer que je répondais, au même niveau, à un interlocuteur (casino) »


      Faux. C’est un mensonge. 

      Tu as commencé sur ce fil avec doctory, puis blabla. Casino n’est intervenu qu’un jour après en réponse à ton goût immodéré pour demander si tu peux « te torcher ».
      (et notamment, avec les symboles honnis de la République française.....)

    • philouie 11 juin 2015 12:08

      @charlie
      Alors il ne s’agit pas d’un mensonge mais d’une erreur ... je n’ai pas fait l’historique de la chose.
       
      comme je le montre dans mon lien précédant, il s’agit de la reprise d’une histoire qui s’est passé en France et que j’ai repris en illustration de mon propos. Il y a bel bien interdiction de blasphème lorsqu’il s’attaque au sacré de la république.


    • charlie charlie 11 juin 2015 12:14

      @philouie

      « Alors il ne s’agit pas d’un mensonge mais d’une erreur ... je n’ai pas fait l’historique de la chose.  »


      C’est ça le problème. Comme d’habitude, tu parles sans savoir, juste pour te défendre et avoir raison et tu es prêt à dire n’importe quoi. 

      J’appelle cela, au choix, ou de la mauvaise foi (manipulation), ou de la bêtise (réaction infantile).


    • philouie 11 juin 2015 12:17

      @charlie
      spéciale dédicace à Charlie


    • charlie charlie 11 juin 2015 12:23

      @philouie

      « Voila un lien qui montre, n’en déplaise à machine Fourest, qu’il n’y a pas de liberté de blasphème en France »


      Faux. Encore un mensonge.


      D’abord, je ne connais pas machine. 


      Ensuite, apprends que le blasphème est ce qui outrage LA RELIGION. La République n’est pas une religion. Elle est régie par une constitution démocratique et des lois édictées par le peuple français souverain. On ne peut pas blasphémer pas contre elle. 

      Il ’n y a aucune loi en France réprimant un « délit » de blasphème.

      Tu te trompes encore une fois.



    • philouie 11 juin 2015 12:41

      @charlie
      rho, ben justement, mon propos était de dire qu’il y avait une tromperie à réduire la question du blasphème à la religion alors qu’il concerne le sacré. Et qu’il y a une différence entre se moquer du sacré de l’autre, et qui est de l’insulte, et de se moquer du sacré de soi, ce qui est du blasphème.
      Le république ne se comporte pas différemment d’une quelconque religion en autorisant la moquerie des autres religions et en interdisant la moquerie des symboles de son propre sacré.
      Cette histoire de l’outrage au drapeau montre très bien la nature religieuse de la République puisqu’elle se fédère autour de symboles sacrés qu’il ne faut pas toucher.


    • philouie 11 juin 2015 13:01

      @charlie
      et je ne parle pas, évidement, du blasphème de lumière, shoananas.


    • philouie 11 juin 2015 13:05

      @charlie
      Il faut bien comprendre que ce qui définit le sacré, c’est l’interdit blasphème. Dire qu’il n’y a pas de blasphème revient à dire qu’il n’y a pas de sacré. Trouver quelque chose de sacré prouve qu’il y a interdit de blasphème.


    • philouie 11 juin 2015 13:15

      @philouie
      Il n’y a pas délit de blasphème en France ?
      Demandez à Dieudonné, Reynouard, Faurisson ou Le Pen !
      ce sont eux, les vrais blasphémateur de notre temps.
      Pas Charlie Hebdo, ni machine Fourest, qui se contentent de l’insulte du sacré de l’autre à l’abri du pouvoir.


    • charlie charlie 11 juin 2015 13:20

      @philouie

      Sophisme et manipulation, toujours. 

      La Vè République n’est pas « sacrée ». D’ailleurs, ce que le peuple a fait, il peut le défaire (contrairement aux dogmes religieux).


      La mauvaise foi, une fois de plus, te fait dire n’importe quoi. Je n’ai pas cessé de te le démontrer.

      Ce qui est interdit en République n’est pas le « sacré », mais l’illégal.


    • charlie charlie 11 juin 2015 13:24

      @philouie

      « et je ne parle pas, évidement, du blasphème de lumière, shoananas. »

      Ou bien tes maîtres : Dieudonné, Reynouard, Faurisson ou Le Pen : quelle brochette ! smiley


      Eh bien voilà, j’ai fait tomber tes derniers masques…. smiley


      Over.



