La révolution n’aura pas lieu !
52 réactions
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décurion 5 octobre 2009 15:08Votre démonstration est incomplète.
Les bourgeois, ne sont rien d’autre que des gens du peuple qui se sont élevés de leur condition.
La taxe qui a le meilleur rendement est la tva que payé par les consommateurs composé de beaucoup plus de pauvres que de riches. En puissance monétaire réelle, le peuple dispose de beaucoup plus de moyen, que n’importe qui.
Il ne manque au peuple que la connaissance exacte de la situation et de ses moyens.
Certains faits sont irréversibles, et plus le peuple ira vers la Connaissance, et moins on pourra le maintenir dans une ornière.-
Jean-Pierre Llabrés 5 octobre 2009 15:23à l’auteur
« L’argent, c’est le nerf de la guerre et le peuple n’en a pas ! »
Une révolution pacifique sera toujours possible par les urnes. Elle se produira le jour où une majorité de votants s’entendra sur un projet commun incluant les modalités de financement dudit projet.
Je vous propose ceci :
Pour un Nouvel Ordre Économique Français Équitable !
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pour-un-nouvel-ordre-economique-60258 -
Jean-Fred 5 octobre 2009 16:20C’est vrai, mais cela ressemble aussi au jeu du chat et de la souris, je vous laisse le soin de deviner qui est la souris !
Les outils à la disposition de la grande bourgeoisie évolue en ce moment très vite, bien plus que le niveau de connaissance général des citoyens. -
jeananto 5 octobre 2009 19:11Les familles dont il est question tiennent la rampe depuis deux siècles
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Croa 5 octobre 2009 22:48« Les familles dont il est question tiennent la rampe depuis deux siècles »... avec toutefois une éclipse partielle à la libération : Certains avaient collaborés ! Ils ont depuis bien repris du poil de la bête !
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ramonjimenez 6 octobre 2009 09:40« Les bourgeois, ne sont rien d’autre que des gens du peuple qui se sont élevés de leur condition. »
Alors là pas d’accord du tout . La bourgeoisie est une histoire de famille . Même aujourd’hui , seul 4 % d’enfants d’ouvriers préparent une grande école. La reproduction sociale existe depuis toujours et les barrières entre castes ne sont pas perméables.
Cela dit , je rejoins le point de vue de l’auteur. Aucune révolution ne se fera sans les « élites ». Et pour l’instant elles se portent plutôt bien.
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décurion 6 octobre 2009 16:38@ ramonjimenez,
Histoire de familles ?
Des Jimenez, Gimenez, Rodriguez, Ramirez, sont arrivés en Algérie, en balancelle, avec un contrat pour arracher l’alfa ou les lentisques.
Quelques années plus tard, on en retrouve propriétaires, mariant leurs filles à des fils de propriétaires. -
Gazi BORAT 6 octobre 2009 16:42Ooohh les belles images d’Epinal !
En oubliant le petit coup de pouce de la puissance coloniale qui accorda en masse et par décret la nationalité française aux Espagnols et Italiens d’Algérie, les incluant dans la catégorie favorisée, sur un territoire légalement soumis à l’apartheid !
gAZi bORAt -
ramonjimenez 6 octobre 2009 17:08Bon ok j’ai fait un peu vite donc un peu provoc’
De nos jours parler de la bourgeoisie est dépassé. Mais il en reste quand même un système de reproduction social qui reste valide. Les « elites » sont issues des mêmes quartiers , des mêmes écoles , fréquentent les mêmes endroits . Et le népotisme est encore de rigueur de nos jours.
A tel point qu’il parait impensable qu’un gars ou à plus forte raison une femme soit élu président de la république en ayant pas fait l’ENA ou autre. Pourtant c’est dans la constitution, mais c’est un fait accepté que tout dirigeant doit être issu de la machine...
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Gazi BORAT 8 octobre 2009 07:04Ciel !
Il y a donc quelque chose à prouver ?
Un certificat d’aryanité à produire ?
Ces choses-là sont d’un autre temps !
gAZi bORAt -
décurion 8 octobre 2009 12:31Tu te donnes bien trop d’importance.
Un zeste d’érudition, deux parts de connerie, c’est la formule du gazi.
Avec tes allusions faciles, répétées et hors sujet, tu le démontres et le confirmes.
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jacques Roux 5 octobre 2009 15:22Peut être finalement que la Révolution au sens ancien du terme et de ses représentations ancrées dans l’imaginaire des grands soirs issus des barricades, peut être que cette forme la n’est plus, n’est pas, envisageable ?
Peut être avons nous peur de perdre le peu que l’on a et n’oserions nous descendre dans la rue pour sauver notre canapé ?
Mais est ce la Révolution à laquelle beaucoup aspireraient ? Ou bien beaucoup ne seraient ils pas aujourd’hui en état de Révolte, plutôt, au sens que lui donne Camus (L’Homme Révolté) ?
C’est la révolte qui gronde jamais la révolution. On a besoin d’air pas de lendemains qui chantent...c’est parti comment mai 68 ? mais quelle fraîcheur pendant et aprés, longtemps...tout allait si bien pourtant, vu de la bourgeoisie...-
Jean-Fred 5 octobre 2009 15:59Bonjour,
Je vous rejoins dans votre analyse, la peur de perdre ce qui nous reste est aussi un frein à la révolte !
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Croa 5 octobre 2009 22:52« Je vous rejoins dans votre analyse, la peur de perdre ce qui nous reste est aussi un frein à la révolte ! » avec aussi la dette !
