lundi 25 novembre 2013 - par jack mandon

La survie humaine au risque de l’absurde

René Descartes, fondateur du rationalisme moderne, théorisera l'émergence de la raison des limbes oniriques. C'est par la voie de l'irrationnel qu'il produira sa méthode qui permettra à la science d'entrer dans la modernité.

Chacun dans son désir identitaire, cherche un modèle qui l'éclaire et varie au fil de l'éveil de sa conscience. Pour ma part, j'ai toujours eu beaucoup de sympathie pour Pascal qui conciliait harmonieusement science et mystique.

Dans ses pensées « La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu'il existe une infinité de choses qui la surpassent. » Accepter l'existence de l'irrationnel, c'est à la fois être rationnel et admettre les limites de la raison. Le rationnel et l’irrationnel n’entretiennent-ils pas plutôt un rapport dialectique, d’engendrement réciproque ?

Les Glaneuses J.F. Millet (rude condition paysanne, fin XIXe siècle.)

« La vie est un songe », (Caldéron). Le rêve est réel, à l'état d'éveil nous rêvons. S'entremêlent et s'entrechoquent des états de conscience. En phase diurne et nocturne, les états de conscience se succèdent en un mouvement perpétuel.

Dans ce continuum, les degrés de conscience prennent des formes multiples, tels que l’intuition, le rêve lucide, les états méditatifs ou hypnotiques et même des formes pathologiques de psychoses.

Voici un texte qui s'est élaboré au cours d'une vie. Il recèle une somme d'informations dont le décryptage psychologique concerne une personne en particulier. La trame se construit autour d'un modèle littéraire, un écrivain du XIXe siècle. Au cours du temps, des rêves nocturnes, songes, rêves éveillés, séminaires et autres thérapies et d'un vécu. Un travail de modélisation a permis d'incorporer des valeurs et expériences de vie. C'est en quelque sorte une source qui alimente et informe la personne qui en est l'artisan.

Entrons dans l'histoire, comme un acteur dans une histoire pour incorporer le rôle dans la réalité du récit.

De retour d'un long voyage au pays du félibrige, je fus harcelé par une phrase énigmatique martelée dans ma tête… « Le secret de Maître Cornille »…Je prenais cette confidence intérieure par tous les bouts, m'appliquant à ressentir sa signification. Ce célèbre meunier, sorti d'un conte d'Alphonse Daudet, préfigurait un comportement, me contait une époque, autrefois. Il entrait dans ma vie et moi dans la sienne.

L'histoire se déroulait au terme d'un siècle passé, dans un coin de Provence, au pied des collines arides et spectrales des Alpilles. Régnaient alors, dans un cadre odorant, lumineux et bruissant, les félibres invisibles. Les villageois charmés, comme engourdis venaient de basculer, sans le savoir, dans l'ère du progrès. La chimère industrielle asservissait l'espace. La fée électricité en gestation repensait l'univers dans l'antre d'un démiurge interlope. C'était avant le point de non retour.

En un même temps, moi, maître meunier de Pampérigouste, j'étais privé de matière première. Le blé, céréale essentielle et primordiale, se trouvait maintenant acheminée vers les minoteries, là bas, sur la route de Tarascon. L'utilisation de la vapeur permettait un travail performant, maintenant souverain. Le monde changeait, évoluait, insidieusement se déshumanisait. Je ne l'avais pas vu ou feignais de l'ignorer. Les meuniers et leurs moulins entraient brutalement dans l'histoire en occupant la scène nostalgique et poétique du souvenir. Je refusais cette réalité et m'accrochais obstinément à ma vocation de meunier me repliant, blessé et douloureux, dans le secret de ma tragédie. Bientôt commençait un étrange ballet bien rodé qui jetait sur les chemins escarpés, l'homme courbé que je j'étais devenu ainsi que mon âne résigné, tout aussi obstiné que moi. Dans une attitude bornée, que j'empruntais par effet de mimétisme à mon âne, je décidais finalement de me retrancher et me barricader dans ma fidèle demeure.

Le rêve est une action, un acte. David Hume nous dit, « Le rêve est prisonnier d'une réalité qu'il reconfigure. »Le rêve a aussi accès a des modalités du visible et de l'invisible qui ne sont pas connues, usitées. De temps en temps, un cauchemar fracasse la vie du rêveur. Le cauchemar a un rapport au désir que la raison veut ignorer. Dans l'exemple choisi, notre meunier est un artisan qui vit au rythme des saisons. Il est à lui seul, comme tous ces hommes et femmes d'aujourd'hui qui refusent d'abandonner leur besogne et lieu de partage, leur vie, leur histoire et leur mode d'existence. Dans le conte d'Alphonse Daudet, une solution humaine viendra réchauffer l'espoir de l'homme victime du « progrès industriel ». L'auteur qui s'inscrit dans un mode littéraire réaliste, comme beaucoup d'écrivains de la fin du XIXe siècle, accorde ici un petit sursis à son héros, il déroge à ses penchants naturalistes pessimistes qui plombaient son époque.

Dans un souffle romantique de fin de siècle, une chaîne humaine s'organise autour du meunier. C'est aussi l'occasion d'une célébration. Jadis, une fois l'an, on fêtait le pain, aliment essentiel. Sur le lieu des moissons, au moulin et au fournil, on honorait le travail des céréaliers, des meuniers et des boulangers. La Saint Honoré.

Moulin de Daudet à Fontvieille (sous un Soleil meurtrier)

Entrer dans l'histoire du Maître meunier, c'est trouver un lieu d'accueil, de passage et d'ouvrage. Juché au sommet d'une colline ce promontoire ailé représente un désir de communication avec les dieux. Quant à la manifestation énergétique, l'air en mouvement, elle est providentielle et conjugue avec la rose des vents, toutes les orientations et tous les messages qui traversent la terre. Le moulin, sanctuaire dans son exiguïté, ou fusionne le foyer et la tâche. Une vie grouillante dans la chambre basse où pénètrent les paysans et leurs précieux butins odorants, sacs de blé gorgés de soleil de la dernière moisson. A l'étage, le meunier affairé dans les rouages et les poutraisons, fardé, enfariné de la poussière d'épeautre, pierrot ou diable gesticulant, allant et venant entre la meule et la trémie circulant à travers les brumes légères et spasmodiques du froment qui se broie. Par vent de mistral, les ailes de la providence tourbillonnent puissamment faisant trembler le moulin sur son assise rocheuse.Une forteresse de l'enfance avec beaucoup de rêves pieux.Tout le monde raisonnablement perçoit le glas du changement inéluctable qui s'inscrit à plus long terme dans la mouvance humaine. On voudrait arrêter le temps,séparer le rêve du réel, le différencier. Mais pourrions nous distinguer le rêve du réel ? A quel moment le réveil appartient-il toujours au rêve ?

La grille de lecture qui s'offre est un immense creuset, un réservoir sans fond, le vivier du collectif humain. La puissance poétique du rêve n'est pas entamée par le désir de l'analyser. Elle devient joyeuse en langue d'Oc sous l'autorité de Frédéric Mistral et Joseph Roumanille dans le berceau provençal de lou Félibrige.

S'oppose ainsi le rationnel et l’irrationnel. Progressivement, hors chapelle et système, s'élabore entre eux une transformation progressive en relation dynamique. S’appelant l’un l’autre ils entretiennent un rapport dialectique, si bien qu’ils dialoguent jusqu'à former une sorte d’unité.

L’irrationnel est donc à penser sur le modèle hégélien le « travail du négatif » : il se révèle comme étant le moteur du rationnel. Le rationnel ne s’exprime finalement jamais aussi bien que lorsqu'il s’exerce sur son contraire. Une progression significative se produit quand se révèlent des opposants énergiques. Dans la physique contemporaine le rationnel a perdu son privilège absolu, il dialogue avec son autre. La raison a du changer ses méthodes face à des phénomènes comme le chaos, le complexe, le probable ; l’inintelligible, l’irrationnel ! Sans cette « folle intuition », artistes et chercheurs deviendraient stériles.

« L’irrationnel d’hier est le rationnel d’aujourd’hui, et réciproquement, le rationnel d’hier est peut-être, aujourd’hui irrationnel. Ce qui signifie que ce à quoi on mesure la conformité ou non à la raison n’est jamais que la raison de son temps. »

La raison est donc priée à respecter sans cesse ses exigences et à faire preuve d’esprit critique face à ce qui s'impose comme irrationnel au risque de sombrer, se fossiliser, et pour finir, disparaître.

La raison du plus fort est devenue irrationnelle sur tous les plans de la vie L'insécurité alimentaire par exemple, pour clore sur l'essentiel, prévaut de plus en plus et ne fera que s'empirer au fil du refroidissement planétaire global, de l'érosion des sols, de la pénurie en eau… et de la spéculation débridée sur les ressources agricoles par les « banksters. » La vraie raison a ses raisons que les politiques veulent ignorer mais que le bon sens, l'éthique, la simple humanité dénonce depuis le début des temps.

Vincent Van Gogh à Auvers, juillet 1890. Champs de blé de fin du monde

Science, raison et irrationnel - Philosophie et spiritualité

« Intelligence du rêve » Anne Dufourmantelle.

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philouie 5 décembre 2013 12:53

Quant � la ressemblance avec J�sus Christ il s’agit de ses vertus et rien de plus.

voila. c’est ce que je dis.

a ses vertus.
d’o� la projection de l’ombre.

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philouie 5 décembre 2013 13:04

Mandon, gollum, jean.

j’ai bien entendu vos arguments : ils se nomment libert�, �mancipation, fraternit� etc...
etc...

le point de je d�fends, et qui je pense vous est insupportable � entendre, est que tous vos id�aux, dont vous vous parez sans cesse pour vous drapez dans une sorte de sup�riorit�, est justement la cause des agissements criminels de l’occident.

je ne vais pas davantage d�velopper ce th�me qui est celui de l’id�alisation-diabolisation sauf pour ajouter que ma conviction profonde, c’est que pour la psych�e collective occidentale le monde musulman est l’ombre du christianisme.

Je vais aborder (ce soir, donc) un nouveau point qui est la question du d�sir.

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philouie 5 décembre 2013 13:14

Et puis, puisque Mandon nous rappelle la grandeur des peuples berb�res avant leur islamisation, (comme si le joug de l’�glise romaine n’y est pour rien) pour rappeler les propos du grand saint augustin , encore largement v�n�r�, alors que son passage (par opportunisme) dans la grande famille du christ en a fait un salaud de premi�re importance :

donc, je cite celui qui donne des le�on d’amour :

"Il y a une pers�cution injuste, celle que font les impies � l’�glise du Christ ; et il y a une pers�cution juste, celle que font les �glises du Christ aux impies. (...) l’�glise pers�cute par amour et les impies par cruaut�"

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Gollum 5 décembre 2013 14:41

le point de je d�fends, et qui je pense vous est insupportable � entendre,

D�trompez-vous, on est capable de tout entendre. Mais vous, visiblement �tes agac� de notre r�sistance..

est que tous vos id�aux, dont vous vous parez sans cesse pour vous drapez dans une sorte de sup�riorit�,

Pas plus que vous...

est justement la cause des agissements criminels de l’occident.

Non. Les agissements criminels de l’Occident viennent d’un mat�rialisme maladif, qui nous vient en partie des grecs (grecs qui ne comprenaient plus leurs mythes religieux), qui a longtemps chemin� pour exploser � la Renaissance, pour conna�tre sa victoire avec les Lumi�res puis le Capitalisme. Et maintenant l’explosion de la Finance mondialis�e. Le monde et les hommes ne sont plus vus que par leurs c�t�s mat�riels, tout cela par le prisme d�formant de la raison...

L’�glise a creus� elle aussi et particip�, indirectement, � tout ceci de par son exclusivit�, sa valorisation excessive de la foi qui a engendr� par le ph�nom�ne de l’ombre, l’explosion du rationalisme. L’exclusivit� a engendr� le go�t de la Libert�. L’envie de penser par soi-m�me. La foi a engendr� le rationalisme. Quand il y a manque d’�quilibre et exclusivit�, les contraires se mettent en place. Le christianisme a surtout �t� une sorte de monstre bic�phale de puissance temporelle d’un c�t� et de puissance spirituelle de l’autre. Mais tout n’est pas n�gatif. Loin de l� d’ailleurs. Les petites gens essay�rent tant bien que mal d’�tre fid�les au message. Et si l’on conna�t une relative douceur en Occident, le christianisme (populaire) en est probablement la cause..

C’est pr�cis�ment maintenant que le christianisme a quasi disparu que les forces obscures peuvent l’emporter.. Mais c’est aussi la possibilit� de la venue d’un christianisme plus authentique, lib�r� de l’ancien.. La parabole des outres neuves et des anciennes.. Car je vous rassure tout de suite, le christianisme (vrai) est appel� � exploser � la hausse, de conna�tre son heure de gloire.

Je ne vais pas davantage d�velopper ce th�me qui est celui de l’id�alisation-diabolisation sauf pour ajouter que ma conviction profonde, c’est que pour la psych�e collective occidentale le monde musulman est l’ombre du christianisme.

Je crois que beaucoup de choses pourraient �tre l’ombre du christianisme. J’ai �voqu� pr�c�demment les Lumi�res, le Mat�rialisme, on pourrait en trouver d’autres : le polyth�isme indien, la sexualit� sacr�e (Tantrisme), la non-dualit�, etc.. L’Islam pourrait effectivement en faire partie, mais pas de fa�on exclusive (vous aimeriez bien hein ? )

Quant � Saint Augustin j’ai toujours d�test� ce sinistre personnage.

Sur la notion de vertu : vous me balancez encore cette histoire d’ombre. Cela est franchement grotesque, car vous aussi musulmans, vous essayez d’atteindre un id�al : celui du bon musulman, qui fait l’aum�ne, sa pri�re 5 fois par jour, respecte le Ramadan, fait le p�lerinage..

Dois-je en conclure que vous voulez p�ter plus haut que votre cul (pour reprendre votre charmante expression) ?

Je crois que le christianisme fait partie de votre ombre � vous (mauvaises exp�riences ? obscur pressentiment que vous faites fausse route ?) et que vous le confondez volontairement avec l’Occident moderne, alors que celui-ci en est de fa�on claire, l’ennemi. Comme il est l’ennemi de l’Islam.

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jack mandon 5 décembre 2013 18:28

Gollum,

Il est une r�gle simple qui pr�vaut en mati�re d’ombre.
Tout ce qui est inconscient est projet�
Ind�pendamment qu’il existe des ombres lumineuses
et des ombres n�gatives, les musulmans et les chr�tiens
sont dans une relation profond�ment antinomique.
Il est manifeste que nous sommes �motionnellement
en relation conflictuelle, religieusement, culturellement,
historiquement, depuis la croisade d’Urbain ll
Il est � l’origine de la premi�re croisade en lan�ant,
le 27 novembre 1095, l’appel de Clermont qui en sera le d�clencheur.
Vous avez raison, la pi�ce � deux faces, support parlant.
C’est donc 1000 ans d’incompr�hension. d’inconscience cultiv�e.
jusqu’� l’Alg�rie, 1000 ans de m�connaissances partag�es
donc 1000 ans de projections, des strass de granit !
Alors entre musulmans et chr�tiens il existe une grande ignorance
partag�e et r�ciproque. Les cons�quences sont d�sastreuses.
�a explique en partie ces �changes de poissons rouges qui tournent
en rond dans l’aquarium...vous devriez consulter Neptune.
pour vous cela va de soi, mais la Gr�ce antique, pire l’astrologie
pour philouie, ce n’est pas halal...j’allais dire kasher (une bourde gauloise)
Enfin merde, j’esp�re que l’on peut encore plaisanter.

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jack mandon 5 décembre 2013 18:32

philouie, vous racontez n’importe quoi.’est consternant.

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jack mandon 5 décembre 2013 18:45

philouie,

Soyons clairs, vous ne vivez pas le christianisme, donc vous l’ignorez.
Quant � Jean, Gollum et moi, je me demande toujours ce que fait
le quatri�me mousquetaire ? je disais donc, le trio des « pieds nickel�s ».
On nous appelle comme �a au purgatoire d’Hollande, la France liquide.
Oui, un peu de s�rieux avec les ex�g�tes, nous ne connaissons pas l’islam.
En d�finitive, l’islam me gonfle, c’est manifestement mon ombre.
Voil�, l’ombre, c’est tout ce qui nous gonfle. Pour moi, c’est l’islam.

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Gollum 5 décembre 2013 19:08

Hello Jack Oui philoule raconte des trucs qui me laissent un peu sur le cul...

Il y a chez lui une certaine mauvaise foi..

Bon je donne ici de la lecture pour ceux qui sont int�ress�s... Gu�non distingue bien la Shariyah qui est faite pour tous et la Haq�qah (l’�sot�risme) qui est faite pour l’�lite.

Et il dit bien que l’id�al de l’homme musulman qui s’adonne � la Haq�qah est le m�me que celui de l’Hindou qui cherche son extinction dans le Brahman. Et il appelle cet homme l� homme v�ritable, parfait.

On est donc tr�s loin de l’affirmation de philoule qui dit que l’homme musulman se contente de vivre sa petite vie tranquille... Cet « id�al » n’est autre en fait que celui de l’homme commun, bassement entropique.. Comme le dit Gu�non, cela sert uniquement � ne pas devenir entropique encore plus. (C’est pas son vocabulaire mais l’id�e est la m�me)

Donc quand philoule nous dit quelque part qu’il en � rien � battre (j’utilise ses termes) de R�m�, il rejette par l� m�me ce qui ferait l’int�r�t �ventuel de l’Islam, pour se tourner vers une pratique commune, qui n’a rien � envier dans sa platitude, � ce que nous baratine les T�moins de J�ovah...

qui sont parmi les chr�tiens les plus fadasses qui soient..

