lundi 8 juin 2020 - par Daniel MARTIN

La couleur de la peau ne définit pas une race, car cette notion n’existe pas

En constitutionnalisant la notion de « race », cela participe à reconnaître et légaliser une notion récusée par les scientifiques qui n'existe pas. Cela implique aussi des risques de théorisation, sous entendu, entre les supérieures et les inférieures, avec les effets que cela produisit, de sinistre mémoire…

Par la lutte contre la formulation « racisme »paradoxalement, ne justifie t-on pas une notion qui n’existe pas ?

Les manifestations actuelles sont une réaction à une sorte de mélange explosif dus à certains dérapages violents de policiers que l’on estime non sanctionnés ou pas suffisamment, en regard de la faute commise ou des propos tenus, ainsi que des discriminations due au « faciès », c’est à dire à la couleur de la peau où à l’origine territoriale. Mais lorsque l’on s’oppose et lutte contre cela en utilisant le verbiage de « racisme » ne justifie-t-on pas, par là même, l’existence de la notion de « races humaines » qui n’existe pas. En réalité on soutient et lutte pour les droits des personnes qui sont victimes de discrimination à cause de la couleur de leur peau ou de leur origine territoriale. Mais la couleur de la peau, ou l’origine territoriale ne définissent pas une notion de race, car la notion de « races humaines » n’existe pas.

Il y a des problèmes dans des quartiers urbains, certes, mais qui n’ont rien à voir avec une quelconque notion de « races humaines »

On ne peut nier l’existence des problèmes existant dans des quartiers urbains, dont certains sont devenus de véritables zones de non droit. L’économie parallèle de la drogue et trafics divers règne en maître, le tout aggravé parfois par l’influence des radicaux de l’islam. La tache des forces de l’ordre n’y ait donc pas aisée. Dans ces quartiers on a concentré une population défavorisée, essentiellement issue de l’immigration où l’on retrouve une forte concentration des personnes de couleur noire et d’origine maghrébine que l’on a ghettoïsée. Ces « laissés pour compte » sont à la fois victimes des violences qui règnent dans ces quartiers et des discriminations liées à la couleur de leur peau, ou de leur origine territoriale, avec un taux de chômage qui est souvent le double ou le triple de la moyenne nationale. Cette situation leur impose une solidarité qui leur permet de survivre, mais les guétoise toujours un peu plus et les communautarise avec les violences qui vont avec, accompagnée parfois les dérapages inacceptables de policiers… Mais tout cela n’a rien à voir avec une quelconque notion de « races humaines », sinon que c’est un problème de surpopulation et de densification de l’habitat urbain en regard de l’espace minimum correct pour permettre à chaque individu d’avoir un cadre de vie correct.

Ne dites plus « racisme », il s’agit de discrimination au faciès et de xénophobie

Il faudrait désormais ne plus utiliser la formulation de « lutte contre le racisme » car cela ne contribue qu’à théorisait une notion qui n’existe pas d’un point de vue biologiste. Mieux vaut donc utiliser la formulation « lutte contre les discriminations au faciès » lorsqu’il s’agit de la couleur de la peau ou de xénophobie et qui doivent être lourdement sanctionnées, car c’est bien de cela qu’il s’agit quand les personnes noires ou d’origine maghrébine sont contrôlées entre 6 à 8 fois plus que les autres.… Sans compter la discrimination à l’embauche qui est une réalité. D’où que l’on soit issus et quelle que soit la couleur de notre peau, nous appartenons tous à la même espèce humaine.

Il faut bien comprendre que le mot » racisme » reste lourd de sens et le maintien de son inscription dans le marbre Constitutionnel Français ne peut qu’avoir des conséquences que l’on peine à imaginer. Vu la situation sur le plan international et l’arrivée possible au pouvoir de personnalités issues de certaines sensibilités politiques sensibles aux théories sur l’inégalité des races, telles qu’elle furent développées par le comte de Gobineau (1816 – 1882), avec son essai sur l’inégalité des races, mieux vaudrait le supprimer par une réforme constitutionnelle qui, aujourd’hui, s’avère urgente.

Supprimé de la constitution par les députés en 2018, cependant le mot « race » y figure toujours

Comme premier changement au projet de révision de la Constitution, les députés ont symboliquement supprimé, jeudi 12 juillet 2018, à l’unanimité (les députés RN étaient tous absents), le mot « race » de l’article 1er, une mise à jour depuis longtemps réclamée outre-mer mais sans faire consensus jusqu’à présent. Hollande voulait aussi le supprimait , mais avec les manifestations contre le mariage pour tous et d’autres qui suivirent il ne l’avait pas fait.

Malgré sa suppression de la Constitution de 1958, le mot « race » reste bien présent dans notre législation. La raison de cette non-révision est en fait d’un autre ordre. le terme reste (et restera) inscrit, à deux reprises, dans un autre texte à valeur constitutionnelle, le préambule de la Constitution de 1946 (https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/preambule-de-la-constitution-du-27-octobre-1946 ) . Au premier alinéa (« … le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés ») et au 16e alinéa (« La France forme avec les peuples d’outre-mer une Union fondée sur l’égalité des droits et des devoirs, sans distinction de race ni de religion »).Selon le Palais Bourbon, « il n’est pas envisagé de modifier en ce sens le Préambule de 1946, car il s’agit d’un texte « historique », au même titre que la DDHC de 1789, dont les termes n’ont donc pas vocation à être révisés. La Constitution de 1958, en revanche, reste un texte « vivant », susceptible d’évolutions »… Cet argument est pour le moins très controversé et ne devrait pas résister à une volonté politique de supprimer le mot »race » de la Constitution. Certes avec la crise sanitaire du Covid-19 il y a d’autres urgences … Mais cette volonté politique existe t-elle ?

Une inscription dans la constitution qui ne date que depuis la quatrième république de 1946.

L’inscription de la dénomination « race » ne fût inscrite pour la première fois dans une Constitution, qui, rappelons le, est l’organe supérieur du Droit, qu’en 1946, lors de la rédaction de la Constitution de la quatrième république. Cette dénomination fût reprise en 1958 lors de la rédaction de la Constitution de la cinquième République qui est actuellement en vigueur.

Dans son article 1er, la Constitution de 1958 déclare :

« La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.

La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales ».

Le Mot race n’avait jamais été inscrit dans les Constitutions précédentes à celle de 1946

A noter que la déclaration des Droits de l’homme de 1789 à laquelle se réfèrent les rédacteurs de la constitution du 27 octobre 1946 et de celle de Septembre 1958, en son article premier il est écrit : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune » (https://www.quelsdroitsfacealapolice.be/IMG/pdf/ddhc_1789-08-26_fr.pdf )... Ainsi nous naissons libres et égaux et nous pouvons être considérés en Droit « supérieurs » ou « inférieurs » les uns par rapport aux autres en fonction de notre utilité sociale. Si la République justifie ainsi l’inégalité sur le plan social, en aucun cas elle n’évoque celle des races. Même si on pourrait éventuellement suspecter les constituants de 1946 (comme ceux de 1958) d’avoir transposé une interprétation de texte qui justifie une distinction sociale fondée sur « « l’utilité commune » en distinction de races, car les unes et les autre n’auraient pas « la même utilité commune »… Ne perdons pas de vue qu’en 1946 (comme en 1958) la société Française est coloniale et pour les responsables politiques, les populations autochtones des colonies (inférieures) n’ont pas la même utilité commune que les populations coloniales (supérieures)…

Pour rappel, la Constitution du 22 Frimaire an VIII (13 décembre 1799) en son Article premier précise seulement que la République française est une et indivisible. Son territoire européen est distribué en départements et arrondissements communaux. Certes, cette constitution qui apparaît comme taillée pour Bonaparte, bien qu’il n’y ait pas de référence à des droits et des libertés, certains droits y sont toutefois affirmés dans les dispositions générales, comme l'inviolabilité du domicile, la sûreté des personnes et le droit de pétition (art.76, art.83, 84-87)… Mais il n’y aucune référence à la notion de race.

Quelles peuvent être les motivations des rédacteurs de la constitution de 1946 pour avoir inscrit le mot « Race » dans la constitution ?

On peut s’interroger sur les motivations qui ont conduit les rédacteurs des constitutions de 1946 à graver le mot « race » dans le marbre du Droit Français que représente la Constitution, alors que ce concept n’existe pas d’un point de vue scientifique, et n’a aucun justificatif anthropologique…

Si l’on considère les premières lignes du préambule de la constitution de 1946, on peut comprendre qu’il ait eu une volonté forte de vouloir dépasser le traumatisme post-Nazisme subit par les populations du aux thèses raciales criminelles qui n’ont cessé de progresser et s’amplifier, notamment, depuis que le comte Arthur De Gobineau édita son essai sur l’inégalité des races humaines en 1853-1855. Le développement de sa thèse qui inspirant, entre autre, les dirigeants du régime Hitlérien et leurs collabos Français leur a servi de référence afin de justifier des massacres épouvantables et ainsi de déculpabiliser la race « supérieure » blanche.