L’endettement est certainement le meilleur moyens de coercition qu’ils aient pu inventer !
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LeManu 6 octobre 2009 01:49La révolution, ça pête à la face de la dictature qui elle-même naît de la crise. C’est la loi.
Crise, qui arrive, d’ailleurs.
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Yannick Harrel 5 octobre 2009 15:35Bonjour,
Oui effectivement, les révolutions ont été plus souvent le fait des bourgeois que de la masse populaire (encore que l’épisode de la Commune ne saurait être tu). La masse populaire suivant plus qu’initiant de tels mouvements.
Les révolutions commencent souvent par un constat évident mais qu’il faut rappeler : la frustration portée à son acmé. L’insatisfaction d’une position sociale sans espoir d’amélioration et des charges de plus en plus lourdes à supporter au profit de rentiers. Ensuite l’évènement déclencheur peut prendre plusieurs formes : famine (comme ce fut souvent le cas), la mesure arbitraire de trop, un fait divers matiné d’une criante injustice mettant le feu aux poudres.
Si un bouleversement majeur devait avoir lieu dans un pays occidental prochainement, je pense sincèrement qu’il sera le fait d’une couche intellectuelle précarisée ne pouvant accéder aux postes qu’elle serait en mesure d’attendre. Il n’est pas impossible, loin de là, qu’Internet soit le moteur même de ce bouleversement.
Cordialement
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ykpaiha 5 octobre 2009 15:50J’hesite , La lecture de votre article necessite a mon sens une double lecture :
Celle qui apparait au premier chef est la larmoyante litanie du mouton moyen dépassé par l’inéluctable suprémacie des forces en présence .
Que dire que faire si ce n’est d’accepter mon insignifiance.La seconde plus ironique signifiant qu’il n’y a rien a faire car tout est a refaire.
L’Histoire n’est pas si simpliste qu’ici décrite. Combien de sort predefini par les forces en présence, ne se sont trouvées marris de leur suffisance ?
Combien d’idées, d’hommes, de régimes se sont joué de cette fatalité en se forgeant une ame ?
Dans un systeme predéfini seuls les aspects connus sont maitrisés, reste la part inconnue et celle ci par définition improbable suffit souvent a renverser les meilleures stratégies et les plus grands empires.
Il serait bien hasardeux de jouer sur tel ou telle stratégie pour défaire ou refaire le monde tel que nous le connaissons, seule une acuité a apréhender ce moment inéluctable ou cette faille naitra, et la présence d’un cataliseur apte a entrainer les forces sous-jacentes permettra ce mouvement.
Rester vigilent voila la seule alternative, car l’erreur viendra c’est sur et certain, maintenant ou demain nulle ne le sait, et de plus le détail sera insignifiant, minime, voire meme completement invisible sauf pour un Elu de l’Histoire ayant tout compris avant tout le monde.Si la révolution ou la guerre naissait de la misere, c’a se saurait par contre toute révolution fini dans la tyranie, si en effet nous tombons dans ce travers de la tyranie (financiere,mediatique ou autre ..._ c’est que sa révolution se termine et qu’une autre va apparaitre.
Ah si tout serait plus simple si la vie était prévisible, mais qu"est ce qu’on se ferait chier !!
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xray 5 octobre 2009 15:53
Lorsque vous cesserez de croire que ce sont les élus qui ont le pouvoir, on pourra peut-être avancer.
La politique n’est que de la diversion. Le pouvoir est ailleurs.
Vos chers élus se moquent de vous. Ils ont bien raison.
Ils ne sont que des marionnettes d’un grand guignol.
Le pouvoir est dans les mains de ceux qui contrôlent le capital de la Dette publique. (Pour la France, cinq fois le budget net de l’État.)
Le « capital de la Dette publique » gagne à pourrir la vie du plus grand nombre. C’est de cette façon qu’il s’est construit. (Misères et maladies)
Le capital de la Dette publique est entre les mains de ceux qui bénéficient de la loi 1905. La loi 1905 défiscalise les immenses revenus des « curés ».
Le Grand Guignol politique
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/
Le bourbier européen
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/archive/2009/05/09/le-bourbier-europeen.html
Les Français sont revenus à la situation du début des « années 40 ».
Ils sont soumis à :
- Une monnaie d’occupation ;
- Des journalistes d’occupation ;
- Des mœurs judiciaires dignes du nazisme ;
- Des collabos financés et au service de qui ? L’Europe, les Américains, ou le Vatican ?
Néanmoins, dans les moyens mis en œuvre par l’Europe pour asservir les foules on reconnaît les méthodes de curés :
- « Générer l’incompréhension, les désordres, la délinquance, la criminalité, l’injustice, la misère, les maladies, les épidémies, les conflits, les guerres, les famines, etc. »
Le tout reposant sur l’ignorance et les mensonges permanents avec lesquels les individus sont douchés par les médias.
Le bourbier européen
http://n-importelequelqu-onenfinisse.hautetfort.com/archive/2009/05/09/le-bourbier-europeen.html
L’EUROPE des curés
http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2009/06/22/l-europe.html
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intactsaphir 5 octobre 2009 17:53
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Jean-Fred 5 octobre 2009 16:06Bonjour à tous,
Merci pour vos commentaires et mon billet se veut provocateur, il a pour but de montrer que la révolution telle que beaucoup de gens l’imaginent n’aura pas lieu.
Si révolution il y a, elle sera probablement d’une toute autre nature, il reste seulement à l’inventer, Internet pouvant être un moteur important.