Les musulmans �sot�riques sont d’ailleurs d’une ouverture d’esprit qui tranche par rapport � la majorit� des musulmans. Mais c’est bien l� le probl�me : ils sont une minorit�. Et comme je l’ai d�j� �crit, depuis que l’Islam se durcit (depuis la mont�e des barbus et autres joyeux drilles) les spirituels sont syst�matiquement assassin�s, pers�cut�s.

Alors que la seule planche de salut de l’Islam serait justement que ses fid�les d�couvrent ses spirituels et s’�l�vent � une lecture moins litt�rale du Coran, lecture litt�rale qui a toujours �t� la marque des fanatismes...

J’ai la sensation que nous en Occident, je parle de ceux qui s’int�ressent r�ellement � une voie spirituelle, lisons presque plus les spirituels musulmans que les fid�les de cette confession qui se contentent des pr�ches de la mosqu�e du vendredi.

Y a quand m�me un probl�me. Mais plus rien ne m’�tonne. De m�me on trouve plus de v�ritables tao�stes en Europe qu’en Chine o� l�-bas on a all�grement jet� aux oubliettes tout un pass�..

Le Zen ne se trouve plus au Japon mais en Europe et USA. Le bouddhisme quitte l’Asie pour s’implanter en Europe et USA. Les vrais kabbalistes ne se trouvent pas en Isra�l mais aussi en Europe..

Bref.. Et tout cela ne vient pas par hasard mais par l’extr�me ouverture d’esprit de beaucoup d’occidentaux...

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Gollum 5 décembre 2013 19:25

� la page 20 de l’ouvrage propos� Gu�non �crit qu’il ne peut y avoir conflit entre les « savants de l’ext�rieur » autrement dit les docteurs de la shariya et les �sot�ristes.

L� je pense qu’il p�che par optimisme...

Car si les �sot�ristes peuvent comprendre l’exot�risme, bien souvent dans le monde exot�rique il y a rejet des sens spirituels..

La phrase c�l�bre La lettre tue l’Esprit fait que par extension les tenants, majoritaires, des confessions, ont une f�cheuse tendance � empoisonner la vie des spirituels.

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jack mandon 5 décembre 2013 19:34

Gollum, mon ami

As tu d�j� entam� un dialogue avec une personne en d�compensation ?
moi, j’ai souvent essay�. Cependant, lorsque le cerveau droit et le cerveau
gauche ne sont plus en relation...personne ne peut plus rien faire.
Les psychiatres eux m�mes sont compl�tement d�pass�s, ce qui en soi
est un pl�onasme, on proc�de alors � l’endormissement du client.
Gollum, je suis profond�ment triste. Tr�s triste.

Merci de ta longue, patience et merveilleuse participation.
Il faut que j’arr�te, ce n’est pas une demande en mariage.
Dans son coin, notre ami Jean est aussi tr�s fatigu�.
Je crois qu’il existe la technique de l’usure,
les psychotiques que je connais assez bien sont aussi �puisants.

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jack mandon 5 décembre 2013 20:03

Gollum,

Hello Jack Oui philoule raconte des trucs qui me laissent un peu sur le cul...

Il y a chez lui une certaine mauvaise foi..
philoule...comme tu dis, crois tu vraiment ce que tu avances ?

c’est curieux j’en suis moi aussi comme tu dis.

D’habitude tu l�vites, maintenant tu t’enracines, en fait c’est le d�but
de l’illumination sur le chemin de Damas, sauf que c’est � la Mecque.
De toute fa�on tu restes mon ami.
Quelle patience Gollum ! Merci et bonne soir�e.

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philouie 5 décembre 2013 20:11

Mandon,

Tenter de faire passer l’autre pour fou est une technique �cul�e qui n’aura pas de prise sur moi et qui est sans int�r�t ici.

restons dans le d�bat d’id�e, cela suffit.

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philouie 5 décembre 2013 20:36

Gollum,

� la page 20 de l’ouvrage propos� Gu�non �crit qu’il ne peut y avoir conflit entre les � savants de l’ext�rieur � autrement dit les docteurs de la shariya et les �sot�ristes.

En cas de citation, le mieux est de citer le texte.
philouie a dit :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-survie-humaine-au-risque-de-l-144228#forum3881763

Ma position est celle de n’importe quel ma�tre soufi : aucun n’ira contre le rite ou la loi qui sont l’ancrage de la structure sociale.

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philouie 5 décembre 2013 20:50

Gollum

Gu�non distingue bien la Shariyah qui est faite pour tous et la Haq�qah (l’�sot�risme) qui est faite pour l’�lite.

Est-ce que je parle d’autre chose ? Quand je dis que j’en est rien � battre de rumi, c’est bien parce que je parle religion, dogme et doctrine et pour moi c’est important justement parce que �a concerne le plus grand nombre.

philouie a dit :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-survie-humaine-au-risque-de-l-144228#forum3882258

« Le soufisme a un point de vue �litiste sur la question. L’immense majorit� des �tres humains ont besoin de la religion »

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philouie 5 décembre 2013 20:51

Gollum,

l’extr�me ouverture d’esprit de beaucoup d’occidentaux...

Super.
�a va les chevilles ?

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philouie 5 décembre 2013 21:02

Je crois que beaucoup de choses pourraient �tre l’ombre du christianisme. J’ai �voqu� pr�c�demment les Lumi�res, le Mat�rialisme, on pourrait en trouver d’autres : le polyth�isme indien, la sexualit� sacr�e (Tantrisme), la non-dualit�, etc.. L’Islam pourrait effectivement en faire partie, mais pas de fa�on exclusive

Symboliquement c’est la figure de l’ant�christ qui repr�sente l’ombre.
Historiquement, c’est surtout les juifs qui ont servis de support � la projection. Avec le succ�s que l’on sait.
Mais les musulmans aussi �videment et d�s les origines, et certainement depuis plus longtemps que ce qu’en pense Mandon. Le proph�te Mohamed est d�crit comme inspir� par Satan et ce d’autant plus que le Coran nie de fa�on cat�gorique la divinit� du christ.

Toute l’�laboration intellectuelle du christianisme s’effondre d�s qu’on accorde le moindre cr�dit au Coran.

par contre ce n’est ni la modernit�, ni le mat�rialisme m�me ath�e, qui peuvent faire figure d’ant�christ. pour la simple raison que l’un et l’autre en sont des rejetons.

Quand � l’hindouisme et autres orientalismes, d’un point de vue chr�tien « �a n’existe pas ».

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philouie 5 décembre 2013 21:46

Du d�sir.

Chacun sent confus�ment que la question tient une place essentielle.

Une place tellement essentiel qu’il a pris dans la soci�t� occidentale chr�tienne toute la place.
Qu’il soit d�sir charnel, d�sir de puissance, d�sir de consommer, d�sir de para�tre, on a parfois l’impression que le monde occidental ne tourne qu’autour du d�sir.

On pressent aussi que c’est cette question l� qui nous m�ne � l’ab�me.

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philouie 5 décembre 2013 21:49

Lorsque je disais plus haut que le christianisme est un anti-judaisme c’est bien s�r cette question du d�sir.
Fran�oise Dolto l’a bien montr� : les �vangiles, une �cole du d�sir, disait-elle.

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philouie 5 décembre 2013 21:51

par contre ce n’est ni la modernit�, ni le mat�rialisme m�me ath�e, qui peuvent faire figure d’ant�christ. pour la simple raison que l’un et l’autre en sont des rejetons.

des rejetons du christianisme, bien s�r.

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philouie 5 décembre 2013 22:02

Evidement, si l’on parle du christianisme comme de la religion du d�sir, d’aucun vont ouvrir des yeux tous ronds .

Comment ? quoi ? Est-possible.

Le christianisme nous a habitu� � combatte le d�sir mais principalement sous sa forme charnelle.
Le d�sir est avant tout de nature spirituelle.

Pour moi, le d�sir fondamental de l’homme c’est d’�tre Dieu. on appelle �a aussi l’�go.

D’ailleurs Satan le dit � Eve, si vous mangez du fruit vous serez comme des DIeux.

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philouie 5 décembre 2013 22:32

Etre Dieu, D�sir fondamental de l’homme.
Il y une raison � cela :Comme l’homme provient de Dieu et qu’il y retourne il est normal qu’il soit habit� par le d�sir du divin. Et c’est ce d�sir l� qui est travaill� dans les confreries soufies. Mais dans le cadre stricte de la direction d’un cheikh. Mais bon vous l’aurez compris, ce n’est pas de cel� dont je parle. Je parle du d�sir qui habite l’homme dans ses grandes largeurs et qui se manifeste de multiples fa�ons.

Nous avons vu que le premier acte d’un homme a �t� de tuer son fr�re. je pense donc je tue. avec de raison mais le pense dont il est question en r�alit� est la prise de conscience du d�sir. ici la jalousie : il se rends compte qu’il est jaloux de son fr�re.

Nous avons vu aussi que la r�ponse d’Abraham au meurtre de Ca�n est la castration du d�sir dont le symbole est la circoncision.

Abraham est un ma�tre de paix, il l’est par la soumission au Tout Puissant.

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philouie 5 décembre 2013 23:18

Gollum,

Il est pas mal ton Gu�non, j’ai parcouru son « �sot�risme islamique » et dans ce qu’il dit de l’�sot�risme et de l’exot�risme confirme ce que je dis en tous
points.
L’image du noyau et de l’�corce, ou de la roue avec son centre, ses rayons et sa circonf�rence est particuli�rement bien trouv�.

On comprend que dans la roue, la circonf�rence qui repr�sente les hommes de l’exot�risme, est �videment aussi n�cessaire que les rayons et le noyau.

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jack mandon 5 décembre 2013 23:54

Gollum,

Des fanatiques et des incultes.

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jack mandon 6 décembre 2013 00:41

Gollum,

Les symboles et enseignements transplant�s

Nul n’est proph�te en son pays, mais l’inspiration m�me est libre
de se livrer au vent qui participe, en des contr�es lointaines
� sa r�surrection, � sa m�tamorphose, � son enseignement.

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Gollum 6 décembre 2013 09:23

Pff Vous �tes fatigant..

Gollum,

l’extr�me ouverture d’esprit de beaucoup d’occidentaux...

Super.
�a va les chevilles ?

Impeccable, merci... Je savais que vous alliez r�agir � �a..

Ben oui. Le gros avantage des Lumi�res est que l’on a �t� habitu� au discours construit, argument�. Chose assez difficile au sein d’une confession o� d�s que des faits semblent s’opposer aux �critures il y a comme un blocage

Par exemple si l’on arrivait � prouver que le Saint Suaire est bien authentique et donc que J�sus a bien �t� crucifi� tout le Coran tombe � l’eau de par le fait m�me qu’il nie la crucifixion.

M�me si je m’oppose � la science mat�rialiste il n’emp�che que tout n’est pas n�gatif dans son discours, de m�me la libert� du discours de nos soci�t�s occidentales, ne vous en d�plaise, fait qu’une conversation comme la n�tre est possible. Alors qu’en terre d’Islam, m�me au sein d’un cadre culturel islamique, les d�viants �taient pourchass�s.

Donc vous pouvez faire le malin si �a vous chante mais �a ce sont des faits.

Pour moi, si le christianisme officiel d’avant 1789 �tait encore l�, je ne pourrai m�me pas m’exprimer, et si je l’avais fait, c’�tait le b�cher direct..

Suis-je assez clair ?

Toute l’�laboration intellectuelle du christianisme s’effondre d�s qu’on accorde le moindre cr�dit au Coran.

Et inversement.

Quand � l’hindouisme et autres orientalismes, d’un point de vue chr�tien � �a n’existe pas �.

D�sol� mais cela a exist�. Il s’agit du mouvement cathare qui apportait au probl�me du Mal une toute autre r�ponse que Rome, r�ponse assez proche des doctrines asiatiques. Et bien �videmment ils ont �t� extermin�s en raison m�me de l’impossibilit� de supporter la concurrence d’un autre paradigme..

Sur le d�sir vous partez sur une mauvaise pente. Je verrai plus tard si je r�ponds � votre prose ou pas, je fatigue un peu..

Sur ce je constate que j’en mets des tartines sur l’Islam r�el puisque vous, vous me ramenez toujours au christianisme r�el, et que l� c’est le black-out. Quid du Pakistan ? Quid de l’Arabie Saoudite ? Sont ouverts d’esprit ces gens-l� ? Naaannnn, je crois pas.. Pourtant il s’agit bien de l’Islam r�el, majoritaire, puisque vous ne jurez que par le grand nombre.

Bref, quand il s’agit du christianisme r�el (selon vous) vous m’en mettez des tartines, christianisme d’ailleurs qui n’existe quasiment plus depuis Vatican II, mais vous faites le sourd quand j’�voque l’Islam r�el... Toujours refus de votre part de condamner la lapidation, pratique barbare s’il en est.. Rien non plus sur le machisme bien r�el du monde musulman et qui envahit nos cit�s ce qui fait que la France qui �tait une terre traditionnellement favorable � la f�minit� en est boulevers�e dans ses fondements..

Pour moi c’est cela l’Islam r�el. Oui je sais, c’est pas tr�s ragoutant. J’essaye d�sesp�r�ment de vous faire entendre raison et de vous sugg�rer qu’il y a du boulot de votre c�t� et de vous appuyer sur vos spirituels pour faire �voluer cette religion, comme la religion chr�tienne elle-m�me a su le faire ! Mais on dirait que vous ne comprenez pas. Comme si votre Islam �tait la perfection m�me.
Je me tue � dialoguer avec vous, mais cela ne sert visiblement � rien.

Je vais donc arr�ter l�. Votre envie de continuer sur le d�sir va donc se heurter � mon silence.

Derni�re chose : On comprend que dans la roue, la circonf�rence qui repr�sente les hommes de l’exot�risme, est �videment aussi n�cessaire que les rayons et le noyau.

Mauvaise lecture. Le but est bien de parvenir au noyau, pour tous. Et � ce moment l�, plus de circonf�rence ni de rayons.. La circonf�rence est juste un moindre mal n�cessaire.

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philouie 6 décembre 2013 18:37

Mauvaise lecture. Le but est bien de parvenir au noyau, pour tous. Et � ce moment l�, plus de circonf�rence ni de rayons.. La circonf�rence est juste un moindre mal n�cessaire

Gollum, je crains que vous ne lisiez que ce qui va dans votre sens et sautez les mots qui vous d�rangent.

par exemple avez vous lu cette extrait de la baghavad gita que vous m’avez cit� :

Verset : 18.67

� Ce savoir secret ne saurait �tre d�voil� aux hommes ni aust�res, ni d�vou�s, ni engag�s dans le service de d�votion, ou qui M’envient.

ha ?

Mauvaise lecture ?

je cite Gu�non et je mets en gras les mots qu’il a �crit et que vous ne lisez pas.

Ce sont, suivant la terminologie arabe, es-shariyah, c’est � dire litt�ralement la grande route, commune � tous, et el-haq�qah, c’est � dire la v�rit� int�rieure, r�serv�e � l’�lite, non en vertu d’une d�cision plus ou moins arbitraire, mais par la nature m�me des choses, parce que tous ne poss�dent pas les aptitudes ou les qualifications requises pour parvenir � sa connaissance.

mauvaise lecture ? dites moi s’il y a des mots que vous ne comprenez pas.

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philouie 6 décembre 2013 18:54

et toujours dans le bouquin de gu�non, le grand Hallaj :

Abu Ishaq Ibrahim al-Holwani demandait un jour � Hussein ibn Mancur al-Hallaj ce qui pensait de l’enseignement �sot�rique. Al-Hallaj r�pondit "Duquel veux-tu parler ? Du vrai ou du faux ? S’il s’agit de l’�sot�risme vrai, la voie exot�rique (sharyah donc) est son aspect ext�rieur et celui qui la suit vraiment d�couvre son aspect int�rieur qui n’est autre que la connaissance d’Allah. Quant au faux �sot�risme, ses aspects int�rieurs et ext�rieurs sont tous les deux plus horribles et d�testables l’un que l’autre.

Rho.

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philouie 6 décembre 2013 19:23

Un mot pour Gollum :

Abraham est une parfaite illustration de la doctrine du renoncement au fruit des actes de la Baghavad Gita. (en particulier dans la sc�ne du sacrifice « C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : A la montagne de l’�ternel il sera pourvu. »)
La soumission d’Abraham � Allah, vaut la d�votion d’Ajurna envers Krishnah.

je pense que Gu�non l’avait compris.
lui.

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philouie 6 décembre 2013 20:17

Pour l’Islam orthodoxe sunite, il n’est question de th�ologie. Le discours sur Dieu n’�tant que n�gation de Sa Transcendance.
Dans le christianisme, l’incarnation, n’a pas seulement un sens sur le plan individuel et sur le d�sir d’�tre Dieu, l’incarnation a aussi un sens collectif : en ceci que Dieu intervient sur terre dans l’histoire des hommes et les hommes participent de cette intervention.

Si le d�sir est pour l’homme individuel le souvenir ou l’esp�rance de la divinit�, il est pour la psych� collective l’envie de participer � l’œuvre divine.

cette incarnation d’ailleurs se mat�rialise concr�tement dans le pouvoir sur la mati�re de l’homme et ses conqu�tes en terme de savoir et de technique.
Si quelque part, le d�sir est l’acte cr�ateur m�me, l’appropriation du d�sir divin par l’homme, a manifestement produit la civilisation que l’on pourrait appeler de « moderne ».
C’est dire ici l’efficace de la croyance.