En 1946 la France est un empire colonial qu’il faut à la fois tenir sous bonne garde. Mais aussi auquel l’histoire contraint de reconnaître des droits minimum fondamentaux à ses populations, sans pour autant rejeter la notion de race … Car, la catégorisation, puis la hiérarchisation des groupes humains a servi de justification aux colonisateurs européens pour annexer de nouvelles terres (notion de « races inférieures » chère à De Gobineau ). L’expérience de leur rencontre avec des cultures autochtones fut rapportée en métropole de manière particulièrement partiale : les terres colonisées étaient présentées comme remplies de sauvages incultes, inférieurs à tout point de vue au colonisateur qui, bon et généreux, se dévouait pour leur apporter les lumières et les bienfaits de la civilisation… Ces histoires nourrirent les théories racistes et justifièrent les discriminations dont étaient victimes les peuples colonisés. Il s’agit là du racisme colonial.
Le même usage a été fait en Allemagne nazie de façon beaucoup plus violent puis ensuite en Europe, sous sa domination, visant cette fois les juifs, tziganes, slaves, qu’il s’agissait d’exterminer pour faire de la place à la « race aryenne » dite supérieure. Autrement dit de l’eugénisme.

Pour les scientifiques, la notion de race n'existe pas

Certains chercheurs tentèrent de conférer une valeur scientifique à la notion de race. A l’instar du comte De Gobineau qui dans son « Essai sur l’inégalité des races humaines », où il décrit différentes caractéristiques telles que couleur de la peau, couleur et texture des cheveux, forme et taille du crâne, qu’il met en concordance avec les caractères psychiques, intellectuels, moraux, etc. ces théories conduisent à une hiérarchisation de valeur des races ou groupements humains, certains distinguent plusieurs dizaines voire des centaines de « races » mais tous accordent dans leurs descriptions une place particulière à de grands ensembles en nombre limité, le plus souvent basés sur la pigmentation de la peau.

Le caractère de scientificité de la biométrie, pratique purement descriptive des caractères apparents, n’a guère été reconnu que par ceux qui en étaient convaincus. En revanche cette discipline a largement nourri les discours et politiques racistes. La période du nazisme vit ainsi se multiplier des expositions détaillants des caractères physiques, pour « apprendre » à reconnaître « les races humaines », en particulier les Juifs, mais aussi les Tziganes et bien d’autres. Des populations qui payèrent un très lourd tribut à cette folie raciste des Nazis…

André Langaney qui est un généticien, spécialiste de l'évolution et de la génétique des populations, montre que, génétiquement, la notion de race est infondée car elle suppose une classification arbitraire des hommes. Pour lui : on peut tout au plus parler de fréquence de certains gènes dans une zone géographique donnée.
L'existence de caractères raciaux génétiquement repérables n'a jamais pu être démontrée scientifiquement. Se fondant sur les travaux des biologistes, il affirme : « qu'il n'y a pas de marqueur génétique de la race et que les races humaines ne sont donc qu'un concept culturel ». Il a écrit dans un ouvrage paru en 1992 « Tous parents, tous différents » ( en collaboration avec N. Hubert Van Blijenburg et Alicia Sanchez-Mazas), Paris, Muséum national d'histoire naturelle (ISBN 2877490343) publié à l'occasion de l'exposition qui s'est tenue au Musée de l'Homme Paris en 1992) : « Au début des recherches en génétique, les scientifiques, qui avaient en tête des classifications raciales héritées du siècle dernier, pensaient qu’ils allaient retrouver des gènes des Jaunes, des Noirs, des Blancs… Et bien, pas du tout, on ne les a pas trouvés. Dans tous les systèmes génétiques humains connus, les répertoires de gènes sont les mêmes. »

Claude Levi-Strauss (1908 - 2009) affirmait que si les groupes humains se distinguent, et pour autant qu’ils sont à distinguer : « c’est uniquement en termes de culture ». En effet, c’est uniquement par la culture que les groupes humains ou sociétés se départagent et se différencient, pas selon la nature que serait la nature biologique. C’est à dire que s’il y a bien lieu de maintenir les distinctions, le phénomène n’est en aucun cas naturel. Il ne relève pas de l’étude de la biologie, mais de l’anthropologie au sens large. Le racisme consiste précisément dans le contraire, soit à faire d’un phénomène culturel, un phénomène prétendument physique, naturel et biologique ».

Les différences morphologiques sont souvent expliquées par des adaptations à l’environnement. Autrement dit, les groupes humains primitifs n’ont pas échappé à la sélection naturelle favorisant, pour un groupe social déterminé, un certain nombre de caractères spécifiques adaptés aux conditions d’environnement propres à une région donnée. Néanmoins, compte- tenu de la durée nécessaire pour acquérir divers caractères physiques sous la pression de la sélection naturelle, les migrations humaines de l’Histoire et de la Préhistoire qui se sont traduites par des déplacements de population, à raison d’une moyenne estimée à quelques dizaines de Kilomètres par génération ont entraîné un brassage génétique important, affectant les peuples de quasiment toutes les régions du globe.

Le généticien Albert Jacquard (1925 – 2013) soulignait notamment que la notion de « race » est obsolète et n'a aucun fondement biologique  : « Les individus de l'espèce humaine sont fort différents les uns des autres] il est impossible de tracer des frontières permettant de regrouper ces populations en classes distinctes »  autrement dit, il n'y a qu'une seule race humaine, dans laquelle se fondent plus de sept milliards d’individus. Selon Albert Jacquard : « pour parler de race, il faudrait qu’un groupe reste isolé un nombre de générations égal au nombre d’individus qu’il comporte ; ainsi, un groupe de 200 personnes devrait rester isolé 4 000 ans (si l’on compte 20 ans par génération) pour devenir une race. Ce chiffre est à comparer aux 20 000 ans qui ont été nécessaire pour séparer Canis lupus, (le loup) des différentes races de Canis familiaris (chiens). Peu de races de chiens sont interfécondes avec les loups ». Et de rajouter : « Ni la génétique, ni l’anthropologie, ni l’ethnologie, ni l’Anthropomorphie (biométrie), ni les découvertes récentes n’avalisent l’idée de l’existence de races humaines. Parler plutôt de groupe de populations correspond à une réalité scientifique, dans la mesure où l’on retrouve des gènes proches qui eux ont une signification et une pertinence médicale. Il paraît évident que la notion de race humaine sous toutes ses formes, a servi de prétexte à un racisme latent et qu’elle est à l’origine des plus gros crimes qu’ait connu l’humanité !!!! Le concept de race est une idéologie dont les fondements sont arbitraires, discriminants et dont l’objet est de justifier une différence culturelle par une différence physique... »

Expurger le mot « races » de la Constitution, c’est reconnaître officiellement et définitivement son inexistence. 

La dénomination « race » expurgée de la constitution c’est reconnaître l’inexistence de cette notion, avec tout ce que cela comporte, notamment, en regard de la xénophobie qu’elle renforce et qui est souvent plus profonde et plus ancienne encore que le racisme. Par ailleurs, accepter le principe d’une dénomination qui n’existe pas dans le cadre de la biologie c’est aussi dissimuler les mécanismes psychologiques, historiques, politiques qui sont à l’œuvre dans le « racisme ». Déconstruire à partir de la biologie une notion telle que celle de race est nécessaire, mais cela n’aura qu’un effet limité sur ses aspects dévastateurs si grâce à la connaissance et au savoir la culture des individus ne change pas radicalement dans ce domaine. 

Pour conclure

Si on considère également qu’avec la bombe démographique l’on va vers un effondrement rapide des ressources, de la production alimentaire et industrielle par tête d’habitants, il y a urgence de bannir cette notion de « races humaines » de notre culture, alors qu’elle n’existe pas biologiquement. Du fait de la surpopulation, la planète pourrait, peut être, dans les perspectives les plus favorables, faire vivre 10 à 12 Milliards d’individus à l’horizon 2050… Avec le niveau de vie actuel d’un habitant pauvre du Bangladesh… Mais guère plus de deux milliard au niveau de vie actuel d’un Européen…avec le confinement Covid-19... Les thèses portant la notion de « races humaines » qui n’existe pas et la xénophobie qui l’accompagne, ont peut imaginer les conséquences…



152 réactions


  • berry 8 juin 2020 16:17

    Le gauchisme est une maladie mentale


    • xana 8 juin 2020 16:44

      @berry
      C’est bien possible. Ca m’est égal, je ne suis pas gauchiste...