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Manfred 5 octobre 2009 16:10« la peur de perdre ce qui nous reste est aussi un frein à la révolte ! »
Et c’est bien pour cela qu’il faille que le peuple perde tout espoir et ses illusions. Car c’est acculé que le peuple trouve en lui les ressources et les solutions à ses difficultés...Par contre, l’idée de dire qu’une révolution est difficile à faire me paraît injustifiée, surtout à notre époque. Et l’idée de dire qu’une révolution ne peut se faire sans l’argent est également une fausse idée... Je vous ferais bien la démonstration, mais pas ici ^^
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UnGeko 5 octobre 2009 16:16« regardez plutôt en face la machine financière en place, elle est notre guide à tous aujourd’hui »
Un guide ? J’espère que c’est de l’humour ??? La machine financière détruit tout sur son passage. Elle n’est pas le guide mais le bourreau des peuples ! Aujourd’hui les cours de la bourse montent quand une multinationale met ses salariés au tapis demain ils monteront pour faire crever du pauvre !
Car progrés technologique oblige demain(aujourd’hui ?) les riches n’auront plus besoin des pauvres ! La fête vient de commencer avec la crise fabriquée par la vermine de chez Golman Sachs, ajoutez y un zest de grippe Baxter, un zist d’extremisme religieux et vous obtenez un bon scénario pour diviser les peuples et les amener à s’entretuer !
La populasse se vautre dans Secret Porcherie et régresse vers l’illétrisme pendant qu’on l’amène à l’abatoire !
A voir les irlandais se prostituer pour quelques sesterces, je me dis que l’adoration du veau d’or ira jusqu’au bout de sa perversion !-
Jean-Fred 5 octobre 2009 16:27Ce n’est pas de l’humour, juste une provocation basée sur une constatation.
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Manfred 5 octobre 2009 16:23Oui mais de fait de révolutionnaire, notre auteur est plutôt un aigri en manque d’imagination pour inventer un nouveau monde, et en manque de structuration et d’organisation pour créer une révolution efficace. Du coup, plutôt que de se retrousser les manches à pré-inventer un monde meilleur, où toutes les notions telles que nous les connaissons n’ont qu’une faible probabilité d’exister, il préfère se lorgner dans son cafard une bouteille à la main.
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yoananda 5 octobre 2009 16:27Ben justement, si on suit votre argumentaire, la révolution est en marche avec la hausse massive prévue des impôts et autres « ponctions » diverses et variées.
http://www.youtube.com/watch?v=jGC1mCS4OVo&feature=player_embedded
il n’est pas certain du tout que la classe moyenne va se laisser dépecer sans rien dire.
Ok les bourgeois sont en 2ème ligne, mais eux aussi sont menacés, car de toute manière, pour renflouer le grand casino bancaire l’état n’aura d’autre choix que d’aller chercher l’argent la ou il est ...Donc selon votre raisonnement, on se dirige tout droit vers la révolution.
D’ou les mesures sécuritaires et les lois liberticides et la société de surveillance qui se met en place un peu partout. Les dirigeants ne s’y trompent pas, il sentent le vent venir.-
foufouille 5 octobre 2009 21:36@ abgesch
tes etrangers seront les premiers a se battre
ils leur manque juste un chef
et des notions de strategie
ils ont presque rien a perdrepour le reste on verra aux procaine elections
(tape miterrand sur fdesouche.com, tu verras des gros debiles qui sont pourtant de droite et qui admire un pedophile ) -
Croa 5 octobre 2009 23:04« Je crois au contraire que tout cela finira mal et qu’il existera tôt ou tard un élément déclencheur, notamment lié à l’immigration afro-maghrébine puisque l’islamisation rampante de la société devient proprement insupportable. »
Si cela se passe ainsi cela finira mal en effet ! Car ce serait se tromper d’adversaires !
Je veux espérer que le peuple sera moins con. Qu’il saura déceler ses tyrans et s’en débarrasser... Ainsi pour la première fois dans l’Histoire une révolution finira bien
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anny paule 5 octobre 2009 17:31à l’auteur,
Pour calmer les esprits ou impuissanter ceux qui subissent durement chaque jour le monde qu’il nous est donné de vivre (à l’image de la droite extrême), on ne ferait pas mieux !
L’histoire n’est pas seulement européenne, et il est d’autres exemples où le peuple, sans argent, a réussi à modifier le cours des choses.
Je pense, notamment, à certains pays latino-américains qui, par les urnes, ont opéré une réelle révolution. Moralès en est un exemple, « cocalero », petit paysan vivant de la culture de la coca, il a réussi, en mettant en place une forme d’éducation populaire, à sensibiliser ses pairs (de loin les plus nombreux) à la nécessité de modifier la donne. Ce qui s’est produit en Bolivie, c’est une véritable révolution... mais différente de celles auxquelles vous faites allusion.
Certes, les Boliviens étaient plus misérables encore que nombre de nos concitoyens qui ont « encore quelque chose à perdre » ! Mais, le système qui les avait réduits à cet état de dénumement est identique à celui qui nous est imposé... la différence est simplement une question d’échelle !
Quand il n’y aura plus rien à perdre ou à espérer, l’instinct de survie, le sens de la vie seront certainement capables de soulever bien des endormis !