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Gollum 7 décembre 2013 09:37

philoule je ne voulais pas r�agir donc je vais me contenter d’une r�ponse courte.

Post de 18h37. Vous ne faites que r�p�ter un post que j’avais d�j� moi-m�me �crit !

Sur l’�litisme gnostique je suis d�j� au courant.

Ce que vous ne comprenez pas c’est que si certaines personnes ne sont pas qualifi�es dans cette vie, elles peuvent l’�tre dans une vie future de par le jeu des r�incarnations.

Et je maintiens bien que le but est le centre pour tous � plus ou moins long terme.

Avant de parler, r�fl�chissez � deux fois.

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philouie 7 décembre 2013 10:02

Gollum,

Oui en Islam, le retour ce fait toujours vers Dieu. c’est la loi de chaque cr�ature et il n’y a pas d’�chappatoire. c’est ainsi qu’il y a le jour du jugement.

En cette vie, par contre, la voie �sot�tique ne concerne qu’une minorit�, pendant que, non la majorit� mais tous, doivent se soumettre � la loi exot�rique.

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philouie 7 décembre 2013 10:15

toujours le grand Hallaj � propos de la sharia (la Loi) , puisque Gollum me conseille de voir ce qu’il dit :

(je cite d’apr�s le livre de Massignon)

� Celui qui veut la libert�, qu’il s’en aille trouver l’ob�issance �

« Lorsque le fid�le s’est conform� � tous les aspects de l’ob�issance, il devient libre, il s’acquitte des prescriptions de l’ob�issance sans fatigue et sans g�ne ; c’est l�
l’�tat des Proph�tes et des s�dd�qin �

� Servir, en entier, c’est la Loi ; �tre souverainement libre,
en entier, c’est la r�alit� (= l’assimilation de cette m�me
Loi, par l’ob�issance) �

� Dieu n’a pas d’�tat de gr�ce, ni d’attention � son appel, ni de concentration dans la surprise,
ni de distraction due � sa Majest�, qui puisse supprimer
pour nous l’obligation morale de la Loi »

ces extraits ne sont pas sans rappeler la Baghavad Gita et son appel constant � l’ob�issance et au respect des actions pr�scrites (et non selon ce que pr�tend Gollum, qu’il faut s’affranchir des lois et des rites)

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jack mandon 7 décembre 2013 18:02

Non philouie, le d�sir, c’est simplement le d�sir d’�tre,
le d�sir de vie...rien � voir avec la fornication.

Ce petit d�tail montre combien les mots r�sonnent
en phase avec notre propre raisonnement.

La communication qui d�j� est une prouesse, se voit
vertigineuse dans les situations antinomiques.

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jack mandon 3 janvier 2014 14:17

philouie,

Les religions, monoth�istes, en ce qu’elles organisent le corps social
autour d’un discours de raison, ne peuvent pas �tre ailleurs que dans
le champ de la transcendance et faire la chasse � toute forme d’irrationalit�.

Les formes d’irrationalit� comme vous dites, sont per�ues en concurrentes.
c’est � dire que toute action eccl�siastique n’est que vile politique,
c’est � dire tout � fait contestables. L’histoire des religions est largement
�maill�e d’actions condamnables. R�solues en Europe depuis un si�cle.
Tr�s largement institutionnalis�es en tyrannies dans les pays arabes
Le r�sultat est probant, il faut �tre de mauvaise foi pour ne pas
le reconnaitre. Les faits, rien que les faits criants.

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jack mandon 7 janvier 2014 08:08

philouie,

merci pour votre proposition de paix.

je l’accepte volontiers, d’autant que je ne pense ni vous avoir d�clarer la guerre

ni vous avoir agress�. Seulement, dans le d�bat d’id�e, j’aime la confrontation.

La paix avec l’�tre humain assur�ment, mais de quelles id�es parlez vous ?

Celles sorties d’un livre poussi�reux et imb�cile qui conjugue un pass� archa�que au pr�sent des peuples fant�mes ?

Les juifs et les chr�tiens n’ont jamais cess� d’affirmer l’unicit� divine, pourquoi l’islam voudrait il enfoncer une porte ouverte en proposant le m�me programme ?

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jack mandon 26 novembre 2013 00:10

Bonsoir lycaon,

J’ai choisi ce tableau, car pendant toute mon enfance il tr�nait avec l’Ang�lus
dans la pi�ce principale o� nous vivions tous autour de la cuisini�re � bois.
Mes racines sont artisanales et paysannes J.F. Millet me parle.
Je sais qu’il fut malmen� par les modernes qui le tax�rent de « pompier »
Querelles de rapins sans beaucoup d’importance.
La sc�ne des glaneuses se passe entre la Restauration et le second empire
�poque romantique par excellence, les machines n’avaient pas encore
la supr�matie. La main d’oeuvre �tait abondante et rude.
Evidemment c’est la vision po�tique d’un bourgeois, mais le coeur y est.
La vie pouvait �tre effroyable et servile. C’est notre �motion
projective qui parle et nous fait fantasmer...le r�ve d�crit dans le papier
qui oscille entre rationnel et irrationnel en se m�lant.

Pour le glanage, ce sont les gens qui n’ont plus le gout � �a.
les machines font un travail assez grossier et les �pis de bl�
ainsi que tout esp�ce de l�gumes gisent plus ou moins intacts
de loin en loin, m�caniquement oubli�s.
C’est vrai, Daudet le parisien descendait chez Mistral � Fontvieille.
Mais il est probable qu’il ai r�v� et pris des notes en ces lieux.

Merci beaucoup de votre passage.

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BA 26 novembre 2013 07:20

Mardi 26 novembre 2013 :

Le r�chauffement climatique va peser lourdement sur l’�conomie des pays du Pacifique.

Le changement climatique va nettement peser sur la croissance de plusieurs pays du Pacifique, dont beaucoup sont des archipels, indique une �tude de la Banque asiatique de d�veloppement (BAsD) publi�e mardi, qui demandent aux nations responsables d’apporter leur aide.

Le produit int�rieur brut des pays de la r�gion pourrait baisser jusqu’� plus de 15% pour certains d’entre eux d’ici 2100, selon le rapport intitul� « L’�conomie du changement climatique dans le Pacifique ».

L’impact du r�chauffement climatique se fera sentir sur l’agriculture, la p�che, le tourisme, les r�cifs coraliens et la sant�, ajoute l’�tude.

"Il est crucial que les pays qui sont responsables de ce changement climatique interviennent pour aider leurs voisins et amis du Pacifique, dans la lutte qu’ils m�nent pour se prot�ger des catastrophes naturelles, des pertes dans les r�coltes et d’une immigration forc�e", a d�clar� Xianbin Yao, directeur g�n�ral de la BAsD pour le Pacifique.

Il n’a pas cit� nomm�ment les pays responsables, mais les Etats-Unis, la Chine, l’Inde, l’Australie et l’Union europ�enne sont parmi les r�gions les plus polluantes.

Parmi les pays du Pacifique les plus touch�s �conomiquement par le r�chauffement climatique, l’�tude cite la Papouasie-Nouvelle Guin�e (baisse de 15,2% du PIB d’ici 2100), le Timor Oriental (-10%), le Vanuatu (-6,2%), les �les Salomon (-4,7%), les Fidji (-4%) et les Samoa (-3,8%).

En se basant sur un sc�nario de pr�visions moyennes pour les �missions, ces pays pourraient enregistrer une hausse de 2 � 3 degr�s Celsius de leurs temp�ratures d’ici 2070.

Des �tudes pr�c�dentes ont �galement montr� que plusieurs pays archipels de la r�gion, dont les Kiribati, Tuvalu et Tokelau, ou encore les �les Marshall pourraient voir leur existence m�me menac�e par le changement climatique et la mont�e du niveau de la mer, certaines �les se situant � peine plus d’un m�tre au-dessus des flots.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/afp-00566687-le-rechauffement-climatique-va-peser-lourdement-sur-l-economie-des-pays-du-pacifique-basd-632417.php

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- jack mandon 26 novembre 2013 10:25
  
  Bonjour BA,
  
  Tout � fait. Le silence des politique me fait penser � l’homme
  qui a de bonne raison d’�tre gravement malade mais qui ne
  veut pas le savoir.
  La peur, le manque de courage, la peur du peuple et de sa r�action
  incontr�l�e, bref on esp�re sans espoir vrai et un jour....
  
  Merci de votre intervention.
  
  Je prends conscience � travers votre intervention que les supports
  color�s propos�s avec le texte, nous rapprochent sensiblement
  des conditions sur Mars. Absence d’eau. Le soleil est devenu tueur.
  
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Laurenzola 26 novembre 2013 09:21

Magnifique texte, ou cette qu�te de r�concilier le rationnel et l’irrationnel devient une n�cessit� absolue.

La nature nous impose cette ultime r�conciliation, tous les voyants (m�me Nostradamus ) sont au rouge.

Il est temps de faire la paix avec soi-m�me, arme absolue contre toutes les guerres, fussent-elles �conomiques.

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jack mandon 26 novembre 2013 10:35

Bonjour Laurenzola,

Il est temps de faire la paix avec soi-m�me, arme absolue
contre toutes les guerres, fussent-elles �conomiques.

Tout est dit, c’est essentiel et surtout bouddhiste, car les religions
de chez nous se sont souvent compromises avec le pouvoir politique
De toute fa�on, dans leur majorit� ils ont trahi.
Quant aux politiques et principalement ceux de l’ombre,
c’est � dire les extr�mes de gauche et de droite,
ils n’ont pas l’exp�rience de la r�alit� politique
et se gavent d’id�ologie, d’abstractions et de haine.
Facile de poser une bombe, et de se dissimuler
derri�re une ic�ne, de taguer les murs...des l�ches.

Merci Laurenzola

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jack mandon 26 novembre 2013 11:41

Merci Jean,

Pas uniquement pour ton appui, mais pour ton souci d’�clairer le d�bat.

Un papier est comme une �bauche, les commentaires sont l�,
pour �largir, approfondir, �clairer le th�me propos�.

Les d�bordements malveillants sont tout au plus des effets
de combat et non de d�bat. Quand les mots viennent � manquer,
alors on entre de plein fouet dans un affrontement st�rile.
Sous pr�texte de la libert� de la presse des pseudos intellectuels
de gauche en particulier se permettent des violences verbales,
ceux d’extr�me droite, sp�cialistes de la violence physique.
Je renvoie dos � dos ces deux formes d’expression qui ne sont pas
� notre avantage, nous les humains qui sommes tous concern�s.
Bien entendu, cela ne concerne pas cet article...pour une fois !
Mais on ne peut �viter les effets collat�raux n�gatifs par les votes.
Cependant, c’est le jeu d�mocratique.

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jack mandon 26 novembre 2013 12:36

Jean,

Dans les faits, tu as globalement raison.

Je dirais que la pathologie d’extr�me gauche est plus avanc�e.

Amusant le parall�le entre le petit p�re des peuple parano�aque.
et hypoth�se selon laquelle Hitler avait une sexualit� “tordue”
Selon Freud, sa psychose parano�aque serait une d�fense

contre l’homosexualit�. Certains chercheurs consid�rent, eux,

que ces bizarreries seraient plut�t dues � l’absence d’un testicule.

Amusant non, aurait soulign� Pierre Desproges.

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jack mandon 26 novembre 2013 14:44

Jean,

Bien sur mais les malades avides de pouvoir, font autorit�
quand les peuples sont malades.

Cette interaction est incontournable.

Hitler est venu au pouvoir dans une Allemagne malade.
Le contexte social se pr�sentait bien, c’est � dire mal.

Nous avons les dirigeants que nous m�ritons dans une
interaction sans faille.

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jack mandon 29 novembre 2013 12:40

Gollum,

Saturne et ses vieillards incapables de r�ceptionner le bon vin,
on le retrouvera ais�ment dans l’�glise romaine, devenu un hospice
� grande �chelle, dirig�e par des vieillards, tout comme l’�tait
d’ailleurs l’URSS, autre fossile incapable de devenir...

Bien sur Gollum. Les fossiles que Jean et moi laissons aux arch�ologues.

En ce qui me concerne, j’ai red�couvert le message christique � travers
la psychanalyse. Les �vangiles sont un fait de civilisation..
C’est donc par la psychanalyse de l’�vangile que je m’y retrouve.

Les textes anciens ne sont pas en contradiction avec l’inconscient des
hommes d’aujourd’hui. Ces textes illustrent et �clairent les lois
de l’inconscient d�couvertes au si�cle derniers.

Je d�plore simplement que les textes soient pris au premier degr�,
et que de ce fait il existe un profond malentendu qui entretienne
la violence et au fond l’inconscience, la non conscience, l’ignorance
de soi et des autres qui donne au monde cet aspect de mis�re.
Je d�plore que les religions en g�n�ral maintiennent souvent les hommes
� l’�tat embryonnaire en perp�trant la relation du p�re qui est sens�
conna�tre et de l’enfant qui doit se plier � l’autorit�.
Je l’ai dit et le redis, sur 20 ans de vie professionnelle, j’ai pu analyser
et tester qu’il existait pr�s de 70% de clients qui vivaient sous le seuil
de la conscience. Mieux, les �tudes comme elles sont v�cues,
n’ont pas une grande incidence sur la conscience d’un universitaire.

Mais de cela il en va comme pour le Samaritain, comprenne qui pourra.

Au fait comme vous le savez, le Samaritain, le paria de service c’est J�sus,
c’est aussi le prochain et bien sur vous et moi.
Et cela est � la fois culturel et naturel et simplement la plus saine condition
humaine.

Quand en plus on impose cette vision aux peuples..
Alors on a l’instabilit� sociale, la r�volte et la guerre.
En attendant merci � tous de votre collaboration.

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- jack mandon 29 novembre 2013 16:27
  
  Jean,
  
  Quand notre pr�sident de la r�publique peut prononcer,
  « il faut punir Bachar el assad » lui qui repr�sente un peuple,
  alors je me dis que LENA produit des sous dou�s, ou plut�t
  de sacr�s hypocrites d’une l�g�ret� d�concertante.
  Bien sur c’est la norme politique en vigueur de d�conner dans le crime.
  Et comme cela on d�clare la guerre et l’on entraine les peuples
  � la mis�re et � leur perte.
  Et l’on se nomme Mitterrand � l’�poque de l’Iraq,
  et Sarkosx plus tard avec la Libye et puis enfin c’est tellement classique
  que s’en est banal.
  
  Comme j’aimerais dire � ces chefs d’�tats
  
  ...ce temps-l� ne reviendra plus
  
  prenez en votre parti
  
  c’est fini
  
  le temps des cerises ne reviendra plus
  
  et le temps des noyaux non plus
  
  inutile de g�mir
  
  allez plut�t dormir
  
  vous tombez de sommeil
  
  votre suaire est fra�chement repass�
  
  le marchand de sable va passer...
  Comme Jacques Pr�vert sut le dire avec force.
  
  R�pondre Lien permanent
jack mandon 29 novembre 2013 15:18

A tous,

Le pouvoir, presque essentiellement le pouvoir,
se love dans les syst�mes politiques et religieux,
sinon nous serions sensibles � ce bon sens politique...

http://www.youtube.com/watch?v=en0-nz_UN_M

Tout le reste c’est de la singerie humaine.

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- Xenozoid 29 novembre 2013 15:21
  
  le pouvoir,oui,le pouvoir. l’esclave etant la cause ou l’effet ?
  
  R�pondre Lien permanent
jack mandon 29 novembre 2013 15:45

Xenozoid, bonjour,

Les deux,
La cause et l’effet, l’interaction se pose � la mani�re de
Est-ce la poule qui fait l’oeuf, ou l’oeuf qui fait la poule.

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Xenozoid 29 novembre 2013 16:03

il y a une solution, c’est de ne pas faire l’objet du pouvoir

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jack mandon 29 novembre 2013 16:29

Tout � fait Xenozoid,

Devenir intelligent, vaste programme.

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- Xenozoid 29 novembre 2013 16:32
  
  l�ntelligence, tres vastement servi par le pouvoir, qui parle d’intelligengence ?
  
  R�pondre Lien permanent
- jack mandon 29 novembre 2013 16:46
  
  Xenozoid,
  
  L’intelligence qui s’alimente d’une humanit� qui tend vers l’harmonie.
  Qui prend en compte nos �nergies physiques, mentales et spirituelles.
  Ce n’est pas un effet d’id�alisme, c’est dans une optique plus saine,
  parce que globale qui m�le les valeurs culturelles et naturelles
  � la lumi�re des connaissances humaines.
  
  R�pondre Lien permanent
- Xenozoid 29 novembre 2013 16:48
  
  jack vaste programme qui ne pourra etre ,qu’apres destruction du paradigme que nous vivons
  
  R�pondre Lien permanent
jack mandon 29 novembre 2013 17:22

Xenozoid,

Sans doute, c’est une esp�ce de r�volution.
Mais dans tous les pays du monde il existe des �tres humains
et m�me des communaut�s humaines qui se reconstruisent
� l’int�rieur m�me d’un syst�me imparfait qui leur offre des plages
de libert�, cela suppose un minimum de d�mocratie.
La philosophie bouddhiste, par exemple, se construit sous cette forme.
Au fond quand on a le nez dans l’actualit� on peut d�sesp�rer,
mais si l’on tente de sortir du cadre restreint de notre quotidien,
on prend conscience qu’il existe des �tres humains lumineux.
Regardez, c’est sans doute une prouesse, mais m�me sur l’agora,
il arrive d’�changer quelques id�es dans la courtoisie.