    • philouie 11 juin 2015 13:36

      @charlie
      Sauf que votre réaction prouve précisément que j’ai raison.
      Votre réaction montre que ces gens sont bien des pestiférés.
      Et s’ils sont pestiférés, c’est que leur propos attaquent ce qui est perçu comme sacré par la république. Ce sont donc des blasphémateurs et vous vous comportez en grand prêtre de la morale républicaine.


    • philouie 11 juin 2015 13:38

      @philouie
      La Vè République n’est pas « sacrée »
       
      j’ai montré le contraire avec l’interdiction de se torcher dans le drapeau.
      je pourrais parler de la question du sifflage de la marseillaise....


    • philouie 11 juin 2015 19:05

      @charlie
      Par ailleurs, si j’ai poser 9 fois la question de savoir pourquoi il est interdit de se torcher le drapeau, c’est que je n’ai jamais obtenu de réponse.
      Pas plus maintenant......


    • charlie charlie 11 juin 2015 19:15

      @philouie

      Parce que la question est niaise. C’est à la portée du premier ignorant venu de trouver la réponse en 30 secondes sur le net : parce que l’outrage à l’autorité de l’Etat et aux symboles nationaux (drapeau, hymne) est un DÉLIT, sanctionné par la LOI FRANÇAISE.


    • philouie 11 juin 2015 19:33

      @charlie
      Vous voulez dire que c’est interdit parce que c’est interdit ?
      c’est ça votre réponse ?


    • charlie charlie 11 juin 2015 19:45

      @philouie

      Oui. 

      C’est la loi décidée par le peuple et/ou ses représentants élus. 

      Changer la loi est un long processus démocratique.

      Il y a de bonnes ou de moins bonnes lois, mais c’est la loi.


      Vous n’avez qu’à voter pour que cela change.


    • philouie 11 juin 2015 19:51

      @charlie
      Vous êtes mignon.
      Je ne demande pas qui a fait cette loi, je ne dis pas qu’il faudrait la changer. Je demande qu’on m’explique pourquoi est-il interdit de se torcher dans le drapeau ?
      Je constate que vous êtes incapable de répondre autrement que par une tautologie.


  • charlie charlie 11 juin 2015 19:55

    Tu veux une explication causale de TOUTES les lois depuis au moins le code Napoléon ? smiley

    Va dans les bibliothèques d’histoire du droit, tu y trouveras réponse à toute tes interrogations. 


    • philouie 11 juin 2015 20:05

      @charlie
      Non. je pose cette question pour cette loi particulière.
      Voyez vous, moi qui suis contre le blasphème, je comprends tout à fait le sens de cette loi et je l’approuve en raison de cette compréhension. Il s’agit de ne pas choquer les français attachés la république et à ses valeurs.
      c’est une loi sage.
      Et si je ne trouve personne pour me donner cette explication simple, c’est parce que c’est tout à fait équivalent à n’importe quelle loi anti-blasphème et que ce n’est pas très Charlie.
      (Par ailleurs, le délit de blasphème existe toujours en Alsace-Lorraine.)


    • philouie 12 juin 2015 00:21

      Maintenant poursuivons le raisonnement jusqu’à son extrémité.
      d’un coté nous avons un acte autorisé, celui de tremper un crucifix dans un pot de pisse et un acte interdit , celui de se torcher dans le drapeau de la république.
      Nous voyons que ces actes sont de même nature : il s’agit d’un outrage à un symbole. Outrage qui ne porte atteinte qu’à la susceptibilité des gens.
      Seulement, ce qui est interdit est l’outrage d’un symbole du pouvoir et ce qui est autorisé, c’est l’outrage d’un symbole de quelque chose qui n’a plus de pouvoir depuis 200 ans, et peut-être avec le moyen de toucher une petite subvention.
      Où est le vrai blasphème ? la vraie contestation ? à s’attaquer au pouvoir ou à s’attaquer à ce qui s’oppose au pouvoir ? Truc Fourest, assise confortablement du coté du manche, avec son éloge du blasphème, elle fait quoi ? elle conteste quoi ? Elle passe la serpillière.


  • JC_Lavau JC_Lavau 12 juin 2015 09:10

    L’articulation entre le débat savant et le débat populaire est un défi permanent. Là nous avons la démonstration de l’invasion par la querelle pseudo-savante. Ces belliqueux n’en ont rien à foutre de l’éthique de la connaissance ni de la déontologie scientifique : ils sont là pour envahir.