Je préfèrerais que cela se passe par les urnes, par une conscience éclairée que par le « sang »... mais nous devons souhaiter que cette révolution (au sens mathématique du terme) ait lieu, et sans trop tarder... sinon, ceux qui sont aux manettes auront mis en place un conflit mondial dont l’issue sera plus qu’incertaine ! (Toutes les crises se sont, par contre, terminées ains !!! Cela, l’histoire nous l’enseigne !!! Et la situation actuelle est plus qu’explosive !!!).
Personnellement, je crains davantage que ce type de « révolution » n’ait pas lieu que l’inverse !-
jondegre 6 octobre 2009 09:29Bonjour,
Mouais, c’est quand même très différent, les boliviens ont quand même vécu 5 siècles de colonisation auxquels leur culture a tout de même résisté (chapeau !) et donc la conscience des gens sur les mécanismes d’asservissement et de pouvoir est élevée.
En France, on est pas du côté des colonisés mais plutôt du côté des colonisateurs et il est fort probable que le peuple se range du côté de l’élite bourgeoise colonisatrice plutôt que du côté des opprimés, et ce pour deux raisons essentielles :
- il a encore trop à perdre (déjà dit dans les interventions plus haut), on est encore très très loin d’un pays du tiers monde comme la bolivie (2$ par jour, espérance de vie = 45 ans)
- le peuple est bercé d’une intense propagande pour qu’il croit qu’il représente la Civilisation (enfin qu’il aide les bourgeois à le faire) avec un grand C, et il se bat pour ce système et contre la barbarie.
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Le péripate 5 octobre 2009 18:34Les bourgeois n’appartiennent pas au peuple ? On a là l’expression parfaite du racisme de classe version marxiste, très proche dans sa forme du racisme socialiste national.
Poubelle.
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jaja 5 octobre 2009 19:15« Les bourgeois n’appartiennent pas au peuple ? »
C’est le peuple , ses bras et son cerveau, qui appartient aux bourgeois. Et il faut que ça cesse le plus tôt possible. De gré ou de force....
Le racisme de classe c’est envers le prolo et les salariés qu’il se fait. Les bourgeois se cachent dans leurs quartiers réservés, leurs écoles, leurs restaurants, leurs clubs etc... où eux seuls sont admis grâce au pouvoir de l’argent qu’ils ont extorqué au peuple.
Quand au peuple il bouffe de plus en plus de la merde et en aura de plus en plus ras-le-bol de ses exploiteurs...
Vous tordez les faits à votre convenance Péripate...
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Le péripate 5 octobre 2009 22:56Oui, bien sûr. Au fait, savez vous comment la presse communiste de la Libération qualifiait les trotskistes ? Les hitlero-troskistes. Amusant, et finalement assez juste.
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Croa 5 octobre 2009 23:25« Les bourgeois n’appartiennent pas au peuple ? » Excellente question en effet !
La bourgeoisie, massivement, fait bien partie du peuple. Seul un infime gratin bourgois fait partie de l’oligarchie.
Toutefois dans leurs têtes beaucoups de ces gens s’identifient à l’élite dominante. Ils se trompent bien sûr mais nombreux sont ceux qui tombent de leur piédestral ces dernières années. (Monsieur JALLATE, le patron suicidé par exemple.)
Soyons tolérants car nombreux sont aussi les ouvriers qui intériorisent les intérêts de leurs maîtres !
Cette situation est entretenue par les médias dominants qui savent jouer du clivage droite-gauche entretenant la confusion parmis le peuple qui permet à une infime minorité d’escrocs de dominer le monde.
Le jour où le peuple se découvrira tel qu’il est, c’est à dire composite, il deviendra solidaire et fera sa révolution !
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jaja 6 octobre 2009 18:37Comme quoi dans votre vie de derviche-tourneur politique lorsque vous vouerez votre actuel ami Pinochet aux gémonies il vous sera possible de rejoindre les Staliniens. Vous n’en n’êtes pas si éloigné que vous le pensez encore aujourd’hui....
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jaja 5 octobre 2009 19:03L’histoire nous prouve que malheureusement ce n’est pas la Révolution qui est la plus difficile à mener à son terme. Renverser le capitalisme et abolir la propriété privée des moyens de production puis instaurer la démocratie directe c’est ce qui fut fait en URSS...
Et il est difficile d’affirmer que c’est la bourgeoisie qui organisa le soulèvement. Le malheur c’est que dès 1921 la démocratie directe fut abrogée et que, parallèlement, une nouvelle oligarchie parvenait au pouvoir.
Mais chaque Révolution réussie ou avortée est une leçon pour les peuples. Celle que l’on peut tirer de l’expérience d’Octobre 1917 c’est que dès que le peuple se voit retirer la démocratie directe il perd l’égalité sociale conquise par la force et le nombre.
Les Révolutionnaires de 1917 se sont fait entuber car ils ignoraient (pas tous) que dans les plis du drapeau rouge se cachait la nouvelle classe exploiteuse. Celle des Nomenklaturistes, partisans d’un capitalisme d’État et qui l’ont emporté sur les Rvolutionnaires. Révolutionnaires qui furent d’ailleurs les premiers détenus dans les « Isolateurs politiques » qui allaient devenir le Goulag.....
Cette leçon politique est aujourd’hui à la disposition de tous les peuples du Monde. Chaque nouvelle vague révolutionnaire ne repart jamais à zéro mais du point où les précédentes se sont enrayées....
Je ne prévois pas l’avenir comme le fait l’auteur en affirmant que toute Révolution est aujourd’hui impossible mais je sais que l’histoire, au moins sur le long terme, nous délivre ses leçons et que tôt ou tard l’humanité parviendra à se libérer de ses chaînes...