Merci de votre visite.

R�pondre Lien permanent
Arnaud69 30 novembre 2013 14:21

@ Jack

Avant d’aller o� que ce soit il faut comprendre d’o� nous venons r�ellement. Se r�approprier l’histoire vraie dans toutes ses dimensions aussi d�lirantes puissent-elles nous sembler.

Apr�s si on se r�f�re � la religion :

J’ai un gros souci de confiance en des textes issus de tradition orale, �crits en plusieurs fois par plusieurs �quipes diff�rentes, � des �poques diff�rentes, dans des contextes politiques diff�rents.

Qui plus est �crits par des scribes issus des tribus d’Isra�l, sur lesquels d’une page � l’autre on peut lire des versions diff�rentes et incompatibles des m�mes faits. (parfois m�me sur deux pages c�te � c�te)

Pour ce qui est de la religion de ma tradition, j’ai un gros souci � prier devant une croix qui �tait un instrument de torture de l’�poque, c’est aussi fou que de prier devant une guillotine ou un nœud coulant.

Ceci dit tout se sait l� o� nous �tions ignorants hier, c’est le c�t� positif. Peut-�tre ne vont-ils pas arriver � rejouer cette m�me pi�ce.

Une r�volution Russe et deux guerres mondiales financ�es par les m�mes oligarques des deux c�t�s du paradigme. Oligarques qui ont r�colt� les int�r�ts des emprunts des deux c�t�s � chaque fois.

Voil� des mains bien ensanglant�es mais �a ne les d�range absolument pas quand on contr�le d�j� tout, syst�me financier et gouvernements Occidentaux y compris, la seule chose qui peut faire r�ver c’est de r�gner sur le monde.

Le savoir est une arme et l’ignorance est une prison.

Lorsque vous parlez de Banksters si vous cherchez bien en tout bout de chaine vous retombez obligatoirement sur une des 13 familles d�sormais connues sous leurs multiples noms. (exemple Bauer-Rothschild et bien d’autres noms d’emprunt)

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jack mandon 30 novembre 2013 17:06

Bonsoir Arnaud69,

Avant d’aller o� que ce soit il faut comprendre d’o� nous venons r�ellement. Se r�approprier l’histoire vraie dans toutes ses dimensions aussi d�lirantes puissent-elles nous sembler.

La science et la religion sont probablement aussi d�pourvues. Entre la premi�re, en questionnement logique sur la cr�ation et la seconde en relation de foi variable avec le cr�ateur ? Deux perspectives d’investigation deux mani�res d’appr�hender l’inconnu.
Dans le premier cas, s’inscrivent au cours du temps en stratifications, des donn�es consign�es, retenues, abandonn�es � travers les si�cles. Dans le second cas en revanche, ce qui est valable pour un croyant en tout temps, disparait avec lui, son exp�rience d’illumination vaut pour lui seul. La foi, la rencontre avec la divinit� int�rieure s’op�re dans la plus grande subjectivit�, c’est un monde clos intransmissible. On peut par affinit� psychologique, par effet de mod�lisation, se sentir proche d’un mystique, religieux, artiste, philosophe, mais une fois de plus, seul l’intuition est en vibration. La po�tique peut relayer une esp�ce de message subliminal, compr�hensible ou sibyllin. Le cerveau renferme encore des myst�res.

Apr�s si on se r�f�re � la religion :

J’ai un gros souci de confiance en des textes issus de tradition orale, �crits en plusieurs fois par plusieurs �quipes diff�rentes, � des �poques diff�rentes, dans des contextes politiques diff�rents.

Tout � fait, moi aussi je me souviens, ma premi�re ann�e (et seule ann�e) de th�ologie dans un s�minaire protestant, n’a pas �t� concluante.
L’ex�g�se � d�chir� mes jeunes convictions.

Qui plus est �crits par des scribes issus des tribus d’Isra�l, sur lesquels d’une page � l’autre on peut lire des versions diff�rentes et incompatibles des m�mes faits. (parfois m�me sur deux pages c�te � c�te)

Il m’a fallu pr�s de trente ann�es pour entrer dans les �vangiles avec un nouveau regard. En d�finitive, j’ai red�couvert le message christique � travers la psychanalyse.

Les �vangiles sont un fait de civilisation. C’est donc par la psychanalyse de l’�vangile que je m’y suis retrouv�. De plus, � mon niveau, j’ai con�u que les textes anciens �taient en phase avec l’inconscient des hommes d’hier et d’aujourd’hui. Ces textes illustrent et �clairent les lois de l’inconscient d�couvertes au XXe si�cle . Je vous l’accorde, cela vaut pour moi, mais pas uniquement. J’ai eu la chance de d�couvrir les travaux de Fran�oise Dolto, la p�dopsychiatre. Sa vision des �vangiles n’est pas toujours en phase avec « les scribes et autres docteurs de la loi » mais elle me parle. En effet, c’est par la jonction du naturel et du culturel que tout me parait plus lumineux. Loin de toute moralisation et autres mat�rialisation et banalisation de la pens�e, l’�tre humain apparait dans son essence...amorale.

Pour ce qui est de la religion de ma tradition, j’ai un gros souci � prier devant une croix qui �tait un instrument de torture de l’�poque, c’est aussi fou que de prier devant une guillotine ou un nœud coulant.

Ce que vous dites est amusant et traduit bien sur de curieux r�flexes humains, je partage, d’autant que cela se passe � l’int�rieur de nous, c’est tout � fait introspectif. En revanche, j’ai une image � vous soumettre qui nous vient du Grec ancien et formul�e en latin
« IN HOC SIGNO VINCES » « par ce signe tu vaincras » par del� l’instrument de torture morbide, s’inscrit un profond symbole, qui veut que cette croix qui en fait est un Tau grec, repr�sente le manche d’une �p�e dont la lame est plant�e en terre en signe de paix. Par ce signe de paix tu vaincras. Nous sommes tr�s �loign�s de la Rome papale qui lan�ait sur les chemins des papes en chef de guerre. Le christianisme basculait d�j� dans la d�rive meurtri�re.

Dans tous les cas de figure, nous sommes le cr�ateur et l’acteur de notre destin�e, accessoirement, si l’on est hyst�rique, ce qui n’est pas une maladie mais un trait de caract�re, nous sommes aussi notre spectateur, comme dans un r�ve.

Bonne soir�e

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- Arnaud69 30 novembre 2013 17:35
  
  Bonsoir Jack
  
  Merci de cette r�ponse d�velopp�e et honn�te, certaines graines en germeront inconsciemment. (pour la croix notamment, chat �chaud� craint l’eau chaude...)
  
  -La science et la religion : La science telle qu’enseign�e est pour moi trop restrictive, ce qu’elle ne comprend pas elle le nie. Pourtant on peut tout � fait avoir des capacit�s qu’on ne s’explique pas sans pour autant les nier.
  
  Ces barri�res et formatages permettent limiter l’acc�s � la connaissance et � la d�couverte. Ceci-dit les r�ponses �tant en nous, le guide �tant en nous, heureux celui qui sait �couter. Celui qui cherche trouvera et quand il aura trouv� il sera �merveill�...
  
  -L’essence de l’humain amorale mais rien ne l’emp�che de s’�lever et devenir un p�re pour ses p�res. Nous ne sommes pas limit�s � nos seules exp�riences, l’empathie vraie peut nous amener � comprendre diff�rents points de vue comme on peut changer d’angle pour contempler un paysage. De l� nous retrouvons la conjonction dont vous parlez.
  
  -La croix : Je retiendrai ce que vous m’en avez dit. Pour ma part les supports visuels me semblent un peu d�suets mais c’est tr�s personnel.
  
  -Cr�ateur et acteur de notre destin�e : Pas seulement, on peut d�couvrir beaucoup d’indices sur nous m�mes qui ont toujours �t� l� mais que nous ne savions pas lire. Connais-toi bien toi-m�me, un univers...
  
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- Arnaud69 1er décembre 2013 12:27
  
  @ Jean
  
  Je vais vous avouer que je suis mon guide int�rieur en fonction de mon exp�rience de vie mais aussi de ma propre nature.
  
  J’ai pens� honn�tement au symbole de la croix, pris sous n’importe quel angle je ne puis arborer ce symbole pour de multiples raisons. (il faudrait que j’�crive un livre sur le sujet tellement la liste d’arguments l�gitimes et grande)
  
  Si je dois prier je ne nomme aucun dieu mais j’en appelle au dieu qui a banni Lucifer, au moins je suis certain de m’adresser � la bonne personne. (Lucifer ange de la lumi�re et de la connaissance d’apr�s la tradition ma�onnique,)
  
  Lucifer existe �a j’en suis certain � 100% � force « d’emprunter » des livres ma�onniques. En revanche J�sus a certainement exist� mais je ne sais pas qui il est r�ellement. Je sais ce qui en a �t� �crit, je n’ai confiance en aucun des �crits pour les raisons que j’ai invoqu� plus haut. aussi en raison de la Franc Ma�onnerie :
  Pour ce qui est de mon rejet total et absolu de la Franc Ma�onnerie, qu’on ne me dise surtout pas que les Franc-Ma�ons m’auraient priv� de la connaissance de dieu depuis plus de 1100 ans � pour mon bien �, d’autant qu’ils sont manipul�s par les tribus d’Isra�l depuis tout ce temps. (tout comme ils nous ont priv� de notre histoire vraie et de notre souverainet� financi�re pour pactiser avec les sionistes.) Path�tiques lucif�riens.
  
  Plus on s’�duque, plus les choses changent.
  Quand je veut m’adresser � quelqu’un j’�vite de m’adresser � celui qui se dit son messager, autant que je m’adresse � lui directement en clarifiant celui � qui je m’adresse.
  Comme je me m�fie �norm�ment, je ne donne aucun nom mais je m’adresse � celui qui a banni lucifer,.
  
  Je l’avoue la confiance aux hommes en mati�re religieuse je n’en ai aucune, nous sommes nombreux dans mon cas et nous attendons fin pr�ts ce que Fran�ois le J�suite (donc Ma�on) nous pr�pare.
  Initi� � la lecture symbolique, la g�om�trie, les chiffres, il m’est bien difficile d’entrer dans quelque « temple » que ce soit. (les temples du dieu ma�onnique non merci)
  
  Pour ce qui est du Juda�sme et autres religions qu’on ne me dise pas qu’ils ont le moindre respect pour qui que ce soit, il suffit de lire leurs livres racistes et m�prisants.
  Le projet politique supr�maciste derri�re ces religions est une �vidence pour qui a �tudi� ces livres.
  
  On sait qu’ils veulent nous faire d�vier vers la Kabbale et le pseudo scientisme. On peut changer les cl�tures du champ, d�couvrir de nouvelles parcelles, cela ne reste qu’un champ cl�tur� par des exploitants.
  
  Heureux qui sait voir sans les yeux.
  
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- Constant danslayreur 1er décembre 2013 12:31
  
  Magistral Arnaud.
  Magnifique
  
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- Constant danslayreur 1er décembre 2013 12:34
  
  Jamais com sur AV n’avait r�ussi � me toucher � ce point, merci
  
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- Arnaud69 1er décembre 2013 13:38
  
  @ Constant danslayreur
  
  « Celui qui cherche trouvera et quand il aura trouv� il sera �merveill� »
  
  La v�rit� de l’�me rend libre bien plus qu’il n’est possible de concevoir la libert� pour l’homme emprisonn� dans les errances de son esprit ou celles de sa pens�e.
  
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- Arnaud69 1er décembre 2013 14:56
  
  @ Jean
  
  Nous vivons la m�me v�rit�.
  La solitude existentielle n’existe plus pour moi. (je ne sais si vous me comprendrez sur ce point)
  
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- Arnaud69 1er décembre 2013 17:06
  
  @ Jean
  
  J’avoue ne pas avoir lu tout le fil. Nous sommes un et l’unit� est en nous pour peu que nous la cherchions avec pers�v�rance.
  
  Quand nous trouvons il ne faut pas non plus croire � la permanence, elle n’existe pas i�i bas.
  C’est � mon sens l’erreur de beaucoup d’illustres personnages, qui ont cru pour avoir pu entrevoir, �tre capables de voir tout le temps. (ou m�me de montrer aux autres)
  Accepter ce que nous sommes, la vacuit� de toute chose sur cette terre.
  
  C’est d�j� un grand privil�ge de parfois parvenir � entrevoir. Une forme de r�compense ponctuelle face � laquelle l’�go doit �tre totalement mis de c�t�.
  
  La r�compense n’est ni un but ni un moteur elle n’est qu’un cadeau � prendre comme tel mais elle est aussi une �preuve face � notre �go.
  La motivation doit rester l’apprentissage et non le bon point ou l’image.
  
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- jack mandon 1er décembre 2013 17:10
  
  Arnaud et Jean,
  
  J�sus en tant qu’arch�type humain, samaritain dans son �trange simplicit�,
  atypique pour les autorit�s religieuses de son temps, n’est ni un conqu�rant,
  ni un chef de guerre. Il a le m�rite d’avoir donn� une impulsion nouvelle
  � l’humanit�, un peu comme Socrate, en parlant sans �crire, dans la tradition
  orale de l’orient ancien. Sa rencontre la plus authentique se fait probablement
  de la mani�re dont vous exposez, avec beaucoup de sensibilit�, votre vision.
  
  Chacun porte son histoire en soi, il n’est m�me pas n�cessaire de redouter
  des influences ext�rieures, nous nous chargeons de choisir plus ou moins
  consciemment de lui donner vie � l’ext�rieur de nous.
  
  Bon Dimanche
  
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- Arnaud69 2 décembre 2013 21:31
  
  @ Jack
  
  -« Chacun porte son histoire en soi, il n’est m�me pas n�cessaire de redouter
  des influences ext�rieures, nous nous chargeons de choisir plus ou moins
  consciemment de lui donner vie � l’ext�rieur de nous. »
  
  Absolument, je ne redoute absolument aucune influence je suis une m�thodologie que je ne comprends qu’� post�rieuri.(une merveille)
  
  J’ai appris � respecter les rythmes apparemment erratiques, programm�s, ce qui m’aurai jadis sembl� contre-nature vu ma personnalit�.
  Avec le temps je sais qu’il n’est est rien, donc j’ai appris � respecter et appr�cier ce chemin, taill� sur mesure.
  Plus j’avance, plus je m’�merveille, plus je suis confiant, conscient, plus j’appr�cie toutes les �tapes une par une.
  
  Je ne donne vie � aucune influence, elles viennent � moi au bon moment et dans le bon ordre. Confiance et respect la nature est merveilleuse.
  
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jack mandon 5 décembre 2013 10:42

philouie,

philouie,

Si vous n’entendez pas ce que vous crient Gollum, Jean et moi,
c’est que vous �tes sourd...psychiquement.
Si vous ne voyez pas notre sinc�re d�sir de fraternit�,
c’est que vous �tes psychiquement aveugle.
Si vous ne sentez pas notre proximit� humaine,
c’est que d’un point de vue kinesth�sique vous ne fonctionnez pas.
De plus, vous avez le privil�ge du d�bat intellectuel.

Alors l� je suis convaincu que le g�n�ral De Gaulle avait raison
quant au fond, m�me si la forme est discutable.
Quoi que si les intervenants, politiques et autres t�moins
de l’actualit� sont sens�s replacer les propos du g�n�ral
dans leur contexte et leur �poque.
Comment voulez vous que nous accordions quelques cr�dits
dans un quotidien du XXIe si�cle, quand vos propos, quant au fond,
sont tout au plus m�di�vaux, binaires, voir sectaires.
Si votre proph�te �tait Averroes, nous serions fr�re d’�me,
Votre proph�te est un soldat et de plus il ne fait pas dans l’humanisme.

Pour moi, les musulmans qui ont votre �tat d’esprit me
paraitront toujours suspects, il en va de m�me des juifs orthodoxes
avec leurs lois et leurs principes d’un autre temps.
et aussi des chr�tiens int�gristes avec leurs revendications.

La France, et je peux dire l’Europe vivent depuis des si�cles
dans le courant d’une �volution scientifique globale, �volution
qui prend quelques fois une forme involutive...h�las.

Vous n’�tes pas encore tr�s nombreux en Europe, mais
observez les probl�mes et autres histoires que vous provoquez.

Incompatibilit� avec la culture gr�co-latine et chr�tienne.
Dans votre t�te vous avez le souvenir que malgr� la personnalit�
des anatoliens d’Attaturk les musulmans se sont impos�s en Turquie.
alors pourquoi pas l’Europe. Quant � la France, avec la R�publique
inconsistante des r�veurs socialistes, vous avez vos chances.
La situation entre nous peut devenir extr�mement conflictuelle.

Vous avez la conviction plus ou moins consciente d’avoir raison.
C’est l� le fondement de notre d�saccord.
Jean, Gollum et moi nous sommes des chercheurs �pris de libert�,
nous n’imposons pas notre vision du monde mais n’acceptons pas
la v�tre. Nous avons la culture du doute. C’est l� un des aspects de
notre culture philosophique grecque et de l’influence chr�tienne.

Si nous avons tous les trois gagn� en autonomie de pens�e,
ce n’est certainement pas pour accepter l’esclavagisme musulman.

Dans quelques d�cennies, des personnes comme Jean, Gollum
et moi pourraient se retrouver en prison...au mieux.
Voil� l’absolu r�alit� de l’islam, un fascisme religieux au XXIe si�cle.