    • berry 8 juin 2020 16:51

      Il y a bien des différences entre les groupes humains, les scientifiques l’ont prouvé.
      C’est une simple constatation, il faut toute la bêtise et la mauvaise foi de la gauche pour oser prétendre le contraire et vouloir en faire un délit d’opinion.
      https://www.intelligence-humaine.com/causes-des-differences-raciales/
      https://www.intelligence-humaine.com/intelligence-est-genetique/


    • Florian LeBaroudeur Florian LeBaroudeur 8 juin 2020 19:19

      @berry

      Le Q.I est une mesure de l’intelligence purement théorique qui ne reflète en rien les capacités d’une personne qui varient d’une personnalité à une autre.
      Et être intelligent n’est pas toujours un avantage, peu de liens sociaux, peu d’amis, peu d’enfants, peu d’épanouissement, peu d’insouciance, peu de surprises, faiblesse physique, tendance à l’inquiétude.
      Qu’on soit intelligent ou bête, il n’y a pas d’avantages sans inconvénient


    • Sozenz 9 juin 2020 12:44

      @berry
      l intelligence est dû pour beaucoup à l éducation .

       il y a une part innée certes mais je pense que l intelligence est partagé de façon équilibrée sur l ensemble de la planète afin que chaque pays puisse trouver des solutions pour son évolution ;

      je pense plus au terme de race ; quand on voit les physiologie des personnes et là ; on ne peut que constater ;
      couleur de peau , forme du visage ; proportion des corps ;
      qu on le veuille ou non ; il y a des différences que l on peut appeler race, perso , je ne vois pas le problème ; il n y a que les esprits tordus qui ne veut pas appeler un chat un chat. 

      comment les gens font des circonvolutions pour éviter une discussion simple 

      l humain accepte de dire qu’ il y a plusieurs races chez les animaux ; mais ne veut surtout pas parles de races chez les humains ; mais quelle hypocrisie ;
      et comme il est dit ; il y a espèce et race .
      nous avons l espèce humaine . et il y a des races humaines point .
      et toutes les lois du monde n y changeront rien ; c est ainsi

      et dans ces races humaines , il y a encore d autres types qui font que l on sait de quel pays ou région viennent les ethnies ;

      que chacun soit content de la couleur qu’ il a , de toute façon il ne peut pas changer , il faut qu’ il fasse avec ; alors autant bien vivre avec ce que l on est


    • Et hop ! Et hop ! 9 juin 2020 14:25

      @berry

      C’est juste du fanatisme, persister avec aveuglement dans des croyances dont la fausseté est avérée.

      Est-ce que pour lui les hommes seraint le seul mamifère qui ne comporterait pas de races, ou est-ce qu’il nie aussi que les vaches ou les chiens n’ont pas de races ?

      Il suffit d’aller en Afrique pour constater qu’il y a des races humaine, de très belles races d’ailleurs, tous les Africains le savent et ça ne pose pas de problème pour eux.

      Peut-être qu’il confond race et espèce, il n’y a en effet qu’une espèce humaine.


    • vesjem vesjem 10 juin 2020 18:27

      @berry
      le gauchiassemisme est race pure


    • vesjem vesjem 10 juin 2020 19:35

      @vesjem
      les noirs sont de meilleurs coureurs à pieds que les blancs ; mais ils sont moins bons nageurs ; de même que pour la pédale, ils sont moins bons (bon, là, çà se discute)
      les jaunes, par contre ont un sourire plus fréquent, alors que leurs yeux sont quasiment inexpressifs, et on dit qu’ils ont une petite zigounette (çà, je demande à voir)
      les rouges, à défaut d’avoir une plume dans le ...,(ce qui leur permettrait quelques envolées) l’ont sur les tifs...

      on peut disserter longtemps sur les caractéristiques particulières des populations ; il est évident quand même, qu’il y a des tendances générales chez les humains selon leur apparence, morphologie, couleur ; alors qu’on appelle çà race (mot tabou des gauchiasses et antifas), çà n’a d’importance que pour ceux qui, sans le savoir, ont une part de racisme en eux ;

      le philosophe « Alain » formule l’idée selon laquelle l’homme redoute l’aspect d’un semblable dont il sent avoir lui-même la particularité ; alors va savoir ce qu’un noir inspire inconsciemment à un blanc, et vice-versa ?


  • xana 8 juin 2020 16:23

    C’est exact, la notion de « race » en politique est sans objet puisque notre espèce ne comporte qu’une seule « race ».

    Mais le racisme, lui, existe et continue de prospérer dans les milieux peu ou mal éduqués, et cause des millions de victimes dans le monde. Le racisme est condamné par la loi, et il me semble correct de traiter de « raciste » toute personne exprimant des considérations a-priori basées sur une soi-disant appartenance à une « race », évidemment considérée comme supérieur (la « race » blanche) ou inférieure (toutes les autres « races »). Traiter de « racistes » ces gens-là ne les corrigera pas, mais permettra de mettre sans hésitation leur comportement dans le registre de la criminalité. Un raciste est un criminel, un point c’est tout.


    • xana 8 juin 2020 16:41

      @Cadoudal
      S’il n’y a pas de race, il ne peut pas y avoir de sous-race. Autant pour les gauchistes, qui qu’ils puissent être.
      Tu ne devrais pas t’inspirer de sombres crétins.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 09:11

      @xana

      Qu’est-ce que ça veut dire que les races n’existent pas « scientifiquement » ?

      A un moment donné de l’histoire humaine, et pour des raisons diverses, des groupes humains se sont différenciés, selon une distribution géographique.

      Les raisons ? Peut-être climatiques, alimentaires, génétiques évidemment de toutes façons.

      Au bout du compte, il n’en reste pas moins qu’il existe des différences d’apparence : c’est pour donner un nom à cette notion que les peuples, dans leur infinie sagesse et infinie connerie, ont inventé le mot « race ».

      Et ces caractéristiques physiques se transmettent de façon héréditaires : c’est donc une réalité génétique.

      Il y n’y a aucune chance qu’un couple de chinois donne un blond aux yeux bleus, exemple caricatural, certes, mais qui illustre bien l’idée.

      Un couple mixte noir/blanc donne des enfants café au lait. Hé oui, c’est comme ça, et tout ceci se transmet de façon génétique.

      Alors on peut toujours changer les mots, dire qu’il n’existe qu’une race humaine, ok pourquoi pas ,

      N’empêche qu’il existera quand même des « types » physiques humains différents, et que par conséquent on trouvera toujours des abrutis coupables de « typisme »

      PS : message déjà envoyé plus bas.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 09:16

      @gnozd

      Alors certains pourraient imaginer que si un jour, après plusieurs siècles de métissage, l’humanité ayant partout la même apparence, ça nous ferait un prétexte de moins pour nous taper sur la gueule.

      A ceux-là je réponds que quand j’étais môme, au début des années 60, on se tapait copieusement dessus à la récré et on était tous de bons petits blancs !!!

      Voili voilou. Ca m’amuse toujours ces intellos de gauche qui prétendent changer la nature humaine...


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 09:22

      @Cadoudal

      Le racisme, ou racialisme, est l’idée qu’il existerait une différence qualitative entre les groupes humains d’apparence différente, sur le plan de l’intelligence.
      Le vrai raciste considère qu’il y a des races supérieures, et donc des races inférieures.
      Le raciste est donc fondamentalement débile.

      Par contre le fait de considérer qu’il existe des races n’est pas du racisme. C’est juste du bon sens !


    • berry 9 juin 2020 13:51

      @gnozd
      C’est contradictoire ce que vous dites, s’il y a des différences, il y a forcément des différences qualitatives.
      Tout dépend de l’unité de mesure utilisé pour établir les différences, le résultat n’est pas le même si on retient les résultats des concours d’accès aux grandes écoles ou les performances au sprint sur 100 mètres. A chacun de voir ce qui est le plus utile pour la vie en commun dans une société technologique, en 2020. 
      La gauche refuse de voir la réalité en face, elle donne donc le bac à tout le monde et elle a commencé une politique de discrimination positive dans les facs pour favoriser sa clientèle immigrée. 
      Il faut que la réalité se plie à son idéologie égalitariste, et pas l’inverse ; elle n’en démordra pas, tant que la France ne sera pas devenu un shit hole du tiers-monde à part entière.


    • Et hop ! Et hop ! 9 juin 2020 14:34

      @xana

      Vous confond race et espèce, il n’y a en effet qu’une espèce humaine.

      Il suffit d’aller en Afrique pour constater qu’il y a des races humaine, de très belles races d’ailleurs, tous les Africains le savent et ça ne pose pas de problème pour eux.

      Est-ce que vous croyez que les hommes sont les seuls animaux qui ne comporterait pas de races, ou est-ce que vous niez aussi aussi que les vaches ou les chiens ou les canards n’ont pas de races, qu’un couple de dalmatiens peut avoir des chiots qui ont le physique de teckels, et qu’un couple de vaches normandes peut avoir un veau charolais ?

      Après, la question de savoir si il y a des races qui ont de meilleures aptitudes héréditairs que d’autres, c’est une autre question. Les Peules sont d’infatigables marcheurs et coureurs de fonds, les asiatiques ont de meilleurs aptitudes scolaires en France que le reste des élèves, c’est une constatation statistique qu’on peut faire.

      Une autre quetion est de savoir si il y a des races plus dignes que d’autres, et là la réponse est non.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 18:21

      @berry

      Je pense pas être en contradiction.
      Je dis simplement que quelque soit la couleur de peau, on a tous les mêmes potentialités, et je dis ça pour l’avoir vécu, ayant notamment vécu 20 ans dans le 93, de 1980 à 2000 à peu près...
      J’habitais un immeuble à Pantin où vivaient des antillais, des kurdes irakiens, des espagnols, des portugais, des français bien blancs, et des juifs.