  • Cabilou 23 juin 2015 13:58

    Bonjour,

    J’ai longuement hésité avant de réagir à cet article... et puis je me suis dit, pourquoi pas...

    Avant d’arriver à cette thématique du pervers narcissique, j’ai d’abord lu vos précédents articles sur l’emprise et la communication paradoxale... articles qui m’ont beaucoup apportés, me permettant de mettre des mots sur une réalité...

    Il m’est encore aujourd’hui difficile de parler, me concernant, d’emprise, ou de qualifier mon mari de pervers narcissique... Depuis 15 ans, je vis en effet avec un homme qui, progressivement, s’est mis à pratiquer la disqualification, jusqu’à en faire devenir un élément normal du quotidien. De manière inconsciente je pense.

    Il y a huit mois, lors de ma troisième grossesse, j’ai explosé, sans trop savoir pourquoi... la conversation de trop, les hormones, l’épuisement... j’ai exprimé mon souhait de nous séparer... pensant qu’il allait tout simplement accepter puisque cela faisait des années qu’il me disait que si je ne changeais pas, il me quitterait. A ma grande surprise, il m’a dit qu’il m’aimait et que puisque moi aussi je trouvais que la manière dont nous vivions n’était pas normale, il y croyait encore... Nous avons entrepris une thérapie de couple... et au fur et à mesure, la situation s’est aggravée, jusqu’à devenir purement et simplement insupportable... la thérapie faisait en effet progressivement émergé la réalité de notre vie de couple. De mon côté, j’avais également entamé une thérapie individuelle, que mon mari a plusieurs fois tenté de me faire arrêter.

    J’ai eu la chance d’être très bien entourée, mes parents et amis proches ayant su faire preuve de patience, ayant réussi à maintenir une relation avec moi, même si cela leur demandait beaucoup d’efforts pour ne pas « mettre les pieds dans le plat ». Ce sont eux qui ont su m’encourager à me retrouver, à ne pas interrompre cette thérapie individuelle. Ce sont eux qui, progressivement, m’ont aider à prendre conscience que la vie pouvait être autre que celle que je vivais... que la normalité n’était pas ce qui était devenu ma normalité.

    Mon mari est allé jusqu’à demander la séparation... ce que je pense avoir été une dernière tentative inconsciente pour me ramener « à la raison ». Mais j’étais à bout, et ai décidé d’accepter... Il est donc revenu à la charge, me disant qu’on pouvait trouver une issue... mais j’ai tenu et ai demandé un break de quelques mois...

    Cette séparation a provoqué chez lui une prise de conscience... écroulement, excuses, début de dépression... Notre thérapeute a pu mettre les mots de maltraitance psychologique (expliquant qu’après avoir été maltraité, il était devenu maltraitant) sur notre situation, ce qui a pour moi été une étape importante, comme la reconnaissance du fait que je n’étais pas folle, ce dont je doutais tellement...

    Aujourd’hui, je me repose, je me retape et essaie d’éloigner la culpabilité et les doutes... Mon mari dit qu’il va changer et fait preuve d’une très grande gentillesse. Il a accepté de se faire suivre individuellement. Ce qui, étonnamment, rend les choses très difficiles pour moi... je me sens coupable et redevable... J’ai beau savoir que la séparation est la seule issue pour nous, une petite voie me dit que s’il s’engage à changer, je lui dois bien ça... Ce qui montre toute la complexité d’un tel mécanisme...

    Alors, je lis vos articles, et d’autres, pour comprendre, accepter... et parce que je veux que cela ne se reproduise plus... car si on n’est pas manipulateur pour rien, on ne se place certainement pas sous la coupe d’un manipulateur pour rien non plus... et se soumettre pendant 15 ans à une situation d’emprise psychique n’est pas anodin... Ma responsabilité est entière dans ce qui m’est arrivée.

    Par contre, si vous avez des clés pour réussir à mettre à jour les mécanismes dont on a été la victime (il est tellement difficile d’objectiver les techniques de disqualification et de communication paradoxale mises en place), je suis preneuse !

    J’espère que mon message n’est pas déplacé dans un tel forum.