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jack mandon 5 décembre 2013 12:08

philouie,

Le th�me de mon papier n’�tait pas anodin.
J’ai voulu parler de la fin d’une �poque qui m’a toujours fascin�, le Romantisme.
XIXe si�cle. J’ai mis en sc�ne un artisan meunier, que on appelait maitre en ce temps.
Mon profond attachement au monde artisanal duquel je suis issu.
La symbolique du meunier, le pain, la nourriture sacr�, le moulin ail� plant�
sur la petite colline. Une all�gorie. Un souci po�tique, pour mon plaisir personnel.
Un homme brave qui n’a pas senti que le monde �voluait, un homme qui s’obstine
et finit dans le d�ni. Ce pourrait �tre vous, ce pourrait �tre vous.
Le lot de tout homme vieillissant qui doit accepter de d�crocher et abandonner
la vie � ses enfants, � sa famille, �a je le revendique pr�sentement au quotidien .
La condition humaine qui ne semble ais�e sans l’esp�rance divine en nous.
C’est l� que nous nous retrouvons tous, quelle que soit notre culture, c’est l�
que l’on est sens� rencontrer le partage, l’empathie, l’amiti�.
A ce propos, on peut �tre romantique � toute �poque, la preuve.
Par analogie au religieux en g�n�ral, on peut placer Dieu au coeur de sa vie...
� condition de ne pas imposer ce choix � son voisin, � son prochain.
Le pros�lytisme est un fascisme d�guis�.
Le temps �volue, les id�es, les moeurs, les techniques, la science m�me
qui se montre souvent arrogante, nul n’est parfait.
C’est un th�me central et dramatique quand on est l’acteur principal.
Selon moi, les religions monoth�istes sont � la traine. Pour prot�ger
leur caract�re sacr�, elles ne peuvent nier l’�volution du monde.
Pour �viter cela il faut s�parer la sph�re sociale de nature extravertie
et la sph�re religieuse, introvertie, secr�te, subtile.
J�sus r�alise la jonction entre les philosophes grecs et la culture juda�que,
le prolongement entre l’orient ancien et le monde post romain.
Il avait compris la n�cessit� de la foi qui lib�re, et la s�paration entre
le monde temporel social et l’atemporalit� divine.
M�me �a philouie vous ne l’entendez pas, c’est pour nous un concept �vident.

Les europ�ens sont allergiques � la dictature, au fascisme.
En France, nous avons d�courag� De Gaulle, apr�s l’avoir utilis�.
C’�tait un homme de culture, honn�te, int�gre, mais il �tait militaire.
Les fran�ais n’aiment pas l’autoritarisme, il �tait simplement autoritaire.
Les fran�ais ont fait la r�volution, m�me s’ils ont rechut�, ils sont libres.

L’histoire est parlante, elle est chaotique, capricieuse mais dot�e de m�moire.

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- philouie 7 décembre 2013 11:44
  
  la s�paration entre
  le monde temporel social et l’atemporalit� divine.
  
  M�me �a philouie vous ne l’entendez pas, c’est pour nous un concept �vident.
  
  Vous avez construit une civilisation qui repose sur la n�gation de ce concept, et qui vit encore de cette n�gation. la la�cit� � la fran�aise ce n’est pas la s�paration du pouvoir du religieux et du temporel mais bien l’accaparement de tous les pouvoirs, religieux et temporel, par le pouvoir temporel.
  il n’y a qu’� voir le gouvernement hollande l�gif�re � tour de bras sur la sexualit� des fran�ais, pour le comprendre.
  il n’y a d’�glise en Islam. OK ?
  
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jack mandon 7 décembre 2013 08:52

Philouie,

Qui vous a parl� de folie ? c’est vous qui le dites.

Vous me dites que vous ne savez pas si les musulmans r�agissent dans l’�motionnel, mais vous ajoutez, mais ce qu’il y a de certain c’est que le musulman est r�actif. C’est � dire que vous vous contredisez. Cela se nomme la mauvaise foi.

La place qui est faite � l’�motion dans le coran me semble primordiale, d’autant que vous le reconnaissez volontiers.
Toute personne de bon sens sait que les religions baignent dans l’�motion. Ce trait de caract�re est �minemment cr�atif mais aussi �ruptif, c’est � dire qu’il incline aussi, quand il est mal canalis� ou malade, aux d�bordement passionnel, au conflit, au meurtre. M�me passionnel, le crime demeure un crime. Les religieux, mais pas seulement, et les fanatiques musulmans en particulier institutionnalisent cette pratique.
L’article qui suit le d�montre.

L’islam des fondamentalistes : une id�ologie antisociale, par H�lios d’Alexandrie

Dans sa chronique d’aujourd’hui, H�lios d’Alexandrie vise � mettre en relief les effets destructeurs des avanc�es islamistes sur nos valeurs, sur nos lois et sur les fondements de la soci�t� occidentale. Il d�montre en m�me temps que l’islamisation, c’est le d�sordre et le chaos. � partir d’exemples concrets, il critique ceux qui refusent de constater l’effet subversif des accommodements et qui continuent � les consid�rer comme n�cessaires au vivre ensemble.

L’un des exemples donn�s par H�lios concerne les pri�res musulmanes � l’�cole des hautes �tudes commerciales de l’Universit� de Montr�al. Ci-dessous, un reportage de Mario Dumont sur le sujet diffus� en f�vrier 2010 :

___________________

La confusion r�gne dans les esprits depuis que l’islam fait parler de lui r�guli�rement.

Des actes violents de la terreur islamique aux accommodements exig�s par les musulmans, nul n’est en mesure de discerner un d�nominateur commun � ces ph�nom�nes qui, d�sormais, accompagnent et caract�risent la pr�sence musulmane en Occident.

La crainte de stigmatiser, le d�sir de distinguer entre l’islam des fanatiques et le � vrai islam �, ont pouss� les observateurs et les analystes � examiner s�par�ment chacun des ph�nom�nes tout en s’interdisant de penser � l’existence d’un lien qui les unit.

Qu’ont en commun l’assassin du gouverneur du Penjab, les �tudiants musulmans de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al et les musulmans qui demandent des horaires s�par�s dans les piscines publiques ? Quels sont les points communs que partagent les musulmanes qui portent le voile et les musulmans responsables d’actes violents ?

L’enqu�te concernant l’assassinat de Salman Taseer, gouverneur du Penjab, a r�v�l� que son garde du corps Mumtaz Qadri a d�cid� de l’assassiner quatre jours apr�s avoir �cout� le sermon d’un imam appelant � tuer les blasph�mateurs et ceux qui les prot�gent. Or le gouverneur du Penjab cherchait � r�former la loi sur le blasph�me, laquelle prescrit la peine de mort contre toute personne trouv�e coupable de propos irrespectueux � l’endroit de Mahomet. Il est facile et exp�ditif d’attribuer cet acte violent au fanatisme de son auteur, mais il y a l� plus que du fanatisme. En effet, l’assassin s’est cru investi de la mission de d�fendre l’islam, du coup son devoir de garde du corps, la loyaut� due au gouverneur, le respect des lois civiles, sa propre conscience et la crainte du ch�timent ont cess� de compter. Dans ce passage � l’acte, l’islam l’a autoris� � renverser toutes les barri�res d’ordre l�gal et moral. Mais il y a plus : l’appui que l’assassin obtient d’une large tranche de la population pakistanaise d�montre le peu d’importance que celle-ci accorde au respect des lois et aux fondements moraux de la vie en soci�t�. Pour elle, seul l’islam compte.

C’est ainsi que l’islam en tant qu’id�ologie et syst�me de croyance se retrouve � la fois en dehors et au-dessus des lois qui r�gissent la soci�t� ; il commande des attitudes, des comportements et des actions qui entravent son fonctionnement harmonieux ; il cr�e des pr�c�dents qui ouvrent grand la porte aux abus et au d�sordre. Il s’ensuit une situation de chaos grandissant o� l’arbitraire, pourvu qu’il soit islamique, se trouve autoris� et m�me sanctifi�.

Il n’y a pas si longtemps des �tudiants musulmans ont exig� de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al qu’elle leur accorde un lieu de pri�re � l’int�rieur de ses murs. Cette demande allait � l’encontre des principes de la�cit� pr�n�s par l’Universit�, de plus, n’�tant pas de nature acad�mique, elle ne pouvait d’aucune fa�on s’inscrire parmi les priorit�s. Face au refus, les �tudiants musulmans ont d�cid� de prier r�guli�rement dans le hall d’entr�e de l’�difice. � c�t� des ascenseurs, au vu de tout le monde, ils se sont appropri�s ill�galement et sans autorisation pr�alable un espace public pour un usage autre que celui pour lequel il est destin�. Leur comportement avait l’allure d’un d�fi mais il �tait motiv� par la certitude qu’au nom de l’islam, ils n’�taient pas tenus au respect des r�glements et des conventions sociales. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, l’islam s’est retrouv� en dehors et au-dessus des lois.

Le comportement des �tudiants musulmans, plut�t que d’�tre jug� d’apr�s les normes en usage, a �t� consid�r� avec indulgence et compr�hension. Il fallait faire preuve d’ouverture � l’�gard de personnes qui, somme toute, � ne demandaient qu’� prier �. Face � la situation, la direction des HEC s’est senti oblig�e de c�der afin de � d�nouer la crise �, c’est ainsi que les �tudiants musulmans ont impos� leur volont� : transformer un espace public en lieu de pri�re et, ce qui est encore plus fondamental, imposer la pr�s�ance de l’islam sur les r�glements et les conventions de l’Universit�.

D’aucuns feraient remarquer que cet �v�nement n’a que peu d’importance et qu’il s’est termin� � pacifiquement �. Cependant, si on tient compte du fait que les �tudiants musulmans �taient peu nombreux, on saisit mieux l’ampleur et la signification de l’�v�nement. Il est � pr�voir que dans le futur, un nombre plus grand d’�tudiants fondamentalistes conduira � d’autres situations probl�matiques dont l’impact sera plus profond et plus durable. On finira par d�couvrir que les r�glements instaur�s pour le b�n�fice de tous sont non respect�s et on r�alisera, quoique un peu tard, que l’islam a non seulement �t� mis au-dessus des r�glements, mais qu’on lui a �galement permis de perturber gravement le climat et le fonctionnement au sein de l’Universit�.

...les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage

Les demandes d’horaires s�par�s dans les piscines sont un autre exemple, non seulement de l’intrusion de l’islam dans un domaine qui lui est �tranger, mais �galement de la volont� de le placer en dehors et au-dessus des principes d’�galit� entre les citoyens sans distinction de race, de sexe, ou de religion. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage. Il en r�sulte de la discrimination, des perturbations au fonctionnement de la soci�t� et un clivage sans cesse grandissant entre les musulmans d’une part et le reste de la soci�t� d’autre part.

Le voile islamique est consid�r� d�sormais comme l’�tendard de l’islam fondamentaliste, il est actuellement impos� sous toutes ses formes en Occident. Bien qu’il ne semble relever que du choix personnel, il ne se prive pas de causer des probl�mes dont les plus importants concernent les valeurs de la soci�t� et l’importance qu’elle accorde � l’�galit� des genres, � la dignit� des femmes, � la place que tient l’expression faciale dans la communication entre humains et, pour ce qui est du niqab et de la burka, aux imp�ratifs incontournables de la s�curit�. L’�pisode bien connu de la femme en niqab inscrite au programme de francisation au Cegep Saint-Laurent est exemplaire : refus de montrer son visage au moment o� le cours d’expression verbale l’exigeait, obligation faite au reste de la classe de d�tourner le regard etc. Dans ce cas �galement, l’islam a eu pr�s�ance sur les principes p�dagogiques et les techniques en usage dans l’enseignement de la langue fran�aise. Mais la nuisance ne s’est pas arr�t�e l�, le d�roulement du cours en a �t� perturb� au d�triment du reste des �tudiants, et l’affaire a eu des �chos jusqu’au minist�re de l’�ducation sans compter les articles et les reportages qu’elle a suscit�s.

Il y a quelque chose de navrant et d’ironique dans le spectacle qui met en sc�ne des musulmanes voil�es en compagnie de f�ministes. Cette rencontre de deux absolus (l’islam et l’�galit� des sexes) a contraint l’un des deux � baisser pavillon. L’islam a eu le dessus et les f�ministes se sont �vertu�es, non � expliquer les raisons pour lesquelles elles ont mordu la poussi�re, mais � tirer fiert� de leur veulerie. � cause d’elles, l’islam fondamentaliste �tendra ses tentacules dans les �coles, les garderies et la fonction publique. L’islam a r�ussi � pi�tiner des valeurs pour lesquelles nos a�eules se sont battues au-del� de cent ans, et cette fois gr�ce � la collaboration de celles qui n’auraient jamais d� quitter les remparts ni ouvrir grand la porte � l’envahisseur.

Les exemples abondent o� l’islam est sans cesse plac� en dehors et au-dessus des lois : interdiction aux maris de participer aux cours pr�nataux. Exigences d�raisonnables dans le domaine des soins de sant�, particuli�rement en ce qui a trait aux soins dispens�s par des professionnels du sexe oppos�. Excision des filles. Imposition du voile aux filles non-pub�res. Mariages forc�s. Polygamie et violence conjugale. Blocage des rues pour la pri�re du vendredi. Cr�ation d’enclaves musulmanes qui sont autant de zones de non-droit l� o� le nombre de musulmans est suffisamment �lev� etc. Tout porte � croire que la seule fa�on que nos dirigeants et nos �lites ont trouv�e pour t�moigner du respect envers les musulmans, a �t� de placer l’islam au-dessus de nos valeurs et de nos lois.

Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes

La presque totalit� des viols perp�tr�s dans les pays scandinaves sont le fait de musulmans. Il ne s’agit pas l� de simples violences dirig�es contre les femmes de toutes origines, les musulmans qui les commettent agressent uniquement les femmes non-musulmanes et celles qui sont n�es musulmanes mais qui adoptent le mode de vie occidental. On ne s’�tonnera pas d’apprendre que l’islam permet aux musulmans d’avoir des relations sexuelles avec les femmes des ennemis qui leur tombent entre les mains. Or les non-musulmans sont consid�r�s comme des m�cr�ants et ceux parmi les musulmans qui vivent � l’occidentale sont r�put�s �tre des apostats, ils sont tous par cons�quent les ennemis d’Allah et les musulmans ont le devoir de leur faire la guerre et de les subjuguer. Allah rend leurs femmes et leurs filles licites aux croyants. Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes, ces violences n’ont d’autres objectifs que de cr�er des zones d’o� sont exclus les non-musulmans, des zones de non-droit o� l’arbitraire de la loi islamique (la sharia) est en vigueur.

La pratique du rapt et du viol des non-musulmanes n’est d’ailleurs pas confin�e � la Scandinavie. On la rencontre un peu partout mais plus particuli�rement dans les pays musulmans comptant une minorit� chr�tienne tels que l’�gypte et le Pakistan. Le rapt des jeunes filles coptes est bien connu, il a pour fondement les m�mes versets coraniques qui justifient le viol des femmes scandinaves. La police �gyptienne n’a jamais tent� d’arr�ter les coupables, ils n’ont jamais �t� traduits en justice et les adolescentes enlev�es n’ont jamais �t� rendues � leurs parents. Les intellectuels et les juristes musulmans qui se sont d�clar�s contre cette pratique se comptent sur les doigts de la main, les autres gardent un silence vaguement complice. Malgr� que le rapt et le viol soient punissables par la loi �gyptienne, aucune action n’a �t� entreprise pour d�courager les agresseurs et pour cause : l’islam a �t� plac� au-dessus des lois, celles-ci ne s’appliquent pas quand la victime est chr�tienne.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire

Il suffit de jeter un coup d’œil sur ce qui se d�roule en �gypte, en Irak, au Pakistan et dans les zones de non-droit en Europe pour comprendre les dangers qui frappent les pays qui ont laiss� l’islam prendre le dessus au m�pris des lois civiles. Quand l’application de la sharia est prise en main par des foules musulmanes chauff�es � blanc par les imams fondamentalistes, l’arbitraire et le chaos ne tardent pas � �lire domicile. L’histoire du monde musulman est pleine de ces exemples o� un tyran d�tr�n� par une r�volte de ses sujets, laisse la place au chaos. L’arbitraire du sultan est aussit�t remplac� par l’arbitraire des bandes arm�es et de leurs chefs religieux, la population prise au milieu du chaos se met alors � regretter les � beaux jours �, au temps o� elle ployait l’�chine sous le joug du sultan. Car l’islam pour tous c’est aussi le chaos pour tous, voil� pourquoi, en terre d’islam, la tyrannie est le seul r�gime de gouvernement susceptible d’offrir la stabilit� et un semblant de s�curit�.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire. La sharia appliqu�e par les musulmans est subversive, elle est �galement source de chaos. Nos �lites qui pratiquent la c�cit� volontaire n’ont pas vu venir et se refusent de voir venir les dangers. Tant qu’ils examineront les demandes des islamistes sous la loupe de la libert� religieuse et des accommodements, sans mesurer leurs effets destructeurs, nos valeurs, nos lois et nos soci�t�s seront en danger.

philouie, Depuis le d�but de vos commentaires abondants, vous refusez de r�pondre aux questions embarrassantes, vous occultez ce qui vous d�range.
Vous avez la mauvaise foi de certains de nos politiques de gauche.