      Et j’affirme que tout est dans l’éducation et la culture : mon fils avait un pote de collège d’origine marocaine, ainé de 3 frères, élevés par une mère seule, femme de ménage, et vivant à 4 dans un hôtel.
      Eh bien je peux vous dire que ces gamins étaient loin de l’image actuelle de la racaille, abrutie au rap revanchard et au salafisme. Et leur mère, pour nous c’était une copine.

      Idem pour nos voisins kurdes irakiens qui fuyaient le régime de saddam : des mecs super éduqués, parlant au moins 4 langues, bossant 10 heures par jour.

      Et je me souviens aussi de potes antillais au bahut, dans les années 60/70, mais putain y’avait pas de problèmes.

      Les problèmes sont liés à l’éducation, et aussi à la culture. Et aussi au niveau social mais pas que...

      Alors des exemples de personnes extra européens qui tiennent la route, j’en ai à la pelle, et j’ai aussi des exemples des mêmes qui sont des vrais cons : notamment un pote algérien avec qui j’avais fait les 400 coups dans les années 78/79, et qui est devenu en l’espace de 3 ans un vrai connard barbu, parce qu’il faut pas oublier que dans ces années-là, après la révolution islamique en Iran, les différentes factions musulmanes se sont senti le vent en poupe et les Frères Musulmans, pour ne nommer qu’eux, bien avant de faire du prosélytisme dans les cités ou au zonzon, eh bien ils ratissaient dans les facs, notamment Vincennes et ensuite Saint-Denis...
      Alors voilà. Tout n’est pas tout noir ou tout blanc, on a évidemment tous les mêmes aptitudes, mais les histoires, personnelles, communautaires, l’Histoire aussi, jouent leur rôle.
      Et bien sûr la politique, politicarde, comme maintenant, parce que toute cette agitation, aussi bien aux USA qu’ici, c’est évidemment pas gratuit.


    • foufouille foufouille 9 juin 2020 18:24

      @gnozd

      sauf que en afrique, ça évolue très peu = toujours pas juste des routes partout donc on peut se poser des questions.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 19:06

      @foufouille

      C’est une question de contexte local. regardez ces femmes, noires américaines dans les années 60 qui ont été recrutées par la NASA pour monter un système informatique, ou un truc dans le genre, y’a eu un film sur le sujet « Hidden figures », je crois.
      Tout dépend du contexte. Et aussi de la culture d’origine. Et de l’histoire.

      Ceci dit je me pose des questions : au milieu des années 70, je crois, ou dans ces eaux-là, on a accueilli 125000 boat people asiatiques (viet-namiens, cambodgiens, laotiens, thaïs, chinois...) et on les a parqués dans le 13eme arrondissement de Paris entre l’avenue de Choisy et l’avenue d’Italie, dans un ensemble de tours qui n’avait rien à envier à Sarcelles au niveau architectural.

      Eh bien ces gens ont fait en dix ans de ce quartier affreux un des endroits les plus vivants et les plus dynamiques de l’arrondissement.
      C’est sûr, ils ont leurs systèmes, leurs « gestions », leurs « maffias » aussi, mais voilà, ils montent des entreprises, paient leurs impôts et font pas chier le monde.

      Alors oui je me demande aussi pourquoi ce qui marche avec les asiatiques ne marche pas avec l’immigration africaine.
      Mais en tout cas, c’est pas un problème d’intelligence.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 19:51

      @berry

      ...et je rajouterais qu’il existe des différences qualitatives entre personnes d’une même « race » !!!


    • Et hop ! Et hop ! 11 juin 2020 09:10

      @gnozd

      C’est pas parce que l’éducation est très importante que les races n’existent pas, ça n’a rien à voir, il y a des gens honnêtes et des criminels dans tous les pays.


  • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 16:34

    La notion de race existe car la bible en parle. Il y a notamment des races de vipères, une race fausse et perverse, une race bénie, une race indocile et rebelles, une race dont les yeux sont hautains, une race méchante, des races de géants, une race élue, une race royale, une race sainte.

     

    La notion de race existe car tous les français instruits à qui on parle de race, comprend ce que nous voulons dire.

     

    Et nous les Français de France, nous sommes très doués pour reconnaître les races car même les scientifiques n’y parviennent pas, mais nous, qui sommes très doués, y parvenons au premier coup d’œil.

     

    Tenez, mettez les Français de France à l’épreuve sur ce chapitre pour vérifier si c’est vrai. Ils sont nuls les scientifiques.


    • xana 8 juin 2020 16:46

      @Daniel PIGNARD
      Pignard, ici c’est une discussion sérieuse. Alors remballe ta bible et tes vêtements de prophète si tu veux t’exprimer.


    • Gollum Gollum 8 juin 2020 17:00

      @Daniel PIGNARD

      Vous avez oublié celle dont vous êtes membre, la race des sacrés cons..


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 17:58

      @xana

      Dieu est raciste et il en dit la raison :

      « L’Ammonite et le Moabite n’entreront point dans l’assemblée de l’Eternel, même à la dixième génération et à perpétuité, parce qu’ils ne sont pas venus au-devant de vous avec du pain et de l’eau, sur le chemin, lors de votre sortie d’Egypte, et parce qu’ils ont fait venir contre toi à prix d’argent Balaam, pour qu’il te maudisse. Mais l’Eternel ton Dieu , n’a point voulu écouter Balaam ; et il a changé la malédiction en bénédiction parce que tu es aimé de l’Eternel ton Dieu. Tu n’auras souci ni de leur prospérité ni de leur bien-être, tant que tu vivras, à perpétuité.

      Tu n’auras point en abomination l’Edomite car il est ton frère, tu n’auras point en abomination l’Egyptien, car tu as été étranger dans son pays : les fils qui leur naîtront à la troisième génération entreront dans l’assemblée de l’Eternel. » (Deu 23-3)


    • berry 8 juin 2020 18:07

      @Daniel PIGNARD
      Et Asselineau a dit :
      « Le sodomite tu ne haïras point ».


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 18:12

      @xana

      «  Le droit du sol est l’absurdité qui consiste à dire qu’un cheval est une vache parce qu’il est né dans une étable » (Montesquieu)

      « Le droit du papier est l’absurdité qui consiste à dire qu’un cheval est une vache parce qu’il vit dans une étable avec un marquage de vache sur l’oreille. » (Daniel PIGNARD)

      « Nous sommes avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. « (De Gaulle)


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 18:27

      @berry

      Comment faire confiance à Asselineau, qui considère que Mohamed Lahouaiej-Bouhlel auteur de l’attentat de Nice revendiqué par Daech ayant fait 86 morts et 458 blessés en juillet 2016, n’est pas un terroriste islamiste ?

      Ecoutez sa conférence suite à l’attentat de Nice à ce propos.

      Vous faites : Asselineau attentat de Nice et vous tombez dessus.


  • xana 8 juin 2020 16:42

    Pignard, si ce n’est pas du second degré, tu sais où tu peux te la mettre, ta bible ?


  • Yann Esteveny 8 juin 2020 17:18

    Message à Monsieur Daniel Martin,

    Je poste ce même message sur Agoravox qu’il y a deux jours car il est encore mieux adapté à votre prose dont la simple lecture des conclusions m’a largement suffit.

    "En France, il est interdit d’établir des statistiques par race. D’ailleurs dans la pratique, le mot race pour les hommes devient interdit dans la langue française médiatique. En revanche, il est politiquement très rentable de parler à tort et à travers de racisme. Cette diversion permet de conquérir un électorat de « bien-pensant » et de masquer les vrais maux de notre société."

    Respectueusement


    • Yann Esteveny 8 juin 2020 17:33

      Message à tous,
      En complément, voici une leçon d’honnêteté et de courage face à cette race de vipère :
      www.youtube.com/embed/5IfztZpgxow


    • berry 8 juin 2020 19:00

      @Yann Esteveny
      Not Found


    • uleskiserge uleskiserge 10 juin 2020 13:31

      @Yann Esteveny

      La crainte de l’exposition de la vérité du racisme, des discriminations, du sort cruel et injuste qui est fait aux minorités émanant des rédactions des médias français, principalement de droite et d’extrême droite, celle de la "fausse gauche" aussi, une presse dans le déni (celui de leurs propriétaires qui n’appartiennent pas à des minorités méprisées, sans oublier des préoccupations idéologique, communautaire et géo-politique)... de Marianne au Figaro en passant par Charlie Hebdo, le webzine Causeur et Atlantico... cette crainte, cette réticence est tellement patente... c’est le déni de toute une classe médiatique, politique et économique pour laquelle la racisme passe après toute autre manifestation de la détestation de l’autre ; d’où cette complaisance - et parfois même cette complicité – des médias avec les acteurs médiatique et politique du racisme en France ( Zemmour, Finkielkraut, E. Lévy, MLP et une partie de LR...).

       


  • Doume65 8 juin 2020 17:23

    La race existe en ce sens qu’elle a une signification pour celui qui emploi le mot. Qu’elle n’existe pas scientifiquement n’y change rien. C’est un concept, de même qu’une ethnie. Vouloir faire diminuer le racisme avec cette négation est vouée à l’échec. Un mec raciste, si tu essaie de lui faire comprendre qu’il n’y a pas de race, il en conclura seulement que les noirs (par exemple) n’existent pas et qu’il peut donc les négliger. Mais si tu arrives à lui faire comprendre que l’homme qu’il réduit à son appartenance ethnique (qu’il appelle race) n’est pas pire ni meilleur pour cette seule appartenance, là tu pourras marquer un point.