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fhefhe 5 octobre 2009 21:50Gandhi était un avocat « Bourgeois »....c’est en faisant « voeu » de pauvreté qu’il a mis les Anglais dehors....
Mao fils de bourgeois....avec son parcours mitigé... a fait a révolutionné la Chine moyenageuse... !!!
N’utilisez plus nôtre véhicule pendant 1 mois....
N’achetez plus que ’l’utile« et non le »futile« ...pendant six mois...
N’achetez plus de cigarettes et d’alcool pendant neuf mois...
Ne jouez plus au, loto , PMU , Rapido etc... pendant douze mois...
N’achetez plus à Crédit pendant douze mois..
Et vous serez un REVOLUTIONNAIRE ....qui vide les poches de l’Etat.....
Même avec tous ses défauts ....Miterrand , redoutable Homme Politique...se méfiait des »Gandhis« »Abbé Pierre« ...car sans vraiment de défauts...surtout l’appât du gain ...et leur Altruisme était considéré pour lui comme un obstacle à toute ambition politique...
Un vrai Révolutionnaire n’a rien...à perdre !!!
La liberté ....c’est être Propriétaire de sa vie ...et non pas de tous ces biens inutiles qui flattent l’Ego de ceux qui les possédent entre autre les Bourgeois.
Alexandre »ému ?" de la condition de vie de Diogène le Cynique (il vivait dans un tonneau) lui demanda :
Que veux tu , pour être heureux ?
Diogène lui répondit
Ote toi de mon Soleil... !!! -
easy 5 octobre 2009 23:49Tant qu’un système distribue des os à une masse de gens qui se savent médiocres cette masse se tient tranquille.
En France, jamais l’Etat n’a redistribué autant d’os à autant de gens, qu’aujourd’hui. -
Pierre Boisjoli 6 octobre 2009 02:31La révolution aura lieu parce que Dieu la veut, une révolution néo-marxiste car Marx a tout prévu de notre monde. L’Apocalypse est pour les gens de bonne volonté et ce sera un coup de balai comme il n’y en a jamais eu de par le monde et par l’histoire. C’est ce qu’il y a de merveilleux dans le message divin.
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pseudo 6 octobre 2009 10:14Nous sommes en pleine révolution celle du néo libéralisme triomphant, celle de l’Europe ultra libéral des délocalisations encouragées, du chômage, du démantèlement du système sociale et des lois liberticides contre les peuples. Il y a bien une révolution qui va contre les intérêts du grande majorité d’entre nous, celle de l’Europe néo con et des banquiers escrocs.
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kalon 6 octobre 2009 10:55Vous ne tenez pas compte dans votre réflexion que la partie de l’ancienne bourgeoisie ayant été aspirée vers le haut est , nettement, moindre que la partie qui est devenue « Aristocratie plébienne »
Ces « anciens bourgeois » rétrogradés ont gardé leurs contacts et l’éssentiel des connaissances pratiques nécéssaires pour faire tourner une société d’échange.
Et puis, nous pourrions parler aussi d’évolution plutot que de révolution -
kalon 6 octobre 2009 11:01Ainsi, il me semble qu’en ayant supprimé la classe bourgeoise en la divisant, il apparait comme normal que les rapports entre protagonistes sont appelés à se durcir.
La classe bourgeoise n’agissant plus comme « silent block » entre le pouvoir et la masse. -
JL 6 octobre 2009 11:13Article qui me laisse dubitatif. Je lis : « .. aucune révolution ne s’est faite sans le financement et le consentement de la bourgeoisie ! »
Je crois qu’il est difficile en effet de faire la révolution sans une aide structurée, « extérieure » au pouvoir. Cet extérieur peut fort bien être un parti de l’étranger, on l’a vu dans l’histoire. Depuis la chute du communisme cette menace pour le camp occidental semble avoir disparu.
Par ailleurs, l’auteur confond révolution et révolte. Une révolte est toujours possible, et l’on ne sait jamais sur quoi cela peut déboucher.
L’auteur fait également la confusion entre bourgeois et classes moyennes. Mais je lui accorde que les classes moyennes sont en déliquescence. Cela va de pair avec la séliquescence de la démocratie : du fait qu’il y a de moins en moins de « profiteurs », le pouvoir a de plus en plus recours au mensonge (la novlangue) et comme il sait que cela ne suffira pas, il prépare la répression. C’est cette course contre la montre qui je crois, caractérise notre époque. -
sentinelle 6 octobre 2009 12:56@ l’auteur
bonjour tout le monde
je ne crois pas moi non plus a une revolution,la population a été saccagée, plus de volonté,.....mais tout a deja été dit....
pas revolution, mais des noyaux de resistance un peu partout et partout un petit peu en peau de leopard....pas de resistance organisée de maniere centralisé, mais des collectifs de circonstance pour arceler l’occupant...une victoire a la pirrhus..pour l’oligarchie...
aux petits nombres de futurs resistants de vox je rappelle qu’il n’y a que les laches qui ont peur de prendre des coups....
la FRANCE est devenue une colonie israelienne...les français des palestiniens.......-
sentinelle 6 octobre 2009 13:17un acte de resistance exemplaire :
http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=23801 -
JL 6 octobre 2009 13:25@ Sentinelle qui écrit : « la FRANCE est devenue une colonie israelienne...les français des palestiniens »
Au temps de la guerre froide, Kennedy à Berlin avait dit : « Ich bin ein Berliner ». Phrase que tous les médias occidentaux avaient repris en boucle.