R�pondre Lien permanent
jack mandon 7 décembre 2013 08:56

philouie

Vous me dites que vous ne savez pas si les musulmans r�agissent dans l’�motionnel, mais vous ajoutez, mais ce qu’il y a de certain c’est que le musulman est r�actif. C’est � dire que vous vous contredisez. Cela se nomme la mauvaise foi.

La place qui est faite � l’�motion dans le coran me semble primordiale, d’autant que vous ne le reconnaissez volontiers.
Toute personne de bon sens sait que les religions baignent dans l’�motion. Ce trait de caract�re est �minemment cr�atif mais aussi �ruptif, c’est � dire qu’il incline aussi, quand il est mal canalis� ou malade, aux d�bordement passionnel, au conflit, au meurtre. M�me passionnel, le crime demeure un crime. Les religieux, mais pas seulement, et les fanatiques musulmans en particulier institutionnalisent cette pratique.
L’article qui suit le d�montre.

L’islam des fondamentalistes : une id�ologie antisociale, par H�lios d’Alexandrie

Dans sa chronique d’aujourd’hui, H�lios d’Alexandrie vise � mettre en relief les effets destructeurs des avanc�es islamistes sur nos valeurs, sur nos lois et sur les fondements de la soci�t� occidentale. Il d�montre en m�me temps que l’islamisation, c’est le d�sordre et le chaos. � partir d’exemples concrets, il critique ceux qui refusent de constater l’effet subversif des accommodements et qui continuent � les consid�rer comme n�cessaires au vivre ensemble.

L’un des exemples donn�s par H�lios concerne les pri�res musulmanes � l’�cole des hautes �tudes commerciales de l’Universit� de Montr�al. Ci-dessous, un reportage de Mario Dumont sur le sujet diffus� en f�vrier 2010 :

___________________

La confusion r�gne dans les esprits depuis que l’islam fait parler de lui r�guli�rement.

Des actes violents de la terreur islamique aux accommodements exig�s par les musulmans, nul n’est en mesure de discerner un d�nominateur commun � ces ph�nom�nes qui, d�sormais, accompagnent et caract�risent la pr�sence musulmane en Occident.

La crainte de stigmatiser, le d�sir de distinguer entre l’islam des fanatiques et le � vrai islam �, ont pouss� les observateurs et les analystes � examiner s�par�ment chacun des ph�nom�nes tout en s’interdisant de penser � l’existence d’un lien qui les unit.

Qu’ont en commun l’assassin du gouverneur du Penjab, les �tudiants musulmans de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al et les musulmans qui demandent des horaires s�par�s dans les piscines publiques ? Quels sont les points communs que partagent les musulmanes qui portent le voile et les musulmans responsables d’actes violents ?

L’enqu�te concernant l’assassinat de Salman Taseer, gouverneur du Penjab, a r�v�l� que son garde du corps Mumtaz Qadri a d�cid� de l’assassiner quatre jours apr�s avoir �cout� le sermon d’un imam appelant � tuer les blasph�mateurs et ceux qui les prot�gent. Or le gouverneur du Penjab cherchait � r�former la loi sur le blasph�me, laquelle prescrit la peine de mort contre toute personne trouv�e coupable de propos irrespectueux � l’endroit de Mahomet. Il est facile et exp�ditif d’attribuer cet acte violent au fanatisme de son auteur, mais il y a l� plus que du fanatisme. En effet, l’assassin s’est cru investi de la mission de d�fendre l’islam, du coup son devoir de garde du corps, la loyaut� due au gouverneur, le respect des lois civiles, sa propre conscience et la crainte du ch�timent ont cess� de compter. Dans ce passage � l’acte, l’islam l’a autoris� � renverser toutes les barri�res d’ordre l�gal et moral. Mais il y a plus : l’appui que l’assassin obtient d’une large tranche de la population pakistanaise d�montre le peu d’importance que celle-ci accorde au respect des lois et aux fondements moraux de la vie en soci�t�. Pour elle, seul l’islam compte.

C’est ainsi que l’islam en tant qu’id�ologie et syst�me de croyance se retrouve � la fois en dehors et au-dessus des lois qui r�gissent la soci�t� ; il commande des attitudes, des comportements et des actions qui entravent son fonctionnement harmonieux ; il cr�e des pr�c�dents qui ouvrent grand la porte aux abus et au d�sordre. Il s’ensuit une situation de chaos grandissant o� l’arbitraire, pourvu qu’il soit islamique, se trouve autoris� et m�me sanctifi�.

Il n’y a pas si longtemps des �tudiants musulmans ont exig� de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al qu’elle leur accorde un lieu de pri�re � l’int�rieur de ses murs. Cette demande allait � l’encontre des principes de la�cit� pr�n�s par l’Universit�, de plus, n’�tant pas de nature acad�mique, elle ne pouvait d’aucune fa�on s’inscrire parmi les priorit�s. Face au refus, les �tudiants musulmans ont d�cid� de prier r�guli�rement dans le hall d’entr�e de l’�difice. � c�t� des ascenseurs, au vu de tout le monde, ils se sont appropri�s ill�galement et sans autorisation pr�alable un espace public pour un usage autre que celui pour lequel il est destin�. Leur comportement avait l’allure d’un d�fi mais il �tait motiv� par la certitude qu’au nom de l’islam, ils n’�taient pas tenus au respect des r�glements et des conventions sociales. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, l’islam s’est retrouv� en dehors et au-dessus des lois.

Le comportement des �tudiants musulmans, plut�t que d’�tre jug� d’apr�s les normes en usage, a �t� consid�r� avec indulgence et compr�hension. Il fallait faire preuve d’ouverture � l’�gard de personnes qui, somme toute, � ne demandaient qu’� prier �. Face � la situation, la direction des HEC s’est senti oblig�e de c�der afin de � d�nouer la crise �, c’est ainsi que les �tudiants musulmans ont impos� leur volont� : transformer un espace public en lieu de pri�re et, ce qui est encore plus fondamental, imposer la pr�s�ance de l’islam sur les r�glements et les conventions de l’Universit�.

D’aucuns feraient remarquer que cet �v�nement n’a que peu d’importance et qu’il s’est termin� � pacifiquement �. Cependant, si on tient compte du fait que les �tudiants musulmans �taient peu nombreux, on saisit mieux l’ampleur et la signification de l’�v�nement. Il est � pr�voir que dans le futur, un nombre plus grand d’�tudiants fondamentalistes conduira � d’autres situations probl�matiques dont l’impact sera plus profond et plus durable. On finira par d�couvrir que les r�glements instaur�s pour le b�n�fice de tous sont non respect�s et on r�alisera, quoique un peu tard, que l’islam a non seulement �t� mis au-dessus des r�glements, mais qu’on lui a �galement permis de perturber gravement le climat et le fonctionnement au sein de l’Universit�.

...les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage

Les demandes d’horaires s�par�s dans les piscines sont un autre exemple, non seulement de l’intrusion de l’islam dans un domaine qui lui est �tranger, mais �galement de la volont� de le placer en dehors et au-dessus des principes d’�galit� entre les citoyens sans distinction de race, de sexe, ou de religion. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage. Il en r�sulte de la discrimination, des perturbations au fonctionnement de la soci�t� et un clivage sans cesse grandissant entre les musulmans d’une part et le reste de la soci�t� d’autre part.

Le voile islamique est consid�r� d�sormais comme l’�tendard de l’islam fondamentaliste, il est actuellement impos� sous toutes ses formes en Occident. Bien qu’il ne semble relever que du choix personnel, il ne se prive pas de causer des probl�mes dont les plus importants concernent les valeurs de la soci�t� et l’importance qu’elle accorde � l’�galit� des genres, � la dignit� des femmes, � la place que tient l’expression faciale dans la communication entre humains et, pour ce qui est du niqab et de la burka, aux imp�ratifs incontournables de la s�curit�. L’�pisode bien connu de la femme en niqab inscrite au programme de francisation au Cegep Saint-Laurent est exemplaire : refus de montrer son visage au moment o� le cours d’expression verbale l’exigeait, obligation faite au reste de la classe de d�tourner le regard etc. Dans ce cas �galement, l’islam a eu pr�s�ance sur les principes p�dagogiques et les techniques en usage dans l’enseignement de la langue fran�aise. Mais la nuisance ne s’est pas arr�t�e l�, le d�roulement du cours en a �t� perturb� au d�triment du reste des �tudiants, et l’affaire a eu des �chos jusqu’au minist�re de l’�ducation sans compter les articles et les reportages qu’elle a suscit�s.

Il y a quelque chose de navrant et d’ironique dans le spectacle qui met en sc�ne des musulmanes voil�es en compagnie de f�ministes. Cette rencontre de deux absolus (l’islam et l’�galit� des sexes) a contraint l’un des deux � baisser pavillon. L’islam a eu le dessus et les f�ministes se sont �vertu�es, non � expliquer les raisons pour lesquelles elles ont mordu la poussi�re, mais � tirer fiert� de leur veulerie. � cause d’elles, l’islam fondamentaliste �tendra ses tentacules dans les �coles, les garderies et la fonction publique. L’islam a r�ussi � pi�tiner des valeurs pour lesquelles nos a�eules se sont battues au-del� de cent ans, et cette fois gr�ce � la collaboration de celles qui n’auraient jamais d� quitter les remparts ni ouvrir grand la porte � l’envahisseur.

Les exemples abondent o� l’islam est sans cesse plac� en dehors et au-dessus des lois : interdiction aux maris de participer aux cours pr�nataux. Exigences d�raisonnables dans le domaine des soins de sant�, particuli�rement en ce qui a trait aux soins dispens�s par des professionnels du sexe oppos�. Excision des filles. Imposition du voile aux filles non-pub�res. Mariages forc�s. Polygamie et violence conjugale. Blocage des rues pour la pri�re du vendredi. Cr�ation d’enclaves musulmanes qui sont autant de zones de non-droit l� o� le nombre de musulmans est suffisamment �lev� etc. Tout porte � croire que la seule fa�on que nos dirigeants et nos �lites ont trouv�e pour t�moigner du respect envers les musulmans, a �t� de placer l’islam au-dessus de nos valeurs et de nos lois.

Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes

La presque totalit� des viols perp�tr�s dans les pays scandinaves sont le fait de musulmans. Il ne s’agit pas l� de simples violences dirig�es contre les femmes de toutes origines, les musulmans qui les commettent agressent uniquement les femmes non-musulmanes et celles qui sont n�es musulmanes mais qui adoptent le mode de vie occidental. On ne s’�tonnera pas d’apprendre que l’islam permet aux musulmans d’avoir des relations sexuelles avec les femmes des ennemis qui leur tombent entre les mains. Or les non-musulmans sont consid�r�s comme des m�cr�ants et ceux parmi les musulmans qui vivent � l’occidentale sont r�put�s �tre des apostats, ils sont tous par cons�quent les ennemis d’Allah et les musulmans ont le devoir de leur faire la guerre et de les subjuguer. Allah rend leurs femmes et leurs filles licites aux croyants. Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes, ces violences n’ont d’autres objectifs que de cr�er des zones d’o� sont exclus les non-musulmans, des zones de non-droit o� l’arbitraire de la loi islamique (la sharia) est en vigueur.

La pratique du rapt et du viol des non-musulmanes n’est d’ailleurs pas confin�e � la Scandinavie. On la rencontre un peu partout mais plus particuli�rement dans les pays musulmans comptant une minorit� chr�tienne tels que l’�gypte et le Pakistan. Le rapt des jeunes filles coptes est bien connu, il a pour fondement les m�mes versets coraniques qui justifient le viol des femmes scandinaves. La police �gyptienne n’a jamais tent� d’arr�ter les coupables, ils n’ont jamais �t� traduits en justice et les adolescentes enlev�es n’ont jamais �t� rendues � leurs parents. Les intellectuels et les juristes musulmans qui se sont d�clar�s contre cette pratique se comptent sur les doigts de la main, les autres gardent un silence vaguement complice. Malgr� que le rapt et le viol soient punissables par la loi �gyptienne, aucune action n’a �t� entreprise pour d�courager les agresseurs et pour cause : l’islam a �t� plac� au-dessus des lois, celles-ci ne s’appliquent pas quand la victime est chr�tienne.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire

Il suffit de jeter un coup d’œil sur ce qui se d�roule en �gypte, en Irak, au Pakistan et dans les zones de non-droit en Europe pour comprendre les dangers qui frappent les pays qui ont laiss� l’islam prendre le dessus au m�pris des lois civiles. Quand l’application de la sharia est prise en main par des foules musulmanes chauff�es � blanc par les imams fondamentalistes, l’arbitraire et le chaos ne tardent pas � �lire domicile. L’histoire du monde musulman est pleine de ces exemples o� un tyran d�tr�n� par une r�volte de ses sujets, laisse la place au chaos. L’arbitraire du sultan est aussit�t remplac� par l’arbitraire des bandes arm�es et de leurs chefs religieux, la population prise au milieu du chaos se met alors � regretter les � beaux jours �, au temps o� elle ployait l’�chine sous le joug du sultan. Car l’islam pour tous c’est aussi le chaos pour tous, voil� pourquoi, en terre d’islam, la tyrannie est le seul r�gime de gouvernement susceptible d’offrir la stabilit� et un semblant de s�curit�.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire. La sharia appliqu�e par les musulmans est subversive, elle est �galement source de chaos. Nos �lites qui pratiquent la c�cit� volontaire n’ont pas vu venir et se refusent de voir venir les dangers. Tant qu’ils examineront les demandes des islamistes sous la loupe de la libert� religieuse et des accommodements, sans mesurer leurs effets destructeurs, nos valeurs, nos lois et nos soci�t�s seront en danger.

Ce sont les fruits de l’arbre qui m’importent, je suis chr�tien et mat�rialiste.

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jack mandon 7 décembre 2013 08:59

philouie,

Vous me dites que vous ne savez pas si les musulmans r�agissent dans l’�motionnel, mais vous ajoutez, mais ce qu’il y a de certain c’est que le musulman est r�actif. C’est � dire que vous vous contredisez. Cela se nomme la mauvaise foi.

La place qui est faite � l’�motion dans le coran me semble primordiale, d’autant que vous ne le reconnaissez volontiers.
Toute personne de bon sens sait que les religions baignent dans l’�motion. Ce trait de caract�re est �minemment cr�atif mais aussi �ruptif, c’est � dire qu’il incline aussi, quand il est mal canalis� ou malade, aux d�bordement passionnel, au conflit, au meurtre. M�me passionnel, le crime demeure un crime. Les religieux, mais pas seulement, et les fanatiques musulmans en particulier institutionnalisent cette pratique.
L’article qui suit le d�montre.

L’islam des fondamentalistes : une id�ologie antisociale, par H�lios d’Alexandrie

Dans sa chronique d’aujourd’hui, H�lios d’Alexandrie vise � mettre en relief les effets destructeurs des avanc�es islamistes sur nos valeurs, sur nos lois et sur les fondements de la soci�t� occidentale. Il d�montre en m�me temps que l’islamisation, c’est le d�sordre et le chaos. � partir d’exemples concrets, il critique ceux qui refusent de constater l’effet subversif des accommodements et qui continuent � les consid�rer comme n�cessaires au vivre ensemble.

L’un des exemples donn�s par H�lios concerne les pri�res musulmanes � l’�cole des hautes �tudes commerciales de l’Universit� de Montr�al. Ci-dessous, un reportage de Mario Dumont sur le sujet diffus� en f�vrier 2010 :

___________________

La confusion r�gne dans les esprits depuis que l’islam fait parler de lui r�guli�rement.

Des actes violents de la terreur islamique aux accommodements exig�s par les musulmans, nul n’est en mesure de discerner un d�nominateur commun � ces ph�nom�nes qui, d�sormais, accompagnent et caract�risent la pr�sence musulmane en Occident.

La crainte de stigmatiser, le d�sir de distinguer entre l’islam des fanatiques et le � vrai islam �, ont pouss� les observateurs et les analystes � examiner s�par�ment chacun des ph�nom�nes tout en s’interdisant de penser � l’existence d’un lien qui les unit.

Qu’ont en commun l’assassin du gouverneur du Penjab, les �tudiants musulmans de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al et les musulmans qui demandent des horaires s�par�s dans les piscines publiques ? Quels sont les points communs que partagent les musulmanes qui portent le voile et les musulmans responsables d’actes violents ?

L’enqu�te concernant l’assassinat de Salman Taseer, gouverneur du Penjab, a r�v�l� que son garde du corps Mumtaz Qadri a d�cid� de l’assassiner quatre jours apr�s avoir �cout� le sermon d’un imam appelant � tuer les blasph�mateurs et ceux qui les prot�gent. Or le gouverneur du Penjab cherchait � r�former la loi sur le blasph�me, laquelle prescrit la peine de mort contre toute personne trouv�e coupable de propos irrespectueux � l’endroit de Mahomet. Il est facile et exp�ditif d’attribuer cet acte violent au fanatisme de son auteur, mais il y a l� plus que du fanatisme. En effet, l’assassin s’est cru investi de la mission de d�fendre l’islam, du coup son devoir de garde du corps, la loyaut� due au gouverneur, le respect des lois civiles, sa propre conscience et la crainte du ch�timent ont cess� de compter. Dans ce passage � l’acte, l’islam l’a autoris� � renverser toutes les barri�res d’ordre l�gal et moral. Mais il y a plus : l’appui que l’assassin obtient d’une large tranche de la population pakistanaise d�montre le peu d’importance que celle-ci accorde au respect des lois et aux fondements moraux de la vie en soci�t�. Pour elle, seul l’islam compte.