    • foufouille foufouille 8 juin 2020 17:37

      @Doume65

      quand 2 blancs à 100 % pourront avoir uniquement des enfants noirs ou asiatiques, les poules auront des dents.


  • berry 8 juin 2020 17:44

    C’est quoi « Black Lives Matter » ?

    C’est une opération de propagande du Parti Démocrate une fois tous les quatre ans, juste avant les élections. La preuve avec les occurrences de recherche sur Google :

    https://trends.google.com/trends/explore?date=today%205-y&geo=US&q=black%20lives%20matter


  • foufouille foufouille 8 juin 2020 17:45

    il existe bien des différences génétiques liées au physique que ça plaise ou pas.

    aucun gène non plus de néandertaliens chez certains peuples.

    une race n’est pas une espèce.


  • xana 8 juin 2020 17:50

    Aux yeux de la loi, un raciste est un criminel.

    Au moins sur ce point, la loi est bien faite.


    • berry 8 juin 2020 17:53

      @xana
      tdc
      Vous voulez nous exécuter immédiatement ou simplement réouvrir les goulags ?


    • foufouille foufouille 8 juin 2020 17:57

      @xana

      pas dans ta version de la loi.


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 18:03

      @xana

      La loi, la voici :

      ART. 10. — Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. (Droits de l’homme de 1789)

       

      Non mais !


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 juin 2020 18:34

      @Cadoudal

      Pour les indigènes, c’est le couplet 3 de Notre Merveilleuse Marseillaise qui nous guide :

       

      « Quoi ! Des cohortes étrangères

      Feraient la loi dans nos foyers !

      Quoi ! Des phalanges mercenaires

      Terrasseraient nos fiers guerriers ! (Bis)

      Dieu ! Nos mains seraient enchaînées !

      Nos fronts sous le joug se ploieraient !

      De vils despotes deviendraient

      Les maîtres de nos destinées ! »

       

      Et comme on a un fond chrétien, on fait nôtre les paroles du Christ :

      « Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. » (Mt 15 :24-26)


    • Goldored Goldored 10 juin 2020 08:38

      @berry
      « @xana
      tdc
      Vous voulez nous exécuter immédiatement ou simplement réouvrir les goulags ? »
      Bof. Ça vaudrait bien les sévices dont vous rêvez pour les étrangers.


  • popov 8 juin 2020 18:01

    @Daniel MARTIN

    Ne vous fatiguez pas autant à démontrer que vous n’êtes pas raciste.

    Cela ne convaincra pas les « anti-racistes ». Pour eux, vous êtes blanc, donc vous êtes raciste, même si vous vous agenouillez devant un noir en demandant pardon comme un veau pour des fautes que vous n’avez pas commises.


    • Fergus Fergus 9 juin 2020 11:32

      Bonjour, popov

      « Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde ». Avec le racisme !
      Les deux concepts  bon sens et racisme  concernent, qu’on le veuille ou non, toutes les populations de la planète, mais heureusement pas tous les individus qui les composent !


    • Fergus Fergus 9 juin 2020 11:34

      Heu... j’ai posté trop vite : « heureusement » pour la racisme, évidemment pas pour le bon sens.


    • popov 9 juin 2020 12:01

      @Fergus

      Ce qui m’interpelle, c’est que l’anti-racisme fonctionne sur les mêmes préjugés que le racisme : t’es blanc, donc...
      C’est un peu comme l’anti-colonialisme claironné par ceux qui colonisent la France.
      Mais l’idéologie de la gauche bobo n’est pas à une contradiction près.


    • Goldored Goldored 10 juin 2020 08:40

      @Fergus
      « Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde ».

      La connerie surtout. La connerie.


    • uleskiserge uleskiserge 10 juin 2020 13:32

      @popov

      Mépris, discriminations, violence à leur encontre... à l’aune de l’opposition dont les minorités font tous l’objet, puisque cette opposition politique et médiatique n’a qu’un souhait - le retour des minorités visibles à l’invisibilité des années 60 et 70, tête baissée, reléguée aux tâches les plus ingrates -, laissons tous ces Français issus de notre ancien empire colonial s’organiser car personne ne fera rien pour eux ; personne ! En cela, les 50 dernières années leur donnent raison aujourd’hui encore......... et chacune des interventions des médias et de leurs lecteurs apporte la confirmation de cette nécessité urgente.


    • popov 11 juin 2020 09:05

      @uleskiserge

      Je reconnais l’existence de ces problèmes de classes. Mais ce n’est pas l’« anti-racisme » la solution. L’« anti-racisme » dit : tu es blanc, donc t’es raciste.
      Regardez à quelles extrapolations cela conduit (eh oui, pour les Africains noirs, les habitants du Maghreb sont des blancs).


    • popov 11 juin 2020 11:28

      @Cadoudal

      Bonjour

      Les rivalités entre ethnies africaines, ce n’est pas nouveau. Maintenant, avec l’antiracisme, c’est à dire le racisme anti-blancs, il y en a qui s’en prennent au Maghreb, peut-être pour oublier un peu leurs querelles ethnique et s’unir contre un « ennemi commun ».


  • foufouille foufouille 8 juin 2020 18:06

    il faudrait que le bourgeois parte vivre chez les pauvres pour voir que les blancs vivent aussi dans les cités.


  • rogal 8 juin 2020 18:09

    « La notion de race n’existe pas ».
    Sans doute vouliez-vous dire que la chose (la race) n’existe pas. Il est évident que la notion existe.


    • foufouille foufouille 8 juin 2020 18:14

      @rogal

      non il veut dire qu’il peut avoir un enfant de toutes les couleurs, etc sans ascendance génétique. et un singe aussi.


    • berry 8 juin 2020 18:24

      @foufouille

      A une autre époque, il aurait soutenu les impostures de Lyssenko.


    • foufouille foufouille 8 juin 2020 19:04

      @berry

      mais ils l’ont fait sauf quand un médecin avait une tronche de pas normal.


    • Daniel MARTIN Daniel MARTIN 8 juin 2020 19:13

      @rogal
      Oui bien sur.


    • Fergus Fergus 9 juin 2020 11:39

      Bonjour, rogal

      Vous avez parfaitement raison. 
      A cet égard, il faut considérer le mot « race » comme une convention de langage destinée à désigner des caractéristiques physiques identifiables.
      A cet égard, il n’est pas plus choquant de dire « un Noir » ou « un Blanc » qu’« un blond » ou « un roux ». Le racisme n’est pas dans ces mots, mais dans les éléments d’appréciation qui peuvent leur être adjoints !


    • HELIOS HELIOS 9 juin 2020 12:02

      @Daniel MARTIN

      ... moi qui pensait qu’un ecolo comme vous acceptait la notion de diversité... vous réduisez l’humanité a une seule race ? mmhhh et la diversite ?


  • foufouille foufouille 8 juin 2020 18:17

    pour info la « biométrie » concernait aussi les blancs.


  • Decouz 8 juin 2020 18:35

    Pour les religions voici ce que j’en ai retenu  :

    Ce qui prime c’est le caractère humain (par rapport aux animaux).

    On a beaucoup reproché aux Chrétiens autres biblistes l’histoire de la malédiction de Cham qui expliquerait prétendument le sort des Noirs, mais il y a bien d’autres histoires de discriminations plus ou moins justifées par les textes entre les peuples et les ethnies.

    Le Coran parle, mais positivement, de différences de couleurs et de langues, ces deux termes étant liés dans l’expression.

    En Inde on parle de « varna », couleur, mais il semble que cela concerne plutôt les castes, il peut y avoir des castes supérieures dans les différentes « races », la caste prime sur la race. 

    Le noble primait sur le bourgeois, le bourgeois sur le paysan. Il y avait des nobles et des caégories inférieures aussi bien chez les Asiatiques que ches les Noirs.

    Dans l’ésotérisme chrétien, en liaison avec le symbolisme des éléments, eux mêmes liés aux 5 sens, il y avait quatre races, la race originaelle au centre.Aucune supériorité absolue d’une race sur l’autre, mais une supériorité relative en fonction de grands cycles temporels, chaque race étant amenée à dominer les autres dans un ou l’autre des quatres grands cycles.


  • JC_Lavau JC_Lavau 8 juin 2020 19:40

    Sauf que dans l’eau douce, il y en a qui coulent ; surtout les africains.


  • Jonas Jonas 9 juin 2020 00:20

    « La couleur de la peau ne définit pas une race, car cette notion n’existe pas ».

    Ça ce n’est vrai que depuis la loi contre le racisme en 1972 et la loi Gayssot en 1990.

    Orwell avait expliqué dans son livre révolutionnaire « 1984 » que pour éliminer un concept qui fait barrage à l’endoctrinement d’une idéologie, il fallait supprimer du vocabulaire la notion de ce concept.
    Comme il n’existe plus dans le langage, il est alors plus facile de faire accepter l’endoctrinement.