Quel homme politique aujourd’hui irait à Gaza dire : « Je suis un gazaoui » ? Aucun, évidemment !
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Anto 6 octobre 2009 15:23La thèse est intéressante mais la définition de la bourgeoisie me semble assez floue. En plus il faudrait la confronter avec la révolution bolchévique qui n’est ni si vieille, ni anodine. Ca ressemble à un contre exemple ....
Les gouvernements actuels ont appris des erreurs de leurs prédecesseurs qui ont conduit à un renversement. La politique moderne n’est pas tant la science de gouverner que celle de conserver le pouvoir, et après genre 3 millénaires, elle est bien rodée à présent. L’objectif est de maintenir les gouvernés en équilibre entre l’état de victime et de complice. C’est notre démocratie( le système a été bien théorisé dans les romans dystopiques) Le maniement de ce genre de paradoxe qui tenait du funambulisme il y a encore deux siècle est aujourd’hui monnaie courante.
C’est pour cela qu’il n’y aura pas de révolution telle qu’on en a connu -
Vinrouge 6 octobre 2009 15:32En effet, peu de révolutions sans les bourgeois ! Mais aucune révolution sans idéal, sans structure sociale de remplacement de l’existant, sans moyen d’emmener le peuple avec soi... La Révolution Française ou la Révolution Russe ont eu lieu car les bourgeois qui les ont provoquées (ça n’était pas le cas de tous) savaient ce qu’ils voulaient construire, et que cela convenait au peuple.
Aujourd’hui, même si certains « bourgeois » souhaitent aussi la révolution, personne n’est capable de décliner un idéal et une structure sociale complète qui peut emporter l’adhésion de la majorité (les idées des philosophes des Lumières/ les droits de l’Homme et du citoyen ; le marxisme-léninisme). Les raisons en sont multiples, à commencer par ce qui a été rappelé par quelques intervenants : on ne sait pas ce qu’on a à gagner et trop à perdre - une version à peine modernisée de notre pain et nos jeux (d’ailleurs, les seules grandes révolutions à Rome furent des révolutions de palais...) ! Dans le tissu d’intérêts petits ou grands qui caractérise notre société, difficile de trouver un fil conducteur auquel tout le monde peut adhérer.
Ce manque d’une idée fondatrice, déclinée, acceptée et partagée rend en effet une révolution impossible ! -
dom 6 octobre 2009 16:11votre constat omet certains points importants.
Les révolutions jusqu’ici venaient toujours à cause de l’oppression et du levier « alimentation » comme arme majeure du pouvoir en place.
La situation n’est pas différente aujourd’hui alors que les foules sont habituées à s’approvisioner aux supermarchés.
Le problème des tenants sont les prises de conscience, elles sont de l’ordre de l’esprit, de la mise en lumière de ce qui était savamment caché à l’attention du nombre, les mythologies qui peuplent l’espace rêve des vivants maintiennent leurs esprits dans certaines perspectives.
Le fait de tenir tous les ressorts des finances quelles qu’elles soient dans les mains des mêmes familles par exemple.
Appellez-les bourgeois serait faux, apellez-les nobles ce ne serait qu’une couverture de magazine pour décrire des lignées qui se prennent pour des dieux et qui ont une origine différente de l’histoire commune de l’humanité qui a dû patauger dans les guerres inlassablement orchestrées par ces dites familles.
Leur souci est de canaliser les frustrations orchestrées. Tant qu’elles peuvent le faire elles sont victorieuses, toujours.
Tant qu’elles arrivent à pousser les hommes dans la violence elles maîtrisent le cours desévènements, car leur pouvoir s’est construit entièrement sur la violence étatique et de la mise en place d’armées chargées de maintenir « l’ordre sacré hiérarchique ».
Ce n’est pas une fatalité. Le plus grand danger pour eux est l’EVOLUTION des consciences, pas la révolution sanglante.
Pas étonant dès lors qu’elles en aient souvent été les instigatrices pour canaliser les foules dans le n’importe quoi assurant à la barbarie de prendre le dessus. Une fois la babrbarie installée on revient à un ordre encore plus barbare, mais remettant les citoyens en place de soumission quasi absolue. La terreur apèrs la révolution française parle d’elle-même.
Mais comprendre les rouages amène à comprendre les leviers d’action qui sont d’abord donc de l’ordre de l’esprit.
Qu’est-ce qui est accepté comme base commune de réalité, voilà sur quoi nos esprits devraient toujours être focalisés.
Chaque époque voit ses plaies imposées par le pouvoir économique. Donc vous avez raison de dire et nous de souhaiter qu’une révolution n’ait pas lieu, car seul un système de tyranie absolue serait immédiatement justifié par une insurection violente.
Il nous faut mieux discerner les éléments auxquels nous avons à faire pour « trier le bon grain de l’ivraie » qui nous étrangle.
Si nous constatons que des intermédiaires jouent les malins avec nos productions et notre pouvoir d’achat, alors très pacifiquement, comme des personnes adultes, nous choisissons.
Les producteurs vendent aux supermarchés pour un salaire fixe de production. Les supermarchés-unis décident alors lbrement des prix auxquels ces productions seront vendues aux consomateurs. Ok.
Les malins aiment le pouvoir. Ils jouent et tirent sur la corde. Ils commencent à sous-payer les producteurs et demandent des prix exorbitants aux acheteurs poiur s’en mettre plein les poches, C’est ce à quoi nous assistons.
Ils prennent enn plus taxes et impôts, des plus-values imposées en ne produisant rien.