C’est ainsi que l’islam en tant qu’id�ologie et syst�me de croyance se retrouve � la fois en dehors et au-dessus des lois qui r�gissent la soci�t� ; il commande des attitudes, des comportements et des actions qui entravent son fonctionnement harmonieux ; il cr�e des pr�c�dents qui ouvrent grand la porte aux abus et au d�sordre. Il s’ensuit une situation de chaos grandissant o� l’arbitraire, pourvu qu’il soit islamique, se trouve autoris� et m�me sanctifi�.

Il n’y a pas si longtemps des �tudiants musulmans ont exig� de l’�cole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) de Montr�al qu’elle leur accorde un lieu de pri�re � l’int�rieur de ses murs. Cette demande allait � l’encontre des principes de la�cit� pr�n�s par l’Universit�, de plus, n’�tant pas de nature acad�mique, elle ne pouvait d’aucune fa�on s’inscrire parmi les priorit�s. Face au refus, les �tudiants musulmans ont d�cid� de prier r�guli�rement dans le hall d’entr�e de l’�difice. � c�t� des ascenseurs, au vu de tout le monde, ils se sont appropri�s ill�galement et sans autorisation pr�alable un espace public pour un usage autre que celui pour lequel il est destin�. Leur comportement avait l’allure d’un d�fi mais il �tait motiv� par la certitude qu’au nom de l’islam, ils n’�taient pas tenus au respect des r�glements et des conventions sociales. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, l’islam s’est retrouv� en dehors et au-dessus des lois.

Le comportement des �tudiants musulmans, plut�t que d’�tre jug� d’apr�s les normes en usage, a �t� consid�r� avec indulgence et compr�hension. Il fallait faire preuve d’ouverture � l’�gard de personnes qui, somme toute, � ne demandaient qu’� prier �. Face � la situation, la direction des HEC s’est senti oblig�e de c�der afin de � d�nouer la crise �, c’est ainsi que les �tudiants musulmans ont impos� leur volont� : transformer un espace public en lieu de pri�re et, ce qui est encore plus fondamental, imposer la pr�s�ance de l’islam sur les r�glements et les conventions de l’Universit�.

D’aucuns feraient remarquer que cet �v�nement n’a que peu d’importance et qu’il s’est termin� � pacifiquement �. Cependant, si on tient compte du fait que les �tudiants musulmans �taient peu nombreux, on saisit mieux l’ampleur et la signification de l’�v�nement. Il est � pr�voir que dans le futur, un nombre plus grand d’�tudiants fondamentalistes conduira � d’autres situations probl�matiques dont l’impact sera plus profond et plus durable. On finira par d�couvrir que les r�glements instaur�s pour le b�n�fice de tous sont non respect�s et on r�alisera, quoique un peu tard, que l’islam a non seulement �t� mis au-dessus des r�glements, mais qu’on lui a �galement permis de perturber gravement le climat et le fonctionnement au sein de l’Universit�.

...les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage

Les demandes d’horaires s�par�s dans les piscines sont un autre exemple, non seulement de l’intrusion de l’islam dans un domaine qui lui est �tranger, mais �galement de la volont� de le placer en dehors et au-dessus des principes d’�galit� entre les citoyens sans distinction de race, de sexe, ou de religion. Dans ce cas comme dans le pr�c�dent, les musulmans fondamentalistes ne se soucient pas de concilier leur croyance avec les imp�ratifs de la vie en soci�t�. Pour eux, l’islam doit pr�valoir sur les principes, sur les valeurs, sur les lois, sur les r�glements et sur les coutumes en usage. Il en r�sulte de la discrimination, des perturbations au fonctionnement de la soci�t� et un clivage sans cesse grandissant entre les musulmans d’une part et le reste de la soci�t� d’autre part.

Le voile islamique est consid�r� d�sormais comme l’�tendard de l’islam fondamentaliste, il est actuellement impos� sous toutes ses formes en Occident. Bien qu’il ne semble relever que du choix personnel, il ne se prive pas de causer des probl�mes dont les plus importants concernent les valeurs de la soci�t� et l’importance qu’elle accorde � l’�galit� des genres, � la dignit� des femmes, � la place que tient l’expression faciale dans la communication entre humains et, pour ce qui est du niqab et de la burka, aux imp�ratifs incontournables de la s�curit�. L’�pisode bien connu de la femme en niqab inscrite au programme de francisation au Cegep Saint-Laurent est exemplaire : refus de montrer son visage au moment o� le cours d’expression verbale l’exigeait, obligation faite au reste de la classe de d�tourner le regard etc. Dans ce cas �galement, l’islam a eu pr�s�ance sur les principes p�dagogiques et les techniques en usage dans l’enseignement de la langue fran�aise. Mais la nuisance ne s’est pas arr�t�e l�, le d�roulement du cours en a �t� perturb� au d�triment du reste des �tudiants, et l’affaire a eu des �chos jusqu’au minist�re de l’�ducation sans compter les articles et les reportages qu’elle a suscit�s.

Il y a quelque chose de navrant et d’ironique dans le spectacle qui met en sc�ne des musulmanes voil�es en compagnie de f�ministes. Cette rencontre de deux absolus (l’islam et l’�galit� des sexes) a contraint l’un des deux � baisser pavillon. L’islam a eu le dessus et les f�ministes se sont �vertu�es, non � expliquer les raisons pour lesquelles elles ont mordu la poussi�re, mais � tirer fiert� de leur veulerie. � cause d’elles, l’islam fondamentaliste �tendra ses tentacules dans les �coles, les garderies et la fonction publique. L’islam a r�ussi � pi�tiner des valeurs pour lesquelles nos a�eules se sont battues au-del� de cent ans, et cette fois gr�ce � la collaboration de celles qui n’auraient jamais d� quitter les remparts ni ouvrir grand la porte � l’envahisseur.

Les exemples abondent o� l’islam est sans cesse plac� en dehors et au-dessus des lois : interdiction aux maris de participer aux cours pr�nataux. Exigences d�raisonnables dans le domaine des soins de sant�, particuli�rement en ce qui a trait aux soins dispens�s par des professionnels du sexe oppos�. Excision des filles. Imposition du voile aux filles non-pub�res. Mariages forc�s. Polygamie et violence conjugale. Blocage des rues pour la pri�re du vendredi. Cr�ation d’enclaves musulmanes qui sont autant de zones de non-droit l� o� le nombre de musulmans est suffisamment �lev� etc. Tout porte � croire que la seule fa�on que nos dirigeants et nos �lites ont trouv�e pour t�moigner du respect envers les musulmans, a �t� de placer l’islam au-dessus de nos valeurs et de nos lois.

Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes

La presque totalit� des viols perp�tr�s dans les pays scandinaves sont le fait de musulmans. Il ne s’agit pas l� de simples violences dirig�es contre les femmes de toutes origines, les musulmans qui les commettent agressent uniquement les femmes non-musulmanes et celles qui sont n�es musulmanes mais qui adoptent le mode de vie occidental. On ne s’�tonnera pas d’apprendre que l’islam permet aux musulmans d’avoir des relations sexuelles avec les femmes des ennemis qui leur tombent entre les mains. Or les non-musulmans sont consid�r�s comme des m�cr�ants et ceux parmi les musulmans qui vivent � l’occidentale sont r�put�s �tre des apostats, ils sont tous par cons�quent les ennemis d’Allah et les musulmans ont le devoir de leur faire la guerre et de les subjuguer. Allah rend leurs femmes et leurs filles licites aux croyants. Le viol des femmes non-musulmanes s’inscrit parmi les actes et les tactiques de la guerre que les fondamentalistes ont d�clar�e aux soci�t�s des pays h�tes, ces violences n’ont d’autres objectifs que de cr�er des zones d’o� sont exclus les non-musulmans, des zones de non-droit o� l’arbitraire de la loi islamique (la sharia) est en vigueur.

La pratique du rapt et du viol des non-musulmanes n’est d’ailleurs pas confin�e � la Scandinavie. On la rencontre un peu partout mais plus particuli�rement dans les pays musulmans comptant une minorit� chr�tienne tels que l’�gypte et le Pakistan. Le rapt des jeunes filles coptes est bien connu, il a pour fondement les m�mes versets coraniques qui justifient le viol des femmes scandinaves. La police �gyptienne n’a jamais tent� d’arr�ter les coupables, ils n’ont jamais �t� traduits en justice et les adolescentes enlev�es n’ont jamais �t� rendues � leurs parents. Les intellectuels et les juristes musulmans qui se sont d�clar�s contre cette pratique se comptent sur les doigts de la main, les autres gardent un silence vaguement complice. Malgr� que le rapt et le viol soient punissables par la loi �gyptienne, aucune action n’a �t� entreprise pour d�courager les agresseurs et pour cause : l’islam a �t� plac� au-dessus des lois, celles-ci ne s’appliquent pas quand la victime est chr�tienne.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire

Il suffit de jeter un coup d’œil sur ce qui se d�roule en �gypte, en Irak, au Pakistan et dans les zones de non-droit en Europe pour comprendre les dangers qui frappent les pays qui ont laiss� l’islam prendre le dessus au m�pris des lois civiles. Quand l’application de la sharia est prise en main par des foules musulmanes chauff�es � blanc par les imams fondamentalistes, l’arbitraire et le chaos ne tardent pas � �lire domicile. L’histoire du monde musulman est pleine de ces exemples o� un tyran d�tr�n� par une r�volte de ses sujets, laisse la place au chaos. L’arbitraire du sultan est aussit�t remplac� par l’arbitraire des bandes arm�es et de leurs chefs religieux, la population prise au milieu du chaos se met alors � regretter les � beaux jours �, au temps o� elle ployait l’�chine sous le joug du sultan. Car l’islam pour tous c’est aussi le chaos pour tous, voil� pourquoi, en terre d’islam, la tyrannie est le seul r�gime de gouvernement susceptible d’offrir la stabilit� et un semblant de s�curit�.

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire. La sharia appliqu�e par les musulmans est subversive, elle est �galement source de chaos. Nos �lites qui pratiquent la c�cit� volontaire n’ont pas vu venir et se refusent de voir venir les dangers. Tant qu’ils examineront les demandes des islamistes sous la loupe de la libert� religieuse et des accommodements, sans mesurer leurs effets destructeurs, nos valeurs, nos lois et nos soci�t�s seront en danger.

Les faits, rien que les faits.

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- jack mandon 7 décembre 2013 19:42
  
  J’ai fait l’acquisition d’orgues de Staline de mauvaise qualit�,
  J’envoie des salves malgr� moi, et ne contr�le plus.
  
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philouie 7 décembre 2013 10:35

L’islam fondamentaliste est une id�ologie fondamentalement antisociale. Partout o� elle s’installe elle d�truit les assises de la soci�t� civile et les remplace par la tyrannie et l’arbitraire

mais pourquoi vous me dites �a a moi ?

Si vous en avez marre de l’Islam fondamentaliste allez dire � vos amis am�ricains qu’ils cessent de les financer.

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- philouie 7 décembre 2013 11:26
  
  Il y a deux grandes p�riodes dans l’Islam, la p�riode de l’expansion de l’Islam et la p�riode de l’Islam proprement dites.
  
  La p�riode de l’expansion du 100 ans. Le proph�te a re�u en mission divine l’ordre d’islamiser.
  Les victoires (faciles) des arm�es musulmanes, signent pour les musulmans l’authenticit� de la mission.
  Cette p�riode prend fin 100 ans apr�s la mort du proph�te, en 732 (Poitier). que la p�riode de la mission proph�tique de la conqu�te est termin�e est le constat d’un fait �tabli par les musulmans depuis des si�cles.
  � partir du VIII� si�cle, commence la p�riode o� les musulmans organisent les r�gles de la cit� musulmane. et parmi ces r�gles les r�gles de la guerre. (non agression - guerre d�fensive - doctrine de l’asile etc...)
  Dans cette p�riode il y la particularit� des seljoukides et des turcs. qui �taient des peuples conqu�rants , ce sont des invasions depuis l’asie centrale, mais qui se sont islamis�s au contact des musulmans.
  Le Wahhabisme et le salafisme demande un retour au temps des origines, qui fait fi des toutes les �laborations ult�rieures.
  Pour les anglais d’abord (XIX� je dirais), l’int�r�t des id�ologies guerri�res vient de l’usage qu’on peut en faire dans la lutte contre l’empire Ottoman. Laurence d’Arabie nous livre le parfait exemple des services de sa majest� poussant l’intrigue avec les princes du d�sert pour faire chuter Damas.
  
  Les ricains qui ont succ�d� aux anglais (accord p�trole/protection avec l’arabie saoudite dans les ann�es 40) , ont le m�me int�r�t.
  
  On l’a vu avec Ben Laden contre les russes.
  
  puis Ben Laden au service de l’Am�rique, en Libye et maintenant en Syrie, avec en arri�re plan le spectre de l’Iran mais surtout celui de la Russie.
  N’avez vous pas vu que la chute du mur de Berlin avait vu la ligne de fracture se d�placer plus au sud , de l’Europe au Proche Orient.
  
  Mais voila.
  Ben Laden ne doit pas �tre un pr�texte � ne pas dire ce qu’est l’Islam. C’est ce que je fais, je suis un europ�en qui explique l’Islam aux europ�ens avec des mots d’europ�en.
  
  Je ne suis pas responsable de Ben Laden.
  C’est l’am�rique et ses vassaux.
  
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jack mandon 7 décembre 2013 12:15

Je ne suis pas responsable de Ben Laden.
C’est l’am�rique et ses vassaux.

philouie

La r�volution devant l’injustice oui mais le terrorisme non.

Un enfant peut avoir v�cu dans une famille bris�e, avoir subi
un p�re violent et injuste, une m�re faible et peu maternelle,
plus tard avoir travers� l’�cole en somnambule avec des maitres
incomp�tents, peu ouverts � ses troubles psychologiques.
Malgr� cet h�ritage lourd il pourra devenir un homme mature,
qui n’entre pas aveugl�ment dans une litt�rature archa�que.

Votre psychologie est conditionn�e par un livre
et des concepts m�di�vaux habill�s d’une intellectualit�.
L’outil est excellent, mais le sophisme est consternant.
Abraham, Mo�se, votre proph�te guerrier mohamed,
vivent dans une �conomie humaine binaire, �triqu�e,
mieux avec des effets collat�raux visibles � notre �poque.

Cela v�hicule des r�sultats pervers pour tous
ceux qui s’en tiennent au premier degr�, � la lecture litt�rale.
Les am�ricains dont vous parlez ne sont pas en reste
avec leur loi du talion et leur lecture enfantine de la bible.
Vous �voquiez l’ombre, il en existe une grandiose,
� l’�poque d’un certain Iran et de son chef lugubre,
avec en face le yankee grossier. Les deux se jetaient
au visage l’ombre du grand Satan.
Ce qu’ils �taient l’un et l’autre dans la r�alit�.
De toute �vidence, ces deux mondes repr�sentent ce que
le monde connait de plus dangereux et pervers aujourd’hui.
Avec le temps les t�tes changent mais
le principe basique demeure et perdure dangereusement.

Prenez tout simplement vos responsabilit�s, la r�volution
dans les t�tes, mais arr�tez de pleurnicher sur ce monde
occidental imparfait en ajoutant de plus, une couche culturelle
de l’�poque des mille et une nuit.

Les gouvernements am�ricains et leurs dollars et vous
avec pour seules armes vos singeries m�di�vales.

C’est la guerre que vous cherchez ?

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- philouie 7 décembre 2013 12:54
  
  C’est la guerre que vous cherchez ?
  
  Vous me menacez ?
  
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- Gollum 7 décembre 2013 13:02
  
  Les intellectuels et les juristes musulmans qui se sont d�clar�s contre cette pratique se comptent sur les doigts de la main, les autres gardent un silence vaguement complice.
  
  �a c’est bien le gros probl�me, l’absence de condamnation des musulmans mod�r�s, incapables, par manque de courage ou par esprit de clan (ce qui serait pire) de condamner tout cela.
  
  J’observe que philoule, musulman mod�r� (enfin on suppose), est toujours incapable de condamner la lapidation.
  
  Comment voulez-vous que l’on r�agisse nous ?
  
  Le Coran pris de fa�on litt�rale est une monstruosit�. Ce texte pour perdre de sa nocivit� doit �tre spiritualis�. Malheureusement il s’�coulera des si�cles pour cela. D’ici l�..
  
  J’ai lu le Coran. Allah est mis�ricordieux. Mais il y a surtout dans ce texte des versets de descriptions de ch�timents par Allah des m�cr�ants.. Bref, la mis�ricorde n’est pas la grande majorit� du texte, loin de l�. De plus c’est bourr� de redites, de r�p�titions qui fait la lecture particuli�rement ennuyeuse..
  
  Rien de tr�s original en fait. Bref, pour tout dire, d’une pauvret� �vidente.
  
  Je pr�f�re le bouddhisme et loin de l�. Il y a beaucoup de bouddhistes en Occident et ils n’emmerdent personne. Vous critiquez les Am�ricains qui ont cr�� Al-Quaida et les fondamentalistes. Certes je suis d’accord. Mais vous oubliez que si cela a �t� possible c’est bien que l’Islam porte en germe cette possibilit�.
  
  Essayez de cr�er des fondamentalistes bouddhistes Ce sera extr�mement difficile. Pour la bonne et simple raison qu’il n’y a aucune agressivit� latente dans les textes bouddhistes.
  
  Cette simple v�rit� vous l’occultez puisque vous faites partie de la bergerie. D’ailleurs c’est une des raisons pour lesquelles je ne suis dans aucune bergerie, c’est la mauvaise foi �vidente de toute personne appartenant � une confession. J’ai des exemples abondants aussi bien dans le christianisme que dans l’Islam...
  