    En éliminant la notion sémantique de « race », le gouvernement espère faire accepter le grand remplacement des Français par une population du tiers-monde sans douleurs. Plus de races, ça veut dire qu’on est tous pareils, et qu’on est tous interchangeables.

    Les races n’ont jamais posés problèmes dans l’enseignement des sciences et l’anthropologie pendant des siècles, il suffit de lire par exemple « Races et histoire » de Lévi-Strauss, elles étaient mêmes très détaillées et expliquées scientifiquement dans le Larousse 1976.


    • Goldored Goldored 10 juin 2020 08:44

      @Jonas
      Donc ça vous suffit à valider l’existence de races ?
      La science depuis le 19e a toujours été profondément raciste (eugénisme, hygiénisme, phrénologie, génétique...).
      Les sciences médicale continue à faire du modèle masculin blanc de 30-50 ans leur modèle principal, bien que la physiologie change selon le sexe, les régions, les âges...
      Et que dire du fait que cette science réac’ a attendu cette décennie pour faire une réelle description du clitoris ?


  • ERANOVA 9 juin 2020 00:23

    L’auteur écrit : « Ne perdons pas de vue qu’en 1946 (comme en 1958) la société Française est coloniale et pour les responsables politiques, les populations autochtones des colonies (inférieures) n’ont pas la même utilité commune que les populations coloniales (supérieures)… ».

    Voilà bien une erreur de lecture et de compréhension de la constitution de 1946, laquelle reprend et entérine la loi Lamine-Gueye :

    Loi n° 46-940 du 7 mai 1946,
    tendant à proclamer citoyens tous les ressortissants des territoires d’outre-mer.

    Article unique.

    À partir du 1er juin 1946, tous les ressortissants des territoires d’outre-mer (Algérie comprise) ont la qualité de citoyen, au même titre que les nationaux français de la métropole et des territoires d’outre-mer. Des lois particulières établiront les conditions dans lesquelles ils exerceront leurs droits de citoyens.
    La présente loi, délibérée et adoptée par l’Assemblée nationale constituante, sera exécutée comme loi de l’État.
    Fait à Paris le 7 mai 1946.
    Félix Gouin.

    La Constitution de 1946 pose la création de l’Union française, ensemble fédéral, en préambule et dans ses articles 80 et 81 :

    Préambule :
    La France forme avec les peuples d’outre-mer une Union fondée sur l’égalité des droits et des devoirs, sans distinction de race ni de religion (...). Écartant tout système de colonisation fondé sur l’arbitraire, elle garantit à tous l’accès aux fonctions publiques et l’exercice individuel ou collectif des droits et libertés proclamés ou confirmés ci-dessus.

    Article 80 :
    Tous les ressortissants des territoires d’outre-mer ont la qualité de citoyen, au même titre que les nationaux français de la métropole ou des territoires d’outre-mer. Des lois particulières établiront les conditions dans lesquelles ils exercent leur droit de citoyens.

    Article 81 :
    Tous les nationaux français et les ressortissants de l’Union française ont la qualité de citoyen de l’Union française qui leur assure la jouissance des droits et libertés garantis par le préambule de la présente Constitution.

    Ces lois furent et sont encore contournées ou entravées. La Constitution audacieuse de 19’§ resta une utopie : après le Débarquement, le Gouvernement provisoire, créé à Alger le 3 juin 1944, s’installa à Paris et, progressivement, réalisa le programme de rétablissement de la légalité républicaine qu’il s’était fixé. Mais il s’agit aussi de tenir les engagements du discours de Brazzaville et ceux de l’article 4 de l’ordonnance du 7 mars 1944 qui avait promis la nationalité française aux musulmans d’Algérie.

    L’Assemblée constituante approuva ainsi, le 25 avril 1946, un projet de loi, à l’initiative de Lamine Gueye, député du Sénégal, octroyant la pleine citoyenneté — mais on l’a vu, il n’en est resté qu’une citoyenneté à deux vitesses — à tous les ressortissants de l’empire colonial. La Constitution de la IVe République inscrit en son article 80 la substance de cette loi, que l’on a comparée à l’édit de Caracalla ; mais l’Empire romain n’élisait pas un Parlement au suffrage universel !

    L’attribution des droits politiques à tous les sujets de l’Empire devait donner à leurs représentants la majorité à l’Assemblée nationale. La IVe République répondit à ce défi en instituant l’inégalité du suffrage : les « autochtones », ayant conservé leur statut personnel, n’avaient pas un nombre de représentants correspondant à leur poids démographique. Par exemple, selon la loi du 5 octobre 1946, la Métropole envoie 544 députés à l’Assemblée nationale, l’Algérie 30, également partagés entre citoyens d’état civil français et citoyens de statut local, et le reste des colonies 34 députés seulement. Autre exemple, le statut de l’Algérie, établi par la loi du 20 septembre 1947, institue une Assemblée territoriale de 120 membres, dont 60 sont élus par les Français d’état civil français et par certains citoyens de statut local distingués par leurs titres ou leurs mérites, et 60 sont élus par les autres citoyens de statut local, la grande majorité. La Ve République répondit à ce défi par l’institution de la Communauté et rapidement par la décolonisation.

    Le déni de citoyenneté française aux citoyens français d’outre-mer instauré par la mise place du statut de citoyen de droit local engendra un immense dépit sur fond de gestation des nationalismes d’outre-mer et résulta en l’abandon du modèle français par les populations et en l’effondrement de l’empire français. Le Tonkin ouvrit la marche, l’Afrique du Nord suivit. C’est qu’on avait beau avoir versé son sang pour la France, on restait un « indigène » de la République (façon politiquement correcte de dire un « étranger »).

    On sait aujourd’hui quelles erreurs historiques la France commit en abandonnant le modèle politique économique et social novateur amorcé par les lois de la Constitution de 1946. Si elle avait conservé cette architecture, elle serait aujourd’hui forte de plusieurs centaines de millions de citoyens et n’aurait pas à batailler au Mali ou à Djibouti : elle serait présente sur les cinq continents avec une structure stratégique hors du commun. Mais Napoleon n’avait-il pas cru malin de vendre tout à l’ouest du Mississipi (22,3 % de la superficie actuelle des USA !) pour une bouchée de pain (il est vrai que c’était enclavé, mais il fallait vraiment être occupé en Europe, pour croire que les les USA étaient autre chose qu’une extension de la thallassocratie anglaise) ? 

    La france n’a mérité qu’un joli, mais miniuscule hexagone — et encore, il faudra voir à ce que les Allemands lui reprennent l’Alsace-Moselle (et plus si affinités)…

    Il faut croire que le racisme, l’ostracisme et d’autres mesquineries civilisationnelles l’ont emporté et qu’il resta préférable selon ceux qui les portaient en bandoulière, avec l’écharpe et la cocarde, qu’elle restât petite et bornée plutôt que puissante, vaste et ouverte. Le fond raciste français perdure, systémique, jusque dans la lecture de la Constitution de 1946 et suivante.

    La pirouette consistant à effacer le mot « race » du vocabulaire des bien-pensants ne permet pas d’effacer la mémoire des centaines de millions de citoyens français auxquels on confisqua définitivement la qualité de Français dès 1958, avec les effets que nul n’ignore ni la vraie raison d’une telle mutilation ; à savoir qu’il était impensable entre Français racinés que les lois nationales soient écrites par une majorité de députés d’outre-mer (façon politiquement correcte de dire « nègres, bridés et bicots »)…

    Pour rappel, la Ve République de 1958 court toujours : si ce n’est pas du racisme (ou de la discrimination, pour rester politiquement correct), qu’est-ce que c’est ? De l’hypocrisie, peut-être…
    Le racisme n’est pas qu’un mot : c’est une maladie honteuse.


  • caillou14 rita 9 juin 2020 06:32

    Les races n’existent pas, mais le racisme oui ?

    Cherchez l’erreur ?

     smiley


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 9 juin 2020 08:33

    Ethnologie et Linguistique : le débat sur l’inégalité des races et des langues.

    Hé oui, c’est ballot de mentir pour récupérer politiquement les évènements .
    Mais cette volonté est bien française, sournoise, vicieuse , infecte .

    Au lieu de prendre la distance intellectuelle , le politique nourrit le débat en suscitant la haine de l’autre . Adolphe n’a pas fait mieux ... L’état jacobin dans toute sa splendeur .


  • gnozd gnozd 9 juin 2020 09:04

    Qu’est-ce que ça veut dire que les races n’existent pas « scientifiquement » ?

    A un moment donné de l’histoire humaine, et pour des raisons diverses, des groupes humains se sont différenciés, selon une distribution géographique.

    Les raisons ? Peut-être climatiques, alimentaires, génétiques évidemment de toutes façons.

    Au bout du compte, il n’en reste pas moins qu’il existe des différences d’apparence : c’est pour donner un nom à cette notion que les peuples, dans leur infinie sagesse et infinie connerie, ont inventé le mot « race ».

    Et ces caractéristiques physiques se transmettent de façon héréditaires : c’est donc une réalité génétique.

    Il y n’y a aucune chance qu’un couple de chinois donne un blond aux yeux bleus, exemple caricatural, certes, mais qui illustre bien l’idée.