    Cordialement,


    • Le Gaïagénaire 23 juin 2015 19:33

      @Cabilou 23 juin 13:58


      La première clef consiste à remettre votre mère en question ! smiley

      Ensuite que ferez-vous, différemment, pour que VOS trois enfants ne jouent pas le scénario que vous leur avez mis en tête, hérité de votre mère.

      Et que la Société des psychopathes pervers narcissiques met en place pour que tout se perpétue ? 

    • Philippe VERGNES 23 juin 2015 22:57

      @ Cabilou, bonsoir,


      Vous soulignez fort à propos la difficulté d’objectiver les techniques de disqualification et de communication paradoxale mises en place dans le type de relation que vous nous décrivez.

      Peut-être trouverez-vous un début de réponse à votre questionnement sur un article de mon blog que je n’ai pas présenté ici : « Quelle prise en charge pour les victimes de violences psychologiques ? » qui est la suite d’un autre article sur les processus psychiques en jeu lorsque dans de telles situations : « Perversion narcissique et traumatismes psychiques : l’approche biologisante ».

      Attention toutefois avant d’entreprendre la phase d’introspection d’avoir pris soin d’annihiler les effets du décervelage que les agressions perverses induisent chez leurs victimes. C’est un préalable indispensable avant un quelconque travail sur soi et c’est une phase que l’on a trop tendance à négliger.

      Un dernier mot encore sur l’objectivation des techniques de disqualification et la communication paradoxale, je compte y revenir dans d’autres articles, car il n’existe que très peu d’auteur et d’études qui ont pris soin d’en analyser correctement l’impact sur la psyché humaine et il est donc très difficile de trouver des références sur le sujet. D’où la difficulté d’un travail de vulgarisation pour faire connaître ce phénomène particulièrement délétère responsable de notre asservissement à un quelconque pouvoir tortionnaire.

      J’y travaille, mais cela prend beaucoup de temps.

      Bien à vous et bon courage,

      PS : Il existe de nombreux groupes de paroles plus appropriés à des échanges fructueux sur ce type de problématique que le site Agoravox où il règne parfois une violence verbale qui peut heurter des victimes de violences psychologiques qui n’ont pas besoin de revivre ce genre de situation.

    • Cabilou 24 juin 2015 10:12

      @Philippe VERGNES
      Merci de votre réponse...

      En effet, il est impressionnant, lorsqu’on commence à sortir de ce type de situation, de constater ce que vous nommer les effets du décervelage... ne plus savoir ce qu’on aime, si on l’aime pour nous même ou pour l’autre, se méfier de soi, de ses goûts, de ses jugements, de ses attentes... progressivement, les choses se mettent en place... mais j’ai du mal à ne pas penser qu’il me faudra certainement beaucoup de temps ! Je me raccroche au fait que c’est tout de même hyper intéressant et gratifiant de mieux se connaître et de savoir ce qui nous fait du bien !

      Une autre difficulté est le regard des autres... il est difficile, voire impossible, d’expliquer et de faire comprendre ce qu’était le quotidien. Et encore, j’ai la chance d’avoir une famille et quelques amis proches qui se doutaient que quelque chose n’allait pas et qui ont été heureux de simplement m’ouvrir la porte...

      Si vous avez des groupes de parole à conseiller, je suis preneuse. Mais ne vous inquiétez pas, la violence verbale qui peut caractériser certaines réactions ne m’effraie pas. D’autant que je pense que ce sera une réalité qu’il me faudra affronter dans les prochains mois.

      En tous cas, un grand merci pour vos articles qui permettent de mieux comprendre et d’accepter tout simplement !

      Cordialement,


    • Cabilou 24 juin 2015 10:16

      @Le Gaïagénaire
      En effet, je vous rejoins : tout l’enjeu est de ne pas reproduire pour les générations à venir... et il n’y a peut-être pas de hasard puisque je n’ai fait que des filles !!!! C’est l’une de mes motivations actuelles à entreprendre le travail sur moi-même... et c’est pourquoi j’espère que mon mari fera de même... pour nos enfants !

      Quant à comprendre pourquoi j’en suis arrivée à cette situation... le travail est en cours, et la piste que vous évoquez a déjà été explorée et questionnée ! Quel psy ne commencerait pas par là ? ;)

      Cordialement


    • Philippe VERGNES 24 juin 2015 11:31

      @ Cabilou, bonjour,


      Pas de quoi.