Ces bulles spéculatives sont partout et oppressent de plus en plus les citoyens, producteurs ainsi que consomateurs de biens.
On voit le temps venir où l’avidité à laquelle mènent les courses de pouvoir vont amener ces intermédiaires à vouloir imposer des famines si leurs lignes politiques impériales et leur machine guerre, leur manne principale, leur pouvoir terrestre absolu, sont mises en question.
Nous en sommes sur ce point.
Ces pouvoirs font alors tout pour amener le peuple à se rebeller violemment, parce que la répression est la manière la plus facile de contrôler les populations et ramener le troupeau de brebis dans son enclos militariste. Taxes, mensonges gros comme des montagnes exposés sans scrupules dans l’objectif du « pêtage de plombs collectif »... ils en sont toujours sortis victorieux.
Aujourd’hui ils disnet ouvertement qu’il est plus facile de tuer un million de personnes que de les contrôler. Le charme est rompu depuis longtemps.
Mais si les gens deviennent conscients du fait que ces intermédiaires ne servent strictement à rien sauf à leur pourrir la vie... pourquoi continueraient-ils de vendre leurs biens à ces intermédiaires ?
Et, très souriants envers leurs bourreaux technocrates, se passent d’eux pour revenir à la vente directe sur les marchés des villages, pour revoir yeux dans les yeux leurs acheteurs et demandant dès lors le prix convenable pour pouvoir vivre décemment et les acheteurs ne pas être grugés de leurs derniers centimes pour une miche de pain, mais retrouver une saine répartition entre ce qui est produit et ce qui esr consommé, les supermarchés créant une telle surabondance de biens que tant est jeté qu’on pourrait nourrir plusieurs pays avec les restes jetés par la surconsommation.
Cette surconsommation n’est pas due aux bouches à nourrir puisque celles-ci deviennent de plus en plus nombreuses, mais au nivellement par le bas des prix à la production et au renchérissement des produits.
Un cercle vicieux a été construit dans lequel la plupart sont persuadés quils trouveraient des famines si les supermarchés clinquants et multicolores cessaient de leur vendre autant de babioles inutiles dont la production pollue le monde.
Les producteurs ont peur de perdre quoi exactement ?
D’être sous-payés pour leur production ? C’est le cas aujourd’hui puisqu’ils doivent nourrir des intermédiaires inutiles.
les acheteurs ont peur de quoi ?
D’être pris pour des vaches à lait, des cochons-payeurs ? Ils le sont.
Autre chose ? Ils veulent en finir avec cet état de faits ?
Alors il leur faut encourager les producteurs à se passer des supermarchés et se réconforter en retournant aux bons vieux marchés d’antan où les gens encore se parlent et échangent humainement et refuser d’être transformés en animaux apeurés des uns et des autres parce que leur environnement est devenu trop abstrait et se confond avec les films d’horreur que leur servent les tenants.
Hollywood ne fut-elle pas comparée aux bâtisseurs de cathédrales par ses présidents directeurs, experts en divertissement de masses... vous croyez que ce sont des divertissements, parce que cest ainsi qu’ils sont présentés. Mais en réalité ils sont tellment omniprésents que leurs fictions sont prises par beucoup comme des vérités presque plus tangibles encore que les réalités vécues.
Sex and the city ? Desperate housewifes où ’on vous montre comment être dans la dernière vague de la gestuelle bourgeoise. Paris Hilton fait ses emplettes comme dans une série Z poursuivie par les caméras de Babylone guettant chaque apparition de ses bottes en caoutchouc. La vie-même des gens est utilisée pour entretenir une « normalité » supposée à laquelle toutes les jeunes filles devraient atteindre. Ce qui est évidemment impossible, toutes les jeunes filles n’héritant pas d’un empire immobilier. Frustration garantie. Colère à venir. coercion déjà en place. Tout est maintenu dans l’ordre des mauvais penchants humains. On leur servira une nouvelle star piurleur faire croire que les hauteurs sublimes des tenants leur sont accessibles. Ce qui est évidemment faux.
La compétition aigisée comme moteur principal de la société fait le reste.
Tous ces éléments sont de l’ordre de la prise de conscience de ce qui nous est fait en permanence.
Et les remèdes sont simples. Se passer des intermédiaires.
Que ce soit en politique, en spiritualité, en alimentation... les instituitons n’ont été que placées-là pour servir les familles des tenants.
Et nous pouvons nous passer d’eux puisqu’ils ne produisent rien, mais récoltent le gros de la production comme des charognards et en font systématiquement des horreurs.
Vous voulez un système social ? parfait, vous avez des ancêtres qui avaient déjà songé à vos problèmes et ont construit les cathédrales comme maison commune, car la nature de l’homme est simple et ses besoins basiques toujours les mêmes.
Vous voulez la santé ? Réaprenez les lois qui gouvernenent votre corps et ce dont il a besoin pour se maintenir en éuqilibre plutôt que de bêtifier devant la télé et engendrer une confiance abslue envers un système pharmaceutique qui vous aime terriblement malades.
Vous voulez la liberté ? N’attendez pas alors qu’on vous la donne, mais prenez-la, sans violence, elle est d’abord dans votre liberté de penser.
les tenants ont toujours bien compris ce fait. Observez bien comment votre esprit est mis à contribution de la machine de guerre. La playstation a l’air si inoffensive n’est-ce pas ?
C’est là votre levier le plus puissant, votre perception, car elle définit tous vos agissements.