    Un couple mixte noir/blanc donne des enfants café au lait. Hé oui, c’est comme ça, et tout ceci se transmet de façon génétique.

    Alors on peut toujours changer les mots, dire qu’il n’existe qu’une race humaine, ok pourquoi pas ,

    N’empêche qu’il existera quand même des « types » physiques humains différents, et que par conséquent on trouvera toujours des abrutis coupables de « typisme ».


  • gnozd gnozd 9 juin 2020 09:54

    Et il faut réfléchir un minimum par soi-même, et essayer d’être logique.

    En biologie, on a la notion de « génotype », qui définit les caractéristiques de l’espèce : ça veut dire que deux individus ayant le même génotype sont de la même « espèce », et peuvent donc se reproduire.

    C’est le génotype qui fait que quand un homme féconde une femme, il nait immanquablement un être humain, et non pas un lapin ou une poule.

    A l’intérieur de l’espèce, il existe des différences d’apparence, qui étaien à un moment donné de notre histoire distribuées géographiquement.

    Les biologistes appellent « phénotype » cette caractéristique, c’est à dire l’ensemble des faits observables.

    Et ces caractères sont transmissibles...génétiquement. Hé bé oui, forcément !!!


    • HELIOS HELIOS 9 juin 2020 11:59

      @gnozd

      ... les types se sont formés et développés selon ce que vous decrivez : region, climat etc...

      Ce raisonnement est-il valable pour l’acquit culturel ? il y a-t-il un type « occidental », par exemple, indépendant de sa couleur de peau, mais different des types « orientaux », « africains » etc ?... un « occidental » fait-il des enfants occidentaux ?
      il y a-t-il des « type » stables, comme la couleur et des types fugitifs soumis aux conditions locales et provisoires (un occidental en afrique se comporte-il en africain ?).
      Une religion et son comportement culturel est-il un type, et y a-t-il un lien, une prévalence entre un type et une religion ou une culture -independament- du lieu ?

      J’y vois là beaucoup de questions et de paradoxes gommant la certitude du racisme ou de l’antiracisme.

      Tout cela n’est que blabla, ce qui compte c’est le regroupement humain, consecutif, permis et maintenu par la règle que se donne cette societé et ce qui génère tous les problemes, ce sont ceux qui -quel que soient les raisons se trouvent en défaut, exterieur a cette règle commune et qui ne souhaitent pas l’accepter.

      Le communautarisme comme l’integration ne sont que des illusions nocives, il n’y a que l’assimilation qui peut fonctionner, le vivre ensemble est impossible, d’autant plus qu’il est imposé avec sa cohorte de problèmes.

      Quand on aura compris cela, le racisme disparaitra, sauf pour la medecine et la génétique qui nous soignent.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 19:31

      @HELIOS

      C’est clair : le problème est avant tout culturel et/ou politique.

      Cultulitique ou politurel, en somme !


  • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 9 juin 2020 10:05

    Quand les jacobins (F-mac) embrayent sur la terreur ils veuillent passer au rasoir national toutes les races(familles) de curés, de Nobles et autres bourgeois, ainsi qu’une parti du peuple renégat....

    Ils trouveront pour exterminer une parti du peule un crétin de service nommé Bonaparte. Qui tuera à tour de bras le petit peuple GJ de l’époque .

    Pour s’approprier le pouvoir ultime.

    Danton sera parmi les victimes de cette terrorisation de la France mené par cette race de jacobin . Hahahaaaaaaaaaaaa.... !

    En fait la politique c’est comme la comptabilité de cavalerie .... ON génère de la peur avec de la peur pour arriver dans l’ impasse de la dictature.

    La France est elle raciste ?
    Pour sûr, les politiciens sont racistes..


    • SPQR audacieux complotiste chasseur de complot SPQR Sono Pazzi Questi Romani 11 juin 2020 04:11

      Napoléon a rétablit l’esclavage me semble t il ? N’est ce pas ..... Les socialistes et d’autres ont spéculé sur le communautarisme pour accéder au pouvoir . Communautarisme qui est une forme de racisme politique. Les zélotes ont bénéficié de lois protectrices . Vouloir déboulonner des statues pourquoi pas mais qui va renverser le tombeau de Napoléon et quel est le nom du politicard qui va abroger toutes les lois communautarismes ? Le vent l’emportera Tout disparaîtra Le vent nous portera..........


  • Pimpin 9 juin 2020 10:57

    Je cite : « La couleur de la peau ne définit pas une race, car cette notion n’existe pas ». 

    Vous n’avez rien compris à la méthodologie scientifique ! Cette notion comme vous dites existe puisqu’elle est la base de toute étude scientifique qui consiste à observer. 

    Quand des scientifiques se trouvent en présence d’une population, que ce soit des êtres vivants ou des cailloux, ou n’importe quoi d’autre, ils commencent par les trier en fonction de leur aspect (je me rappelle pendant un TP avoir passé de longs moments à trier des grains de sable sous une loupe binoculaire).

    Quand on applique cette démarche de base à l’espèce humaine, on ne peut que constater qu’il existe des caractères communs à certains, dont la couleur de la peau. On peut donc former des groupes, ce sont les races. Races qu’on retrouve d’ailleurs dans les études génétiques, mais on les appelle alors « clusters » !

    En effet les scientifiques vont nous dire que les races n’existent pas ! d’abord parce qu’ils n’en ont rien à faire, mais surtout parce qu’ils y risqueraient leur carrière ! Quand on met un tel poids dans des accusations, il ne faut pas s’étonner de la réponse unanime ! C’est comme les aveux sous la torture.

    Il n’empêche que ces races sont visibles par tous, tout le monde est capable de faire la différence entre un Africain, un Asiatique, un Esquimau, etc. ... 

    Alors quand un noir délinquant meurt sous les coups d’un policier blanc dont c’est le boulot d’arrêter les gens violents en leur opposant une violence plus importante, et que des gens « oublient » le côté délinquant et ne voient que le noir et le blanc il font immédiatement une classification en races et s’en servent comme argument pour foutre le bordel .

    La majorité des meneurs dits anti-racistes n’en ont rien à faire de ces histoires de races, ils s’en servent juste pour atteindre leurs buts : soutenir la délinquance et tenter de casser notre société. 

    Parce que le vrai problème n’est pas la classification des races qui est tout à fait scientifique, mais ce qu’on en fait .

    Certains s’en sont servis et s’en servent encore à des fins de domination des peuples, au hasard : les nazis, les anti-racistes.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 11:29

      @Pimpin

      Entièrement d’accord avec votre post, y compris sur le côté délinquant de George Floyd.
      Ceci dit, était-ce une raison pour le buter ???


    • Pimpin 9 juin 2020 11:38

      @gnozd
      Etait-ce volontaire ? ou une manoeuvre d’un flic qui en avait ras le bol des rebellions incessantes et des réactions violentes à chaque fois qu’il lâchait du lest ? Comment maîtriser un individu aussi costaud qui se débat sinon en lui appliquant des prises qui peuvent être mortelle ?
      C’est aux délinquants d’assumer leurs actes !
      Vous regardez à la TV les reportages sur les interventions de la police et de la gendarmerie ? Vous voyez à quoi ils doivent résister ? comment font-ils pour garder leur calme ? et aussi, on ne peut que constater de l’origine majoritaire des délinquants violents.
      Moi je pense aux victimes de ce genre de voyous.


    • gnozd gnozd 9 juin 2020 11:55

      @Pimpin

      Il me semble que pendant les 8 minutes en questions, le flic et ses 3 collègues avaient largement le temps de passer les pinces au mec...


    • Pimpin 9 juin 2020 13:57

      @gnozd Oui, mais même avec des pinces certains arrivent à résister, surtout quand on est costaud comme Floyd ! Il faut bien utiliser des moyens de plus en plus contraignants donc de plus en plus dangereux. Toutes les erreurs, tous les abus conscients ou pas sont possibles. C’est aux voyous d’assumer les conséquences de leurs actes, pas aux policiers.


    • Goldored Goldored 10 juin 2020 08:45

      @Pimpin
      « Moi je pense aux victimes de ce genre de voyous. »
      Moi je pense à TOUTES les victimes.
      Trop subtil pour vous ?


    • uleskiserge uleskiserge 10 juin 2020 13:30

      @Pimpin

      La gestion par l’Elysée et Matignon de la crise sociale incarnée par les Gilets Jaunes nous a rappelé à toutes fins utiles qu’il n’y a pas de police républicaine a priori (répression dans le sang des soulèvements ouvriers  ; Seconde guerre mondiale et Collaboration ; massacres dans les colonies ; guerre d’Algérie et exécutions sommaires sur le sol français - aujourd’hui, 50% d’entre eux votent RN)... car, dans les faits, il n’y a que des gouvernements républicains et une chaîne de commandement du même nom ; de là, par voie de conséquence, des ordres et des comportements républicains ou non.


    • Pimpin 10 juin 2020 14:05

      @Goldored
      Quelles autres victimes ? les voyous ? ils ne sont que les victimes de leurs propres actes !