  Les moins sujets � cette pathologie d’ailleurs sont les bouddhistes.
  
  R�pondre Lien permanent
- philouie 7 décembre 2013 14:43
  
  Essayez de cr�er des fondamentalistes bouddhistes smiley Ce sera extr�mement difficile. Pour la bonne et simple raison qu’il n’y a aucune agressivit�
  
  http://www.slate.fr/story/72889/bouddhisme-incitation-haine
  
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philouie 7 décembre 2013 17:06

Bon, je vais pouvoir reprendre

parce que comme le fait remarquer Gollum, je ne parle pas de l’Islam fondamentaliste ni de la lapidation, je parle de l’occident chr�tien.

mais pas l’occident moyen�geux, non l’occident moderne, libre, d�mocratique et humaniste.

celui de la course au profit et organise le pillage des ressources terrestres.
celui qui d�truits des pays entiers au nom des ses id�aux.

Cet occident criminel bourr� de bon sentiment et de mensonges qui tue qui pille et qui saccage mais dont il ne faudrait rien dire..

cette critique, je la fais selon une approche th�ologique, mais �a semble faire mal � nos apprentis spiritualistes.

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- jack mandon 7 décembre 2013 18:17
  
  philouie,
  
  vous parlez � des �colos convaincus, compl�tement r�fractaires
  au monde occidental dont vous parlez, mieux en guerre ouverte
  avec ce monde inique, superficiel, brutal, finalement creux.
  Apprentis certainement, apprentis de tout, en recherche, � l’�coute.
  
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- philouie 7 décembre 2013 19:28
  
  compl�tement r�fractaires
  au monde occidental dont vous parlez, mieux en guerre ouverte
  avec ce monde inique, superficiel, brutal, finalement creux.
  
  Auquel cas, vous feriez mieux de vous int�resser � ce que j’ai � dire.
  
  R�pondre Lien permanent
philouie 7 décembre 2013 17:10

Je poursuis ici.
un petit r�sum� d’abord.
On a vu que l’absolutisation du Bien � travers de l’id�e d’un Dieu supr�mement Bon, a entrain� la doctrine de la chute et de la r�demption en r�ponse � la question du mal.

cette id�e de r�demption, par l’incarnation, � plusieurs cons�quences. La premi�re est celle de l’id�alisation de l’homme avec pour corrolaire la diabolisation de l’autre.

Mais ce n’est pas tout, la r�demption, c’est aussi la lib�ration du D�sir, l� o� le Juda�sme avait montr� que la voie de la paix �tait celle de la castration du d�sir.

Donc, Dieu intervient dans les affaires humaines et l’homme participe de cette action.

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- jack mandon 7 décembre 2013 18:21
  
  Le d�sir, philouie, pour un chr�tien � la mani�re de Fran�oise Dolto,
  c’est le d�sir d’�tre, le d�sir d’entrer dans la vie, le d�sir d’aimer aussi,
  mais pas dans le sens restrictif freudien...vous vous �garez philouie.
  
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- philouie 7 décembre 2013 18:30
  
  Mais enfin Mandon, l’homme Bon, mode J�sus ; c’est pas l’homme avide de richesse, de pouvoir, et de gloire.
  
  J�sus, c’est pas les Dieux du Stade, c’est pas la D�esse S�phora.
  
  Tout le monde sait-�a.
  
  Mais le constat est l�, en lib�rant le d�sir (christianisme) et en abandonnant les r�gles (ath�isme), c’est bien le r�sultat qu’on a obtenu. il suffit d’ouvrir les yeux pour voir.
  
  Donc si une certaine doctrine a men� � ce r�sultat il est l�gitime de s’interroger sur sa nocivit�.
  Non ?
  
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philouie 7 décembre 2013 17:30

Puisque Dieu interveint dans les affaires de la terre et que l’homme participe de cette action, il convient de conna�tre ce Dieu et de le comprendre. La th�ologie au sens chr�tien nait de l�.
Le dessein de Dieu pour les hommes est qu’ils deviennent semblable � ce Dieu-Fait-Homme du nom de J�sus, homme qui comme DIeu est supr�mement bon. c’est l’homme « aimez vous les uns les autres »

On a vu qu’� titre individuel, cette id�alisation de l’homme conduisait � la diabolisation de l’autre.
Mais sur le plan collectif, cette participation au projet divin (fantasm�) a pour cons�quence que l’homme se sent autoris� � accomplir ce projet chez les peuples qui ne demandent rien.

J’en profite ici pour rappeler les paroles de Saint Augustin, p�re de l’�glise :

"En effet, que trouve-t-on � bl�mer dans la guerre ? Est-ce parce qu’on y tue des hommes qui doivent mourir un jour, pour en soumettre qui doivent ensuite vivre en paix ?"

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- jack mandon 7 décembre 2013 18:40
  
  philouie, Augustin le berb�re n’engage que lui.
  
  A aucun moment dans les �vangiles synoptiques,
  pas m�me dans le quatri�me, celui de Jean. vous ne trouverez
  une imb�cilit� de cette taille, et je suis poli, pour une fois.
  Les �vangiles sont amoraux et nous d�voilent la nature humaine.
  l’�tre dans sa r�alit� nue, le corps vivant, c’est � dire l’�me.
  L’�criture est � la fois concr�te et m�taphorique.
  Du d�but � la fin la croix demeure en terre en signe de paix.
  In hoc signo vinces. L’antinomie de la mort, l’amour.
  Une seule fois J�sus bouscule les �tales marchandes
  sur le parvis du temple de J�rusalem, il n’y a pas mort d’homme,
  mais une longue interrogation ex�g�tique s�culaire.
  
  R�pondre Lien permanent
- philouie 7 décembre 2013 18:55
  
  Et alors ?
  
  o� avez vous vu que je parle des �vangiles ?
  
  je parle de th�ologie chr�tienne.
  
  je sais bien que c’est pas la m�me chose.
  
  R�pondre Lien permanent
- jack mandon 7 décembre 2013 19:23
  
  philouie,
  
  La th�ologie chr�tienne eut �t� bien inspir�e d’accorder aux loggias
  �vang�liques, toute l’importance que l’on accorde � une parole.
  ils s’en inspir�rent probablement, mais le r�sultat historique vient
  h�las confirmer qu’ils ne furent pas tr�s cr�atifs.
  
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- philouie 7 décembre 2013 19:27
  
  La th�ologie chr�tienne eut �t� bien inspir�e d’accorder aux loggias
  �vang�liques, toute l’importance que l’on accorde � une parole.
  ils s’en inspir�rent probablement, mais le r�sultat historique vient
  h�las confirmer qu’ils ne furent pas tr�s cr�atifs.
  
  alors c’est quoi qui vous g�ne dans la critique de la th�ologie chr�tienne ?
  
  R�pondre Lien permanent
jack mandon 7 décembre 2013 17:38

philouie,

Vous �tes un dangereux r�veur, assez tordu pour paraitre sympathique.

Les intellectuels et les juristes musulmans qui se sont d�clar�s contre cette pratique se comptent sur les doigts de la main, les autres gardent un silence vaguement complice.

�a c’est bien le gros probl�me, l’absence de condamnation des musulmans mod�r�s, incapables, par manque de courage ou par esprit de clan (ce qui serait pire) de condamner tout cela.
Bonne analyse, c’est � la fois l’esprit de clan et la peur des repr�sailles

J’observe que philoule, musulman mod�r� (enfin on suppose), est toujours incapable de condamner la lapidation.

Parce que justement, il est musulman et qu’il habit� par une peur visc�rale

Comment voulez-vous que l’on r�agisse nous ?
Observez comment r�agissent la majorit� de l’agora, c’est une bonne raison
de montrer notre indignation devant cette double l�chet�.
Heureusement Agoravox ne p�se pas lourd en France.

Le Coran pris de fa�on litt�rale est une monstruosit�. Ce texte pour perdre de sa nocivit� doit �tre spiritualis�. Malheureusement il s’�coulera des si�cles pour cela. D’ici l�..
Spiritualis� ? vous plaisantez Gollum.

J’ai lu le Coran. Allah est mis�ricordieux. Mais il y a surtout dans ce texte des versets de descriptions de ch�timents par Allah des m�cr�ants.. Bref, la mis�ricorde n’est pas la grande majorit� du texte, loin de l�. De plus c’est bourr� de redites, de r�p�titions qui fait la lecture particuli�rement ennuyeuse..
La pomme ne tombe pas tr�s loin du pommier, (proverbe agricole)

Rien de tr�s original en fait. Bref, pour tout dire, d’une pauvret� �vidente.
m�me proverbe en fran�ais dans le texte.

Je pr�f�re le bouddhisme et loin de l�. Il y a beaucoup de bouddhistes en Occident et ils n’emmerdent personne. Vous critiquez les Am�ricains qui ont cr�� Al-Quaida et les fondamentalistes. Certes je suis d’accord. Mais vous oubliez que si cela a �t� possible c’est bien que l’Islam porte en germe cette possibilit�.

Le terrain est propice

Essayez de cr�er des fondamentalistes bouddhistes Ce sera extr�mement difficile. Pour la bonne et simple raison qu’il n’y a aucune agressivit� latente dans les textes bouddhistes.
L�, attention Gollum, philouie fait les poubelles.

Cette simple v�rit� vous l’occultez puisque vous faites partie de la bergerie. D’ailleurs c’est une des raisons pour lesquelles je ne suis dans aucune bergerie, c’est la mauvaise foi �vidente de toute personne appartenant � une confession. J’ai des exemples abondants aussi bien dans le christianisme que dans l’Islam...
Tout � fait, quand on est plus de deux, on est une bande de con.

Les moins sujets � cette pathologie d’ailleurs sont les bouddhistes.
Oui mais ils sont tous atteint de l’arthrose des bras, leur robe ne porte pas
de manche...philouie va vous d�montrer qu’il ne sont pas manchot (conflits)

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philouie 7 décembre 2013 17:40

Petite bulle papale
Nicolas V 1455

Ainsi apr�s avoir pes� toutes les cons�quences avec la m�ditation qui se doit et apr�s avoir not� que nous avons donn� par missives ant�rieures la facult� ample et simple au roi Alphone d’envahir, de rechercher, de capturer, de vaincre et de subjuguer tous sarazins et pa�ens que ce soient et tout autre ennemi du Christ o� qu’il soit et les royaumes et duch�s et principaut�s et colonies et possessions et tous biens mobiles ou immobiles en leur possession ainsi que de r�duire leurs personnes en esclavage perp�tuel et d’appliquer et de s’approprier pour lui-m�me, ses h�ritiers et successeurs lesdits royaumes, duch�s, principaut�s, colonies, possessions et biens et de les convertir en ses biens et profits et qu’en ayant s�curis� cette facult�, ledit roi Alphonse ou par son autorit�, l’Infante sus-nomm�e, ont acquis justement et l�galement et poss�dent et ont fait l’acquisition ces �les, terres, ports et mers et que ceux-ci appartiennent de plein droit au dit roi Alphonse et ses h�ritiers et successeurs

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- jack mandon 7 décembre 2013 18:52
  
  Bien sur philouie,
  
  Bulle ou pas bulle, la plupart des papes �taient des sc�l�rats
  et pour cette raison, en partie, ni Jean, ni Gollum ni moi, souhaitons
  remplacer ces voyous et cr�tins d�voy�s et stupides, la fine fleur papale,
  par des cr�tins venus d’orient anim�s des m�mes travers.
  
  Nous avons endur� cette sombre influence pendant pr�s de 2000 ans
  nous ne d�sirons pas remettre le couvert avec des abrutis de chez vous.
  Pour cette raison nous connaissons la musique et poss�dons m�me
  un avantage de 8 si�cles d’exp�rience sur vous.
  
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- philouie 7 décembre 2013 18:57
  
  le probl�me c’est que vous avez chassez ces papes mais que vous voulez garder leur doctrine.
  et vous en �tes toujours au m�me point.
  en pire.
  ou
  empire.
  
  comme vous voulez.
  
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- jack mandon 7 décembre 2013 19:08
  
  philouie,
  
  Vous d�lirez mon ami, nous n’avons aucune doctrine � d�fendre
  Au fond nous sommes libertariens, anarchistes si vous pr�f�rez.
  nous aimons les mots mais pas les explosifs.
  
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- philouie 7 décembre 2013 19:23
  
  Et alors ?
  
  vous avez bien les croyances que vous voulez.
  
  je parle du christianisme, de la th�ologie chr�tienne et des croyances qui en d�coulent.
  dont les v�tres.
  
  �a vous ennuie ?
  
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- philouie 7 décembre 2013 19:25
  
  nous n’avons aucune doctrine � d�fendre
  
  je vois pas alors en quoi vous vous sentez concern�.
  
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- Gollum 7 décembre 2013 20:02
  
  je vois pas alors en quoi vous vous sentez concern�.
  
  mais parce que votre analyse est en grande partie fausse... On n’a rien � d�fendre hormis ce que l’on croit �tre la v�rit�.
  Et pour moi l’Occident moderne ressort bien moins du christianisme que du mat�rialisme grec et de son dieu, Prom�th�e.
  Ce mat�rialisme fut grandement frein� par le christianisme et ressurgit � la Renaissance, puis aux Lumi�res. Je l’ai d�j� dit et redit mais vous vous en foutez...
  Ce que j’ai dit aussi c’est que beaucoup de germes de l’esprit colonialiste ne sont pas du au christianisme en tant que tel mais de la r�cup�ration de la religion au service de l’esprit de puissance. Il n’y aurait pas eu le christianisme on aurait trouv� autre chose pour justifier la main mise sur les Am�riques et autres...
  Rome aussi, qui n’�tait pas chr�tienne, �tait colonisatrice. Ce n’est donc pas sp�cifique au christianisme qui n’a rien � voir l�-dedans. St Augustin n’�tait pas chr�tien. A mon sens. Comme vous d�clarez que Ben Laden n’est pas musulman..
  
  Quant au spiritualisme r�cup�r� par le monde marchand � travers la galaxie new-�ge, figurez-vous que l’on est au courant.. On a pas besoin de vous pour l’avoir compris.
  
  Et arr�tez de dire « �a vous g�ne ? » qui r�v�le le type s�r de son fait et un grand orgueil. Rien ne nous g�ne surtout pas vos analyses fausses et foireuses...
  
  Sur ce, bonne nuit � tous.
  
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philouie 7 décembre 2013 18:01

Si le projet de Dieu, est celui de l’homme bon il semble normal d’en arriver � l’humanisme.
Ath�e n�cessairement puisque Dieu, descendu sur terre devient inutile dans les cieux.

On comprend ici que l’humanisme ath�e et la soci�t� mat�rialiste est le pure produit de la doctrine de l’incarnation.

Face au christianisme, il faut une approche, globale en �tudier la matrice et ses rejetons.
On ne peut parler de l’�glise d’un cot� et des humanistes de l’autres, puisqu’aussi bien les premiers que leurs successeur ont le m�me substrat id�ologique.

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- Gollum 7 décembre 2013 18:29
  
  Ben dis donc vous allez nous l�cher la grappe quand ?
  
  Bon je passe sur l’exemple bouddhiste en Birmanie qui pour moi est l’exception qui confirme la r�gle...
  
  Avouons quand m�me que globalement dans le monde, les bouddhistes n’emmerdent personne, �a c’est un fait. Quant au moine qui voit rouge � propos des musulmans je rappelle que ceux-ci ont d�truit des bouddhas g�ants en pierre pas tr�s loin de chez lui.. On comprend qu’il puisse �tre �nerv� m�me si je ne cautionne pas son comportement.
  
  Sinon : Face au christianisme, il faut une approche, globale en �tudier la matrice et ses rejetons.
  On ne peut parler de l’�glise d’un cot� et des humanistes de l’autres, puisqu’aussi bien les premiers que leurs successeur ont le m�me substrat id�ologique.
  
  Alors l� je r�ponds : Face � l’Islam, il faut une approche globale et en �tudier la matrice et ses rejetons.. On ne peut parler de l’Islam (mod�r� ? soufi ?) d’un c�t� et des islamistes fondamentalistes, �gorgeurs, lapideurs, coupeurs de mains, etc... (rayer la mention inutile.. Y en a pas ? ah bon) puisqu’aussi bien les uns et les autres d�rivent du m�me substrat id�ologique..
  
  �a vous va comme �a ?
  
  Sinon vous pr�chez vraiment dans le vide car je n’ai jamais �t� fan de l’humanisme moderne, ni fan de l’�glise romaine. Je l’ai dis mainte fois et je le redis.
  
  Et vous, vous faites comme si j’�tais pour. On se demande bien pourquoi, si ce n’est pour nous refiler votre camelote d’analyse � deux balles..
  
  PS : ne vous en d�plaise la Git� appelle bien Arjuna � rejeter toutes les lois. Et de ne prendre refuge qu’en lui et rien d’autre. Et j’ai bien pr�cis� que cela ne concerne que les amis de Dieu.
  
  En tous les cas vous me confirmez au fur et � mesure de vos posts que vous �tes bien de mentalit� sectaire... J’avais un � priori plus favorable sur vous au d�part, opinion qui se d�grade au fil du temps.
  
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- jack mandon 7 décembre 2013 19:13
  
  Gollum,
  
  Ben dis donc vous allez nous l�cher la grappe quand ?
  
  J’ai entendu dire que Jean utilisait une colle puissante.
  Le pot a du se r�pandre dans l’espace de notre communication
  
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