      Sur les groupes de paroles, il y en a de nombreux sur Facebook. Quelques uns sont animés par des administrateurs très sérieux et encadré par des associations qui proposent une réelle entraide aux victimes de ce fléau. Il y en a d’autres qui sont plus ou moins intéressés. Je vous suggère de vous inscrire à plusieurs groupes et vous jugerez par vous-même ceux qui vous conviennent le mieux. A votre stade, le tri devrait être assez rapide.

      Sur la question du décervelage, vous parlez fort à propos de « ne plus savoir ce qu’on aime, si on l’aime pour nous même ou pour l’autre, se méfier de soi, de ses goûts, de ses jugements, de ses attentes... » Je suis en train de rédiger un article sur ce sujet pour justement préciser en quoi consiste le décervelage qui à un certain degrés, abouti à une forme de meurtre psychique. La psychotraumatologie et les neurosciences actuelles permettent de mieux comprendre ce processus que j’ai déjà exposé dans les articles cités en lien dans mon message précédent, mais ces explications n’étaient pas trop vulgarisées et nombreux sont ceux qui m’ont demandé des explications plus simples.

      Ce qu’il faut avant tout comprendre c’est qu’un individu qui adopte des conduites narcissiquement perverses procède à un « rapt » d’identité de sa proie. Certains auteurs soulignent le fait que la perversion narcissique s’attaque à l’identité de l’autre, d’où le meurtre psychique qui en résulte, mais peu associent cette attaque de l’identité d’autrui, non pas à une destruction comme il est souvent fait remarqué, mais plutôt à un « rapt », un dol ou un détournement d’identité de la victime au profit du pervers narcissique. Et ce détail change toute la perspective d’analyse de cette problématique, car si la victime se sent « dépossédé » de son identité, celle-ci n’est pas perdu. C’est la métaphore du pacte diabolique où vous vendez votre âme au diable (l’essence de votre être à long terme) contre un plus de jouissance immédiate souvent basée sur une fausse idée (illusion) du bonheur.

      Les techniques de disqualifications dont il est question dans cet article ne représentent qu’une partie de la face visible de l’iceberg. Une partie que je compléterais ultérieurement par une autre caractéristique des processus pervers portant sur ce « rapt » d’identité que très peu de personnes connaissent sous son appellation scientifique, mais qui « parlera » à beaucoup de victimes lorsque j’en aurais exposé le processus. Probablement à la rentrée prochaine.

      Sur le fait qui faille beaucoup de temps pour vous retrouvez (retrouver votre identité), je tiens à vous rassurez, dès lors que vous commencez à mettre des mots sur vos maux, ce processus, similaire en quelque sorte à un processus de deuil et ses étapes, vous prendra bien moins de temps que celui par lequel vous avez sombré dans une relation d’emprise.

      Cdlt,

      PS : Comme le souligne Le Gaïagénaire, ce « mal » est bien souvent et majoritairement issu d’une problématique transgénérationnelle (mais pas obligatoirement) tant du côté de la victime que de celui du bourreau, mais cela prend du temps avant d’en arriver à ce constat-là et l’urgence est bel et bien de récupérer son identité perdue (sortir du « décervelage »).

    • Le Gaïagénaire 24 juin 2015 14:03
      Cabilou 24 juin 10:16

      Un psy vous dirait-il que vous avez l’obligation d’autoriser vos filles de ne pas se reproduire ?

      Cherchez les pervers narcissiques c’est détourner l’attention de la Société psychopathe perverse narcissique. 

      Cordialement.



  • JC_Lavau JC_Lavau 18 février 2016 14:28

    L’article http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=177570
    ou

    La dépression majeure, un objectif de tortionnaires raffinés

    ne passera jamais sur Avox : j’ai contre moi les illuminés carbocentristes, les illuminés animistes et vendeurs de dieux, les illuminés new age...

    Merci de bien vouloir passer sur l’espace de modération, pour l’appuyer.

    Cordialement,

    Lavau


  • Michel Hervé Bertaux-Navoiseau Michel Hervé Bertaux-Navoiseau 7 février 2017 15:04

    Le plus bel exemple de pervers narcissique faisant un usage abusif de la parole, c’est Jacques Lacan (Ja-claquant) ! https://www.academia.edu/30923595/Lacan_la_circoncision_et_lexcision_le_reto ur_en_arri%C3%A8re_


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