    • Pimpin 10 juin 2020 14:14

      @uleskiserge
      Le problème des manifestations (gilets jaunes) est un autre problème qui génère des violences de masse et donc des répressions de masse.
      Je ne vais jamais dans les manifestations, ça ne sert à rien et ça risque de dégénérer.
      Je ne vois pas le rapport avec le RN , ni d’où sortent vos 50 % ! Surtout que ceux que vous citez ne doivent plus être très nombreux ! En plus le vote actuel n’a sans doute rien à voir avec ce qui c’est passé des dizaines d’années avant dans des conditions totalement différentes. Il ne faut pas tout mélanger !
      Dans n’importe quel système, républicain ou autre, le rôle de la police (de la force publique) c’est de faire respecter l’ordre, en opposant une violence plus importante à ceux qui sont violents. Il faut juste le comprendre et agir en conséquence.
      Cette violence policière est évidemment la hantise des voyous, c’est pour cela qu’aidés des habituels idiots utiles gauchistes il font tout pour tenter de neutraliser cette police, histoire de continuer tranquillement leurs exactions. La soi-disant lutte contre le racisme n’est qu’un levier parmi d’autres, une escroquerie.


    • Goldored Goldored 11 juin 2020 08:56

      @Pimpin
      Savez pas lire ?


    • Pimpin 11 juin 2020 11:07

      @Goldored
      Lire quoi ? 


    • Goldored Goldored 11 juin 2020 22:02

      @Pimpin
      Savez pas lire, donc !


    • Pimpin 12 juin 2020 10:23

      @Goldored
      Vous ne savez pas expliquer vos pensées ? vous ne savez qu’intervenir par allusions ? 


    • Goldored Goldored 12 juin 2020 19:03

      @Pimpin
      Y a pas grand chose à expliquer en l’espèce...
      Vous voulez pas aussi que je vous aide à trouver votre propre trou de balle ?


    • Pimpin 12 juin 2020 23:39

      @Goldored
      Si ! expliquez votre comportement ! Si vous avez quelque chose à dire dites le clairement ! Arrêtez de faire l’idiot ça nous fera gagner du temps !


  • gnozd gnozd 9 juin 2020 11:57

    Sans faire de jeu de mots par rapport au débat, rien n’est ni noir ni blanc !

    Délinquant, sans doute, mais le flic en question a l’air d’être un sacré connard.


  • ERANOVA 9 juin 2020 13:30

    « Si l’on considère les premières lignes du préambule de la constitution de 1946, on peut comprendre qu’il ait eu une volonté forte de vouloir dépasser le traumatisme post-Nazisme » : voilà un autre glissement.

    La volonté exprimée par la loi Lamine Gueye et la constitution de 1946 était d’engager l’intégration des territoires d’outre-mer et TOUTES les populations de l’Union française dans un ensemble fédéral fonctionnel. Évidemment que la contribution des corps d’armée d’outre-mer à l’effort de guerre contre les nazis avaient été stimulée par la promesse de l’État français de la disparition du statut d’« indigène » au profit de la pleine et entière citoyenneté française sur tous les territoires de la République. C’est visionnaire. Mais la perspective d’un contact autre que d’intérêt (pour la défense dut territoire) avec des populations que la culture avaient depuis le dépbut de la colonisation décrites comme frustes et inférieures rebutait la bien-pensance traditionnelle. L’Inconcevable, c’était quand même la participation de ces populations à l’élaboration de la culture française et à l’établissement de ces lois. C’était une question irréductible d’ethos ; question que l’on somma de contourner par la ruse de la création d’un citoyenneté bistre. Il y aurait d’un côté les vrais Français (devant tout de même, pour en posséder l’état, justifier de la continuité de leur lien avec le sol de la métropole et avec le le sang de la nation initiale) et les pseudo-français ( tous les autres, à jamais incapables de produire ces preuves et seulement intégrables au prix de quelque exploit individuels sur le champ de bataille, tels que ceux de l’inoubliable Capitaine Charles N’Tchoréré, héros africain français des deux guerres, exécuté d’une balle dans la tête par les Allemands pour avoir seulement prétendu être officier français).

    Pour prendre la mesure de la détestation raciste en France, revenons aux sources de la littéraire humaniste du XIXe siècle. Même Victor Hugo, dont on a encore aujourd’hui en mémoire, l’engagement humaniste contre l’ostracisation et la répression des classes populaires dites dangereuses (les pauvres, les « sans dents » d’alors) en métropole, avait défendu une vision colonialiste et raciste de la société française :

    « La Méditerranée est un lac de civilisation ; ce n’est certes pas pour rien que la Méditerranée a sur l’un de ses bords le vieil univers et sur l’autre l’univers ignoré, c’est-à-dire d’un côté toute la civilisation et de l’autre toute la barbarie […] Quelle terre que cette Afrique ! L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie elle-même a son histoire ; l’Afrique n’a pas d’histoire. Une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe. Rome l’a touchée, pour la supprimer ». Un certain petit Nicolas sut s’inspirer de ces mots.

    Schoelcher — oui, l’abolistionniste — venait tout juste en gusis d’introduction du fameux « Discours sur l’Afrique » d’arguer de la visée civilisatrice et compassionnelle de la colonisation : «  »La cause des Nègres que nous soutenons, et envers lesquels les nations chrétiennes ont tant à se reprocher, devait avoir votre sympathie ; nous vous sommes reconnaissants de l’attester par votre présence au milieu de nous. Cher Victor Hugo (...), quand vous parlez, votre voix retentit par le monde entier ; de cette étroite enceinte où nous sommes enfermés, elle pénètrera jusqu’au cœur de l’Afrique, sur les routes qu’y fraient incessamment d’intrépides voyageurs, pour porter la lumière à des populations encore dans l’enfance, et leur enseigner la liberté, l’horreur de l’esclavage, avec la conscience réveillée de la dignité humaine.«  Les historiens spécialistes de la nature brutale et raciste du régime colonial français apprécieront…

    L’exploitation sans scrupules des populations et des ressources africaines venait de trouver les chantres les plus illustres dans les rangs des soi-disant humanistes. L’Afrique ne s’en remit jamais… On notera au passage le régime particulier souhaité pour le continent noir (au déni d’ailleurs des exactions que la France exerçait, mine de rien, sur tous les continents).

    Et l’inarrêtable, l’immortel Hugo — le Ténardier des civilisations noires — d’enfoncer le clou : 

     »Le flamboiement tropical, en effet, c’est l’Afrique. Il semble que voir l’Afrique, ce soit être aveuglé. Un excès de soleil est un excès de nuit. […] Eh bien, cet effroi va disparaître […] Comment ? […] Déjà les deux peuples colonisateurs, qui sont deux grands peuples libres, la France et l’Angleterre, ont saisi l’Afrique ; la France la tient par l’ouest et par le nord ; l’Angleterre la tient par l’est et par le midi. Voici que l’Italie accepte sa part de ce travail colossal […] Cette Afrique farouche n’a que deux aspects : peuplée, c’est la barbarie ; déserte, c’est la sauvagerie ; mais elle ne se dérobe plus ; les lieux réputés inhabitables sont des climats possibles ; on trouve partout des fleuves navigables ; des forêts se dressent, de vastes branchages encombrent çà et là l’horizon ; quelle sera l’attitude de la civilisation devant cette faune et cette flore inconnues ?" On sait aujourd’hui la réponse.


  • Aimable 9 juin 2020 14:33

    L ’espèce humaine, a , en fonction de son lieu de naissance sur la planète , reçu au fil des millénaires une ou plusieurs particularités génétiques compatibles avec toutes celles de son espèce quelque soit son lieu de naissance .


  • popov 9 juin 2020 15:23

    Après les horreurs du nazisme, il était normal de chercher à réorienter les opinions dans la direction opposée. Les recherches ont donc visé à dénier l’existence des races. Et on a trouvé des arguments en analysant la génome humaine.

    Mais la génome humaine est une chose très compliquée et on n’en n’a qu’une connaissance très limitée.

    Il est extrêmement probable que si, au contraire, on avait cherché des arguments en faveur de l’existence de races humaines à partir de l’analyse de la génome humaine, on en aurait trouvés.

    Il est clair que si un chercheur essayait aujourd’hui de définir des races humaines, il serait immédiatement cloué au pilori quelle que soit la qualité de sa recherche.

    Il ne suffit pas de répéter Pour les scientifiques, la notion de race n’existe pas pour en faire une vérité. Il faudra sans doute attendre quelques décennies pour que les têtes se refroidissent et qu’on puisse entamer des études scientifiques dépassionnées sur cette question.


    • foufouille foufouille 9 juin 2020 15:29

      @popov

      ben non, en fait il existe plusieurs différences génétiques entre les humains comme des gènes néandertaliens et les haplotypes mais dans ce cas plus ethnique.


    • popov 9 juin 2020 15:35

      @foufouille

      Je serais plus prudent. La génétique n’en n’est qu’à ses débuts.


    • foufouille foufouille 9 juin 2020 15:43

      @popov

      non c’est prouvé et les asiatiques ont aussi des restes de leur Néandertal.


    • popov 9 juin 2020 15:49

      @foufouille

      Oui, les Européens ont des gènes du Neandertal alors que les Africains n’en n’ont pas. Mais cela ne constitue pas une définition précise d’une race.


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