Si vous vous rendez dépendant de ces intermédiaires... de quoi vous plaignez-vous ?
Vous serez forcément mangés tout crus, jusqu’au lien avec l’âme puisque le système compétitif éloigne drastiquement de la bonté.
Il faut un choix volontaire de s’y maintenir et de ne pas succcomber à tous ce héritages pathologiques qui enclenchent les besoins d’être infantilisés et d’être pris en charge par le système ou d’agir dans l’extrême violence toujours profitable à la machine de guerre et à ses tenants.
Est-ce étonant que le système utilisant le plus les rouages vaudou de la manipulation et de l’hypnose se dise matérialiste ? Voilà bien une grande supercherie, surtout à l’heure où nous aprenons l’immensité de l’esprit et les mensonges de l’histoire « officielle ».
Il faut toujours revenir aux fondamentaux, ne jamais les perdre de vue, sinon cest notre propre vie que nous remettons dans les mains de tiers qui en font n’importe quoi.
mais qui va vous empêcher de choisir la provenance de vos aliments ?
Qui vous oblige à bêtifier dans la croyance que vus récolterez plus d’amour ainsi ?
Qui vous oblige à courir derrière des coupes sans signification que celle que d’autres y mettent et qui restent sur les étagères comme des bibelots inutiles prouvant votre allégeance à la compétition des espèces ? Ou est votre propre souci d’harmonie et d’équité ? Si c’est le geste de beauté qui compte pour vous recevez mes aplaudissements chaleureux !!
Si vous vous organisez en adultes responsables vous n’aurez plus besoin de chefs, mais de gens lucides avec qui travailler en paralelle plutôt qu’en trépignant sur des marches scabreuses d’une pyramide hiérarchique aux strapontins très instables parce que plus on monte dans les hauteurs sublimes de ces « dieux supposés » plus on pénètre un monde totalement abstrait empli de tous les démons des univers. Et ensuite on s’étonne de la guerre permanente entre les hommes ?
mais d’abord comprenez que c’est de votre fait, de votre acceptation d’une vision du monde et des hommes basée sur la compétition. Elles est toalement inutile et force déjà les bambins à se voir comme des concurrents plutôt que des partenaires.
Toute la société est pourtant basée sur l’une ou l’autre de ces optiques.
Les tenants feront tout pour vous maintenir dans la compétiton, ils ne reculeront pas même devant l’imposition de la famine ni de la destruction de votre système immunitaire ou de la stérilisation forcée des jeunes filles pour contenir notre nombre et s’assurer de notre dépendance envers eux. Les dettes pas ontractées par vous vous sont mises sur le dos et remboursement va être réclamé bientôt.
Faudra leur rappeler que ces dettes ont assuré LEUR train de vie aux tenants, pas aux masses populaires qui ne font qu’assurer la production des biens de consomation et de l’entretien du vivant de la pire des manières possibles. L’absence de douceur envers les créatures est significatif de la lobotomie et des souffrances enregistrées et c’est là le niveau d’action qui est accessible à tous, directement autour de nous, avec les êtres qui sont les sources des diverses productions, en éleur témognant gratitude et respect.
La bonté doit règner ou bien la civilisation se perd irrémédiablement dans les rouages hyperviolents de la machine de guerre.
Et, ô bonne nouvelle, il suffit d’appeler la bonté sur nous pour qu’elle vienne, nul besoin de se torturer à l’infini, mais accepter de voir que la force de la vie est comme l’eau, fluide elle vient à bout des plus grandes montagnes... gelée elle est cassante.
Ne vous étonez pas de vivre dans un système qui fait tout pour vous congeler le coeur, les marchands d’armes, empereurs sur la société occidentale, ne savent quoi faire de votre fluidité, de votre amour de la vie. Ils la haïssent à cause de la méchanceté à laquelle ils sont habitués et se fardent en conséquence avec latex dans les nichons. A toute vos peurs ils ont inventé des paliatifs.
Des modèles ? Vraiment ? Passons-nous des intermédiaires, dans tous les domaines c’est du plus pur parasitage et du vampirisme.
Vous n’avez pas besoin d’intermédiaires religieux pour parler à votre coeur, vous avez besoin de gens qui vous rappelelnt l’existence de votre coeur, ainsi d’autres ont besoin que vous leur rappeliez l’existence du vôtre.
Les êtres n’ont pas besoin d’autre chose pour se rassurer et de trouver la plus haute sécurité en eux-mêmes. Leur propre volonté d’aimer et d’aider leur prochain pour être aimés et aidés en retour.
Dans ce mouvement-là il y a une possibilité de reposer la société dans la civilisation. c’est à une bataille avec nous-même qu’inconsciemment les tenants nous vouent, c’est faisable en résistant à la réactivité violente animale qui émerge de la souffrance qu’on nous impose. De les prendre sur nous ces souffrances au lieu de les projeter sur d’autres en vagues successives n’engendrant que peur et oblitération des sens.
Veillez dès lors à ne pas y succomber.
Il n’y a pas d’exercice plus difficile à mener dans une vie d’être humain, mais aussi longtemps que les aom feront cet effort la société sera une société d’aom et non d’animaux de compagnie, de prédateurs ou de chiens savants.
Tous peuvent ainsi trouver l’écho à tous leurs besoins, en concordance, en résonance par sympathie, plutôt qu’en compétition stérile ou en pillage qui ne fait que nous séparer chaque jour d’avantage.
Courage, il nous faut nous réorganiser depuis la base et arrêter de mendier auprès de sourds.